GROUPE TECHNIQUE ELEVAGE & TRANSHUMANCE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "GROUPE TECHNIQUE ELEVAGE & TRANSHUMANCE"

Transcription

1 Réunion du 8 juillet 2015 GROUPE TECHNIQUE ELEVAGE & TRANSHUMANCE Points clés: 1. Présentation sur la PPCB et PPR 2. Présentation du plan de travail PROVISOIRE pour la campagne de vaccination, y compris la fourniture des intrants par la FAO (plan d achat) 3. Tour de table des activités en cours (pour les ONG non présentes la fois passée). Elaboration d un plan de travail du groupe technique (groupe de travail) (30 mn) Participants (23) FAO, CICR, DRC, COOIAP, AEPA, ARND, LIFA, Cluster SA MINUSCA Protection des civils Prochaine Réunion Date Lieu Réunion du Groupe Technique Mercredi 22 juillet, 11h à confirmer FAO Thèmes Résumé des discussions Points d action PPCB et PPR Présentation sur la PPCB et PPR voir présentations en annexe PPCB : Péripneumonie Contagieuse Bovine Maladie contagieuse provoquées par une bactérie qui atteint principalement les buffles et bœufs domestiques Transmission via les contacts directs et prolongés par voie aérienne (tous), lors des rassemblements (marchés, parcs de vaccination, etc.), ou via l introduction de nouveaux animaux dans le troupeau Symptômes : difficultés respiratoires, toux, problèmes aux articulations Un animal atteint ne se débarrasse plus jamais de la bactérie Animaux doivent être traités aux antibiotiques puis envoyés à l abattoir (pour récupérer la valeur commerciale) PPR : Peste des Petits Ruminants Maladie causée par un virus qui touche essentiellement les moutons et les chèvres Transmission par contact direct également (sécrétions, excrétions) ; possible aussi par voie indirect (eau de boisson, aliments, objets souillés, milieu extérieur contaminé) mais rôle peu important Symptômes : au niveau des yeux, narines, bouche ; écoulements ; pour cas sévères, toux également ; diarrhée ; avortement chez les femelles Traitement : pas de traitement spécifique, seulement antibiotiques pour lutter contre les infections secondaires. Le plus important est la prévention (mesures sanitaires et vaccination). Discussion Quel taux de mortalité et morbidité pour la PPCB : pour la morbidité ça peut atteindre jusqu à 50%, pour la mortalité maximum 10% Pour la PPR : morbidité peut atteindre jusqu à 80% et mortalité jusqu à 70/80% ; la PPR est donc plus foudroyante que la PPCB. Plan de travail pour la campagne de vaccination Présentation du plan de travail PROVISOIRE pour la campagne de vaccination, y compris la fourniture des intrants par la FAO (avec financement Fonds Bêkou) Voir présentation en annexe Plan de travail PROVISOIRE 1

2 Juillet : acquisition vaccins et matériel de froid Août - Sensibilisation des communautés par les ONG, avec la FAO et la FNEC/ANDE - Livraison et distributions vaccins & matériel de froid au cours du mois - Lancement de la campagne de vaccination fin août Septembre à décembre : - Exécution de la campagne de vaccination - Monitoring & cartographie des activités - Contrôle chaine du froid - Evaluation de la campagne en décembre Janvier à mars : - Atelier final - Rapport FAO : développer des protocoles (SOP) sur les conditions de conservation & transport Cluster : convoquer réunion spéciale Fait Plan d achat PROVISOIRE Vaccins PPCB : 1.5 million doses Vaccins PPR : doses 70 glacières 30L (pour transport vaccins) 60 réfrigérateurs à pétrole (6 par ONG partenaire) Commandes et achats du 1 er au 30 juillet Livraison réfrigérateurs le 10 août Livraison vaccins à la FAO Bangui le 20 août Distribution matériel par FAO aux partenaires août Distribution vaccins par FAO aux partenaires août Discussion A noter sur la conservation des vaccins : vaccins PPCB lyophilisés (pastilles) peuvent être conservés pendant 3 ans à -20 ; ils peuvent ensuite être gardés à +4 pendant 3 à 5 jours de transport à condition qu il n y ait pas de rupture de ces 4 ; une fois dilué il doit être conservé à +4 et être utilisé au maximum 2-3h après (le mieux est donc de le diluer sur place près du troupeau). ONG demandent que la FAO développe des protocoles (SOP) sur les conditions de conservation & transport Question de la distance des réfrigérateurs par rapport aux activités pour conservation et transport : ce type de vaccin à conserver à -20 est possible seulement si frigos proches des activités Question aussi de la durabilité des réfrigérateurs : qui va payer le pétrole une fois les projets terminés? Réfléchir à la possibilité de prévoir des frigos solaires qui seraient plus durables ; mais panneaux solaires risquent d être trop faibles pour assurer -20 Proposition d organiser une réunion technique avec services techniques et agents techniques ONG sur le type de vaccins le plus adapté par rapport aux températures et durée de conservation, et aussi le matériel de chaine du froid le plus approprié par rapport aux moyens et ressources disponibles localement Cluster : envoyer invitation date et heure à confirmer Options envisagées pour différents types de vaccins et frigo : Si frigos solaires, il faut des vaccins liquides qui peuvent être conservés autour de -8 Si frigo à pétrole et garantie que le pétrole peut être acheté alors possibilité d avoir les vaccins lyophilisés qui doivent être conservés à -20 Il faut voir aussi la pertinence par rapport aux pratiques utilisées dans le pays Il faut consulter la FNEC et l ANDE sur ce point 2

3 Tour de table partenaires Tour de table sur l avancement des activités des ONG Update réunion précédente faite pour : CICR, COOIAP, AEPA, COOPI (voir précédent CR) DRC Financement Bêkou pour projet caisses de résilience Ouham et Ouham Pendé ; dans ce cadre, renforcement des pharmacies vétérinaires (6 notamment à Paoua, Bocaranga, Ndim, Ngaoundaye, Bozoum 18 mois Activités aussi de petit élevage : soutient à 115 groupements sur même zones (poulaillers, cabris, moutons, porcheries) en collaboration avec FAO pour fourniture intrants et encadrement technique avec Fermes Ecoles Paysans + appui à la culture attelée Batangafo-Bouca, projet DFID (12 mois) : micro-projet transhumance/pharmacie vétérinaires Batangafo, culture attelée et petit élevage Projet UE ANE (acteurs non étatiques) à Ndélé Projet soumis à Bêkou pour l appel transhumance (Ouham, Ouham Pendé, Ndélé) + projet intégré soumis au CHF sécurité alimentaire & livelihood à Ndélé pour compléter financement Bêkou ARND Ngaoundaye et Koui Contacts avec éleveurs retournés du Cameroun ; pertes gros bétail importantes Signalement de 1767 éleveurs déplacés et retournés dans les 3 localités suivantes: - Sous-préfecture de Bocaranga : 170 éleveurs dans les villages de Létélé, Ngoutéré, et Tatali ; - Sous-préfecture de Ngaoundaye : 97 éleveurs dans les villages de Bali-Kollo, Doko, Boko et Mbéréwock ; - Sous-préfecture de Koui : plus de 1500 éleveurs ARND est partenaire de DRC dans le projet caisses de résilience Bêkou et sera a priori partenaire aussi pour le projet transhumance Bêkou si retenu Nana Mambéré : activités de cohésion sociale avec les éleveurs LIFA 4 préfectures ciblées : Basse Kotto, Ouaka, Mbomou et Haut Mbomou Recherche financement, pas d activités en cours AEPA Recensement éleveurs de Bangui : chiffres seront partagés COOIAP Sensibilisation sur vaccination et cohésion sociale à Batangafo et Kabo Rapports seront partagés Informations sur mouvements d éleveurs vers Nana Bakassa ; actuellement Kouki à Bowaye. ANNEXES : - Présentation PPCB et PPR - Présentation plan de travail pour la campagne de vaccination - Carte des zones ciblées par la campagne de vaccination 3

4 Réunion du 10 juillet 2015 GROUPE TECHNIQUE ELEVAGE & TRANSHUMANCE Réunion ad hoc sur le matériel pour la campagne de vaccination. Elaboration d un plan de travail du groupe technique (groupe de travail) (30 mn) Participants (8) FAO, CICR, DRC, CICR, Solidarités International, COOPI, ARND, cluster SA Résumé des discussions 1. Matériel chaine du froid Arguments pour/contre frigo à pétrole : ANDE recommande le pétrole ; quid achat pétrole et maintenance de ces frigos? A priori consommation assez faible. Arguments pour/contre frigo à gaz : moins stable que les frigos à pétrole ; pas sûr que la puissance soit suffisante ; donc recommandation de choisir les vaccins liquides qui sont conservés moins froid ; ruptures de gaz fréquentes en RCA Arguments pour/contre frigo solaire : solution plus durable, mais faut protéger panneaux qui sont fragiles et contre le vol ; plus chers à l achat ; fonctionnement aléatoire Commentaires généraux sur le matériel de froid : - Frigos doivent être installés dans grandes villes/villages où les risques de rupture sont plus faibles - Est-ce nécessaire d avoir des frigos de 255L? Oui, car problème des bouteilles de diluant qui doivent être conservées à +4 dans la partie réfrigérateur et prennent de la place - FAO a prévu 2 frigos par ONG, pour avoir au moins un de sécurité si un frigo tombe en panne ; des frigos seront aussi donnés directement à l ANDE et la FNEC - A l issue des projets, les frigos devront être remis à la FNEC/ANDE ; les ONG présentes ont approuvé ce point. 2. Vaccins Arguments pour/contre vaccins liquides : plus simples à conserver sur le terrain, mais disponibilité pas certaine pour les quantités nécessaires (1.5 M de doses); immunité 5 mois seulement = nécessité de vacciner 2 fois par an qui est une contrainte majeure car dans les conditions de mouvement et situation du bétail, c est impossible de vacciner 2 fois ; vaccination 2 fois sera plus coûteux que achat vaccins lyophilisés. Arguments pour/contre vaccins lyophilisés : apportent une meilleure protection (le double) ; meilleure qualité et durée d immunité ; 1 seule vaccination nécessaire NB : Vaccin pour petits ruminants n existe pas sous forme liquide, seulement sous forme lyophilisé Points d action FAO : communiquer les caractéristiques des seringues & aiguilles OK annexe Partenaires : communiquer à la FAO les effectifs anticipés pour la vaccination et besoins en réfrigérateurs (préciser si le financement est sécurisé, en cours de négociation ou non sécurisé) FAO : finaliser le plan d achat et lancer les achats ASAP Il faudrait essayer de mieux désagréger les types de vaccins possibles, en fonction des différentes zones, stratégies de vaccination, et bétail ciblé Expérience SOLIDARITES : en 2014, vaccination à partir de produits recommandés par ANDE et disponibles localement ; fourniture assurée pour doses ANDE : ANDE utilise les vaccins lyophilisés ; frigos à pétrole sont mis en place dans les postes de l ANDE ; distance max des couloirs de vaccination : A/R se fait en 1 journée. Même s il n y a plus de bureau ANDE en place, il y a toujours un poste/secteur qui existe où le frigo est placé. 3. Question aussi des seringues et nombre à utiliser? FAO avait prévu que les seringues soient achetées par les ONG ; pour les seringues automatiques, 1 par 4

5 équipe suffit ; budget nécessaire par ONG autour de 1000 EUR. ONG recommandent de se réunir pour acheter les seringues ensemble ; FAO propose de grouper les achats et passer commande. Pour cela, FAO propose de partager avec les ONG les caractéristiques des seringues et aiguilles pour les vaccinations PPCB & PPR pour accord (voir annexe) De manière générale, les ONG doivent communiquer à la FAO leurs effectifs anticipés et besoins en réfrigérateurs pour permettre la finalisation du plan d achat ANNEXE : - Fiche technique : caractéristiques des seringues et aiguilles pour les vaccinations PPCB & PPR N hésitez pas à nous contacter pour toute question ou commentaire : - Dr. Bakary Cissé, Vétérinaire, Consultant International FAO: Bakary.Cisse@fao.org - Frederic Linardon, Coordinateur cluster: Frederic.Linardon@fao.org ; Alienor Ader, Co-facilitatrice: alienor.ader@acted.org ; Oscar Gobbato, Cartographie: Oscar.gobbato@fao.org ; Pour consulter tous les documents partagés par le cluster et bien d autres encore, nous vous invitons à visiter le site web du Global Food Security Cluster ainsi que le site web Humanitarian Response Info 5

Enquête sur la transhumance après la crise de 2013-2014 en République centrafricaine

Enquête sur la transhumance après la crise de 2013-2014 en République centrafricaine Enquête sur la transhumance après la crise de 2013-2014 en République centrafricaine Rapport de mission Février 2015 ABRÉVIATIONS ANDE ACDA CRS DPA DRC FAO FNEC ONG PIB PPCB PPR Agence nationale de développement

Plus en détail

SITUATION DE LA TRANSHUMANCE ET ÉTUDE SOCIOANTHROPOLOGIQUE DES POPULATIONS PASTORALES APRÈS LA CRISE DE 2013-2014 EN RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

SITUATION DE LA TRANSHUMANCE ET ÉTUDE SOCIOANTHROPOLOGIQUE DES POPULATIONS PASTORALES APRÈS LA CRISE DE 2013-2014 EN RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE SITUATION DE LA TRANSHUMANCE ET ÉTUDE SOCIOANTHROPOLOGIQUE DES POPULATIONS PASTORALES APRÈS LA CRISE DE 2013-2014 EN RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE RAPPORT CONJOINT DE MISSION FAO DRC CRS VERSION FINALE Financement:

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

Suivi de la Performance du Cluster Sécurité Alimentaire en RCA

Suivi de la Performance du Cluster Sécurité Alimentaire en RCA Suivi de la Performance du Cluster Sécurité Alimentaire en RCA 1. Introduction Rapport final - Décembre 2014 Le suivi de la performance du cluster (Cluster Performance Monitoring) est un processus qui

Plus en détail

Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015

Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015 Compte-rendu de la réunion du vendredi 29 mai 2015 Ordre du jour : Revue de l ordre du jour et des points d action de la dernière réunion - dont Attaques contre les écoles (MENET, Cluster) Bref compte-rendu

Plus en détail

PÉRIODE : Janvier 2015 Décembre 2015

PÉRIODE : Janvier 2015 Décembre 2015 2015 PLAN DE RÉPONSE HUMANITAIRE République Centrafricaine Décembre 2014 PÉRIODE : Janvier 2015 Décembre 2015 100 % 4,8 millions (population totale) 56% de la population totale 2,7 millions nombre estimé

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010

IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 Identification électronique des caprins ELEVEUR IOC 2010 Support à destination des éleveurs caprins CR n 00 10 78 010 La règlementation Le règlement européen 21/2004: les deux étapes Les textes français

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD

Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Offre et demande potentielle ECOWAS STDF 13/ OIE/ FAO/ CIRAD Plan 1. Offre et demande potentielle dans la zone ECOWAS 2. Offre potentielle au Mali 3. Marché au nord du Mali (Gao Algérie) 4. Estimation

Plus en détail

Gnucoop, IT for non profit. Promotion de solutions innovantes en projets humanitaires

Gnucoop, IT for non profit. Promotion de solutions innovantes en projets humanitaires Gnucoop, IT for non profit Promotion de solutions innovantes en projets humanitaires Gnucoop est une société informatique avec une longe expérience en développement de software et administration de systèmes.

Plus en détail

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013 Le Mercredi 10 Juillet 2013 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 13 ème réunion de l année 2013 de Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée par Mme Anne

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire

Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative à la mise en œuvre du protocole régissant les échanges transfrontaliers d animaux de boucherie et volailles d abattage entre

Plus en détail

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int

OIE 12, rue de Prony 75017 Paris France Tel.: 33 (0)1 44 15 18 88 Fax: 33 (0)1 42 67 09 87 www.oie.int oie@oie.int Original : anglais Juillet 2006 RAPPORT DE LA RÉUNION DU BUREAU DE LA COMMISSION SCIENTIFIQUE POUR LES MALADIES ANIMALES Paris, 3-4 juillet 2006 Une réunion du Bureau de la Commission scientifique de l

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS)

23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) 23 ème Edition de la Commission des Statistiques Agricoles pour l Afrique (AFCAS) Rabat (Maroc) du 04 au 07 décembre 2013 PLAN DE PRÉSENTATION (1/2) La description du 4 ème RNA; La méthodologie utilisée;

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) 1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

Section 7. Gestion des données

Section 7. Gestion des données Section 7 Gestion des données 113 Gestion des données Planifier la gestion des données avant leur collecte. Ne pas sous-estimer l ampleur de la tâche. Accorder autant d attention à l extraction des données

Plus en détail

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012

Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012 Le comptage des énergies dans le cadre de la RT 2012 Les articles 23 et 31 de la RT L article 23 la RT 2012: Les dispositifs de comptage concernent les maisons individuelles et les bâtiments collectifs

Plus en détail

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE ÉTUDE DE FAISABILITÉ PORTANT SUR L ÉTABLISSEMENT D UNE PÉPINIÈRE DE CHEVRETTES AU QUÉBEC PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE remis à Société des éleveurs de chèvres laitières de race du Québec Ministère de l Agriculture

Plus en détail

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015

Avancement du projet de création de l institut national de formation. Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 Avancement du projet de création de l institut national de formation Instance Nationale de Concertation 16 avril 2015 2013-2014 2015 1 er janv. 2016 Etat des lieux Création de l institut Définition organisation

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire

Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Réalisation d une adduction d eau potable à pompage solaire Village de Lakoulé, Commune rurale de Koréra-Koré, Cercle de Nioro-du-Sahel, Mali Rapport d avancement n 4 au 20/08/2013 Ce rapport conclut la

Plus en détail

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire

Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité

Plus en détail

Cahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D

Cahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3

Plus en détail

AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX

AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX L Europe pour le bien-être des animaux AMENDEMENTS PROPOSES A LA DECLARATION COMMUNE DE LA COORDINATION COE-UE-OIE SUR LE BIEN-ETRE DES ANIMAUX DEMANDE DE LA FRANCE Si nous voulons clairement intégrer

Plus en détail

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude

Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau

Plus en détail

Foire aux Questions Identification chevaux

Foire aux Questions Identification chevaux Foire aux Questions Identification chevaux 1/ Dans quelle mesure les exigences d identification de l arrêté royal du 16 juin 2005 s appliquent-elles aux chevaux en provenance de l étranger? Qu entend-on

Plus en détail

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS

URGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS 1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION

Plus en détail

Qu est-ce qu un service rendu?

Qu est-ce qu un service rendu? Evaluation économique des services rendus par les écosystèmes Place des inondations Économie et politiques publiques Paris Yann Laurans info@ecowhat.fr Previrisq 2 Comment s évaluent économiquement les

Plus en détail

Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés:

Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés: Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest

Plus en détail

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Small-Satellite Engineering and Applications

Small-Satellite Engineering and Applications Amandine DENIS Satellite Engineering Mai 2008 Aperçu de la présentation 1. De Spoutnik aux CubeSats 2. Caractéristiques-clés des petits satellites 3. Plateformes développées par le SSTL 4. Opportunités

Plus en détail

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS

THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS THÉÂTRE DU BEAUVAISIS Un peu d histoire Enquête publique : le cadre Le dossier Déroulement de l enquête Avis et conclusions du CE Après remise du rapport Octobre 2014 : où en est-on?

Plus en détail

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques!

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas

Plus en détail

MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT

MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT 22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS

Plus en détail

HAPPY PIGS! RÈGLES DU JEU

HAPPY PIGS! RÈGLES DU JEU HAPPY PIGS! RÈGLES DU JEU Nombre de joueurs : 3~6 Durée : 30~45 minutes Age : 8+ L HISTOIRE Après avoir fait de l élevage de dindons (voir notre jeu précédent Happy Turkey Day ), les fermiers ont maintenant

Plus en détail

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,

Plus en détail

Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014

Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014 Draft du rapport de la mission de Monitoring humanitaire à Kabo et Moyenne Sido du 09 au 14 Mai 2014 Introduction Sur recommandation du Comité Humanitaire du Pays, un monitoring des activités humanitaires

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Faire pucer son cheval, c est obligatoire avant le 1 er janvier 2008. Dossier de Presse LES HARAS NATIONAUX, PARCE QU IL Y A DES HOMMES ET DES CHEVAUX

Faire pucer son cheval, c est obligatoire avant le 1 er janvier 2008. Dossier de Presse LES HARAS NATIONAUX, PARCE QU IL Y A DES HOMMES ET DES CHEVAUX Dossier de Presse Mai 2007 Contact presse Hélène de Becdelièvre Chargée de communication 83-85 boulevard V. Auriol 75013 Paris 06 30 10 03 12 www.haras-nationaux.fr Offrez une sécurité et une garantie

Plus en détail

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES

CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES CONSTRUCTION DES COMPETENCES DU SOCLE COMMUN CONTRIBUTION DES SCIENCES PHYSIQUES Compétence du socle : Compétence 6 : Les compétences sociales et civiques. Contribution attendue : Utiliser un produit chimique

Plus en détail

Rapport de la 1 ère visite du pays

Rapport de la 1 ère visite du pays Page 1 sur 11 Protection a l enfance en urgence Suivi de situation et de l intervention Rapport de la 1 ère visite du pays 25 Août 06 Septembre, 2014, Bangui, République Centrafricaine (RCA) Page 2 sur

Plus en détail

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET

BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice

Plus en détail

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011

Références technico-économiques Palmipèdes gras. Année 2011 Références technico-économiques Palmipèdes gras Année 2011 FILIERE LONGUE : ELEVAGE 1-Les points clés de «l'atelier type» élevage d'aujourd'hui DESCRIPTIF 36 000 Volume animal /an 6 000 6 Nb de bandes

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

L UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés

L UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés L UDOPER: une OP construite sur la base des marchés à bétail autogérés A- Présentation de l UDOPER et de ses relations avec les marchés à bétail a. Les marchés à bétail et la naissance de l UDOPER Sur

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

CENTRALE D ACHAT DU GRAND DIJON

CENTRALE D ACHAT DU GRAND DIJON CENTRALE D ACHAT DU GRAND DIJON Location de fontaines à eau, et exploitation de distributeurs automatiques de denrées alimentaires sucrées et salées, boissons fraiches et/ou chaudes Cahier des Clauses

Plus en détail

La démarche commerciale

La démarche commerciale FICHE DE SYNTHÈSE Module 5 La démarche commerciale - MODULE SEMAINE 5 - SOMMAIRE : I) Organiser la prospection et savoir se mettre en situation de réussite par la mise en place d une stratégie de recherche

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels

Plus en détail

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI

Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a

Plus en détail

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole

CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie

Plus en détail

Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016

Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Classe de 6 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petit) Classe de 5 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petits) Classe de 4 ème

Plus en détail

1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE

1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE HHFDS/HS-2007 HAITI HEALTHIER FAMILIES OF DESIRED SIZE 1 OCTOBRE 2004 30 SEPTEMBRE 2007 Uder Antoine, Chef de Mission Adjoint Plan Brève présentation du projet Stratégies spécifiques Mécanismes de financement

Plus en détail

Étiquettes approuvées pour les porcs

Étiquettes approuvées pour les porcs Étiquettes approuvées pour les porcs Programme d identification et de traçabilité des animaux d élevage VERSION 1 1 er juillet 2014 Les étiquettes approuvées sous le programme national d'identification

Plus en détail

L électricité hors-réseau

L électricité hors-réseau L électricité hors-réseau L énergie est là 02 03 Une énergie accessible en zone isolée Notre motivation Environ 1,6 milliard de personnes dans le monde n ont pas accès à l électricité. La majorité vit

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments

Audits énergétiques. L efficacité énergétique dans les bâtiments Audits énergétiques L efficacité énergétique dans les bâtiments Préambule Vos consommations énergétiques vous semblent trop élevées et vous souhaitez améliorer les performances énergétiques de votre bâtiment.

Plus en détail

Bien utiliser le site energychallenge.be

Bien utiliser le site energychallenge.be Cher participant à l Energy Challenge, Ce manuel a pour but de vous expliquer pas à pas l inscription et l utilisation du site www.energychallenge.be. Ce site vous permet de suivre de près votre consommation

Plus en détail

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-

Plus en détail

Dossier de photos du projet de réhabilitation devant le lieu de vie de la Bergerie de Faucon

Dossier de photos du projet de réhabilitation devant le lieu de vie de la Bergerie de Faucon Association Père Guy GILBERT - BERGERIE de FAUCON LIEU DE VIE ROUTE DEPART. 952 www.bergerie-faucon.org bergerie.faucon@orange.fr F 04120 ROUGON fax 04.92.83.76.36 1 Antenne de Paris : 46 rue Riquet 75019

Plus en détail

Rôle des FAI et des Datacenters dans les dispositifs de cyber-sécurité Ou comment tenter de rendre l Internet plus sûr.

Rôle des FAI et des Datacenters dans les dispositifs de cyber-sécurité Ou comment tenter de rendre l Internet plus sûr. Rôle des FAI et des Datacenters dans les dispositifs de cyber-sécurité Ou comment tenter de rendre l Internet plus sûr Alain Cocconi FAI et Data Center: des réseaux différents, problématiques identiques.

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur

Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur Diapositive 1 Préparer votre famille à une situation d urgence Notes de l animateur L animateur se présente; ensuite, il présente le thème ainsi que les membres du groupe. Diapositive 2 Après les présentations,

Plus en détail

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000 Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole

Plus en détail

Modifications apportées au cahier des charges «VBF»

Modifications apportées au cahier des charges «VBF» Modifications apportées au cahier des charges «VBF» Ancien logo Version du 10/11/2005 Nouvelle version 12/02/2014 Préambule Nouveau logo (remplace l ancien) Intégration à la démarche «Viandes de France»

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions

Rôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

NOTE DE POSITION DE LA SOCIETE CIVILE CENTRAFRICAINE

NOTE DE POSITION DE LA SOCIETE CIVILE CENTRAFRICAINE NOTE DE POSITION DE LA SOCIETE CIVILE CENTRAFRICAINE Une réunion de restitution de la rencontre des représentants de la société civile avec la délégation de l Union européenne le 21 Novembre 2014 en vue

Plus en détail

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu

Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu Final Objet: Groupe consultatif de la viande bovine Réunion du 8 septembre 2010 Compte rendu La réunion du Groupe consultatif de la viande bovine a eu lieu le mercredi 8 septembre 2010 à Bruxelles sous

Plus en détail

Bonnes pratiques d hygiène alimentaire

Bonnes pratiques d hygiène alimentaire Bonnes pratiques d hygiène alimentaire En restauration collective Ce stage répond à l obligation de formation en matière d hygiène alimentaire (règlement CE 852/2004) En restauration commerciale Ce stage

Plus en détail

MALAKOFF MÉDÉRIC ASSISTANCE

MALAKOFF MÉDÉRIC ASSISTANCE Votre assistance santé à domicile MALAKOFF MÉDÉRIC ASSISTANCE Avec Malakoff Médéric Prévoyance et MUT2M, bénéficiez de nouveaux services gratuits 24h/24 et 7j/7 grâce à votre n d identification 753734

Plus en détail

VACANCES DE POSTES. I. Lieu d affectation : La préfecture de la KEMO avec des déplacements ponctuels dans la province (République centrafricaine).

VACANCES DE POSTES. I. Lieu d affectation : La préfecture de la KEMO avec des déplacements ponctuels dans la province (République centrafricaine). VACANCES DE POSTES Projet : Projet de Réhabilitation nutritionnelle d urgence au sein des populations (déplacés et autochtones) de l axe Dékoa-Sibut, préfecture sanitaire de KEMO, en RCA Postes vacants

Plus en détail

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe

Theta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,

Plus en détail

14 26 mars 2007. 25 avril 17 mai 2007 8 16 décembre 2007

14 26 mars 2007. 25 avril 17 mai 2007 8 16 décembre 2007 Le Centre de gestion des crises santé animale (CMC-AH) est un mécanisme de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) et de l Organisation mondiale de la santé animale

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 07 Novembre 2012

Coordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 07 Novembre 2012 Compte-Rendu de la Réunion du Le mercredi 07 novembre 2012 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 32 ème réunion de la Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée

Plus en détail

Caisse Nationale de Mutualité Agricole

Caisse Nationale de Mutualité Agricole Séminaire national sur la vulgarisation, l appui-conseil et les bonnes pratiques agricoles Le rôle des Assurances Agricole dans le développement de la politique du renouveau Agricole et Rural Présentation

Plus en détail

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz

Conférence d Oslo. Présentation générale des premières décisions à adopter. par le Comité de suivi de la convention. par Marie-Françoise Glatz Conférence d Oslo Présentation générale des premières décisions à adopter par le Comité de suivi de la convention par Marie-Françoise Glatz Le Comité de suivi va devoir, dès sa première réunion, travailler

Plus en détail

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION

FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

IMPACTE DE LA CRISE POLITICO-MILITAIRE DE 2013-2014 SUR LE PASTORALISME ET LA TRANSHUMANCE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE

IMPACTE DE LA CRISE POLITICO-MILITAIRE DE 2013-2014 SUR LE PASTORALISME ET LA TRANSHUMANCE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE IMPACTE DE LA CRISE POLITICO-MILITAIRE DE 2013-2014 SUR LE PASTORALISME ET LA TRANSHUMANCE EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE RAPPORT D ETUDE SOCIO-ANTHROPOLOGIQUE DU CONFLIT TIDJANI IBRAHIM Consultant National

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre

Plus en détail

REPUBLIQUE DU SENEGAL

REPUBLIQUE DU SENEGAL REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un but Une Foi MINISTÈRE DE LA PRÉVENTION, DE L HYGIÈNE PUBLIQUE, DE L ASSAINISSEMENT ET DE L HYDRAULIQUE URBAINE DIRECTION DE L ASSAINISSEMENT ET DE L HYDRAULIQUE URBAINE

Plus en détail

Quelles sont les chances des petits producteurs de se

Quelles sont les chances des petits producteurs de se Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer

Plus en détail