La salle de surveillance post-interventionnelle
|
|
- Anne Lapierre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La salle de surveillance post-interventionnelle «Surveillance infirmière» Grégory GUILLAN Formateur I.F.S.I. Charles Foix Novembre 2010 Gr.GU.11/10 1
2 Objectifs de la séance Définir la phase de réveilr Connaître la législation l relative à la SSPI Citer les différentes anesthésies sies et les médicaments m utilisés s pour l anesthl anesthésie sie générale g (indications et surveillances) Expliquer la fonction et les missions de la SSPI Nommer les différentes complications possibles en post-op opératoire et la surveillance associée Décrire l arrivl arrivée e et l installation l du patient en SSPI Connaître les critères res de sortie Gr.GU.11/10 2
3 Plan Introduction Historique Cadre législatifl Les différentes anesthésies sies Pharmacologie Les missions de la SSPI Surveillance du patient en SSPI Accueil du patient en SSPI Les complications Surveillance de l anesthl anesthésie sie locale et loco-régionale Les critères res de sortie de SSPI Conclusion Gr.GU.11/10 3
4 Introduction Le réveil r débute d à la fin de l intervention l chirurgicale et se termine lorsque le patient a récupr cupéré une conscience et des fonctions vitales compatibles avec une autonomie complète. C est une période p variable puisqu elle est fonction de l acte l chirurgical, de l anesthl anesthésie sie et des antécédents de chacun. C est une période p à risque durant laquelle les accidents, prévisibles ou non, peuvent être nombreux et graves. Une surveillance s impose s donc dès d s la fin de l intervention, l y compris pendant le transfert du patient vers une structure adaptée: la SSPI Gr.GU.11/10 4
5 HISTORIQUE Gr.GU.11/10 5
6 1873: 1ère 1 ébauche de salle de réveil r dans le massachusett Prévenir des complications des anesthésies sies par inhalation. 1970: «surveillance en un même lieu et équipe entraînée», score d évaluation Circulaire du 30 avril 1974: «les patients doivent être rassemblés s dans un local spécialis cialisé équipé d un poste d eau, d une d paillasse, de fluides, et de prises de courant nécessaires n à la surveillance des opérés s et aux gestes de sauvegarde» 1980: enquête épidémiologique de l INSERMl 42% accidents d anesthd anesthésie sie pendant le réveilr 50 décès d s ou comas sur 83 au cours du réveilr 50% de la totalité des accidents pendant la 1ère 1 heure post-anesth anesthésiquesique Gr.GU.11/10 6
7 DECRET du 5 décembre d 1994: «la SSPI est obligatoire,( ) ) au moins 2 agents présents en SSPI, dont l un l est obligatoirement 1 IDE, si possible IADE. Les horaires d ouverture d sont adaptés s au programme opératoire. Obligation de transmissions écrites entre le bloc et la SSPI. Le service d hospitalisation» 1999: 1 mort pour anesthésies sies contre 1 mort pour anesthésies sies en 1980 Gr.GU.11/10 7
8 CADRE LEGISLATIF DECRET du 5 décembre d 1994 Portant sur la sécurits curité anesthésique sique DECRET N N du 29 juillet 2004 Relatif aux actes professionnels et à l exercice de la profession d infirmier. Gr.GU.11/10 8
9 DECRET du 5 décembre 1994 Portant sur la sécurité anesthésique. Art. D «pour tout patient dont l él état nécessite n une anesthésie sie générale g ou locorégionale,, les établissements de santé ( )) assurent les garanties suivantes: 1.. Une consultation pré anesthésique sique lorsqu il s agit s d une d intervention programmée 2.. Les moyens nécessaires n à la réalisation r de cette anesthésie sie 3.. Une surveillance continue après l intervention 4.. Une organisation permettant de faire face à tout moment, à une complication liée à l intervention ou à l anesthésie sie effectuée. e.» Gr.GU.11/10 9
10 Art. D Surveillance continue: «1.. Contrôler les effets résiduels r des médicaments m anesthésiques siques et leur élimination 2.. Faire face aux complications éventuelles liées à l intervention et/ou l anesthl anesthésiesie 3.. En salle et pendant le transfert 4.. ( )( ) autonomie respiratoire, équilibre circulatoire, récupération neurologique.» Art. D Lieu: «dans une salle de surveillance post-interventionnelle» Art. D Localisation, capacité: «à proximité des sites d anesthd anesthésie, sie, regroupement» «capacité minimale de 4 postes» Gr.GU.11/10 10
11 Art. D Le personnel: Un ou plusieurs agents paramédicaux affectés exclusivement à la SSPI Le nombre d agents d est fonction du nombre de patients Au moins un IDE formé à ce type de surveillance, si possible IADE Sous la responsabilité médicale d un d anesthésiste siste réanimateur qui décide d du transfert en secteur d hospitalisation Gr.GU.11/10 11
12 DECRET N du 29 juillet 2004 relatif aux actes professionnels et à l exercice de la profession infirmière. Art. R «l infirmier (e) est habilité à accomplir sur prescription médicale écrite, qualitative et quantitative, datée e et signée, les actes et soins suivants, à condition qu un un médecin m puisse intervenir à tout moment: 1.. ( )( 8.. Soins et surveillance des personnes en post-op opératoire sous réserve r des dispositions prévues à l article R » Gr.GU.11/10 12
13 LES DIFFERENTES ANESTHESIES Gr.GU.11/10 13
14 L anesthésie Suppression des sensations en déprimant d le système nerveux central ou périphérique rique de manière réversible, r tout en préservant les grandes fonctions vitales Anesthésie sie généraleg Anesthésie sie loco-régionale Anesthésie sie locale Gr.GU.11/10 14
15 L anesthésie générale Perte réversible r de la conscience et de toute sensation, volontairement provoquée, dans un but diagnostic ou thérapeutique, dans laquelle les réflexes r sont diminués s ou abolis. Gr.GU.11/10 15
16 L anesthésie loco-régionale Anesthésie sie du territoire desservi par un nerf ou un groupe de nerf par injection d un d anesthésique sique local à proximité d un nerf. +/- une sédation s à l aide d une d benzodiazépine ou un hypnotique. Gr.GU.11/10 16
17 A.L.R. médullairem Permet l anesthl anesthésie sie du bas du corps grâce à un produit déposd posé à proximité de la moelle, dans le LCR (rachianesthésie) sie) ou à proximité des racines nerveuses au niveau des méninges (péridurale) Gr.GU.11/10 17
18 A.L.R. périphériquerique Permet d agir d sur un membre ou une partie de membre. La localisation du nerf est réalisr alisée à l aide d un stimulateur nerveux ou sous échographie. Gr.GU.11/10 18
19 Anesthésie sie locale Se limite à la région r visée e par l intervention l par injection d anesthd anesthésiques siques locaux dans le tissus ou application de crème. Gr.GU.11/10 19
20 Pharmacologie «Les médicaments de l anesthésie générale et leurs effets» Les hypnotiques: Perte de conscience Les morphiniques: Analgésie Les curares: Relâchement musculaire Gr.GU.11/10 20
21 Les hypnotiques PENTOTHAL Phénobarbital DIPRIVAN Propofol ETOMIDATE Hypnomidate AVANTAGES Faible coût t (longue durée) Estomacs pleins, maternité Intubation rapide Demi vie courte 10 min Demi vie 4 à 5h Stabilité cardio-vasculaire Action rapide Anti-convulsivant INCONVENIENTS Nécroses cutanées Hypo T.A. Douleur à l injection Dim. T.A. majeure Coût élevé Myoclonie à l induction Vomissements post-op opératoire KETAMINE Ketalar Demi vie 2 à 3h Action rapide Effet broncho-dilatateur Troubles psychiques graves Hallucinations et agitation Entretien de l anesthésie par inhalation de protoxyde d azote. Gr.GU.11/10 21
22 Les morphiniques Médicaments de l analgl analgésie, au voies d administrations d multiples Avantages: Antalgie Sédation Effets secondaires: Antagoniste: Stabilité hémodynamique Dépression respiratoire Nausées es- vomissements Rétention urinaire Constipation, rash cutané Antagoniste: NALOXONE (NARCAN*) Antagoniste de la dépression d respiratoire qui agit en 1 à 2 minutes. Ampoules de 0,4mg/ 1ml Gr.GU.11/10 22
23 Les morphiniques (suite) SUFENTANYL Sufentanyl RAPIFEN Alfentanyl ULTIVA. Remifentanyl FENTANYL Fentanyl MORPHINE Morphine Demi vie 2h30 Peu d accumulation d en PSE Bonne analgésie résidueller Demi vie 1h Prolongée e chez le sujet âgé ou cirrhotique Demi vie 3 min Utilisation en IV stricte Relais analgésique de qualité assez tôt En SSPI, relais titration morphine puis PCA. Demi vie 4h Accumulation doses répétéesr Risque de dépression d respi jusqu à 8h. Demi vie 2 à 3h Réduire les doses chez les personnes âgées et chez l insuffisant l rénal. r Gr.GU.11/10 23
24 Les curares Produits provoquant une paralysie musculaire plus ou moins longue. Les curares agissent par blocage de la jonction neuro-musculaire des muscles striés. s. La curarisation n est n possible que si l on l peut ventiler le patient. Ils n ont n pas d effet d central : la conscience est préserv servée. e. Ils n ont n pas d action d sur le muscle myocardique: muscle à fibres lisses. Exemples de curares: cellocurine., tracrium., nimbex. Antagoniste: NEOSTIGMINE (Prostigmine. )) associé à l atropine. en raison de la bradycardie et de l hyper l salivation provoquées. Amp.. Dosées à 0,5mg / 1ml Gr.GU.11/10 24
25 MISSIONS DE LA SSPI? Gr.GU.11/10 25
26 SSPI: un endroit spécifique Unité de soins Prise en charge précoce des suites opératoires Gr.GU.11/10 26
27 SSPI: un lieu ouvert sur l extl extérieur Hygiène rigoureuse Nombreuses allées et venues Climat propice au repos Respect de l intimitl intimité SSPI: une plaque tournante SSPI Gr.GU.11/10 27
28 SSPI: lieu de haute technicité Respirateurs Matériel nécessaire n à la réanimationr Electrocardiographe Matériel nécessaire n à la réintubation Aspirations Monitorage Capnographe Moniteurs de curarisation Gr.GU.11/10 28
29 SSPI: un endroit sécurisé Proximité du bloc opératoire Médecin anesthésiste siste réanimateur disponible Matériel fonctionnel et disponible Check liste quotidienne (médico dico-légale) Gr.GU.11/10 29
30 Mission Dépistage des complications post-anesth anesthésiques siques et post- opératoires Gr.GU.11/10 30
31 Surveillance du patient en SSPI Globale Clinique Monitorée Gr.GU.11/10 31
32 Accueil du patient en SSPI Transmissions entre IADE/MAR et IDE de SSPI Installation confortable rigoureuse adaptée à la chirurgie Feuille de surveillance spécifique (médico dico-légal) Respect des priorités Gr.GU.11/10 32
33 Gr.GU.11/10 33
34 Perfusion PCA PSE Thermomètre Scope Respirateur Réchauffeur Drainage Sonde vésicale Gr.GU.11/10 34
35 Les complications Hypothermie Respiratoires Cardio-vasculaires Douleur Neurologiques Rétention urinaire Nausées-vomissements Gr.GU.11/10 35
36 Complications respiratoires Vous prenez en charge Mme X opérée e ce jour d une d thyroïdectomie totale sous A.G. A son arrivée e en SSPI, la patiente est intubée e en ventilation spontannée, sa respiration est ample, et sa F.R est de 14 mvts/min, ses constantes vitales sont stables. Le medecin anesthésiste siste vous transmet une insuffisance rénale r connue avant l intervention. l L IADE extube Mme X sans soucis particuliers et repart au bloc opératoire accompagné du médecin. m Après s leur départ, d Mme X vomit. Le monitorage indique une saturation en oxygène à 90% et une FR à 8 mvts/min. A votre stimulation, Mme X prend deux grandes inspirations et se rendort. La saturation devient 92%. Gr.GU.11/10 36
37 Complications respiratoires Surveillances des effets résiduels des médicaments Hypnotiques Hypoventilation Morphiniques Obstruction des voies aériennesa Curares Perte de protection des voies aériennesa Gr.GU.11/10 37
38 Complications respiratoires (suite) Complications liées à l anesthésie: sie: Oedème laryngé Barotraumatisme Bronchospasme / laryngospasme Vomissements et inhalation Complications chirurgicales: Liées à la localisation Induites par la douleur Complications liées au patient: Gr.GU.11/10 38
39 Complications cardio-vasculaires Vous prenez en charge en SSPI Melle S, 27 ans, sans antécedants particuliers, qui vient d accoucher d par césarienne sous A.G. sans péridurale. p Le médecin m vous transmet ses constantes pré-op opératoires F.C. 100 battements/min et P.A. 12/6. La patiente était agitée e et anxieuse en induction. Après s 30 minutes de surveillance, vous constatez que Melle S présente une P.A. à 10/4 et une F.C. de 140 battements/min. Gr.GU.11/10 39
40 Complications cardio-vasculaires et hémodynamiques Poussées HTA Etiologies Douleur, stress, réveilr Hypo ou hypervolémie Signes HTA Hémorragie / hypovolémie IDM Troubles du rythme Acte chirurgical Trouble de l hémostasel Antécédents coronariens Hypothermie Hypovolémie Douleur Stress Hypovolémie HypoTA Tachycardie Anémie Peu de signes cliniques Troponine augmentée ECG modifié ECG modifié Gr.GU.11/10 40
41 Hypothermie Etiologies Température ambiante Anesthésie sie : vasodilatation, ventilation et perfusion Conséquences Frissons Augmentation de la consommation d O2 d (surtout myocarde) Traitement Réchauffement (vasodilatation / vasoplégie gie) Sédation prolongée Oxygénation Gr.GU.11/10 41
42 La douleur: les effets néfastes Cardio-vasculaires Psychologiques Respiratoires Douleur Attention: Certains facteurs influencent la douleur: Anxiété,, expériences antérieures, facteurs ethniques, religieux Gr.GU.11/10 42
43 La douleur Prévenir Analgésie per opératoire Position antalgique ALR Evaluer Echelle comportementale EVA, EVS, EVN Traiter Antalgiques, titration Traitements non médicamenteux Entretenir l analgésie PCA Gr.GU.11/10 43
44 Les nausées et vomissements Facteurs favorisants Les antalgiques et morphiniques Les produits anesthésiques siques L hyperventilation Le patient La chirurgie Traitements Fonction du protocole du service Traitements Gr.GU.11/10 44
45 Vous prenez en charge en SSPI M. G, 87 ans opéré d une fracture du col du fémur. f Ce patient présente en antécédents une HTA traitée e et bien équilibrée, un diabète non insulino-dépendant pendant. Au bloc opératoire, il bénéficie b d un d remplissage vasculaire pour compenser les pertes sanguines et hydrique de 2 litres de plasmion. et 1 litre de voluven.. M G est cohérent et calme à son arrivée e en salle de réveil. r Au bout de deux heures, vous constatez que M G est agité,, il essai de se lever de son lit. A votre arrivée, il se montre agressif, insultant et semble désorientd sorienté. Ses constantes vitales sont monitorées : F.C. 135 battements/min P.A. 180/97 Saturation 99% Gr.GU.11/10 45
46 Le globe vésical Etiologies Traitements Position allongée Remplissage Antécédents Technique d anesthd anesthésie sie et/ou chirurgie Signes Douleur et induration à la palpation de la région r pelvienne Tachycardie Hypo ou hypertension Agitation, confusion mentale Traitement Prévenir le MAR Sondage sur p/m Gr.GU.11/10 46
47 Complications neurologiques Evaluation: Conscience: : réponse r aux questions et/ou ordres simples Neurovégétative tative: : réflexes r de toux et déglutitiond Etiologies: Hypoxémie, hypothermie Traitements anesthésiques siques (retard d éd élimination et effets secondaires) Douleur Antécédents Signes Agitation, stress Somnolence, retard de réveilr Confusion et propos incohérents Gr.GU.11/10 47
48 Complications neuro (suite) Rôle IDE Rassurer Expliquer Situer Evaluer SSPI: Lieu de haute technicité Où la relation au patient est Primordiale. Gr.GU.11/10 48
49 Surveillance de l anesthésie loco-régionale Vous êtes en compagnie du médecin m anesthésiste siste en SSPI. Il souhaite réaliser r une anesthésie sie loco-régionale à visée analgésique à Melle T, 24 ans, pour une ostéosynth osynthèse se de l humérus droit. Le médecin m utilise comme anesthésique sique local 20 ml de naropéine ine. 7,5% qu il injecte sous échographie dans la région sus-claviculaire. Après s injection de 10 ml, Melle T décrit d des fourmillements dans la main droite. En la questionant d avantage elle vous décrit un gout métallique m dans la bouche, ainsi qu un un sentiment de malaise généralisg ralisé «je crois que je vais tomber dans les pommes» Gr.GU.11/10 49
50 Surveillance des anesthésies locales et loco -régionales Anesthésie sie locale: Complications allergiques et risque de choc vagal Anesthésie sie loco -régionale Complications neurologiques Complications vasculaires Complications respiratoires Rôle infirmier: Installation Surveillance de la levée e de l ALRl Analgésie préventive Gr.GU.11/10 50
51 Critère de sortie de SSPI Score d Aldrete modifié Score = 10 Activité motrice: motricité spontanée à la demande Respiration Circulation Conscience Saturation en oxygène Mobilise les 4 membres spontanément ou sur ordre Mobilise 2 membres Incapable de mobiliser les membres Respire profondément et tousse librement Ventilation limitée, superficielle ou dyspnée Apnée e (aucune activité respiratoire spontanée) PAS +/- 20% de la valeur pré-op opératoire PAS 20 à 50% de la valeur pré-op opératoire PAS +/- 50% de la valeur pré-op opératoire Parfaitement réveillr veillé Se réveille r à la demande Ne répond r pas aux ordres simples, aucun réveilr > > 92% à l air libre >92% avec complément ment d oxygd oxygène < 92% avec complément ment d oxygd oxygène Gr.GU.11/
52 Conclusion La période p post-op opératoire immédiate se caractérise rise par la survenue possible de diverses complications pouvant mettre en jeu le pronostic vital. La salle de surveillance post-interventionnelle est donc un passage nécessaire n pour la sûrets reté du patient opéré. C est un espace sécuriss curisé,, le personnel infirmier, placé sous la responsabilité d un MAR, est formé à la prévention, la détection d des complications ainsi qu à l utilisation de matériel spécifique. Gr.GU.11/10 52
53 La surveillance tient compte: Des complications de la chirurgie Hémorragie, hypovolémie mie,, douleur, infection, hypothermie Des complications de l anesthl anesthésiesie Respiratoires, hémodynamiques, h neurologiques. Hypothermie, globe vésical, v nausées, vomissements Des pathologies associées de chacun Les antécédents médicom dico-chirurgicaux chirurgicaux du patients Gr.GU.11/10 53
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailNotions de base Gestion du patient au bloc opératoire
Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailquelques points essentiels
actualisation de la conférence d experts sur l intubation difficile: SFAR, SRLF, SFMU, ADARPEF, CARO et CARORL quelques points essentiels Ann Fr Anesth Reanim 2008;27:3-14 - ventilation au masque difficile
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : ANESTHESIOLOGIE - REANIMATION CHIRURGICALE ADA - Acte d'anesthésie AFLB010 4 (7, F, S, U) 0 Anesthésie rachidienne au cours d'un
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailINFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE
SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailSédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement!
L E S S O I N S I N T E N S I F S Sédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement! par Jocelyn Brunet 3 Vous êtes de garde aux soins intensifs d un hôpital régional. M me Agitée,
Plus en détailCauses d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire
Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)
ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailINTUBATION DU NOUVEAU-NÉ LORS DE LA PRISE EN CHARGE PAR LES SMUR PÉDIATRIQUES : DONNÉES DE L ÉTUDE EPIPPAIN
INTUBATION DU NOUVEAU-NÉ LORS DE LA PRISE EN CHARGE PAR LES SMUR PÉDIATRIQUES : DONNÉES DE L ÉTUDE EPIPPAIN Dr Jean-Louis Chabernaud, Jocelyne Alexandre Hôpital A. Béclère (SAMU 92) Dr Noella Lodé Hôpital
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailCe document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67).
Cher Client, Ce document est destiné à vous permettre de découvrir l offre de formation du Centre d enseignement des soins d urgence du Bas-Rhin (CESU 67). Rattaché au pôle d anesthésie réanimations chirurgicales
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailAvis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailMinistère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier. Portfolio de l étudiant
Ministère chargé de la santé Diplôme d Etat d infirmier Annexe VI Portfolio de l étudiant Nom et prénom de l étudiant : Institut de formation en soins : Date d entrée dans la formation : Nom et prénom
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailCompliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1
Compliance (syn. Adhérence - Observance) IFMT-MS-Sémin.Médict.Nov.05 1 Qu est ce que la compliance? Une maladie a été diagnostiquée Le diagnostic est correct Le traitement a été bien indiqué, bien choisi,
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailGuide. Chirurgie d un jour. Enfant (moins de 14 ans) HÔPITAL DE MARIA RÉVISÉ NOVEMBRE 2006
Guide Chirurgie d un jour Enfant (moins de 14 ans) RÉVISÉ NOVEMBRE 2006 HÔPITAL DE MARIA Chirurgie d un jour Contenu Avant la chirurgie... 2 À l unité de soins... 4 Au départ pour la salle d opération...
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailTRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES
TRONC COMMUN SOINS CRITIQUES : Cardiologie - Document du participant Module 2 DIRECTION DES SOINS INFIRMIERS ET DES REGROUPEMENTS CLIENTÈLES Tous droits réservés, CHUM, août 2014 1 Situation infirmière
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailLA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE
LA CHOLÉCYSTECTOMIE PAR LAPAROSCOPIE Une technique chirurgicale Pour vous, pour la vie Qu est-ce que la cholécystectomie? C est l intervention chirurgicale pratiquée pour enlever la vésicule biliaire.
Plus en détailAnesthésie en Orthopédie. 3- Les Types d interventions
Anesthésie en Orthopédie 3- Les Types d interventions Intervention sur RACHIS Aspects chirurgicaux Hernie discale (lombaire+++) 200000/an aux USA Laminectomie CLE ou CCE Fixation rachidienne Exemple: spondylolisthésis
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détail