en direct de la SFO Les injections intravitréennes (IVT) dans notre pratique quotidienne
|
|
- Gabriel Brunet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 3 La rétine médicale en direct de la SFO Les injections intravitréennes (IVT) dans notre pratique quotidienne Dr Catherine Favard 1 Introduction Les traitements médicaux des pathologies rétiniennes évoluent désormais presqu aussi vite que ceux du segment antérieur et nous permettent d améliorer la prise en charge de ces pathologies, avec notamment l utilisation des injections intravitréennes (IVT). DMLA Lucentis = Avastin? Si de nouveaux traitements ne sont pas encore disponibles pour le traitement des néovaisseaux de la dégénérescence maculaire liée à l âge (DMLA), le scoop était cette année les résultats d une étude comparant l efficacité et l inocuité du bévacizumab (Avastin ) par rapport au ranibizumab (Lucentis ). En effet, l étude CATT a montré à 1 an, sur plus de patients traités par IVT mensuelles systématiques, un gain visuel de 8 lettres pour Avastin contre 8,5 lettres pour Lucentis et, pour les patients traités par IVT re- 1Centre ophtalmologique Odéon, centre Iéna Vision, Fondation Adolphe de Rothschild., Paris. nouvelées en cas d exsudation après les 3 IVT initiales, un gain de 5,9 lettres avec Avastin contre 6,8 avec Lucentis. La différence entre les deux traitements étant inférieure à une ligne d acuité, elle n est pas significative, avec donc des résultats visuels identiques entre les 2 traitements. Par ailleurs, le taux de mortalité, le taux d infarctus du myocarde et d accidents vasculaires cérébraux était identique (p > 0,2) entre ces deux anti-vegf. Cependant, la proportion de patients hospitalisés était légèrement plus importante chez les patients traités par Avastin que par Lucentis (24,1 % vs. 19,0 % ; risk ratio : 1,29 ; 95 % confidence interval : 1,01 à 1,66), mais pour des complications non retrouvées comme faisant partie des effets secondaires des anti-vegf par des études précédentes. Mais quid du prix? Les IVT d Avastin coûtant moins de 50 euros contre 900 euros pour Lucentis ; l Angleterre et l Italie avaient, depuis le début des anti-vegf, décidé de légaliser l utilisation d Avastin dans la DMLA néovasculaire (sans attendre des résultats de l étude multicentrique, en considérant les publications internationales parues montrant son efficacité et sa tolérance) pour réduire les dépenses de leur sécurité sociale. En France, seul Lucentis a une AMM et l étude multicentrique française GEFALL est actuellement en cours selon le même protocole que l étude CATT, payée par les pouvoirs publics pour comparer l efficacité et l inocuité de ces deux anti-vegf. Malheureusement, la phase d inclusion des patients n est pas encore terminée et les résultats ne seront donc pas publiés avant 18 mois, avant d envisager une éventuelle AMM pour Avastin dans la DMLA. La polémique fait donc rage, d autant plus que la consommation d IVT d anti-vegf devrait exploser avec l AMM obtenue par Lucentis pour traiter les œdèmes maculaires (OM) diabétiques (OMD) avec remboursement prévu pour septembre prochain. Le VEGF trap à l horizon? Par ailleurs, le VEGF trap, protéine de fusion fixant le VEGF avec une plus forte affinité que les anticorps monoclonaux, tels que Lucentis, permet une efficacité identique, mais avec une durée d action qui pourrait être prolongée à 2 mois selon les résultats à un an des études VIEW américaines et mondiales publiées récemment. De nouveaux traitements sont donc en perspective. Pratiques en Ophtalmologie Juin 2011 vol. 5 numéro
2 Tableau 1 : Traitements IVT de l OMD : résultats visuels des études comparant les anti-vegf, les corticoïdes et le laser Etude Gain AV 2 lignes (lettres) Nb IVT à 1 an DRCRnet Laser 30 %(+3l) Anti-VEGF RESOLVE Lucentis /mois systématique 61 % (+10,3 l) 10 RESTORE Lucentis /mois si nécessaire 37 % (+6,8 l) 7 RESTORE Lucentis + laser 43 % (+6,4 l) 7 Macugen DRSG/6 sem syst 37 % (+5,2 l) 9 à 1 an/ 6 à 2 ans BOLT Avastin /6 sem 31 % (+8 l) 9 DRCRnet Lucentis /mois 54 % (+9 l) 8-9 (3-4 à 2 ans) Corticostéroïdes DRCRnet Kénacort 33 % ( l) 3 Ozurdex (700 µg dexam) 35 % 3 (à 1 an) FAME Iluvien (0,5 µg/j dexam) 20 % (+5,7 l) 1 (à 1 an) HTO : Kénacort 40 %/ Ozurdex 13 %/ Iluvien 33% Cataracte : Kénacort 33 %/Ozurdex 26 %/Iluvien 66 % Schéma 1 - Traitement en pratique de l OMD. IVT et OM diabétique (Tab. 1 et schéma 1) Le laser Selon l étude du DRCR net publiée en 2010, le laser est toujours indiqué pour le traitement des OMD focaux avec exsudats et microanévrismes. En cas d OM diffus ou mixte important en OCT, sans limite de niveau d acuité, il faut maintenant considérer en première intention un traitement par IVT d anti-vegf. Un traitement par laser réalisé dans les 6 mois après IVT anti-vegf est facilité par l assèchement préalable de l OM par les IVT anti-vegf et permet de diminuer le nombre d IVT anti- VEGF. 142 Pratiques en Ophtalmologie Juin 2011 vol. 5 numéro 45
3 Figure 1 - OM diabétique. Disparition de l OMD après 2 IVT d Avastin, acuité améliorée de 20/200 à 20/80. Figure 2 - Femme de 62 ans, OM ET OVCR, acuité remontée de 20/500 à 20/125 après 1 re IVT anti VEGF et disparition de l OM. Pratiques en Ophtalmologie Juin 2011 vol. 5 numéro
4 Figure 3 - Répartition de l OM 2 mois plus tard et 2 e IVT Avastin avec remontée de l acuité à 20/50. Les anti-vegf Lucentis a obtenu l AMM pour traiter les OMD significatifs en OCT, avec 3 injections initiales mensuelles, puis répétées si l acuité visuelle augmente (et arrêtées en cas d absence d amélioration visuelle) et répétées tant que l acuité continue d augmenter ou si l acuité chute secondairement. En effet, les IVT de Lucentis, d après les études RESOLVE, RESTORE et le DCR net, permettent à un an d améliorer l acuité visuelle de 2 lignes ou plus dans environ 50 % des cas. Les stéroïdes Les IVT de triamcinolone (Kénacort ) permettent un assèchement rapide de l OM, mais ont un bénéfice visuel grevé par les cataractes induites et ne sont donc utiles que chez les sujets aphakes. Traitement en pratique des OM des OVR OVR : Bilan initial : rétinos + OCT + AF si OM et AVI < 5/10 : traiter tôt - Implant Ozurdex - ou IVT antivegf X 1 renouvelable ou X3 systématique Suivi : rétino + OCT + TO (implants)/ 1 à 3 mois - IVT anti-vegf si OM persistant ou récidivé - Implant si récidive OM - Laser grid maculaire : si OM OBVR persistant si OM OBVR récidivant après 3 mois Arrêter de traiter si pas amélioration visuelle malgré disparition OM Contrôle AF /3 mois : surveiller ischémie Traitement laser PPR si ischémie +++ Plus intéressants, les implants de dexaméthasone (Ozurdex ) permettent une bonne amélioration visuelle (35 % d amélioration de 2 lignes ou plus) avec peu de cataracte et d hypertonie induite, mais sont sans AMM dans cette indication pour le moment. IVT et OM des occlusions veineuses (Tab. 2) Les anti-vegf Comme dans les OMD, les IVT d anti-vegf permettent d améliorer significativement le pro- 144 Pratiques en Ophtalmologie Juin 2011 vol. 5 numéro 45
5 Figure 4 - A un an, après 3 IVT Avastin récidive de l OM et ischémie périphérique. Traitement par 4 e IVT Avastin et laser PPR périphérique. Figure 5 - OM d OBVR temporale inférieure traité par Implant Ozurdex et laser grid avec remontée de l acuité de 20/63 à 20/40 à un Pratiques mois avec disparition en Ophtalmologie de l OM. Juin 2011 vol. 5 numéro
6 nostic visuel des OM des occlusions de la veine centrale (OVCR) (CRUISE study) et de branche (OBVR)(BRAVO study) avec gain visuel de 2 lignes ou plus dans respectivement plus de 40 % et 60 % des cas. Pour les OBVR, le traitement laser est efficace et associé aux IVT permet également de diminuer le nombre d IVT nécessaires. Il n est pas établi si 3 IVT initiales mensuelles d anti-vegf sont plus efficaces que des IVT répétées seulement si persistance ou réapparition d un OM en OCT. Cependant, les anti-vegf n ont pas encore d AMM dans cette indication. Tableau 2 - Traitements IVT des OM des OVR : résultats visuels des études comparant les anti-vegf, les corticoïdes et le laser. Etude Gain AV 3 lignes (lettres) Nb trait/12 mois OBVR Lucentis 0,5 mg (BRAVO) 61 % (+18l) 9 IVT Laser (BRAVO) 29 % (+12l) Ozurdex 700 µg (GENEVA) 40 % (+10l) 2 impl Kénacort (1-4mg) (SCORE) 27 % 2,2 IVT Laser (SCORE) 29 %(+7l) OVCR Lucentis 0,5 mg (CRUISE) 51 %( +14l) 12IVT Controles non traités 17 %( +1l) 0 Controles traités IVT > 6 mois 33 % (+7l) 6 IVT Ozurdex 700 µg(geneva) 28 % 2 impl Iluvien (FAME) 20 % 1 impl Meilleur gain visuel si IVT précoce avant 6 mois +++ Les stéroïdes Les implants Ozurdex permettent aussi une bonne récupération visuelle, avec une durée d action de 4-6 mois et peu d hypertonie et de cataracte induits (étude GENEVA) et ils sont actuellement remboursés dans cette indication. Le bénéfice visuel est d autant meilleur que le traitement est instauré tôt et, en cas de baisse visuelle à 5/10 ou moins, il faut envisager d emblée un traitement de l OM par IVT. De plus, ces implants sont aussi efficaces en ce qui concerne la durée d action et la récupération visuelle chez les sujets vitrectomisés. Il faut cependant rechercher l apparition d une ischémie dans ces OVR avec OM traité par IVT anti-vegf ou corticoïdes et pratiquer des contrôles angiographiques à la fluorescéine tous les 3/6 mois. Le LASER PPR Le traitement laser PPR périphérique reste toujours indiqué pour traiter les territoires ischémiques des OVR ou de la rétinopathie diabétique. A noter que les dernières recommandations de l AFSSAPS en janvier 2011 concernant les IVT précisent qu elle peuvent être réalisées en salle blanche non stérile et qu il n est pas nécessaire d arrêter les anticoagulants, de dilater la pupille, de faire porter un masque au patient, qu un blepharostat suffit sans recouvrir les cils, que vérifier la perfusion du nerf optique au FO n est pas indispensable, de même que la vérification du FO et de la tension à J7. Par ailleurs, le consensus actuel est de ne plus prescrire d antibioprophylaxie préopératoire per os (quinolones) car sans utilité d après les dernières études publiées. Conclusion Les IVT d anti-vegf et de stéroïdes ont transformé le pronostic visuel des néovaisseaux de la DMLA, des OMD et des OM des OVR, avec gain visuel d autant plus important que le traitement est instauré tôt, mais au prix de traitements par IVT multiples et coûteuses. L efficacité et la tolérance à long terme sont encore à déterminer dans le cadre du traitement des OMD et des OM des OVR, et de nouvelles thérapeutiques sont en attente dans le traitement des DMLA exsudatives et atrophiques. n Mots-clés : DMLA, Rétinopathie diabétique, Occlusion veineuse, Œdème maculaire, Injection intravitréenne, anti-vegf. Bibliographie CATT Research Group, Martin DF, Maguire MG et al, Ranibizumab and bevacizumab for neovascular age-related macular degeneration, N Engl J Med May 19 ; 364 : Diabetic Retinopathy Clinical Research Network writing committee, on behalf of the DRCRnet. Vitrectomy outcomes in eyes with diabetic macular edema and vitreomacular traction, Ophthalmology 2010 ; 117: Pratiques en Ophtalmologie Juin 2011 vol. 5 numéro 45
Ophtalmologie. L œdème maculaire diabétique : traitement actuel et options futures. Département. d ophtalmologie et des sciences de la vision,
Ophtalmologie Conférences scientifiques MD 211 Volume 9, numéro 2 COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DU DÉPARTEMENT D OPHTALMOLOGIE ET DES SCIENCES DE LA VISION, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ
Plus en détailAJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLa mesure de la réserve coronaire
Revues Générales Qu est-ce que la FFR? Comment l utiliser? réalités Cardiologiques # 291_Janvier/Février 2013 Résumé : La mesure de la réserve coronaire (FFR : Fractional Flow Reserve) s est imposée depuis
Plus en détailMise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA
Mise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA Fiche de présentation Intitulé du projet Nord-DMLA (Réseau de soins Ophtalmologique de
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailOCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes
OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailLasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France
Lasik Xtra: Résultats cliniques Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Introduction Lasik Xtra : Lasik combiné à un cross-linking cornéen accéléré Traitement de
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailLe rapport 8 de l étude AREDS
AREDS : au-delà du rapport 8 Résumé : L étude AREDS constitue un élément unique et incontournable sur la micronutrition en ophtalmologie. La taille importante de l échantillon de population étudié, le
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détailDIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE
DIAGNOSTIC DE L EMBOLIE PULMONAIRE DANS LE CONTEXTE PERI-OPERATOIRE Marc Righini Service d Angiologie et d Hémostase, Département de Médecine Interne Générale, Hôpitaux Universitaires de Genève, Suisse,
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailL opération de la cataracte. Des réponses à vos questions
L opération de la cataracte Des réponses à vos questions Qu est-ce que la cataracte? Quel objectif? Cette brochure vous donne toutes les informations utiles concernant l opération de la cataracte. Définition
Plus en détailVous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier.
Vous êtes diabétique. Vous conduisez un véhicule routier. Pour votre sécurité et la nôtre Savez vous qu il existe des règles de sécurité que vous devez respecter? Document produit à l intention des patients
Plus en détailDeux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban
Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.
Plus en détailGLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE
Texte de janvier 2007 GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE Dr Xavier Zanlonghi (1, 2) 1 - Clinique Sourdille Centre Basse Vision 3 place Anatole France 44000 NANTES tél :
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailConseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine
Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative
Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé
Plus en détailEn février 2013, l Institut a été félicité par Agrément Canada pour avoir atteint les normes d excellence nationales en soins de santé.
INSTITUT DE L ŒIL DE MONTRÉAL MONTREAL EYE INSTITUTE L INSTITUT Fondée en 1984, La Clinique de l œil de Montréal est devenue, à la suite d'une importante expansion, l Institut de l œil de Montréal, un
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailRevue de la littérature
Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE. Dr JF Gravié FCVD
ACCIDENTS ELECTRIQUES EN CHIRURGIE COELIOSCOPIQUE Dr JF Gravié FCVD CONTEXTE (1) Risques électriques de 0,1 à 0,4% Enquête de pratique * 506 chirurgiens: 18% expérience personnelle, 54% connaissaient un
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailEVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE
EVALUATION DE L AUTOSURVEILLANCE DE L INR CHEZ LES PATIENTS ADULTES TRAITES PAR ANTIVITAMINES K EN VUE DE LA PRISE EN CHARGE PAR L ASSURANCE MALADIE DES DISPOSITIFS D AUTOMESURE DE L INR OCTOBRE 2008 Service
Plus en détailLes Anticoagulants Oraux Directs en Pratique Courante
Les Anticoagulants Oraux Directs en Pratique Courante Philippe Mabo, CHU de Rennes CARDIORUN 2014 Boucan Canot, 1 er octobre 2014 Mes relations avec l industrie Bourses de recherche: Boston, Biotronik,
Plus en détailGestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux
Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailPharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux
Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional
Plus en détailINHIBITION OF VASCULAR ENDOTHELIAL GROWTH FACtor-A
An Optical Coherence Tomography-Guided, Variable Dosing Regimen with Intravitreal Ranibizumab (Lucentis) for Neovascular Age-related Macular Degeneration ANNE E. FUNG, GEETA A. LALWANI, PHILIP J. ROSENFELD,
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailUn comparatif de rétinographes non mydriatiques
Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Xavier Zanlonghi L es rétinographes non mydriatiques (RNM), qui, dans leur conception d origine n étaient pas destinés aux ophtalmologistes, ont depuis fait
Plus en détail1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin
La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailSemaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»
Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailAlemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III
COMMUNIQUE DE PRESSE Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III - Présentation de nouvelles données
Plus en détailChristophe SANNIER christophe.sannier@sirs-fr.com
Systèmes d Information à Référence Spatiale Utilisation d un Estimateur de Régression avec des Données Landsat pour l Estimation de l Etendu et des Changements du Couvert Forestier du Gabon de 1990 à 2010
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailTout sur les nouvelles cotations des perfusions
Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détail