MALADIES ET PRATIQUES D ÉLEVAGE EN CAPRINS
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- Étienne Gascon
- il y a 7 ans
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1 MALADIES ET PRATIQUES D ÉLEVAGE EN CAPRINS Région Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire Le Réseau d Élevage Caprin Poitou-Charentes, Vendée et Maine et Loire a abordé le thème «maladies et pratiques d élevage». L objectif était la mise au point d un outil de diagnostic permettant aux éleveurs et à leurs techniciens de quantifier les problèmes sanitaires rencontrés et de les aider à faire le lien avec les pratiques d élevage. Près de 70 enquêtes ont ainsi été réalisées pour tester l outil de diagnostic, faire une photographie de la situation sanitaire des troupeaux et analyser l influence des pratiques d élevage. Les exploitations enquêtées 69 enquêtes ont été réalisées (14 en Deux- Sèvres, 16 en Vienne, 20 en Charente-Maritime et 19 en Vendée). Avec 2,4 UMO sur 82 ha de SAU, les élevages enquêtés détiennent 240 chèvres en moyenne. Pâturage 12% Déshydratés* et foin ou paille 9% SYSTEMES ALIMENTAIRES Autres systèmes 10% Ensilage de maïs 30% Poitou-Charentes 49 % des élevages sont en race Saanen, et graminées 26% 13% * (au moins 150 kg par chèvre par an) 39 % en race Alpine. Les troupeaux produisent en moyenne 760 litres de lait par chèvre. Près de 60 % des élevages ne détiennent que des caprins. Les autres élevages ont d autres herbivores, essentiellement des bovins viande. Sommaire : Les exploitations enquêtées Réforme et mortalité Les symptômes repérés Maladies et systèmes alimentaires Maladies et lait par chèvre Un outil de diagnostic à votre disposition Ce travail fait suite à une thèse vétérinaire réalisée par Céline BOUSQUET auprès des éleveurs des Deux-Sèvres.
2 Réforme et mortalité L âge moyen des troupeaux s établit à 45 mois, ce qui signifie qu en moyenne, les chèvres ne terminent pas leur troisième lactation. Près de 40 % des élevages ont un taux de réforme supérieur à 30 %. Compte tenu du coût du renouvellement * et de la faible valeur des réformes, un tel taux pénalise la marge de l atelier. Quelques indicateurs de la conduite du troupeau Quart inférieur Moyenne Quart supérieur Objectif Age moyen du troupeau mois 57 Taux de mortalité adultes 1,7 4,8 9,5 < 5 % Taux de réforme Taux de réforme et de mortalité 23 29,8 42 < 30 % Taux de renouvellement Pour un taux effectif de renouvellement de 30 %, prévoir de garder 5 à 10 % de chevrettes supplémentaires (non gestantes, mortalité, mauvaise croissance, ) * D après une étude de l INRA et de l école vétérinaire de Nantes, le coût de production moyen de la chevrette mettant bas est estimé à 115 (INRA productions animales 1999). 52 % des chèvres sont réformées pour des raisons sanitaires, les autres pour diverses raisons (faible niveau de production, faibles taux, âge). LES CAUSES DE MORTALITE DES CHEVRES LES REFORMES POUR DES RAISONS SANITAIRES Autres 13% Mammites Cellules 7% 32% Un peu plus de 50 % des élevages ont moins de 5 % de mortalité, seuil considéré comme normal. Par contre, 30 % des élevages ont des taux de mortalités élevés (entre 5 et 10 %) et 9 % des élevages ont des taux très élevés, supérieurs à 10 %. Etat général 7% Arthrite, boiteries 10% CAEV 10% Infécondité 21% Et les jeunes? My coplasme 2% Autres causes 8% Listériose 8% Paratuberculose 8% Grippe 2% Problèmes pulmonaires 2% Mises bas 36% Taux de mortalité chevrettes (au-delà d un mois) Taux de mortalité chevreaux Quart inférieur 0,3 2,3 Moyenne Quart supérieur Objectif 4,2 10,4 < 5 % 9,1 20 < 10 % 58 % des causes de mortalité des chevrettes seraient liées à des problèmes digestifs et 25 % à des problèmes pulmonaires. Problèmes digestifs 18% Quelques pratiques d élevages Mammites 16% 65 % des éleveurs désinfectent le nombril des chevreaux à la naissance 42 % des éleveurs thermisent le colostrum. Si 80 % des éleveurs nettoient régulièrement leur matériel d allaitement, ils sont seulement 40 % à réviser le bon fonctionnement de leur louve automatique. Page 2 Maladies et Pratiques d élevage en caprins
3 Les symptômes repérés => Chez les adultes D après les dires des éleveurs, 85 % de l ensemble des chèvres des troupeaux enquêtés présentent un symptôme ou une maladie au cours d une année. Un même chèvre peut cumuler plusieurs symptômes ou maladies. % DE CHEVRES PRESENTANT UN SYMPTÔME DANS LES ELEVAGES ATTEINTS Au minimum 14 % et au maximum 410 % des chèvres d un élevage sont atteintes par au moins un symptôme ou une maladie dans l année. % D ELEVAGES PRESENTANT UN SYMPTÔME AU COURS D UNE ANNEE 38,7 5,5 3,7 8 12,1 10,8 25,2 19,5 2,1 3,4 3,2 1 4,1 Autres Amaigrissement Mamelles déséquilibrées Abcès Diarrhée Parasitisme externe Dépilation Symptômes respiratoires Mammites Arthrites, boiteries Avortements Troubles nerveux Mortalité brutale A la lecture du graphique, on distingue, Des symptômes qui touchent peu d élevages et peu de chèvres comme la mortalité brutale, les troubles nerveux. Des symptômes qui touchent presque tous les élevages mais peu de chèvres comme les avortements, les mammites, les arthrites, les boiteries. Des symptômes qui touchent moins de la moitié des élevages mais peuvent concerner une bonne partie du troupeau comme la dépilation, le parasitisme externe, la pneumonie, la toux. Ces symptômes sont à relier aux conditions d hygiène et d ambiance. Des symptômes qui touchent la plupart des élevages et peuvent concerner pas mal de chèvres comme les abcès, les diarrhées, les mamelles déséquilibrées. Autres critères indicateurs de problèmes sanitaires Près de 28 % des élevages ont plus de 5 % de chèvres pseudogestantes. 3,5 % ont même plus de 10 % de leurs animaux dans cette situation. 23 % des élevages présentent au moins 3 mois de taux inversés. Près de 40 % des élevages ont plus de 4 mois de lactation à plus d un million de cellules. Maladies et pratiques d élevage en caprins Page 3
4 => Chez les chevrettes 10,3 % de l ensemble des chevrettes des troupeaux enquêtés présentent un symptôme ou une maladie au cours d une année. Une même chevrette peut cumuler plusieurs symptômes ou maladies. Au minimum 2 % et au maximum 268 % des chevrettes d un élevage sont atteintes par au moins un symptôme ou une maladie dans l année. % DE CHEVRETTES PRESENTANT UN SYMPTÔME DANS LES ELEVAGES ATTEINTS Les maladies les plus fréquentes chez les chevrettes renvoient aux conditions d hygiène et d ambiance du bâtiments. % D ELEVAGES PRESENTANT UN SYMPTÔME AU COURS D UNE ANNEE 0,6 Troubles nerveux 9 2 Mortalité brutale 42 4 Arthrites Diarrhées Echtyma Symptômes respiratoires 46 Les frais vétérinaires ne sont pas un indicateur de l état sanitaire du troupeau Les frais vétérinaires s élèvent en moyenne à 7 par chèvre, ils vont de 1,8 pour le quart inférieur à 14 pour le quart supérieur. On n observe pas de lien entre les frais vétérinaires par chèvre et le pourcentage de chèvres présentant des symptômes dans un troupeau. Frais vétos en /chèvre Frais vétos et chèvres atteintes 0,0 50,0 100,0 150,0 200,0 % chèv res atteintes Maladies et systèmes alimentaires Quelques critères de conduite du troupeau Ensilage de maïs et déshydratés Déshydratés et foin Pâturage Nombre d élevages Taille de troupeau Lait par chèvre Age moyen du troupeau Taux de réforme 29,7 27,2 21,5 28,3 24,3 Taux de mortalité 4,9 3,2 2,9 6,1 7,4 Page 4 Maladies et Pratiques d élevage en caprins
5 D après le tableau ci-contre, les taux de mortalité seraient les plus élevés chez les élevages en systèmes «Déshydratés» ou «Pâturage». Cumulés, les taux de réforme et de mortalité dépassent 34 % dans les élevages en système «Déshydratés» et dans les élevages en ensilage de maïs. Les élevages en système «Déshydratés» qui ne sont pourtant pas des élevages récents ont les troupeaux les plus jeunes. Attention, ces résultats sont à interpréter avec prudence compte tenu du faible nombre d élevages enquêtés. % de chèvres atteintes Ensilage de maïs 14 et graminées 12 Déshy dratés et/ou paille 10 Pâturage amaigrissement diarrhées mortalité brutale troubles nerv eux Maladies et lait par chèvre Les élevages en pâturage ont le plus de chèvres qui maigrissent. Ce symptôme peut être attribué à diverses pathologies : parasitisme interne, paratuberculose, entérotoxémie Enfin, les diarrhées concernent tous les élevages avec un intensité plus forte pour les élevages en «et graminées» et moins forte en «Ensilage de maïs». Les élevages en déshydratés sont les plus concernés par la mortalité brutale. D après ce graphique, les élevages en ensilage de maïs seraient davantage concernés pour les troubles nerveux (listériose) que les autres. Quelques critères de conduite du troupeau Moins de 600 l 600 à 700 l 700 à 800 l 800 à 900 l Plus de 900 l Nombre d élevages Taille de troupeau Age moyen Taux de réforme 24, ,4 27,2 29,8 Taux de mortalité 7,5 5 4,4 3,3 5,2 45 % de chèvres atteintes selon le lait par chèvre moins à à à Amaigrissement Diarrhées Mortalité brutale Pneumonies, toux Arthrites, boiteries Avortements Abcès caséeux Mammites Mamelles déséquilibrées Maladies et pratiques d élevage Page 5
6 ANALYSER LA SITUATION SANITAIRE DE SON ÉLEVAGE L analyse des pratiques est indispensable pour anticiper, prévenir et résoudre les problèmes sanitaires. Les principaux leviers d actions sont l alimentation, les bâtiments, l hygiène, la traite La voie curative ne doit être qu un moyen d intervention ponctuel et n a de sens que si le diagnostic a été bien posé. Ce travail sera d autant plus efficicace qu il sera conditionné en concertation entre l éleveur, son technicien et son vétérinaire. Un outil de diagnostic à votre disposition Vos techniciens (cf. coordonnées ci-dessous) disposent d un document de diagnostic pour vous accompagner dans l analyse de la situation sanitaire de votre élevage. Ce document a pour objectif d aider l éleveur à faire le lien entre les problèmes sanitaires rencontrés dans son élevage et ses pratiques. Après avoir enregistré les principales caractéristiques de l élevage, on recense les maladies rencontrées (nature, ampleur, antériorité ) à partir des symptômes. Un tableau croisé fait ensuite le lien entre les pathologies et les pratiques d élevage (mouvements d animaux, alimentation, traitement ). En fonction de la situation sanitaire du troupeau, seules certaines pratiques d élevage seront analysées plus à fond. Exemple : dans un élevage ayant subi des avortements, on s intéresse de plus près aux maladies présentes dans l élevage, aux pratiques de l éleveur en matière de mouvements d animaux et d alimentation. Quelques repères sont précisés tout au long du document et peuvent alerter l éleveur tant sur ses résultats que ses pratiques. Ont participé à la rédaction de ce document : Chambre d Agriculture de la Charente Sébastien BESSONNET - Chambre d Agriclture de la Charente-Maritime Violaine SALAÜN - Chambre d Agriculture des Deux-Sèvres Marie-Pierre GUILLON et Coralie BLONDEAU - Chambre d Agriculture et Contrôle Laitier de la Vienne Carole DAVID - Chambre d Agriculture d Ille et Vilaine Virginie DROGE, Manon GILLIER et Jean-CHERBONNIER - Contrôle Laitier du Maine et Loire Bernard POUPIN - Contrôle Laitier de la Vendée Frantz JENOT- FRESYCA et Nicole BOSSIS - Institut de l'élevage Action financée par l ONILAIT, le FEOGA et l ADAR, réalisée par les Chambres d Agriculture de Poitou-Charentes et les Contrôles Laitiers du Maine et Loire et de la Vendée. Avec l appui méthodologique de l Institut de l Elevage et le concours de l Association Régionale Caprine Poitou-Charentes et du GIE Lait-Viande Pays de la Loire. Mise en page : Valérie LOCHON - Décembre
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