La SECURITE en APS SAMEDI 14 MARS 2015 UC 3

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1 La SECURITE en APS SAMEDI 14 MARS 2015 UC 3 8h30 Tests fin UC 2 9h00 La sécurité en APS : démarche de gestion des risques et facteurs de risque Ateliers de recherche (création d outils péda) 10h00 pause 10h15 Traumatologie sportive : quelques chiffres Lésions musculaires Blessures articulaires et osseuses Le mal de dos et les pathologies liées à la chaleur Ateliers de recherche (interventions psc1) 13h00 Échauffements sportifs et récupération Recherches et mises en situation

2 I- Définition : «situation, état tranquille qui résulte de l absence réelle de danger» Pour obtenir une situation sécuritaire, il faut pouvoir observer les principes d une démarche de gestion de risques. a) Connaitre ses prérogatives et ses obligations b) Reconnaitre les risques c) Déterminer les mesures préventives d) Implanter les mesures préventives e) Evaluer et ajuster les mesures

3 II- CARACTERISTIQUES : 2 types de sécurité -passive (la sécurité vient de l extérieur ex pompier, policier) -active (la sécurité est transférable en vue de développer la vigilance des pratiquants) Les rapports entre les notions de sécurité et les actions impliquera le développement de plusieurs facteurs à travers : -des savoirs (techniques, matériels ) -des savoirs faires (être capable de décider, d organiser) -des savoirs être (respect d autrui) La gestion du risque requière une observation des comportements ; il a été constaté que la majorité ses accidents survenaient en fin de séance baisse d attention des pratiquants,, fatigue et baisse de vigilance de l animateur. Les APS contribuent à l apprentissage de la sécurité et de la confiance en soi parce qu elle développe l efficacité, l habileté, la disponibilité motrice dans les situations où le risque subjectif peut être grand (émotion) et le risque objectif limité.

4 Humains Environne mentaux Facteurs de risques Matériels Il existe 3 facteurs de risque : Facteurs humains : lien avec l âge des pratiquants, l état physique, les attitudes et comportements. Une visite médicale d aptitude permet de dépister d éventuelles contreindications ; elle permet également d optimiser l entrainement par une évaluation des capacités.

5 Facteurs matériels : installations et équipements sportifs, matériel utilisé, équipement du pratiquent (chaussures et vêtements adaptés) Facteurs environnementaux : environnement social et règlementaire (conformité aux lois et règlements) ainsi que l environnement physique tel que l éclairage, la climatisation Il existe 2 types de prévention : 1) Prévention primaire : Encadrement (animateurs compétent, présents qui assurent que tout soit réalisé correctement) Information (consignes) Installation et matériel en bonne état 2) Prévention secondaire : Lors d un accident assurer une intervention rapide et efficace Les mesures de sécurité varient d une activité à l autre -Aménagement de l environnement et repérage des comportements à risque (sports co) conditions météo pour les sports en plein air

6 III- INTERVENTIONS Pour réduire les risques, l animateur doit :

7 Reconnaitre les facteurs de risque Eliminer ou controler les facteurs de risque Ne pas créer de nouveaux dangers En termes de pédagogie l animateur doit prévoir :

8 1- Un échauffement adapté qui permet de mettre en action les métabolismes énergétiques et de préparer l organisme aux sollicitations mécaniques et physiologiques afin d éviter des accidents musculaires ou ligamentaires. 2- Une récupération qui permet la reconstitution des réserves énergétiques et hydriques et l élimination des toxiques comme l acide lactique 3- Etre vigilant aux signaux d alarme tels que fatigue, suées, palpitations, douleurs, essoufflements 4- Sensibiliser les pratiquants à la sécurité (affiches, règlements, chartes.) L animateur se doit de connaitre les prérogatives liées à son activité et de respecter les conditions et limites d exercices. Pour rappel l animateur ne peut se substituer à un professionnel de la santé, faire du conseil en nutrition, vanter les mérites d un complément alimentaire ni faire la promotion de matériel sportif. TRAUMATHOLOGIE SPORTIVE

9 Les risques du sportif : Selon le baromètre santé on compte en France 26 millions de sportifs ; 44 % de la population déclare avoir pratiqué un sport au cours des 7 derniers jours ; Les traumatismes en quelques chiffres :

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12 Parmi les accidents sportifs, la tranche 10/24 ans est particulièrement touchée ; plus de la moitié des accidents sont causés par un ballon. Les sports provoquant le plus grand nombre d accidents sont : Le football (30%) Ensemble hand-volley-basket-rugby (24%) Gymnastique sportive (6%) Cyclisme (6%) Athlétisme (4%) Sports de contact (4%)

13 On définit le terme de «blessure» comme étant à l origine d un arrêt, d au moins 3 jours de l activité sportive. Elle peut toucher l articulation, les muscles, les tendons, les ligaments ou encore les os. I- LES LESIONS MUSCULAIRES D un point de vue clinique, on peut classer les lésions musculaires en 7 catégories de la plus bénigne à la plus grave A. problèmes fonctionnels : a) La crampe musculaire C est une contraction involontaire et passagère d un ou plusieurs muscles. Les crampes qui surviennent dans la pratique d un sport ont une origine complexe ; elles seraient le résultat d un engorgement momentané par des déchets métabolique (acide lactique) et souvent un signe d épuisement. La prévention consiste en un bon échauffement et une bonne hydratation. b)la contracture Entre la crampe et la courbature, elle est souvent due à un défaut de geste technique ou un entrainement trop intense. Traitement : chaleur, repos, massage. c)la courbature

14 Elle correspond à un engorgement douloureux à la suite d un effort prolongé et intense d un muscle qui n a pas ou plus l habitude d être sollicité. Elle survient 12 à 24h après l effort. Pour éviter les courbatures : boire et doser les efforts. B. Pathologie provoquée par un choc : Contusion ou «béquille» Ecrasement du muscle contre un os sous-jacent. Un hématome intramusculaire ou un gonflement sous cutané peut se produire. Selon l importance, se soigne entre 24h et 6 semaines. C. Déchirure de la structure musculaire : a)elongation Elle consiste en de micro-déchirures musculaires dues à un dépassement de l élasticité des fibres. C est un allongement exagéré des fibres à la suite d un échauffement insuffisant ou d une amplitude de geste trop marquée. Il y a une légère impotence et elle se traite par le froid, le repos et éventuellement l aide d un kiné. Durée : 8 jours b)le claquage ou déchirure Représente 50% des accidents musculaires

15 Déchirure de quelques fibres par manque d échauffement ou fatigue. Très douloureux (sensation de coup de poignard) l impotence est immédiat. Il se traite par le froid et par des soins médicaux (électrothérapie) Durée : 3 semaines. c)la rupture Rupture de faisceaux voire d une partie du muscle. Claquage aggravé il peut être du ressort de la chirurgie. Durée : 1 mois minimum.

16 II-LES BLESSURES LIGAMENTAIRES a)l entorse Elle est due à un étirement violent des ligaments, souvent au niveau de la cheville ou du genou

17 Bénigne correspond à la distension du système protecteur de l articulation composée de la capsule synoviale et des ligaments. Elle se manifeste par une irritation entrainant une douleur et un petit épanchement. Durée 10 jours Grave elle s accompagne d une «fracture» des ligaments. La douleur est intense et nécessite l arrêt immédiat des activités sportives. La capsule articulaire est également rompue. Durée 3 mois et éventuellement intervention chirurgicale. b)la tendinite Inflammation d un tendon provoquée lors de la répétition de mêmes mouvements. Le traitement passe par un arrêt prolongé de l activité sportive. Si la douleur n est pas due à une tendinite, il peut s agir d un dysfonctionnement de l articulation, provoqué par exemple par un ancien choc. Une consultation médicale permet alors de déceler une usure anormale du cartilage ou une lésion du ménisque par exemple. III-LES BLESSURES ARTICULAIRES

18 La luxation Les luxations ne représentent que 2% des lésions recensées en consultation de traumatologie. Résultant d un déboitement entre 2 articulations, elles siègent principalement aux genoux ou à l épaule. Le traitement repose sur la réduction et l immobilisation puis sur la rééducation. Durée 6 semaines.

19 IV-LES BLESSURES OSSEUSES La fracture Elle est la plupart du temps une rupture violente d un os ou d un cartilage, mais on relève également des fractures dites de»fatigue», qui sont la conséquence de microtraumatismes répétés.

20 LE MAL DE DOS Rappel : le rachis se compose de 27 vertèbres (7 cervicales, 12 dorsales, 5 lombaires) séparées par des joints articulés : les disques intervertébraux. Le rachis repose en bas sur un socle : le sacrum qui est lui-même articulé avec le bassin et se termine par le coccyx. En haut, la tête repose sur la première vertèbre cervicale : l atlas. Le rachis a deux fonctions essentielles : - Un rôle de soutien et de mobilisation ; c est lui qui soutient le tronc et la tête, leur permettant ainsi de se mouvoir dans toutes les directions - Un rôle de protection de la moelle épinière ; c est elle qui transporte les nerfs du cerveau aux différents organes. Toute atteinte du rachis peut avoir des conséquences redoutables pour le système nerveux entrainant des paralysies qui peuvent toucher l ensemble du corps

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22 Les causes du mal de dos sont nombreuses et variées. Il existe schématiquement 3 façons de se faire mal au dos : A- Rester longtemps dans une position anormale (penché, mal assis ) ce qui entraine des douleurs dues aux surcharges des articulations, des ligaments et des disques associées à des contractures. B- Faire un mouvement entrainant une vertèbre à se déplacer plus que les autres provoquant l atteinte brutale d un ligament ou d un disque. (Entorse) C- Porter de lourdes charges d une façon répétée en ayant une mauvaise position. Il existe alors une forte pression au centre du disque qui peut entrainer la fuite en arrière d un fragment de disque et provoquer une hernie discale.

23 La douleur est un signal d alarme de l organisme. Les anomalies de courbure que l on observe sont l hyperlordose et l hyper cyphose. Les cervicalgies

24 Aigues : torticolis Subaiguës : Pincements intervertébraux dus à la détérioration du disque, arthrose ou rhumatisme inflammatoire (arthrite) Les lombalgies Blocage du rachis lombaire, la contracture est intense. («Tour de rein») Chroniques elles seraient dues à une détérioration structurale du disque. La hernie discale Pression exercée par le noyau sur le disque entrainant une souffrance de la racine nerveuse. Si la compression se fait au niveau du dernier espace intervertébral (L4/L5 ou L5/sacrum) c est la sciatique : douleurs au niveau des membres inférieurs sur le trajet du nerf. Aux troubles sensitifs s ajoutent des troubles moteurs. Il en est de même pour la cruralgie : douleur du nerf crural l origine est située entre la 3è et la 4è vertèbre lombaire. PATHOLOGIES LIEES A LA CHALEUR Dermite : éruption très irritante due à un excès de sudation et des vêtements inappropriés. Œdèmes des extrémités : Vasodilatation en raison de la chaleur, augmentation du débit sanguin survenant principalement sur des patients souffrant d hypertension, de diabète et plus fréquemment chez les personnes âgées.

25 Prévention : la marche favorise le retour veineux. Hydratation et repos à l ombre jambes surélevées en cas de malaise. Epuisement : courant mais dangereux aussi bien chez les personnes âgées que chez les jeunes sportifs. Il est provoqué par une perte excessive d eau et de sels dans l organisme. Symptômes : faiblesse, céphalées, vertiges, nausées, vomissements, tachycardie hypotension. Placer la personne au frais allongée, appliquer sur le corps de l eau froide, faire boire Le coup de chaleur : urgence médicale. Il est défini par un accroissement de la température corporelle centrale au-delà de 40 associé à une altération de la conscience (convulsions, délire ou coma). Malaise vagal : Le malaise vagal se produit lors d une stimulation excessive du système nerveux parasympathique, appelé nerf vagal ; ce malaise peut avoir plusieurs causes : stress, chaleur, confinement, station debout prolongée Signes nausées, sueurs, pâleur, vision troublée, fatigue extrême Comment réagir allonger la personne jambes surélevées, hydrater et rassurer. Si perte de connaissance placer en PLS et alerter secours si l inconscience perdure L ECHAUFFEMENT SPORTIF

26 Définition : «Toutes les mesures permettant d obtenir un état optimal de préparation psycho-physique et motrice avant un entrainement, qui jouent en même temps un rôle important dans la prévention des lésions.» L échauffement est une phase de transition entre le repos et l effort, il met progressivement en condition l organisme (articulations, muscles et système cardio-respiratoire) et le psychisme.

27 Objectifs de l échauffement Préparer l'organisme à l'effort Améliorer les performances Pourquoi s'echauffer? Augmenter la coordination Améliorer la concentration Prévenir des blessures

28 A. Préparer l organisme à l effort : 1- Au repos, nos muscles et nos tendons sont à une température de Il a été observé que leur rendement maximal se situe à 39 (gain de 80% de souplesse musculaire) 3 -La force musculaire augmente également avec la température (2% par degré). 4- Notre système nerveux est influencé par la température centrale, son fonctionnement est optimum à 39, a cette température la vitesse de contraction des muscles, donc la coordination est meilleur qu au repos. 5- L échauffement, par une augmentation progressive du rythme cardiaque, pour apporter aux muscles sollicité le carburant nécessaire, favorise l ouverture des capillaires (vasodilatation) ces vaisseaux sanguins qui alimentent les cellules musculaires B. Prévenir des blessures : Les articulations préparées seront moins sujettes aux entorses, foulures ou luxations. La phase d échauffement permet aux cartilages de s adapter à l effort. La charge qu ils subissent les fait gonfler de plus de 10% grâce au phénomène d absorption du liquide synovial entourant l articulation ; Le cartilage gagne en élasticité et devient plus résistant aux chocs et aux cisaillements. Il joue mieux son rôle d amortisseur. L échauffement améliore l attention et la concentration.

29 Les effets de l échauffement 1) Effets thermiques et calorifiques - Echauffement corporel : élévation de la température globale - Echauffement musculaire : élévation de la température des muscles Lors d une activité physique, nos réserves énergétiques (ATP, glycogènes, etc. ) sont transformées, par une réaction chimique, en énergie mécanique. 80 à 85% de l énergie fournie est perdue en chaleur, seulement 20 à 25% de l énergie dépensé dans un effort sert au travail musculaire

30 2) Effets cardio-vasculaires : augmentation du rythme cardiaque L activité physique que constitue l échauffement augmente les besoins des muscles en substrats énergétiques, ce carburant nécessaire à leur fonctionnement. Pour répondre à ces besoins, le rythme cardiaque augmente et avec lui, le débit sanguin. L augmentation progressive de l afflux sanguin ouvre les capillaires alimentant les muscles sollicités.

31 3) Effets respiratoires : une respiration accélérée Le métabolisme, ou transformation des substrats en énergie utilisable par les muscles, augmente avec l intensité de l effort. Ce processus a besoin d oxygène pour fonctionner. De même, l élimination du gaz

32 carbonique(co2) produit par ces transformations exige une évacuation plus rapide. L échauffement va progressivement entrainer l augmentation du rythme respiratoire pour l adapter à cette demande.

33 4) Autres effets physiologiques L augmentation de la température induite par l échauffement favorise : Elasticité des tendons (moins d inflammation du type tendinite) Augmentation de la souplesse Augmentation des capacités du muscle à produire une force maximale Plus grande amplitude articulaire, meilleur lubrification des articulations (moins d entorses ou luxations) Meilleurs coordination motrice ; augmentation de la vitesse de conduction nerveuse donc meilleurs reflexes, précision du mouvement et moins de blessures La dégradation des substrats énergétiques : plus la température augmente plus le muscl est capable de transformer l énergie chimique en énergie mécanique et on peut ainsi fournir un effort plus intense et plus longtemps. Les types d échauffement Il existe plusieurs méthodes pour s échauffer, celles-ci sont souvent complémentaires.

34 Echauffement actif : exercices physiques agissant sur l activité cardiaque, les muscles et les articulations ; il est progressif et adapté. Echauffement passif : la température corporelle est élevée par des moyens externes (douche, massages ultrasons ; il doit être complété par un échauffement actif pour être efficace ; il peut être efficace pour maintenir la température pendant une phase intermédiaire (mi-temps ) Echauffement mental : le sportif se met en situation par des techniques de visualisation La Récupération

35 L entrainement physique consiste à exposer l organisme à des charges de travail supérieures aux sollicitations habituelles afin d induire des améliorations notables des fonctions liées à ces charges. Mieux récupérer implique avant tout de faire attention à ses sensations et à sa pratique : Surveiller l évolution éventuelle de douleurs, Soigner immédiatement les petits «bobos» (ampoule ou irritations) Respecter sa fatigue Digérer l effort en rétablissant l équilibre (l homéostasie) ; en favorisant le retour veineux, la récupération réorganise les flux sanguins du muscle vers les organes, facilite l élimination des déchets (moins de courbatures) et prépare à la restauration des réserves énergétiques.

36 Spécificités féminines : La femme épargne davantage que l homme son stock de glycogènes et certains acides aminés lors d exercices de longue durée En raison de ses stocks de lipides + importants et de son activité hormonale, la femme sollicite davantage la lipolyse (utilisation des graisses) à l exercice L homme consomme davantage de lipides en période post-exercice. La glycémie (taux de sucre dans le sang) post exercice reste plus stable chez la femme et lui permet de réguler + facilement sa glycémie. La capacité de restockage du glycogène est aussi performante chez l homme que la femme.

37 Stratégies Nutritionnelles et Hydriques de Récupération «Un peu de tout, mais de tout assez» A- Apports glucidiques, si l heure du repas est éloignée B- Apport lipidiques dans le cadre de l alimentation générale; si la consommation en graisse est inférieure à 15% des apports caloriques journaliers, il existe un déficit en acides gras essentiels et en vitamines E ; il donc recommandé de consommer régulièrement des huiles végétales, des noix et des poissons gras (thon, saumon, maquereaux ) C- Apports protéiniques, dans une alimentation classique, permet d accélérer la resynthèse du glycogène musculaire. D- Si les pertes hydriques à l exercice sont proportionnellement plus faibles chez la femme, celle-ci doit compenser en buvant régulièrement.

38 Le retour veineux : Le retour veineux est un élément essentiel de la récupération et, plus largement, de la santé en général. Son bon fonctionnement favorise la performance chez l athlète et fait figure d atout contre les troubles cardio-vasculaires. Les veines ont à charge de remonter le sang des muscles vers le cœur et les poumons. Après un effort musculaire, le sang, chargé en toxines stagne dans les mollets (groupe le + éloigné du cœur) et rencontre beaucoup de difficultés à remonter et donc à éliminer les déchets. Il est donc important de laisser les muscles au repos relatif avant de leur demander un nouveau travail

39 La récupération en pratique : Quelques conseils pour tirer tous les bénéfices d une séance : Bien s échauffer. Respecter la fatigue et surtout s il y a une différence de niveaux dans le cours, adaptez le nombre d exercices, l intensité et les temps de repos ; il faut ajuster la séance à la capacité des pratiquants, leur forme, leur fatigue et douleurs, Ne pas vouloir tout faire absolument Insister sur les gainages. Faire les exercices en repoussant les limites mais aussi en gardant des positions correctes

40 Bien respirer est essentiel Commencer la séance par des exercices d apprentissage de position (auto-agrandissements ) Bien doser les étirements, lents, progressifs, adaptés aux pratiquants et à la séance Les étirements font partie de la récupération mais ne sont pas la récupération SAMEDI 14 MARS 2015 UC 3 8h30 Tests fin UC 2 9h00 La sécurité en APS : démarche de gestion des risques et facteurs de risque Ateliers de recherche (création d outils péda)

41 10h00 pause 10h15 Traumatologie sportive : quelques chiffres Lésions musculaires Blessures articulaires et osseuses Le mal de dos et les pathologies liées à la chaleur Ateliers de recherche (interventions psc1) 13h00 Échauffements sportifs et récupération Recherches et mises en situation

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