Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône-Alpes

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1 Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône-Alpes Janvier 2010 Introduction/méthodologie Dans le cadre de la rédaction de l audit national du GREPHH (Groupe d Evaluation des Pratiques en Hygiène Hospitalière) sur l Hygiène des mains, chaque CCLIN devait répondre à la question suivante : «Est-il nécessaire de proposer un audit national sur le lavage chirurgical des mains en bloc?». Afin de disposer d éléments de réponse, le CCLIN Sud-Est a proposé un «mini-audit» en ligne, envoyé le 30/09/2009 aux présidents de CLIN des établissements de l interrégion sud-est ayant une activité chirurgicale. Résultats Entre le 30/09/2009 et le 19/10/2009, 119 établissements ont répondu sur l interrégion Sud- Est dont 35 établissements de la région Rhône-Alpes. En Rhône-Alpes, ce chiffre représente 36% (35/97) des établissements ayant une activité chirurgicale dans la région. Ces établissements appartiennent aux 8 départements de la région et se répartissent comme le montre la figure ci-dessous : 40% 37% (13 établissements) 35% 30% 25% 20% 15% 17% (6 étab.) 14% (5 étab.) 10% 5% 9% (3 étab.) 9% (3 étab.) 6% (2 étab.) 6% (2 étab.) 3% (1 étab.) 0% Rhône Isère Haute Savoie Drôme Ain Loire Ardèche Savoie Parmi les établissements ayant répondu : - 19 (54,3 %) établissements privés, - 10 (28,6 %) publics, - 6 (17,1 %) PSPH. Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône Alpes, janvier 2010, ARLIN RA 1

2 Type d établissement ayant répondu : - 17 (48,6 %) MCO, - 9 (25,7 %) CH, - 7 (20,0 %) établissements classés «divers», - 1 (2,9 %) CHU, - 1 (2,9 %) militaire (classé ensuite dans le groupe «divers»). Type d hygiène des mains réalisée en bloc selon le statut de l établissement Répartition des établissements privés en fonction du nombre de blocs par établissement ayant adopté la friction hydroalcoolique 3/19 (16%) moins de la moitié des blocs a adopté 2/19 (10,5%) des blocs a adopté 12/19 (63%) aucun bloc n a adopté 2/19 (10,5%) tous les blocs ont adopté les SHA Répartition des établissements PSPH en fonction du nombre de blocs par - 4/6 établissements (67% des établissements ayant répondu) n ont pas un bloc qui a adopté - 2/6 (33%) ont adopté la friction hydro-alcoolique pour la totalité de leurs blocs. Répartition des établissements publics en fonction du nombre de blocs par - 7/10 établissements (70% des établissements ayant répondu) n ont pas un bloc qui a adopté - 3/10 (30%) ont adopté la friction hydro-alcoolique pour la totalité de leurs blocs. Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône Alpes, janvier 2010, ARLIN RA 2

3 Type d hygiène des mains réalisée en bloc selon le nombre de lits de l établissement Répartition des établissements de moins de 100 lits en fonction du nombre de blocs par 2/12 (16%) 8/12 (67%) établissements: aucun bloc n a adopté 2/12(16%) adopté Répartition des établissements de 100 à 499 lits en fonction du nombre de blocs par 3/21 (14%) moins de la moitié 3/21 (14%) adopté 15/21 (71%) aucun bloc n a adopté Répartition des établissements de 500 lits et plus en fonction du nombre de blocs par Tous (2/2) ont adopté la friction hydro-alcoolique pour la totalité de leurs blocs. Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône Alpes, janvier 2010, ARLIN RA 3

4 Type d hygiène des mains en bloc selon le type d établissement Répartition des centres hospitaliers en fonction du nombre de blocs par - 7/9 établissements (78% des établissements ayant répondu) n ont pas un bloc qui a adopté - 2/9 (22%) ont adopté la friction hydro-alcoolique dans la totalité de leurs blocs. Répartition des Centres Hospitalo-Universitaires en fonction du nombre de blocs par Le seul CHU de la région ayant répondu à cette enquête a adopté la friction hydro-alcoolique dans la totalité de ses blocs. Répartition des cliniques MCO en fonction du nombre de blocs par établissement ayant adopté la friction hydro-alcoolique 3/17 (17%) moins de la moitié 2/17 (12%) 10/17 (59%) aucun des blocs n a adopté les SHA 2/17 (12%) adopté Répartition des établissements «divers» en fonction du nombre de blocs par - 6/8 établissements (75% des établissements ayant répondu) n ont pas un bloc qui a adopté - 2/8 (25%) ont adopté la friction hydro-alcoolique pour la totalité de leurs blocs. Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône Alpes, janvier 2010, ARLIN RA 4

5 Description des freins à l utilisation des SHA (pourcentage de réponses) Problème de coût : NON 35 réponses (100 % des réponses) Difficultés d approvisionnement : NON 35 réponses (100 %) Problème d établissement : NON 35 réponses (100 %) Choix de l équipe chirurgicale : NON 15 réponses (42,9 %) OUI 20 réponses (57,1 %) Manque de formation : NON 29 réponses (82,9 %) OUI 6 réponses (17,1 %) Autres réponses : Intolérance cutanée : citée 12 fois Résistance au changement, convenances personnelles : citées 10 fois Discussion, conclusion Tout en restant prudent dans les conclusions, étant donné la méthodologie «peu formelle» de cette étude, on note qu en région Rhône-Alpes au bloc opératoire, n est pas la technique d hygiène des mains privilégiée quelque soit le type, le statut ou la taille d établissement. Il semble que cette technique soit un peu plus utilisée dans les établissements publics (respectivement 22% et 100% des CH, CHU ayant répondu ont adopté pour la totalité de leurs blocs) ou PSPH (33% ont adopté pour la totalité de leurs blocs) que dans les établissements privés (seuls 10,5% des établissements ont adopté pour la totalité de leurs blocs). La taille de l établissement ne semble pas être un obstacle à l implantation de cette technique. On note un pourcentage identique (14%) d établissements ayant adopté pour l ensemble des blocs dans les établissements de petite taille (moins de 100 lits) et de taille moyenne (entre 100 et 499 lits). Les arguments avancés pour expliquer les difficultés d implantation de cette technique dans les établissements sont essentiellement centrés autour de la résistance au changement des équipes chirurgicales. Ces équipes semblent parfois mal orientées dans leur choix par, notamment, une méconnaissance de la technique et des produits («intolérance» ou «allergies» aux solutions hydro-alcooliques, doutes sur l efficacité donnent lieu à des refus d utilisation). Par ailleurs, le coût, l approvisionnement et la politique d établissement ne sont jamais avancés comme raisons majeures pouvant expliquer la mauvaise implantation de cette technique dans les établissements. Cette faible implantation de la friction chirurgicale des mains dans les blocs opératoires de la région peut expliquer en partie les résultats encore décevants, bien qu en forte progression, de l indicateur ICSHA en Rhône-Alpes pour 2007 et 2008 : En 2007 dans la région Rhône- Alpes, 27% des établissements de santé sont en classe A ou B de l indicateur ICSHA, en 2008, ce pourcentage est passé à 43,1% (cf tableau ci-dessous). Les objectifs quantifiés du Programme National de Prévention des Infections Associées aux Soins en Etablissement de Santé demandent qu «en 2012, au moins 75% des établissements de santé concernés sont en classe A ou B de l indicateur ICSHA (personnalisé) et aucun en E». Répartition des établissements de santé de la région Rhône-Alpes concernés en fonction de leur score ICSHA, en 2007 et Etab. A B C D E F n n % n % n % n % n % n % ICSHA ICSHA Hygiène des mains au bloc opératoire dans la région Rhône Alpes, janvier 2010, ARLIN RA 5

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