Les causes d échec du changement organisationnel

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les causes d échec du changement organisationnel"

Transcription

1 MBOCKA Geneviève Haute école de gestion de Genève Drize, 7 Campus Battelle Bât. F 1227 Carouge Les causes d échec du changement organisationnel A quels éléments faut-il être attentif lors de la mise en place d un Table des matières Résumé... 2 Introduction... 2 Le changement organisationnel... 3 Conclusion... 7 Bibliographie... 7 Publication réalisée dans le cadre de la majeure en organisation Programme Chapitre : Résumé HEG Dossier : Genevieve_MBOCKA.doc 1

2 Les causes d échec du changement organisationnel Résumé Cet article porte sur la problématique des causes d échec du changement organisationnel. En effet, Le changement organisationnel s inscrit dans un processus, qui pour être mené à bien ne peut être improvisé. Dans la pratique, certains aspects fondamentaux de ce processus sont souvent négligés de sorte que près de 70% des projets de changements ne voient jamais le jour ou aboutissent à des échecs. Qu est-ce que le Pourquoi changer? Quelles sont les causes d échec du changement? Telles sont les trois questions qu aborde cet article. En s appuyant sur certaines théories organisationnelles telles que celles de Lewin ou de Kotter, on peut constater que les causes d échec du changement organisationnel proviennent principalement de la manière dont le processus de changement est conduit. Mots-clés : Changement Organisation Processus Causes Echec Introduction Les changements dans l entreprise sont une nécessité vitale pour garantir sa pérennité, car ils correspondent à des adaptations aux sollicitations permanentes de l environnement. Le processus de changement implique trois catégories d acteurs: ceux qui les décrètent, ceux qui aident à leur mise en place et enfin ceux qui les vivent (subissent). Chaque acteur s interroge sur ce qu il va devenir à l occasion du changement, ce qui génère des zones d incertitudes plus ou moins favorables à sa réussite. D où la nécessité pour toute entreprise de se poser cette question avant de se lancer dans l aventure du changement : «Qu est-ce que nous avons à perdre et qu est-ce que nous avons à gagner dans ce changement? 1» 1 article de Gérard MONPIN, conduire le changement, consulté le Chapitre : Résumé 2

3 Le changement organisationnel Le changement organisationnel peut être défini comme «toute modification durable dans un sous-système de l organisation, pourvu que cette modification soit observable par ses membres ou les gens qui sont en relation avec ce système.» 2 De manière générale, le changement constitue - dans l univers des organisations - un thème central et difficile à analyser. Toute organisation repose sur un système d actions, de règles et de relations ce qui lui confère un certain équilibre. Le changement devient une préoccupation inhérente à tout système dans la mesure où il vient chambouler cet équilibre. Afin d éviter toute inquiétude, crainte, voire résistance au changement, il est primordial d en connaître les mécanismes. 1. Le processus du changement organisationnel Il existe plusieurs théories qui traitent de la problématique du changement organisationnel. Celle qui a été retenue pour la rédaction de cet article met l accent sur les mécanismes de changement et les facteurs qui les produisent. L un des fondateurs de ce courant était Lewin dont le modèle s intéressait surtout au changement dans les attitudes. Selon lui, «le processus évolutif du changement suivrait un cheminement caractérisé par trois phases plus ou moins longues, difficiles et intenses selon les personnes ou les groupes concernés.» 3. Ces trois phases sont : la décristallisation, la transition et la recristallisation, qu on peut illustrer comme ci-dessous: Cette illustration montre qu on passe d une situation initiale stable, à une situation d ajustement pour ensuite revenir à un équilibre final, post-changement. Ainsi Lewin montre que le processus de changement vécu par des personnes est d abord marqué par l abandon des comportements ou attitudes habituelles. La phase d après est marquée par des comportements ou attitudes plus ou moins 2 Pierre COLLERETTE, Gilles DELISLE, Richard PERRON, Le changement organisationnel: Théorie et pratique, p.20, Presses de l'université du Québec, Pierre COLLERETTE, Gilles DELISLE, Richard PERRON, Le changement organisationnel: Théorie et pratique, p.22, Presses de l'université du Québec,

4 instables, contradictoires, pour aboutir à l acquisition de nouveaux comportements ou de nouvelles attitudes adaptées aux exigences de la situation. Pour faire un parallèle avec ce qui se passe en entreprise, on peut dire que la décristallisation correspond à la phase où la direction décide d opérer des changements au sein de l organisation. Il peut s agir de changement structurels (réorganisation, suppressions d unités, introduction de processus, etc.) ou techniques (utilisation de nouveaux logiciels, acquisition de nouvelles machines, etc.). Toutefois, il est important de relever que même si le processus de décristallisation est entamé, le changement n est pas acquis pour autant. Il lui reste encore à trouver sa direction et à se consolider. En effet le changement ne suppose pas uniquement l abandon de comportements ou d attitudes, mais surtout l acquisition de nouveaux comportements et de nouvelles attitudes. Or, ceux-ci s acquiert de façon progressive d où la phase de transition. Ici, on s initie au nouveau mode de fonctionnement et on expérimente «les nouvelles façons» de faire les choses. Finalement, le changement ne peut durer que dans la mesure où la troisième phase est réussie, c'est-à-dire que le changement est intégré dans les nouvelles façons de faire et ce de manière spontanée. «Les nouvelles pratiques «s harmonisent» avec les autres dimensions du quotidien et font désormais partie des habitudes : c est la recristallisation.» 4 2. Pourquoi changer? Dans cette section, il s agit de voir sur quoi porte le changement. Très souvent lié à l environnement interne et externe de l entreprise, le changement organisationnel peut porter sur deux aspects : matériel ou immatériel. L aspect matériel touche plutôt l opérationnel. On peut citer comme exemples le renouvellement du parc informatique d une entreprise, l achat de machines plus performantes pour améliorer la productivité, etc. En ce qui concerne l aspect immatériel, on se situe à un niveau plutôt stratégique. Il s agira par exemple de repenser ou d améliorer le fonctionnement d une structure (externalisation de certains services), de changer la stratégie de l entreprise (changer le statut d une entreprise) etc. Quelles que soient les raisons du changement, sa conduite requiert beaucoup d attention et doit tenir compte de beaucoup de paramètres dont le principal est le facteur humain. Tel que nous l avons vu dans la section 2, un changement ne peut être qualifié de réussi que lorsque tous les acteurs impliqués l ont accepté et intégré. A présent regardons de près les éléments qui peuvent entraver le bon déroulement d un processus de changement. 4 Pierre COLLERETTE, Gilles DELISLE, Richard PERRON, Le changement organisationnel: Théorie et pratique, p.23, Presses de l'université du Québec,

5 3. Les causes d échec du changement organisationnel Selon une étude publiée par Harvard, 70 % des projets de changements ne voient jamais le jour ou aboutissent à des échecs. En effet, une organisation est tout sauf un univers scientifique, ordonnancé, réglé et cohérent. Les valeurs, les doutes et l expérience de chacun constituent autant de logiques contradictoires à prendre en compte 5. Nombreux sont les auteurs qui se sont penchés sur la question du changement organisationnel et sur sa conduite. On peut synthétiser leurs différents apports en présentant un modèle comportant 7 causes d échec du changement : Absence de vision ou vision floue La vision est la première chose à clarifier avant de se lancer dans un processus de changement. Si la vision est mal définie les différents acteurs ne savent pas dans quelle direction aller, ni sur quelle dimension porte réellement le changement. Ce qui aura comme conséquence de semer la confusion, voire même d arriver à une situation pire que la situation initiale. Le degré de changement. En effet, il s agit d un aspect dont il faut impérativement tenir compte à la phase de décristallisation c est à dire lorsque le changement est initié. Dans la pratique de nombreux échecs, sont dûs à des changements radicaux. En revanche lorsque le changement est progressif, il permet d une part de voir comment réagissent les acteurs et de s adapter au fur et à mesure. D autre part, il permet de mieux gérer les résistances, surtout si elles n interviennent que pour certains aspects du changement. Imposer le changement Selon la cause (matérielle ou immatérielle) et le degré de changement (évolutif ou radical), il arrive que les entreprises se heurtent à quelques résistances. Lorsque ces dernières sont ignorées ou mal gérées le changement peut aboutir à un échec. Il faut donc au préalable connaître les enjeux qui se rattachent aux différentes personnes impliquées dans le processus de changement et en tenir compte. Par exemple, le management peut décider d acheter de nouvelles machines pour améliorer la productivité (enjeu économique) alors que les collaborateurs jugent cet investissement inadapté et craignent de voir certains postes disparaître (enjeu social). En effet, impliquer les acteurs ne garantit pas le succès d un changement, mais cela permet avant tout de créer un climat de confiance entre le management et les collaborateurs. Ainsi, ces derniers seront plus réceptifs et donc plus enclin à changer. 5 cours «maîtriser et accompagner les changements» consulté le

6 Le manque de transparence Une mauvaise communication ou une communication mal adaptée peut engendrer de graves conséquences. Par exemple, avertir les personnes impliquées au dernier moment ou alors ignorer leurs questions et inquiétudes. Dès lors, il s avère vital de communiquer un maximum sur la situation future, dissiper les malentendus et donc être prêt à rassurer les acteurs impliqués en cas de craintes. L absence de structure et de méthodes Ne pas fixer des priorités, ne pas définir des étapes et des échéances, changer sans avoir identifié les personnes sur qui s appuyer, ne pas rassembler l ensemble des ressources nécessaires, ne pas former les managers directs et les futurs utilisateurs, déléguer aux mauvaises personnes, mauvaise répartition du pouvoir etc. Tels sont les éléments à prendre en compte dans cette section car une fois de plus, si les personnes concernées ne sont pas cadrées, le changement ne peut que se solder par un désastre. Il faut donc éviter d embrasser plusieurs choses à la fois et bien plutôt procéder étape par étape. Par exemple, mettre en place des petits projets de changement, permet en cas de succès de motiver les équipes, d apporter de la crédibilité et donc d avancer dans le processus. Passer de la théorie à la pratique Une fois mis sur pied, le changement doit être entretenu. Hélas, il arrive souvent que les acteurs continuent d agir selon leurs «bonnes vieilles» habitudes. Afin d y remédier, il est important de mesurer l impact du changement et de corriger les aspects qui nécessitent de l être. Par ailleurs, il faut promouvoir le changement et faire en sorte qu il devienne un automatisme pour tous. «Changer pour changer» Dans ce cas, l échec est principalement dû au fait que les pratiques précédentes étaient plus efficientes que celles amenées par le changement. Il est donc important de bien évaluer si le changement est nécessaire, d impliquer les collaborateurs et de capitaliser le savoir. 6

7 Conclusion Le changement est un processus complexe, dont l objectif est d aboutir à de nouvelles façons de procéder. Il peut être progressif, ce qui permet de mieux cerner l évolution et d avoir un meilleur contrôle. Par ailleurs, il peut être radical et donc plus difficile à gérer. En pratique, c est dans ce dernier cas de figure qu on rencontre de fortes résistances et que le changement a le plus de chances de finir en échec. L échec d un changement organisationnel peut survenir à chaque étape du processus décrit à la section 1 : A la décristallisation, il peut s agir d une erreur de diagnostic. Autrement dit, une organisation décide de changer sa structure alors que la structure en place est optimale, mais sa stratégie mal définie. Pendant la transition, si la communication n est pas efficace, cela peut entretenir des rumeurs, provoquer des rebellions etc. Et enfin, à la recristallisation si les effets du changement sont peu ou pas mesurables. Afin d éviter cette issue, il est prépondérant de tenir compte des collaborateurs concernés par le processus de changement. Les impliquer contribue à une meilleure acceptation du changement, car à terme ce sont eux qui en feront l expérience. Définir une vision claire, repérer les «champions du changement», être ouvert au dialogue, informer les équipes et leur apporter un soutien, mesurer l impact du changement, tels sont les éléments dont il faut tenir compte lors de la mise en place d un changement organisationnel. Bibliographie Article de Gérard MONPIN, conduire le changement, consulté le Article de Jean-Jacques LAMBOLEY, conduite du changement: 7 erreurs à éviter, paru le et consulté le cours «maîtriser et accompagner les changements» consulté le les six approches du changement de KOTTER, consulté le Pierre COLLERETTE, Gilles DELISLE, Richard PERRON, Le changement organisationnel: Théorie et pratique, pp.20-23, Presses de l'université du Québec, 1997 Chapitre : Conclusion 7

Du marketing dans ma PME!

Du marketing dans ma PME! Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle

Plus en détail

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise

Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Plan de cours Programme de leadership en entreprise pour les conseillers juridiques d entreprise Un juriste typique qui assume un rôle de juriste d entreprise est armé d une solide formation et expérience

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

Objet : Remarques de Manufacturiers et exportateurs du Québec sur le régime d assuranceemploi

Objet : Remarques de Manufacturiers et exportateurs du Québec sur le régime d assuranceemploi Le 15 juillet 2013 Madame Rita Dionne-Marsolais Monsieur Gilles Duceppe Coprésidents Commission nationale d examen sur l assurance-emploi Tour de la Place Victoria, C.P. 100 800, rue du Square Victoria,

Plus en détail

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé

Principles Impératif Juillet 2009. Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Les principes de gestion et de «leadership» chez Nestlé Principles Impératif Juillet 2009 Fonction émettrice Département des Ressources humaines Auteur/département émetteur

Plus en détail

Améliorer la communication Transmettre l information Mener une politique d évaluation

Améliorer la communication Transmettre l information Mener une politique d évaluation Anne Kolasinski Coach de Vie certifiée Améliorer la communication Transmettre l information Mener une politique d évaluation Prendre vos fonctions Atteindre vos objectifs Améliorer vos performances Renforcer

Plus en détail

Les projets d investissement en PME

Les projets d investissement en PME Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser

Plus en détail

Les défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé

Les défis du développement du gouvernement électronique. Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé Les défis du développement du gouvernement électronique Par Edwin Lau Résumé par Gérard Mongbé La révolution numérique a engendré une pression sur les gouvernements qui doivent améliorer leurs prestations

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation

Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation Canevas d aide au montage et cahier des charges de votre action de formation FINALITÉS DE L ACTION (à établir avec le commanditaire) Quels sont les objectifs finals du commanditaire (ses finalités : économiques,

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les

Plus en détail

Conduire les entretiens annuels d évaluation

Conduire les entretiens annuels d évaluation Ce guide s adresse aux dirigeants et aux responsables en charge de la fonction ressources humaines qui envisagent de mettre en place des entretiens annuels. Il constitue un préalable à l instauration d

Plus en détail

Association ESSONNE CADRES

Association ESSONNE CADRES Association ESSONNE CADRES 10 avenue du Noyer Lambert - 91300 MASSY : 01 60 12 01 45 Email : competences91@essonnecadres.org Site web : www.essonnecadres.org Besoin d un Professionnel pour une situation

Plus en détail

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance

Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Formation certifiante : Animer mon équipe pour élever la performance Public concerné Dans l exercice de vos fonctions de manager qu elles soient nouvelles pour vous ou déjà expérimentées vous avez pu mesurer

Plus en détail

Développement personnel

Développement personnel Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

Discipline de trading

Discipline de trading Discipline de trading Module 6 Discipline de trading Le dernier module de notre programme souligne qu il est fondamental de vous imposer une discipline de trading rigoureuse et vous donne des conseils

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

Hedge funds: des faiblesses dans la gestion des risques

Hedge funds: des faiblesses dans la gestion des risques Avec leurs rendements supérieurs aux actifs traditionnels et leur faible volatilité, les hedge funds attirent toujours de nombreux investisseurs. Néanmoins, ils restent risqués. Hedge funds: des faiblesses

Plus en détail

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)

Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT

Plus en détail

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres

Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres Développement personnel La programmation neurolinguistique (P.N.L.) Objectif. Développer son efficacité personnelle par une meilleure communication avec soi et les autres. Historique et postulats de la

Plus en détail

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1

De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage. La vision familiale. Série 1, numéro 1 De la détresse émotionnelle à l actualisation du potentiel des membres de l entourage La vision familiale Série 1, numéro 1 En l espace de 25 ans, le profil de la famille québécoise s est transformé de

Plus en détail

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques

ITIL V3. Transition des services : Principes et politiques ITIL V3 Transition des services : Principes et politiques Création : janvier 2008 Mise à jour : août 2009 A propos A propos du document Ce document de référence sur le référentiel ITIL V3 a été réalisé

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine

Plus en détail

Conditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile

Conditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile Conditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile 1 4 Les De plus en plus d organisations voient l Agilité comme une piste de solution aux problèmes auxquels elles sont confrontées. Par ailleurs,

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants? Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration

Plus en détail

RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE

RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE 22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30

Plus en détail

Politique des stages. Direction des études

Politique des stages. Direction des études Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai

Plus en détail

La lettre. La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite. Le poste client : l investissement le plus important à l actif du bilan

La lettre. La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite. Le poste client : l investissement le plus important à l actif du bilan Dossier : Gestion d entreprise 43 Direction financière à la demande La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite La gestion des comptes clients, est-ce seulement le boulot de la compta?

Plus en détail

Identification des incontournables à la démarche Lean

Identification des incontournables à la démarche Lean Identification des incontournables à la démarche Lean Analyse des résultats 7/09/2010 Barbara Lyonnet, Laboratoire SYMME, Université de Savoie barbara.lyonnet@univ-savoie.fr 1. Introduction Toute entreprise

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

Carnet «D» Le transfert de la direction quand il n y a pas de relève

Carnet «D» Le transfert de la direction quand il n y a pas de relève Carnet «D» Le transfert de la direction quand il n y a pas de relève Contexte du présent carnet Le PDG de la PME devra un jour laisser sa place à la tête de l entreprise. L intérêt est que l entreprise

Plus en détail

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente

Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter. II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon le concept vente FORMATIONS COMMERCIALES MANAGEMENT Ces formations se font uniquement «Sur mesure» - Nous contacter I - Techniques de vente «Basic» - 6 modules II - Techniques de vente «Avancées» - 6 ou 7 modules selon

Plus en détail

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe

Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction

Plus en détail

Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information

Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information 2 mai 2011 2 Les bases de l informatique en nuage : revaloriser les technologies de l information Introduction Sur un

Plus en détail

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708

Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Title: OED Précis no. 134 - Gestion de la production animale au Botswana: les précieuses leçons des expériences précédentes Job number: 98F0708 Language: English Translations: French Country: Botswana

Plus en détail

Consultations prébudgétaires 2011-2012

Consultations prébudgétaires 2011-2012 Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le

Plus en détail

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante?

Pourquoi la responsabilité sociétale est-elle importante? Découvrir ISO 26000 La présente brochure permet de comprendre les grandes lignes de la Norme internationale d application volontaire, ISO 26000:2010, Lignes directrices relatives à la responsabilité. Elle

Plus en détail

Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique.

Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Introduction Face à l évolution constante des besoins fonctionnels et des outils informatiques, il est devenu essentiel pour

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

Marques et noms de domaine

Marques et noms de domaine Marques et noms de domaine Une nécessaire harmonisation des pratiques Introduction 1 2 3 4 Bonnes pratiques en termes de gestion des marques Bonnes pratiques en termes de gestion des noms de domaine Une

Plus en détail

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS

EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL

Plus en détail

Les nouveaux tableaux de bord des managers

Les nouveaux tableaux de bord des managers Alain Fernandez Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet Business Intelligence clés en main Sixième édition Tableaux bord NE.indd 3 26/03/13 15:22 Introduction Piloter la performance, un travail

Plus en détail

Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché?

Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 12 octobre 2014 à 18:25 Chapitre 4 Quelles sont les principales défaillances du marché? Introduction Dans la réalité les marchés peuvent être défaillants dans le

Plus en détail

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES

GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale

Plus en détail

RETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail

RETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail RÉSUMÉ : Facteurs et stratégies visant à aider les infirmières et infirmiers en santé au travail à appuyer le superviseur dans les cas de retour au travail d'employés qui ont eu des problèmes de santé

Plus en détail

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP»

Cours de Leadership G.Zara «LEADERSHIP» «LEADERSHIP» Est-il possible de DÉVELOPPER LES COMPÉTENCES DE LEADERSHIP? PROGRAMME DU COURS 1. Introduction 2. Les fondamentaux du Leadership 3. Valeurs, attitudes et comportements 4. Les 10 devoirs du

Plus en détail

Conseil & Audit Les leviers de la croissance

Conseil & Audit Les leviers de la croissance Conseil & Audit Les leviers de la croissance Les cabinets de conseil et d audit vivent une évolution de fond qui remet en cause certains fondamentaux de leur culture : Concurrence accrue, moindre différenciation,

Plus en détail

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1

Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2e édition... XXI Définir le tableau de bord...1 Sommaire Préface...XV Introduction générale... XVII Introduction à la 2 e édition... XXI 1 Définir le tableau de bord...1 1 Quelle définition peut-on donner au vocable tableau de bord?...3 2 Quelle est

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (CCTP) MISE EN PLACE ET MAINTENANCE D UN MOTEUR DE RECHERCHE

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (CCTP) MISE EN PLACE ET MAINTENANCE D UN MOTEUR DE RECHERCHE PREMIER MINISTRE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DU GOUVERNEMENT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (CCTP) MISE EN PLACE ET MAINTENANCE D UN MOTEUR DE RECHERCHE SUR LES SITES INTERNET GÉRÉS PAR LA DOCUMENTATION

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

La réforme : une opportunité pour la fonction formation

La réforme : une opportunité pour la fonction formation Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon

Plus en détail

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises

e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises Livre Blanc e-commerce : Guide à l intention des Petites et Moyennes Entreprises Optimisation des opportunités en ligne pour les PME Opportunités en ligne La conjoncture n a jamais été aussi favorable

Plus en détail

Business Model Generation

Business Model Generation Business Model Generation L innovation par le modèle économique Prof Nathalie Nyffeler Unité Innovation, Institut Gestion & Entrepreneuriat Nyffeler / Mars 2013 15 minutes Dans un monde de plus en plus

Plus en détail

Séminaires inter-entreprises

Séminaires inter-entreprises Catalogue Janvier à décembre 2015 2015 AchieveGlobal, prestataire mondial de la formation à la vente, au leadership et au service client. Developing the 21st century workforce TM Séminaires inter-entreprises

Plus en détail

Mon boss ne délègue pas

Mon boss ne délègue pas Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre

Plus en détail

Consecutive Master en Business administration

Consecutive Master en Business administration Consecutive Master en Business administration Orientation : Je définis la stratégie sponsoring d une marque de sport pour maximiser son impact aux prochains Jeux Olympiques de Vancouver. 1 FORMATION PERSPECTIVES

Plus en détail

ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008. www.triadis.fr. Management des situations de crise. S organiser. Communiquer. Patrick PIZA

ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008. www.triadis.fr. Management des situations de crise. S organiser. Communiquer. Patrick PIZA ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008 Management des situations de crise www.triadis.fr S organiser Communiquer Patrick PIZA LES MISSIONS CONSEIL L ÉQUIPE TRIADIS 5 consultants seniors - 2 assistantes 3 consultants

Plus en détail

Notre Approche. Le concept de projet. Les 4 Pas. 4. Nous Evaluons et Améliorons. 3. Nous Exécutons. 2. Nous Concevons. 1. Nous Analysons.

Notre Approche. Le concept de projet. Les 4 Pas. 4. Nous Evaluons et Améliorons. 3. Nous Exécutons. 2. Nous Concevons. 1. Nous Analysons. Notre Approche Les solutions de développement de Managers Studio sont basées sur deux principes: Le concept de projet "L apprentissage doit constituer une expérience réelle et interactive, un projet de

Plus en détail

Logiciels RH. Les organisations fortes sont portées par des collaborateurs forts

Logiciels RH. Les organisations fortes sont portées par des collaborateurs forts Logiciels RH Les organisations fortes sont portées par des collaborateurs forts Collaborateurs du futur Le monde d aujourd hui est en évolution constante. Le marché du travail réclame manoeuvrabilité et

Plus en détail

Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1?

Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1? DEVOPS et le déploiement d application Les Livres Blancs de MARTE Ingénierie des méthodes Agiles : Que cache l opposition entre déploiement et livraison en continu? Faut-il adopter DevOps 1? L alignement

Plus en détail

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international

Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international Ressources Humaines Enjeux et Stratégie dans un contexte international 1 LES ENJEUX DE LA FONCTION R.H. Environnement : La mondialisation L accélération des changements L incontournable performance Le

Plus en détail

Animer une association

Animer une association FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi

Plus en détail

Appel à propositions

Appel à propositions Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

Bulletin Focus. Démarrage d entreprise. Novembre 2013. Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes?

Bulletin Focus. Démarrage d entreprise. Novembre 2013. Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes? Démarrage d entreprise Novembre 2013 Bulletin Focus Votre plan d affaires est-il le reflet de votre vision et de vos attentes? Bien souvent considéré à tort comme une suite de chiffres plus ou moins fictifs

Plus en détail

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ?

PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? PEUT- ON SE PASSER DE LA NOTION DE FINALITÉ? à propos de : D Aristote à Darwin et retour. Essai sur quelques constantes de la biophilosophie. par Étienne GILSON Vrin (Essais d art et de philosophie), 1971.

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Kym Salameh, M.Sc. Février 2012

Kym Salameh, M.Sc. Février 2012 Kym Salameh, M.Sc. Février 2012 Tous droits réservés -2012 Thèmes Définition Quelques raisons pour changer Quelques faits intéressants Le cycle de vie de la gestion du changement La pratique de la GC pour

Plus en détail

www.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne

www.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne www.pwc.lu/secteur-public Gestion des risques, contrôle interne et audit interne Contexte Depuis plusieurs années, les institutions publiques doivent faire face à de nouveaux défis pour améliorer leurs

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

Une forte demande d autonomie et d indépendance

Une forte demande d autonomie et d indépendance Introduction Depuis une dizaine d années, s impose le concept d autonomie professionnelle, capacité qu acquiert une personne de définir ses missions, de les réaliser en maîtrisant les coûts ainsi que la

Plus en détail

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE

LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE LA DÉMARCHE DE VEILLE S.A. MARCHAND PREMIERE PARTIE : AUDIT SUR LA COMMUNICATION INTERNE La question posée s inscrit dans une démarche d amélioration de la circulation de l information. questionnaire d

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

Research Monitor. Research Monitor. Prise en main. Version 1 2015. Guide

Research Monitor. Research Monitor. Prise en main. Version 1 2015. Guide Guide Research Monitor Research Monitor Prise en main Version 1 2015 Table des matières Table des matières... 1 1. En bref... 1 1.1. Pourquoi utiliser Research monitor?... 1 2. Page d accueil... 1 2.1.

Plus en détail

STRATÉGIE CLIENT : PROCESSUS D AFFAIRES. Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA KPMG-SECOR

STRATÉGIE CLIENT : PROCESSUS D AFFAIRES. Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA KPMG-SECOR STRATÉGIE CLIENT : PROCESSUS D AFFAIRES Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA KPMG-SECOR Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA Associé ALAIN DUMAS Associé KPMG-SECOR 555, boul. René-Lévesque Ouest, 9 e étage Montréal,

Plus en détail

S organiser pour le Cloud

S organiser pour le Cloud S organiser pour le Cloud Apporter une valeur supplémentaire à l entreprise en optimisant l organisation des services informatiques pour le Cloud LIVRE BLANC VMWARE Sommaire Synthèse.... 3 Contexte....

Plus en détail

CONVENTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE Réf. MCCO1

CONVENTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE Réf. MCCO1 CONVENTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE Réf. MCCO1 Entre ODILE DOLLE COMMUNICATION SARL / ELIDO 2 carrefour de la Croix-Rouge, F- 75006 PARIS Organisme de formation n 11753537875 enregistré auprès

Plus en détail

Principe et règles d audit

Principe et règles d audit CHAPITRE 2 Principe et règles d audit 2.1. Principe d audit Le principe et les règles d audit suivent logiquement l exposé précédent. D abord, comme dans toute branche de l activité d une entreprise, l

Plus en détail

Législation et droit d'un administrateur réseaux

Législation et droit d'un administrateur réseaux Législation et droit d'un administrateur réseaux Réalisé par : GUENGOU Mourad OULD MED LEMINE Ahmedou 1 Plan de présentation I. Introduction générale II. L Administrateur Réseaux 1) Mission de l administrateur

Plus en détail

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel

Commentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la

Plus en détail

Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept

Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Table des matières I II III IV V VI Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Le marché des Services de

Plus en détail

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention

Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr. Attention Documents mis à disposition par : http://www.marketing-etudiant.fr Attention Ce document est un travail d étudiant, il n a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr. En conséquence croisez vos

Plus en détail

La clé de votre réussite, notre engagement!

La clé de votre réussite, notre engagement! La clé de votre réussite, notre engagement! Quelques mots sur la société Ofineo Conseil est une société d organisation en système d information et d ingénierie en technologies innovantes créée en mai 2011.

Plus en détail

GUIDE DU CAHIER DES CHARGES

GUIDE DU CAHIER DES CHARGES GUIDE DU CAHIER DES CHARGES - EDITION 2010 - Guide du cahier des charges / Etat de Vaud TABE DES MATIERES Introduction... 2 I. Définitions... 3 1. Cahier des charges et organisation... 2. Cahier des charges

Plus en détail

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992.

1. Étude réalisée par l AFOPE en 2005. 2. Hellriegel D., Slocum J. W., Woodman R. W., Management des organisations, Bruxelles, De Boeck, 1992. Introduction 1 I n t r o d u c t i o n Créer des usines, des entreprises, des organisations, des méthodes, des produits, des services nouveaux suppose d avoir des équipes motivées, obéissant à un calendrier

Plus en détail

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques

Techniques de l informatique 420.AC. DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques Plan de cours Techniques de l informatique 420.AC DEC intensif en informatique, option gestion de réseaux informatiques 420-691-MA Stage en entreprise Site du stage en entreprise : http://stages.cmaisonneuve.qc.ca/evaluation/1748/

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales

Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Des formations pour la prévention du stress et des performances managériales Après dix ans de recherche, huit docteurs en Sciences Humaines ont conçu une méthode innovante au service du savoir-être et

Plus en détail

Objet : L équipe d encadrement du service des impôts des particuliers (SIP).

Objet : L équipe d encadrement du service des impôts des particuliers (SIP). DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES Paris, le 02 juin 2010 SERVICE DES RESSOURCES HUMAINES Sous direction de l encadrement et des relations sociales Bureaux RH1B et RH1C Affaire suivie par Olivier

Plus en détail

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD

COMMENTAIRE LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Services économiques TD COMMENTAIRE Services économiques TD mai LES CANADIENS SONT-ILS PRÉPARÉS À UNE HAUSSE DES TAUX D INTÉRÊT? Faits saillants Le fait que la Banque du Canada ait récemment indiqué que les taux d intérêt pourraient

Plus en détail