Conflits d intérêt: Aucun
|
|
- Françoise Bois
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La combinaison de variants génétiques influençant la production de cytokines proinflammatoires prédit le risque de survenue de carcinome hépatocellulaire chez des patients ayant une cirrhose virale C Arige Tarhuni, Erwan Guyot, Pierre Rufat, Angela Sutton, Nathalie Charnaux, Nathalie Ganne-Carrié, Jean-Claude Trinchet, Richard Moreau, Abdel Mansouri, Pierre Nahon INSERM U773, Centre de recherche de Bichat-Beaujon, Paris Université Paris 7-Denis Diderot, Paris, France Université Paris 13, Bobigny, France Unité d Hépatologie, Hôspital Jean Verdier, Bondy, France
2 Conflits d intérêt: Aucun
3 Single Nucleotide Polymorphisms Foie normal? ALCOOL VIRUS? Cirrhose
4 Single Nucleotide Polymorphisms Foie normal ALCOOL VIRUS cytokines Pro-inflammatoires Cirrhose
5 VHC Macrophage IL6 IL1β TNFα CHC
6 SNPs VHC Macrophage SNPs SNPs IL6 IL1β TNFα CHC
7 SNPs fonctionnels des gènes du TNF-α, IL-1ß et IL6 maladies du foie Cytokine Région Position Allèle 1,2 Conséquences Fonctionnelles (allèle 2) Pathologies TNFα Promoteur -238 G,A Augmentation du TNFα TNFα Promoteur -308 G,A Augmentation du TNFα TNFα Promoteur C,A Augmentation du TNFα IL C,G Augmentation de l IL-6 IL-1β Promoteur C,T Augmentation de l IL-1 IL-1β Promoteur - 31 C,T Augmentation de l IL-1 Maladie alcoolique du foie Hépatite B Li HQ et Al Hépatite B Hépatite C Jeng J et Al Carcinogénèse virale B et C Hépatite B Kim J et Al Carcinogénèse virale B Maladie alcoolique du foie Gleeson D et Al Maladie alcoolique du foie Carcinogénèse virale C Carcinogénèse virale C Sutton et al Etudes longitudinales dans des cohortes bien définies
8 Patients et Méthodes 253 patients caucasiens avec une cirrhose virale C prouvée histologiquement sans consommation d alcool sans co-infection VIH/VHB Recrutement: Suivie et dépistage du CHC 95 mois Décès CHC Date de point : 1/08/2011 lié au CHC non lié au CHC extra-hépatique TNFα-238G/A TNFα-308G/A TNFα-863C/A IL6+174C/G IL1β-31C/T IL1β-511C/T QPCR ET RFLP Kaplan meier
9 Caractéristiques de la cohorte N = 253 patients Age = 57,2 ± 0,8 ans Hommes = 139 (55%) Score Child-Pugh = 5,2 ± 0,06 Suivi moyen= 95 ± 3 mois CHC = 91 (35,9%) RVS = 61 (24,1%) Décès = 85 (33,5%) Lié au CHC: 54 Non lié au CHC: 23 Extra-hepatique: 8
10 Temps (mois) IL 6 C/G (n=85 ) Patients sans CHC % Survie % IL6+174 C/G p=0,7 IL6 G/G (n=37) p=0,8 IL 6 C/G (n=85 ) IL6 G/G (n=37) TNFα A/A (n=48) TNFα-863 C/A p=0,5 TNFα C/A (n=64 ) p=0.5 TNFα A/A (n=48) TNFα C/A (n=64 ) GA-238TNFα (n=81 ) GA-238TNFα (n=81 ) TNFα-238 G/A p=0,2 2A-238TNFα (n=30) p=0,1 2A-238TNFα (n=30) IL1ß T/T (n=37) IL1ß T/T (n=37) IL1ß C/T (n=118 ) IL1β-511 C/T p=0.1 IL1ß C/C (n=98) p=0,2 IL1ß C/C (n=98) IL1ß C/T (n=118 )
11 Distributions génotypiques et caractéristiques des patients en fonction du TNFα -308 G/A TNF α -308 AA (n=37 ;14,6%) TNF α -308 GA (n=120 ;47,4%) TNF α-308 GG (n=96; 38 %) P Age (ans) 59,0 ±0,8 57,9 ± 0,8 55,6 ± 0.8 0,3 Sexe masculin 21 (56,8 %) 67 (55,8%) 51 (53,1 %) 0,7 BMI (kg/m 2 ) 28,1±0,5 28,8±0,4 29,8±0,4 0,6 Diabète 7(21,9) 29 (30,9) 20 (27,0) 0,8 Génotype VHC 1 26 (70,3) 84 (70,0) 79(75,0) 0,6 Score de Child-Pugh 5,3 ± 0,05 5,3 ± 0,05 5,2 ± 0,06 0,5 RVS 9 (24,3%) 25 (20,8%) 27 (28,1%) 0,4 CHC 18 (48,7%) 51 (42,5%) 22 (22,9 %) 0,001 Décès 15 (40,5%) 46 (38,3%) 24 (25,0%) 0,04
12 L allèle A du TNFα -308 favorise le développement du CHC et la mortalité globale CHC Décès Patients sans CHC (%) p<0,0001 TNFα G/A (n=120 ) TNFα A/A (n=37) Survie (%) p=0,002 TNFα G/A (n=120 ) TNFα A/A (n=37) Temps (mois) Temps (mois)
13 Distributions génotypiques et caractéristiques des patients pour le IL 1 β - 31 C/T IL1 ß-31 TT (n =97; 38,3 %) IL1 ß -31 CT (n=113; 44,7%) IL1ß-31 CC (n=43 ; 17%) P Age (ans) 57,6 ± 0,8 57,6 ± 0,8 55,5 ± 0,8 0,6 Sexe masculin 55 (56,7%) 60 (53,1 %) 24 (55,8%) 0,8 BMI (kg/m 2 ) 31,2±0,47 27,7±0,39 28,9 ± 0,35 0,5 Diabète 21 (28,0) 27 (28,7) 8 (25,8) 0,9 Génotype VHC 1 74 (76,2) 85 (75,2) 30 (69,8) 0,1 Score Child-Pugh 5,2 ± 0,04 5,3 ± 0,05 5,3 ± 0,09 0,6 RVS 22 (22,7%) 29 (25,7%) 10 (23,2%) 0,8 CHC 45 (46,4%) 37 (37,7%) 9 (20,9 %) 0,002 Décès 40(41,2%) 34(30,1%) 11 (25,6%) 0,04
14 L allèle T de l IL 1β - 31 est un facteur de risque du développement du CHC CHC Décès Patients sans CHC (%) Logrank=0.004 IL1ß C/T (n=113) IL1ß T/T (n=97) p=0,004 Survie (%) p=0,3 IL1ß C/T (n=113) IL1ß T/T (n=97) Temps (mois) Temps (mois)
15 Constitution de 4 groupes selon les génotypes du TNFα et de l IL1ß Faible producteurs de TNF α Faible producteurs de IL1ß Groupe 1 TNFα-308 GG IL1ß-31 CC ou CT Forts producteurs TNF α Forts producteurs IL1ß Groupe 4 TNFα -308 GA ou AA IL1ß-31 TT
16 Constitution de 4 groupes selon les génotypes du TNFα et de l IL1ß Faible producteurs de TNF α Faible producteurs de IL1ß Groupe 1 TNFα-308 GG IL1ß-31 CC ou CT Groupe 2 TNFα-308 GG IL1ß-31 TT Groupe 3 TNFα -308 GA ou AA IL1ß-31 CC ou CT Forts producteurs TNF α Forts producteurs IL1ß Groupe 4 TNFα -308 GA ou AA IL1ß-31 TT
17 Les Forts producteurs de TNF α et IL1ß ont un risque accru de développer un CHC TNFα IL1ß Patients sans CHC (%) Logrank= Logrank= p<0,0001 N=63 (25,0%) N=33 (13,0%) months N=93 (36,7%) N=64 (25,3%) Groupe 1 Groupe 2 Groupe 3 Groupe 4 Temps de suivi (mois) TNFα IL1ß
18 Analyses multivariées Cox univarié Age 1,04 [1,02-1,06] Sexe masculin 2,4 [1,6-4,9] BMI 1,05 [1,02-1,09] P =0,0008 Diabète 2,1 [1,3-3,3] P =0.003 Absence de RVS 2,5 [1,4-5,0] P =0,003 Thrombopénie 1,006 [1,002-1,01] P =0,003 Il 1β ou 2 allèles T 1,7 [1,1-2,6] P =0,008 TNF ou 2 allèles A 3,2 [1,9-5,2] Cox multivarié 1,04 [1,02-1,06] 2,5 [1,6-5,0] 1,05 [1,01-1,08] P =0,006 2,5 [1,2-4,1] P =0,01 1,006 [1,003-1,009] P =0,002 3,6 [2,1-6,0]
19 Analyses multivariées Cox univarié Age 1,04 [1,02-1,06] Sexe masculin 2,4 [1,6-4,9] BMI 1,05 [1,02-1,09] P =0,0008 Diabète 2,1 [1,3-3,3] P =0.003 Absence de RVS 2,5 [1,4-5,0] P =0,003 Thrombopénie 1,006 [1,002-1,01] P =0,003 Il 1β ou 2 allèles T 1,7 [1,1-2,6] P =0,008 TNF ou 2 allèles A 3,2 [1,9-5,2] Cox multivarié 1,04 [1,02-1,06] 2,5 [1,6-5,0] 1,05 [1,01-1,08] P =0,006 2,5 [1,2-4,1] P =0,01 1,006 [1,003-1,009] P =0,002 3,6 [2,1-6,0] Score: âge*0, ,02345*sexe + BMI*0, ,00854*plaquettes + TNF-308 A allèle* 1, ,77915*RVS
20 Intégration des données génétiques dans un modèle de prédiction du risque d apparition du CHC Patients sans CHC (%) p<0,0001 Risque faible (n=44) Risque Intermédiaire (n=166) Risque élevé (n=43) CHC<5% 5%<CHC<40% CHC>40% Temps de suivi (mois) Incidence CHC 3 ans Incidence CHC 6 ans Risque faible Risque intermédiaire Fort risque 0/44 (0,0%) 9/166 (5,4%) 8/43 (18,6%) 0/44 (0,0%) 32/166 (19,2%) 26/43 (60,4%)
21 Intégration des données génétiques dans un modèle de prédiction du risque d apparition du CHC Patients sans CHC (%) p<0,0001 Risque faible (n=44) Risque Intermediaire (n=166) Risque élevé (n=43) =41% Age=48.6 yrs IMC=25.7 kg/m 2 Pl= / mm 3 RVS=52% TNF-308 1ou2A=23% Risque faible Risque élevé Temps de suivi (mois) =77% Age=69.0 yrs IMC=32,1 kg/m 2 Pl= / mm 3 RVS=14% TNF-308 1ou2A=97%
22 Conclusions L hétérogénéité génétique modulant la production des cytokines pro-inflammatoires influence le risque d apparition de CHC chez des patients ayant une cirrhose virale C. Les patients ayant une supposée forte production de TNFα et IL1β selon les génotypes sont particulièrement exposés à la survenue du CHC et à une mortalité globale accrue.
23 Conclusions L allèle A du TNFα -308 favorise l émergence du CHC Sélection des patients à haut risque Marqueur génétique de prédiction du risque de CHC Le génotypage extensif de larges cohortes prospectives est nécessaire afin de préciser la place de ce marqueur dans des scores polygéniques de prédiction du risque de CHC
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailUn nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD
Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailVirus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailDocument de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire :
Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C Sommaire : Au Canada, l hépatite B et l hépatite C demeurent de graves enjeux de santé publique en raison de taux de prévalence élevés, de coûts élevés pour
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailF ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux
F ZOULIM Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux - Connaître les objectifs du traitement - Connaître les résultats immédiats et à long terme des traitements - Savoir choisir une option thérapeutique
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales IFMT Séminaire hépatites mai 2006. IFMT-MS-Sémin Hépatites-2006 1 Principes de base 1. Hépatites aigues : on ne traite pas! (VHA, VHE, VHB aigue) aucun traitement n a fait
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailGènes Diffusion - EPIC 2010
Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses
Plus en détailPr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance
Réplication résiduelle Pr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance ART bloque la réplication virale avec persistance de ADN viral intégré Taille du réservoir est établie avant
Plus en détailLes analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC
Les analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC Donald Murphy, PhD Laboratoire de santé publique du Québec PNMVS, Montréal, 15 octobre 2013 Plan de
Plus en détailPolymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545
50 Polymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545 Les études sur les facteurs génétiques de susceptibilité au cancer différencié de la thyroïde sont rares et de petite taille. Réparation
Plus en détailGènes de prédisposition au diabète, une belle avancée!
imprimer la page Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! Philippe Froguel, directeur de l'umr 8090, Institut Pasteur de Lille La question du diabète est actuellement très préoccupante, partout
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailNouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir
Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailII - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE
II - DIABETE DE TYPE 1 : ÉPIDÉMIOLOGIE - PHYSIOPATHOLOGIE - DIAGNOSTIC- DÉPISTAGE I. ÉPIDÉMIOLOGIE En France, le diabète de type 1 touche 0,38 % de la population totale et environ 10 % des diabétiques.
Plus en détailPierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien
P RTAIL VIH / sida du Québec Hépatite C Retour sur les symposiums hépatite C 2012 Pierre-Yves Comtois, Marc Leclerc, Bruno Lemay, Karina Ortega Révision scientifique : Benoît Lemire, pharmacien Le 3 et
Plus en détailBon usage. Mise au point
Bon usage Mise au point Évaluation et prise en charge des troubles psychiatriques chez les patients adultes infectés par le virus de l hépatite C et traités par (peg) interféron alfa et ribavirine Mai
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailhépatite C MISE À JOUR DE L INFORMATION MÉDICALE transmission diagnostic prise en charge clinique traitement
Fondation canadienne du foie Programme national d éducation sur l hépatite C hépatite C MISE À JOUR DE L INFORMATION MÉDICALE transmission diagnostic prise en charge clinique traitement Une initiative
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailHémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010
Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur
Plus en détailLE POINT SUR... Prévention nutritionnelle du diabète de type 2 : un projet réaliste? Dépistage. Une prévention est-elle possible?
Prévention nutritionnelle du diabète de type 2 : un projet réaliste? Hélène Bihan, Hôpital Avicenne, Unité de Recherche Epidémiologique Nutritionnelle, helene.bihan@avc.aphp.fr a prévention du diabète
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailVanina Bousquet 24 mars 2015
Traitement des données manquantes par une méthode d imputation multiple : Application à des données d enquête et de surveillance des maladies infectieuses Vanina Bousquet 24 mars 2015 Plan 1. Contexte
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailINNOVATION & PERFORMANCE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013
INNOVATION & PERFORMANCE RAPPORT D ACTIVITÉ 2013 Sommaire BIOALLIANCE PHARMA EN BREF MESSAGE DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION MESSAGE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL CHIFFRES CLÉS PANORAMA 2013 AVANCÉES MAJEURES
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Mucoviscidose (gène CFTR) Hémochromatose (gène HFE) Thrombophilies (gènes F2 et F5) Caractéristiques génétiques à des fins médicales
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailC comme Cirrhose. être hépatant7. apprendre à vivre avec une cirrhose
BROCHURE BLEUE comprendre et m adapter aux différentes situations de la maladie être hépatant7 C comme Cirrhose apprendre à vivre avec une cirrhose Nous voulons informer sur l hépatite C, lutter pour une
Plus en détailTroubles de la vigilance au travail. Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble
Troubles de la vigilance au travail Tests d aide à la décision d aptitude et structures de dépistage du syndrome d apnées du sommeil à Grenoble Sandrine Launois-Rollinat Patrick Lévy, Jean-Louis Pépin,
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailLe quizz des stats. Xavier Paoletti. Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie
Le quizz des stats Xavier Paoletti Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie Qques questions pour entamer les hostilités 1. Description de la population Pourquoi parler d'âge médian et non moyen?
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailSophie Sigrist. Thèse sous la direction de Pascale Pisano (Directeur de thèse)
Prise en charge des patients atteints d'hépatocarcinome par injection in situ d'une solution de lipiodol radiomarqué à l'iode 131 (Lipiocis ) au sein du service central de biophysique et de médecine nucléaire
Plus en détailUsage et opportunité du recours à l interprétariat professionnel dans le domaine de la santé
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE DIRECTION GENERALE DE LA SANTE Usage et opportunité du recours à l interprétariat professionnel dans le domaine de la santé Analyse des pratiques d interprétariat
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailMots clés : Thérapie antirétrovirale, Arrêt de fréquentation, CHU du Point G, Bamako
Article Original Arrêt de fréquentation Arrêt de fréquentation du Centre Hospitalier Universitaire du Point G de Bamako par des patients sous thérapie antirétrovirale : Analyse longitudinale des facteurs
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailHépatite C: épidémiologie, histoire naturelle et diagnostic
896 RMS SYNTHÈSE SMF 360 D énormes progrès depuis la découverte du HCV Hépatite C: épidémiologie, histoire naturelle et diagnostic Darius Moradpour a, Beat Müllhaupt b a Service de Gastroentérologie et
Plus en détail«Cours Statistique et logiciel R»
«Cours Statistique et logiciel R» Rémy Drouilhet (1), Adeline Leclercq-Samson (1), Frédérique Letué (1), Laurence Viry (2) (1) Laboratoire Jean Kuntzmann, Dép. Probabilites et Statistique, (2) Laboratoire
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailFécondation in vitro avec don d ovocytes
Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com
Plus en détailNOUVEAUTÉS EN TRANSPLANTATION HÉPATIQUE EN 2015. Thomas Decaens tdecaens@chu-grenoble.fr
NOUVEAUTÉS EN TRANSPLANTATION HÉPATIQUE EN 2015 Thomas Decaens tdecaens@chu-grenoble.fr Principes de la transplantation hépatique? Ressource rare Sélection des malades Principe d équité Principe d attribution
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détail