Une typologie des paysages socio-sanitaires en France
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- Émilie Joly
- il y a 8 ans
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1 notes et documents n 1 - avril 1998 Une typologie des paysages socio-sanitaires en France Présentation synthétique des résultats concernant la Bourgogne Source : Étude CREDES n 1220 avril 1998 U notes et documents de l'urcam Bourgogne n 1
2 Ce document est le premier numéro de "notes et documents de l'urcam Bourgogne". Cette collection comprend des notes de lecture et des travaux publiés par l'urcam Bourgogne.
3 INTRODUCTION Le but poursuivi dans ce travail est d'étudier les variations dans l'espace d'indicateurs de santé en relation avec l'environnement socio-économique pour les 348 zones d'emploi en 1990 et de rechercher un typologie qui résume la diversité des situations par quelques types essentiels de paysages socio-sanitaires. Les auteurs ont cherché ici à qualifier les zones d'emploi non pas par leur localisation géographique ou leur appartenance régionale, mais par leur situation à l'égard de trois catégories d'indicateurs : structure sociale, emploi et santé. Par ce moyen, on peut faire une carte de comportements locaux différenciés qui contribuent à expliquer les déséquilibres spatiaux des indicateurs de santé. Le travail de synthèse présenté ici reprend les résultats de cette étude au plan régional. Chacun des éléments de la typologie seront détaillés au niveau de chacune des zones d'emploi définies en Bourgogne.! Attention : 1. Une zone d'emploi figurant dans une catégorie (ici des classes) ne rassemble pas nécessairement l'ensemble des caractéristiques de cette catégorie. Ainsi, la grille de lecture proposée par les auteurs est d'autant plus parlante pour les zones d'emploi les plus caractéristiques de leur classe d'appartenance. 2. Les zones d'emploi fournissent une échelle plus fine que les traditionnels départements (18 unités contre 4). Elles se révèlent néanmoins inadaptées pour étudier les inégalités urbaines. URCAM de Bourgogne - P.D -2- Notes et documents n 1-04/98
4 STRUCTURES SOCIALES, EMPLOI ET SANTE : UNE TYPOLOGIE Les auteurs ont analysé la situation de chaque zone d'emploi du point de vue de ses caractéristiques démographiques, économiques (composition socio-professionnelle, taux de chômage), d'état de santé (indice comparatif de mortalité) ainsi que d'offre et de consommation de soins. De cette analyse, ils ont pu dégager une typologie (selon trois critères: structure sociale, emploi, santé) en 12 classes par une synthèse des proximités entre zones d'emploi au sens de la ressemblance des profils. - Paris - Pôles régionaux - Banlieues des pôles - Villes moyennes - Alpes - Est industriel - Bretagne - Nord - Provence - Sud-Ouest - Pôles ruraux - Rural isolé Types urbains Surmortalité - industrie Types ruraux L'examen de l'arbre de classification montre que les zones d'emploi se regroupent en trois grands pôles ( * ). Les trois premières classes regroupent des "types urbains" (DIJON). Ils comprennent Paris intra-muros, les pôles régionaux et les banlieues des pôles (principalement pour Paris). Ces zones sont très équipées en personnels de santé. Les cinq classes suivantes sont plutôt caractérisées par l'industrie et la surmortalité (CHALON, MACON, SENS, LE CREUSOT). La concentration au Nord de ces types est l'élément géographique le plus marquant. Les types que l'ont peut qualifier de défavorisés en raison de mauvais indicateurs de mortalité sont situés dans ce groupe. Les quatre dernières classes sont des types à dominante rurale (AUXERRE, AVALLON, NEVERS, MONTCEAU, CHATILLON, MONTBARD, BEAUNE, DIGOIN, AUTUN, JOIGNY, COSNE, DECIZE, LOUHANS). Pour ces classes, les indicateurs de mortalité ou d'accès aux soins sont en général favorables, sauf pour la dernière classe (rural isolé) où l'accessibilité aux soins est mauvaise. URCAM de Bourgogne - P.D -3- Notes et documents n 1-04/98
5 REPARTITION DES ZONES D'EMPLOI PAR CLASSES AVALLON SENS MONTBARD JOIGNY CHATILLON AUXERRE COSNE DIJON NEVERS AUTUN DECIZE MONTCEAU BEAUNE CHALON LOUHANS DIGOIN MACON LE CREUSOT Pôles régionaux Villes moyennes Type Nord Type Sud-Ouest Rural profond Pôles ruraux URCAM de Bourgogne - P.D -4- Notes et documents n 1-04/98
6 LES ZONES D'EMPLOI SONT DONC RÉPARTIES DANS UNE DES 12 CLASSES DÉFINIES PAR LES AUTEURS. La classe "Pôles régionaux" Seule la zone d'emploi de Dijon relève de cette classe. DIJON Caractéristiques : Beaucoup de cadres supérieurs, évolution relative de l'emploi favorable, fortes densités de médecine spécialisée. Cette classe est constituée de métropoles régionales et des villes de la première couronne de l'ile-de-france. Ce type est marqué par de fortes proportions de cadres supérieurs et des niveaux élevés de scolarisation et de revenus. Les niveaux d'équipement en personnels comme en lits sont très forts, les honoraires par généralistes assez faibles. L'indice comparatif de mortalité est légèrement inférieur à la moyenne. La classe "Villes moyennes" Les zones d'emploi relevant de cette classe sont Châlon, Mâcon et Sens. Caractéristiques : Jeune, industriel, formation CAP, faible densité de spécialistes. CHÂLON MÂCON SENS Plutôt industrielles et jeunes, ces zones sont attractives : 34% des habitants sont arrivés entre 1982 et Cette classe a des densités de généralistes inférieures à la moyenne, et des consommations de soins (visites et pharmacie notamment) relativement faibles. La classe "Nord" Seule relève de cette classe la zone du Creusot. LE CREUSOT Caractéristiques : Chômage élevé, population ouvrière, logements vétustes, honoraires par généralistes élevés, forte mortalité. Cette classe est caractérisée par de forts indicateurs de mortalité, mais se distingue également par d'autres indicateurs défavorables. D'abord économiques, car le secteur industriel est en déclin, le taux de chômage, et particulièrement celui des jeunes, est très élevé et les formes de salariat précaires sont développées. Médicaux ensuite, les densités de généralistes, de spécialistes et le pourcentage de médecins en secteur 2 sont faibles. La consommation de soins de généralistes est forte. Le haut niveau des honoraires par généraliste peut s'interpréter comme le résultat d'une forte demande et/ou d'une faiblesse de l'offre. URCAM de Bourgogne - P.D -5- Notes et documents n 1-04/98
7 La classe "Sud-ouest" Cette classe regroupe les zones d'emploi d'auxerre, Avallon, Nevers, Montceau. Caractéristiques : Population âgée, agricole, fortes densités de généralistes, bon état de santé. AUXERRE AVALLON NEVERS MONTCEAU Cette classe est surtout marquée par de fortes proportions de personnes âgées et un taux brut de mortalité élevé. Lorsque l'on compare le niveau de mortalité de cette classe à âge égal, on constate que le niveau de mortalité est inférieur à la moyenne. Les densités de généralistes sont assez élevées, de même que la consommation de soins de généraliste. La classe "Pôles ruraux" Relève de cette classe la majorité des zones d'emploi bourguignonnes à savoir : Châtillon, Montbard, Beaune, Autun, Digoin, Joigny. Caractéristiques : Industriel et agricole, éloignés des soins spécialisés CHÂTILLON MONTBARD BEAUNE AUTUN DIGOIN JOIGNY Caractérisé par une forte part du secteur agricole, le secteur industriel y est aussi bien représenté (29,9% des emplois sont dans l'industrie contre 24,7% en moyenne). Pour la santé, les indicateurs d'accès sont défavorables : la distance à l'omnipraticien et aux spécialistes libéraux sont élevées alors que les densités de généralistes et de spécialistes sont faibles, les honoraires par généraliste sont élevés. La classe "Rural isolé" Les zones d'emploi relevant de cette classe sont : Cosne, Decize, Louhans. COSNE DECIZE LOUHANS Caractéristiques : Beaucoup de personnes âgées, agricoles, éloignées des soins de premier recours. Dans cette classe, la distance à l'omnipraticien est deux fois plus grande que la moyenne. De même, la distance aux services de chirurgie est deux fois plus élevée que la moyenne, les densités de services hospitaliers sont en effet très faibles. Du point de vue démographique, cette classe comporte une proportion importante de personnes âgées. L'indice comparatif de mortalité pour les hommes est légèrement inférieur à la moyenne. URCAM de Bourgogne - P.D -6- Notes et documents n 1-04/98
8 UNE TENTATIVE DE REPARTITION PAR ZONES FAVORISÉES ET DEFAVORISEES LE CREUSOT, "zone défavorisée" Trois classes peuvent être qualifiées de "défavorisées" pour les indicateurs de santé en raison du niveau élevé de mortalité (Est industriel, Nord et Bretagne). Ces classes, qui comptent 18% de la population, se caractérisent également par une offre de soins inférieure à la moyenne. Le type Nord (LE CREUSOT), industriel, regroupe également la Lorraine et les vieux foyers industriels. Ce type a un taux de chômage en progression plus important que la moyenne. Les indicateurs de précarité sont fréquents. Tous ces éléments, joints au fait que la population a diminué entre 1982 et 1990, montrent que cette classe est représentative de la crise de l'industrie. AUXERRE, AVALLON, NEVERS, MONTCEAU, zones "favorisées" Deux classes représentent des "classes favorisées" : Provence et Sud-Ouest (AUXERRE, AVALLON, NEVERS, MONTCEAU). Ces classes peuvent être considérées comme favorisées en raison de forte densités de généralistes ou de spécialistes et de faibles indicateurs de mortalité. Le type "Provence" est aussi caractérisé par une évolution favorable de l'emploi de 1982 à 1990 et une forte croissance démographique. Les classes regroupant les zones de DIJON, CHALON et MACON n'ont pas été intégrées dans ce groupe par les auteurs alors que par de nombreux aspects elles auraient pu l'être. On peut en effet considérer que les indicateurs de mortalité et d'accès aux soins sont plutôt favorables. Néanmoins, la composition des classes dont relèvent ces zones n'est pas homogène au regard des critères qui assurerait leur classement dans les zones favorisées. La plupart des zones d'emploi ne sont ni favorisées ni défavorisées. Elles ne relèvent pas de ces classes dans la mesure où leur composition n'est pas homogène au regard des critères qui définissent le classement dans chacune de ces classes. De plus, le classement est d'autant plus parlant pour les zones d'emploi les plus caractéristiques de leur classe d'appartenance. Classes "Favorisées" Classes "Défavorisées" Autres URCAM de Bourgogne - P.D -7- Notes et documents n 1-04/98
9 CONCLUSION Certaines classes sont favorisées au regard des indicateurs de santé. Il faut souligner la diversité des situations des types favorisés au regard des indicateurs d'offre. Les types banlieues et pôles secondaires (CHALON, MACON, SENS) ont en ce domaine des valeurs faibles mais des valeurs moyennes pour l'espérance de vie. Les types Provence et Sud-Ouest (AUXERRE, AVALLON, NEVERS, MONTCEAU) ont en revanche des indicateurs d'offre supérieurs à la moyenne et de très bonnes valeurs de l'espérance de vie: les inégalités d'offre et d'état de santé ne se recouvrent pas. On peut seulement noter que si les classes défavorisées cumulent les inégalités, la classe Provence cumule les avantages aussi bien en terme de santé qu'en terme de croissance de l'emploi et de la population. Ces données démontrent qu'il n'y a pas de causalité simple entre indicateurs de santé, offre et consommation de soins, environnement social. Il serait d'ailleurs illusoire de vouloir interpréter ces données comme une évaluation du système de santé, ou une forme de résultat. Tout au plus, les auteurs notent que dans l'espace, il y a toujours pour certaines zones une conjonction de facteurs, qui sont associés à une surmortalité. Par exemple, il y a une corrélation inverse entre offre et besoins pour les spécialistes libéraux comme pour les lits d'hospitalisation en prenant comme indicateurs de besoins le pourcentage de personnes âgées. Pour les spécialistes il y a encore une relation inverse entre offre et besoins, en mesurant les besoins cette fois ci par l'indice comparatif de mortalité donc de surmorbidité à âge égal. Même si une corrélation ne signifie pas nécessairement causalité, ces données conduisent à s'interroger sur l'adéquation de l'offre aux besoins. URCAM de Bourgogne - P.D -8- Notes et documents n 1-04/98
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