Définitive si refus explicite, sinon exclusion de 2 ans. AdemA 80

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1 CRITERES D EXCLUSION VALIDES PAR LE GROUPE NATIONAL DE SUIVI DU 1 ER JUILLET 2008 Type d exclusion ATCD de Cancer colorectal ATCD de Polypes adénomateux et suivi par coloscopie Polypes hyperplasiques de grande taille (1 cm) et suivi régulier Maladies inflammatoires chroniques intestinales Position du GNS ATCD familiaux de cancer - Un ATCD de 1 er degré avant 6 ans - Deux ATCD ou plus quel que soit l âge ATCD familiaux de polypes adénomateux avancés au 1 er degré et suivi coloscopique Examens : - coloscopie totale complétée ou non par un ans lavement baryté et/ou un coloscanner - coloscanner seul 2 ans > sous réserve - recherche de sang dans les selles (autre modalité que le test Hemoccult) 2 ans Maladies intercurrentes (autres cancers, maladies, personnes dépressives, ), évènements de vie, accidents récents Refus si l exclusion est signée par le médecin traitant Sinon exclusion de 2 ans si refus explicite, sinon exclusion de 2 ans L'AFFICHETTE DESTINÉE À LA SALLE D'ATTENTE DES MÉDECINS AdemA 80 Association pour le dépistage des maladies dans la Somme 7, rue Jean Calvin Amiens Cedex 1 Secrétariat Côlon > Tél : Secrétariat Sein > Tél : H. Delattre Massy coordonnateur > Tél : Fax : adema.80@wanadoo.fr

2 Dépistage organisé du cancer colorectal RÉSULTATS ANNÉES 2009 / 2010 Avril 2011 Juin NUMÉRO SPÉCIAL Années «DÉPISTAGE ORGANISÉ DU CANCER COLORECTAL» A.DE.MA 80 a 20 ans Comment oublier les débuts de notre Association, ne pas voir le chemin parcouru et mesurer tout ce qui reste encore à faire? Tout a commencé à partir d une idée simple : est-il possible de transformer le camion de radio dépistage de la tuberculose, désarmé, en camion de dépistage des cancers du sein? Après en avoir discuté sur le plan technique et radiologique avec le Professeur Yves Grumbach, il fallait convaincre les financeurs et les décideurs. Dans ces années 80 il m a donc fallu faire passer l idée qu il était possible d obtenir une baisse de la mortalité (0 % à 10 ans à l époque!) au prix de traitements moins agressifs en repérant dans la population les femmes à risques âgées de 0 à 69 ans. L Association de DEpistage des MAladies dans la Somme est ainsi née en 1990 avec l aide de Monsieur Moularde, Docteur vétérinaire et responsable de la Commission Santé du Conseil Général, Monsieur Ossart et Danièle Lau à la Caisse d Assurance Maladie de la Somme, le Docteur Vladimir Guiheneuf toujours partant pour améliorer la santé de la population, le Docteur Chamu Président du principal syndicat de médecins, le Docteur Trobas pour son dynamisme et sa collaboration, Gérard Dubois qui a défendu notre dossier devant les décideurs du fond de prévention à Paris. Sans ce noyau dur et sans tous ceux que je m excuse de ne pas citer, nous n aurions jamais pu être le 4 ème département français à mettre ce dépistage en pratique. Les premières années furent difficiles. Il suffit d en parler à Carole qui a vécu ces 20 ans d A.DE.MA. : peu de moyens financiers, nécessité de convaincre la population à ces nouvelles pratiques, d abord une seule radio par sein tous les 3 ans et pour améliorer la qualité, passage à 2 radios par sein, contrôle des mammographes, 2 ème lecture centralisée. Malgré les publications scandinaves, difficulté à convaincre tous les intervenants. Nous arrivons ainsi à 2003 où le gouvernement décide, devant les bons résultats sur la baisse de la mortalité des premiers départements, de généraliser le dépistage. Ce fût le bond en avant. Ceci nous a permis d atteindre, avec Madame Delattre, le taux de 60 % de femmes dépistées sur 2 ans dans la Somme. Maintenant il reste bien sûr à maintenir ce taux et surtout à encore l améliorer pour atteindre et dépasser les 70 %. Il reste à suivre un chemin équivalent pour les cancers colorectaux, peut-être enfin s occuper des cancers du col de l utérus, améliorer la qualité. Et pourquoi-pas s attaquer à d autres cancers? Pour tous ces cancers, plus ils sont détectés tôt plus il est possible de les guérir, tant que nous ne savons pas les prévenir. Merci encore à vous tous, partenaires du réseau d A.DE.MA. 80, de votre participation pour améliorer l exhaustivité, la qualité et, en particulier à vous tous, Professionnels de Santé, dont l implication active est essentielle pour informer, sensibiliser, inciter, accompagner la population vers le dépistage. Longue vie à A.DE.MA Professeur Alain Dubreuil Président d ADEMA 80 Edito Ce numéro thématique consacré au dépistage organisé du cancer colorectal vous est proposé à la suite de la récente campagne nationale d information et de mobilisation contre le cancer colorectal. Mars Bleu, a consisté en la mise en place de manifestations locales et en la diffusion dans les médias nationaux de messages destinés à sensibiliser les personnes de plus de 0 ans à l importance du dépistage du cancer colorectal et pour les inciter à y participer. Ce nouveau programme d information de l Institut National du cancer a eu pour objectif principal d inciter les sujets appartenant à la population cible (0 à 74 ans) à aborder le sujet avec leur médecin traitant. C est le sens du message Dès 0 ans, c est le moment de parler du dépistage du cancer colorectal à mon médecin maintes fois répété dans les médias audiovisuels au cours de ce mois de mars. Le cancer colorectal constitue, avec environ décès estimés en 2010 (pour nouveaux cas diagnostiqués), la deuxième cause de mortalité par cancer en France, après le cancer du poumon. Le dépistage des polyadénomes coliques et des cancers colorectaux à un stade précoce chez les sujets asymptomatiques de la population cible pourrait permettre, à terme, de réduire de 20% la mortalité de ce cancer chez les participants. Ces résultats ne pourront être obtenus que si 0% au moins de cette population de sujets de plus de 0 ans participent à ce dépistage. Si la campagne d information du public, telle qu elle a été faite récemment, est importante, la participation des médecins est primordiale avec l explication à leurs consultants des modalités du dépistage et la remise des tests. Vous trouverez dans ce numéro les premiers résultats de participation nationaux et départementaux communiqués par l Institut de Veille Sanitaire. Avec seulement 34 % de participants parmi les 17 millions de Français concernés, le dépistage organisé du cancer colorectal n'atteint pas les objectifs qui permettraient d obtenir un bénéfice en termes de réduction de la mortalité et de diminution des dépenses de santé. Dans le département de la Somme, la participation ( ), de 32%, reste inférieure à la moyenne nationale. Même si 183 cancers et plus de 360 polyadénomes à risque (> 10 mm) ont été diagnostiqués depuis avril 2007 chez des sujets participants au dépistage organisé, il est nécessaire (et possible) d améliorer ces résultats. La prévention des cancers ne peut pas se faire sans votre implication, et nous comptons sur vous pour faire prendre conscience à la population de ce risque et des moyens de le prévenir. Professeur Jean-Louis Dupas Centre Hospitalier Universitaire Amiens

3 EPIDÉMIOLOGIE EN FRANCE Cancer Nombre de cas Décès Prostate Sein Colorectal Poumon Projections 2010 (INVS) 2/3 des cancers atteignent le côlon, 1/3 le rectum 49% de ces cancers sont diagnostiqués entre 0 et 74 ans. EPIDÉMIOLOGIE DANS LA SOMME Source : Registre des cancers de la Somme Taux standardisé mondial pour femmes Côlon-rectum / FEMME Derniers chiffres de la Somme : Incidence 20.1 TSM (2007) Mortalité 11.4 TSM (200) Taux standardisé mondial pour hommes Côlon-rectum / HOMME Derniers chiffres de la Somme : Incidence 40.2 TSM (2007) Mortalité 21.0 TSM (200) France / incidence France / mortalité Somme / incidence Somme / mortalité 2

4 PARTICIPATION RÉSULTATS DU PROGRAMME DE DÉPISTAGE ORGANISÉ PAR L INSTITUT DE VEILLE SANITAIRE Taux de participation INSEE années France entière 34.0% Picardie 31.1% Aisne 3.9% Oise 27.1% Somme 32.1% PARTICIPATION AU PROGRAMME DE DÉPISTAGE ORGANISÉ DU CANCER COLORECTAL ANNÉE Taux de participation Insee par région 4,2 Guadeloupe Moyenne française : 34.0% > 4% 40 à < 4% 3 à < 40% 30 à < 3% < 30% Non inclus*,7 7,7% A 60,4 7 Martinique A P * Département n ayant pas 2 ans de recul depuis la mise en place de leur programme départemental Sources : Institut de Veille Sanitaire - 1 er mars 2011 Guyane R Réunion RÉSULTATS PAR CANTON Taux de participation au dépistage organisé du cancer colorectal par rapport à la population INSEE ( ) Rue 26,7% St Valéry sur-somme 27,9% Ault 33,% Friville Escarbotin 37,3% 32,6% Gamaches 30,8% 36,3 à 4,7 % (3) 32,6 à 36,2 % (4) 28,8 à 32, % (17) 20,9 à 28,7 % (14) Crécy-en-Ponthieu 2,9% Nouvion 28% Moyenneville Données population estimation OR2S 2006,7 Abbeville 26,2% Hallencourt 29,7% Oisemont 29,3% Bernaville Ailly-le- 21,4% A Haut 7,7% Clocher Domart-en 31% Ponthieu 31,3% Hornoyle-Bourg 28,1% Poix-de-Picardie 2,7% Picquigny 31,9% Molliens- Dreuil 30,9% 4,2 Conty 33,7% Doullens 30,% Villers-Bocage 38,3% Amiens 29,1% Ailly-sur-Noye 27,6% Acheux-en Amienois 60,42,8% 7 Corbie 31,4% Boves 37,% Moreuil 31,3% A Albert 26,7% Combles 20,9% Bray-sur-Somme 27,9% Mondidier 31,8% Chaulnes 30% R Rosieres-en Santerre 34% Roye 29% Péronne 30,9% Roisel P2,1% Ham 31,3% Nesle 31,% Moyenne de la Somme : 32.1% 3

5 INVITATIONS AU DÉPISTAGE hommes et femmes âgés de 0 à 74 ans ont été invités. RÉSULTATS DE LA SOMME TESTS RÉALISÉS Parmi eux, personnes ont fait le test (4.3% de femmes et 4.7% d hommes) Le taux d exclusion du programme est de 12.7% (moyenne nationale 10.6% ) Les résultats de la Somme sont comparés avec les résultats des départements pilotes publiés par l INVS en décembre TESTS NON ANALYSABLES.6% Départements pilotes 3.1% Résultat avant changement de conditionnement TESTS POSITIFS 3.1% Départements pilotes 2.% Ce taux très élevé pour l ensemble de la Picardie au lancement de la campagne (.4% pour la Somme en 2007) est en baisse constante. SUIVI DES TESTS POSITIFS PAR ANNÉE (Actualisation au 09/03/2011) Coloscopies réalisées après un test positif Somme Nombre de Pourcentage de personnes ayant réalisé coloscopies une coloscopie après un test positif % % % % Départements pilotes 8.9% Lésions détectées Somme % de coloscopies % de coloscopies % de coloscopies mettant en évidence détectant au moins détectant un adénome ou un cancer un adénome un cancer % 30.1% 7.9% % 27.7% 7.8% % 30.7% 8.0% Départements pilotes 32.1% 7.0% SUIVI DES TESTS POSITIFS PAR ANNÉE (Actualisation au 09/03/2011) Lésions détectées Somme Adénomes pour Adénomes>10mm Cancers pour 1000 personnes pour 1000 personnes 1000 personnes dépistées dépistées dépistées Départements pilotes Les données de l année 2009 seront réactualisées au fur et à mesure des remontées d information. Pour 2010, ADEMA 80 attend encore les résultats du suivi endoscopique de 439 patients. Au vu de ces résultats, qui devront être confirmés par l Institut de Veille Sanitaire, il apparaît que le taux de cancers dépistés dans le département de la Somme est supérieur à la moyenne nationale, ce qui est à rapprocher avec les variations régionales de l incidence du cancer colorectal.

6 EN PRATIQUE TESTS NON ANALYSABLES Taux de tests non analysables % % % % Le taux élevé de tests non analysables depuis janvier 2010 est la conséquence du changement de présentation du test, le laboratoire de lecture refusant les plaquettes non identifiées même si la pochette les contenant est identifiée. Comme il est rappelé dans la BD explicative, il est indispensable de coller une étiquette code-barres sur la plaquette. CARNET DE REMISE DE TEST Pour que les tests puissent être comptabilisés dans l indemnisation annuelle forfaitaire des médecins, les fiches de remise de test doivent être envoyées à ADEMA 80 avant le 31 janvier de l année N+1. À cette date le nombre de tests lus par médecin est transmis à la CPAM afin qu elle effectue les paiements. SUIVI DES TESTS POSITIFS Le recueil du suivi médical des patients ayant eu un test positif permet l évaluation de la campagne au niveau local et la restitution des résultats. Au niveau national, les données anonymisées sont transmises annuellement à l Institut de Veille Sanitaire qui réalise les évaluations épidémiologiques des campagnes de dépistage organisé. En pratique le circuit est le suivant : ADEMA 80 sollicite par courrier le médecin traitant du patient ayant eu un test positif pour connaître le nom du gastro-entérologue chez lequel il l a adressé. Une fois cette information reçue, ADEMA 80 contacte par courrier le gastroentérologue afin de recueillir les résultats de la coloscopie et le cas échéant les résultats histologiques. En l absence de réponse ADEMA 80 sollicite directement le patient. En dernier lieu ADEMA 80 est tenue par les recommandations nationales d envoyer un courrier dit d ultime relance aux patients n ayant pas effectué de coloscopie suite à un test positif, en les informant des risques. Le médecin reçoit également un courrier en parallèle, l informant que son patient est exclu de la campagne de dépistage organisé. FAUT-IL REFAIRE UN AUTRE TEST QUAND LE TEST EST POSITIF? Les lésions saignant par intermittence, il est inutile de refaire un autre test qui, s il est négatif, pourrait faussement rassurer le patient. De même des saignements hémorroïdaires ou toute autre cause interférente peuvent masquer un saignement digestif et une coloscopie est nécessaire pour trouver l origine du saignement. CHANGEMENT DU NOMBRE D ÉTIQUETTES SUR LES INVITATIONS À la suite du changement de conditionnement du test Hemoccult qui est passé de trois à une plaquette, ADEMA 80 a décidé de réduire le nombre d étiquettes sur les courriers d invitation destinés aux patients ; ceci était destiné à réduire les frais d imprimerie. En effet, il suffit de deux étiquettes l une pour le carnet du médecin et l autre pour identifier la plaquette (l étiquetage de la pochette d envoi du test, bien qu un emplacement existe sur la pochette n est pas nécessaire au laboratoire pour l identifier). Cette formule ne faisant pas l unanimité, les envois suivants ont été de faits en reprenant l ancien courrier comportant six étiquettes. RAPPEL Merci de nous transmettre, si ce n est déjà fait, votre adresse Apicrypt pour la transmission informatisée des résultats de vos patients. RÉSERVATION DE L EXPOSITION L exposition de l Institut National du cancer consacrée au dépistage organisé du cancer colorectal peut être réservés à ADEMA 80 par courrier, par mail via le site Internet ou par téléphone. SITE INTERNET La partie réservée aux professionnels de santé est accessible avec le mot de passe suivant : depistage80 Cette partie contient les numéros d ADEMA INFO, ainsi que des publications en rapport avec le dépistage organisé des cancers et leur prévention

7 6 LES TESTS IMMUNOLOGIQUES À partir des résultats d études montrant une supériorité des performances des tests immunologiques à lecture automatisée à celles du test au gaïac (adénomes avancés et cancers), la Haute Autorité de Santé a préconisé l utilisation des tests immunologiques dans le programme national de dépistage organisé. Le Plan cancer prévoit par ailleurs, dans l action 16.3, de déployer progressivement l utilisation du test immunologique de dépistage du cancer colorectal sur l ensemble du territoire. Les principaux avantages des tests immunologiques Ils sont spécifiques du sang d origine humaine La détection est basée sur une réaction antigène-anticorps avec l utilisation d anticorps spécifiques de la partie globine de l hémoglobine humaine. Ils apportent un gain en termes de sensibilité L INCa a financé plusieurs études, sous la coordination des professeurs Launoy et Faivre dans huit départements français. Les résultats confirment le gain de sensibilité par rapport au test au gaïac. De manière globale, les tests immunologiques permettent de détecter 2 à 2, fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d adénomes avancés au seuil de positivité choisi dans la plupart des études. Ces gains de sensibilité concernent davantage les lésions précancéreuses ou les cancers de stade précoce. La fiabilité des résultats est améliorée grâce à l automatisation La lecture automatisée des tests immunologiques est l un des principaux avantages pour le programme et devrait permettre le renforcement de l assurance qualité dans le dispositif.toutefois, les automates de lecture sont, dans la majorité des cas, spécifiques de chaque test mis actuellement sur le marché. Au final, la lecture automatisée soulève la question d une réorganisation de la lecture des tests de dépistage. Il est possible de moduler le seuil de positivité de chacun des tests Le seuil de positivité a un impact important, tant en termes sanitaire (plus le seuil est bas,plus il entraîne de coloscopies donc de risques liés à cet examen), qu organisationnel et économique du fait de l augmentation du nombre de coloscopies. La valeur du seuil optimal de positivité, variable selon chaque test, reste à déterminer pour chacun d entre eux. Au-delà des aspects sanitaires, ce seuil conditionne aussi le nombre de prélèvements à réaliser, avec leur impact en termes d acceptabilité, de conservation, de coût d emballages et de transports. Source : Institut National du Cancer Les questions soulevées par l utilisation des tests immunologiques Problèmes de stabilité de l hémoglobine au sein du kit de dépistage Pour les tests immunologiques, et de façon assez hétérogène selon les fabricants, la stabilité de la globine à température ambiante dépasse rarement les 10 jours et se montre même problématique pour des températures dépassant 30 C. L impact constaté est la diminution des capacités de détection portant plus sur les adénomes que sur les cancers. Les fabricants travaillent à l amélioration des tampons des kits de dépistage pour minimiser la dégradation de l hémoglobine entre le prélèvement et l analyse ; problème d ores et déjà constaté au sein des programmes de dépistage en Toscane et en Australie. La détermination du nombre de prélèvements de selles La plupart des études initiales sur les tests immunologiques ont été faites avec deux prélèvements. Les études les plus récentes suggèrent qu un prélèvement unique de selles pourrait permettre de reproduire la performance de deux prélèvements à la condition d un seuil de positivité inférieur (dont la valeur optimale reste à préciser). Au-delà des considérations cliniques, la modalité à un prélèvement conditionne le coût, mais également le délai d acheminement du test et un éventuel impact sur le degré de participation (un seul prélèvement contre 6 actuellement). Les modalités de transport des tests Compte tenu de la nécessité de maintien de l échantillon de selles en milieu liquide, le transport des tests devrait se faire au sein d un triple emballage. Le groupe La Poste, après avis du Haut Conseil de la Santé Publique et après avoir réalisé des tests sur ses chaînes de production, a récemment précisé les modalités d acheminement par voie postale. Les questions économiques Ces questions sont encore en évaluation. L impact économique sur le programme doit être précisé. L INCa a lancé des études afin de compléter les analyses disponibles. On sait déjà que les différents tests immunologiques actuellement disponibles sont proposés avec des coûts d utilisation (en prenant en compte les consommables et automates de lecture) estimés à environ deux fois ceux du test actuel. Au total, des réponses sont d ores et déjà apportées aux questions soulevées par l utilisation des tests immunologiques dans ce programme de dépistage à une grande échelle. La décision sur les modalités d utilisation d un test immunologique devra viser à l équilibre optimal entre sensibilité et spécificité, afin d une part d améliorer la détection des adénomes avancés et des cancers colorectaux et d autre part de maîtriser la prescription de coloscopies pouvant s avérer inutiles, dans un souci de maîtrise des surcoûts pouvant être engendrés et de maintien de la qualité du dispositif.

8 PRÉVENTION DU CANCER COLORECTAL Le cancer est une maladie multifactorielle dans laquelle interviennent des facteurs génétiques, hormonaux et environnementaux au sens large (tabagisme, alimentation, niveau d activité physique, exposition à des produits chimiques ). La nutrition, qui recouvre à la fois l alimentation et l activité physique, ainsi que le tabagisme jouent un rôle important dans l explication de la survenue des cancers colorectaux. Ce sont des facteurs sur lesquels il est possible d agir pour accroître la prévention primaire de ces cancers. Prévention nutritionnelle du cancer colorectal Facteurs de risque Les données convaincantes et probables sur les facteurs qui augmentent le risque du cancer colorectal concernent principalement le surpoids et l obésité, la consommation de boissons alcoolisées et l excès de viandes rouges et de charcuteries. > L augmentation de la corpulence est associée à une augmentation du risque du cancer du côlon-rectum. Pour une augmentation de la corpulence de points d Indice de masse corporelle (IMC), il a été estimé un pourcentage d augmentation du risque de 1 % du cancer colorectal. Une augmentation significative du risque est également observée avec l augmentation de l adiposité abdominale, que celle-ci soit estimée par le tour de taille ou par le rapport tour de taille/tour de hanche. > La consommation de boissons alcoolisées est associée à une augmentation du risque du cancer colorectal. > La consommation excessive de viandes rouges (boeuf, porc, mouton) et charcuteries est associée avec un risque accru de cancer du côlon et du rectum. Facteurs protecteurs Parmi les facteurs qui diminuent le risque de cancer du côlon-rectum avec un niveau de preuve jugé convaincant ou probable, il faut retenir l activité physique, une alimentation riche en fibres (céréales complètes, fruits, légumes, légumineuses) ainsi que la consommation de lait et de calcium. À côté de son implication dans la protection vis-à-vis de la surcharge pondérale, l activité physique est associée à une diminution de risque de cancers du côlon. Le pourcentage de diminution du risque pour les individus les plus actifs par rapport aux moins actifs se situe entre 18 et 29 % selon le type d activité physique considéré ou son intensité. La réduction du risque de cancer du côlon est observée pour une durée de 1 à 2 heures par jour d activité physique d intensité modérée à élevée. Cet effet protecteur de l activité physique pour le cancer du côlon n est pas retrouvé pour le cancer du rectum. Autres facteurs de risque du cancer colorectal Depuis 2009, le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) a ajouté les cancers colorectaux à la longue liste des cancers favorisés par le tabagisme (Secretan et al. 2009). En effet, une méta-analyse a montré qu il existe une augmentation d environ 20 % du risque de survenue de cancer colorectal chez les personnes fumeuses par rapport à celles n ayant jamais fumé. Le risque étant lié à l ancienneté de la consommation tabagique, il n atteint un niveau statistiquement significatif qu après 30 ans de tabagisme (Botteri et al. 2008). Source : Institut National du Cancer NOUVELLE CAMPAGNE NATIONALE DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL tous les 2 ans jusqu à 74 ans DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL tous les 2 ans jusqu à 74 ans - R.C.S. Nanterre B Levallois-Perret. - R.C.S. Nanterre B Levallois-Perret. À PARTIR DE 0 ANS, LE BON RÉFLEXE, C EST DE PARLER DU DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL AVEC VOTRE MÉDECIN TRAITANT. simple et indolore à faire chez vous, aux toilettes. re guéri dans 9 cas sur 10. À PARTIR DE 0 ANS, LE BON RÉFLEXE, C EST DE PARLER DU DÉPISTAGE DU CANCER COLORECTAL AVEC VOTRE MÉDECIN TRAITANT. Il vous remettra un test gratuit, simple et indolore à faire chez vous, aux toilettes. Quand il est dépisté à temps, un cancer colorectal peut être guéri dans 9 cas sur 10. Si vous avez entre 0 et 74 ans et que vous n avez pas reçu la lettre d invitation au dépistage du ca colorectal, contactez : 7

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