RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT"

Transcription

1 RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT CFDT.FR

2 SOMMAIRE Préface... 3 Présentation de fiches de bonnes pratiques... 5 Préparation des négociations annuelles obligatoires... 5 Accord de méthodologie dans le suivi d une fusion... 7 Cas d un projet d harmonisation des régimes de prévoyance et de santé Restructuration et informations confidentielles : expertise pluridisciplinaire avec un expert-comptable, un expert CHSCT et un avocat...12 Annexe : Charte de partenariat RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 2

3 PRÉFACE Un nouveau cadre pour le recours aux experts dans les institutions représentatives du personnel La CFDT est depuis longtemps convaincue de l importance de l apport des experts et des conseils, au service de la stratégie syndicale. Depuis longtemps d ailleurs, elle anime un réseau d acteurs de l expertise et du conseil afin d inciter les équipes à y recourir, de mutualiser les travaux produits, de réfléchir aux transversalités entre les disciplines : économique, juridique, organisation du travail Depuis 2004, une charte a été signée entre la confédération et des partenaires privilégiés (Cf. annexe du guide). Le recours à des missions d expertise et de conseil fait partie intégrante des attributions des comités d entreprise et des CHSCT. Les élus doivent pouvoir s en saisir à tout moment, en lien avec la stratégie syndicale. Pour la CFDT, les objectifs de ces missions sont : - comprendre l environnement et les stratégies à l œuvre dans et autour de l entreprise ; - anticiper les évolutions prévisibles sur les terrains économique, technologique, organisationnel, juridique et évaluer leurs conséquences pour les salariés ; - aider les élus à évaluer leurs marges de manœuvre ; - aider à construire des propositions qui prennent en compte l intérêt des salariés. L expert et le conseil apportent une analyse extérieure, avisée et critique. En cela, ils renforcent la compréhension et la compétence des équipes CFDT. Cela est d autant plus vrai que l expert, notamment l expert aux comptes, a un pouvoir d investigation assez large que n auraient pas, seuls, les élus. L expert permet d anticiper une analyse dynamique des comptes, il fournit des alertes sur la situation économique et aide à anticiper les évolutions de l emploi. Un avocat, en tant que conseil juridique, peut analyser la légalité d un plan de restructuration et d un projet de PSE et éclairer ainsi ses négociateurs, plutôt que de compter sur une action judiciaire a posteriori, quand les salariés sont déjà partis, etc. Armés d une meilleure compréhension de la situation et d une certaine visibilité sur son évolution, les mandatés et élus CFDT seront mieux en capacité de faire face aux besoins des salariés. Bien entendu, au final, la construction des propositions relève de la responsabilité des représentants du personnel, mais l analyse critique des experts et conseils permet d alimenter ce travail revendicatif. A partir de leurs connaissances techniques, mais aussi de leur connaissance du champ professionnel ou territorial, ils peuvent alimenter et éclairer le travail de construction des propositions, voire, sur le terrain de la stratégie, de propositions alternatives à celles de l employeur. Il ne faut pas non plus négliger l élément de rapport de force vis-à-vis de l employeur que constitue l intervention coordonnée de l analyse de l expert. La coordination des interventions des différents experts, dans leurs domaines de compétences respectifs, en concertation permanente avec l organisation, est un outil au service de la stratégie syndicale. La France, les entreprises, les salariés traversent depuis plusieurs années, une mutation profonde du tissu économique. Le manque d anticipation des entreprises est souvent pointé comme une des causes des difficultés de nombre d entre elles. Par ailleurs, le dialogue social est désormais reconnu comme un des déterminants de l amélioration de la compétitivité des entreprises Cf. «Approche de la compétitivité française», document commun Medef/CFDT/CFTC/CGC, juin 2011 et le rapport Gallois : «Pacte pour la compétitivité de l industrie française», 5 novembre RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 3

4 C est pourquoi la question du débat sur la stratégie des entreprises a été un des enjeux forts de l Accord national interprofessionnel (Ani) du 11 janvier 2013, repris en mai 2013 dans la loi. La CFDT a voulu donner des outils aux élus et délégués pour peser sur ces stratégies : les comprendre, les influencer, les anticiper. Parmi ces outils, la Base de données unique permet de disposer en un seul document de nombreuses informations économiques et sociales. Ces informations sont recensées sur les trois années passées et, de façon prospective, pour les trois années à venir. Avant de construire la partie prospective de la base de données, l employeur doit obligatoirement avoir un débat avec les représentants du personnel sur sa stratégie. Pour éclairer ce débat, l Ani prévoit une nouvelle expertise «l expertise en continu», qui accompagnera le comité d entreprise au fil de la construction de la base de données. Cette nouvelle expertise doit faire l objet d une négociation dans l entreprise, notamment pour en définir le financement : l accord prévoit en effet un co-financement possible mais pas obligatoire à hauteur de 20 % maximum du coût de l expertise. Cette nouvelle possibilité d accompagnement des élus doit nous permettre de changer d échelle en matière de recours aux experts et conseils. Il s agit de passer d un recours ponctuel, parfois limité à des situations de difficultés ou de réorganisation, à une démarche plus régulière, inscrite dans la durée. Pour la CFDT, cette démarche aurait intérêt à être pluridisciplinaire : un expert-comptable, un juriste, un conseil en organisation du travail sont nécessaires à la bonne compréhension de l ensemble des enjeux. C est pourquoi nous incitons la négociation d entreprise à intégrer cette dimension pluridisciplinaire et à se référer, par exemple, à un pôle d experts (cf. liste de nos partenaires en annexe). Par ailleurs, les experts auront un rôle crucial dans les accords de maintien dans l emploi, puisque ce sont eux qui permettront aux élus de se positionner sur la réalité de la difficulté conjoncturelle et qui les aideront à anticiper les conséquences des accords sur les contrats de travail des salariés. Enfin, s agissant des CHSCT, l accord prévoit la possibilité de la création d une instance de coordination des CHSCT en cas de projet concernant plusieurs établissements. Cette instance de coordination a pour mission de mettre en œuvre une expertise unique et d en référer aux CHSCT «locaux». La négociation d entreprise peut décider de lui attribuer de plus amples pouvoirs : recommandations, propositions d avis pour les CHSCT locaux La confédération va poursuivre le travail entamé avec ses partenaires en y intégrant l évaluation de la mise en place des nouveaux outils de l Ani. Cette évaluation analysera aussi les conséquences opérationnelles des contraintes de délais, instaurées par l accord, à l intervention des expertises préexistantes qui demeurent (examen annuel des comptes, licenciement économique, introduction de nouvelles technologies, etc.). On le voit, l ambition du syndicalisme de résultat et de proximité avec les salariés est de proposer une vision et des débouchés à des salariés angoissés et bousculés par la (les) crise(s). Le rôle des militants d entreprise est incontournable, car au cœur des changements et de la vie des salariés. L Ani donne des outils nouveaux, ce sont les pratiques de terrain qui concrétiseront les changements. Puisse ce guide vous y aider! Véronique DESCACQ, secrétaire générale adjointe de la CFDT. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 4

5 FICHE BONNES PRATIQUES PRÉPARATION DES NÉGOCIATIONS ANNUELLES OBLIGATOIRES (NAO) 1. LE CONTEXTE DU GROUPE E ET DES SALARIÉS Le groupe E développe ses activités dans l univers de la mode féminine, en Europe et en Asie. En France, il emploie près de salariés, répartis sur un siège en région parisienne et plus de 550 magasins dans toute la France. Le groupe y est présent avec quatre enseignes : E, E1, E2 et E3. Le collectif de travail est marqué par une très forte disparité de métiers, de conditions de travail, de rémunérations entre le siège et les magasins. Dans les magasins, qui emploient plus de salariés, le personnel est majoritairement féminin. Le statut employé est le plus nombreux, avec des salaires très proches du Smic pour la plus grande partie des salariés. L ancienneté moyenne est d environ 5 ans, l âge moyen d environ 30 ans. Le recours aux CDD est très important tout au long de l année, c est près de CDD embauchés chaque année par l entreprise. Enfin, le temps partiel est largement utilisé. Il concerne 75% des salariés du statut employé. La CFDT est majoritaire et bien implantée sur le terrain, en particulier dans le réseau de magasins. 2. L INTERVENTION DE L EXPERT L expert accompagne le comité central d entreprise (CCE) depuis 2007, principalement pour la mission de diagnostic des comptes annuels. Dans le cadre de ces missions, outre l analyse approfondie de la situation économique et financière de l entreprise, le CCE a demandé à l expert d approfondir la compréhension de la situation sociale, en particulier à travers une analyse des rémunérations qui a été conduite en 2009, 2010 et 2011 de manière progressivement plus détaillée. Il a ainsi été possible de mieux comprendre la dispersion des rémunérations, le poids des rémunérations variables, les disparités siège/magasins, la répartition précise des augmentations de salaire découlant des négociations annuelles. 3. LE DÉROULEMENT DE LA NÉGOCIATION Lorsque la négociation démarre en novembre 2011, l inflation a atteint 2 % sur les dix premiers mois de l année. Elle avait atteint 1,5% en 2010 (moyenne des variations mensuelles). Le Smic avait été augmenté de 1,6 % au 1er janvier 2011, augmentation portée à 2,1 % au 1er décembre Les précédentes NAO s étaient soldées sur une augmentation de 1,7 %, auxquelles s ajoutaient des augmentations plus importantes pour certains métiers ciblés, des engagements de promotion à des niveaux supérieurs d une proportion déterminée de salariés, ainsi que des mesures complémentaires (tickets-restaurants ). Pour ces NAO 2012, l équipe CFDT fait le choix de se concentrer sur une revendication unique basée sur une augmentation générale de 3 % pour l ensemble des salariés. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 5

6 Quatre réunions se tiennent sur les mois de novembre et décembre. Durant cette phase, l expert prépare, à la demande de l équipe CFDT et à partir de son dernier rapport, des chiffrages précis sur le coût de plusieurs scénarios : +2 %, +2,5 %, +3 %. Les équipes de négociation défendent donc leurs positions en sachant que le coût de leur demande est tout à fait acceptable au regard de la situation économique du groupe. La direction est également forcée d examiner avec plus de considération cette revendication sérieusement étayée. La crédibilité des négociateurs s en trouve accrue. L année 2010 avait été marquée par une opération de rachat d actions, destinée à modifier l organisation de l actionnariat et qui avait eu pour conséquence d augmenter significativement l endettement de l entreprise. L expert avait démonté l ensemble de cette opération, ses objectifs, son coût, et ses conséquences sur les marges de manœuvre opérationnelles d E. L équipe CFDT a su réutiliser cette question lors des NAO, pour augmenter encore la pression sur la direction. En cette fin d année, un grand événement de communication était en préparation dans l entreprise : un défilé de mode avec de nombreuses personnalités, dans un lieu parisien très prestigieux, loué pour l occasion. Dans le même temps, les dernières réunions se profilaient. L équipe CFDT a alors préparé un tract particulièrement incisif, qui établissait un lien entre les dépenses d image occasionnées par cette soirée et les propositions faites en NAO. Ce tract, montré à la direction, ne sera finalement pas diffusé dans sa version initiale. Mais il contribua très efficacement à une augmentation de la pression exercée par les négociateurs. Après d ultimes discussions, les négociations se sont conclues avec une augmentation de 2,7 % pour les employés et 2,2 % pour les agents de maîtrise et cadres. Un résultat à la fois supérieur au Smic et à l inflation, dans un secteur traditionnellement très attentif à un strict encadrement des rémunérations. 4. QUELS ENSEIGNEMENTS EN TIRER? Dans cette négociation, la complémentarité du travail des négociateurs et de l expert a été payante : le travail de l expert a permis, année après année, de mettre en évidence le fonctionnement précis du système de rémunération et d en faire un commentaire argumenté. En 2011, l analyse économique avait également donné au CCE une information très complète sur les tenants et les aboutissants d une opération de rachat d actions à vocation strictement financière. Enfin, les simulations effectuées par l expert durant la négociation ont permis de renforcer la crédibilité et la confiance des négociateurs. Mais au final, c est bien le talent et le sens tactique de l équipe CFDT qui a permis l atteinte des résultats obtenus. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 6

7 FICHE BONNES PRATIQUES ACCORD DE MÉTHODOLOGIE DANS LE SUIVI D UNE FUSION (COLLABORATION EXPERTISE ÉCONOMIQUE, FINANCIÈRE ET JURIDIQUE) 1. L ENTREPRISE VT et TV, deux organisateurs de transport forment désormais une seule entreprise VTV après leur fusion. L activité porte sur le transport de voyageurs (route, rail). Début 2009, les groupes propriétaires des deux entreprises entrent en négociation exclusive pour la constitution d un groupe mondial de transport de voyageurs, par le rapprochement de VT et TV. Les termes du rapprochement VT-TV et de la sortie d un actionnaire de référence du capital de TV sont arrêtés en mars La levée des conditions suspensives du rapprochement, notamment l aval des Autorités de la Concurrence, dure toute l année Parallèlement, l élaboration du projet de la future organisation opérationnelle est fortement ralentie par des conflits managériaux entre les équipes de VT et celles de TV. La phase opérationnelle du rapprochement prend un retard important, ce qui conduit les actionnaires à modifier leur pacte sur la gouvernance du nouvel ensemble VTV, rééquilibrant les pouvoirs en faveur de la CDC et provoquant le départ du dirigeant historique de TV vers un autre acteur du marché. Le «closing» de l opération intervient finalement en avril 2011, mais VTV ne retrouve pas sa stabilité pour autant et subit des revers sur ses marchés français. La finalisation de la nouvelle organisation opérationnelle n intervient qu en novembre 2011 et la nouvelle organisation juridique devient effective au 1er janvier L ACTEUR SYNDICAL Les CE des sociétés holding, les comités de groupe France et les comités d entreprise européens des deux groupes sont consultés dans le cadre du processus de rapprochement. Dans toutes les IRP consultées en France, la CFDT est fortement représentée, elle est le premier syndicat par la représentativité (suivi de près par la CGT). L enjeu pour le CE et la CFDT sur le plan local est de sécuriser les parcours et d appréhender les tenants et aboutissants du processus de rapprochement. Au niveau fédéral, l enjeu est de parvenir à un accord de méthodologie pour les fusions d entreprises pouvant faire l objet d une promotion dans le cadre du dialogue social européen sous l égide d ETF (la Fédération européenne du Transport) et de consolider la représentativité de la CFDT dans le nouvel ensemble. 3. L INTERVENTION DES EXPERTS L expert-comptable et l avocat interviennent dès le début du processus de consultation dans le cadre d un «consortium» au service de l organisation syndicale (OS) et du CE ; ils assurent respectivement l expertise économique et financière d un côté, et l expertise juridique de l autre. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 7

8 Les experts sont conjointement désignés par le CE de l unité économique et sociale (UES) holding et fonctions support de TV. Plusieurs experts vont intervenir auprès des différentes IRP, mais au fil du temps, seuls l expert-comptable et l avocat (sur TV) et un autre expert (sur VT) vont poursuivre l accompagnement. Le contexte de l intervention des experts est celui du rapprochement de VT et de TV. Celui-ci doit notamment entraîner des synergies qui s illustrent par la réduction de l effectif des fonctions support de 180 postes sur un total de postes théoriquement concernés. Par ailleurs, la réorganisation opérationnelle, puis la réorganisation juridique du nouveau groupe VTV, a des impacts sur le rattachement des salariés, les statuts collectifs et l architecture des IRP. 4. LA MISE EN RÉSEAU DES COMPÉTENCES DANS L ACCOMPAGNEMENT DE L IRP ET DE L ACTEUR SYNDICAL L accord de méthodologie, signé en avril 2010, structure pour la durée du processus de rapprochement les conditions d intervention des OS, des IRP et des experts. Cet accord engage déjà par ailleurs les sociétés employeurs et leurs actionnaires sur le principe du départ non contraint : définition des étapes du rapprochement donnant lieu à consultation des IRP et à expertise : création de la holding commune et projet industriel, notification du projet de concentration aux Autorités de la Concurrence, levée des conditions suspensives du rapprochement et «closing» de l opération, projet d organisation opérationnelle du nouvel ensemble, projet d organisation juridique du nouveau groupe, introduction en bourse (finalement abandonnée) ; mise en place d une instance de concertation, de préparation et de négociation (ICPN) créant un espace de travail entre les OS et les employeurs. L ICPN, au départ en deux groupes (VT et TV) qui seront ensuite fusionnés, peut recourir aux experts désignés par les IRP et apporter son éclairage aux IRP en vue des consultations ; engagement sur l absence de départs contraints et engagement à conduire des négociations sur les garanties en matière d emploi et sur les IRP. Le travail des experts s organise, au fur à mesure de l avancement du rapprochement, autour de la construction des outils de la négociation pour l ICPN et la préparation des consultations du CE. Pour le volet économique et financier (expert-comptable) : - enjeux financiers et économiques du rapprochement ; - examen du business plan et des réductions de coûts ; - décisions des Autorités de la Concurrence ; - cartographie des emplois et des compétences ; - dimensionnement et localisation du (ou des) siège(s). Pour le volet juridique (avocat) : - cartographie des IRP existantes et futures ; - bibliothèque des accords ; - évolution des statuts collectifs. L accompagnement s organise sur une période quasi continue allant de fin 2009 à début 2012 (au terme de la réorganisation juridique) et prend la forme de travaux écrits (rapports, notes, synthèse) et de réunions régulières entre partenaires et avec le CE et les représentants de l employeur. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 8

9 5. LES APPORTS POUR L ORGANISATION SYNDICALE Institué par l accord de méthodologie, le rôle des OS dans le processus de rapprochement a permis la négociation d accords qui ont apporté une sécurité à la mise en œuvre du processus de rapprochement au regard de l emploi et des statuts collectifs. Par ailleurs, la coordination par la fédération, fortement impliquée dans le suivi et la négociation, a permis de limiter les risques d antagonisme entre sections issues d entreprises différentes, voire de syndicats différents. Conformément aux objectifs de départ, un accord sur les garanties en matière d emploi a été signé, formulant les règles instituant l engagement pris par les sociétés et leurs actionnaires respectifs de ne procéder à aucun départ contraint, directement ou indirectement, pendant toute la durée de l accord (sécurisation des mobilités professionnelles et géographiques, modalités de la politique de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). Un accord-cadre sur les IRP au sein du nouvel ensemble VTV a été également signé, parallèlement à la mise en place de la nouvelle organisation juridique du nouveau groupe, sécurisant ainsi le devenir des représentants du personnel. La définition et la répartition, clairement définies dès le début du processus des rôles des experts (expert et avocat) ont permis d assurer un accompagnement stable et dans la durée des OS et du CE. Ce dispositif, outre l investissement personnel, a certainement favorisé une réelle montée en compétences de la CFDT, qui s est imposée très nettement dans le dialogue social par rapport aux autres OS. Ce partenariat organisé et articulé a sans doute permis de conserver une dynamique tout au long du processus de rapprochement dans un contexte extrêmement troublé, marqué d une crise managériale suivie d une crise de l actionnariat (désengagement d un des groupes actionnaires annoncé fin 2011) avant même que VTV ait commencé à écrire son histoire. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 9

10 FICHE BONNES PRATIQUES CAS D UN PROJET D HARMONISATION DES RÉGIMES DE PRÉVOYANCE ET DE SANTÉ 1. LE GROUPE OST est un groupe de sociétés de services en ingénierie informatique (SSII). Ce groupe s est constitué par des acquisitions successives, restées en tant que filiales juridiques de la holding, dont certaines sont regroupées au sein d une UES. L entité historique est l émanation d une filialisation des activités informatiques d un groupe de la métallurgie. Ces entités seront bientôt fusionnées. En amont de la fusion, la direction annonce à sa principale entité ainsi qu à l UES un projet d harmonisation des régimes de prévoyance et de santé. Ce projet est censé avoir une valeur de test pour les opérations de fusion à venir. Comme tout ce qui touche à la prévoyance et à la santé, les organisations syndicales sont très soucieuses de préserver la qualité de la couverture dans des conditions ne portant pas atteinte au pouvoir d achat des salariés. 2. L ACTEUR SYNDICAL Les interlocuteurs syndicaux sont les DS CFDT principalement ; CGT (secrétaire du CE) et CGC sont présents. Il n y a de pas de majorité syndicale. 3. L INTERVENTION DES EXPERTS L expert intervient en tant qu expert en prévoyance et santé, avec l appui d un actuaire conseil, initialement pour le CE de l entité historique et dans un deuxième temps également pour l UES. Le dossier a été suivi de près par des interlocuteurs spécialisés en prévoyance et santé de la F3C CFDT. Le contexte de l intervention de l expert est celui de l accompagnement des OS sur cette négociation, sécurisé par une mission contractuelle. Au préalable est obtenue l assurance de la coopération de la direction sur la transmission de l ensemble des documents et informations nécessaires à la mission. 4. LA MISE EN RÉSEAU DES COMPÉTENCES DANS L ACCOMPAGNEMENT DE L IRP ET DE L ACTEUR SYNDICAL La mise en réseau des compétences a fonctionné : - institutionnellement, par l apport des compétences techniques de l expert ; - lors des échanges fréquents entre le DS CFDT et l expert ; - par un travail en commun sur les réponses à l appel d offres qui avait été lancé ; - par un travail en commun entre l expert, l actuaire, le courtier conseil de la direction et l Institution de Prévoyance concernée par les contrats. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 10

11 5. LES APPORTS POUR L ORGANISATION SYNDICALE L ensemble du dispositif a permis aux représentants du personnel de reprendre la main sur une négociation trop souvent laissée à l initiative de la direction. Autre apport : une vision globale du processus d harmonisation des régimes, en incluant les aspects juridiques, techniques, financiers et de droit du travail. Notre travail a permis de faire évoluer la position de la direction, qui souhaitait passer par une décision unilatérale. Un accord aura été finalement signé par les OS des deux entités concernées. Des apports techniques et juridiques ont été apportés pour la mise en place des régimes dans de bonnes conditions alors que direction, élus et OS étaient très démunis alors que le courtier n apportait qu une aide ponctuelle. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 11

12 FICHE BONNES PRATIQUES RESTRUCTURATION ET INFORMATIONS CONFIDENTIELLES : EXPERTISE PLURI-DISCIPLINAIRE AVEC UN EXPERT-COMPTABLE, UN EXPERT CHSCT ET UN AVOCAT 1. L ENTREPRISE PTC est un sous-traitant de la filière automobile possédant plusieurs sites industriels en France et en Europe. Fin 2011, le groupe annonce la fermeture d un des sites français (projet A) et la montée en puissance d un autre site français qui serait portée par le développement de produits plus écologiques avec des investissements de plusieurs dizaines de millions d euros à la clé (Projet B). Quelques semaines plus tard, une fois la fermeture du site A entérinée, le groupe annonce que le projet B est abandonné, puis il communique sa décision d arrêter toute la production. Il y a 350 emplois internes et une cinquantaine d intérimaires en 2012 sur le site B. 2. L ACTEUR SYNDICAL ET LES ENJEUX La CFDT est le syndicat majoritaire dans l entreprise ; la CFE-CGC est également présente. Les interlocuteurs syndicaux principaux sont le DS CFDT et le secrétaire du CE. Les contacts sont également fréquents avec le DS CFE-CGC. Après avoir été longtemps un simple établissement, le site B est devenu une entreprise depuis Depuis cette date, la section CFDT (ancienne et majoritaire) a imposé le recours à l assistance de l expert-comptable, notamment lors de la précédente restructuration (2009). Pour les raisons évoquées ci-dessus (décision «couperet» de fermeture, après avoir fait miroiter un projet de développement spectaculaire), et au vu de la nature de la restructuration envisagée, le contexte a été conflictuel. Le CE a été combattif et la mobilisation forte, même si la stratégie syndicale a cherché à éviter, au maximum, les opérations «coup de poing». Les enjeux de l action syndicale portaient sur un double aspect : d une part, démontrer qu elle est la véritable stratégie de l entreprise dans l abandon du projet d investissement pour peser sur le plan de sauvegarde de l emploi et, d autre part, proposer des alternatives crédibles au projet de la direction qui permettraient de sauver le maximum d emplois. Il y avait un enjeu lourd pour obtenir les informations sur les options stratégiques de l entreprise que la direction de l entreprise ne souhaitait pas dévoiler au-delà de la situation du site B sous un prétexte de confidentialité stricte. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 12

13 3. L INTERVENTION DES EXPERTS Contexte de l intervention des experts : mission sur fermeture du site industriel, et reconversion en site logistique, avec beaucoup moins d emplois et surtout plus aucun emploi de production. Trois experts externes à l entreprise ont travaillé sur cette restructuration : un expert-comptable, un expert CHSCT qui a travaillé dans le cadre de la mission de l expert-comptable, ainsi qu un avocat du réseau Avec afin de constituer une équipe pluridisciplinaire en capacité d apporter une assistance complète aux élus et aux DS. La section CFDT est suivie de près par l UMM (Union Mines Métaux) régionale et par l Uri de la région du site B. 4. LA MISE EN RÉSEAU DES COMPÉTENCES DANS L ACCOMPAGNEMENT DE L IRP ET DE L ACTEUR SYNDICAL La mise en réseau des compétences a fonctionné : - institutionnellement, par une présence conjointe des quatre partenaires (expert CE, expert CHSCT, avocat et UMM) aux réunions marquant les temps forts de la procédure : démarrage de la mission de l expert-comptable, points d étape, réunion préparatoire de remise du rapport, debriefing post plénière, debriefing en cours de négociation sur le PSE ; - quasiment au quotidien par des échanges entre l expert CE, l expert CHSCT, l avocat et UIMM CFDT sur les avancées de la procédure, la gestion des situations particulières ou la stratégie à mener ; - par un travail en commun sur certains aspects : assistance à la rédaction de motions, à la rédaction des avis, recherche de documents, conseils juridiques 5. LES APPORTS POUR L ORGANISATION SYNDICALE Sur chacune des dimensions de la restructuration, le CE a disposé d appuis techniques et d aides à la construction de son positionnement : - avec l avocat, sur les questions juridiques, la stratégie juridique et les procédures contentieuses menées auprès des tribunaux pour obtenir l information souhaitée ; - avec l expert, sur les questions économiques et stratégiques, en particulier sur le décryptage des motifs réels de la restructuration (délocalisation), en opposition avec les objectifs affichés par la direction de l entreprise ; - avec le syndicat professionnel, il a pu débattre des choix stratégiques et syndicaux à mettre en œuvre, à partir des analyses et informations livrées par les experts. Mais, pour autant, l intervention des trois parties n a pas été «cloisonnée» : tout en restant dans son champ de compétence, chacun a apporté son éclairage, dans une approche globale, pour aider le CE dans son positionnement. Des synergies ont fonctionné : - des informations sur le groupe, collectées par l expert, ont été utiles à l avocat pour mener des actions en contentieux ; - l action de l avocat, au tribunal, sur des pistes de documents indispensables relevées par l expert, a obligé la direction à communiquer des informations jusqu alors présentées comme inexistantes ou confidentielles. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 13

14 Au final, cette approche a permis de dégager du temps pour débattre sur le véritable projet, puis pour négocier et enfin pour organiser une véritable consultation (en novembre, alors qu elle devait se faire initialement en juin). Elle a permis également de démontrer qu une véritable anticipation des enjeux réels de la restructuration et des options stratégiques de l entreprise par la fourniture immédiate d une information loyale aux élus du CE aurait certainement permis de débattre plus en amont des options possibles et de peser beaucoup plus sur les choix de l entreprise. Elle a aussi permis d infléchir la position de la direction et permis la pérennisation de la structure logistique maintenue, avec plus d emplois que prévu au départ et, surtout, des emplois occupés par des ex-salariés PTC (ce qui n était pas assuré au départ). Enfin, elle a permis d obtenir des moyens plus conséquents en dispositifs de reclassement (durée du congé de reclassement, aide dégressive temporaire, formation ) ou en indemnités (extra légales) de départ. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 14

15 ANNEXE : CHARTE DE PARTENARIAT RÉSEAU Avec RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 15

16 I. OBJET Ce texte doit contribuer à nouer les relations de partenariats privilégiés entre les cabinets d experts et/ ou conseils, signataires de la charte, et la confédération CFDT. L ensemble des acteurs du champ de l expertise à vocation à être couvert par cette charte : économique, juridique, ergonomique, technologique Dans le cas des avocats concernés, celle-ci s applique pour le domaine du conseil et ce, sans préjudice de celle du Réseau Avec qui concerne les phases contentieuses. Cette charte est destinée à être proposée aux cabinets d experts et conseils par la confédération. Les signataires de cette charte ont vocation à être clairement reconnus par les militants CFDT. L objectif de cette charte est donc de permettre tout à la fois de : - clarifier les relations entre la confédération et ses partenaires pivots ; - structurer nos relations ; - permettre l organisation des relations suivies entre les différents signataires et la confédération ; - faciliter des collaborations entre ces groupes, notamment pour capitaliser de l information ; - permettre aux élus d entreprise d identifier clairement nos partenaires privilégiés. II. LES PRINCIPES La CFDT considère que le recours aux experts et conseils est une action naturelle et complémentaire de l action syndicale, mais que ce recours ne peut en aucun cas la remplacer. Les missions des experts et conseils doivent donc s inscrire dans la durée. La régularité de ces relations doit permettre une meilleure réactivité, une gestion plus souple des dossiers par les partenaires et une prise de décisions plus rapide par les structures politiques. Ces activités s inscrivent dans le cadre d action défini par la confédération. Elles impliquent une reconnaissance des rôles respectifs de chacun. Ce principe de partenariat suppose une connaissance réciproque. La CFDT coopérera avec les signataires dans des conditions qui ne porteront aucune atteinte à leur indépendance professionnelle et qui, en général, pour ce qui est des membres d une profession organisée (avocats, experts-comptables), ne les mettront pas en contradiction avec les règles de leur profession. Les intervenants demeurent libres des conclusions auxquelles leurs analyses les ont conduit en conformité avec la mission ou le cahier des charges préalablement établi. Les analyses des experts participent à la prise de décisions politiques ou stratégiques qui en tout état de cause appartiennent à l organisation. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 16

17 III. LES ENGAGEMENTS RÉCIPROQUES Il n y a pas de relation exclusive entre la CFDT et les signataires de cette charte. Le développement des uns et des autres doit pouvoir se faire avec autonomie, cela nécessite une connaissance réciproque et des rencontres régulières. Pour prévenir des conflits d intérêt possibles, la CFDT pense que le conseil ou l assistance à des organisations ou associations patronales doit faire l objet d un échange préalable. Les signataires s engagent à entretenir et développer les compétences qui fondent leur partenariat avec la CFDT. Ce partenariat doit créer les conditions d une plus grande valorisation, par la capitalisation d informations, du travail des experts au profit de l organisation (ex. travail sur les restructurations). Les signataires peuvent intervenir pour des organisations syndicales autres que la CFDT, excepté lorsqu il y a un conflit d intérêt. Consciente de la nécessité pour les partenaires d avoir une bonne connaissance des positions et des décisions de la CFDT, la confédération s engage à mettre en place des réunions d échanges, ainsi qu à améliorer les informations en direction des signataires. La confédération s engage à faire connaître les signataires de cette charte, à promouvoir leurs services respectifs et à diffuser le contenu de cette charte auprès des structures et des équipes CFDT à travers les Fédérations et les Unions régionales. IV. LA FORMATION La formation syndicale relève de la responsabilité de l organisation et des outils qu elle s est donnée : Iris et son réseau. Les signataires s engagent donc à ne pas proposer directement aux militants CFDT des formations. Ces interventions se feront dans les cadres définis par les responsables politiques de la session. La confédération reconnaît que les formations sont des éléments de notoriété importants et donc des sources de développement potentiel pour les différents cabinets. La confédération s engage donc à solliciter plus particulièrement les signataires pour intervenir dans les sessions de formation développées par Iris et son réseau. V. EXPERTS ET «CONSEILS» V-I La fonction de l expert consiste à éclairer un dossier, résoudre un problème ou porter un diagnostic sur un cas dont la technicité excède le savoir propre de celui qui le sollicite. La fonction du «conseil» consiste à préconiser, en fonction des apports propres à ses compétences, des moyens d atteindre l objectif que s est fixé celui qui le consulte ou, tout au moins, à aider celui-ci à apprécier sa marge de manœuvre en l éclairant sur ses atouts et ses handicaps. Cette fonction est davantage en prise avec l action. En dépit de cette distinction, les deux fonctions ne sont pas étrangères l une à l autre. C est pourquoi, elles se superposent couramment ; un expert peut être un conseil. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 17

18 Les deux fonctions exigent rigueur, objectivité et indépendance intellectuelle. La deuxième suppose probablement davantage d engagement et de capacité à supporter une responsabilité plus lourde. V-II Un expert dans une discipline ne doit pas se faire expert ou conseil dans une discipline où il n a pas compétence. C est une question d honnêteté intellectuelle, autant que de respect des limites institutionnelles susceptibles de borner les champs d intervention de différents experts et/ou conseils dans l intérêt le plus souvent des usagers. La CFDT demande donc aux experts et conseils, avec qui elle contracte, d éclairer ses structures et ses équipes sur les limites de leurs compétences respectives, de s efforcer de dissiper les confusions actuellement perceptibles. Elle entend contribuer elle-même à cet effort. La confédération demande corrélativement à ses experts et conseils en différentes disciplines de développer entre eux des partenariats, des pratiques de coopération, voire d intervention conjointe. VI. LE CHOIX DES SIGNATAIRES La confédération proposera aux responsables de cabinets d expertise la signature de cette charte qui engage l ensemble des intervenants dudit cabinet. Cette charte doit être déclinée par les fédérations et les régions qui le souhaitent avec des partenaires qui leur seraient spécifiques et choisis au sein du Réseau Avec pour les avocats. Concernant les avocats : La CFDT reconnaît la compétence spécifique des avocats à remplir la fonction de conseil juridique auprès des équipes et structures dans les domaines suivants. Assistance tactique dans les situations à risque contentieux élevé (en raison de la contribution de leur pratique contentieuse à leur compétence, et de leur obligation d assurer, le cas échéant, «le service après-vente» de leurs conseils). Ces situations sont, notamment, les restructurations, entendues aussi bien dans le sens de «licenciements collectifs» que dans celui de «modification des frontières de l entreprise». La CFDT attachera un prix particulier à ce que les avocats remplissent leurs missions de conseil dans ces circonstances en coopération étroite avec les experts-comptables. Aide à la conception et rédaction de projets d accords collectifs ou d amendements à des projets d accords ou de dispositifs d origine patronale (ex. plans sociaux, accords dits de méthode). De même, pour tout acte de portée juridique, susceptible de jalonner le fonctionnement d un CE (règlement intérieur, contrats avec ses prestataires, règlement général d accès à ses prestations, conception et mise au point de formule de coopération entre plusieurs CE, etc.). Dans certains domaines où la prise en compte du droit est particulièrement imbriquée avec d autres disciplines, les coopérations doivent, de même, être recherchées prioritairement. Le Réseau Avec établit chaque année une liste de cabinets «spécialisés» et clairement identifiés comme adhérents à cette charte. Cette liste est publiée en annexe à la charte. RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 18

19 VII. SUIVI DE LA CHARTE Le suivi de la charte est assuré par le Secrétaire national ayant en charge la politique économique et celui ayant en charge la politique juridique. Toute modification du périmètre des «partenaires privilégiés» fera l objet d une communication spécifique auprès des signataires. Cette mise en valeur des signataires a pour objet d éclairer nos responsables et militants sur les compétences et le respect des valeurs des partenaires. En cas de non-respect de cette charte par un signataire, après interpellation de ce dernier, la Commission exécutive pourra décider de l arrêt immédiat des engagements de la confédération, et de l information des militants de cette situation. Paris, juillet Véronique DESCACQ CFDT Marie-Andrée SEGUIN CFDT Jean-Paul Raillard Syndex Christian Pellet Sextant Serge GAUTHRONET Arete Béatrice BURSZTEIN Réseau Avec RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 19

20 ADRESSES DES EXPERTS ARETE 3/5, rue de Metz PARIS Tél. : Fax : contact@arete.fr SEXTANT EXPERTISE SA 27, boulevard des Italiens PARIS Tél. : Fax : SYNDEX 22, rue Pajol PARIS Cedex 18 Tél. : Syndex Aix-en-Provence 1, rue de la Masse Aix en Provence Tél. : Fax : contact-paca@syndex.fr Syndex Angers 122, rue du Château d Orgemont Angers Tél. : Fax : contact-pdl@syndex.fr Syndex Besançon 4, rue de Franche Comté École-Valentin Tél. : Fax : contact-bfc@syndex.fr Syndex Bordeaux 8, avenue de la Madeleine Gradignan cedex Tél. : Fax : contact-aqu@syndex.fr Syndex Caen 4, avenue de Cambridge Hérouville-Saint-Clair Tél. : Fax : contact-bzh@syndex.fr Syndex Clermont-Ferrand 80, bd François Mitterrand Clermont Ferrand Tél. : Fax : contact-auv@syndex.fr Syndex Dijon 23, place Bossuet Dijon Tél. : Fax : contact-bfc@syndex.fr Syndex La Rochelle Le Sextant - rue de la Trinquette La Rochelle Tél. : Fax : contact-pdl@syndex.fr RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 20

21 Syndex Lille 5, avenue de la Créativité Villeneuve d Ascq Tél. : Fax : contact-nord@syndex.fr Syndex Lyon 119, bd de Stalingrad Villeurbanne cedex Tél. : Fax : contact-ra@syndex.fr Syndex Montpellier 6, rue Paladihle Montpellier Tél. : Fax : contact-lr@syndex.fr Syndex Nancy 7, allée de la forêt de la Reine Vandœuvre-lès-Nancy Tél. : Fax : contact-lor@syndex.fr Syndex Nantes 33, bd Albert Einstein - CS Nantes cedex 3 Tél. : Fax : contact-pdl@syndex.fr Syndex Paris 22, rue Pajol Paris cedex 18 Tél. : Fax : contact-idf@syndex.fr Syndex Quimper 1, avenue du Braden Quimper Tél. : Fax : contact-bzh@syndex.fr Syndex Rennes 17, rue de la Donelière - CS Rennes cedex Tél. : Fax : contact-bzh@syndex.fr Syndex Strasbourg 3, rue du Verdon Strasbourg Tél. : Fax : contact-als@syndex.fr Syndex Toulouse 35, rue Georges Ohnet Toulouse Tél. : Fax : contact-mp@syndex.fr RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 21

22 LISTE DES AVOCATS ET CABINETS SPÉCIALISÉS PROPOSÉS PAR LE RÉSEAU AVEC POUR L EXÉCUTION DE MISSIONS D EXPERTISE OU DE CONSEIL ALSACE Luc DORR 63, avenue des Vosges STRASBOURG Tél. : Fax : luc.dorr@wanadoo.fr Laurence GENTIT 12, rue de Châtenois STRASBOURG T F l.gentit.avocat@wanadoo.fr AUVERGNE Jean-Louis BORIE (SCP BORIE & associés) 63, boulevard Berthelot CLERMONT FERRAND T F avocats@borie.net BRETAGNE Laurent BEZIZ 20, rue des Fossés RENNES Tél. : Fax : beziz@lbba.fr ILE DE FRANCE Rachid BRIHI 18, bd de Montmartre PARIS Tél. : Fax : r.brihi@grumbach.fr Béatrice BURSZTEIN 5, rue d Argout PARIS Tél. : Fax : bursztein@lbba.fr Jonathan CADOT 30, rue Pierre Sémard PARIS Tél. : j.cadot@lepany.fr Roger KOSKAS 18, boulevard Montmartre PARIS Tél. : Fax : r.koskas@grumbach.fr RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 22

23 Pascale LEGENDRE 11, rue de Châteaudun PARIS Tél. : Fax : lps.legendre@yahoo.fr Henri-José LEGRAND 5, rue d Argout PARIS Tél. : Fax : legrand@lbba.fr Franceline LEPANY 30, rue Pierre Sémard PARIS Tél. : Fax : f.lepany@lepany.fr Marc ROBERT 40, rue des Ecoles PARIS T F robert.avocat@altalexis.fr Daniel SAADAT 11, rue de Châteaudun PARIS Tél. : Fax : lps.saadat@yahoo.fr François THOMAS 8 ter, boulevard Henri Barbusse MONTREUIL Tél. : Fax : f.thomas@avocatline.com LORRAINE Laurent PATE 21, rue Belle Isle METZ Tél. : cabinetpate@orange.fr MIDI PYRENÉES Jean-Marc DENJEAN 20, rue Sainte Ursule TOULOUSE T F PAYS DE LA LOIRE Fabienne LECONTE 70, rue Jean Jaurès REZE Tél. : Fax : fabienne.leconte@avocat-conseil.fr PACA Philippe MOURET 14, collège de la Croix AVIGNON Tél. : Fax : mouret.avocat@wanadoo.fr RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 23

24 RHÔNE-ALPES Eladia DELGADO 119, avenue de Saxe LYON Tél. : Fax : delgado@delgado-meyer-avocats.fr Georges MEYER 119 avenue de Saxe LYON Tél. : Fax : meyer@delgado-meyer-avocats.fr Myriam PLET 119, avenue de Saxe LYON Tél. : Fax : m.plet.avocat@wanadoo.f RÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL AUPRÈS DES ÉQUIPES CFDT 24 CFDT Service Information Communication - Août 2012.

auprès des équipes CFDT

auprès des équipes CFDT ÔLE DE L EXPERT ET DU CONSEIL auprès des équipes CFDT sommaire Préface... 3 Présentation de fiches de bonnes pratiques... 4 Préparation des négociations annuelles obligatoires... 4 Accord de méthodologie

Plus en détail

DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE

DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS

Plus en détail

FAIRE APPEL À UN EXPERT

FAIRE APPEL À UN EXPERT FAIRE APPEL À UN EXPERT Décembre 2011 Afin d être en mesure d exercer ses missions, le comité d entreprise dispose de nombreux moyens d information, notamment par les documents que doit lui communiquer

Plus en détail

Loi de sécurisation de l emploi

Loi de sécurisation de l emploi Novembre 2013 Loi de sécurisation de l emploi Le guide 4 Editorial Une nouvelle donne pour le dialogue social dans l entreprise et un défi pour ses acteurs L introduction de la loi de sécurisation de l

Plus en détail

Le point de vue de l UNSA

Le point de vue de l UNSA Le point de vue de l UNSA La GPEC, une opportunité pour le dialogue social dans l entreprise La gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) est devenue objet de négociation dans l entreprise

Plus en détail

Loi sur la sécurisation de l emploi

Loi sur la sécurisation de l emploi Dossier de presse JUIN 2013 Loi sur la sécurisation de l emploi contact presse : cab-tef-presse@cab.travail.gouv.fr Tél. 01 49 55 31 02 1 Sommaire Les origines du texte page 3 De la grande conférence à

Plus en détail

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations

Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations 11ème Université Interprofessionnelle Mercredi 25 septembre 2013 Espace Tête d Or - Villeurbanne Crise, transmission, concurrence L entreprise face à ses mutations Atelier n 1 Audit social et diagnostic

Plus en détail

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES ACCORD DISTRIBUTION CASINO FRANCE RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES La Direction de Distribution Casino France, représentée par M. Gérard MASSUS, Directeur des Ressources

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3034 Convention collective nationale IDCC : 1090. SERVICES DE L AUTOMOBILE (Commerce

Plus en détail

Exercice 2005. Mesdames, Messieurs,

Exercice 2005. Mesdames, Messieurs, SQLI Société anonyme à Directoire et Conseil de surveillance Au capital social de 1.332.339,15Euros Siège social : Immeuble Le Pressenssé 268, avenue du Président Wilson 93200 La Plaine Saint-Denis RCS

Plus en détail

ACCORD SUR LE DROIT DES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL ET DES ORGANISATIONS SYNDICALES DE LA CAISSE D EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES

ACCORD SUR LE DROIT DES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL ET DES ORGANISATIONS SYNDICALES DE LA CAISSE D EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES ACCORD SUR LE DROIT DES INSTANCES REPRESENTATIVES DU PERSONNEL ET DES ORGANISATIONS SYNDICALES DE LA CAISSE D EPARGNE AQUITAINE POITOU-CHARENTES ENTRE LES SOUSSIGNES : La Caisse d Epargne Aquitaine Poitou-Charentes,

Plus en détail

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour

COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014. Ordre du jour COMMISSION PARITAIRE REGIONALE EMPLOI FORMATION Présents : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, GIM, UIMM 77 D ILE DE FRANCE SEANCE DU 4 FEVRIER 2014 Ordre du jour 1. Adoption du compte-rendu de la séance du

Plus en détail

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE

Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions

Plus en détail

La Base de Données Economiques et Sociales. Philippe VIVIEN 06 10 27 68 08 Philippe.vivien@alixio.fr

La Base de Données Economiques et Sociales. Philippe VIVIEN 06 10 27 68 08 Philippe.vivien@alixio.fr La Base de Données Economiques et Sociales Philippe VIVIEN 06 10 27 68 08 Philippe.vivien@alixio.fr Sommaire 1. Présentation de la démarche 2. Présentation des contenus de la BDES 3. Préparation de la

Plus en détail

Les Groupements de coopération

Les Groupements de coopération Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre

Plus en détail

Exercice 2007. Mesdames, Messieurs,

Exercice 2007. Mesdames, Messieurs, SQLI Société anonyme à Directoire et Conseil de surveillance Au capital social de 1.534.525,45 uros Siège social : Immeuble Le Pressenssé 268, avenue du Président Wilson 93200 La Plaine Saint-Denis RCS

Plus en détail

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale

MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3257 Convention collective nationale IDCC : 1601. BOURSE (3 e édition. Juin 2004) ACCORD DU 8 JUILLET 2005

Plus en détail

SÉCURISATION DE L EMPLOI

SÉCURISATION DE L EMPLOI Accompagner les dirigeants de l ess dans la gestion des ressources humaines DOSSIER JURIDIQUE SÉCURISATION DE L EMPLOI Réalisé par : La Loi sur la sécurisation de l emploi La loi de sécurisation de l emploi

Plus en détail

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013

ACCORD DU 27 NOVEMBRE 2013 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796. Personnel de direction Brochure

Plus en détail

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007

ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative

Plus en détail

Veille sociale au 12 septembre 2014

Veille sociale au 12 septembre 2014 ( Veille sociale au 12 septembre 2014 La veille sociale présentée dans cette revue actualise la veille présentée le mois dernier. Les sujets qui n ont pas évolué ne sont pas repris. ( I ) Projets sociaux

Plus en détail

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE

Plus en détail

mode d emploi Représentativité des syndicats

mode d emploi Représentativité des syndicats mode d emploi Représentativité des syndicats LA LOI DU 20 AOUT 2008 transpose dans le Code du travail les règles sur la représentativité et la négociation collective, telles que définies par les partenaires

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

TRAVAIL EMPLOI FORMATION

TRAVAIL EMPLOI FORMATION TRAVAIL EMPLOI FORMATION Accès aux documents administratifs Comité d entreprise MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL Direction générale du travail Service

Plus en détail

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part,

Convention. Entre. ci-après désignée «Bureau de Business France en Pologne» d une part, Convention Entre Business France établissement public industriel et commercial, immatriculé au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 451 930 051, dont le siège social est sis 77

Plus en détail

Accompagnement RH des projets de transformation des organisations

Accompagnement RH des projets de transformation des organisations Accompagnement RH des projets de transformation des organisations La conduite d un projet de réorganisation : Un exercice complexe ET délicat! Confrontée à une dégradation continue de sa compétitivité,

Plus en détail

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT

Introduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte

Plus en détail

Cet accord est la première illustration de l application de la loi du 31 janvier 2007 de modernisation du dialogue social.

Cet accord est la première illustration de l application de la loi du 31 janvier 2007 de modernisation du dialogue social. Ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville Direction générale du travail Sous-direction des relations individuelles du travail Bureau des relations individuelles

Plus en détail

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE

CHAPITRE I ER NÉGOCIATION DE BRANCHE MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Convention collective IDCC : 1468. CRÉDIT MUTUEL (29 juin 1987) AVENANT DU 24 SEPTEMBRE

Plus en détail

APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX

APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX Pôle Entreprises Service Accompagnement et Projets d entreprises APPEL A MANIFESTATION D INTERET SELECTION D UN GESTIONNAIRE D UN FONDS PROFESSIONNEL DE CAPITAL INVESTISSEMENT CIBLANT LE DOMAINE DES MATERIAUX

Plus en détail

Description du contenu de la loi «sécurisation de l emploi» adoptée par le Parlement

Description du contenu de la loi «sécurisation de l emploi» adoptée par le Parlement Description du contenu de la loi «sécurisation de l emploi» adoptée par le Parlement Article 1 : complémentaire santé et portabilité Description : Cet article traduit légalement la généralisation de la

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance

Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC

FICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente

Plus en détail

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise

La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise 50 salariés et plus / groupes de distribution (GDSA) dans la Branche des Services de l Automobile GPEC La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences dans votre entreprise Anticiper les enjeux

Plus en détail

Organismes mutualistes Activités d assurance Relevons ensemble vos défis. kpmg.fr

Organismes mutualistes Activités d assurance Relevons ensemble vos défis. kpmg.fr Organismes mutualistes Activités d assurance Relevons ensemble vos défis kpmg.fr Les défis du futur Une réponse adaptée Les mutuelles du livre II du Code de la mutualité font face à de réelles mutations,

Plus en détail

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»

Programme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com

Plus en détail

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat

Aide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION

Plus en détail

Compte rendu de la réunion du 12 mai 2015

Compte rendu de la réunion du 12 mai 2015 Compte rendu de la réunion du 12 mai 2015 COMPTE RENDU DE LA COMMISSION NATIONALE EMPLOI HYPERMARCHES Présents pour la Direction : Mesdames Agnès Bekourian et Joanne Jeannoutot Délégation Force Ouvrière

Plus en détail

Editorial Elus de CE, délégués du personnel, membres

Editorial Elus de CE, délégués du personnel, membres Sommaire Le droit à formation 1 - Droit à la formation 2 des représentants du personnel Des élus titulaires du CE................................ 2 Des membres du CHSCT............................... 2

Plus en détail

LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081

LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 Montreuil, le 16/10/2008 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE DIRRES LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 OBJET : Loi n 2008-596 du 25 juin 2008 portant modernisation du marché du

Plus en détail

Actu Juridique & Sociale Dynamique Entreprise Avril 2015

Actu Juridique & Sociale Dynamique Entreprise Avril 2015 LE POINT SUR La base de données unique (BDU) dans les entreprises de moins de 300 salariés Afin de renforcer l information des instances représentatives du personnel, la loi du 14 juin 2013 a créé un nouveau

Plus en détail

Que pensez-vous des formes atypiques d emploi, notamment du portage salarial et de l auto-entreprenariat

Que pensez-vous des formes atypiques d emploi, notamment du portage salarial et de l auto-entreprenariat Entretien avec Ivan Béraud et Christian Janin Des formes d emploi à encadrer Pour une sécurisation des parcours professionnels La CFDT et la fédération Culture, Conseil, Communication (F3C) ne sont pas

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011

ACCORD DU 15 DÉCEMBRE 2011 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3364 Convention collective nationale RÉGIME SOCIAL DES INDÉPENDANTS IDCC : 2796.

Plus en détail

ANIMATION / Prévoyance

ANIMATION / Prévoyance ANIMATION / Prévoyance C5-012 Remplace C5-010 et C5-011 La mise en place de la complémentaire santé dans la branche Animation La loi du 14 juin 2013 de Sécurisation de l emploi a généralisé la couverture

Plus en détail

Systèmes et réseaux d information et de communication

Systèmes et réseaux d information et de communication 233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques

Plus en détail

ACCORD SUR LE TELETRAVAIL

ACCORD SUR LE TELETRAVAIL ACCORD SUR LE TELETRAVAIL 1 PREAMBULE 3 CHAPITRE I 4 CHAMPS D APPLICATION 4 ARTICLE 1 DEFINITION DU TELETRAVAIL A DOMICILE 4 ARTICLE 2 BENEFICIAIRES 4 CHAPITRE II 5 PRINCIPES GENERAUX D ORGANISATION 5

Plus en détail

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors

Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mobilisation en faveur de l emploi des seniors Mesures retenues par le Gouvernement à l issue de la concertation avec les partenaires sociaux dans le cadre du rendez-vous 2008 sur les retraites Dès la

Plus en détail

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :

blgpec : Où en est mon établissement? Sommaire : 2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet

Plus en détail

Pacte de responsabilité : le point sur les négociations Les accords signés, les négociations en cours, les échecs

Pacte de responsabilité : le point sur les négociations Les accords signés, les négociations en cours, les échecs ------------------------------------------ Page 1 Source : Liaisons Sociales Quotidien 12 février 2015 Pacte de responsabilité : le point sur les négociations Les accords signés, les négociations en cours,

Plus en détail

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire

Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de

Plus en détail

ACCORD D ENTREPRISE RELATIF AU DON DE JOURS DE REPOS

ACCORD D ENTREPRISE RELATIF AU DON DE JOURS DE REPOS ACCORD D ENTREPRISE RELATIF AU DON DE JOURS DE REPOS AUX PARENTS D UN ENFANT GRAVEMENT MALADE Préambule Lors de la négociation de l accord «Nouveau Contrat Social», les Organisations Syndicales ont fait

Plus en détail

Modalités de prise en charge

Modalités de prise en charge ATTENTION : Certaines des modalités de prise en charge de l année 2015 pourront faire l objet de modifications en cours d année. 2015 Modalités de prise en charge Fonds paritaire interprofessionnel de

Plus en détail

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014 CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel

Plus en détail

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015

LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 LOI n 2013-504 du 14 juin 2013 relative à la sécurisation de l emploi (1) Version consolidée au 4 avril 2015 Chapitre Ier : Créer de nouveaux droits pour les salariés Section 1 : De nouveaux droits individuels

Plus en détail

Gestion Participative Territoriale :

Gestion Participative Territoriale : !!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet

Plus en détail

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines

CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous

Plus en détail

Les ressources humaines

Les ressources humaines Crédit photo : Reza Estakhrian/Stone Déterminer la couverture d un risque, cerner les besoins des assurés et y répondre sont des opérations complexes et en grande partie immatérielles qui font de l assurance

Plus en détail

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires

ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

Projet d accord national interprofessionnel sur la sécurisation de l emploi

Projet d accord national interprofessionnel sur la sécurisation de l emploi Projet d accord national interprofessionnel sur la sécurisation de l emploi Préambule Les salariés comme les chefs d entreprises de France sont, comme leurs homologues européens, confrontés à des bouleversements

Plus en détail

ACCORD DU 24 JUIN 2010

ACCORD DU 24 JUIN 2010 MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE

Plus en détail

1- Une situation économique et politique dégradée

1- Une situation économique et politique dégradée Le 9 Avril 2015 Intervention Elisabeth Le Gac Assemblée générale URI CFDT Rhône-Alpes Préambule : L activité présentée n est pas exhaustive du travail réalisé par l interpro en Rhône-Alpes. La présentation

Plus en détail

Fiche n 1 Procédure de mise en œuvre d un licenciement économique collectif donnant lieu à un plan de sauvegarde de l emploi

Fiche n 1 Procédure de mise en œuvre d un licenciement économique collectif donnant lieu à un plan de sauvegarde de l emploi Fiche n 1 Procédure de mise en œuvre d un licenciement économique collectif donnant lieu à un plan de sauvegarde de l emploi Les dispositions sont applicables aux entreprises de 50 salariés et plus, en

Plus en détail

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics

Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE

Plus en détail

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014

Réforme de la politique de la ville. Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Réforme de la politique de la ville Rencontre territoriale (Auvergne, Bourgogne, Rhône-Alpes) Lyon - 8 juillet 2014 Restitution de l atelier n 3 : Intitulé : Les communes et agglomérations concernées par

Plus en détail

Dillenschneider Favaro & Associés

Dillenschneider Favaro & Associés Dillenschneider Favaro & Associés cabinet d avocats paris luxembourg une histoire commune Des expériences professionnelles différentes et des expertises complémentaires ont fondé une histoire commune quand

Plus en détail

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant www.rsi.fr Le RSI a pour mission d assurer la protection sociale obligatoire de 6,1 millions de chefs d entreprise indépendants actifs

Plus en détail

Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée

Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée Signature de la nouvelle Convention nationale de partenariat pour la lutte contre le travail illégal dans le secteur de la sécurité privée DOSSIER DE PRESSE Mercredi 12 décembre 2012 1- Communiqué de presse

Plus en détail

Le fonctionnement du CHSCT

Le fonctionnement du CHSCT Le fonctionnement du CHSCT La personnalité civile du CHSCT La qualité à agir du CHSCT La capacité d ester en justice La prise en charge des frais de justice La capacité d acquérir et de contracter La responsabilité

Plus en détail

ACCORD GROUPE FRANCE. Un entretien annuel d activité transparent pour l écoute mutuelle et le développement des savoir-faire professionnels (TALK)

ACCORD GROUPE FRANCE. Un entretien annuel d activité transparent pour l écoute mutuelle et le développement des savoir-faire professionnels (TALK) ACCORD GROUPE FRANCE Un entretien annuel d activité transparent pour l écoute mutuelle et le développement des savoir-faire professionnels (TALK) Entre: Monsieur Yves BAROU, Directeur des Ressources Humaines

Plus en détail

mode d emploi(s) , source de ressources twitter.com/dtalents

mode d emploi(s) , source de ressources twitter.com/dtalents mode d emploi(s) twitter.com/dtalents, source de ressources 2 MODES D EMPLOI(S) 1. Sans Dtalents 2. Avec Dtalents Les 4 atouts principaux de Dtalents : Un engagement social total : garantie et paiement

Plus en détail

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE

UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les

Plus en détail

Accord relatif à l activité de portage salarial

Accord relatif à l activité de portage salarial Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu

Plus en détail

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP

«TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP «TRANSMÉA», UN FONDS UNIQUE DE CAPITAL INVESTISSEMENT DÉDIÉ AUX RES ORGANISÉS EN SCOP I. Présentation de l action La Région Rhône-Alpes a lancé en 2007, en partenariat avec l Union régionale des Scop (Urscop),

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

A J C AVOCATS JURISCONSEIL SOCIÉTÉ D AVOCATS INTER BARREAUX CONSEIL FISCAL, JURIDIQUE ET SOCIAL

A J C AVOCATS JURISCONSEIL SOCIÉTÉ D AVOCATS INTER BARREAUX CONSEIL FISCAL, JURIDIQUE ET SOCIAL A J C AVOCATS JURISCONSEIL SOCIÉTÉ D AVOCATS INTER BARREAUX CONSEIL FISCAL, JURIDIQUE ET SOCIAL LE PARTENAIRE QUOTIDIEN ET PRIVILÉGIÉ DE LA PERFORMANCE DE VOTRE ENTREPRISE NOTRE CABINET Fruit de l évolution

Plus en détail

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le

Plus en détail

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en

Plus en détail

FONDS UNIQUE INTERMINISTERIEL DE SOUTIEN AUX PROJETS DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT COLLABORATIFS DES POLES DE COMPETITIVITE

FONDS UNIQUE INTERMINISTERIEL DE SOUTIEN AUX PROJETS DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT COLLABORATIFS DES POLES DE COMPETITIVITE FONDS UNIQUE INTERMINISTERIEL DE SOUTIEN AUX PROJETS DE RECHERCHE ET DEVELOPPEMENT COLLABORATIFS DES POLES DE COMPETITIVITE 13 e APPEL A PROJETS Les moyens destinés au soutien financier de l Etat en faveur

Plus en détail

Compagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique

Compagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique Compagnie Méditerranéenne d Analyse et d Intelligence Stratégique CMAIS - L intelligence au service de l informa on Veille Conseil Stratégie E-Réputaon Communicaon Geson des risques www.cmais-strat.com

Plus en détail

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015

La modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015 La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte

Plus en détail

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU

Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU Introduction à l enquête 2012 «Organisation fonctionnelle des équipes». ADBU NB : les notes font référence au diaporama de synthèse de l enquête en ligne sur le site de l'adbu Comment les SCD tentent-ils

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DU DIALOGUE SOCIAL CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n 3255 Convention collective nationale IDCC : 1619. CABINETS DENTAIRES ACCORD DU 28 FÉVRIER 2014 RELATIF AU TEMPS

Plus en détail

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?

Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte

Plus en détail

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon

Édito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise

Plus en détail

CONSEIL AUX PERSONNES CONSEIL AUX ORGANISATIONS

CONSEIL AUX PERSONNES CONSEIL AUX ORGANISATIONS CONSEIL AUX PERSONNES CONSEIL AUX ORGANISATIONS ... le professionnalisme des consultants BPI group et la qualité du pilotage des missions nous permettent de déployer nos projets de transformation en toute

Plus en détail

Les projets d investissement en PME

Les projets d investissement en PME Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser

Plus en détail

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical, Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE

Plus en détail

Programme "Conception et simulation" COSINUS Edition 2009. Projet

Programme Conception et simulation COSINUS Edition 2009. Projet Projet Numéro d'ordre du projet : Acronyme du projet : Titre du projet : Coordonnateur du projet (nom/laboratoire) : Thématique principale : Montant total de l'aide demandée (en k ) : Durée du projet :

Plus en détail

«Protection sociale complémentaire et obligation du chef d'entreprises : atouts pour de nouvelles missions rémunératrices»

«Protection sociale complémentaire et obligation du chef d'entreprises : atouts pour de nouvelles missions rémunératrices» «Protection sociale complémentaire et obligation du chef d'entreprises : atouts pour de nouvelles missions rémunératrices» N 2/automne 2005 Supplément du francilien N 51 Revue de l Ordre des experts-comptables

Plus en détail

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE

1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»

Plus en détail

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions

CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de

Plus en détail

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE

CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L AMF ET RTE CONVENTION DE PARTENARIAT ENTRE L ASSOCIATION DES MAIRES DE FRANCE ET RTE Entre L Association des Maires de France, sise 41 quai d Orsay, 75343 Paris cedex

Plus en détail

Avenant n 120 du 15/09/2008 relatif au CET

Avenant n 120 du 15/09/2008 relatif au CET Avenant n 120 du 15/09/2008 relatif au CET Article 1 : Il est créé un chapitre 10 dans la convention collective de l animation intitulé compte épargne temps dont les dispositions sont les suivantes : Préambule

Plus en détail

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier

Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit

Plus en détail