Scanner multibarrette et pancréatite aiguë :
|
|
- Lucienne Boisvert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Scanner multibarrette et pancréatite aiguë : Relation entre délai de réalisation et impact diagnostique. JFR 2008 V. Picot-Anfray, C. Savoye-Collet, JN. Dacher (service de radiologie) P.Ducrotté, G. Savoye (service d hépato-gastro-entérologie)
2 ABREVIATIONS PA : pancréatite aiguë TDM : examen tomodensitométrique PDCI : produit de contraste iodé CRP : protéine C-Réactive
3 PLAN Généralités Notre étude Objectifs Matériel et méthodes Résultats Discussion Conclusion
4 GENERALITES
5 La pancréatite aiguë Affection inflammatoire aiguë du pancréas Parfois létale «Auto-digestion» du pancréas par activation prématurée des enzymes pancréatiques 2 formes principales: oedémateuse et nécrotique Concerne 0,1 à 0,2 personnes par 1000 habitants et par an en France
6 Les étiologies de la pancréatite aiguë Obstructive : BILIAIRE + + +, tumorale Toxique/ Médicamenteuse/ ALCOOL Métabolique Infectieuse Auto-immune Traumatique Vasculaire Génétique Idiopathique
7 Les examens biologiques Ont trois but principaux Établir le diagnostic positif de PA devant une augmentation de la lipasémie à plus de 3 fois la normale Faire le bilan de gravité de la PA à l aide des scores clinicobiologiques spécifiques (Ranson, Imrie) et non spécifiques (CRP) Orienter l enquête étiologique vers une lithiase, une intoxication alcoolique, un obstacle cholédocien
8 Le scanner Examen de référence en imagerie pour la PA A faire entre 48 et 72 h du début de la PA (conférence de consensus 2001) 4 intérêts principaux Fait le bilan de gravité lésionnel Recherche une étiologie obstructive Guide le geste de ponction-drainage en cas de collection Confirme le diagnostic en cas de doute Technique: Multibarrette Multiphasique (cf diapositive suivante)
9
10 La sémiologie TDM de la PA Inflammation intra ou péri-pancréatique (stades de Balthazar) A : aspect normal du pancréas B : pancréas de taille augmentée C : infiltration de la graisse péri-pancréatique D : 1 coulée de cytostéatonécrose E : 2 coulées de cytostéatonécrose ou plus Nécrose pancréatique (évaluée en % volume) Lésions à distance (complications vasculaires etc ) Possibilité d établir un score de gravité TDM (cf diapo suivante)
11 Le score TDM Index de sévérité d'une pancréatite aigüe en scanner Score de Balthazar Grade A 0 point Grade B 1 point Grade C 2 points Grade D 3 points Grade E 4 points Pourcentage de nécrose Pas de nécrose 0 point Nécrose inférieure à 30% du volume du pancréas 2 points Nécrose entre 30 et 50% du volume du pancréas 4 points Nécrose supérieure à 50% du volume de la glande 6 points Score de gravité TDM: addition des deux précédents de 0 à 3 points mortalité de 3% de 4 à 6 points mortalité de 6% de 7 à 10 points mortalité de 17%
12
13 Signes TDM orientant vers une étiologie obstructive Biliaire : Calculs vésiculaires ou cholédociens Tumorale : Masse pancréatique Anomalies canalaires: Dilatation du canal pancréatique principal, signe indirect d une tumeur Atrophie du corps ou de la queue contrastant avec une tête de taille normale
14 Exemple 1: PA d étiologie biliaire Dilatation des voies biliaires intrahépatiques Présence d une lithiase intravésiculaire Dilatation de la VBP Présence d une lithiase biliaire enclavée dans la tête du pancréas
15 Exemple 2: PA d étiologie tumorale Dilatation du canal de Wirsung et d un canal secondaire. Thrombose mésentérique supérieure Masse pancréatique à la partie postérieure de la tête
16 NOTRE ETUDE
17 INTRODUCTION La conférence de consensus de 2001 sur la prise en charge de la PA a préconisé la réalisation d un TDM avec injection de PDCI entre 48 et 72 heures après le début des signes. Cet examen TDM a pour but d évaluer la gravité, de rechercher une orientation étiologique notamment lithiasique et de confirmer le diagnostic dans certains cas. Cette réalisation précoce n a pas toujours été possible et certains patients ont eu une imagerie décalée en accord avec le prescripteur.
18 OBJECTIF Etudier l impact du délai de réalisation du scanner sur son rendement diagnostique (gravité et étiologie) dans ce contexte de pancréatite aiguë.
19 MATERIEL & METHODES Sélection de cohortes et recueil de données: Sur 30 mois Recherche informatique et dossiers papiers A partir du codage informatique «pancréatite aiguë» de patients hospitalisés dans le service d hépato-gastro-entérologie Sélection de patients ayant une PA et explorés par TDM injecté (avec score de Balthazar et index de sévérité) Constitution de groupes et sous-groupes en fonction : du délai de réalisation du TDM > ou < à 10 jours et de la CRP > ou < à 150 mg/l (signe biologique de gravité)
20 patients codés "pancréatite aiguë" non exploitables pancréatites aiguës TDM précoces TDM tardifs CRP < 150 mg/l CRP > 150 mg/l CRP < 150 mg/l CRP > 150 mg/l
21 PARAMETRES TECHNIQUES DU SCANNER GE lightspeed 16 barrettes Examen réalisé sans puis avec injection de 100 ml de PDCI à 2,5 ml/sec Coupes fines chevauchées 1,25/ 0,9 mm Reconstructions multiplanaires, MIP, minmip et VR Calcul index de sévérité
22 RESULTATS 131 pancréatites aiguës 99 TDM précoces 32 TDM tardifs CRP < 150 mg/l CRP > 150 mg/l CRP < 150 mg/l CRP > 150 mg/l
23 Population générale (131 PA) Répartition en pourcentage des stades de Balthaz ar dans la population "PA" E A 18% 28% D 21% C 24% B 9% 3% 2% 10% Répartition en pourcentage des étiologies dans la population "pancréatite aiguë" 21% alcool 7% 26% 31% lithia s e mixte obstruction ia tro gène métabolique 0 16% Répartition en pourcentage du degré de né crose dans la population "PA" 4% 1% 0 < 3 0 % > 30%, < 50% > 5 0 % Ratio hommes/femmes de 2/1 Moyenne d âge de 56.9 ans Taux de mortalité de 3.8 % (5 décès) 79%
24 Population générale (131 PA) Répartition des CRP selon les stades de Balthazar 400 Valeur de CRP en mg/l CRP 0 A B C D E Stades de Balthazar Médianes de durée d'hospitalisation de la population "pancréatite aiguë" selon le stade de Balthazar Nombre de jours A B C D E Stades de Balthazar
25 Comparaison des groupes «TDM précoce» et «TDM tardif» (données générales et TDM) Age (ans) Durée d'hospitalisation (jours) CRP (mg/l) Age (ans) Durée d'hospitalisation ( jours) CRP (mg/l) Moyenne 58,2 25,3 195,8 52,8 13,1 101,9 Médiane ,5 Ecart-type 15,7 47,8 127,1 12,9 22,2 112,3 Minimum Maximum Groupe "TDM précoce" n=99 Groupe "TDM tardif" n=32 Score TDM Score de Balthazar Score de Balthazar Degré de nécrose A B C D E A B C D E <30% % >50% Groupe "TDM précoce" n=99 Groupe "TDM tardif" n=32
26 Comparaison des groupes «TDM précoce» et «TDM tardif» (données étiologiques) Etiologies des pancréatites aiguës du groupe "TDM précoce" 3% 9% 6% 21% 28% alcool lithiase métabolique 0 obstruction mixte 3% 30% iatrogène 25% Etiologies des pancréatites aiguës du groupe "TDM tardif" 22% 3% 13% 37% alcool lithiase métabolique 0 obstruction
27 Comparaison des groupes «TDM précoce» et «TDM tardif» (données étiologiques) Ainsi les patients ayant eu un TDM tardif avaient des PA moins sévères que ceux ayant été explorés précocement (p < 0.001) : Durée d hospitalisation moins longue (13 / 25 jours) CRP moins élevée (101 /196 mg/l) Score de Balthazar moins élevé et degré de nécrose plus faible Avaient des étiologies obstructives non lithiasiques tumorales plus nombreuses (p < 0.007) Ratios normalisés par étiologie des pourcentages dans les groupes "TDM précoce" et "TDM tardif" 400% 350% 300% 250% 200% 150% 100% TDM précoce TDM tardif 50% 0% alcool lithiase obstruction mixte 0 iatrogène métabolique
28 Comparaison des sous-groupes ajustés sur la valeur de CRP (données TDM) Stades de Balthazar en fonction de la CRP dans les groupes "TDM précoce" et "TDM tardif" Pourcentage d'effectifs 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% A B C D E Stades de Balthazar G1 CRP<150 G1 CRP>150 G2 CRP<150 G2 CRP>150
29 Comparaison des sous-groupes ajustés sur la valeur de CRP (données étiologiques) Etiologies selon la CRP dans les groupes "TDM précoce" et "TDM tardif" Pourcentage effectifs 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% obstruction lithiase alcool métabolique mixte iatrogène 0 Etiologies G1 CRP<150 G1 CRP>150 G2 CRP<150 G2 CRP>150
30 Comparaison des sous-groupes ajustés sur la valeur de CRP Pas de différence de gravité entre les sous-groupes En revanche, différences d étiologies (p< 0.05): Plus d obstructions dans les groupes «TDM tardif» quelle que soit la CRP, par rapport aux groupes «TDM précoce» PA alcooliques prédominant dans le groupe «TDM tardif, CRP > 150» PA lithiasiques prédominant dans le groupe «TDM précoce, CRP > 150»
31 DISCUSSION
32 Notre étude a permis une évaluation des pratiques professionnelles quotidiennes ( 24,4 % de scanners décalés) Elle a mis en évidence qu un TDM décalé : Objectivait des causes tumorales plus fréquentes Mais aussi était rarement réalisé en cas de PA lithiasique et Évaluait des PA moins graves.
33 Nous avons rencontré des difficultés de recueil des informations médicales des patients: Seulement 131 sur 258 patients initialement sélectionnés par le simple codage informatique correspondaient à des diagnostics positifs de PA avec réalisation de TDM injecté et stade de gravité exploitable Les comptes-rendus de scanner n étant pas toujours explicites (scores TDM) Notre cohorte était représentative de ce qui a été antérieurement décrit dans la littérature (âge, mortalité, nécrose, durée d hospitalisation et CRP corrélées à la gravité)
34 Le fait que plus d étiologies tumorales étaient retrouvées dans le groupe «TDM tardif» par rapport au groupe «TDM précoce» peut faire discuter les éléments suivants: Les PA tumorales sont peut-être moins graves, plus insidieuses La détersion des zones nécrotiques, la régression des zones inflammatoires peuvent permettre une meilleure visualisation d éventuelles petites lésions Les TDM tardifs sont souvent programmés (interprétation séniorisée) contrairement aux TDM précoces souvent réalisés en urgence
35 CONCLUSION
36 Un scanner unique décalé paraît avoir un meilleur rendement diagnostique à la recherche d une tumeur chez les patients présentant une pancréatite aiguë peu grave. De plus, cette pratique permet de limiter l irradiation en ne réalisant qu un seul examen TDM au moment le plus informatif.
37 BIBLIOGRAPHIE Balthazar EJ. Pancreatitis associated with pancreatic carcinoma. Preoperative diagnosis: role of CT imaging in detection and evaluation. Pancreatology. 2005; 5(4-5): Balthazar EJ. Acute pancreatitis : assessment of severity with clinical and CT evaluation. Radiology. 2002; 223: Balthazar EJ. Staging of acute pancreatitis. Radiol Clin North Am. 2002; 40(6): Balthazar EJ, Freeny PC. Imaging and intervention in acute pancreatitis. Radiology. 1994; 193: Balthazar EJ, Robinson DL, Megibow AJ. Acute pancreatitis : value of CT in establishing prognosis. Radiology. 1990; 174: Balthazar EJ, Ranson JH, Naidich DP. Acute pancreatitis: Pronostic value of CT. Radiology. 1985; 156: Bléry M, Tasu JP, Rocher L. Imagerie des pancréatites aiguës. Encycl Méd Chir. Gastro-entérologie 2002; A-10. Blum A, Walter F, Ludig T. Scanners multicoupes: principes et nouvelles applications scannographiques. J Radiol 2000; 81: Bronstein YL, Loyer EM, Kaur H. Detection of small pancreatic tumors with multiphasic helical CT. AJR. 2004; 182: Conférence de consensus : pancréatite aiguë. Agence Nationale d Accréditation et d Evaluation en Santé, Fletcher JG, Wiersema MJ, Farrell MA. Pancreatic malignancy : value of arterial, pancreatic and hepatic phase imaging with multidetector CT. Radiology. 2003; 229(1): Gabata T, Matsul O, Kadoya M. Small pancreatic adenocarcinomas : efficacy of MR imaging with fat suppression and gadolinium enhancement. Radiology. 1994; 193: Goshima S, Kanematsu M, Kondo H. Pancreas : Optimal Scan Delay for Contrast-enhanced Multi-detector Row CT. Radiology. 2006; 241(1): Imamura M, Asahi S, Yamauchi H. Minute pancreatic carcinoma with initial symptom of acute pancreatitis. J Hepatobiliary Pancreat Surg. 2002; 9(5): Jukemura J, Montagnini AL, Perini MV. Acute pancreatitis associated with neuroendocrine tumor of the pancreas. JOP. 2006; 7(1): Kawamoto S, Horton K, Lawler L. Intraductal papillary mucinous neoplasm of the pancreas : can benign lesions be differentiated from malignant lesions with multidetector CT? RadioGraphics. 2005; 25(6): Kondo H, Kanematsu M, Goshima S.MDCT of the pancreas: optimizing scanning delay with a bolus-tracking technique for pancreatic, peripancreatic vascular, and hepatic contrast enhancement. AJR. 2007; 188(3): Legmann P, Vignaux O, Dousset B. Pancreatic tumors : comparison of dual-phase helical CT and endoscopic sonography. AJR. 1998; 170: McNulty NJ, Francis IR, Platt JF. Multidetector row helical CT of the pancreas, effect of contrast-enhanced multiphasic imaging on enhancement of the pancreas, peripancreatic vasculature, and pancreatic adenocarcinoma. Radiology. 2001; 220: Russell RT, Sharp KW. Mucinous cystadenoma of the pancreas associated with acute pancreatitis and concurrent pancreatic pseudocyst. Am Surg. 2005; 71(4): Sakagami J, Kataoka, K, Sogame Y. Solid pseudopapillary tumor as a possible cause of acute pancreatitis. JOP. 2004; 5(5): Takeshita K, Furui S, Yamauchi T. Minimum intensity projection image and curved reformation image of the main pancreatic duct obtained by helical CT in patients with main pancreatic duct dilatation. Nippon Igaku Hoshasen Gakkai Zasshi. 1999; 59: Tanasijtchouk T, Vaisbein E, Lachter J. Carcinoma of Papilla Vateri presenting as recurrent acute pancreatitis. Acta Gastroenterol Belg. 2004; 67(3): Taouli B, Vilgrain V, Vuillierme MP. Intraductal papillary mucinous tumors of the pancreas :helical CT with histopathologic correlation. Radiology. 2000; 217:
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailComparaison du scanner spiralé sans contraste et de l urographie intraveineuse dans le diagnostic de la colique néphrétique
ARTICLE ORIGINAL Progrès en Urologie (1999), 9, 233-238 Comparaison du scanner spiralé sans contraste et de l urographie intraveineuse dans le diagnostic de la colique néphrétique Jean-François THIBEAU
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailschémas du by-pass gastrique pour obésité morbide
Femme de 58 ans, opérée d un by-pass gastrique 2 ans auparavant. Depuis 10jours, nausées et vomissements. Quels sont les éléments sémiologiques significatifs à retenir sur ls images scanographiques après
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF
ARBRE DÉCISIONNEL INTERACTIF DE GESTION DES PATIENTS ALLERGIQUES AVANT INJECTION DE PRODUIT DE CONTRASTE IODÉ D Geffroy¹, A Pipet², F Wessel², G Mineur¹, P Meingan¹, I Doutriaux¹, C Labbe¹, S Houdebine¹,
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailFoscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique
S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation
Plus en détailCroissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies
Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie
Pathologies tumorales thoraciques : intérêt de l IRM de perfusion et de diffusion avant biopsie Szwarc D.(1), Bour L.(1), Chapron J.(2), Gibault L.(3), Gouya H.(1), Abdelli O.(1), Fregeville A.(1), Silvera
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailHyperplasie nodulaire focale. Hyperplasie nodulaire focale. Pr Valérie VILGRAIN. Service de Radiologie, Hôpital Beaujon, 92118 Clichy Cedex
Hyperplasie nodulaire focale Hyperplasie nodulaire focale Valérie VILGRAIN Service de Radiologie, Hôpital Beaujon, 92118 Clichy Cedex Correspondance : Pr Valérie VILGRAIN Service de Radiologie, Hôpital
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailTumeurs rectales Bilan initial et Imagerie
Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailExtraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic
Extraction de caractéristiques visuelles d'images médicales pour la recherche par similitude et l'aide au diagnostic Jérôme Palayret 1,2, Auréline Quatrehomme 1,2, Denis Hoa 1, William Puech 2 IMAIOS,
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détail