Enjeux dosimétriques des examens par scanners médicaux
|
|
- Ernest St-Pierre
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Enjeux dosimétriques des examens par scanners médicaux Jean Louis Greffe, CHU de Charleroi Christian Hunin, RP Protect Sébastien Bontemps, CN Tihange Dr Tack, RHMS Baudour Dr Christian Delcour, CHU de Charleroi Computed Tomography An Increasing Source of Radiation Exposure, David J. Brennet and al, The New England Journal of Medicine, 357,22, nov /11/2011 jean charleroi.be 1
2 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 2
3 Place du CT Réf: Dose Reduction in CT while maintaining diagnostic confidence: a feasibility/demonstration study, IAEA TECDOC 1621 sept2009, 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 3
4 Place du CT au US Guide to Low Dose, Siemens, p7, /11/2011 jean charleroi.be 4
5 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 5
6 Contexte réglementaire Transposition Directive 97/43 du 30 juin 1997 Décret n du 24/03/2003 introduisant dans le CSP les modalités d application des principes de justification et d optimisation Décision du 22 novembre 2007 fixant les modalités du contrôle de qualité des scanographes Délivrer la dose la plus faible possible compatible avec l obtention d une image fournissant l information diagnostique recherchée. 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 6
7 Les principes de base de la radioprotection Justification des pratiques utilisant les rayonnements ionisants Optimisation de la radioprotection Article 9: Limitation des doses individuelles Euratom Niveaux de référence diagnostiques européens Euratom Sept 15/11/ jean charleroi.be 7
8 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 8
9 Radioprotection: la dose Dose absorbée D a[gy] = de d m J] [kg] Energie que la radiation dépose par unité de masse de matière. Dose équivalente W R Rayonnements Photon 1 électron 1 Proton 5 Neutron 5 à 20 Particule 20 H T,R [Sv] = R D T,R x W R Effets biologiques selon la nature des rayonnements Dose efficace E [Sv] = T H T x W T Au niveau de l organisme entier, même effet sur la santé que les doses différentes reçues au niveau de différents organes Réf: ICRP (1993) Recommendations (ICRP publication 60). Annals ICRP Oxford, Pergamon Press.21 :415. W T Tissu ou organe gonades (ovaires testicules) 0,20 moelle osseuse 0,12 colon 0,12 poumon 0,12 estomac 0,12 vessie 0,05 seins 0,05 foie 0,05 œsophage 0,05 thyroïde 0,05 peau 0;01 surface des os 0,01 autres tissus ou organe 0,05 somme 1,00 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 9
10 Dosimétrie d un CT Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie (CTDI) Computed Tomography Dose Index Mode séquentiel [mgy] D(z) = Profil de dose selon l axe z pour 1 rotation de 360 N = Nombre de coupes T = Largeur nominale des coupes N x T = Largeur de collimation du faisceau Le CDTI 100 est mesuré avec une chambre crayon dont le volume sensible à une longueur de 100 mm. 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 10
11 Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie Pondéré (CTDI w ) Weighted Computed Tomography Dose Index Mesure dans un fantôme cylindrique en pmma: CTDI w = (1/3 CTDI 100,c + 2/3 CTDI 100,p ) [mgy] au centre CDTI 100,c en périphérie CDTI 100,p Normalisé à 100 mas n CTDI w 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 11
12 Grandeurs dosimétriques spécifiques Indice de Dose de Scanographie Volumique (CTDI vol ) Volume Computed Tomography Dose Index Mode hélicoïdal Mode séquentiel avec des coupes jointives CTDI vol = CTDI w / Pitch d = Distance parcourue par la table pour une rotation de 360 N = Nombre de coupes T = Largeur nominale des coupes Pitch = d / (N T) CTDI vol = n CTDI w mas eff / /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 12
13 Mode hélicoïdal CTDI 100,c Tension = 120 kv Charge = 200 mas Temps de rot = 0,5 s Temps d irradiation = 3,04 s Pitch = 1 Epaisseur de coupe 64 x 0,6 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 13
14 Mode hélicoïdal sur 10 cm de longueur Tension = 120 kv Charge = 200 mas Temps de rot = 0,5 s Temps d irradiation = 3,04 s Pitch = 1 Epaisseur de coupe 64 x 0,6 CTDI 100,p 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 14
15 Produit dose longueur (DLP) Dose Length Product Grandeurs dosimétriques spécifiques DLP =CTDI vol L [mgy cm] Avec L la longueur total explorée = temps d irrad x vitesse de dépl table En mode séquentiel En mode hélicoïdal 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 15
16 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 16
17 Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : La géométrie: répartition de la dose Problématique de la dosimétrie en acanographie, Francis R. Verdun, Institut Universitaire de radiophysique, Lausanne 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 17
18 Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Qualité du faisceau 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 18
19 Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Qualité du détecteur Feuillet radiologique CT, , n2, Vol 42,, /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 19
20 Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : Collimateur en entrée et en sortie Guide to Low Dose, Siemens, p41, /11/2011 Feuillet radiologique CT, , n2, Vol 42,, 2002 jean louis.greffe@chu charleroi.be 20
21 Les facteurs primordiaux qui influencent la dosimétrie d un scanographe sont : La filtration du faisceau Caractéristique du foyer 0,8x0,5 mm²/ 0,8x0,7mm² 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 21
22 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 22
23 Lors de l acquisition, les grandeurs sont: La tension du tube Dose ~ kv² De 120 à 140 kvp + 50 % De 120 à80 kvp 75 % Remy Jardin Eur Radiol 2003, 13: /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 23
24 Lors de l acquisition, les grandeurs sont: Le courant du tube Temps d acquisition Dose ~ ma(s) 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 24
25 Lors de l acquisition, les L épaisseur de coupe grandeurs sont: De 5 à2.5 mm + 10 % De 2,5 à1 mm + 22 % De 1 à0,5 mm + 75 % Remy Jardin Eur Radiol 2003, 13: /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 25
26 Lors de l acquisition, les grandeurs sont: Le pitch Pitch 1,5 Pitch 0,75 Feuillet radiologique CT, , n2, Vol 42,, /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 26
27 Lors de l acquisition, les grandeurs sont: La longueur de l exploration Nombre d acquisition Patient 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 27
28 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 28
29 Optimiser la dosimétrie Système de modulation de l intensité du courant Guide to Low Dose, Siemens, p41, 2011 Guide to Low Dose, Siemens, p43, /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 29
30 Optimiser la dosimétrie Système de modulation de la tension Guide to Low Dose, Siemens, p41, /11/2011 jean charleroi.be 30
31 Optimiser la dosimétrie Collimateur asymétrique Guide to Low Dose, Siemens, p48 49, /11/2011 jean charleroi.be 31
32 Optimiser la dosimétrie Système de modulation fonct. de l organe Guide to Low Dose, Siemens, p54, 2011 ICRP /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 32
33 Optimiser la dosimétrie Système de RP personnel Guide to Low Dose, Siemens, p41, /11/2011 jean charleroi.be 33
34 Optimiser la dosimétrie Système de RP pédiatrie Guide to Low Dose, Siemens, p41, /11/2011 jean charleroi.be 34
35 Optimiser la dosimétrie Amélioration de la reconstruction de l image: Reconstruction itérative Guide to Low Dose, Siemens, p41, /11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 35
36 Optimiser la dosimétrie Adaptative cardio Guide to Low Dose, Siemens, p46, /11/2011 jean charleroi.be 36
37 Optimiser la dosimétrie 3D Care Dose4D SmartBeam X ray beam filtration IQ Brilliance CT BrightSpeed Elite Smart Track 16 x 0.75 Adaptative 4D Noise Reduction Auto ma Smart ma Optidose Foyer dynamique Pediatric 3D dose modulation ECG Dose Modulation SAFIRE 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 37
38 Introduction Législation Dose D = f(ct) D = f(utilisat) D = f(optim) Plan phys med 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 38
39 La législation améliore la dosimétrie 15/11/2011 jean charleroi.be 39
40 La législation améliore la dosimétrie Mise en place du plan physique médicale Contrôle de qualité plus fréquent, plus strict Etude statique de la dosimétrie patient Niveau de référence diagnostique Formation continuée 15/11/2011 jean charleroi.be 40
41 La législation améliore la dosimétrie 15/11/2011 jean charleroi.be 41
42 Niveau de référence diagnostique Journal officiel de la répubilque française 16/3/2004 Moniteur Belge du 28/09/ /11/2011 jean charleroi.be 42
43 Enjeux dosimétriques D = f(ct) Géométrie Qualité RX et détecteurs Système de collimation D = f(utilisat) Tension, charge Longueur d exploration Patient D = f(optim) f(ma, kv, colli, ) reconstruction Plan phys med Contrôle de qualité Formation Conclusions 15/11/2011 jean louis.greffe@chu charleroi.be 43
44 Merci jean charleroi.be 15/11/2011 jean charleroi.be 44
SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION
SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION Y-S Cordoliani pour le Groupe de travail Radioprotection de la SFR Le savoir-faire en imagerie utilisant les rayons X impose la connaissance des risques que ceux-ci peuvent
Plus en détailDOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public
R A P P O R T DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public Rapport DRPH/SER N - DIRECTION DE LA RADIOPROTECTION
Plus en détailMODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE
Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE
Plus en détailLa dosimétrie physique, mesurer pour optimiser
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine
Plus en détailLe Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide
Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide Le Black Piranha et ses accessoires permettent un contrôle qualité simple et rapide des
Plus en détailRISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER
RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER Journy N 1, Mezzarobba M 1, Rehel JL 2, Ducou Le Pointe H 3, Aubert B 2, Laurier D 1, Bernier MO 1 Institut de Radioprotection
Plus en détailUN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C
CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailBases physiques de l imagerie en
Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika
Plus en détailPhysique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale
Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Mention : Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Nature de la formation :
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailComplément: Sources naturelles de rayonnement
Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à
Plus en détailORTHOPHOS XG 3 DS. Systèmes de radiographie. ORTHOPHOS XG 3 l accès facile à la panoramique numérique.
ORTHOPHOS XG 3 DS Systèmes de radiographie l accès facile à la panoramique numérique. Conception clichés panoramiques avec technologie XG. technique et design en harmonie. fiable économique 1 Profitez
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailObjet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection
Référence : LIST/DM2I/LNHB/14-0470/LdC-dr Saclay, le 10 octobre 2014 Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailPhysique appliquée à l exposition externe Dosimétrie et radioprotection
Physique appliquée à l exposition externe Dosimétrie et radioprotection Springer Paris Berlin Heidelberg New York Hong Kong London Milan Tokyo Rodolphe Antoni, Laurent Bourgois Physique appliquée à l exposition
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailRad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical
Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde
Plus en détailSensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants
Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des
Plus en détailFRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.
GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailLes bases physiques de l'imagerie radiologique
Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits
Plus en détailPROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES
PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailN/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection
Plus en détailRAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE
Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLes ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur
Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications
Plus en détailTeamConnect. SL TeamConnect CU1, Unité centrale SL TeamConnect CB1, Combox CARACTÉRISTIQUES
TeamConnect SL TeamConnect CU1, Unité centrale SL TeamConnect CB1, Combox CARACTÉRISTIQUES 8 Connectivité par ligne téléphonique terrestre et PC/Voix sur IP (VoiP) pour téléconférence via téléphone et
Plus en détailGE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal
GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailL IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.
L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,
Plus en détail2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10
mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction...... 4 1. Procédures de déclaration et d autorisation de détention et d utilisation de générateurs électriques...... 5 1.1. Régime administratif des installations
Plus en détailDIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
L 66/16 DIRECTIVE 1999/2/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 22 février 1999 relative au rapprochement des législations des États membres sur les denrées et ingrédients alimentaires traités par ionisation
Plus en détailPositionnement produit Dernière mise à jour : janvier 2011
DES-1210-08P Switch 8 ports Fast Ethernet PoE Smart Cas de figure d'utilisation PME Garantie A vie limitée Accroche marketing Équipé de 8 ports Fast Ethernet, ce switch intègre les caractéristiques de
Plus en détailAtelier : L énergie nucléaire en Astrophysique
Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailDIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE
DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailÉtude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT
Étude de la faisabilité de l auto-compression en mammographie A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT INTRODUCTION La compression mammographique est parfois mal vécue par certaines
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailINTÉGRABLES. GAMME e10. e10-i61s e10-i113s. Têtes de marquage par rayage
LES INTÉGRABLES RAYAGE Têtes de marquage par rayage INTÉGRABLES GAMME e10 e10-i61s e10-i113s Technologie Rayage TECHNOLOGIE DE MARQUAGE PAR RAYAGE : MARQUAGE RAPIDE, SILENCIEUX ET PRÉCIS! INTÉGRABLES Le
Plus en détailDes produits et des services qui optimisent les performances des défibrillateurs
Défibrillateur Premiers Secours Philips HeartStart OnSite Fournitures consommables et accessoires Des produits et des services qui optimisent les performances des défibrillateurs Mallettes de transport
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailSecteur Protégé d Hématologie
INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détail6 - Le système de gestion de fichiers F. Boyer, UJF-Laboratoire Lig, Fabienne.Boyer@imag.fr
6 - Le système de gestion de fichiers F. Boyer, UJF-Laboratoire Lig, Fabienne.Boyer@imag.fr Interface d un SGF Implémentation d un SGF Gestion de la correspondance entre la structure logique et la structure
Plus en détailMACHINE A SOUDER MANUEL D UTILISATION
MACHINE A SOUDER (Réf ME056) MANUEL D UTILISATION France DETECTION SERVICES ZA LA CIGALIERE 2 84250 LE THOR Tél. 04.90.33.75.14 Fax : 04.90.33.75.17 Contact: contact@fdspro.com Web site: fdspro.com 1 Affichage
Plus en détailChapitre 2 RÉACTIONS NUCLÉAIRES
Chapitre 2 RÉACTIONS NUCLÉAIRES 2.1 Généralités 2.1.1 Loi de décroissance exponentielle Rutherford et Soddy (1902). Un atome excité retourne à son état fondamental en émettant un photon. Dans le domaine
Plus en détailMode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE. www.altoproaudio.com Version 1.0 Juillet 2003 Français
Mode d emploi ALTO MONITOR PROCESSEUR D ÉCOUTE www.altoproaudio.com Version 1.0 Juillet 2003 Français SOMMAIRE 1. INTRODUCTION................................................................... 4 2. FONCTIONNALITÉS................................................................
Plus en détailUne ère nouvelle d imagerie dentaire
FRANÇAIS Une ère nouvelle d imagerie dentaire L appareil à rayons X révolutionnaire Planmeca ProMax permet un vaste choix de modalités d imagerie radiographique extra-orale pour répondre aux besoins de
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailP.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com
P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com Groupe Pantec: 19 ans de tradition en ingénierie avec spécialisation en mécatronique
Plus en détailPHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010
Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailCaractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques
Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)
Plus en détailComprendre la radiothérapie
OCTOBRE 2009 Comprendre la radiothérapie collection guides de référence La radiothérapie externe La curiethérapie les effets secondaires La surveillance Mieux vivre la radiothérapie La sécurité et la qualité
Plus en détailCESAB P200 1,4-2,5 t. Transpalettes accompagnant. Spécifications techniques. another way
CESAB P200 1,4-2,5 t Transpalettes accompagnant Spécifications techniques 1,4-1,6 t CESAB P214- P216 Spécifications techniques IDENTIFICATION 1.1 Constructeur CESAB CESAB 1.2 Modèle P214 P216 1.3 Traction
Plus en détailValorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS)
Module national d enseignement Recherche et Innovation en Imagerie (R2I) des Radiodiagnostics et Imagerie Médicale Valorisation d une publication scientifique: Bibliographies (IF, H, SIGAPS) P. Devos DRCI
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPrincipe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14
Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)
Plus en détailIndicateur. IDé 500. Descriptif indicateur. Schéma/Encombrement
Indicateur ML IDé 500 Descriptif indicateur Terminal de pesage compatible avec tous les capteurs de pesage analogiques à jauge de contrainte, optimisé pour les capteurs numériques ARPEGE MASTER K. Cet
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique
ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &
Plus en détailARCHOS Activity Tracker
ARCHOS Activity Tracker «Archos Connected Self» Application Connecté pour votre confort L'ARCHOS Activity Tracker synchronise automatiquement votre activité quotidienne à votre smartphone ou votre tablette
Plus en détailLa prise en charge de votre affection de longue durée. Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous?
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment cela se passe-t-il? Quels sont les bénéfices pour vous? À quoi vous engagez-vous? Sommaire Edito Votre prise en charge à 100 % Comment cela
Plus en détailLECTEUR DE BADGE RFID 125Khz COMPACT AUTONOME
LECTEUR DE BADGE RFID 125Khz COMPACT AUTONOME Centrale de gestion incorporée Etudiée spécialement pour la. Commande d accès. Sécurité de biens. Sécurité d accès Voyant de signalisation non apparent Boîtier
Plus en détailOP200 D ORTHOCEPH ORTHOPANTOMOGRAPH OC200 D. VT Tomographie Volumétrique OP200 D OC200 D VT. VT Tomographie Volumétrique
OP200 D OC200 D VT Imagerie panoramique numérique Imagerie céphalométrique dentaire numérique VT Tomographie Volumétrique ORTHOPANTOMOGRAPH OP200 D ORTHOCEPH OC200 D VT Tomographie Volumétrique 1 À la
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailBase de données bibliographiques Pubmed-Medline
Chapitre 1 ; Domaine 1 ; Documentation ; Champs référentiels 1.1.1, 1.1.2 et 1.1.3 Base de données bibliographiques Pubmed-Medline D r Patrick Deschamps,, 30 mai 2007 PLAN C2i métiers de la santé Introduction
Plus en détail08/07/2015 www.crouzet.com
17,5mm - 1 Sortie statique 0,7A MUS2 Ref 88827004 Multifonction ou monofonction Multigamme (7 gammes commutables) Multitension Bornes à vis ou à ressort Visualisation des états par 1 led (version relais)
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailARDUINO DOSSIER RESSOURCE POUR LA CLASSE
ARDUINO DOSSIER RESSOURCE POUR LA CLASSE Sommaire 1. Présentation 2. Exemple d apprentissage 3. Lexique de termes anglais 4. Reconnaître les composants 5. Rendre Arduino autonome 6. Les signaux d entrée
Plus en détailGuide des bonnes pratiques de physique médicale
PHYSIQUE MEDICALE_livres 22/11/12 13:05 Page1 Guide des bonnes pratiques de physique médicale Société française de physique médicale Lcinquantaine a profession de physicien médical est peu connue. Apparue
Plus en détailIl se peut que le produit livré diffère de l illustration.
1 Températures ambiantes min. / max. +0 C / +50 C Indice de protection IP65 Tension de service des équipements électroniques 24 V CC Tolérance de tension de l électronique -15% / +20% Tension de service
Plus en détailIntérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures?
Intérêt de la dosimétrie numérique en radioprotection : moyen de substitution ou de consolidation des mesures? T. Lahaye 1, A. Ferragut 2, Q. Chau 1,JY. Gillot 2 1- Institut de Radioprotection et de Sûreté
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détail