cigref r0jl , (jj)irfp[i CLUB INFORMATIQUE DES GRANDE?.ENTREPRISES FRANÇAISES \V. a ll ~ 21. avenue de Messone Pa"' telephone ,.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "cigref r0jl , (jj)irfp[i CLUB INFORMATIQUE DES GRANDE?.ENTREPRISES FRANÇAISES \V. a ll ~ 21. avenue de Messone. 75008 Pa"' telephone 47 64 24,."

Transcription

1 rr rjl, (jj)irfp[i CLUB INFORMATIQUE DES GRANDE?.ENTREPRISES FRANÇAISES \V. a ll ~ 21. avene de Messone. 758 Pa"' telephone ,. Réf cigref RAPPORT APPORT PRODUCTIF DE L 1 1NFORMATIQUE Mars 1988

2 Ce présent rapport est le résltat des réflexions d grope "APPORT PRODUCTIF DE l'informatique". Ce grope a réni, pendant 1 'année 1987, les personnes sivantes : Monsier RICHERME Monsier AYMARD Monsier BOCQUEZ Monsier GAUTIE Monsier LAURENT Monsier LAFFITTE Madame RASAMDELA Monsier VAN HOOF Monsier DELAMARE Mons er AUBRUN Mons er FRANCOIS Mons er JAHN Mons er HILTENBRAND Mons er ROMMELARD Mons er JOUANNEAULT Mons er MILLOT Mons er LARRA IN Mons er URBAN-GALINDO Mons er DELARUE Madame de CADEVILLE EDF/GDF Animater d grope de trava i 1 Banqe de France CE PME Pari bas Pari bas CCMSA CC MSA CNAMTS CNAVTS SNCF SNCF EDF/GDF La Redote La Redote Aérospatiale Dassalt Pegeot S.A. Pegeot S.A. Union Laitière Normande CIGREF

3 SOMMA 1RE 1 - GENERALITES 1.1 Préamb 1 e 1.2 Le problème 1.3 La démarche I.4 La méthode I.5 Les 1 imites Pages II -L'APPROCHE STRATEGIQUE II.l L'objet II.2 Les gri lies de décision d dirigeant II.21 Une certaine vision de 1 'entreprise II.22 La palette de 1' informatiqe II.23 Composition et ti 1 isation des gri 1 les II.3 La démarche d'adit <Consltroniqe) II - LES ETUDES PARTIClJ..IERES Une approche macro-économiqe de 1 'apport prodctif 1 "Le projet et le bonher en pls" <EDF> Une analyse de la valer fonctionnel le Une méthode d' interclassement <SNCF> <PSA) IV - ECHANGES DE VUES COMPLEMENTAIRES IV.1 Sr 1 'approche stratégiqe IV.2 L'apport des systèmes experts V. CONCLUSIONS 14

4 ANNEXES 1. Grilles d'étde 2. Exposé M. BERNARD <Consltroniqe) 3. Une approche macro-économiqe de l'apport prodctif présentée par Monsier RICHERME <EDF> 4. Une analyse de la valer fonctionnelle d'ne application. Exposés de Monsier URBAN-GALINDO, Monsier LARRAIN et Monsier lhery <PSA> 5. Une méthode d' i nterc 1 assement des projets présentée par Monsier AUBRUN 6. Une approche prévisionnel le des gains excomptés présentée par Monsier LAURENT <Paribas).

5 1 APPORT PRODUCTIF INFORMATIQUE 1 RAPPORT D'ETAPE 1. GENERALITES I. 1. PREAMBULE Dans le contexte économiqe difficile qe nos connaissons, les dirigeants sont amenés ~ s'interroger sr la contribtion des moyens infonnatiqes ~ la prodctivité de ler entreprise. Le CIGREF a donc décidé de créer n grope de réflexion, composé des représentants dont la liste est jointe. Ce grope s'est réni cinq fois a cors de 1 'exercice 1986/87, avec ne participation d'ne diaine de personnes en moyenne, représentant la plpart des secters de 1 'économie. Ce rapport d'étape présente le résltat des travax menés par le grope li-même ainsi qe les étdes qi ont été exposées a cors des séances par n consltant externe et par certains de ses membres. I.2. LE PROBLEME On observe qe les applications informatiqes mises en oevre sont de pls en pls difficiles ~ jstifier en termes économiqes. En effet, dans n premier temps, les entreprises se sont attachées à atomatiser les tâches de gestion à caractère volminex et répétitif (comptabilité, paie, factration... )o de natre à rédire les immobilisations de trésorerie (gestion des stocks, des approvisionnements... ). La dépense informatiqe était alors largement compensée par n moindre recors ax ressorces hmaines et financières de 1 'entreprise../.

6 2. Mais, pe à pe, des applications visant n bt pls qalitatif o stratégiqe ont v le jor (service à la clientèle, breatiqe, aide à la décision... ). Ler intérêt, manifeste a premier abord, est cependant pls délicat à apprécier en raison de la difficlté d'y attacher ne mesre objective. Si bien qe les choix ne semblent pls s'opérer ajord'hi qe sr la base des coûts por mettre en oevre des applications apparemment de moins en moins rentables. Cette sitation n'a pas manqé d'attirer l'attention des Dirigeants qi commencent à doter de l'intérêt économiqe de l'informatiqe et remettent en case sa forte croissance. Ler inqiétde est-elle jstifiée? Telle est la qestion à laqelle le grope a tenté d'apporter des éléments de réponse LA DEMARCHE Tote décision de mise en oevre d'n projet se prend en comparant le coût, c'est-à-dire les dépenses d'investissement, d'exploitation et de maintenance, à 1 'apport attend examiné dans totes ses composantes économiqes, sociales, stratégiqes, etc... Les coûts de l'informatiqe sont, en général, à pe près bien cernés, assi bien dans ler ensemble qe por chaqe application, malgré la difficlté parfois d'attriber à chacne d'elle la part des ressorces qi li revient. L'apport est par contre sovent pls difficile à mettre en évidence, assi les préoccpations d grope se sont-elles pls particlièrement centrées sr ce sjet. Précisons qe l'apport prodctif de l'informatiqe est constité par l'ensemble des contribtions de l'ordinater por atteindre les objectifs de l'entreprise. Il ne s'agit donc pas d sel accroissement de prodctivité de la fonction informatiqe qi n'en est q'ne composante. Assi, l'tilisation d'n atelier de génie logiciel por le développement et la maintenance des applications o 1 'atomatisation de 1 'exploitation des centres de traitement n'ont-ils donc pas fait 1 'objet d'ne réflexion approfondie par le grope../.

7 3. I.4. LA METHODE Por répondre ax préoccpations des responsables ax différents niveax, le grope a sohaité ovrir son champs de vision sr 1 'entreprise. Il s'est tot d'abord intéressé à l'approche stratégiqe en recherchant ne adéqation entre les objectifs de 1 'entreprise et les axes de développement de 1 'informatiqe. Dans ce bt, il a : - orienté ses propres travax vers 1 'établissement d'ne grille destinée à éclairer le Dirigeant de 1 'Entreprise confronté a choix d'ne stratégie informatiqe, - fait appel à n consltant, por aborder le problème avec ne démarche d'adit (CONSULTRONIQUE). Il a ensite procédé à n tor d'horion de trois étdes réalisées a sein des entreprises représentées dans le grope de travail. Dex d'entre elles tentent ne approche synthétiqe de 1 'apport et des coûts. Il s'agit de : - "Le profit et le bonher en pls 11 de M. Richerme EDF/GDF ne approche macroscopiqe de 1 'apport prodctif de 1 'informatiqe, sos 1 'angle socioéconomiqe, - ne analyse fonctionnelle des projets d'application por estimer les coûts prévisionnels de d~veloppement et de maintenance (MM. Urban Galindo, Larrain et Thery de PSA), La dernière présente ne démarche por le choix. Il s'agit de - ne méthode de classement des projets informatiqes entre ex et par rapport ax différentes propositions d'investissements (MM. François et Abrn- SNCF). Enfin, n échange de ves a e lie sr ne approche prévisionnelle des gains escomptés avant répartition d bdget (proposée par M. Larent - PARIBAS) ainsi qe sr le thème de 1 'amélioration de la prodctivité de l'informatiqe elle-même (réflexion présentée par M. Joannealt- AEROSPATIALE sr les systèmes experts, le génie logiciel et 1 'atomatisation de 1 'exploitation). I.S. LES LIMITES Si l'on considère, d'ne part les activités de 1 'entreprise, et d'atre part les domaines d'applications de 1 'informatiqe, les conclsions de ce rapport devraient covrir 1 'ensemble d champs ainsi délimité.. /.

8 4. Ce n'est évidemment pas le cas, et il fat considérer les étdes présentées comme atant de pavés jalonnant l'espace à défricher sans acne prétention. Par aillers, il est important de rappeler ici qe les modalités de mise en oevre de 1 'informatiqe, et notamment d'insertion dans le tiss de 1 'entreprise, sont n élément essentiel por tirer le plein bénéfice des avantages attends. Tot projet d'informatisation, y compris dans le domaine breatiqe, devrait tre précédé d'n examen de 1 'organisation des tâches et des responsabilités ainsi qe d'ne formation appropriée des tilisaters. Avoir n gain de temps sans redéployer les activités, c'est perdre le bénéfice de 1 'investissement consenti. De même, ne formation sffisante et adaptée est-elle nécessaire, fate de qoi elle pe condire à n phénomène de rejet de la part d personnel et à ne sos-tilisation des machines. Le grope de travail a donc limité ses ambitions ax préoccpations en amont de la mise en oevre, dont il a spposé q'elle serait faite dans de bonnes conditions, et ne s'est intéressé q'à l'apport potentiel". -ooo-

9 5. II. L'APPROCHE STRATEGIQUE I I.l. L'OBJET Il s'agit de mettre en adéqation les axes de développement de l'informatiqe avec les objectifs de l'entreprise. Dans cette optiqe, le grope s'est intéressé à dex types d'approches : -a priori, c'est-à-dire, où le dirigeant doit faire des choix por la répartition d bdget informatiqe afin de peser sr les domaines d'applications ssceptibles de contriber ax objectifs de 1 'entreprise, -a posteriori, c'est-à-dire sos 1 'angle de 1 'adit qi fait n état des liex et constate la façon dont le bdget informatiqe a été tilisé, e égard ax priorités de 1 'entreprise. Ces dex points de ves sont représentés, d'n côté par le résltat des travax d grope qi propose dex "grilles de décision" por les dirigeants, et de l'atre par ne étde présentée par n cabinet d'adit et de conseil en technologies novelles. II.2. LES GRILLES DE DECISION DU DIRIGEANT (travax d grope sos la condite de M. Richerme) II.21. Une certaine vision de 1 'entreprise Le fonctionnement de 1 'entreprise pet être schématisé par n système transformant des fornitres (matières et prestations) à 1 'aide de ressorces financières (capitax) et hmaines (personnel) por prodire des biens et services destinés à la clientèle (schéma annexé). En sens inverse, elle est irrigée par le flx financier en provenance de ses ventes, por amortir les machines et rémnérer les capitax, payer le personnel et acheter les fornitres. Sa srvie est en otre liée, à moyen terme, ax investissements de totes natres (financiers o hmains) por améliorer 1 'appareil de prodction, former le personnel o étoffer le résea commercial. A pls long terme, elle dépend également de 1 'effort de recherche, de la politiqe sociale et de 1 'exploration de noveax marchés../

10 SCHEMA des ACTIVITES de L'ENTREPRISE MARCHE des CAPITAUX MARCHE des FOURNISSEURS MARCHE des CONSOMMATEURS MARCHE d TRAVAIL

11 SCHEMA des FLUX FINANCIERS

12 6. Les décisions dans 1 'entreprise vont ainsi de la gestion opérationnelle qotidienne ax orientations stratégiqes à long terme en passant par les choix d'investissements. L'entreprise est traditionnellement organisée selon les fonctions sivantes dont on a mentionné les principales rbriqes : - TECHNIQUE : Etdes et travax, prodction, entretien, - PERSONNEL : rémnération, effectifs, formation, - ADMINISTRATIF : approv /stocks, moyens générax, services générax, - COMPTABLE : générale, analytiqe, trésorerie, -COMMERCIAL: action commerciale, acceil, service après vente, - DIRECTION : gestion, commnication, stratégie. Ces fonctions ne sont cependant pas le reflet des objectifs de 1 'entreprise. Le dirigeant a en effet dex types de préoccpations : le cort terme {gérer a miex por prodire et vendre avec les ressorces existantes) et le long terme (adapter et développer les ressorces, ainsi q'assrer la pérénité de 1 'entreprise). sivante Les objectifs de 1 'entreprise ont donc été décrits de la façon l cort terme {gestion opérationnelle) - dconom1ser les ressorces (matières, effectifs, trésorerie) - améliorer la prodctivité (machines, main-d'oevre) - améliorer la qalité {prodits, prestations). l long terme (management stratégiqe) : -accroître la réactivité {prodction,personnel) - développer 1 'activité (développement des ventes, investissements}, - assrer la pérénité (recherche de noveax marchés et prodits). Ces objectifs font 1 'objet d'n ordre de priorité en fonction d diagnostic porté par le dirigeant et de sa stratégie. II.22. La palette de 1 'informatiqe L'informatiqe a v le jor avec le 11 Calclater 11 Ainsi le premier domaine investi a-t-il été celi d calcl scientifiqe et techniqe.. /.

13 7. L'ordinater a cependant rapidement trové sa place dans 1 'entreprise en prolongement de la mécanographie. Le domaine comptable, pis celi de la gestion en général a alors rapidement pris le pas. Des trois fonctions élémentaires qi constitent 1 'informatiqe, à savoir le calcl (arythmétiqe et logiqe), la mémoire (fichiers et banqes de données) et la commnication (homme/machine o réseax d'interconnexion) sele la dernière n'avait pas fait 1 'objet, jsq'à ces dernières années, d'n développement significatif. Avec la breatiqe et la télématiqe, c'est désormais chose faite. Por être complets, mentionnons 1 'tilisation de 1 'ordinater por atomatiser la prodction indstrielle o condire les ovrages à distance. Il est alors fait appel de façon sensiblement égale ax trois fonctions évoqées. Por aller pls avant dans n décopage d domaine covert par 1 'informatiqe, le grope s'est herté à la difficlté de faire ne claire distinction entre les familles d'applications et les otils. Ainsi la micro-informatiqe par exemple est à la fois n ensemble d'applications apportant ne assistance à 1 'tilisater dans ses activités de brea (traitement de textes, tablers, tri de fichiers... )et le nom génériqe de stations de travail "intelligentes dont 1 'emploi pet s'envisager dans d'atres domaines qe la breatiqe, notamment en terminal d'ordinaters scientifiqes o de gestion. Malgré 1 'imprécision des limites, voire 1 'ambigïté de la terminologie, le grope a reten le décopage sivant : Domaine scientifiqe et techniqe avec les applications de calcl, la modélisation, la simlation, la CAO, DAO et le graphiqe en général, - Domaine de la gestion (applications batch et transactionnelles de gros volme), - Domaine des services, sbdivisé en sage individel (traitement de textes,micros personnels, enseignement assisté, systèmes experts... ), et sage collectif (messagerie interpersonnelle, corrier électroniqe, infoservices, notamment avec 1 'sage d minitel... ), Domaine indstriel, c'est-à-dire la prodctiqe, le contrôle-commande et les systèmes experts. Ce décopage est sans dote insffisant mais c'est n dénominater commn qe chaqe entreprise pet ensite enrichir à son gré.. 1.

14 8. II. 23. Composition et tilisation des grilles La qestion s'est posée a grope de savoir si, por les différentes familles d'applicationsinformatiqes, il y avait lie de mettre en évidence ler interaction avec les fonctions et activités de 1 'entreprise o bien ler contribtion éventelle ax objectifs à cort et long termes. Prenons n exemple, 1 'atomatisation de la gestion des stocks concerne bien sûr la fonction administrative (approv. et stocks). Cependant, 1 'application a ne incidence sr le personnel (modification d nombre des emplois), les locax (srface d' entreposage) et la trésorerie (moindre immobilisation des matières et par conséqent des capitax). Elle a, en otre, des impacts de natre qalitative (modification d conten de 1 'emploi, des conditions de travail, voire stratégiqe (conqête de parts de marché par ne réponse pls rapide o ne pls grande flexibilité). Le grope a donc proposé ce doble éclairage en établissant dex grilles, 1 'ne avec ne vision organisationnelle de 1 'entreprise (les FONCTIONS), 1 'atre ne vision stratégiqe (les OBJECTIFS). Mais il est clair q'a nivea macroscopiqe et interentreprise où il se sitait, le grope ne povait donc qe rester dans des généralités permettant selement d'amorcer des pistes de réflexion. La première grille concerne la participation de 1 'informatiqe ax fonctions de 1 'entreprise (annexe). Elle comporte ainsi dex axes : - 1 'n correspond ax principales activités de 1 'entreprise regropées par fonctions (techniqe, personnel, administratif, comptable, commercial, direction), - 1 'atre ax familles d'applications de 1 'informatiqe regropées par grands domaines (gestion, scientifiqe et techniqe, services et indstriel). Cette grille permet d'attirer 1 'attention des responsables des différentes fonctions sr la participation éventelle de 1 'informatiqe por les aider à remplir ler mission. la dexième grille concerne la contribtion de l'informatiqe ax objectifs de 1 'entreprise. Elle comporte également dex axes : - 1 'n correspondant ax principax objectifs de 1 'entreprise regropés par préoccpations (gestion opérationnelle, management stratégiqe), - 1 'atre ax familles d'application de 1 'informatiqe, comme por la première gri 11 e. Cette grille représente, sos forme synthétiqe, la rénion de dex grilles frit des réflexions d grope figrant en annexe 1.. /.

15 ..;.,iio. -l LI.J ::: ooooo ooooo oooooooooo ooo oooooo o o oo o oo o o o o o oc oooooo o oo oooooooo oooc oooooo oooo oooooo -Cl LLJ (/')... ::: o... LLJ ::: LLJ _J LLJ Cl (/') LI... x ;::::, <C LLJ ;::::, 'CY... <C --:- ~ LI _J LLJ Cl... <C a ::: <C a.. LI.J _J cc ~ a.. :E... l e( ::: (/') : :E Cl <C -J LI.J : : (/') ::: LI.J a.. LI.J ;::::,... : :::::: Cl (/')... (/') ::: : a.. LI.J... ::: l : :... o.. -J S)f:>OlS/"AO..tdd\f LI.J... 5 Ct- <C (1'):1!: LI.J ::: :o -LI.. ~~ o c -J oooooooo o oo ooooo o o aoooooooo ooooooooo -J LI.J : :... <C :::::: (/') : <C ~ cc... NOI1S39 :::::::::::::::::::: = :::::::::::::::::::::.... (/')... ::::::... -J Q. Cl ::=: ~ (.!' -J c:( ~ Cl -J c:( <C "H:J3l 'l":js OOO~OOO O O ooo OO O :>O OO OO QoO ooo O û -:) oo o oo o o ooo ooo OO :>O~OOOQ OO o o :>ooooo ooo o o o oo ooo ooo ooooo ooo ooo ooooooooo oo o oo oooooo oo ooo ooo o o ooo o o oo o o ooooo ooo o o oo o ooo S iii i iiiiisii ii ii ii iii mmmmm~mm... ::::::::::::::::::::::... :::::::::::::::::::::: o oo o oo oooooo o ooooo oooooo oooooo oooooo o ooooooooooo o ooooooooooo o ooooooooo o o o ooooooooooo oo o o o o oooooo ooo o oooooooo oooo oooooooo (/') -J (/') LI.J LI.. ;::::,... Cl > LI.J - -J Cl -J : S3:JIAH3S ::::::::::::::::::::::: LLJ Cl c::: ::=: (/') :E : (/') J ~ ::: :::1 <C 13HUSnONI

16 oooooooooo :::::> ' -(..!) ex: ::: Vl :=::: (..!) ex: Vl... ex: ::: :=::: a.. :::...J a Vl LI..... 'J ClJ -l x -l :::::> ex: - :::::> '... ex: ::: ex: :=::: a.. ::: LI J Vl LJ.J (..!) a... :::::> OJ... ::: a Vl LL.... LU 'J ClJ c ::: a.. :=::: a.. a.. -l > a > - ex: ::: -!d:cx:.x....t: -l -La.Jcx: -JO::> ~ ' c:( - - > c:x:cx:-.x...;... :::::> -loo w :=::: ::: c:( a.. Vl Vl... ::: :E :::::> OLUO ZOVJ Vl LU ::: LU Vl -::: a.. ::: - -l S+UoWoSS qsaaui taos..tad so ~ ~ sa...1d o..tanao, o-~-ew a~..ta..tossl..tl LU :::::> ' LU,... QIex: VJ:E: LU ::: o - LL. ~~ o c -J SJ.rJ.:>oJ.J.3 sa..t~rrew ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo ooooooooo oooooaooo QOOO OOOOOoooo ooooooooo ooooo ooooo -l LU - ex: ::1: Vl ex: ex: ::: CD NOilS39 :;;i.''"'''' ' '' ''""''l ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ooo ooooooooo Vl ::1: -l a.. LU ex: a ::: (..!) :=::: -J c:( :::::> a -l ex: ex: HJ31 'i Js ooooo ooooooo ooc.ooooooooo o ooooooooooo Vl - -l Vl LL. :::::> a... > -l Cl...J SDIJ\~3S ::::::::::::::::::::::... ::::::::::::::::::::::....::::::::::::::::::::::.... LU a :::: ~ Vl :E LU :E -Vl 1 LU -J c ~ ::: :::::> ex: 13HilSnONI

17 9. Avec cette dexième grille, 1 'attention d dirigeant est attirée sr la contribtion éventelle de 1 'informatiqe ax objectifs prioritaires. Elle permet également ne approche de la jstification des choix informatiqes en termes d'économie, d'amélioration o de dilemne stratégiqe, sans acne prétention d'exhastivité bien sûr.!!.3. LA DEMARCHE D'AUDIT (étde présentée par M. Bernard de CONSULTRONIQUE) Dans le cadre de son activité de conseil en stratégie, l'intervenant tilise n cors de formation interne (inspiré, précisons le, de travax effectés par 1 'niversité de Harvard) dont ne des parties "the strategie dimension of I T : a new framework for I T management" a servi de base à son exposé. Monsier Bernard observe qe 1 'informatiqe est véce de pls en pls par l'entreprise comme n mal nécessaire, c'est-à-dire ne dépense qi alordit les bdgets annels sans contrepartie financière évidente. Assi les choix sont-ils faits sr la base des contraintes bdgétaires beacop pls q'en termes d'investissement dans ne perspective stratégiqe. Il n'est pas rare de constater dans ces conditions, a terme d'n adit, qe l'allocation des ressorces n'a qe pe de rapport avec les objectifs de 1 'entreprise. Par exemple, la part d bdget informatiqe consacrée à des applications commerciales (acceil de la clientèle, étdes de marchés, assistance ax agents technico-commerciax... )est infime, alors qe 1 'entreprise fait d développement de ses ventes n objectif majer. De même, on constate parfois qe, malgré ne prise de conscience de la priorité à donner a développement de 1 'informatiqe selon des axes pointés sr les objectifs de 1 'entreprise, le sotien apporté à 1 'action en termes de logistiqe o de spport par la hiérarchie est si faible q'il condit à 1 'échec. C'est ce qe 1 'intervenant appelle l'absence d'alignement stratégiqe. Enfin, 1 'appréciation d TRI (temps de retor sr investissement o tax de rentabilité interne) est basé en général sr les seles considérations économiqes, o, dans le meiller des cas, est faite en complétant 1 'argmentation par la citation des avantages q~alitatifs. Il est rare qe ces derniers soient évalés en termes financiers, même en ordre de grander, o avec ne forchette très large. Mais il est exceptionnel qe cette appréciation se place dans ne perspective macroéconomiqe stratégiqe, c'est-à-dire en prenant en compte les effets indits dans d~atres domaines (climat social, image de l'entreprise par exemple), insffisance de réactivité o de flexibilité, etc... )../.

18 1. L'adéqation de l'allocation de ressorces, la nécessité de 1 'alignement stratégiqe, 1 'appréciation d TRI et d risqe, ne sont qe trois parmi 1 es pri nci pa x thèmes de cet exposé présenté en annexe. III. LES ETUDES PARTICULIERES III.l. UNE APPROCHE MACRo-ECONOMIQUE DE l'apport PRODUCTIF ("Le profit et le bonher en pls" par M. Richerme d'edf/gdf) Cette étde, présentée en annexe, propose ne démarche macroscopiqe por évaler 1 'apport prodctif de 1 'informatiqe dans le domaine des activités tertiaires (gestion et breatiqe). Elle est basée sr dex observations : - la première concerne la valorisation financière implicite des applications dont la jstification est ~ dominante qalitative o stratégiqe. Il est de fait qe 1 'attribtion d'ne valer monétaire à ne amélioration qalitative (motivation d personnel par exemple) o à la dimintion d'n risqe stratégiqe (incident de faible probabilité mais lord de conséqences) ressort de la sbjectivité. Il n'en reste pas moins qe le choix de réaliser ne application apportant ces avantages est en général fait a détriment d'atres applications, reportées à pls tard, dont 1 'apport prodctif est pet-être pls facile à apprécier en termes économiqes. La décision prise condit ainsi l valoriser implicitement l'apport de l'application retene, a moins a même nivea qe celles temporairement écartées. les choix s'opérent sr des bases sbjectives o objectives et se sitent sr ne échelle contine à 1 'image des racines imaginaires d'ne éqation paramétriqe qi prolongent le champs des racines réelles. - La seconde observation, isse d'ne étde tilisée par IBM dans le cadre de la méthode dite SPRINT, constate qe la rentabilité des applications mises en oevre décrott a cors d temps. Une observation effectée sr ne centaine d'entreprises, canadiennes et ne diaine en France montre, en effet, q'a fil des années les applications présentent n intérêt financier (o assimilé, compte ten de ce qi vient d'être dit) rapporté à la pissance de calcl mise en je, qi décrott de façon exponentielle. Le fait qe ce ratio dimine n'a rien de srprenant pisqe les priorités de mise en oevre sont précisément établies sr cette base, les projets les pls rentables passant avant cex qi le sont moins. Ce qi est pls étonnant c'est la natre exponentielle de la loi, encore q'ne approche théoriqe permette de la pressentir../.

19 11. Cette sitation arait rapidement condit à 1 'épisement d stock des applications potentiellement rentables si le prix de 1 'nité de pissance informatiqe était resté inchangé. Il n'en est heresement pas ainsi, et à 1 'inverse d pétrole la baisse d coût d MIPS (1) permet chaqe année d'exploiter de noveax gisements. En conclsion, 1 'étde "Le Profit et le bonher en pls" met en évidence le résltat sivant : "l'informatiqe rapporte en net ce q'elle coûte" Ainsi, par exemple, si le coût annel de 1 'informatiqe (matériels, logiciels, personnel et logistiqe est de 1 %d chiffre d'affaires de 1 'entreprise, 1 'apport prodctif dégagé (por ne mise en place optimale) est de 2 %, ce qi laisse à 1 'entreprise n bénéfice net de 1 %. Cette étde fait apparaître également n résltat annexe sr le temps qi sépare la mise en oevre économiq~ de dex techniqes, la novelle étant natrellement pls vorace en pissance qe celle de référence. Ainsi, par exemple, elle permet de dédire qe : -la généralisation de l'intelligence artificielle ne devrait pas, dans les conditions actelles de la techniqe, être significative avant la fin d siècle. Totefois, si, comme 1 'annoncent les japonais, de novelles architectres de machines permettent déjà de "gaspiller" moins de pissance por cette tilisation, il convient dès à présent d'envisager dans cette perspective la réécritre d'applications lordes et pe flexibles telles qe la comptabilité, la paie, la factration, ne serait-ce qe por en faciliter grandement la maintenance. III.2. UNE ANALYSE DE LA VALEUR FONCTIONNELLE (présentée par MM. Urban Galindo, Larrain et Thery de PSA) Les méthodes classiqes fondées sr le dénombrement des objets informatiqes (nombre de programmes, lignes de code... ) ne savent pas mesrer le service rend à 1 'tilisater par les applications. La dêmarche de la mesre fonctionnelle va permettre de qantifier le service rend l l'tilisater en termes de fonctionnalités offertes par l'application. Elle s'appie sr ne ~thode de base dite des points de fonctions" qi permet ensite de prévoir le coût de réalisation et de maintenance de l'application../. (1) Million d'instrctions par seconde Unité de pissance des ordinaters.

20 12. La valer fonctionnelle d'ne application est la somme pondérée des fonctionnalités externes, c'est-à-dire les fonctionnalités comprises par 1 'tilisater selon son propre référentiel, qe sont les ensembles de données, les interfaces/traitements, les entrées et sorties "tilisater", les interrogations. La pondération s'appie sr le degré de complexité de 1 'application, li-même modlé selon certaines contraintes (de performance, de sécrité... ). Cette évalation sppose n étalonnage sr n grand nombre d'applications existantes avant d'être appliqée en prévisionnel à des projets. Un cas d'tilisation a été présenté par PSA (qi se prépare à en exposer n premier bilan). En conclsion, 1 'tilisation de cette méthode rend possible la prévision des coûts des étdes informatiqes d'n projet et la réalisation de comoaraison des niveax de prodctivité entre des environnements différents. III.3. UNE METHODE D'INTERCLASSEMENT (présentée par MM. François et Abrn - SNCF) Le préamble d docment officiel de la SNCF "Processs de mise en oevre d'ne application informatiqe de gestion" établit la règle sivante : "gérer les projets informatiqes avec la même riger qe les atres projets d'investissements". Ainsi, tote étde de premier développement o de développement complémentaire doit être présentée accompagnée d'n Prix de Revient Initial (PRI) de 1 'atomatisation d'n système d'information dont la décomposition est désormais classiqe : - coût des étdes à partir de la première phase d processs de réalisation d projet et coût des traitements, locax, transmissions, énergie, climatisation.., sr les cinq premières années de fonctionnement de 1 'application. Le docment présente également le cadre de formalisation de bilan de 1 'atomatisation d'n système d'information, notamment le mode de calcl d tax de rentabilité interne d'n projet (TRI). On pet considérer qe cette méthode, en dehors de son aspect classiqe de sivi et de contrôle des étdes d'informatisation, permet la présentation homogène à la Direction Générale des projets d'origine fonctionnelle très différente. Elle détermine également, grâce à n mode de calcl cohérent, le rapport coût/avantages de chaqe projet et, dès lors, son intérêt por 1 'entreprise../.

21 13. IV. ECHANGES DE VUES COMPLEMENTAIRES IV.l. SUR L 1 APPROCHE STRATEGIQUE (réflexion proposée par M. Larent - PARIBAS) Cette réflexion participe d principe de management d risqe, dans la mesre où elle consiste en ne approche prévisionnelle des gains escomptés avant répartition d bdget informatiqe. Par exemple, qelle part d bdget des étdes doit-elle être affectée à 1 'objectif d'économie de personnel (faire la même chose avec moins de personnes), à celi d'n développement de 1 'activité (avec le même personnel, agmenter les parts de marché), à celi d risqe- crédits à la clientèle et marges- (por le même coût, prêter des sommes pls importantes)? Cette problématiqe a inspiré en partie la constrction des grilles d dirigeant (chapitre II.2.). IV.2. L 1 APPORT DES SYSTEMES EXPERTS (par M. Joannealt) les systèmes experts - o systèmes à base de connaissances - représentent n gisement de prodctivité très prometter por 1 'entreprise et les métiers q'on y exerce, à la fois par 1 'apport qantitatif et 1 'apport qalitatif. Apport qantitatif possibilité de démltiplier ne connaissance d'expert sr atant de postes de travail qe nécessaire et accroissement d nombre d'expertises dans n temps donné. Apport qalitatif - homogénéité de la qalité de 1 'expertise, - régionalisation et décentralisation géographiqe de 1 'expertise, possibilités de simlation en faisant varier les hypothèses, - aspect formater d système por celi qi 1 'tilise : il acqiert en effet progressivement les réflexes et le raisonnement de 1 'expert qi est à 1 'origine d SE, - rapidité de la réponse donnée à 1 ' tilisater, - impartialité d SE face à 1 'expertise (la décision n'est pas prise à la tête d client o d demander), - possibilité de tenir compte d'n pls grand nombre de paramètres.. /.

22 14. Les systèmes experts apportent en particlier ler contribtion à 1 'informatiqe elle-même en étant intégrés dans les otils d génie logiciel et contriberont à ne atomatisation sople de 1 'exploitation. A ce titre, et bien q'acne mesre objective n'ait por 1 'instant été portée à notre connaissance d fait de ler introdction récente dans ces techniqes, nos povons affirmer qe ler contribtion à la prodctivité des services informatiqes sera majere. ---ooo--- CONClUSIONS Les travax d grope ont permi de mettre en évidence qelqes idées qi, sans être très originales, ont le mérite de clarifier le débat, à savoir : - Distinger 1 'apport prodctif de 1 'informatiqe de la prodctivité d domaine informatiqe. Le premier, qi fait 1 'objet de ce rapport, concerne la contribtion de l'informatiqe à l'effort collectif por atteindre 1 es objectifs de 1 'entreprise et notamment améliorer la prodctivité des différentes fonctions. Le second n'en est q'ne des composantes, à savoir la maîtrise des coûts de développement, exploitation et maintenance de 1 ' informatiqe et, en particlier, des logiciels. - Considérer les projets de développement de 1 'informatiqe à 1 'égal des projets d'investissement dans les atres domaines. Ils doivent, à ce titre, faire 1 'objet de jstifications en termes économiqes (T.R.I.) et d'apport qalitatifs et indirects, voire stratégiqes, et d'n classement parmi 1 'ensemble des projets. Cette considération n'est pas triviale si 1 'on songe qe les éqipements informatiqes sont en général en location o crédit-bail et qe les logiciels correspondent à des prestations. Ceci signifie qe 1 'essentiel de ce domaine est impté en frais de fonctionnement et n'étant pas pris en considération dans les crédits d'investissement pet échapper ax mécanismes de décision traditionnels. - Ne pas se limiter ax seles considérations d'économies de ressorces (matières, personnel, trésorerie) qi ont préval por les grosses applications scientifiqes et de gestion.. 1.

23 15. Il fat prendre également en compte les améliorations de la prodctivité et de la qalité ainsi qe les aspects stratégiqes (réactivité, développement, pérénité de 1 'entreprise). Faire des choix entre projets revient de tote manière à évaler implicitement ces apports. Porqoi ne pas appréciser a moins en ordre de grander le prix q'on pet y attacher, même s'il est parfaitement sbjectif comme 1 'amélioration d climat social o la dimintion d'n risqe majer. Le grope a également progressé dans la réflexion sr 1 'apport de 1 'informatiqe et avancé qelqes conclsions moins traditionnelles : - La mise en oevre d'applications apparemment de moins en moins rentables est rende possible par ne baisse des coûts des éqipements informatiqes (de 1 'ordre de 2 %à 3% 1 'an à pissance égale),baisse q'acne techniqe n'avait conn jsq'ici. Cette évoltion qi permet d'adapter la machine à 1 'homme a des effets qalitatifs et indirects dont 1 'apport se site dans le prolongement de celi pls qantitatif des grandes. applications traditionnelles. Ceci permet d'affirmer qe 1 'informatiqe contine à rapporter dex fois pls q'elle ne coûte et qe la perspective offerte par les techniqes en voie de développement (intelligence artificielle par exemple) n'est pas ne topie face ax réalités économiqes. - Por tirer le plein bénéfice de 1 'informatiqe il fat q'elle soit correctement mise en oevre, c'est-à-dire en premier lie qe les axes sr lesqels portent 1 'effort soient dirigés vers les objectifs prioritaires de 1 'entreprise. En second lie, qe cette contribtion ne soit pas r~dite à néant parce qe non accompagnée des mesres d'organisation et de formation nécessaires o d fait de 1 'absence d'ne politiqe techniqe à moyen terme qi assre la cohérence des choix en ve notamment de 1 'interconnexion des éqipements. Il serait prétentiex de dire qe les éléments présents dans ce rapport sont de natre à apaiser les inqiétdes des dirigeants sr 1 'intérêt économiqe de 1 'informatiqe et la nécessité de sa croissance sotene. En effet, même si elle contribe à éclairer les choix, 1 'approche technocratiqe ne pet éradiqer les incertitdes inhérentes a pari qe constite tojors la prisè de décision stratégiqe. ---ooo--- GR/LT (2)

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations

Votre expert en flux documentaires et logistiques. Catalogue des formations Votre expert en flx docmentaires et logistiqes Cataloge des formations Qelles qe soient les entreprises, les salariés pevent sivre, a cors de ler vie professionnelle, des actions de formation professionnelle

Plus en détail

PRÉSENTATION DU CONTRAT

PRÉSENTATION DU CONTRAT PRÉSENTATION DU CONTRAT 2 L ASSURANCE VIE UN FANTASTIQUE OUTIL DE GESTION PATRIMONIALE Le fait qe l assrance vie soit, depis plsiers décennies, le placement préféré des Français n est certes pas le frit

Plus en détail

Accompagner les familles d aujourd hui

Accompagner les familles d aujourd hui Mtalité Française et petite enfance Accompagner les familles d ajord hi ACCOMPAGNER LES FAMILLES D AUJOURD HUI L engagement de la Mtalité Française en matière de petite enfance La Mtalité Française est

Plus en détail

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention

Risques professionnels et qualité de vie au travail dans les crèches : les pratiques de prévention Petite enfance Risqes professionnels et qalité de vie a travail dans les crèches : les pratiqes de prévention Rédaction : Emmanelle PARADIS, Chef de projet «Prévention des risqes professionnels», por CIDES

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX VIRTUALIZED ORACLE 11GR2 Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12347.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW

EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW EMC BACKUP AND RECOVERY FOR VSPEX FOR END USER COMPUTING WITH VMWARE HORIZON VIEW Version 1.2 Gide de conception et de mise en œvre H12388.2 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié

Plus en détail

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau

La Communauté d Agglomération agit pour le Développement Durable. Petit guide des éco-gestes au bureau gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 1 La Commnaté d Agglomération agit por le Développement Drable Petit gide des éco-gestes a brea gide_eco:gide eco-gest 07/12/2010 10:40 Page 2 Épisement des

Plus en détail

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA

MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE DES AGENCES BANCAIRES : UNE APPLICATION DE LA MÉTHODE DEA Ade Hbrecht, Fabienne Gerra To cite this version: Ade Hbrecht, Fabienne Gerra. MESURE DE LA PERFORMANCE GLOBALE

Plus en détail

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE

MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'ÉCOLOGIE, DE L'ÉNERGIE DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L'AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE MINISTÈRE DE L'INTÉRIEUR, DE L'OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES Connaître Rédire Aménager Informer

Plus en détail

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113

Email Academy 2012. Florence Consultant 231 Route des Camoins 13011 Marseille Siret : 43214620700035 - N formateur : 93130994113 Email Academy 2012 L'emailing et les noveax canax internet La législation de l'emailing et des bases de données Vendre par l'emailing Améliorer la délivrabilité de ses emailing Développer son email en

Plus en détail

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie

Les qualifications INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES. Forage géothermique. Solaire thermique. Aérothermie et géothermie INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES Les qalifications Edition jillet 2014 Solaire thermiqe Forage géothermiqe Solaire photovoltaïqe Bois énergie Aérothermie et géothermie Les énergies renovelables : des

Plus en détail

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC):

mettez le casque et savourez votre calme! Réduction active des bruits de fond (ANC): & pls03/ 2014 Une conversation de vive voix en dit pls qe mille corriers électroniqes Page 3 Série Jabra Evolve Pages 4 5 Micros-casqes UC Pages 6 7 freevoice SondPro 355 Page 8 Jabra PRO925/935 Page 9

Plus en détail

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS

EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS EMC BACKUP AND RECOVERY OPTIONS FOR VSPEX PRIVATE CLOUDS Version 1.3 Gide de conception et de mise en œvre H12387.3 Copyright 2013-2014 EMC Corporation. Tos droits réservés. Pblié en Mai, 2014 EMC estime

Plus en détail

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire

Plan de formation pour l Ordonnance sur la formation professionnelle initiale réalisateur publicitaire 79614 Plan de formation por l Ordonnance sr la formation professionnelle initiale réalisater pblicitaire Partie A Compétences opérationnelles Partie B Grille horaire Partie C Procédre de qalification Partie

Plus en détail

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses

Mesures générales de prévention pour l utilisation des fardeleuses la fardelese Les fardeleses, machines semi-atomatiqes d emballage de palettes, assi nommées palettisers o «wrapeses» sont d sage corant dans le secter de l imprimerie. On s en sert por envelopper d ne

Plus en détail

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA

par Jacques RICHALET Directeur société ADERSA Commande prédictive par Jacqes RICHALET Directer société ADERSA 1. Les qatre principes de la commande prédictive... R 7 423 2 1.1 Modèle interne... 2 1.2 Trajectoire de référence... 3 1.3 Strctration de

Plus en détail

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant

L e mobilier, le matériel et le linge au r estaurant Technologie (baccalaréat Professionnel) L e mobilier, le matériel et le linge a r estarant 1 : L e m o b i l i e r 1. 1 - L e m o b i l i e r d e s t i n é à l a c l i e n t è l e 1.1.1 - Dimensions et

Plus en détail

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits

Réalisez des simulations virtuelles avec des outils de test complets pour améliorer vos produits SOLIDWORKS Simlation Réalisez des simlations virtelles avec des otils de test complets por améliorer vos prodits SOLUTIONS DE SIMULATION SOLIDWORKS Les soltions de simlation SOLIDWORKS permettent à tot

Plus en détail

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE

JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE Diocèses de Paris, Nanterre, Créteil et Saint-Denis JE LÈGUE À L ŒUVRE DES VOCATIONS POUR FORMER NOS FUTURS PRÊTRES NOS RÉPONSES À VOS QUESTIONS SUR LES LEGS, DONATIONS, ASSURANCES VIE FAITES DE VOS BIENS

Plus en détail

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements

La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS. Un nouveau service pour faciliter les paiements La DGFiP AU SERVICE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DES USAGERS TIPI Titres Payables par Internet Un novea service por faciliter les paiements Un moyen de paiement adapté à la vie qotidienne TIPI :

Plus en détail

pour toute la famille

pour toute la famille La gamme santé solidaire por tote la famille CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ Nos sommes ne vraie mtelle à bt non lcratif. À tot moment, nos vos en donnons les preves : pas de sélection à l entrée

Plus en détail

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins :

La complémentaire santé. des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ. adaptée à vos besoins pour faciliter votre accès aux soins : La complémentaire santé des 16-30 ans CHEZ NOUS PAS DE PROFIT SUR VOTRE SANTÉ la réponse santé adaptée à vos besoins por faciliter votre accès ax soins : avec le tiers payant por ne pls avancer vos frais

Plus en détail

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE

À VOS CÔTÉS QUI COMPTENT DANS LES MOMENTS RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE À VOS CÔTÉS DANS LES MOMENTS QUI COMPTENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2014-2015 DEVELOPPONS ENSEMBLE L ESPRIT D EQUIPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE INSURANCE EST AU CŒUR DE LA STRATÉGIE DE DÉVELOPPEMENT DU GROUPE SOCIÉTÉ GÉNÉRALE,

Plus en détail

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy

AVEC LA DOUANE PRODUIRE EN FRANCE. # produireenfrance. Présentation des entreprises participant aux tables rondes. Octobre 2014 - Bercy 16 Octobre 2014 - Bercy PRODUIRE EN FRANCE AVEC LA DOUANE Présentation des entreprises participant ax tables rondes # prodireenfrance Live tweet sr le compte officiel de la doane @doane_france la doane

Plus en détail

Étudier si une famille est une base

Étudier si une famille est une base Base raisonnée d exercices de mathématiqes (Braise) Méthodes et techniqes des exercices Étdier si ne famille est ne base Soit E n K-espace vectoriel. Comment décider si ne famille donnée de vecters de

Plus en détail

VRM Video Recording Manager

VRM Video Recording Manager Vidéo VRM Video Recording Manager VRM Video Recording Manager www.boschsecrity.fr Stockage réparti et éqilibrage de la configrable Basclement sr n enregistrer de secors iscsi en cas de défaillance, por

Plus en détail

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré

Microphones d appels Cloud avec message pré-enregistrés intégré Microphones d appels Clod avec message pré-enregistrés intégré Clearly better sond Modèles PM4-SA et PM8-SA Description générale Les microphones d appels nmériqes Clod de la gamme PM-SA ont été développés

Plus en détail

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller)

AMC2 - (Contrôleur d'accès modulaire - Access Modular Controller) Engineered Soltions AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) AMC2 - (Contrôler d'accès modlaire - Access Modlar Controller) www.boschsecrity.fr Gestion intelligente des accès por

Plus en détail

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct

concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et communal Impôt fédéral direct CANTON DE VAUD Administration cantonale des impôts GUIDE 2013 concernant la déclaration d impôt Impôt cantonal et commnal Délai por le renvoi de la déclaration : 15 mars 2014 Impôt fédéral direct Simplifiezvos

Plus en détail

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP)

Marché à procédure adaptée (Article 28 du CMP) Marché à procédre adaptée (Article 28 d CMP) Rénovation de la salle Egène DELACROIX Marché 08/203 02/05/203 Nom et adresse de l organisme acheter Chambre de Métiers et de l Artisanat d Val d Oise avene

Plus en détail

Université du Québec en Abitibi~e

Université du Québec en Abitibi~e Université d Qébec en Abitibi~e Etde des besoins forxlalœntax des personnes diabétiqes d secter de Rcyn-Norarrla selon le modèle de soins de Virginia Hen:ierson par Brigitte Gagnon Kiyan:la Rapport de

Plus en détail

Système isolateur de ligne de haut-parleurs

Système isolateur de ligne de haut-parleurs Systèmes de commnications Système isolater de ligne de hat-parlers Système isolater de ligne de hat-parlers www.boschsecrity.fr Fornit des bocles de hat-parler redondantes por les systèmes de sonorisation

Plus en détail

Montages à plusieurs transistors

Montages à plusieurs transistors etor a men! ontages à plsiers transistors mplificaters à plsiers étages Dans de nombrex amplificaters, on cerce à obtenir n grand gain, ne impédance d entrée élevée (afin de ne pas pertrber la sorce d

Plus en détail

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver!

Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est aussi la conserver! Santé et travail sr poste informatisé bonnes postres et bonnes pratiqes Le travail c est la santé... bien se positionner devant son écran, c est assi la conserver! www.simt.fr Santé et prévention a bénéfice

Plus en détail

LBC 341x/0 - Enceintes

LBC 341x/0 - Enceintes Systèmes de commnications LBC 41x/ - Enceintes LBC 41x/ - Enceintes www.boschsecrity.fr Reprodction vocale et msicale hate fidélité Plage de fréqences étende Entrées 8 ohms et 1 V réglables Enceinte compacte

Plus en détail

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007

annexes circulaire interministérielle n DGUHC 2007-53 du 30 novembre 2007 annexes circlaire interministérielle n DGUHC 2007-53 d 30 novembre 2007 relative à l accessibilité des établissements recevant d pblic, des installations overtes a pblic et des bâtiments d habitation Annexes

Plus en détail

Logiciel Bosch Video Management System v3.

Logiciel Bosch Video Management System v3. Vidéo Logiciel Bosch Video Management System v3. Logiciel Bosch Video Management System v3. www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion des tilisaters, gestion des alarmes, srveillance

Plus en détail

Bosch Video Management System v.4

Bosch Video Management System v.4 Vidéo Bosch Video Management System v.4 Bosch Video Management System v.4 www.boschsecrity.fr Système de gestion vidéo client/server Gestion optimale des alarmes inclant des niveax de priorité et ne répartition

Plus en détail

Enregistreur numérique Divar

Enregistreur numérique Divar Vidéo Enregistrer nmériqe Divar Enregistrer nmériqe Divar www.boschsecrity.fr Versions 6, 9 et 16 voies Technologie en option Enregistrement, lectre et archivage simltanés Contrôle des caméras AtoDome

Plus en détail

Maxwell 10. Administration

Maxwell 10. Administration Maxwell 10 Administration Conten Conten Aperç........................................................................... 4 Connexions....................................................................................

Plus en détail

TRANSLATION ET VECTEURS

TRANSLATION ET VECTEURS TRNSLTION ET VETEURS 1 sr 17 ctivité conseillée ctivités de grope La Translation (Partie1) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr1.pdf La Translation (Partie2) http//www.maths-et-tiqes.fr/telech/trans_gr2.pdf

Plus en détail

Guide pratique du recours au procureur de la République

Guide pratique du recours au procureur de la République les gides d pôle national de ltte contre l habitat indigne Dihal - ltter contre l habitat indigne : gide pratiqe d recors a procrer de la Répbliqe - mars 2013 Ltter contre l habitat indigne : Gide pratiqe

Plus en détail

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P.

LOT N 06 : MENUISERIES INTERIEURES Construction d une maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clauses Techniques Particulières (C.C.T.P. Commnaté de commnes des plaines et vallées dnoises Constrction d ne maison médicale CIVRY 28200 Cahier des Clases Techniqes Particlières (C.C.T.P.) Page 1 Sommaire 1. CONSISTANCE DES TRAVAUX 2. TRAVAUX

Plus en détail

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique

Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Automatique Vidéo Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe Objectifs Zoom Motorisés avec Iris Atomatiqe www.boschsecrity.fr Optiqe de hate qalité Constrction fiable et robste Format d'image 1/3" avec coande DC

Plus en détail

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7" avec balayage progressif

DINION IP 7000 HD. Vidéo DINION IP 7000 HD. www.boschsecurity.fr. Capteur CMOS jour/nuit 1/2,7 avec balayage progressif Vidéo DINION IP 7000 HD DINION IP 7000 HD www.boschsecrity.fr Capter CMOS jor/nit 1/2,7" avec balayage progressif Hate résoltion 1080p, format HD La rédction intelligente d brit permet de diminer de 30

Plus en détail

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques

Commande prédictive des systèmes non linéaires dynamiques Rébliqe Algérienne Démocratiqe et olaire Ministère de l Enseignement Sérier et de la Recherche Scientifiqe Université Molod Mammeri de Tizi-Ozo Faclté de Génie Electriqe et Informatiqe Déartement Atomatiqe

Plus en détail

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE

EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE EVALUATION PARTIELLEMENT SEQUENTIELLE DES OPTIONS A BARRIERE Jean-Clae AUGROS Professer à l'isfa Université Clae Bernar Lyon I Bât 0 ISFA 43, B novembre 98 69622 Villerbanne CEDEX Michaël MORENO Allocataire

Plus en détail

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne.

SAVERNE. Couleurs d été. Politique de la ville. Dossier. Retrouvez toutes les informations locales sur internet www.saverne. N 27-2015 SAVERNE Colers d été Dossier Politiqe de la ville L E M A G A Z I N E M U N I C I P A L D E S S A V E R N O I S Retrovez totes les informations locales sr internet www.saverne.fr Nméros d rgence

Plus en détail

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR

FLEXIDOME IP starlight 7000 VR Vidéo www.boschsecrity.fr Excellentes performances par faible lminosité (sensibilité à la coler de 0,017 lx) Analyse de la scène basée sr le conten por optimiser le traitement des images La rédction intelligente

Plus en détail

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr

Centrale B8512G. Systèmes d'alarme intrusion Centrale B8512G. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Centrale B8512G Centrale B8512G www.boschsecrity.fr Grâce à l'intégration totale de la détection d'intrsion, de l'alarme incendie et d contrôle d'accès, ne sele interface sffit

Plus en détail

Easy Series Système de sécurité

Easy Series Système de sécurité Systèmes d'alarme intrsion Easy Series Système de sécrité Easy Series Système de sécrité www.boschsecrity.fr Prend en charge jsq'à 32 points d'entrée L'analyse intelligente des alarmes pemert la rédction

Plus en détail

Instructions complémentaires

Instructions complémentaires Canton de Vad Instrctions complémentaires concernant la propriété immobilière 2013 Impôt cantonal et commnal Impôt fédéral direct Renseignements : 021 316 00 00 info.aci@vd.ch Délai général por le renvoi

Plus en détail

Conettix D6600 Récepteur/passerelle

Conettix D6600 Récepteur/passerelle Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6600 Récepter/passerelle Conettix D6600 Récepter/passerelle www.boschsecrity.fr 32 lignes por les commnications sr le résea téléphoniqe pblic commté (RTPC) avec adio

Plus en détail

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises

DINION capture 5 000. Vidéo DINION capture 5 000. www.boschsecurity.fr. La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Vidéo DINION captre 5 000 DINION captre 5 000 www.boschsecrity.fr La technologie DINION 2X génère des images nettes, cohérentes et précises Night Captre Imaging System garantit n fonctionnement 24 heres

Plus en détail

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr

Conettix D6100IPv6. Systèmes d'alarme intrusion Conettix D6100IPv6. www.boschsecurity.fr Systèmes d'alarme intrsion Conettix D6100IPv6 Conettix D6100IPv6 www.boschsecrity.fr Jsq'à 3 200 raccordements en résea local (LAN) o étend (WAN) Dex lignes por les commnications de résea téléphoniqe commté

Plus en détail

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance.

en chiffres : 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qui nous font confiance. Cataloge 2015 SHOwPACK & CO en chiffres : Visels : Base Showpack & Co et Thinkstock 1000 Clients en 5 ans. 97% De satisfaction. 100 Agences événementielles qi nos font confiance. Des partenaires AMEX,

Plus en détail

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI

Dome Conference HD. Vidéo Dome Conference HD. www.boschsecurity.fr. Résolutions HD 1080p et 720p. Sortie standard HD-SDI Vidéo Dome Conference Dome Conference www.boschsecrity.fr Résoltions 1080p et 720p Zoom x160 (optiqe x10/nmériqe x16) Sortie standard -SDI Contrôle et configration via Ethernet Option ligne de trame por

Plus en détail

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL

GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL UNE ET UN GRANDE ÉCOLE GÉNÉRALISTE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONAL EN SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE L INFORMATION A GRADUATE ENGINEERING SCHOOL AND AN INTERNATIONAL RESEARCH CENTRE IN INFORMATION AND COMMUNICATION

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro

ISC-PDL1-W18x Détecteurs TriTech Série Pro Systèmes d'alarme intrsion ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro ISC-PDL-W8x Détecters TriTech Série Pro www.boschsecrity.fr Covertre de détection 8 m x 5 m, avec ne sélection de covertre rédite à 8

Plus en détail

Catalogue formations

Catalogue formations Cataloge formations Le Centre de Formation Alpix Notre vocation n est pas de transmettre n savoir, mais de commnier n savoir-faire. Qi sommes nos? Alpix, n partenaire de alité Depis pls de 20 ans, Alpix

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE GUINGAMP. 17 rue d Armor 22 205 GUINGAMP. Tél 02 96 32 21 04. Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37

CENTRE HOSPITALIER DE GUINGAMP. 17 rue d Armor 22 205 GUINGAMP. Tél 02 96 32 21 04. Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37 17 re d Aror 22 205 GUINGAMP Tél 02 96 32 21 04 Maitre d Œvre : Didier COLDEFY Architecte DPLG 7, bd de la Cone 22000 SAINT-BRIEUC Tél 02 96 61 42 38 Fax 02 96 61 42 37 Mise en service incendie d service

Plus en détail

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00

SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 4 MERCREDI 21 JANVIER 2015 SALLE PLENIÈRE : 10h00 12H00 g, (Paris), (Nice) Epidémiologie des infections à HPV. Vaccination préventive et thérapetiqe. Recommandations Françaises. (Paris) Vaccination HPV

Plus en détail

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources

LBC 14xx/x0 U40 - Atténuateurs, et LBC 1431/10 - Sélecteur de sources Systèmes de commnications LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces LBC 14xx/x0 U40 - Atténaters, et LBC 1431/10 - Sélecter de sorces www.boschsecrity.fr Versions 12 W, 36 W et

Plus en détail

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI

DIVAR AN 3000 960H RT APP. Vidéo DIVAR AN 3000. www.boschsecurity.fr. 960H RT haute résolution sur sortie HDMI Vidéo www.boschsecrity.fr 960H RT APP 960H RT hate résoltion sr sortie HDMI Prise en charge des périphériqes mobiles (ios, Android) Notification des alarmes à distance Fonction résea por la visalisation,

Plus en détail

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264

Encodeur vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 Vidéo Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H.264 Encoder vidéo VideoJet X20/X40 XF E H. 264 www.boschsecrity.fr Vidéo H.264 de hate qalité sr IPv4 et IPv6 Encodage d débit adaptatif compatible avec la bande

Plus en détail

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics!

Préparez tous vos événements de l année en quelques clics! Cataloge 014 Préparez tos vos événements de l année en qelqes clics! 600 événements packagés à réserver Des prix fixes, tot compris et affichés sr les sites 1 000 artistes et prestataires professionnels

Plus en détail

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants :

BILAN FONCTIONNEL. Pour répondre au mieux à cette préoccupation, nous étudierons les points suivants : BILAN FONCTIONNEL Avoir une activité, générer des résultats, nécessite des moyens de production que l'on évalue en étudiant la structure de l'entreprise. L'étude de la structure financière va permettre

Plus en détail

PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE

PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE PARTENARIAT DE L OBSERVATOIRE TECHNOLOGIQUE Gouvernance du Système d Information Comment bien démarrer? Page 1 Soirée «Gouverner son informatique et sa sécurité : le défi des entreprises» CLUSIS / ISACA

Plus en détail

Ratios sectoriels. Dossier exemple. Dossier exemple-caroline. Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline

Ratios sectoriels. Dossier exemple. Dossier exemple-caroline. Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline Ratios sectoriels Dossier exemple Références du dossier : Date : 24/09/2012 Auteur : Caroline Dossier exemple-caroline 1 P a g e SOMMAIRE LE BENCHMARKING SECTORIEL 5 RENTABILITE & PRODUCTIVITE 6 PRODUCTION

Plus en détail

DISCOUNTED CASH-FLOW

DISCOUNTED CASH-FLOW DISCOUNTED CASH-FLOW Principes généraux La méthode des flux futurs de trésorerie, également désignée sous le terme de Discounted Cash Flow (DCF), est très largement admise en matière d évaluation d actif

Plus en détail

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables

Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm. Reste à déterminer les points incontournables Extrait du site de l'oseo (ex.anvar) http://www.anvar.fr/projlanc.htm Notez que vous trouverez les fiches citées à chaque étape sur le site (Normalement, les liens ont été conservés et fonctionnent) Reste

Plus en détail

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux

Plus en détail

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE

- 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE - 01 - GESTION DES INVESTISSEMENTS RENTABILITE ECONOMIQUE Objectif(s) : o Choix des investissements et rentabilité économique : Capacité d'autofinancement prévisionnelle ; Flux nets de trésorerie ; Evaluations.

Plus en détail

DOSSIER DE GESTION. Sommaire

DOSSIER DE GESTION. Sommaire 102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation

Plus en détail

Votre solution de gestion et de sécurisation des postes de travail

Votre solution de gestion et de sécurisation des postes de travail Vtre sltin de gestin et de sécrisatin des pstes de travail Les entreprises, de tte tailles et de ts secters, deviennent de pls en pls dépendantes de ler résea infrmatiqe pr assrer ler rentabilité et accrître

Plus en détail

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME

COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME COURS GESTION FINANCIERE SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS ET PLACEMENTS A COURT TERME SEANCE 4 CHOIX DU NIVEAU DU FONDS DE ROULEMENT PLANS DE TRESORERIE FINANCEMENTS

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 138/5 Logiciels COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 138/5 Logiciels Introduction La Commission a consacré une étude approfondie au traitement comptable de la création ou de l acquisition d un logiciel par une entreprise,

Plus en détail

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL

Thème : Electricité Fiche 5 : Dipôle RC et dipôle RL Fiche ors Thème : Elecricié Fiche 5 : Dipôle e dipôle Plan de la fiche Définiions ègles 3 Méhodologie I - Définiions oran élecriqe : déplacemen de charges élecriqes q a mesre d débi de charges donne l

Plus en détail

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE

REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE FICHE MEDIAS N 1 REDIGER UN COMPTE RENDU DE TYPE JOURNALISTIQUE A l'attention des enseignants des cycles II et III Initiative de sensibilisation au handicap mental l'écolensemble Objectifs pédagogiques

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

ETUDE DE CAS. Définir une note d opportunité à destination de la Direction Générale pour augmenter l efficacité de l équipe commerciale.

ETUDE DE CAS. Définir une note d opportunité à destination de la Direction Générale pour augmenter l efficacité de l équipe commerciale. Université Louis Pasteur STRASBOURG UE Ouverture professionnelle : Gestion de projet ETUDE DE CAS Contexte : Définir une opportunité de projet Entreprise de transport disposant d une force commerciale

Plus en détail

Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises

Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises 1 Comment valoriser une entreprise et sur quels critères? ISEC 22 novembre 2011 Evaluation d entreprises Sommaire Préambule Comment bien évaluer une entreprise? Le diagnostic Le business plan L approche

Plus en détail

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier

Quick Start Guide Touch Tone Capture. Guide de démarrage rapide Saisie à l aide du clavier Qick Start Gide Toch Tone Captre Gide de démarrage rapide Saisie à l aide d clavier 1 Getting Started To help yo get started, this gide otlines some of the most common transactions for the Toch Tone Captre

Plus en détail

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET

Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Nom-Projet MODELE PLAN DE MANAGEMENT DE PROJET Glossaire La terminologie propre au projet, ainsi que les abréviations et sigles utilisés sont définis dans le Glossaire. Approbation Décision formelle, donnée

Plus en détail

Chapitre 9 : Informatique décisionnelle

Chapitre 9 : Informatique décisionnelle Chapitre 9 : Informatique décisionnelle Sommaire Introduction... 3 Définition... 3 Les domaines d application de l informatique décisionnelle... 4 Architecture d un système décisionnel... 5 L outil Oracle

Plus en détail

Comment promouvoir le Cloud dans l'entreprise?

Comment promouvoir le Cloud dans l'entreprise? Comment promouvoir le Cloud dans l'entreprise? Pascal OGNIBENE, Directeur Technique VALTECH pascal.ognibene@valtech.fr Hervé DESAUNOIS, Consultant Sénior VALTECH herve.desaunois@valtech.fr ph Sommaire

Plus en détail

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire. SALLE COMMUNALE ''DES HUTTES'' 18 Route de Chaillé Les Marais 85370 NALLIERS

Décomposition du Prix Global et Forfaitaire. SALLE COMMUNALE ''DES HUTTES'' 18 Route de Chaillé Les Marais 85370 NALLIERS BP 112-85000 LA ROCHE SR YON Bureau d Etudes Techniques tous fluides F i l i a l e d u g r o u p e A R E A Tél. 02 51 37 48 88 - Fax 02 51 62 22 07 areaelr.bet@orange.fr / www.areaetudes.net MAITRE D OVRAGE

Plus en détail

A gauche Toute! UNIs et unies pour. changer vraiment

A gauche Toute! UNIs et unies pour. changer vraiment Page 2 Page 4-5 Page 6 Page 7 Page 7 Points forts «Nos volons ne vraie gache de gache!» Les candidat(e)s «A Gache tote!» a Grand Conseil Les jenes sans papiers assi ont droit à ne formation LES PERMANENCES

Plus en détail

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles

NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des

Plus en détail

Comment pratiquer le tiers payant complémentaire avec la MSA?

Comment pratiquer le tiers payant complémentaire avec la MSA? agir ensemble Comment pratiqer le tiers payant avec la MSA? n Hospitalisation et soins externes www.msa.fr COMMENT PRATIQUER LE TIERS PAYANT COMPLEMENTAIRE avec la MSA? EN CAS D HOSPITALISATION y compris

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

Le financement de l entreprise

Le financement de l entreprise Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,

Plus en détail

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE

INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE INTRODUCTION EN BOURSE EVALUATION D ENTREPRISE Avril 2013 EVALUATION D ENTREPRISE 1 Introduction en bourse Une introduction en bourse est avant tout une opération financière. Les avantages financiers de

Plus en détail

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan Analyse Financière Module de 27h. Projets de groupe ( analyse financière de quelques entreprises du CAC40 ). CC : 40% Participation (20%), contrôle intermédiaire (40%), projet à rendre ( 40% ) CF : 60%

Plus en détail

Des prestations textiles personnalisées pour l hôtellerie et la restauration

Des prestations textiles personnalisées pour l hôtellerie et la restauration Ds prstatios txtils prsoalisés por l hôtllri t la rstaratio ti i R E R A R-GZ 992 por l trti profssiol d li Sivi d l hyiè t d la qalité ds txtils R_Hotl_Gastro_Iformatio_FRANZOESISCH.idd 1 1 19.04.2010

Plus en détail

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;

2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable; Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique

Plus en détail