INDICATEURS DU PROGRAMME PROVINCIAL DE SURVEILLANCE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES
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- Odette St-Gelais
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1 Période (3-4) Du janvier 4 au 8 février 4
2 INDICATEURS DU PROGRAMME PROVINCIAL DE SURVEILLANCE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES TABLEAU : SURVEILLANCE PROVINCIALE DES BACTÉRIÉMIES D ORIGINE NOSOCOMIALE - HÔPITAL PIERRE-BOUCHER TYPES D INFECTIONS - nombre de cas Pér. Bactériémies à Staphylococcus aureus d origine nosocomiale S. aureus sensible (SASM) S. aureus résistant (SARM) Bactériémies sur cathéters centraux aux soins intensifs Bactériémies nosocomiales pan-hospitalières (BACTOT) Secondaire à une infection du système gastro-intestinal Secondaire à une infection des yeux, oreilles, nez, gorge ou bouche Primaire non relié au cathéter
3 3 TABLEAU : SURVEILLANCE PROVINCIALE DU CLOSTRIDIUM DIFFICILE D ORIGINE NOSOCOMIALE - HÔPITAL PIERRE-BOUCHER Diarrhée associée au Clostridium difficile d origine nosocomiale (DACD) Pér. Nombre de cas Taux d incidence (par jours-présence) Taux d'incidence comparatif de la DACD d'origine nosocomiale Hôpital Pierre-Boucher Province de Québec Taux par jrs-prés ,9, 9 7,9 7,6 7 6,7 6,7 8,7 6,3 6,7 7 5,7 5,9 4,9 3,8 6,3,5 5, 5 3,6,6 3,8 3,5,5, Périodes -3 Périodes 3-4
4 4 TABLEAU 3 : SURVEILLANCE PROVINCIALE DE L ENTÉROCOQUE RÉSISTANT À LA VANCOMYCINE D ORIGINE NOSOCOMIALE HÔPITAL PIERRE-BOUCHER Entérocoque résistant à la vancomycine d origine nosocomiale (ERV) Pér. Nombre total de dépistages faits durant la période Nombre total de dépistages positifs Nombre total de catégorie A* Nombre total de catégorie B* Nombre de colonisations Nombre d infections Taux d incidence* (par jours-présence) * Cas de catégorie A : Nouveau cas d ERV d origine nosocomiale relié à l hospitalisation actuelle dans l installation déclarante. * Cas de catégorie B: Nouveau cas d ERV d origine nosocomiale relié à une hospitalisation antérieure dans l installation déclarante Taux d'incidence comparatif de l'erv d'origine nosocomiale* Hôpital Pierre-Boucher Province de Québec Taux par jrs-prés ,6 9, 8,4 8,8 8,5 7,6 7, 5,8 6 5,3 7,5 6,9 3,9 4,6, Périodes 3-4 * À titre de comparaison, seules les données de surveillance des cas d ERV de la catégorie A sont disponibles au niveau provincial.
5 5 TABLEAU 4 : PROGRAMME DE SURVEILLANCE RÉGIONALE DU STAPHYLOCOCCUS AUREUS RÉSISTANT À LA MÉTHICILLINE D ORIGINE NOSOCOMIALE HÔPITAL PIERRE-BOUCHER Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline d origine nosocomiale (SARM) Pér. Nombre total de tests de dépistages faits durant la période Nombre de cas (dépistages et spécimens cliniques) Nombre de colonisation Nombre d infections Taux d incidence (par jours-présence) Taux d'incidence comparatif du SARM d'origine nosocomiale (3 dernières périodes) Hôpital Pierre-Boucher Montérégie Taux par jrs-prés ,5,8,3,,4,,5 6, 7,7 7, 6,7 5,9 4,7 6, 7 8, 6, 8, 8,8 6, 6,4 7,3 6,4 8, 3, Périodes 3-4
6 6 TABLEAU 5 : SURVEILLANCE LOCALE DE L INFLUENZA HÔPITAL PIERRE- BOUCHER INFLUENZA PÉR. Nombre de cas d origine communautaire Nombre de cas d origine nosocomiale 3
7 7 FAITS SAILLANTS DES ACTIVITÉS DE L ÉQUIPE EN PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS POUR LA PÉRIODE (3-4): HÔPITAL Fin de l éclosion de diarrhée associée à C. difficile (DACD) au 8 e nord L éclosion de C. difficile qui sévissait à l unité du 8 e nord depuis la période 9, s est terminée à la période. Le dernier cas à survenir datait du 5 décembre 3. Au total, 7 cas ont été déclarés. Rappelons qu une éclosion de DACD est terminée lorsque le taux d incidence de l unité touchée est retourné au taux normalement attendu sur cette même unité pour une période de 6 à 8 semaines. Nous remercions la coordonnatrice clinico-administrative des services de deuxième ligne gériatriques internes et ambulatoires, Mme Céline Lambert, les membres de l équipe soignante du 8 e nord, l équipe du service d hygiène et de salubrité, les professionnels qui œuvrent au sein de cette unité et tous ceux qui ont contribué, par leurs efforts, au contrôle de cette éclosion. 3 Incidence des DACD d'origine nosocomiale au 8e nord Nombre de cas Périodes
8 8 Suite de l éclosion d ERV à l unité du 6 e sud. Au cours de la période, quatre nouveaux cas colonisés par l Entérocoque résistant à la Vancomycine, attribuables à l unité du 6 e sud, ont été décelés suite à des dépistages hebdomadaires. Ceci porte à le nombre de cas d ERV depuis le début de l éclosion (période ). Les mesures de prévention et contrôle du ERV instaurées à la période précédente se poursuivent. Un rappel de ces mesures a été fait auprès du personnel à la période. Parmi les autres mesures toujours en place, une série de dépistages hebdomadaires a été effectuée à tous les usagers de l unité afin de détecter tout nouveau cas. Rappelons qu à la découverte d un ou des nouveaux cas de ERV, l équipe de prévention et contrôle des infections, en collaboration avec le service de l accueil, doit procéder à la recherche de cas contact étroits ou élargis, c est-à-dire, tout patient qui a séjourné (peu importe la durée) dans la même chambre que le cas positif (qui était alors non connu positif et non isolé) et ceux qui ont séjourné sur la même unité. Les patients considérés contacts étroits, s ils sont toujours hospitalisés, doivent être placé en précautions additionnelles de contact et doivent faire l objet d une série de dépistages. Quant aux contacts élargis, ils font l objet d une série de dépistages. Lorsque des patients contacts étroits ou élargis n ont pu être dépistés car ils ont obtenu leur congé, ils sont considérés ERV potentiels. Nous procédons alors à une identification à leur dossier afin qu à leur prochaine réadmission ils soient isolés et dépistés. Cette mesure permet de retracer d éventuels cas ERV positifs et prévenir la survenue de nouvelles éclosions. Incidence des cas ERV au 6S par période adm inistrative Nombre de patient ERV Déclaration de l'éclosion le 3 décembre Période Incidence 6 sud
9 9 Brève éclosion d influenza à l unité du 7 e Sud Une éclosion d influenza a été déclarée le 9 janvier à l unité du 7 e sud suite à la détection de deux nouveaux cas d influenza de type A liés épidémiologiquement. Ces deux nouveaux cas sont survenus alors que le l indice d activité grippale au Québec était élevé avec une tendance stable. N.B. À titre d information, bien que la souche prédominante cette saison (grippe A HN) soit la même qui avait donné lieu à la pandémie de 9, elle a maintenant rejoint les rangs de virus saisonniers attendus et c'est pour cette raison que cette composante avait été incluse dans le vaccin utilisé cette année. Les personnes vaccinées cette année sont donc immunisées contre cette souche. C'est pourquoi l'application des mesures de PCI habituellement recommandées pour les cas de grippe saisonnière (précautions additionnelles contre la transmission par gouttelettes et contact) sont suffisantes afin de limiter la transmission dans les milieux de soins. Ainsi sur l unité, les mesures de prévention et contrôle de l influenza ont rapidement été instaurées et le personnel est demeuré vigilant à l apparition de nouveaux cas. La vaccination anti-grippale a été offerte aux patients qui n avait pas été vaccinés plus tôt en saison, et ce, via leur médecin traitant. Les admissions et départs n ont pas été suspendus. Parcontre, certaines mesures ont été mises en place concernant les transferts de patients de l unité vers d autres unités ou vers les centres d hébergement. Un suivi a été fait auprès du personnel qui pourrait présenter un syndrome d allure grippal (SAG) et ce, en collaboration avec le bureau de santé. Une relance de la vaccination antigrippale avait été faite dans les jours et semaines précédentes dans tout le CSSS. Par ailleurs, le personnel doit se conformer au «Guide de gestion lors de la période d influenza» de la DRHDO. L éclosion a rapidement pris fin car aucun nouveau cas ne s est ajouté par la suite. La fin de l éclosion a été déclarée le 6 février.
10 Audits d hygiène des mains Les audits d hygiène des mains se poursuivent dans tout le CSSS. En effet, l équipe de prévention et contrôle des infections bénéficie de l aide d une nouvelle collègue, Mme Ange- Doline Tenha Tchakounté, infirmière clinicienne qui a pris en charge la suite du dossier des audits d hygiène des mains. Nous espérons compléter ainsi les audits avant la fin de l année financière 3-4. Audits des mesures de précautions additionnelles Des audits portants sur l observance des mesures de précautions additionnelles (notamment la mise en place des mesures et le port de l équipement de protection individuelle) ont été effectués sur des unités en éclosion et sur des unités où il y avait beaucoup de patients sous précautions additionnelles. Ces audits ont débuté à la période pour s échelonner à la période. Les dernières périodes ont été particulièrement chargées en éclosions de toutes sortes, DACD-ERV-MRSA-Influenza et c est pour cette raison que l équipe de PCI se préoccupe de savoir si les mesures mises en place sont bien respectées par tous les intervenants afin de protéger les usagers. Un compte-rendu des audits sera produit pour les coordonnateurs (trices) et chefs d unités. Ce dossier se poursuit à la période suivante.
11 CENTRES D HÉBERGEMENT SURVEILLANCE LOCALE DES INFECTIONS NOSOCOMIALES EN CENTRES D HÉBERGEMENT Influenza (A et B) Nombre de cas Nombre d éclosion INFECTIONS Pér. Diarrhée associée à Clostridium difficile d origine nosocomiale Nombre de cas Gastroentérite Nombre d éclosion SUIVI DES CAS D ERV POSITIFS ET ERV POTENTIELS EN CENTRES D HÉBERGEMENT, SUITE À LEUR CONGÉ D UNE UNITÉ EN ÉCLOSION D ERV Lors de transferts de patients ERV connus positifs et de patients ERV potentiels (qui ont été en contact étroit ou contact élargi avec un cas connu positif) vers un centre d hébergement, des mesures de prévention et contrôle des infections sont instaurées. Des dépistages sont effectués et un suivi est également fait par la conseillère en PCI couvrant les centres d hébergement. SURVEILLANCE DES INFECTIONS EN CENTRE D HÉBERGEMENT Lors de la période, quelques cas isolés de gastro-entérite et un cas de C.difficile ont été pris en charge. Des mesures de prévention et de contrôle ont été instaurées et aucune éclosion ne s est déclarée suite à ces cas. À la fin de la période, il y avait eu recrudescence de cas d infections respiratoires avec symptômes légers à l unité du er au centre d hébergement Jeanne-Crevier. Environ cas avaient été répertoriés sur quelques jours. Aucun cas n a été dépisté pour l influenza. Il n y a pas eu de nouveaux à la période, donc le tout s est conclu rapidement grâce aux mesures mises en place. À la période, au centre d hébergement du Chevalier De-Lévis, plusieurs cas de SAG (syndrome d allure grippal) sont survenus à l unité 4B ainsi qu à l unité B. Quelques résidents ont été dépistés pour l influenza mais aucun cas n est ressorti positif. Des mesures de prévention et de contrôle des infections ainsi que d hygiène et salubrité ont été instaurées et un suivi a été fait en collaboration avec les équipes de soins.
12 UN CAS D INFLUENZA AU CENTRE D HÉBERGEMENT DE LAJEMMERAIS À la période, au centre d hébergement De Lajemmerais, un cas d influenza de type B est survenu à l unité du 3 e. Plusieurs autres cas de SAG ont été placés en précautions additionnelles gouttelettes-contact mais aucun parmi eux ne s est révélé positif à l influenza. Les mesures de prévention et contrôle de l influenza ont été instaurées sur l unité. Aucune éclosion d influenza n a été déclarée, considérant qu il n y avait qu un seul cas positif. FORMATION Les formations lors de la journée d accueil pour tous les nouveaux employés ainsi que les formations sur les pratiques de base et les précautions additionnelles destinées aux infirmières, infirmières auxiliaires et aux préposés aux bénéficiaires se poursuivent à la période. VOTRE ÉQUIPE DE PRÉVENTION ET CONTRÔLE DES INFECTIONS
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