Baromètre. Ventes et cessions de fonds de commerce. (Bâtiment, commerce, industrie ou services)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Baromètre. Ventes et cessions de fonds de commerce. (Bâtiment, commerce, industrie ou services)"

Transcription

1 Baromètre Baromètre BODACC Ventes et cessions de fonds de commerce (Bâtiment, commerce, industrie ou services) Annonces publiées au Bodacc du 1 er janvier 2008 au 31 décembre. - 1

2 Les opportunités de croissance externe tirent le prix des fonds de commerce à la hausse en. Le montant moyen de cession s'établit à (+ 6,8 %) En dépit d une trajectoire de sortie de crise sinueuse, le marché de la cession de fonds de commerce a été dynamique en. Le prix moyen de vente des fonds de commerce s est fortement apprécié augmentant de 6,8 % par rapport à 2010 ; Il s établit à De plus, le nombre de transactions progresse de 2,2 % fonds de commerce ont changé de main en pour un montant global de 9,5 milliards d. Si les créateurs d entreprise signent plus de la moitié des actes de reprise, les PME cherchant à grandir ou se renforcer se sont montrées très actives. Le nombre de repreneurs de plus de 10 salariés, particulièrement ceux créés il y a plus de 15 ans, a augmenté de 15 %. Plus de 6 opérations sur 10 se concentrent dans les activités de commerce ou d hébergement-restauration-débits de boisson mais c est dans la construction et les services aux entreprises que la hausse des prix moyens de cession a été la plus forte (+ 14 %). Cette année encore, Ile de France et Nord-Pas-de-Calais captent les transactions les plus chères à plus de

3 Analyse baromètre Bodacc Un prix moyen en forte hausse à Le maelstrom financier de 2008 et l'assèchement du crédit qui s en était suivi avait fait fuir les investisseurs. En 2009, le nombre de cessions de fonds de commerce s'effondrait de près de 20%. En, encouragés par de meilleures perspectives économiques, les repreneurs saisissent à nouveau les opportunités de croissance. Le prix moyen de cession gagne 6,8% et se fixe à MONTANT MOYEN DE CESSION DES FONDS DE COMMERCE en ,8 % % +0,9 % établissements ont été repris en. C est 2,2 % de plus qu en 2010 soit près d un millier de fonds de commerce de plus. Or, pendant que le marché de la reprise de fonds de commerce se raffermissait, la création d entreprises se repliait. En effet, selon l INSEE la création d entreprise, hors statut auto-entrepreneur, a reculé de 2 % en lestée par la catégorie des entreprises individuelles (- 7 %) tandis que la forme sociétale progressait de 2 %. Ces rachats de fonds permettent donc des poursuites d'activité et favorisent la relance de l'économie. D autant plus, que ces reprises sont davantage pérennes que les créations. Ainsi, près de neuf acheteurs sur dix (88 %) créés en 2008 dans le cadre d une reprise de fonds de commerce sont toujours en activité en alors que l INSEE constatait un taux de pérennité à 3 ans de 66 % sur le millésime de l ensemble des créations de

4 Nbr de Transactions EVOLUTION COMPAREE DU NOMBRE D'ACHATS DE FONDS DE COMMERCE ET DE CREATIONS D'ENTREPRISES HORS AUTO ENTREPRENEURS Nombre d'acheteurs Nombre de créations d'entreprises (hors auto entrepreneurs source INSEE Données retraitées Altares) Nbr de Créations Une croissance externe dynamique 74 % des acheteurs sont des structures de moins de 3 salariés. Ce volume est relativement stable sur un an (+0,6 %) tandis que le prix moyen payé augmente de 5 % à Ce montant ne cesse de progresser depuis A partir de 3 salariés, les tarifs se renchérissent rapidement. Les TPE doivent débourser en moyenne (+ 8,4 %) pour acquérir un fonds de commerce. Si les PME de plus de 10 salariés portent moins d une transaction sur dix, elles donnent un vrai signal de rebond d activité. Depuis 2008, le nombre de sociétés de cette taille, candidates à la reprise d un fonds, chutait fortement, 32 % en 2009 et 16 % en marque le retour de ces plus «grands» repreneurs ; ils sont 15 % plus nombreux qu en Davantage concentrés, voire contraints, sur leurs business courant, ces PME n étaient pas encore orientées sur une démarche de croissance externe. La sortie de crise laisse désormais la place à de réelles opportunités de reprise d activité à la fois pour l acheteur mais aussi pour le vendeur qui pourra négocier un prix supérieur à celui constaté jusqu alors. Les transactions s apprécient sur des montants en hausse ; le prix moyen s établit à pour les PME de 10 à 249 salariés et à pour les sociétés de plus de 250 salariés. - 4

5 Montant moyen des transactions en par tranche d effectif des acheteurs Tranches d'effectif des acheteurs Micro entreprises (effectif inconnu ou < 3 salariés) TPE (3 à 9 salariés) PME (10 à 249 salariés) ETI ou Grandes entreprises (250 salariés et plus) Nombre transactions ,0% ,6% ,4% ,9% ,9% ,6% ,1% ,2% Ensemble ,8% ,2% La forme sociétale privilégiée par les repreneurs La préférence des créateurs d entreprise à opter pour une forme sociétale plutôt qu individuelle se confirme sur le front des ventes & cessions. Seulement une reprise sur cinq (20 %) se fait sous un statut d entreprise individuelle. A l échelle de l ensemble des créations d entreprises, l INSEE comptabilise moins d un statut individuel pour cinq nouvelles entreprises (17 %). Toujours en écho aux statistiques de créations d entreprises, le nombre de nouvelles entreprises individuelles recule de 7 % pendant que le nombre de reprises de fonds de commerce sous ce statut recule lui de 9 %. En dépit du moindre attrait pour cette catégorie juridique, le prix moyen des transactions augmente de 3,5 % à Montant moyen des transactions en par catégorie juridique des acheteurs Catégories juridiques des acheteurs Nombre transactions Entreprises Individuelles ,5% ,1% Sociétés à Responsabilité limitée ,1% ,0% Sociétés anonymes ou SAS ,0% ,5% Autres ,4% ,6% Ensemble ,8% ,2% - 5

6 L'essentiel (77 %) des opérations de reprise ont donc été portées par des sociétés. De plus, illustration du regain d optimisme et du retour de la croissance externe, le nombre de sociétés augmente de 9 % ; 6 % pour les SARL et 27,5 % pour les SA ou SAS. Le prix moyen de vente progresse de 5 % à pour les SARL et de 4 % à pour les SA. Les repreneurs en activité de plus de 15 ans tirent les tendances. Confirmation du dynamisme des PME, le nombre de repreneurs augmente plus vite sur les tranches d âge les plus hautes. L entreprise grandit en âge avant de grandir en taille. Aussi, l accélération du nombre de sociétés de plus de 10 salariés candidates à la reprise d un fonds de commerce se traduit par une plus forte proportion de repreneurs matures. Si les créateurs, c est-à-dire les acheteurs de moins d un an, sont moins nombreux (- 3,6 %), en revanche, les structures plus âgées, notamment les plus anciennes, sont plus nombreuses ; + 9 % pour les repreneurs en activité depuis 6 à 15 ans voire + 15,5 % pour ceux de plus de 15 ans. Nous noterons, toutefois, une tendance également forte sur la tranche des 1 à 2 ans, entreprises d à peine un an pour partie créées au départ sans activité En toute hypothèse, le prix moyen de cession est en hausse forte de plus de 10 % lorsque le repreneur a 3 ans et plus. L augmentation dépasse même les 20 % pour les fonds repris par les sociétés les plus anciennes. Ainsi, un fonds se négocie aux environs de par des acheteurs de 0 à 5 ans, par ceux âgés de 6 à 15 ans et approche en moyenne pour les plus âgés, au-delà de 15 ans. Montant moyen des transactions en par tranche d âge des acheteurs Tranches d'âge des acheteurs Nombre transactions Moins d'un an ,0% ,6% De 1 à 2 ans ,8% ,6% De 3 à 5 ans ,1% ,1% De 6 à 10 ans ,3% ,0% De 11 à 15 ans ,4% ,1% 16 ans et plus ,6% ,5% Ensemble ,8% ,2% - 6

7 La distribution des acheteurs/vendeurs par tranche d âge varie peu depuis Si près des ¾ (73 %) des acheteurs ont moins de 3 ans, plus du tiers des vendeurs ont plus de 15 ans. Distribution de l ancienneté des fonds de commerce par % acheteurs/vendeurs Tranches d'âge Acheteurs / Vendeurs % acheteurs 2009 % vendeurs 2009 % acheteurs 2010 % vendeurs 2010 % acheteurs % vendeurs Moins d'un an 53,6% 0,4% 56,4% 0,4% 54,4% 0,5% De 1 à 2 ans 18,5% 9,4% 17,5% 8,6% 18,3% 8,0% De 3 à 5 ans 6,1% 20,3% 5,7% 20,6% 5,5% 19,5% De 6 à 10 ans 7,4% 20,8% 7,1% 22,0% 7,3% 23,2% De 11 à 15 ans 4,3% 13,0% 4,2% 13,2% 4,3% 13,4% 16 ans et plus 10,1% 36,2% 9,3% 35,2% 10,2% 35,5% Ensemble 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % 100 % La restauration draine le quart des transactions. Les activités de commerce et d hébergement-restauration-débits de boisson concentrent près des deux tiers des transactions, en hausse d environ 4 % tant en nombre d acheteurs qu en montant moyen négocié. Ce dernier s établit à dans le commerce et dans l hébergement-restauration-débits de boisson. Dans la construction, le prix moyen augmente, proche de (+ 14 %), après avoir reculé de près de 10 % en Dans l industrie, le prix moyen est stable sur quatre ans, aux environs de Le transport retrouve un cours moyen de transaction pivot sur quatre ans un peu au-dessus de , tarif qui s était fortement renchéri en Les services sont très dichotomiques. Pendant que ceux à destination du particulier affichent un prix moyen de cession globalement stable sous les , ceux destinés aux entreprises sont très dynamiques. Le nombre transactions augmente de 24 % et le prix moyen de 14,5 % à

8 Montant moyen des transactions en par secteur d activité des acheteurs Secteurs d activité Nombre transactions Agriculture ,1% ,6% Construction ,2% ,5% Commerce ,4% ,2% Industrie ,7% ,2% Information & communication ,5% 429 8,1% Transport & logistique ,5% ,1% Activités d'assurance et financières ,8% 320 5,0% Services aux entreprises ,5% ,7% Services aux particuliers ,7% ,4% Hébergement, restauration, débits de boisson ,5% ,9% Ensemble des secteurs ,8% ,2% Les prix moyens de cession par secteurs peuvent également être appréciés selon le chiffre d affaires réalisé par le vendeur. Si nous retenons la population de sociétés pour lesquelles la notion de chiffre d affaires est connue, nous pouvons constater des écarts de prix importants. Par exemple, dans le commerce, le montant moyen négocié est multiplié par dix selon que le CA du vendeur est inférieur à 0,5 M ou compris entre 2 M et 5 M ; il varie de à 1 million d. Dans les services aux entreprises le rapport est de 1 à plus de 2 entre un CA de moins de 0,5 M et un CA de 2 à 5 M ; le prix varie de à Le bâtiment offre une amplitude de prix moins forte, plus progressive. Dans l hébergement-restauration-débits de boisson, un pivot, à partir duquel le prix de vente bascule, est très sensible à 0,5 M de CA. En-dessous de ce seuil, le prix de cession se signe à , au-delà, la facture monte très vite au-dessus des Dans toutes ces activités, le prix contracté lorsque le CA dégagé est supérieur à 5 M est souvent plus élevé encore mais très variable selon les entreprises cédées. - 8

9 Montant moyen des transactions en par tranche de CA des vendeurs Secteurs d activité CA < 0,5 M 0,5 < CA < 1 M 1 M < CA < 2 M 2 M < CA < 5 M Construction Commerce Industrie Transport & logistique N.S. Services aux entreprises Hébergement, restauration, débits de boisson N.S. Ensemble des secteurs Par ailleurs, un examen à la loupe des activités dans ces grands secteurs fait apparaitre de fortes disparités de prix de cession ; ceux-ci évoluant dans une fourchette au plus bas à moins de , c est dans le service des soins de beauté, et au plus haut à près d 1 millions d dans le commerce de soins à la personne. Dans la construction, les prix de cession se négocient entre environ 96 K dans le bâtiment et plus de 320 K dans les travaux publics. Les agences immobilières se maintiennent dans une tendance faiblement haussière observée depuis 2008 (110 K ). Le commerce de détail présente de fortes disparités de tarif. Les commerces sur les marchés et épiceries se traitent à moins de 80 K, les primeurs, poissonniers, bouchers épiceries aux environs de 100 K, les activités de bricolage et équipement du foyer sous les 125 KE, les commerces d habillement approchent 150 K. Dans les activités de loisir, les papeteries maintiennent un prix de vente proche de 180 K tandis que la situation est plus compliquée pour les librairies dont le prix de cession recule depuis 2008 d environ 10 K par an et s établit à 124 K pour. Dans les magasins multi-rayons, les hypermarchés se négocient au-delà de 500 K, les supermarchés au-delà de 300 K et les superettes approchent les 200 K. Dans l automobile, les garagistes cèdent leur fonds en moyenne à moins de 115 K mais ce prix s apprécie chaque année un peu plus ; les montants des fonds ont augmenté de 9 % depuis Mais c est le commerce de soins de la personne qui conserve les niveaux de prix les plus élevés - 9

10 avec des transactions qui se maintiennent aux environs de 300 K dans l optique et au-delà de 1,2 millions d pour les pharmacies. L industrie alimentaire est fortement influencée par les activités de boulangerie et pâtisserie qui portent l essentiel des transactions. Les boulangers ou boulangers-pâtissiers ont acheté 190 K leur fonds de commerce pendant que les pâtissiers négociaient à 138 K et les activités de cuisson de produits de boulangerie à 116 K. Dans l industrie manufacturière, le nombre des transactions moindre peut faire varier brutalement les prix moyen d une année sur l autre en fonction des dossiers traités. Néanmoins, nous pouvons observer que, parmi les activités les plus représentées, l imprimerie parvient, malgré les difficultés rencontrées par le secteur, à stabiliser un prix de vente légèrement au-dessus de 90 K après deux années de baisse sensible. Dans le transport, les prix de cession sont voisins de ceux de 2008 soit 142 K dans le transport routier de marchandises et 187 K dans le transport routier de voyageurs. Le prix dans ce dernier est tiré par des rachats à plus d 1 millions d, seuil qui n avait pas été franchi en Pour les services aux entreprises, les opérations de ventes & cessions s opèrent essentiellement dans les activités techniques pour lesquelles le prix moyen négocié a augmenté de 33 % depuis 2008 à plus de 250 K. Nous y trouvons, par exemple, les activités d ingénierie au-delà de 300 K, de conseil de gestion proche des 250 K ou de contrôle technique automobile à 160 K. Parmi les autres services, le prix de cession se situe aux-environs de 100 K dans les agences de voyage (stable) et le nettoyage courant de bâtiments (en baisse) ou franchit 90 K dans l aménagement paysager. Dans les services aux particuliers, les prix de cession varient peu, entre 60 et 70 K qu il s agisse de salons de coiffure, instituts de beauté ou de la blanchisserie-teinturerie. Ce montant approche, en revanche, 170 K dans les services funéraires. L hébergement, restauration et débit de boisson affichent des prix en hausse. Ceux-ci approchent 170 K pour les débits de boisson, 160 K dans la restauration traditionnelle, 105 K pour les services de traiteurs et moins de 90 K dans la restauration rapide. Dans l hébergement, il faut compter plus de 300 K voire 350 K pour un terrain de camping. Dans les autres activités, notons un prix moyen de cession inférieur à 65 K pour les autoécoles, supérieur à 220 K pour les activités d ambulance, 700 K pour les laboratoires d analyse médicale ou très supérieurs au million d pour les activités hospitalières. - 10

11 Montant moyen des transactions en par activité des acheteurs ACTIVITES Nombre transactions Agriculture Chasse, pêche, forêt ,7% 63 34,0% Culture ,0% ,7% Elevage ,9% 24 4,3% Construction Bâtiment ,9% ,7% Travaux publics ,3% 58 31,8% Promotion immobilière ,1% 16 30,4% Agences immobilières ,9% 491 2,1% Autres activités immobilières ,2% ,2% Commerce Commerce & réparation véhicules ,3% ,1% Magasins multi rayons ,3% ,8% Détail alimentaire ,4% ,2% Bricolage & équipement du foyer ,7% 800 5,9% Sport & loisirs ,0% 932 2,4% Commerce d'habillement ,8% ,5% Soin de la personne & optique ,2% ,4% vente hors magasin ,1% ,0% Autres commerces de détail ,8% ,5% Carburants & combustibles ,5% ,5% Autres commerce interentreprises ,4% 206 2,4% Centrales d'achat ,2% ,9% Alimentaire (interentreprises) ,9% ,4% Textile, habillement (interentreprises) ,5% ,2% Biens domestiques (interentreprises) ,5% ,4% Equipements informatiques & électroniques (interentreprises) ,2% 60 1,6% Machines & équipements (interentreprises) ,4% ,9% Matériaux de construction, sanitaire (interentreprises) ,6% ,0% - 11

12 ACTIVITES Nombre transactions Industries Industrie alimentaire ,6% ,3% Industrie extractive ,4% 22 4,3% Textile, habillement, cuir ,9% ,7% Bois, matériaux de construction ,6% ,5% Papier, carton ,8% ,0% Imprimerie ,4% ,9% Energie, Eau, Environnement ,3% ,8% Chimie, Pharmacie ,8% 48 2,1% Caoutchouc, plastique ,6% 52 10,3% Métallurgie, mécanique ,7% 246 8,4% Informatique, électronique ,3% 31 24,0% Equipements électriques ,2% 18 47,1% Machines et équipements ,5% 67 0,0% Industrie automobile, matériel de transport ,2% 24 33,3% Autres industries manufacturières ,2% 217 4,8% Réparation, maintenance ,7% ,4% Information & Communication Logiciels ,3% 18 21,7% Services informatiques ,5% ,1% Edition ,7% 64 3,0% Films & son ,4% 41 10,9% Télécommunications ,4% 91 2,2% Transport Transport routier de marchandises ,9% ,1% Transport routier de voyageurs ,6% ,2% Transport non routier ,1% 17 15,0% Services de transport ,3% 80 32,2% Activités d'assurance et financières Activités financières ,8% ,5% Activités d'assurance ,5% 179 2,9% Services aux entreprises Services techniques aux entreprises Services administratifs aux entreprises ,1% ,8% ,6% ,2% - 12

13 ACTIVITES Nombre transactions Services aux entreprises Activités de location ,7% ,9% mise à disposition de ressources humaines ,8% 59 9,3% Voyages ,3% 101 6,3% Sécurité ,3% 62 5,1% Nettoyage de bâtiments ,5% ,8% Services administratifs de bureau ,5% 59 1,7% Autres activités de soutien aux entreprises ,2% 301 2,0% Services aux particuliers Activités de réparation ,2% 207 8,4% Coiffeurs, soins de beauté et corporels ,0% ,5% Autres services à la personne ,5% 621 0,2% Hébergement, Restauration, Débits de boissons Hébergement ,1% ,1% Restauration ,2% ,1% Débits de boissons ,6% ,0% Autres activités Santé humaine ,2% ,7% Action sociale ,8% 46 9,5% Activités culturelles ,4% 64 68,4% Activités sportives ,5% ,2% Autres activités récréatives ,2% ,8% Enseignement ,4% ,0% Ensemble des activités ,8% ,2% - 13

14 Des prix plutôt plus élevés au nord qu au sud. La France semble être globalement coupée en deux, avec des régions au-dessus de la Loire où le prix de vente des fonds de commerce s établit en moyenne au-delà de 180 K, et celles de la moitié sud pour lesquelles le prix moyen se négocie sous les 170 K. Montant moyen des transactions en par région des acheteurs Régions des acheteurs Nombre transactions Alsace ,6% ,4% Aquitaine ,0% ,2% Auvergne ,6% 922 2,1% Basse Normandie ,2% ,9% Bourgogne ,7% ,8% Bretagne ,5% ,9% Centre ,0% ,4% Champagne Ardenne ,3% 747 6,2% Corse ,1% ,4% Franche Comté ,2% 683 5,4% Haute Normandie ,3% ,5% Ile de France ,8% ,2% Languedoc Roussillon ,8% ,5% Limousin ,8% ,1% Lorraine ,6% ,3% Midi Pyrénées ,5% ,5% Nord Pas de Calais ,8% ,4% Pays de la Loire ,4% ,2% Picardie ,3% 978 7,6% Poitou Charente ,3% ,6% Provence Alpes Côte d Azur ,6% ,5% Rhône Alpes ,8% ,7% D.O.M ,1% ,4% Total FRANCE ,8% ,2%

15 Les régions les plus chères, proches de 200 K ou plus. L Ile de France, première région économique française, confirme son pouvoir attractif mais plusieurs régions approchent des prix de cession de 200 K, Nord-Pas-de-Calais dépasse même ce montant. Généralement stable aux environs de 230 K depuis 2008, le prix moyen de vente des fonds de commerce en Ile-de-France augmente sensiblement (+ 5,8%) en et se situe à 244 K dans un volume de transactions lui aussi en hausse de plus de 5 %. Jusqu alors la seule région métropolitaine à franchir le seuil des 200 K, Ile-de-France est désormais rejointe dans cette fourchette de prix par la région Nord-Pas-de-Calais (222 K ) où le nombre de transactions à plus d 1 millions d a plus que doublé en. Quatre régions se tiennent ensuite dans un mouchoir de poche proches de 195 K ; Aquitaine, Bretagne, Champagne-Ardenne et Picardie où les prix de cessions augmentent rapidement. Les régions dans la fourchette K. Derrière ces régions à presque 200 K ou plus, un écart s opère. Les prix tombent ensuite sous la barre de 180 K. Entre 170 et 180 K, nous trouvons les deux Normandie et Provence-Alpes-Côte-D azur pour lesquelles le prix moyen recule par rapport à 2010, et Languedoc-Roussillon et Centre où, au contraire, il augmente sensiblement. Sept régions se situent dans une fourchette de prix de cession des fonds de commerce entre 160 et 170 K. Il s agit de Midi-Pyrénées, Lorraine et Pays-de-la-Loire où les prix croissent d environ 10 %, et Alsace, Rhône-Alpes et Poitou-Charentes pour lesquelles la hausse est inférieure à 5 % mais ininterrompue depuis trois ans. En Corse, le prix moyen de cession recule de 3 % à 172 K mais celui-ci est encore supérieur de plus de 9 % par rapport à Sous le seuil des 160 K. Partageant transversalement la France métropolitaine, les régions Limousin, Auvergne, Bourgogne et Franche-Comté présentent des transactions négociées entre 140 et 160 K. Les prix de cession y sont en hausse sensible à l exception du Limousin où ils sont quasi stables mais portés par une forte augmentation du nombre d acquéreurs (+ 23 %). - 15

16 Carte de France des montants moyens de transactions en K par région des acheteurs - 16

17 Montant moyen des transactions en par département des acheteurs Régions des acheteurs Alsace Aquitaine Auvergne Basse Normandie Bourgogne Bretagne Centre Dépt V s 2010 Nombre transactions V s % % % % % 357 6% % % % % % 258 3% % 536 8% % % % % % % % 378 6% % % % 398 6% % 222 4% % 333 7% % 147 4% % 409 3% % % % 516 4% % 582 4% % 773 2% % 635 8% % 209 1% % 216 6% % 146 1% % 371 3% % 339 1% % 216 1% - 17

18 Régions des acheteurs Champagne Ardenne Corse Franche Comté Haute Normandie Ile de France Languedoc Roussillon Limousin Dépt Nombre transactions % % % % % % % % 2A % 129 4% 2B % % % 312 9% % % % 179 2% % 68 11% % 335 9% % 890 6% % 504 6% % 887 2% % % % % % 723 9% % % % % % % % 283 1% % 500 6% % % % 71 1% % 428 6% % % % 82 34% % 246 6% - 18

19 Lorraine Midi Pyrénées Régions des acheteurs Nord Pas de Calais Pays de la Loire Picardie Poitou Charentes Dépt Nombre transactions % 380 3% % 95 9% % % % 261 0% % % % 201 7% % 139 1% % 808 1% % % % % % % % % % % % 721 9% % 887 6% % 510 2% % 231 3% % 405 9% % 543 0% % % % 368 3% % 298 8% % % % % % % % % - 19

20 Régions des acheteurs Provence Alpes Côte d'azur Rhône Alpes Dépt Nombre transactions % % % % % % % % % % % 473 4% % % % % % 401 1% % % % 873 8% % % % % % 464 9% D.O.M % ,4% Total FRANCE ,8% ,2% - 20

21 Note méthodologique Le champ d analyse : Lors de la vente d un fonds de commerce, les formalités de publicité incombent à l acquéreur. C est pourquoi, le baromètre BODACC analyse des transactions du point de vue du repreneur plus que du vendeur. Le périmètre d analyse porte sur l exploitation de l ensemble des annonces de ventes et cessions publiées au BODACC depuis Les mentions clés publiées au BODACC, à savoir la date de l acte, les coordonnées du repreneur, le montant d acquisition du fonds et les coordonnées du précédent propriétaire ont été enrichies de données complémentaires extraites des bases de données Altares. Définition de la moyenne des prix d acquisition : Le prix moyen représente la somme des montants d acquisition des fonds divisée par le nombre de transactions. Cette moyenne est calculée sur la population des transactions dont le montant est compris entre 10 K et 10 M. Ce champ spécifique permet de dégager des tendances cohérentes sur les prix d acquisitions pratiqués. En effet, quelques opérations très fortes peuvent perturber les résultats. Ainsi en, une quarantaine de ventes de plus de 10 M ont été observées représentant un montant global de 2,6 milliards d, auxquelles s ajoutait une transaction exceptionnelle de plusieurs milliards d. A l inverse, les plus faibles transactions inférieures à 10 K, si elles sont moins perturbantes du fait de leur faible montant et de leur petit nombre (environ 3 % de l ensemble des transactions), traduisent mal la réalité des reprises économiques. Nomenclature d activités : La distribution des secteurs d activité s appuie sur la nouvelle nomenclature des activités françaises (NAF) révisée au 1er janvier Les regroupements établis sont des formats standards couramment utilisés dans le cadre des études économiques. - 21

22 SECTEURS D ACTIVITE AGREGES Agriculture 01 à 03 CODES NAF ASSOCIES Construction 41 à 43 et 68 Commerce 45 à 47 Industrie 05 à 39 Information & communication 58 à 63 Transport & logistique 49 à 53 Activités financières et d'assurance Services aux entreprises 64 à 66 hors 6420Z 69 à 82 et 6420Z Services aux particuliers 95 à 98 Hébergement, restauration, débits de boisson 55 à 56 Autres activités 84 à 94 et 99 Glossaire Fonds de commerce : Le fonds de commerce est composé d'un ensemble d'éléments concourant à constituer une unité économique comprenant des éléments corporels, tel que le matériel, les marchandises et les équipements, et des éléments incorporels, tels que la clientèle, le droit au bail et le nom commercial. La vente des fonds de commerce fait l'objet de précautions particulières en termes de publicité pour que soient sauvegardés les intérêts des créanciers du vendeur. En effet, les éventuels créanciers disposent de 10 jours à compter de la publicité au Bodacc pour faire opposition à la cession. Ventes et cessions : Opération juridique au cours de laquelle la propriété d'un bien ou d'un ensemble de biens ou d'un droit passe du patrimoine du cédant à celui du cessionnaire (bénéficiaire de la cession). Il en est ainsi pour les ventes et cessions de fonds de commerce. Sont ainsi publiés aux Bodacc les transferts de propriété de fonds de commerce par achat, par apport ou par apport partiel d actifs. La transaction peut porter tant sur un établissement, un droit au bail ou une simple branche d activité. - 22

23 L acte de cession de fonds doit faire l objet d une première publicité dans un journal d annonces légales local, puis d une publication nationale au Bodacc. Outre les informations relatives à ce dernier, l avis au Bodacc comprend le fonds acquis, le type d acquisition (achat, apport ), le montant de la transaction, les coordonnées du précédent propriétaire ainsi que les références de la publicité préalable dans un Journal d annonces légales et les conditions pour faire opposition Les créanciers du vendeur ont 10 jours à compter de cette publicité pour former opposition au prix de vente du fonds. Cette opposition a pour effet d empêcher que le prix de la cession, placé sur un compte de séquestre, ne soit remis au vendeur. La somme bloquée sur le séquestre constitue une garantie pour les éventuels créanciers. Ainsi un acquéreur qui paierait le vendeur sans avoir procédé aux publicités nécessaires ou avant les délais des 10 jours, peut en outre se voir contraint de rembourser les éventuelles créances du vendeur. C est ce qui explique que ce soit l acquéreur qui procède aux formalités de publicité. Transaction : Le terme transaction s entend comme la convention conclue par acte authentique stipulant les engagements réciproques interdépendants des parties prenantes à la vente de fonds de commerce (cédant et cessionnaire). Repreneur : Unité légale (entreprise individuelle ou entreprise) qui reprend totalement ou partiellement, l'activité d'un ou plusieurs établissements économiques d'une autre unité légale. Catégorie juridique La catégorie juridique décrit le statut juridique de l'entreprise. Les différentes formes juridiques ont été créées par la loi, soit pour réglementer une activité, soit pour répondre à un vide juridique, mais le but est toujours d'adapter le droit aux réalités et aux besoins économiques. Le droit des affaires distingue : - l'entrepreneur indépendant (artisan, commerçant ) ; - la société (SARL, SA ) ; - le groupement (GIE, association). Etablissement : Pour le répertoire Sirene (répertoire des entreprises et des établissements réalisé par l INSEE), un établissement est une unité d'exploitation ou de production localisée géographiquement, individualisée mais dépendant juridiquement d'une entreprise. C'est le lieu où est exercée l'activité (magasin, atelier, entrepôt...). Un établissement se compose d un lieu et d une activité. On distingue 3 types d établissement : - établissement principal : lieu où s exerce l activité principale d une entreprise. Généralement, cet établissement se situe à l adresse du siège social ; - 23

24 - établissement complémentaire : établissement supplémentaire à l établissement principal. L adresse de cet établissement se situe dans le même ressort du greffe du tribunal de commerce où a été inscrit l établissement principal ; - établissement secondaire : établissement supplémentaire à l établissement principal. L adresse de cet établissement se situe en dehors de ressort du greffe de tribunal de commerce où a été inscrit l établissement principal. Entreprise : Une entreprise est une personne physique ou morale exerçant de manière indépendante une activité professionnelle non salariée. Il existe deux grandes catégories d'entreprises : - l'entreprise individuelle qui ne possède pas de personnalité juridique distincte de celle de son exploitant (par exemple : commerçant, artisan, profession libérale, exploitant agricole...) ; - l'entreprise dite personne morale (par exemple : société anonyme (SA), société à responsabilité limitée (SARL)...). - 24

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010

Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries

Plus en détail

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI

BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE

Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue

Plus en détail

ISF et intermédiation : Collecte 2009

ISF et intermédiation : Collecte 2009 ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour

Plus en détail

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR

Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales

Plus en détail

Observatoire de l Eolien

Observatoire de l Eolien Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels

Plus en détail

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE

1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs

9,8 % de l emploi 2,1 millions de salariés 203 000 établissements employeurs DONNÉES AU 31/12/2006 SOURCE INSEE-CLAP 1 - DÉCEMBRE 2008 Panorama de l'économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Ce document est la première publication réalisée par l Observatoire national de l

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire

Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Le commerce de proximité Repérage statistique et implantation sur le territoire Gwennaël Solard Insee - Division Commerce Chargé d études 18 boulevard Adolphe Pinard 75675 Paris Cedex 14 tél : 01 41 17

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

la création d entreprise en nord-pas de calais

la création d entreprise en nord-pas de calais Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans.

A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises françaises sont au plus haut depuis dix ans. 1/6 COMMUNIQUE DE PRESSE ALTARES PRESENTE SON ETUDE SUR LES COMPORTEMENTS DE PAIEMENT DES ENTREPRISES EN FRANCE ET EN EUROPE AU 1 ER TRIMESTRE 2015. A 13,3 jours, les retards de paiement des entreprises

Plus en détail

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -

La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 - La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou

Plus en détail

Panorama. de l économie sociale et solidaire

Panorama. de l économie sociale et solidaire Panorama de l économie sociale EN FRANCE ET DANS LES RÉGIONS Réalisée par l Observatoire National de l Economie Sociale et Solidaire, cette nouvelle édition du «Panorama de l économie sociale en France

Plus en détail

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens

Dépendance et rayonnement. des établissements franciliens ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France

Plus en détail

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502

Edition février 2015. CEGEDIM CD, droits réservés : GDR_201502 1 Edition février 215 Chaque mois, CEGEDIM CD propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous

Plus en détail

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise 50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux

Plus en détail

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité

ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT

3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 e partie L OFFRE D HÉBERGEMENT 3 - L offre d hébergement Définitions Dans ce chapitre sont présentés les parcs d hébergement marchand et non marchand qui constituent l offre touristique française. Le

Plus en détail

Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert 06 82 93 35 09 ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Dossier de Presse Contact : Raphael Alibert Tél. : 06 82 93 35 09 E-mail : ralibert@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise

Plus en détail

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé

Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé Chaque mois, IMS Health propose une vue de son référentiel ENTREPRISES, constitué à partir du répertoire SIRENE (source INSEE) valorisé (fiabilisation & enrichissement), pour vous accompagner dans la compréhension

Plus en détail

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5

21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent

Plus en détail

Évolution du tissu artisanal en Bretagne

Évolution du tissu artisanal en Bretagne du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des

Plus en détail

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie

Form. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans

Plus en détail

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON

SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale

Plus en détail

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~

AQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~ SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...

Plus en détail

Informatisation des données transfusionnelles

Informatisation des données transfusionnelles Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser

Plus en détail

Les enjeux du quotidien

Les enjeux du quotidien Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO

Plus en détail

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie

Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et

Plus en détail

Portrait statistique des entreprises et des salariés

Portrait statistique des entreprises et des salariés Portrait statistique des entreprises et des salariés Commerce de détail de l Habillement et des articles textiles Comité Paritaire de Pilotage de l Observatoire Portrait statistique des entreprises et

Plus en détail

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre

Bienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel

Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle

Plus en détail

Statistiques Exercice 2012

Statistiques Exercice 2012 Statistiques Exercice 2012 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations communiquées dans ce fascicule sont communiquées titre indicatif et ne peuvent être considérées,

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013

Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats

Plus en détail

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville

Dossier de Presse. Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr. FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Dossier de Presse Contact : Luc Petit Tél. : 06 07 28 92 33 E-mail : lpetit@forces.fr FORCES 90, avenue Maurice Berteaux BP 278 78504 Sartrouville Historique Jean-Paul Debeuret, diplômé d'expertise comptable,

Plus en détail

REGION HAUTE-NORMANDIE

REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie

Plus en détail

Quelle image avez-vous de la Belgique?

Quelle image avez-vous de la Belgique? Quelle image avez-vous de la Belgique? Saviez vous que?. Sont d origine belge. Le saxophone. La marque de montres Ice watch. La chaine de fast food Quick. l ile de Porquerolles au large de Toulon appartenait

Plus en détail

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France

ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection

Plus en détail

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires

de l artisanat Tableau économique ÉTUDES et Recherches Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires ÉTUDES et Recherches de l Institut Supérieur des Métiers Tableau économique de l artisanat MAI 2014 Cahier III : Les entreprises artisanales dans l économie des territoires Tableau économique de l artisanat

Plus en détail

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires

Rapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président

Plus en détail

Construction de logements

Construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des

Plus en détail

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998

q u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998 Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE

RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 1 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Page 2 Page 3 RAPPORT 2012 DE L OPTL - ILE DE FRANCE Sommaire Sommaire... 3 Edito... 4 Champ d application et d observation... 6 Établissements..14 Effectifs...

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE :

TARIFICATION BANCAIRE : TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,

Développement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle, Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs

Plus en détail

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015

Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33

Plus en détail

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique

Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique Panorama des formations post-baccalauréat en Transport et Logistique AFITL - 3 mai 2006 L objectif poursuivi Offrir aux membres de l AFITL (ou à quiconque se promène sur son site Internet) un recensement

Plus en détail

Statistiques Exercice 2011

Statistiques Exercice 2011 Statistiques Exercice 2011 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations consignées dans ce fascicule sont communiquées à titre indicatif et ne peuvent être considérées,

Plus en détail

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35

Plus en détail

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne

Recettes de fonctionnement et capacité d'épargne 1 - Recettes réelles de fonctionnement/population Recettes réelles de fonctionnement : total des recettes de la colonne mouvements réels de la balance générale en section de fonctionnement. Evaluation

Plus en détail

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France

Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Les touristes français et internationaux de la destination Paris Ile-de-France Résultats annuels 2014 des dispositifs permanents d enquêtes dans les aéroports, dans les trains et sur les aires d autoroutes

Plus en détail

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document.

FICHE CANDIDATURE. Ain de mieux vous connaître, nous vous remercions de compléter soigneusement toutes les rubriques de ce document. FICHE CANDIDATURE Ain mieux vous connaître, nous vous remercions compléter soigneusement toutes les rubriques ce document. Ce document dûment complété n engage en rien Planet Sushi ou le candidat. L intégralité

Plus en détail

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE

TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2009"

La santé des étudiants en 2009 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014

Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête

Plus en détail

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers

gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers L i m m o b i l i e r v o u s o u v r e t o u t e s s e s p o r t e s gérants d immeubles agents immobiliers syndics de copropriétés marchands de biens experts immobiliers Bienvenue à l UNIS De plus en

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2009 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2010 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

La Population des Exploitants agricoles en 2011

La Population des Exploitants agricoles en 2011 Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES

Plus en détail

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)

Artiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013) Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision

Plus en détail

Le centre de gestion a le plaisir de vous adresser les statistiques professionnelles élaborées à partir des dossiers de gestion 2013.

Le centre de gestion a le plaisir de vous adresser les statistiques professionnelles élaborées à partir des dossiers de gestion 2013. Statistiques 2013 3, rue de Lyon B.P. 531 71010 MACON CEDEX Tél. 03.85.21.90.60 Télécopie 03.85.21.90.69 E-mail : contact@cgai-macon.fr Agrément de la Direction Régionale des Impôts n 1.02.710 du 6 mars

Plus en détail

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau

Plus en détail

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster

Dossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement

Plus en détail

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise

café, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :

Plus en détail

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses MARS N publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques PORTRAIT STATISTIQUE DES PRINCIPALES CONVENTIONS COLLECTIVES DE BRANCHE EN, millions de

Plus en détail

Différents types d organisation et de centres de décision

Différents types d organisation et de centres de décision Les groupes régionaux occupent une place importante dans l emploi du Nord-Pas-de-Calais et contrôlent de nombreux salariés dans les autres régions françaises. Ce fort rayonnement se concentre essentiellement

Plus en détail

LES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE

LES AUTO-ENTREPRENEURS EN 2013 : LEUR NOMBRE CONTINUE DE PROGRESSER MAIS LEUR CHIFFRE D AFFAIRES MOYEN DIMINUE Fin, on dénombre 911 000 autoentrepreneurs (AE). Ils représentent 51 % de l ensemble des travailleurs indépendants (hors secteur agricole) immatriculés depuis la création du dispositif le 1 er janvier

Plus en détail

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles EXPÉRIENCE CLIENT Saison 2 # Baromètre des secteurs assurances et mutuelles Etude réalisée par INIT Marketing pour Akio Software en mai 2014 sur un échantillon représentatif de la population française

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE

Présentation du Programme PHARE Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des

Plus en détail

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers

Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT

LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L

Plus en détail

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique

Plus en détail

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/

LA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits

Plus en détail

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011

4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 LES COLLECTIVITÉS LOCALES EN CHIFFRES 2011 4LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS LOCALES 4-1 Les comptes des collectivités territoriales et de leurs groupements à fiscalité propre 54 4-2 Les comptes des communes

Plus en détail

B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises?

B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? B Qui sont les propriétaires et les gestionnaires des entreprises? a) L entrepreneur individuel trepreneur individuel Nombre de propriétaires = 1 seul Responsabilité sur ses biens propres = illimitée Activités

Plus en détail

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne 6 804 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5

Plus en détail

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer

Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d

Plus en détail

Les pôles commerciaux et leurs magasins

Les pôles commerciaux et leurs magasins Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins

Plus en détail

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements

De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse

Plus en détail

Emploi et Formation Secteur Publicité

Emploi et Formation Secteur Publicité Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES

Plus en détail

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr

DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue

Plus en détail

Fiche pratique n 27. Les mentions sur les documents commerciaux et les factures. Août 2011. Fiche pratique n 27. CCIT d Alençon. Août 2011.

Fiche pratique n 27. Les mentions sur les documents commerciaux et les factures. Août 2011. Fiche pratique n 27. CCIT d Alençon. Août 2011. Les mentions sur les documents commerciaux et les factures Page 1/8 Page 2/8 Sommaire Documents concernés 4 Documents non concernés 4 Caractéristiques 4 Mentions obligatoires 4 Mentions facultatives (hors

Plus en détail

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation

PAR THEMATIQUE. N THEME Présentation PAR THEMATIQUE N THEME Présentation A B C D Apprentissage/alternance Formation continue Développement/ investissement Hygiène, sécurité, accessibilité Les conseillères du Service Apprentissage ont pour

Plus en détail

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL

MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail