CONJONCTURE ECONOMIQUE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CONJONCTURE ECONOMIQUE"

Transcription

1 CONJONCTURE ECONOMIQUE DES ENTREPRISES EN HAUTE-GARONNE FEVRIER 2003 T E N D A N C E S E C O N O M I Q G R A N D A N G L E U E S D E L A H A U T E - G A R O N N E

2 La Chambre de Commerce et d Industrie de Toulouse a souhaité réaliser une étude de conjoncture économique des entreprises de la Haute-Garonne. Cette étude nous a paru indispensable pour mieux cerner la situation de nos ressortissants dans une période délicate, marquée à la fois par les conséquences de la tragédie d AZF et par l atonie de l économie mondiale. Cette étude s appuie sur une enquête adressée à 6000 entreprises de toutes catégories d activité et de toutes tailles, inscrites au registre du commerce de notre département. Ces résultats portent sur 1264 réponses d entreprises qui constituent un panel représentatif de notre tissu économique départemental. Un premier acte est aujourd hui posé dans la mise en place, par la Chambre de Commerce et d Industrie de Toulouse, de l Observatoire Economique destiné à doter notre département, avec l aide d un large réseau de partenaires, d un outil unique de données statistiques et d analyse économique. Il ne peut y avoir de politique cohérente de développement local sans la prise en compte des intérêts et des préoccupations des entreprises, sources de richesse, d emploi et de croissance. La Chambre de Commerce et d Industrie, à la croisée des entreprises et des institutions, s impose aujourd hui comme l opérateur qualifié pour apporter ces éléments de connaissance et s associer avec expertise aux orientations et actions qui en découleront. Claude Terrazzoni Président de la Chambre de Commerce et d Industrie de Toulouse ÉDITO GRAND ANGLE TENDANCES HAUTE-GARONNE ECONOMIQUES DE LA CONJONCTURE ÉCONOMIQUE DES ENTREPRISES EN HAUTE GARONNE 1

3 R E P È R E S REPÈRES Nombre d établissements* : Effectif salarié* : RÉPARTITION : Industrie : Construction : Commerce : Services : Répartition des établissements Services 41% Industrie 9% Commerce 42% Construction 8% RÉPARTITION : Industrie : Construction : Commerce : Services : Répartition des salariés Services 42% Commerce 24% Industrie 25% Découpage géographique - Novembre Enquête de conjoncture COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION DU GRAND TOULOUSE 21 communes établissements Construction 9% COURONNE URBAINE DE TOULOUSE 51 communes établissements 2 ème COURONNE 249 communes établissements 2 COMMINGES 267 communes établissements *Base de données des entreprises (hors agriculture) Fichier Consulaire CCI Toulouse - 01/01/2002

4 Cette étude de conjoncture a été réalisée à partir d un échantillon représentatif de 1264 entreprises de Haute-Garonne dans lequel toutes les tranches d effectifs et tous les secteurs d activité sont représentés. L enquête réalisée en décembre 2002 a permis : de mesurer l évolution de l activité économique des entreprises de Haute-Garonne à partir d indicateurs quantitatifs (chiffre d affaires, chiffre d affaires export, effectif) pour les années 1999 à 2002, ainsi que les tendances sur 2003, d apprécier l opinion des dirigeants d entreprises sur l évolution à moyen terme de leur entreprise, sur l influence de l environnement local, national et international, ainsi que sur les facteurs internes d activité de l entreprise. d estimer l impact des évènements AZF et ses conséquences sur l activité économique départementale. Les différents éléments méthodologiques retenus sont précisés en page 16 SOMMAIRE GRAND ANGLE L ÉVOLUTION DE L ACTIVITÉ - par grands indicateurs PAGES 4 À 7 DES ENTREPRISES - par secteur d activité - par zone géographique LES FACTEURS D INFLUENCE PAGES 8 ET 9 EXTERNES ET INTERNES PRÉSENTATION / SOMMAIRE L IMPACT ÉCONOMIQUE - L impact en 2002 PAGES 10 ET 11 DE LA CATASTROPHE AZF - Les conséquences à moyen terme LE CLIMAT DES AFFAIRES - L appréciation de l activité de 2002 PAGES 12 ET 13 et les perspectives Les entrepreneurs et l avenir de leur branche d activité ANNEXES PAGES 14 ET 15 NOTE MÉTHODOLOGIQUE PAGE 16 TENDANCES HAUTE-GARONNE ECONOMIQUES DE LA PRÉSENTATION-SOMMAIRE 3

5 INDICATEURS ECONOMIQUES 4 INDICATEURS ÉCONOMIQUES DE LA HAUTE-GARONNE Le chiffre d affaires des entreprises du département est en progression constante sur l ensemble de la période étudiée. En 2003, les prévisions sont elles aussi à la hausse. Après une année 2000 en forte progression (+9%), sur les années suivantes la croissance demeure forte mais elle se ralentit : 5,5% en 2001 et 3,5% en Les tendances sont identiques pour l effectif salarié : après une bonne année 2000 pendant laquelle le nombre de salariés a augmenté de 7 %, le taux d évolution de l effectif salarié s est ralenti. Les prévisions des chefs d entreprise pour 2003 sont assez favorables : 31% des répondants prévoient un chiffre d affaires à la hausse, 49% une année stable et 20% une baisse. Parallèlement, les tendances sur l emploi sont plus modérées : les entreprises sont 16% à envisager des recrutements, 76% à conserver un effectif stable alors que 8% prévoient une réduction d effectif. Le CA export est très atypique en Haute-Garonne. Il s agit d un indicateur qui est très dépendant de l industrie aéronautique (88% des exportations départementales). Après deux années de repli, les entreprises de ce secteur envisagent une reprise de l export pour Il faut noter une progression constante de l export des services à l entreprise sur l ensemble de la période. 8 L évaluation de l activité économique des entreprises de Haute-Garonne s appuie sur les analyses de l évolution de 3 indicateurs : le chiffre d affaires, l effectif et le chiffre d affaires export. Pour cette première enquête de conjoncture publiée par la CCI de Toulouse, il a semblé utile de dresser un historique depuis 1999 afin de mieux identifier les tendances. L analyse s appuie sur les informations communiquées par les chefs d entreprise : chiffres réalisés de 1999 à 2001, estimation pour 2002, appréciation de l activité Les chiffres d affaires et effectifs ont été pris en compte pour l ensemble des répondants. Le chiffre d affaires export quant à lui concerne uniquement les entreprises ayant régulièrement exporté sur toute la période d observation. Compte tenu de la taille de l échantillon entreprises exportatrices et pour des raisons de pertinence de l analyse, l indicateur CA export n a pas été étudié par secteur d activité ni par zone géographique Base 100 en 1999 EVOLUTIONS DÉPARTEMENTALES Estimé Prévisions Chiffre d'affaires Chiffre d'affaires export Effectif

6 L analyse de l évolution du chiffre d affaires par tranche d effectif fait apparaître que : les grandes entreprises (plus de 50 salariés) ont connu une forte hausse de chiffre d affaires sur les trois années, 2001 et 2002 sont des années de fort ralentissement de croissance pour les entreprises de 10 à 50 salariés les entreprises de moins de 10 salariés ont vécu une année 2002 satisfaisante. Pour 2003, ce sont les dirigeants des entreprises de 50 salariés et plus qui sont les plus confiants sur l augmentation de leur chiffre d affaires. Les entreprises de plus petite taille restent elles aussi optimistes Base 100 en 1999 Base 100 en 1999 * % part du CA export dans le chiffre d affaires total pour les entreprises ayant une activité régulière à l export C est dans les entreprises de plus de 50 salariés que l effectif a le plus progressé sur les quatre dernières années. En 2002 le taux de croissance est comparable pour toutes les tailles d entreprise : il oscille entre 2 et 3 %. La majorité des entreprises, quelle que soit leur taille, envisage une hausse de leur effectif salarié en à 49 29% 29% 24% 21% 50 et + 24% 23% 20% 21% TOTAL 24% 23% 21% 21% La baisse du taux d exportation s est confirmée en Sur les périodes précédentes, ce sont les entreprises de taille réduite (de 10 à 49 salariés) qui affichaient un taux supérieur à celui des grandes entreprises. Estimé Une année 2002 assez satisfaisante avec une progression de chiffre d affaires de 3,5%. Un progression plus faible pour les entreprises de 10 à 50 salariés. Des prévisions assez favorables pour Export en baisse mais des exportateurs confiants. Prévisions Estimé Prévisions EVOLUTION DU CHIFFRE D AFFAIRES PAR TAILLE D ENTREPRISE EVOLUTION DE L EFFECTIF PAR TAILLE D ENTREPRISE 1 à à et + TOTAL TAUX D EXPORTATION DES ENTREPRISES DE HAUTE-GARONNE* À RETENIR 5 INDICATEURS ECONOMIQUES

7 INDICATEURS ECONOMIQUES 6 INDICATEURS ÉCONOMIQUES DE LA HAUTE-GARONNE L industrie et le commerce sont les secteurs qui ont connu le plus faible développement sur l ensemble de la période. L industrie, après avoir bénéficié d un taux de croissance de 10 % entre 1999 et 2001, accuse une baisse de 2 points en L emploi industriel suit un mouvement parallèle en Les activités industrielles en progression : aéronautique, construction électrique et électronique, industrie agroalimentaire. En forte chute : l industrie chimique. Le commerce a lui enregistré une stagnation de son activité entre 2000 et On constate un retour à la croissance pour 2002 même si celle-ci demeure timide (+2,5%). Dans les secteurs commerce et industrie, les effectifs suivent les mêmes tendances que le chiffre d affaires mais les amplitudes des variations observées sont légèrement plus faibles. Pour 2003, les prévisions sont à la hausse pour le commerce et l industrie, elles restent toutefois nettement plus favorables dans le commerce Cette double page permet de dresser un état des lieux de l évolution de l activité économique départementale selon 2 approches : Base 100 en 1999 Base 100 en 1999 SERVICES Une industrie en perte de vitesse avec un chiffre d export accusant une forte baisse. Des activités de service, plus fortement contributrices de la croissance. EVOLUTION PAR SECTEUR D ACTIVITE Estimé Prévisions Prévisions À RETENIR l approche sectorielle : Industrie, Construction, Commerce, Services CONSTRUCTION Estimé La construction et les services sont les secteurs les plus dynamiques. Ils affichent un taux de croissance sur trois ans respectivement de 28 % et 41 %. Les effectifs sont à la hausse de 10 % entre 1999 et 2002 pour le secteur de la construction et de 20 % pour le secteur des services. En 2002, le chiffre d affaires des services progresse de 7,5%. Cette tendance favorable devrait se confirmer en 2003, les chefs d entreprise du secteur se montrant les plus optimistes du département tant pour l évolution de leur chiffre d affaires que de leur effectif. Le secteur de la construction, quant à lui, a connu une progression de 6% en Pour 2003, les entrepreneurs redoutent une baisse de leur chiffre d affaires. Toutefois, l emploi ne devrait pas être pénalisé par cette érosion du chiffre d affaires. Chiffre d'affaires Base 100 en 1999 INDUSTRIE COMMERCE Base 100 en 1999 Estimé Prévisions Effectif Estimé Un secteur du commerce globalement optimiste pour Un repli attendu en 2003 de l activité de la construction. Prévisions

8 Les différences géographiques sont très marquées : la zone d attractivité toulousaine (agglomération, couronne urbaine et la deuxième couronne), au nord du département, connaît une forte progression sur les 4 dernières années alors que pour le Comminges la progression est faible sur la même période. C est dans la périphérie de Toulouse que le développement économique est le plus fort sur les années alors que la 140 communauté d agglomération se situe Base 100 en 1999 CHIFFRE D AFFAIRES Estimé Prévisions légèrement en retrait. La deuxième couronne est elle aussi en phase de croissance : après deux années de progression modérée, cette zone géographique a connu un regain d activité dû à l essor 115 économique d entreprises leaders. 110 Le Comminges pour sa part profite moins 105 de la croissance départementale. Après une 100 année 2001 difficile, le sud du département 95 semble devoir inverser la tendance avec un 90 taux de croissance de 6,5% en 2002 et des prévisions optimistes pour l approche territoriale : Communauté d agglomération, Couronne Urbaine, Deuxième couronne et Comminges (voir carte en page 2) Base 100 en 1999 EFFECTIF Extension territoriale du dynamisme économique de l agglomération toulousaine. Une couronne urbaine en pleine expansion. EVOLUTION PAR TERRITOIRE Estimé Prévisions Communauté d agglomération Couronne urbaine Comminges 2 ème couronne Une même tendance à la hausse est émise par les chefs d entreprise de la couronne urbaine. Le renforcement des effectifs dans l agglomération et dans ses environs est sensible et, comme pour le chiffre d affaires, c est la couronne urbaine qui voit ses effectifs progresser le plus fortement. La tendance est aussi à la hausse dans le Comminges mais elle demeure moins marquée. Le Comminges, secteur géographique moins dynamique mais en progression en 2002 et probablement en À RETENIR 7 INDICATEURS ECONOMIQUES

9 FACTEURS EXTERNES 8 FACTEURS EXTERNES FACTEURS LES PLUS FAVORABLES** INDUSTRIE CONSTRUCTION COMMERCE SERVICES 364 ents. 120 ents. 322 ents. 406 ents. Demande locale 40%* 69% 47% 47% Evolution du secteur au plan local 23% 51% 27% 29% Demande nationale 23% 11% 14% 28% Evolution du secteur au plan national 15% 4% 12% 18% Climat des affaires local 8% 24% 8% 12% **Facteurs les plus cités en % des entreprises répondantes * Cette cellule se lit : 40 % des 364 entreprises de l industrie ayant répondu à cette question ont évoqué la demande locale comme un facteur favorable. 1 chef d entreprise sur 2, quel que soit son secteur d activité, considère que la demande locale (parmi les 15 facteurs proposés), a répondu favorablement à ses attentes en 2002 alors que seulement 6% l ont jugée défavorable. La demande dans son ensemble (locale et nationale) a eu un effet positif sur l activité des entreprises. FACTEURS EXTERNES LES PLUS CITÉS Plus d un quart des chefs d entreprises souligne le 600 Positive dynamisme de leur secteur d activité au plan local. 500 Négative Ils sont peu nombreux à être inquiets sur ce point. 400 Le secteur de la construction est celui pour lequel l environnement local a été le plus favorable en En ce qui concerne les facteurs plutôt défavorables, les 100 réponses sont plus équilibrées. Il ressort cependant : une tension du côté de l offre qui préoccupe plus particulièrement les commerces et la construction (et qui demeure l élément de préoccupation majeur des entreprises) que les évènements du 11 septembre 2001 ont impacté négativement l activité de plus d un quart des entreprises industrielles et de services. que l évolution des prix d achat est un autre élément de préoccupation. 8 Cette section analyse l'influence de l'environnement (facteurs externes) et du fonctionnement de l'entreprise (facteurs internes) sur son activité. 15 facteurs externes et 8 facteurs internes ont été proposés : chaque chef d'entreprise avait la possibilité de citer un ou plusieurs facteurs. Les facteurs externes concernent l'offre et la demande mais aussi les évènements intervenus sur la période (explosion AZF, 11 septembre, mise en place de l'euro). FACTEURS LES MOINS FAVORABLES** INDUSTRIE CONSTRUCTION COMMERCE SERVICES 364 ents. 120 ents. 322 ents. 406 ents. Concurrence locale 20% 43% 31%* 26% Evolution des prix d'achat 24% 32% 21% 22% Conséquences du 11/09/01 27% 13% 16% 27% Climat des affaires local 19% 13% 20% 17% Mise en place de l'euro 12% 16% 17% 12% **Facteurs les plus cités en % des entreprises répondantes À RETENIR Les chefs d entreprises sont plutôt satisfaits de la demande locale et de leur activité, en La concurrence locale et les prix sont des facteurs de difficulté majeure pour les entreprises Demande locale Evolution du secteur d'activité au plan local Concurrence locale Evolution des prix d'achat Climat des affaires local * Cette cellule se lit : 31 % des 322 entreprises de commerce ayant répondu à cette question ont évoqué la concurrence locale comme un facteur défavorable.

10 FACTEURS LES PLUS SATISFAISANTS** INDUSTRIE CONSTRUCTION COMMERCE SERVICES 364 ents. 120 ents. 322 ents. 406 ents. Animation commerciale 43%* 45% 51% 40% Utilisation des capacités de production 48% 49% 31% 31% Trésorerie 37% 45% 40% 32% Marge commerciale 36% 38% 43% 28% Politique des prix 30% 34% 43% 33% **Facteurs les plus cités en % des entreprises répondantes Globalement, les entreprises sont satisfaites de leurs indicateurs internes d activité : 61% des réponses sont positives alors que ce taux atteint 48% sur les facteurs externes. Un consensus fort apparaît sur les 35 H : 63 % des entreprises citent ce facteur de façon négative; dans le secteur de la construction, ce taux atteint 72 %. La tendance est plutôt favorable sur les autres indicateurs. Les facteurs internes les moins satisfaisants sont : la marge commerciale jugée suffisante dans 58% des cas et faible par 42% des répondants, la trésorerie pour laquelle 61% des réponses sont positives et 39% négatives. L industrie et les services sont les deux secteurs les moins optimistes concernant leur trésorerie. L endettement n est pas inquiétant : 32% des chefs d entreprises jugent ce critère bon alors que 11% l estiment trop élevé. FACTEURS LES MOINS SATISFAISANTS** INDUSTRIE CONSTRUCTION COMMERCE SERVICES 364 ents. 120 ents. 322 ents. 406 ents. Application des 35 heures 60% 72% 62% 65%* Marge commerciale 26% 22% 26% 26% Trésorerie 26% 22% 18% 25% Politique des prix 25% 24% 15% 20% Endettement 11% 13% 9% 13% **Facteurs les plus cités en % des entreprises répondantes Passage aux 35 H : un effet très négatif pour 2/3 des chefs d entreprise. Des indicateurs de gestion plutôt satisfaisants pour une majorité d entreprises. La trésorerie et les marges : inquiétantes pour 1 entreprise sur Positive Négative Application des 35 heures Marge commerciale Trésorerie Politique des prix Animation commerciale de l'entreprise FACTEURS INTERNES Les facteurs internes traitent des indicateurs de suivi de l'activité de l'entreprise (trésorerie, endettement, rotation des stocks, utilisation des capacités de production) mais aussi de facteurs plus qualitatifs tels que l'animation commerciale. Les résultats sont présentés par grand secteur d'activité. Les résultats obtenus ne tiennent pas compte de la taille de l'entreprise ni de son chiffre d'affaires, le but étant d'estimer l'influence des facteurs économiques par secteur d'activité et non de les quantifier. * Cette cellule se lit : 43 % des 364 entreprises de l industrie ayant répondu à cette question ont évoqué l animation commerciale comme un facteur satisfaisant. FACTEURS INTERNES LES PLUS CITÉS * Cette cellule se lit : 65 % des 406 entreprises des services ayant répondu à cette question ont évoqué les 35 heures comme un facteur défavorable. À RETENIR 9 FACTEURS INTERNES

11 IMPACT DE LA CATASTROPHE AZF 10 IMPACT DE LA CATASTROPHE AZF 8 Le 21 septembre 2001 l explosion survenue sur le site de l usine d AZF a entraîné des dégâts humains et matériels considérables et détruit toute ou partie des moyens de production de certaines entreprises. Cette enquête de conjoncture a été l occasion d interroger les entreprises sur les conséquences économiques de cette explosion en Haute-Garonne. Les entreprises ont donc pu s exprimer sur les incidences sur leur effectif et leur chiffre d affaires. Impact sur le chiffre d'affaires Neutre 59% Positif 9% Fortement positif 1% Fortement négatif 14% Négatif 17% 31 % des chefs d entreprises interrogés estiment que la catastrophe d AZF a eu un impact négatif sur leur chiffre d affaires. Par contre ces évènements ont entraîné un surcroît d activité pour 10 % des entreprises départementales, principalement pour celles du secteur de la construction et dans une moindre mesure dans les services. Les effets sont restés limités sur l emploi, 8% des entreprises ayant été contraintes à prendre des mesures de réduction du personnel, pour la plupart sur une courte durée. L'impact économique d'azf est perçu de façon relativement homogène par les différentes branches d'activité : le pourcentage des chefs d'entreprise estimant que leur chiffre d'affaires a été influencé à la baisse par AZF oscille entre 25 % et 41 % (excepté pour la construction). Le secteur du commerce est le plus affecté principalement pour les commerces de gros (37%) et les commerces de proximité (36%) Les services sont inégalement touchés : ce sont principalement les entreprises de services à la personne et les cafés, hôtels, restaurants qui ont connu une chute de leur activité imputable à l'explosion d'azf. Les entreprises de petite taille (moins de 10 salariés) ont été proportionnellement plus touchées (34%) que les grandes entreprises (28%). * En % des entreprises répondantes IMPACT AZF SUR LE CHIFFRE D AFFAIRES EN 2002* Négatif ou Neutre Positif ou fortement négatif fortement positif Industrie 29% 61% 7% 3% Construction 21% 44% 34% 1% Commerce 35% 58% 5% 2% Services 30% 59% 9% 2% NSP

12 Communauté d'agglomération Communauté d'agglomération du du Grand Toulouse 54% 11% 35% Couronne Urbaine de Toulouse Couronne Urbaine de Toulouse 62% 9% 29% IMPACT SUR LE CHIFFRE D AFFAIRES après 2003* IMPACT SUR L EFFECTIF après 2003 en + en - non NSP* Communauté d'agglomération 0% 32% 34% 34% Couronne Urbaine 1% 36% 36% 27% Comminges 1% 47% 27% 25% 2 ème couronne 1% 38% 28% 33% TOTAL 1% 35% 33% 31% * En % des entreprises répondantes 76% Comminges Comminges 3% 21% 2 ème couronne 2 ème couronne Si, un an après la catastrophe, les chefs d entreprises se sont estimés touchés économiquement, ils demeurent aussi inquiets sur l impact de la catastrophe à plus long terme. L effet positif sur l activité des entreprises du bâtiment est terminé. Restent les conséquences négatives : aujourd hui, un chef d entreprise sur trois estime que les conséquences d AZF affecteront directement son activité dans les deux années à venir. Cette proportion augmente sur les zones géographiques du Comminges et de la deuxième couronne. Le secteur du commerce et les petites entreprises sont les plus inquiets sur les conséquences à moyen terme. Une entreprise sur trois économiquement affectée Une catastrophe dont l impact économique s est propagé sur tout le département, Un impact que les chefs d entreprise (1 sur 3) voient perdurer en 2003 et au delà. 70% 9% 21% Si l impact matériel de l explosion a été limité géographiquement, l impact économique s est diffusé sur l ensemble du département, y compris dans le Comminges et la deuxième couronne : même si la proportion des entreprises économiquement affectées est moindre dans ces deux zones elle demeure tout de même importante (21 % d entreprises concernées) en + en - non NSP* Communauté d'agglomération 1% 32% 34% 33% Couronne Urbaine 0% 35% 38% 27% Comminges 1% 47% 27% 25% 2 ème couronne 1% 38% 26% 35% TOTAL 1% 34% 33% 32% À RETENIR 11 IMPACT DE LA CATASTROPHE AZF

13 CLIMAT DE CONFIANCE 12 CLIMAT DE CONFIANCE 8 L évaluation du climat de confiance s appuie sur l opinion des chefs d entreprises enquêtés en décembre 2002 concernant : leurs prévisions d activité pour 2003 : carnet de commandes, chiffre d affaires, effectifs, leur perception de l environnement : climat des affaires local et appréciation de l avenir de leur branche d activité. Les chefs d entreprise se sont exprimés librement sur la perception de leur activité et sur les principaux facteurs positifs ou négatifs influençant celle-ci. On retrouvera ci-dessous une synthèse des remarques les plus souvent formulées qui permettent d apporter un éclairage complémentaire aux seules statistiques. Industrie Construction Commerce Services APPRÉCIATION DE L ACTIVITÉ Activité Carnet de Chiffre d affaires Effectif 2 ème sem commandes* 1 er sem er sem * Cet indicateur ne concerne pas le commerce de détail et les services à la personne. Si l appréciation de 2002 est satisfaisante pour une majorité d entrepreneurs, ceux-ci sont moins optimistes pour 2003 : les carnets de commande sont peu ou moyennement garnis, le climat des affaires local est jugé peu favorable par une majorité d entre eux. Dans la construction, les avis des entrepreneurs sont partagés entre une hausse et une baisse d activité au premier semestre Leur carnet de commande est moins rempli qu en C est le secteur qui semble le moins confiant à l approche de 2003 malgré un environnement local jugé favorable : l année 2003 devrait seulement être moins bonne que Dans l industrie, les chefs d entreprise sont beaucoup moins confiants pour 2003 qu ils ne l étaient en Le chiffre d affaires du premier semestre 2003 devrait se maintenir à un niveau plutôt satisfaisant mais les carnets de commande sont à la baisse, ce qui n incite pas les entrepreneurs à envisager des recrutements. Dans le secteur du commerce, l optimisme est plus fort dans la distribution que dans le commerce traditionnel. Les services sont les plus optimistes pour 2003 et devraient avoir une plus forte propension à l embauche que les autres secteurs de l économie. CLIMAT DES AFFAIRES LOCAL 2002* favorable défavorable Industrie 30% 70% Construction 64% 36% Commerce 29% 71% Services 41% 59% TOTAL 38% 62% * En % des 350 entreprises ayant cité ce facteur

14 La perception de l avenir de la branche d activité par les chefs d entreprise permet d évaluer leur opinion sur l évolution de leur branche à moyen et long terme. Il ressort une tendance nette à l optimisme. Si 44% des entreprises considèrent que leur branche d activité sera stable, elles sont 35% à penser que les évolutions futures seront favorables à leur développement. Les services, le secteur le plus optimiste : 42% des entreprises de ce secteur prévoient des évolutions favorables. Si toutes les branches des services sont dans le même état d esprit, on notera L activité des entreprises industrielles et de services est tirée à la hausse par l aéronautique et par la production sur place de l A380, ce qui incite la plupart des entreprises des secteurs concernés à un optimisme certain sur leur activité à moyen terme. Certains dirigeants expriment quelques inquiétudes liées à leur forte dépendance vis-à-vis de l industrie aéronautique, à la tension récente sur les prix et à l apparition d une concurrence étrangère pour la soustraitance. AVENIR DE LA BRANCHE D ACTIVITÉ tout de même que ce sont les activités de service à l entreprise et d hôtellerie/restauration qui sont les plus confiantes. Les réponses des entrepreneurs des services mixtes et à la personne sont, quant à elles, plus réservées. Dans le secteur industriel, la branche construction électrique et électronique est la plus optimiste alors que l industrie chimique est soucieuse de l évolution de sa branche. Dans le secteur du commerce une inquiétude subsiste pour les commerces de gros alimentaires et les petits commerces. L industrie aéronautique affiche une confiance forte dans son avenir. Plus la taille de l entreprise est importante (en nombre de salariés) plus les chefs d entreprise sont confiants dans l avenir de leur activité. * En % des entreprises répondantes Positif ou fortement positif Forteme 6 Stable Les sous-traitants du domaine spatial sont eux plus inquiets sur l avenir de ce secteur. Les activités hôtelières font ressortir leurs liens avec l aéronautique ainsi que leur difficulté de recrutement. Les grands chantiers de l agglomération toulousaine (Aéroconstellation, Métro) soutiennent le dynamisme du secteur du BTP qui bénéficie par ailleurs de la bonne tenue de l activité de construction de logements sur l agglomération toulousaine et au-delà dans la 2 ème couronne. Certains entrepreneurs se montrent plus inquiets Avenir de la branche d'activité Favorable 29% AVENIR DE LA BRANCHE : RÉPONSES PAR TAILLE D ENTREPRISES* Négatif ou fortement négatif 0 à 4 salariés 28% 40% 27% 5% 5 à 9 salariés 31% 44% 22% 3% 10 à 49 salariés 34% 44% 20% 2% 50 salariés et + 49% 37% 11% 3% COMMENTAIRES DES ENTREPRENEURS Défavorable 13% concernant l avenir à moyen terme à l issue de ces grands chantiers. La croissance démographique et l attractivité du pôle toulousain favorisent l activité des commerces. Ces phénomènes sont également soulignés dans la 2 ème couronne toulousaine. Cependant, l activité de ce secteur étant très fortement dépendante de la demande des ménages, les commerçants appréhendent tout événement pouvant diminuer le pouvoir d achat des ménages ou les inciter à restreindre leurs dépenses (évènements internationaux). À RETENIR Des chefs d entreprise de Haute-Garonne peu optimistes pour 2003, mais plutôt confiants dans l avenir de leur branche d activité, à plus long terme. Un climat local des affaires plutôt négatif sauf dans le secteur de la construction. Des prévisions assez favorables dans les grandes entreprises et dans le secteur des services. Stable 44% NSP ment menacé % 13 CLIMAT DE CONFIANCE

15 A N N E X E S ANNEXES Évolution chiffre d affaires Évolution Effectif (indice base 100 en 1999) (indice base 100 en 1999) Nombre Effectif d établissements salarié % Tendance Tendance répondants représenté d évolution /2002 INDUSTRIE % Industrie Agro-alimentaire % Construction électrique % et électronique Industrie chimique % et para-pharmaceutique * Industrie aéronautique % Industries diverses % CONSTRUCTION Bâtiment et travaux-publics % COMMERCE % Commerces de gros % alimentaire Commerces de gros % non alimentaire Grands magasins % Autres commerces % de détail SERVICES % Café, hôtel, restaurant % Services à l'entreprise % Services à la personne % Services mixtes % TOTAL % LÉGENDE EVOLUTION DES INDICATEURS ECONOMIQUES PAR BRANCHE D ACTIVITE Tendance forte Tendance modérée * données départementales établies à partir des réponses données par les entreprises du secteur de la chimie, y compris deux entreprises du pôle chimique toulousain 14 Stabilité

16 INDUSTRIE INDICATEURS DE CONFIANCE PAR BRANCHE D ACTIVITE DECEMBRE 2002 ANNEXES Activité Carnet de Avenir au commandes au de la branche 2 ème sem er sem 2003 d activité Industrie Agro-alimentaire - Construction électrique et électronique Industrie chimique et para-pharmaceutique Industrie aéronautique Industries diverses CONSTRUCTION Bâtiment et travaux-publics COMMERCE Commerce de gros alimentaire - Commerce de gros non alimentaire Grands magasins - Autres commerces de détail - SERVICES Café, hôtel, restaurant - Services à l'entreprise Services à la personne - Services mixtes - TOTAL LÉGENDE Satisfaisant Médiocre Difficile 15 A N N E X E S

17 M E T H O D O L O G I E MÉTHODOLOGIE L objet de cette étude conjoncturelle est d apprécier l évolution de l activité générée par les entreprises locales, sur les 4 dernières années et de connaître l opinion des chefs d entreprises sur leur activité actuelle et leurs perspectives de développement pour L enquête s est déroulée du 18 novembre 2002 au 10 janvier Elle a concerné entreprises ou établissements départementaux du secteur marchand, inscrits au Registre du Commerce et des Sociétés. Le plan de sondage, établi selon la méthode des quotas, a tenu compte de la répartition des établissements et des emplois permanents en 224 segments construits par le croisement de : 14 branches d activité des secteurs de l Industrie, de la Construction, du Commerce ou des Services, créées selon des regroupements de codes APE, 4 zones géographiques : Communauté d Agglomération, Couronne Unité Urbaine, Comminges, Deuxième couronne, (voir carte page 2) 4 tranches d effectifs : de 0 à 4 salariés ; de 5 à 9 salariés ; de 10 à 49 salariés ; 50 salariés et plus Les résultats de cette étude ont été établis sur la base d un échantillon représentatif du tissu économique de la Haute-Garonne, composé de établissements représentant un effectif de personnes. La population totale du département représente établissements et salariés (au 1 er janvier 2002). COMPOSITION DE L ÉCHANTILLON 0 à 4 5 à 9 10 à et + TOTAL % INDUSTRIE % CONSTRUCTION % COMMERCE % SERVICES % TOTAL % % 24% 20% 41% 15% 100% Après une phase de contrôle portant sur la cohérence de l information collectée, il a été procédé aux traitements statistiques. La méthode retenue a consisté d une part à agréger les données par secteurs économiques (industrie, commerce, services), par taille d entreprise (regroupement en 3 classes) et/ou par zone géographique et, d autre part, à opérer des redressements sur les données quantifiées. En particulier, les indicateurs de chiffres d affaires ont fait l objet de redressements statistiques systématiques : Seules les entreprises ayant déclaré un chiffre d affaires total sur la période étudiée de 1999 à 2002 ont été prises en compte et seuls les exportateurs réguliers ont fait l objet d une analyse en ce qui concerne l évolution de l activité internationale. Le chiffre d affaires total a été estimé par le ratio de productivité apparente (chiffre d affaires par emploi ) observé, appliqué à la population de référence Le chiffre d affaires export a été estimé par le ratio CA export/emploi observé appliqué à la population de référence Les éléments qualitatifs et de tendances ont été traités en nombre d établissements pour une meilleure prise en compte de la diversité des opinions individuelles des chefs d entreprises, quelles que soient leur activité, leur taille et leur localisation. AVERTISSEMENT Afin de privilégier la fraîcheur des éléments qualitatifs émis par les chefs d entreprise ainsi que la plus grande rapidité de parution, les résultats de l année 2002 ont été statistiquement estimés à partir des données provisoires qui nous ont été communiquées lors de la phase d enquête de décembre Il doit donc en être fait usage avec précaution. 16

18 Nous remercions tout particulièrement l ensemble des entreprises qui ont participé à la réalisation de cette enquête de conjoncture économique en Haute-Garonne. TENDANCES GRAND ANGLE ECONOMIQUES DE LA HAUTE-GARONNE Étude réalisée avec le concours de l observatoire économique SIRIUS de la CCI de NICE COTE D AZUR CHAMBRE DE COMMERCE ET D INDUSTRIE DE TOULOUSE DIRECTION MISSIONS GENERALES ET CONSULTATIVES 2, rue Alsace-Lorraine - BP TOULOUSE CEDEX 6 - Tél. :

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT DES PAYS DE LA LOIRE 2nd semestre 2013 - Edition Janvier 2014 Au cours du second semestre, l activité a été contrastée. Même si le nombre d artisans déclarant une hausse

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION

ENQUÊTE DE SATISFACTION Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE

OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011. Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE OSEO EXCELLENCE SONDAGE JUILLET 2011 BERTRAND ROZE COMMUNITY MANAGER OSEO EXCELLENCE Thème : CONJONCTURE ECONOMIQUE EXTENSION & REBRANDING OSEO CAPITAL PME ECONOMIE : FRANCE ALLEMAGNE Antoine COULOMBEAUX

Plus en détail

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise

Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Septembre 2014 Implantation économique, foncier et immobilier d entreprise Quelles sont les attentes des entreprises en Loire-Atlantique? Afin de mieux cerner globalement la demande des entreprises de

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie

Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie Décembre 2012 Accès au financement des entreprises artisanales en Haute-Normandie La situation financière des entreprises artisanales et le recours aux banques Région Haute-Normandie Depuis novembre 2011,

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE

OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE OBSERVATOIRE UFF / IFOP DE LA CLIENTÈLE PATRIMONIALE Edition 2013 Perception du risque et comportement d investissement (point 5) 16 octobre 2013 Pourquoi un Observatoire UFF/IFOP de la clientèle patrimoniale?

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME

Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME Baromètre sur le financement et l accès au crédit des PME - Vague 24 - Sondage Ifop pour KPMG et CGPME Contact Ifop : Flore Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d Entreprise

Plus en détail

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6

NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE SOMMAIRE. Décembre 2014 - N 6 NOTE DE CONJONCTURE DE L ARTISANAT EN HAUTE-NORMANDIE Décembre 2014 - N 6 ENQUETE DU 2 nd SEMESTRE 2014 SOMMAIRE Tendance générale Tendance par département Tendance par grand secteur Focus sur les conjoints

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

UN REGAIN D OPTIMISME

UN REGAIN D OPTIMISME 2015 UN REGAIN D OPTIMISME Activité : reprise en pente douce Emploi : renforcement des effectifs Comme pressenti en novembre dernier, les chefs d entreprise de la région Rhône- Alpes anticipent un développement

Plus en détail

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes

Plus en détail

ENTREPRISE DE NETTOYAGE

ENTREPRISE DE NETTOYAGE ENTREPRISE DE NETTOYAGE SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 5 L'ACTIVITÉ DE L'ENTREPRISE DE NETTOYAGE... 7 LES POINTS DE VIGILANCE DE

Plus en détail

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE Les notes de l Juin 2007 OBSERVATOIRE PARTENARIAL LYONNAIS EN ECONOMIE RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE L entrepreneuriat est une priorité pour le développement économique de l

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

OBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits -

OBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits - OBSERVATOIRE DU REGROUPEMENT DE CREDITS - Sondage PollingVox pour Bourse des Crédits - PollingVox 67, rue Saint-Jacques 75005 Paris pollingvox.com SOMMAIRE Note technique... 3 Synthèse des résultats...

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance

CONJONCT URE. +1 point. Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance CONJONCT URE estre NOTE DE conjoncture TRIMESTRIELLE de L APEC N Intentions de recrutements de cadres : entre prudence et reprise de confiance Les recruteurs font toujours preuve de prudence dans leurs

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013

L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième

Plus en détail

Services à la personne

Services à la personne Enquête régionale auprès des entreprises agréées 2010 Services à la personne Midi-Pyrénées En France : > 390 000 emplois créés depuis 2005 > Près de 2 millions de salariés dans les services à la personne

Plus en détail

COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ

COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ SOMMAIRE LE MARCHÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 2 LA RÉGLEMENTATION DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 5 L'ACTIVITÉ DE LA COUVERTURE ET ÉTANCHÉITÉ... 8 LES POINTS DE VIGILANCE

Plus en détail

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE

UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE 2015 UN 1 ER SEMESTRE EN DEMI-TEINTE Activité : reprise modérée Emploi : contraction des effectifs Contrairement à leurs prévisions de novembre dernier, les PME de la région anticipent un développement

Plus en détail

Des changements dans les habitudes mais des investissements coûteux

Des changements dans les habitudes mais des investissements coûteux n o 11 - décembre 2010 RÉUNION Pratiques environnementales Des changements dans les habitudes mais des investissements coûteux Des pratiques emblématiques liées à l environnement comme le tri des déchets,

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002

ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002 GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60

Plus en détail

1 - Salaires nets tous secteurs confondus

1 - Salaires nets tous secteurs confondus N 627 Résultats l enquête annuelle sur les s auprès s entreprises - Mai 2011 - L enquête annuelle sur les s auprès s entreprises, réalisée par voie postale par l ONS a donné les résultats présentés ci-ssous.

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

Les atouts de la France pour surmonter la crise

Les atouts de la France pour surmonter la crise Les atouts de la France pour surmonter la crise Institut CSA pour RTL Juin 01 Fiche technique Sondage exclusif CSA / RTL réalisé par Internet du 1 au mai 01. Echantillon national représentatif de 100 personnes

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

Enquête sur les perspectives des entreprises

Enquête sur les perspectives des entreprises Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,

Plus en détail

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Secteur Tertiaire 6 ème édition - 2003 Réali sé par la Chambre de Commerce et d Industrie Centre en partenariat avec le pôle ORFE du Groupement

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne

Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Sondage web sur la démocratie et la participation citoyenne Rapport d analyse des résultats Présenté à l'institut du Nouveau Monde 22 mai 2012

Plus en détail

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison?

Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013. 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? Les paradoxes des marchés de bureaux et du logement Les prévisions IEIF 2013 2013 : l année dangereuse Entre rechute et guérison? 2013 : scénarios pour l économie française Scénario central 80% de probabilité

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Un sondage exclusif mené par l Ins6tut Think pour 29/01/13 - Sondage «Les Français & l esprit d entreprise» mené par l Institut Think pour l APCE

Plus en détail

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012

Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Analyse des visites énergie réalisées par les CCI de Rhône-Alpes en 2011 et 2012 Depuis 2006, les CCI de Rhône-Alpes, en partenariat avec l ADEME et le Conseil Régional, s attachent à promouvoir la maîtrise

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015)

CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015) CPA Canada Tendances conjoncturelles (T1 2015) Préparée pour les Comptables professionnels agréés du Canada Le 1 er mai 2015 Renseignements sur le sondage Le rapport trimestriel CPA Canada Tendances conjoncturelles

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs GUYLAINE POTTIER CONSULTANTE EN ASSURANCE AUUDDI ITT EETT COONNSSEEI ILL UNNEE EEXXPPEERRTTI ISSEE OOBBJ JEECCTTI IVVEE AAUU SSEEUULL BBEENNEEFFI ICCEE DDEESS EENNTTRREEPPRRI ISSEESS Pibrac, le 5 novembre

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants?

Santé et relations humaines au travail Sommes-nous prêts à être plus performants? Santé et relations humaines au Sommes-nous prêts à être plus performants? Principaux enseignements de l enquête Mesure Management Santé chez les entrepreneurs de CroissancePlus Les traits d'identité constitutifs

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION

INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION SOMMAIRE LE MARCHÉ DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES ET DE CLIMATISATION... 2 LA RÉGLEMENTATION DE L'INSTALLATION D ÉQUIPEMENTS THERMIQUES

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX

MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière

Plus en détail

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.

ENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice. Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale

Plus en détail

Un climat des affaires incertain

Un climat des affaires incertain AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.

Plus en détail

Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme

Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme Étude : Les PME à l heure du travail collaboratif et du nomadisme Synthèse des principaux enseignements Octobre 2012 sfrbusinessteam.fr FICHE TECHNIQUE DE L ETUDE Echantillon : 300 entreprises de 20 à

Plus en détail

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS

Plus en détail

Les TPE françaises et les nouvelles technologies. Conférence du 30 octobre 2012

Les TPE françaises et les nouvelles technologies. Conférence du 30 octobre 2012 Les TPE françaises et les nouvelles technologies Conférence du 30 octobre 2012 SYNTHESE Une forte conscience des enjeux des nouvelles technologies Aujourd hui, la quasi-totalité des dirigeants de TPE est

Plus en détail

Le Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House

Le Baromètre de l économie. BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Mai 2008 Le Baromètre de l économie BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Les indices de confiance BVA - BFM - La Tribune - The Phone House Impact de la crise financière internationale sur l attitude

Plus en détail

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011

Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description

Plus en détail

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont N 4

Baromètre local de conjoncture des arrondissements de Bar-sur-Aube et Chaumont  N 4 N 4 Chiffres clés de l arrondissement de Source INSEE RGP 1999 Estimation CCI de Troyes et de l Aube Bar sur Aube Population 2007 : 29 427 hab. 9,8 % de la population auboise Superficie : 1 193 km2 Densité

Plus en détail

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des

Plus en détail

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997

LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE 1997 LA COMPOSITION DES PLANS D ÉPARGNE EN ACTIONS (PEA) À FIN DÉCEMBRE Selon les données communiquées par les établissements participant à l enquête-titres de la Banque de France, l encours des capitaux placés

Plus en détail

Epargne longue : la nouvelle donne

Epargne longue : la nouvelle donne Epargne longue : la nouvelle donne Septembre 2008 Etude disponible le 1 er septembre 2008 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité, taille et segmentation du marché, etc.-

Plus en détail

Observatoire de l Auto-Entrepreneur

Observatoire de l Auto-Entrepreneur Observatoire de l Auto-Entrepreneur Avec la participation de : Vague 8 - Juin 2012 Contexte Plus de 3 ans après le lancement du régime de l Auto-Entrepreneur, plus d un million d autoentreprises ont été

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES

BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1 er et 2 ème trimestres 2010 Note semestrielle N 1 BAROMETRE DE CONJONCTURE DE L HEBERGEMENT D ENTREPRISES 1. CHIFFRE D AFFAIRES TOTAL DES CENTRES D AFFAIRES Chiffre d affaires total / surface totale

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

Les internautes et les comparateurs de prix

Les internautes et les comparateurs de prix FM N 19410 Contact L Atelier : Sandra Edouard Baraud Tél : 01 43 16 90 22 sandra.edouardbaraud@atelier.net, Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les internautes

Plus en détail

FM N 110529 Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com. pour

FM N 110529 Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com. pour FM N 110529 Contact Ifop : Frédéric Micheau Tél : 01 45 84 14 44 frederic.micheau@ifop.com pour Les Français et les points de vente connectés Les principaux enseignements Octobre 2012 Sommaire - 1 - La

Plus en détail

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification»

Rapport Final. Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Rapport Final Etude Action «Illettrisme en entreprise, les salariés de bas niveau de qualification» Février 2001 Note méthodologique Rappel des objectifs Nous devons au terme de cette étude avoir : Cerné

Plus en détail

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES

L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES 22ème rapport annuel de L OBSERVATOIRE DES CREDITS AUX MENAGES présenté par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mardi 16 mars 2010 - Les faits marquants en 2009

Plus en détail

TRAVAUX DE SERRURERIE

TRAVAUX DE SERRURERIE TRAVAUX DE SERRURERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE SERRURERIE... 8 LES POINTS DE VIGILANCE DES TRAVAUX DE

Plus en détail

Les TPE et PME face aux technologies de l information. Zone 3 villes de plus de 2 500 habitants. Zone 4 zone rurale

Les TPE et PME face aux technologies de l information. Zone 3 villes de plus de 2 500 habitants. Zone 4 zone rurale Les entreprises Les TPE et PME face aux technologies de l information L équipement des entreprises traditionnelles de 5 à 250 salariés Le niveau d équipement Le taux d'équipement en PC portable (Base =

Plus en détail

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014

Digital Trends Morocco 2015. Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Moroccan Digital Summit 2014 #MDSGAM - Décembre 2014 Sommaire 04 Objectifs de la démarche 07 Méthodologie 05 Parties prenantes 09 Résultats de l étude 06 Objectifs de l étude 37 Conclusion 02 Contexte

Plus en détail

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires :

La considération et la reconnaissance de la profession par les pouvoirs publics apparaissent déficitaires : Note détaillée Le regard des masseurs-kinésithérapeutes sur leur profession Etude Harris Interactive pour L Ordre National des Masseurs-Kinésithérapeutes Les résultats sont issus d une enquête réalisée

Plus en détail

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74%

LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT. Bilan des immatriculations / radiations d entreprises artisanales. Solde net 1 002 entreprises 74% n 6 - JANVIER 21 LES CHIFFRES CLÉS DE L ARTISANAT 23 629 c est * le nombre d entreprises 2 inscrites au Répertoire des métiers de l Essonne. dirigeants d entreprise artisanale ont été interrogés à la fin

Plus en détail

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire

L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale

Plus en détail

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS

USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS USAGE ET PERCEPTION DE L ADMINISTRATION ELECTRONIQUE EN LIGNE PAR LES PROFESSIONNELS - Sondage de l'institut CSA - N 0501353 Novembre 22, rue du 4 Septembre BP 6571 75065 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44

Plus en détail

observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr

observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr observatoire du Transport Sanitaire 2014 kpmg.fr Edito Marc Basset, Associé, Responsable du secteur Transport sanitaire C est avec un grand plaisir que nous vous présentons l Observatoire du Transport

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI

LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI Juin 2008 - N 24.1 LA QUESTION FINANCIÈRE : UNE PRÉOCCUPATION IMPORTANTE DES ACTIFS SANS ÊTRE PERÇUE COMME LE PRINCIPAL FREIN AU RETOUR À L EMPLOI En 2007, la Dares et la Drees ont conduit une enquête

Plus en détail

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité

Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Inégalités de salaires et de revenus, la stabilité dans l hétérogénéité Gérard Cornilleau Des inégalités contenues, des classes moyennes fragiles Le débat sur les salaires n est plus aujourd hui dominé

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Centre d Analyse Stratégique

Centre d Analyse Stratégique Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux

La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les

Plus en détail

A. Secteur des services aux entreprises

A. Secteur des services aux entreprises A. Secteur des services aux entreprises 1 Services Aux Entreprises I. Diagnostic sectoriel Services Aux Entreprises 1. Contexte des entreprises Démographie des entreprises 382 417 499 286 1845 1838 1271

Plus en détail

Données au 1 er janvier 2015

Données au 1 er janvier 2015 2015 Données au 1 er janvier 2015 Sommaire Chapitres ELEMENTS DE CADRAGE ALSACE - TOUS SECTEURS Etablissements et effectifs en 2015 pp. 3 à 7 pp. 5 à 6 Etablissements par tranche d effectifs salariés en

Plus en détail