LA SURETE ET LA GESTION DE CRISE EN ENTREPRISE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA SURETE ET LA GESTION DE CRISE EN ENTREPRISE"

Transcription

1 LA SURETE ET LA GESTION DE CRISE EN ENTREPRISE

2 PLAN DE LA FORMATION 1) La sûreté dans les entreprises A. Définitions B. Analyse des risques organisationnels C. Analyse des menaces potentielles D. L élaboration d une politique Sûreté E. Etude et maîtrise des vulnérabilités

3 PLAN DE LA FORMATION 2) La gestion de crise A. Définitions B. Réagir et s adapter en période de crise C. Maîtriser une situation de crise D. Prendre des décisions en période de crise E. Utilisation du retour d expérience

4 LA SURETE EN ENTREPRISE DEFINITIONS

5 DEFINITIONS Sécurité Sûreté Risque Menace Mesures de prévention et de réaction mises en œuvre pour faire face à une situation d exposition résultant des risques accidentels, qu ils soient du fait de l homme, de la machine ou de la nature. Il s agit donc de risques accidentels, naturels événementiels ou technologiques dont la protection relève de l hygiène, de la sécurité industrielle ou environnementale (HSE) (Safety).

6 DEFINITIONS Sécurité Sûreté Risque Menace Mesures de prévention et de réaction mises en œuvre pour faire face à une situation d exposition résultant de menaces ou d actions malveillantes. Il s agit donc de risques intentionnels liés à la malveillance humaine, dont la protection relève de la Sûreté (Security).

7 Liste des risques Sûreté 1. Les atteintes aux personnes A. Les agressions d ordre moral Intimidation Rumeur Chantage Harcèlement moral, sexuel Débauchage de personnes clés B. Les agressions physiques Agressions physiques Séquestration Kidnapping Prise d otages

8 Liste des risques Sûreté 2. Les atteintes aux biens matériels Vandalisme, incivilités Vols (endogène ou exogène) Dégradations volontaires de l outil de travail et des installations Sabotage Découverte d engins explosifs, alerte à la bombe Atteinte à l intégrité des systèmes d information

9 Liste des risques Sûreté 3. Les atteintes au capital immatériel Infiltrations mafieuses ou sectaires Actions d espionnage économique et industriel Agression informationnelle (rumeurs, atteintes à l image, désinformation, ) Divulgations de données confidentielles (omission du protocole de sécurisation des données )

10 Liste des risques Sûreté 4. Les atteintes liées à un déficit de management Niveau de formation insuffisant ou inadapté Manque ou insuffisance de la structure organisationnelle Manque ou insuffisance de doctrine en matière de sûreté Manque ou insuffisance de procédures, de concept opérationnel de Sûreté

11 DEFINITIONS Sécurité Sûreté Risque Menace Le risque est la probabilité qu un effet spécifique se produise dans une période donnée ou dans des circonstances déterminées. Un risque se caractérise par deux composantes: la probabilité d occurrence (fréquence) la gravité des effets ou des conséquences de l événement.

12 Concept de gestion des risques Le risque est formalisé à partir de trois concepts: Le facteur de risque La criticité La vulnérabilité Le facteur de risque est un élément présent susceptible de causer un risque, c est à dire sa réalisation. La criticité est la combinaison de l impact (ou gravité) et de la probabilité d un risque.

13 Concept de gestion des risques La vulnérabilité se caractérise par les pertes induites lorsque le risque est réalisé. La vulnérabilité est identifiée par l objet du risque, ses causes et ses conséquences (victimes, dommages matériels, crédibilité et continuité de l activité). Faire la différence entre: risque potentiel risque avéré risque réalisé

14 DEFINITIONS Sécurité Sûreté On définit la menace comme étant le fait qu une personne ou une entité ait la possibilité ou bien l intention d infliger des dommages (victimes, biens, image, continuité d activité ) à une autre personne ou à une autre entité. Risque Menace

15 LA SURETE EN ENTREPRISE ANALYSE DES RISQUES ORGANISATIONNELS

16 Analyse des risques organisationnels Analyse de l organigramme Analyse des activités Localisation des activités On entend par risques organisationnels les menaces, effets négatifs et problèmes qui peuvent se produire au sein d une organisation (entreprise). Ces risques sont liés à l organisation propre de l entité, à ses métiers et à la localisation de ses activités. Ces risques peuvent provenir de deux sources principales: - Risques externes - Risques internes

17 Analyse des risques organisationnels Analyse de l organigramme L objectif de l analyse de l organigramme est de détecter les vulnérabilités organisationnelles portant en particulier sur le domaine de la prévention et la gestion des risques. Analyse des activités Localisation des activités

18 Analyse des risques organisationnels L objectif de l analyse des activités est d identifier la liste des risques Sûreté pouvant entraver, voire interrompre la continuité d exploitation. Analyse de l organigramme Analyse des activités Localisation des activités

19 Analyse des risques organisationnels La localisation des activités a pour objectif de compléter la liste des risques potentiels pouvant affecter la continuité de l activité dans une zone donnée. Analyse de l organigramme Analyse des activités Localisation des activités

20 LA SURETE EN ENTREPRISE ANALYSE DES MENACES POTENTIELLES

21 Analyse des Faits Générateurs Analyse des faits générateurs : Historique pays Historique local Matrice quantitative : Nombre d occurrences / Type/échelle de temps Matrice qualitative : Évaluation des dommages: probabilité x criticité = classification Analyse des menaces redoutées : Eléments contextuels : Capacité opérationnelle des auteurs Eléments dynamiques : Informations/renseignement Signaux faibles Attractivité de la chose à protéger : Dureté de la cible/ Espérance de gain Mesures permanentes Mesures graduées

22 LE RISK MAPPING

23 LA SURETE EN ENTREPRISE ELABORATION D UNE POLITIQUE DE SURETE

24 Elaboration d une politique de Sûreté La place de la gestion des risques dans l entreprise La Sûreté trouve naturellement sa place dans le domaine de la gestion des risques à l instar de la Sécurité et de la Gestion de crise. L élaboration d une doctrine de Sûreté La mise en place d un tableau de bord La Sûreté, une activité quotidienne

25 La place de la Sûreté Direction générale Direction Gestion des risques Autres Directions Direction de la Sécurité (HSE) Direction de la Sûreté Direction Gestion de Crise Divers

26 Elaboration d une politique de Sûreté La place de la gestion des risques dans l entreprise L élaboration d une doctrine de Sûreté L élaboration d une doctrine Sûreté est un processus incontournable s appuyant sur la mise en place: d une organisation (management de la Sûreté) d un concept global de Sûreté globale de procédures La mise en place d un tableau de bord La Sûreté, une activité quotidienne

27 Le management de la Sûreté Mise en place d une organisation dédiée à l aspect Sûreté Cette organisation s appuie sur un management spécifique, véritable colonne vertébrale placée au sein de l entreprise: Nomination d un responsable de la Sûreté Mise en place d une équipe Sûreté à ses côtés Nomination de correspondants Sûreté

28 Le concept opérationnel de Sûreté globale Ce concept a pour objectif de donner les lignes directrices visant à assurer un niveau de Sûreté acceptable aux vues des risques identifiés. Ce concept s appuie sur des verbes d actions conditionnant des mesures particulières

29 Le concept opérationnel de Sûreté globale Anticiper les risques Liste et classification des risques Prévenir ces risques Prévenir ces risques par des actions d information et de formation Maîtriser ces risques Elaboration de standards de protection (site, personnes, flux ) Gérer ces risques Rédaction de procédures en cas de réalisation de ce risque Etablir le lien avec la gestion de crise

30 Elaboration d une politique de Sûreté La place de la gestion des risques dans l entreprise L élaboration d une doctrine de Sûreté La mise en place d un tableau de bord Le tableau de bord Sûreté est un outil de «reporting» permanent permettant de visualiser les indicateurs Sûreté et d élaborer les mesures correctrices nécessaires: nature et volume des incidents imputabilité (interne, externe ) mesures prises mesures correctrices proposées. Ce tableau de bord doit être également utilisé comme outil de contrôle et de suivi des actions entreprises. La Sûreté, une activité quotidienne

31 Elaboration d une politique de Sûreté La place de la gestion des risques dans l entreprise L élaboration d une doctrine de Sûreté La mise en place d un tableau de bord La Sûreté, une activité quotidienne La Sûreté ne doit être en aucun cas confinée à un groupe de personnes qualifiées. Elle est l affaire de tous et doit s inscrire au quotidien dans la culture de l entreprise. Il convient donc de mettre en place une politique d information en interne de le but de sensibiliser et rappeler les fondamentaux de la Sûreté. Cette politique d information peut prendre les formes suivantes: affichage noter interne portail intranet action de sensibilisation, formation

32 LA SURETE EN ENTREPRISE ETUDE ET MAITRISE DES VULNERABILITES

33 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Présentation d une méthodologie visant à détecter les vulnérabilités «Sûreté» d une organisation, d un site, d une activité. Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

34 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

35

36 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

37 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

38 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

39 Etude et maîtrise des vulnérabilités Etude des faits générateurs Elaboration du concept opérationnel de Sûreté Analyse fonctionnelle Analyse des vulnérabilités Recommandations

40 PLAN DE LA FORMATION 1) La sûreté dans les entreprises A. Définitions B. Analyse des risques organisationnels C. Analyse des menaces potentielles D. L élaboration d une politique Sûreté E. Etude et maîtrise des vulnérabilités

41 LA GESTION DE CRISE

42 Un exemple de gestion de crise réussie LECLERC: Steak hachés contaminés Octobre Décembre

43 Chronologie Le 25 octobre pédiatres remarquent 5 cas d un syndrôme rare chez des enfants du sud ouest de la France dans un laps de temps très court Une enquête est lancée par les services sanitaires La consommation de steack haché provenant de chez Leclerc est le seul point commun. Le 27octobre à 18h, LECLERC est informé d une présomption d intoxication alimentaire provenant de steak hachés de ses magasins - 43

44 Ouverture d une cellule de crise Composition de la cellule de crise: Responsable Qualité Responsable juridique Directeurs de magasin Consultant vétérinaire Spécialiste logistique Communication interne et externe Directeur Général est informé par téléphone Investigations sont lancées auprès des fournisseurs Vérification de la qualité des produits reçus -

45 Chronologie 45 Le 28 octobre à 18h, les services sanitaires confirment la contamination provenant des steak hachés de chez Leclerc Le 28 octobre à 19h, LECLERC décide de retirer tous les steak hachés provenant du lot contaminé (Lot Chantegril) dans ses surfaces du sud ouest. Le 29 octobre: Le retrait est réalisé. -

46 La réaction de LECLERC Le 29 au soir: Préparation d un communiqué de presse Le communiqué de presse est validé à 0h10 -

47 A partir du 30 octobre: information des clients Dimanche 30 octobre Envoi du communiqué de presse aux médias locaux et à l AFP Affiché dans tous les magasins concernés Mise en place d une cellule d appel des clients: 7500 clients appelés le dimanche -

48 Chronologie 48 -

49 - 49

50 31 octobre: recherche des clients manquants 750 employés contrôlent les tickets de caisses pour identifier les acheteurs du lot contaminé Appel des clients (85% ont une carte de fidélité) Réquisition auprès des banques pour les autres Mobilisation de 3 à 5 personnes par magasin Renforcement des équipes au centre d appel Le site internet de Leclerc est utilisé -

51 La communication La contamination ne concerne que la région Sud Ouest Utilisation des médias locaux Utilisation du management des magasins Le messages aux clients: Des symptômes? Aller chez le médecin ou à l hôpital (prise en charge des dépenses liées à l hospitalisation) Vous êtes en possession de steak hâchés contaminés! Ramenez ces steak hâchés et vous serez remboursés. Compassion constante pour les victimes et leurs proches -

52 Chronologie Le 1er novembre: 95% des clients sont informés 2/3 des produits ont été ramenés en magasin Une alerte au niveau européen a été envoyée Le 8 novembre: 98% des clients sont informés Les banques ont permis de contacter les clients Difficultés de savoir si les clients ont détruits les produits eux mêmes L information est répétée pendant de nombreuses semaines dans les magasins et par les radios locales Mobilsation très forte des employés -

53 Stratégie de communication Transparence totale Le temps est donné à la réflexion Forte implication d une personnalité connue: le Directeur Général Utilisation d un nouveau moyen de communication: le Blog de Michel Edouard Leclerc 53 -

54 Conclusion Le 6 décembre, aucune nouvelle victime 6 victimes sont encore à l hôpital Au total, 56 familles ont été touchées L attitude des médias a changé Ils ont uniquement rapporté les faits Ils ont soulignés les efforts de LECLERC pour contacter les clients Ils ont rarement questionné LECLERC -

55 -

56 Une gestion de crise performante Aucune perte d image pour Leclerc Les clients continuent à se rendre dans les magasins Leclerc Seulement 4 dépôts de plainte -

57 PLAN DE LA FORMATION 2) La gestion de crise A. Définitions B. Réagir et s adapter en période de crise C. Maîtriser une situation de crise D. Prendre des décisions en période de crise E. Utilisation du retour d expérience

58 Plan Définition de la crise Définition de la gestion de crise La méthodologie ARAMIS

59 LA CRISE Définition grecque: «KRISIS» DECISION Définition chinoise: Moment difficile Opportunité

60 LA CRISE Un événement imprévisible Chargé d incertitudes Perturbant les opérations normales Requérant une attention urgente Interpellant nos valeurs et notre crédibilité

61 intensité Point catastrophe temps

62 Acteurs externes Acteurs internes En1té concernée Acteurs 1ers ou aspirés

63 LES PARTIES PRENANTES L état Les différentes autorités Les forces de sécurité Les services de secours Les médias L entreprise Les employés Les clients Les familles

64 LES DIMENSIONS Humaine Matérielle Technique Structurelle Légale Politique Sociale

65 LES VARIABLES L imputabilité Les attentes Les incertitudes Les valeurs Les perceptions Le temps L humain

66 La gestion de crise La gestion de crise est la mise en application séquentielle des mesures prescrites en amont de tout événement critique.

67 POSTURE METIER POSTURE DE GESTION DE CRISE

68 «Il est de plus en plus courant de prendre une méthode et de lʼessayer. Si elle échoue, il faut savoir le reconnaître franchement et en essayer une autre. Mais plus que tout, il faut essayer quelque chose» $ Franklin Delano Roosevelt$

69 La méthode ARAMIS Anticiper Réagir Adapter Maîtriser Intervenir Soutenir

70 A N T I C I P E R R E A G I R A D A P T E R M A I T R I S E R I N T E R V E N I R S O U T E N I R

71 Intensité A N T I C I P E R

72 La réponse à la crise Stimulus Espace Réponse

73 Notion d espace La crise est une modification complète du prévu Modification de l individu Modification de l organisation

74 Organisation métier vers organisation de crise Organisa1on mé1er Organisa1on de crise

75 Gravité Schéma organisationnel de la cellule de crise CELLULE DE CRISE DIRIGEE CELLULE DE CRISE COORDONNEE Complexité

76 ANTICIPATION Mise en place d une structure dédiée Mise en place de procédures: plan de gestion de crise Action de formation, de sensibilisation Exercices de gestion de crise

77 Mise en place d une structure Mise en place d une structure et d une organisation spécifiques Création de salles dédiées à la gestion de crise (prévoir une salle de repli) Mettre en place des moyens spécifiques au regroupement des informations et à la coordination des actions

78 Le plan de gestion de crise Un plan de Gestion de Crise est un document de référence comprenant l ensemble des mesures organisationnelles et structurelles. Il vise à assurer selon les scénarios de crise identifiés une gestion optimisée et adaptée des conséquences immédiates et futures d un incident critique établi.

79 La structure de crise Salle de gestion de crise principale Où? Activation (qui?) Configuration et aménagement technique Salle de gestion de crise «repli» Où? Activation (qui?) Configuration et aménagement technique

80

81 Action de formation Sensibiliser les personnels, notion du premier intervenant Former les membres de la cellule de crise à la gestion d évènements sensibles

82 Les exercices de gestion de crise Mettre en place régulièrement des exercices de gestion de crise Mise en œuvre des procédures et mise en place de l organisation Connaissance entre les différents acteurs Débriefing et amélioration des procédures

83 Intensité R E A G I R A D A P T E R

84 Plan Le stress et ses effets face aux situations d urgence Le premier intervenant L évaluation L adaptation La réaction

85 LE STRESS Défini/on Selon Hans Selye, le stress est "le taux de résistance à l'usure de l'organisme" Ce mot anglais a été adopté pour désigner un état physique et psychique causé par les agressions et les contraintes de l'existence.

86 3 PHASES IMPORTANTES La phase d alarme la situa1on est perçue comme menaçante. L organisme déclenche une série de manifesta1ons physiques. La phase de résistance l adapta1on est faite, le corps puise dans ses réserves d énergie La phase d épuisement les réserves ne suffisent plus, apparaissent des troubles psychologiques et comportementaux

87 Réactions au stress Obsession de vouloir rassurer tout le monde Agitation stérile Passivité Conduite d évitement Isolement Volonté de tout superviser Panique

88 Facteurs du stress Effet de surprise Urgence Manque d informations Incertitude quant à l issue Réalité de l enjeu La pression hiérarchique La pression médiatique, opinion publique

89 Facteurs individuels du stress Le caractère et la personnalité de chacun L expérience en matière de gestion de crise L état physique du moment Le degré d implication

90 Effet du stress Rigidité du jugement (effet de gel) Immobilité dans l action Prise de mauvaises décisions (décisions hâtives de peur de ne pas en prendre) Mauvaise évaluation des conséquences (aucun ordre de priorité, perte de temps)

91 La prise de décision sous le stress Capacités réelles de l individu Situa/on de crise Demandes de l autre Représenta/on de ses capacités Interpréta/ons, percep/on de la demande, de la situa/on Apprécia/on

92 Apprécia/on Emo/onnelle Fuite Joie Colère Tristesse Physiologique Fonc1onnement de l organisme STRESS Cogni/ve Conscience et inconsciente connaissance de l évènement CONSTRUCTION D UNE ATTITUDE

93 CONSTRUCTION D UNE ATTITUDE MISE EN PLACE DE DEFENSES COGNITIVES ET EMOTIONNELLES REPONSE COMPORTEMENTALE AJUSTEMENT CREATEUR CHAOS

94 Le premier intervenant EVALUER ANALYSER Comprendre avant d agir REAGIR

95 EVALUER Qui? Quoi? Où? Pourquoi? Comment? Avec quels effets? Quelles sont les mesures prises?

96 ANALYSE DES IMPACTS Moyens pour maîtriser l impact Le degré d urgence de réponse à l impact La certitude La durabilité L ampleur La sensibilité

97 DECIDEUR Equipe de ges1on de crise Remontée des flux informa1onnels Premiers intervenants CRISE

98 Consignes générales Remplir une fiche Evaluation incident pré formatée Tenir dès le début de l incident une chronologie précise L évaluation et l analyse sont permanentes et se doivent d être complétées et remises en question

99 Adapter Chaque situation de crise est différente Ne pas chercher à calquer obligatoirement un schéma déjà utilisé Prendre en compte en permanence les éléments recueillis lors de l évaluation et de l analyse

100 Intensité M A I T R I S E R

101 Maîtriser Mise en place d une équipe de gestion de crise Son but: Maîtriser l événement Maîtriser les conséquences de l événement Regrouper les compétences essentielles Prendre des décisions Assurer la continuité

102 Comment positionner l équipe? Travailler en toute sécurité Travailler en toute liberté Travailler à l abri des critiques Contrôler l accès au lieu

103 Former une équipe Le responsable de la gestion de crise ne peut travailler seul Chaque membre de l équipe doit connaître son rôle Connaître le rôle des autres membres de l équipe Se connaître en amont de la crise

104 Les critères pour former une équipe Sélectionner les membres selon leur compétence, non pour leur personnalité Être vigilant lors de la première rencontre entre les différents membres de l équipe Énoncer clairement les règles de comportement

105 Les critères pour former une équipe Énoncer et se mettre au travail sur les tâches que l on juge immédiates. Se remettre en question régulièrement par de nouveaux buts Passer le maximum de temps ensemble pour mieux se connaître

106 Améliorer le travail en équipe Retour d expériences et exercices Travailler le plus souvent possible ensemble Connaître les forces et les faiblesses Communiquer ensemble, résoudre ensemble

107 Evaluer le travail en équipe (1/2) La vision et l analyse du problème La méthode de travail La communication au sein du groupe La motivation individuelle et collective

108 Evaluer le travail en équipe (2/2) Les capacités à résoudre un problème La capacité à se remettre en question et à intégrer l expérience.

109 Composition de la cellule de Crise Une équipe composée de FONCTIONS complémentaires : Directeur de crise Coordinateur de crise Responsable RH Responsable Communication (Interne et externe) Responsable HSE/Sûreté Responsable Juridique Responsable Historique Responsable Logistique Secrétariat. Experts internes et externes

110 Le Directeur de Crise Assure le lien avec la hiérarchie. Valide l analyse de la situation. Définit les actions prioritaires et la stratégie de gestion de la crise (en liaison avec la cellule stratégique Groupe) par l anticipation. Fait identifier les acteurs, les tutelles, les scénarios d évolution défavorable et les alliés potentiels. Valide les documents émanant de la cellule Conserve du recul.

111 Le Coordinateur de Crise Responsable du bon fonctionnement de la cellule. Veille à la bonne répartition des tâches entre les différents membres et au besoin renforce telle ou telle fonction. Identifie et mobilise les moyens nécessaires. Veille à la coordination avec les cellules de crise internes et externes Décide l horaire des points de situation et les dirige. Veille à mettre en place des relèves Remplace le directeur lorsqu il est absent.

112 Le Responsable RH Responsable de la gestion et du suivi des victimes Etablit un dossier par victime Responsable de la gestion des familles S assure que les demandes des familles soient prises en compte S assure que les familles soient informées (en liaison avec la communication)

113 La communication interne Identifie et liste : L ensemble des cibles internes à toucher (personnel, représentants syndicaux, CHSCT, sites voisins, ). L ensemble des actions d information à mener. Fait remonter les attentes des salariés. Met en place les moyens de diffusion correspondants (communiqués, intranet...) Rédige les projets de notes et communiqués internes. Fait valider les projets par le Directeur de Crise

114 La communication externe Liste : Les cibles externes à toucher. Autorités, partenaires professionnels, clients, riverains, médias Les actions d information à mener. Rédige communiqués et questions-réponses et les fait valider par le Directeur de Crise Assure le suivi et l analyse en temps réel de la médiatisation (TV, Radio, Internet) et ses risques (évocation de dangers, mises en cause, polémiques).

115 La communication externe Gère les appels des journalistes. Valide le média-training du porte-parole. Apporte les éléments de langage : Les opérateurs du call center, le service consommateurs,

116 Le Responsable HSE/Sûreté Vérifie la bonne application des mesures prises Complète si besoin les mesures prises Assure le suivi et le contrôle des mesures prises Identifie le soutien complémentaire à apporter

117 Le Responsable Juridique Vérifie la validité des actions entreprises Anticipe les actions à entreprendre pour assurer la protection de l entreprise Prend contact avec les experts juridiques nécessaires

118 Le responsable de l historique Il est «l'historien» de la cellule de crise. Assure : La collecte de toutes les informations entrantes. La rédaction du chronogramme et des points de situation. L animation des points de situation La circulation en temps réel de l information entrante et sortante. Vérifie la mise en route et la réalisation des actions décidées (tableau de suivi des actions).

119 Le responsable logistique Met à disposition une salle de crise équipée: Fax, téléphones, PC, TV, Radio, Internet, numéros verts, S assure du bon fonctionnement de l ensemble des équipements ( dépannages en urgence, astreinte DSI). Gère l accueil des intervenants extérieurs (médias, autorités, ). Gère les moyens mis en œuvre pour les actions décidées (familles victimes, déplacements, ). Met en place les moyens nécessaires au «confort» des membres de la cellule (nourriture, ).

120 Le Secrétariat Gère le standard téléphonique de la cellule : Répartition claire des postes disponibles entre les différentes fonctions. Filtrage et gestion des appels. Reçoit et émet les fax. Photocopie les documents essentiels à tous. Numérote et classe (chrono) tous les documents reçus et émis.

121 Les experts internes et externes En fonction de la nature de l événement, la mobilisation d experts internes ou externes peut s avérer nécessaire: «Sécurité Environnement Industriel», «Sécurité Environnement Produits», «Logistique Transport», «Médecins», Soutien psychologique «Juridique Assurance»

122 Intensité I N T E R V E N I R

123 Intervenir Prendre des décisions pour mettre fin à la situation de crise Prendre des décisions pour assurer la continuité de l activité Prendre des décisions pour éviter l effet «double détente»

124 intensité Point catastrophe temps

125 Intervenir Prise de décision: actes, actions mettant fin à la crise La négociation La communication en période de crise

126 Théorie de la décision Ce n est pas obligatoirement le processus de décision qui doit être remis en cause mais plutôt le mode de pensée des décisionnaires Eviter le processus routinier

127 Les différentes thèses Le calculateur amoral Non respect des normes et des procédures Persistance dans une action contraire Réponse urgente La normalisation de la déviance Surproduction de normes et de procédures L explication cognitive Erreur d appréciation du risque

128 Les types d erreurs Les erreurs d attention Les erreurs de transgression Les erreurs de connaissance Les erreurs de compréhension

129 La prise de décision Facile à prendre car instinctive et ne nécessite pas d efforts particuliers Plus délicate à prendre car elle intègre plusieurs paramètres et mobilise plusieurs entités Besoins d informations Déluge de données Prise de décision dans l urgence ou sous la pression émo1onnelle

130 Prendre une décision pendant une crise Assimila1on d une grande quan1té d informa1ons Nous voulons être sur d avoir englobé toutes les alterna1ves tout en laissant une place à l intui1on La décision doit être acceptée par le plus grand nombre La méthode doit intégrer le facteur humain émo1onnel et intui1f / paramètres ra1onnels et factuels

131 La carte heuristique La cartographie et la visualisation de l information sont des outils d aide à la décision Produc1on de choix Vue globale des incidences du choix effectué Elargissement du champ de vision Meilleurs choix intégrant un nombre supérieur de critères

132 La dynamique de la gestion de crise Briefing des membres de la cellule de crise (utilisation de la fiche d évaluation) Tour de table pour recueillir les propositions d action par fonction Construction et validation d une stratégie de gestion des impacts immédiats Mise en place de la stratégie Suivi et contrôle permanents de la stratégie Anticipation des impacts futurs Préparation de la stratégie de réponse

133 DECIDEUR Nécessaire coordina1on/ flux permanents Equipe de ges1on de crise Equipe d interven1on mé1ers CRISE

134 La communication en période de crise

135 Etude préventive Identifier l ensemble des acteurs majeurs de votre secteur et les interlocuteurs possibles de votre entreprise (élus, syndicats, presse écrite, audiovisuelle) Identifier leur position par rapport à votre entreprise (image) Identifier les acteurs clés en fonction des risques que vous avez identifiés

136 PGC et communication de crise Elaborer un schéma directeur de communication de crise Définition des processus de communication Définir et désigner un porte parole

137 Les messages clés Définir et préparer les messages clés qui pourraient être utilisés en fonction des risques identifiés, potentiels Ces messages doivent être cohérents (interne, externe, client ) et approuvés par l ensemble des membres de la cellule de crise

138 Se préparer: média training Se doter d un porte parole prêt à intervenir dès le début de la crise Formation et entraînement par le biais du média training Simulation et validation des messages clés

139 Le message Qui? Quand? Quoi? Où? Comment? Quels effets? Les mesures prises

140 Type de communication Communiqué de presse Le point presse La conférence de presse Site internet Diffusion mail et intranet Affichage

141 Les médias Prévoir un lieu d accueil et de réception des médias (bonnes conditions d accueil) Les informer le plus régulièrement possible des avancées (situation, bilan )

142 S O U T E N I R

143 Après la gestion d une crise Soit ne rien faire et considérer l événement comme étant exceptionnel Soit capitaliser et améliorer l existant Amélioration de la structure Amélioration des procédures Améliorer les infrastructures Améliorer la logistique de crise

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir?

1 - Qu est-ce qu une mission, comment déterminer son contenu et qui va les accomplir? FICHE N 20 : LES MISSIONS DE TERRAIN À ASSURER Pour assurer la mise en œuvre des missions de sauvegarde, il est nécessaire de disposer d intervenants de terrain. En fonction des phénomènes, de la situation,

Plus en détail

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire

Vous êtes. visé. Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Vous êtes visé Comment diminuer les risques et les impacts d une agression en milieu bancaire Prévenir les vols ou les effets d un vol sur les employés Rôle de la direction de la succursale Désigner un

Plus en détail

Formations dédiées aux acteurs du logement social

Formations dédiées aux acteurs du logement social Gestion et communication de crise Formations dédiées aux acteurs du logement social Arjuna est un cabinet conseil dédié, depuis 1993, à la gestion et la communication de crise. Lors des formations qu ils

Plus en détail

Gestion des Incidents SSI

Gestion des Incidents SSI Gestion des Incidents SSI S. Choplin D. Lazure Architectures Sécurisées Master 2 ISRI/MIAGE/2IBS Université de Picardie J. Verne Références CLUSIF Gestion des incidents de sécurité du système d information

Plus en détail

Qu est-ce qu un système d Information? 1

Qu est-ce qu un système d Information? 1 Qu est-ce qu un système d Information? 1 Une définition du système d information «Tout moyen dont le fonctionnement fait appel à l électricité et qui est destiné à élaborer, traiter, stocker, acheminer,

Plus en détail

Maîtriser les risques au sein d une d PMI. Comment une PME-PMI peut-elle faire face à ses enjeux en toutes circonstances?

Maîtriser les risques au sein d une d PMI. Comment une PME-PMI peut-elle faire face à ses enjeux en toutes circonstances? Maîtriser les risques au sein d une d PME-PMI PMI Comment une PME-PMI peut-elle faire face à ses enjeux en toutes circonstances? Ces documents demeurent la propriété du cercle GASPAR Techdays MICROSOFT

Plus en détail

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008

Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008 Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie

Plus en détail

SURVEILLANCE PRÉVENTION SÛRETÉ PRÉVENTION SURETÉ Sommaire Sommaire Surveillance Prévention Sureté...48

SURVEILLANCE PRÉVENTION SÛRETÉ PRÉVENTION SURETÉ Sommaire Sommaire Surveillance Prévention Sureté...48 Le Guide ÉCOLE DE SÉCURITÉ SURVEILLANCE PRÉVENTION SÛRETÉ PRÉVENTION SURETÉ Sommaire Sommaire Surveillance Prévention Sureté....48 Les obligations légales....49 Surveillance, prévention :...50 - CQP Agent

Plus en détail

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.

troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail. Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité

Plus en détail

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.

APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations. PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration

Plus en détail

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier?

Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Les risques liés à l activité de l entreprise : quels outils pour les identifier? Alger, le 23-24 Novembre 2009 Présentée par: Mlle Amina NADJI Doctorante en 3ème année sciences économiques (CRIISEA, Centre

Plus en détail

Gestion des incidents

Gestion des incidents HERVÉ SCHAUER CONSULTANTS Cabinet de Consultants en Sécurité Informatique depuis 1989 Spécialisé sur Unix, Windows, TCP/IP et Internet Gestion des incidents liés à la sécurité de l'information Conférence

Plus en détail

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470

RECO. Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques R.470 RECO DU COMITE TECHNIQUE NATIONAL DES ACTIVITES DE SERVICES 1 Définition des bonnes pratiques de prévention dans les centres d appels téléphoniques Yves Cousson - INRS Pour vous aider à : réduire le bruit

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

La gestion des situations d urgence et de crise. module GSC BJOP 2008 (CESG)

La gestion des situations d urgence et de crise. module GSC BJOP 2008 (CESG) La gestion des situations d urgence Objectif de la sensibilisation Gestion des situations d urgence Comprendre des notions de crise et d urgence Typologie et phases de l agression Mieux connaître les différentes

Plus en détail

Une crise serait un «changement brutal et

Une crise serait un «changement brutal et Une crise serait un «changement brutal et soudain entre deux états, qui provoque une rupture d'équilibre». Marle Hélène Westphallen, (1994) «La cybercriminalité recouvre toute activité illégale et irrégulière

Plus en détail

politique de la France en matière de cybersécurité

politique de la France en matière de cybersécurité dossier de presse politique de la France en matière de cybersécurité 20 février 2014 Contact presse +33 (0)1 71 75 84 04 communication@ssi.gouv.fr www.ssi.gouv.fr Sommaire L ANSSI L ANSSI en chiffres Le

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels

European School Brussels II. Avenue Oscar Jespers 75. 1200 Brussels European School Brussels II Avenue Oscar Jespers 75 1200 Brussels Toute forme de harcèlement, qu il soit verbal, physique ou psychologique, est absolument inacceptable dans notre école. Ce document de

Plus en détail

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés

Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement

Plus en détail

ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008. www.triadis.fr. Management des situations de crise. S organiser. Communiquer. Patrick PIZA

ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008. www.triadis.fr. Management des situations de crise. S organiser. Communiquer. Patrick PIZA ASSISES DU RISQUE PMI 12 Juin 2008 Management des situations de crise www.triadis.fr S organiser Communiquer Patrick PIZA LES MISSIONS CONSEIL L ÉQUIPE TRIADIS 5 consultants seniors - 2 assistantes 3 consultants

Plus en détail

3/ Caractéristiques ET leçons essentielles de la communication de crise. 3 A/ Les caractéristiques de la communication de crise 22/11/2014

3/ Caractéristiques ET leçons essentielles de la communication de crise. 3 A/ Les caractéristiques de la communication de crise 22/11/2014 1/ Communication et organisations 2/ Les théories de la communication et la 3/ Caractéristiques ET leçons essentielles de la communication de 3/ Caractéristiques et leçons essentiellesde la 4/ Communication,

Plus en détail

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE

PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE 2011 PLAN COMMUNAL DE SAUVEGARDE COMMUNE DE PUNAAUIA PARTIE 2: OPERATIONNELLE SOMMAIRE SOMMAIRE 2 DECLENCHEMENT DU PCS 3.1 ROLE ET OBJECTIFS DU PLAN 3.2 MODALITES DE DECLENCHEMENT DES DIFFERENTES ALERTES

Plus en détail

MALVEILLANCE ET PROTECTION PHYSIQUE

MALVEILLANCE ET PROTECTION PHYSIQUE MALVEILLANCE ET PROTECTION PHYSIQUE ENSAM PRESENTATION du 31 MAI 2007 1/29 Contexte thèmes sécurité LES AGRESSIONS les vols : matériels informations les actions malveillantes internes Externes PREVENTION

Plus en détail

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5

Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11734-5 Chapitre 6 La gestion des incidents Quelles que soient la qualité du système d information mis en place dans l entreprise ou les compétences des techniciens

Plus en détail

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise

L outillage du Plan de Continuité d Activité, de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Auteur : Robert BERGERON Consultant en Sécurité des Systèmes d Information et Management de la Continuité d Activité Quel outil pour le PCA? de sa conception à sa mise en œuvre en situation de crise Introduction

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Développer, Optimiser, Maintenir la Performance de lhomme et de lentreprise PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Le «Risque Social» doit être pris en charge comme nimporte quel autre type

Plus en détail

Orange Business Services. Direction de la sécurité. De l utilisation de la supervision de sécurité en Cyber-Defense? JSSI 2011 Stéphane Sciacco

Orange Business Services. Direction de la sécurité. De l utilisation de la supervision de sécurité en Cyber-Defense? JSSI 2011 Stéphane Sciacco De l utilisation de la supervision de sécurité en Cyber-Defense? Orange Business Services Direction de la sécurité JSSI 2011 Stéphane Sciacco 1 Groupe France Télécom Sommaire Introduction Organisation

Plus en détail

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com

Fonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut

Plus en détail

Gestion de crise en Pharmacovigilance

Gestion de crise en Pharmacovigilance Cours DIU FIEC 16 octobre 2008 Véronique LAMARQUE PFIZER Senior Directeur Évaluation de Santé, Sécurité et Gestion de Risque Une définition... parmi d autres Une crise est un événement qui survient quand

Plus en détail

VOTRE LOGO. Gestion de Crise. Se préparer à résister au pire. Copyright Altaïr Conseil - Reproduction totale ou partielle strictement interdite

VOTRE LOGO. Gestion de Crise. Se préparer à résister au pire. Copyright Altaïr Conseil - Reproduction totale ou partielle strictement interdite Gestion de Crise Se préparer à résister au pire Copyright Altaïr Conseil - Reproduction totale ou partielle strictement interdite 1 Gestion de crise : se préparer à résister au pire Seb, Renault, BP, Quick

Plus en détail

COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR

COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR COR-E : un modèle pour la simulation d agents affectifs fondé sur la théorie COR SABRINA CAMPANO DIRECTION: NICOLAS SABOURET ENCADREMENT : NICOLAS SABOURET, VINCENT CORRUBLE, ETIENNE DE SEVIN SOUTENANCE

Plus en détail

Rappelons d abord l événement dans ses grandes lignes.

Rappelons d abord l événement dans ses grandes lignes. Étude de cas : Hydro-Québec et la tempête de verglas par Steve Flanagan Présenté au colloque «Les communications en temps de crise» Organisé par l Université du Québec à Montréal janvier 1999 L analyse

Plus en détail

Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique

Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique Sécurité des Systèmes d Information Une politique simple pour parler à la Direction Générale De la théorie à la pratique Sommaire Fondements d une politique de sécurité Les 9 axes parallèles d une politique

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire. Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation

Plus en détail

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3 OFFICE DE PROTECTION DES PERSONNES RECEVANT DES SOINS RAPPORT STATISTIQUE 2007-2008 1 Table des matières 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux

Plus en détail

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress

M2S. Formation Développement personnel. formation. La confiance en soi Gestion du stress Formation Développement personnel M2S formation La confiance en soi Gestion du stress Gestion du temps et gestion du stress Gestion des tensions et des conflits Gestion des conflits et de l agressivité

Plus en détail

Stress des soignants et Douleur de l'enfant

Stress des soignants et Douleur de l'enfant 5e rencontre francophone Suisse et France voisine de la douleur chez l enfant Stress des soignants et Douleur de l'enfant Céline ROUSSEAU-SALVADOR Psychomotricienne - Psychologue Clinicienne Service d

Plus en détail

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets

Activités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction

Plus en détail

Prestations d audit et de conseil 2015

Prestations d audit et de conseil 2015 M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations

Plus en détail

TAURUS SECURITY AGENCY

TAURUS SECURITY AGENCY TAURUS SECURITY AGENCY Notre philosophie LES FONDEMENTS DE NOTRE RELATION CLIENT Nos missions sont d assurer la sécurité des personnes et des biens en mettant à disposition de nos clients, des solutions

Plus en détail

L analyse de risques avec MEHARI

L analyse de risques avec MEHARI L analyse de risques avec MEHARI Conférence Clusif : MEHARI 2010 Marc Touboul - marc.touboul@bull.net Responsable du Pôle Conseil Organisation SSI Bull, 2010 agenda Bull Pôle Conseil SSI Un exemple de

Plus en détail

alarme incendie (feu non maîtrisable)

alarme incendie (feu non maîtrisable) INCIDENT N 1 alarme incendie (feu non maîtrisable) Vérification des matériels et systèmes de à disposition au - système de détection incendie (test lampe, signal sonore) - centrale d alarme intrusion(état

Plus en détail

«LA SÉCURITE ÉCONOMIQUE TERRITORIALE»

«LA SÉCURITE ÉCONOMIQUE TERRITORIALE» DOSSIER DE PRESSE «LA SÉCURITE ÉCONOMIQUE TERRITORIALE» Signature d une convention de partenariat entre le Groupement de Gendarmerie de l Ardèche et le MEDEF DrômeArdèche Vendredi 29 novembre 2013 Préfecture

Plus en détail

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés.

Or, la prévention des risques psychosociaux relève de l obligation générale de l employeur de protéger la santé physique et mentale des salariés. Introduction Les symptômes du stress (troubles du sommeil, de l appétit, agressivité, épuisement, troubles de la concentration ), touchent un nombre croissant de salariés en France : un salarié sur 6 déclare

Plus en détail

La gestion des situations de crise

La gestion des situations de crise agir sur le climat scolaire La gestion des situations de crise Enjeux et procédures Daniel Simon EMS Académie de Montpellier 06 32 82 73 73 daniel.simon@ac-montpellier.fr Sommaire Propos liminaires Avant

Plus en détail

S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle

S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle. 842 - La segmentation de la clientèle S84-1 LA GRC ET LE SI (Système d Information) 841 - Qualification des données clientèle 842 - La segmentation de la clientèle 843 - Les actions personnalisées utilisation des procédures de consultation

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

FICHE METIER. «Chef de chaîne» Chef de chaîne APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Chef de chaîne» Chef de chaîne APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Chef d antenne «Chef de chaîne» APPELLATION(S) DU METIER Chef de chaîne DEFINITION DU METIER Chef de chaîne est en charge de la diffusion technique des programmes. Il est garant de la continuité de la

Plus en détail

Le Guide ACTION QUALITÉ. durable

Le Guide ACTION QUALITÉ. durable de Le Guide la Gestion de Crise ACTION QUALITÉ LES ACTIONS du PLAN FILIERE ETAT - REGION Qualité INT.indd 1 Agro-Alimentaire durable Innovation Nutrition 16/03/09 16:04:24 LE PLAN FILIERE AGRO-ALIMENTAIRE

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DE LA CONTINUITÉ DES ACTIVITÉS Avril 2010 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1.

Plus en détail

Identification, évaluation et gestion des incidents

Identification, évaluation et gestion des incidents Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE

Plus en détail

Site de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement

Site de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement Site de repli et mitigation des risques opérationnels lors d'un déménagement Anne Claire PAULET Responsable Risques Opérationnels GASELYS AGENDA PRÉSENTATION GASELYS LES RISQUES OPÉRATIONNELS CONTINUITÉ

Plus en détail

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite

Guide à l intention des familles AU COEUR. du trouble de personnalité limite Guide à l intention des familles AU COEUR du trouble de personnalité limite À propos du trouble de personnalité limite Ce document a été élaboré en 2001 par madame France Boucher, infirmière bachelière,

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement

Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu

Plus en détail

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS

LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION

Plus en détail

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013

Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 PROJET Encadrement du système de caméras de sécurité et Foire aux questions Comité conseil en matière de prévention et sécurité des personnes et des biens Octobre 2013 2 3 Table des matières 1. CADRE JURIDIQUE...4

Plus en détail

René Duringer. www.smartfutur.fr

René Duringer. www.smartfutur.fr La Veille Stratégique René Duringer www.smartfutur.fr Néo-Économie mondiale sans couture = guerre économique ouverte Compétition mondiale : low cost + déflation + agressivité facteur prix (cf. Chine) Des

Plus en détail

Développement personnel

Développement personnel Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

s é c u r i t é Conférence animée par Christophe Blanchot

s é c u r i t é Conférence animée par Christophe Blanchot s é c u r i t é i n f o r m a t i q u e La sécurité des systèmes d information Conférence animée par Christophe Blanchot Tour de table Présentation Nom, prénom, promotion Entreprise et fonction Expérience(s)

Plus en détail

Ingénieur en prévention des risques

Ingénieur en prévention des risques Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour

Plus en détail

Indicateur et tableau de bord

Indicateur et tableau de bord Agenda Indicateur et tableau de bord «La sécurité n est pas une destination mais un voyage» 1. Jean-François DECHANT & Philippe CONCHONNET jfdechant@exaprobe.com & pconchonnet@exaprobe.com +33 (0) 4 72

Plus en détail

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE

Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE Fiche N 18 Ind. 1 du 21 juin 2013 GASN ASSOCIATION DES RETRAITÉS DU GROUPE CEA GROUPE ARGUMENTAIRE SUR LE NUCLÉAIRE LA GESTION DE CRISE DANS LE DOMAINE NUCLÉAIRE 1. INTRODUCTION La gestion de crise dans

Plus en détail

Le fonctionnement du CHSCT

Le fonctionnement du CHSCT Le fonctionnement du CHSCT La personnalité civile du CHSCT La qualité à agir du CHSCT La capacité d ester en justice La prise en charge des frais de justice La capacité d acquérir et de contracter La responsabilité

Plus en détail

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants? Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration

Plus en détail

Mémoire technique Aide à la rédaction

Mémoire technique Aide à la rédaction Mémoire technique Aide à la rédaction Pour apprécier la valeur technique de l offre, le maître d ouvrage peut exiger des candidats la fourniture d un mémoire technique. Deux cas de figure s offrent alors

Plus en détail

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS) Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,

Plus en détail

Bien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble

Bien-être et Performance Collective Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Des risques psychosociaux au modèle de management et au bien vivre ensemble Comment concilier «bienêtre» et «performance collective»? Comment aider les opérationnels à assumer leur responsabilité managériale,

Plus en détail

Attaques ciblées : quelles évolutions dans la gestion de la crise?

Attaques ciblées : quelles évolutions dans la gestion de la crise? 3 avril 2012 Attaques ciblées : quelles évolutions dans la gestion de la crise? Une nécessaire refonte des fondamentaux Gérôme BILLOIS gerome.billois@solucom.fr Twitter: @gbillois Frédéric CHOLLET frederic.chollet@solucom.fr

Plus en détail

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.

Aujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs. MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

Concevoir des supply chains résilientes

Concevoir des supply chains résilientes Concevoir des supply chains résilientes Karine Evrard Samuel CERAG UMR 5820 Université de Grenoble, France Définition de la résilience appliquée aux supply chains La résilience est la capacité à revenir

Plus en détail

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand

Plan et résumé de l intervention de Jean-Philippe Dunand Faculté de droit Prof. Jean-Philippe Dunand Prof. Pascal Mahon Avenue du 1 er -Mars 26 CH-2000 Neuchâtel Tél. ++41 32 718.12.00 Fax ++41 32 718.12.01 Centre d étude des relations de travail (CERT) Neuchâtel,

Plus en détail

L-ebore SAS. choisissez des solutions à portée de main... La sûreté, les risques, la continuité d activité, les crises, au cœur de vos problématiques,

L-ebore SAS. choisissez des solutions à portée de main... La sûreté, les risques, la continuité d activité, les crises, au cœur de vos problématiques, L-ebore SAS 2013 La sûreté, les risques, la continuité d activité, les crises, au cœur de vos problématiques, choisissez des solutions à portée de main... Qui sommes-nous? Spécialisée dans le domaine de

Plus en détail

Division Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées

Division Espace et Programmes Interarméeses. État tat-major des armées Division Espace et Programmes Interarméeses LE MINDEF en quelques mots 295 000 personnes, militaires et civils. 7000 personnes engagées en opérations extérieures, 80% au sein d une coalition internationale

Plus en détail

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL Numéro : 1. Objet général La présente politique vise à établir les règles applicables

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP)

Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Le Plan de Continuité d Activité (PCA / BCP) Comment le mettre en œuvre et vérifier qu il restera opérationnel? Bruno KEROUANTON RSSI Clear Channel France - CISSP 16 juin 2004 - Paris Introduction, définitions

Plus en détail

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation

Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l

Plus en détail

Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies?

Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? Gestion des risques liés aux systèmes d'information, dispositif global de gestion des risques, audit. Quelles synergies? gil.delille@forum-des-competences.org Agenda Les enjeux liés aux systèmes d information

Plus en détail

Bibliothèque des Compétences clés

Bibliothèque des Compétences clés Bibliothèque des Compétences clés Modules Jours Heures S exprimer oralement 3 21 S exprimer à l écrit 4 28 Manipuler les chiffres et les ordres de grandeur 5 35 Utiliser les principaux outils bureautiques

Plus en détail

PROCEDURE ENREGISTREMENT

PROCEDURE ENREGISTREMENT Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08

Plus en détail

FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE

FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE FAIRE FACE A UN SINISTRE INFORMATIQUE Lorraine Protéger son système d information 1 avec des solutions techniques ne suffit pas toujours pour faire face à un sinistre. En cas de perte, de vol ou de dégradation

Plus en détail

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation

PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation PACTE : Programme d Amélioration Continue du Travail en Equipe Phase d expérimentation Centre Hospitalier d Argenteuil (95) F. Lémann, PH-coordonnateur de la gestion des risques associés aux soins Co-facilitateur

Plus en détail

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! HARCÈLEMENT CRIMINEL Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer! Qu est-ce que c est? Le harcèlement criminel est un crime. Généralement, il s agit d une conduite répétée durant une période de temps qui

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE)

3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) 3 3.2. RAPPORT DU PRÉSIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION (ARTICLE L. 225-37 DU CODE DE COMMERCE) Pour l élaboration du présent rapport, le Président a consulté le Vice-Président Exécutif, Directeur Financier

Plus en détail

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS

APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS APPEL A PROJET HEBERGEMENT ET ACCOMPAGNEMENT AGNEMENT EDUCATIF MINEURS ISOLES ETRANGERS ET JEUNES MAJEURS ISOLES ETRANGERS Appel à projet hébergement et accompagnement éducatif MIE JMIE octobre 2014 1

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

PASS sports vacances. Sommaire

PASS sports vacances. Sommaire PASS sports vacances Sommaire PREAMBULE Article 1 : Modalités d inscription Article 2 : Modalités de fonctionnement Article 3 : Les infrastructures Article 4 : Tarification Article 5 : Sécurité et secours

Plus en détail

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES

RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE DE JUMIÈGES I - RÈGLES GÉNÉRALES Article 1 - Le restaurant scolaire n a pas un caractère obligatoire, il a pour objet d assurer, dans les meilleures conditions

Plus en détail

Référent et management

Référent et management Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une

Plus en détail