Analyse Microéconomique. Francesco Quatraro L1 AES 2010/2011
|
|
- Élisabeth Léger
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Francesco Quatraro L1 AES 2010/2011 1
2 Pour dériver la courbe de demande du marche on peut partir des courbes de demande des consommateurs Utilisons x 1 i(p 1,p 2,m i ) et x 2 i(p 1,p 2,m i ) pour représenter le fonctions de demande du consommateur i pour les biens 1 et 2. Supposons qu il y ait n consommateurs 2
3 La courbe de demande du marché pour le bien 1, ou demande agrégée pour le bien 1, est dès lors la somme des demandes individuelles sur l ensemble des consommateurs L équation pour le bien 2 est totalement similaire Donc on peut imaginer la courbe de demande du marche comme la somme horizontale des fonctions de demande directe 3
4 Puisque la demande d un individu pour un bien donné dépende des prix et de son revenu nominal, la demande agrégée dépend en général des prix et de la distribution des revenus Il est parfois commode de considérer la demande agrégée comme la demande d un consommateur représentatif, disposant d un revenu égal à la somme de l ensemble des revenus individuels Sous l hypothèse du consommateur représentatif, la fonction de demande agrégée devient: 4
5 Sous cette hypothèse la demande du marché correspond exactement à la demande d un individu confronté à des prix (p 1,p 2 ) et disposant d un revenu M Si nous maintenons fixes tous les revenus nominales, ainsi que le prix du bien 2, nous pouvons représenter la relation entre la demande du bien 1 et son prix 5
6 P D(p) Q 6
7 Il faut surligner que la courbe de demande est tracée en maintenant fixe les revenus et les prix des autre biens Si ces prix ou revenus se modifient, la courbe de demande agrégée se déplace A ce propos, c est très important de distinguer entre les déplacements qui ont lieu le long de la courbe de demande et les déplacements de la courbe sur le graphique 7
8 P P Q Q 8
9 Si les biens 1 et 2 sont de substituts, nous savons que, quel que soit le prix du bien 1, une augmentation du prix du bien 2 entraîne un augmentation de la demande du bien 1 Cela signifie qu un augmentation du prix du bien 2 entraîne un déplacement de la courbe de demande du bien 1 vers la droite De même, si le biens 1 et 2 sont complémentaires, une augmentation du prix du bien 2 entraîne un déplacement vers la gauche de la courbe de demande agrégée du bien 1 9
10 Toutes autres choses étant maintenues égales pour un individu, si le bien 1 est un bien normal, une augmentation de son revenu tend à accroître sa demande et, par conséquent, à déplacer la courbe de demande agrégée vers la droite Si nous adoptons le modèle du consommateur représentatif et que nous supposons que le bien 1 est normal, tout changement économique qui accroît le revenu agrégé augmente la demande du bien 1 10
11 Nous pouvons interpréter la courbe de demande agrégée comme exprimant la quantité en fonction du prix ou le prix en fonction de la quantité Cette dernière interprétation et parfois connu sous le nom de fonction de demande inverse P(X) Cette fonction indique quel devrait être le prix du bien 1 sur le marché pour que la demande de ce bien soit de X unités 11
12 Le prix d un bien mesure le taux marginal de substitution entre celui-ci et tous les autres biens Le prix représente la propension marginale à payer pour une unité supplémentaire du bien pour toute personne demandant ce bien Si tous les consommateurs sont confrontés aux mêmes prix pour les divers biens, ils ont tous le même taux marginal de substitution La fonction de demande inverse P(X) mesure donc la propension marginale à payer pour tous les consommateurs qui achètent ce bien 12
13 Un exemple peut nous aider à mieux comprendre la relation entre demande agrégée et demande du consommateur individuel Supposons que la courbe de demande d un individu particulier soit D 1 (p)=20-p et que celle d un autre individu soit D 2 (p)=10-2p Quelle est la fonction de demande du marché? Naturellement, pour toutes fonctions de demande, on utilise seulement les valeurs positives des prix et quantités 13
14 p D 1 (p) D 2 (p) D 1 (p)+d 2 (p) x 1 x 2 x 1 +x 2 14
15 Quand le prix d un bien varie, le consommateur décide de consommer plus ou moins d un bien ou de l autre Toutefois, il continue à consommer des quantités positives Les économistes parlent parfois dans ce cas d ajustement à la marge intensive 15
16 Dans le modèle du prix de réserve le consommateur décide d entrer ou non sur le marché d un des biens On parle dans ce cas d ajustement à la marge extensive La courbe de demande et influencée par les deux types de décision Pour les biens normaux, les deux types d ajustements impliquent une pente négative pour la courbe de demande agrégée 16
17 Il est souvent utile de disposer d une mesure de la sensibilité de la demande à une variation donnée du prix ou du revenu Naturellement, on pense toute de suite à la pente de la courbe de demande En effet, par définition elle est égale à le rapport entre la variation de la quantité demandée et la variation du prix: q/ p 17
18 Même si la pente représente une mesure de la sensibilité de la courbe de demande, elle présente certains défauts L inconvénient majeur est qu elle dépende des unités dans lesquelles la demande et le prix sont mesurés Donc, il est préférable d utiliser une mesure indépendante de ces unités Les économiste ont choisi d utiliser l élasticité 18
19 L élasticité de la demande par rapport au prix,, est définie comme la variation relative (en pourcentage) de la quantité divisée par la variation relative (en pourcentage) du prix. Mesurer en pourcentage permet de définir l élasticité indépendamment des unités 19
20 L élasticité peut donc être définie comme le rapport du prix à la quantité, multiplié par la pente de la courbe de demande Le signe d élasticité est en principe négative puisque les courbes de demande ont normalement une pente négative On utilise pour praticité les valeurs absolus de l élasticité 20
21 Considérons par exemple une courbe de demande linéaire: q = a bq La pente de cette droite est une constante En utilisant l équation de l élasticité, on peut écrire Pour p=0 l élasticité est nulle; pour q=0 l élasticité est égal à La valeur de p pour que l élasticité soit égal à 1 est p=a/2b 21
22 P >1 a/2b =1 <1 a/2 Q 22
23 On dit d un bien dont l élasticité de la demande est supérieure à 1 qu il a une demande élastique Si l élasticité est inférieure à 1, on dit qu il a une demande inélastique Si l élasticité est égal à 1, on dit qu il a une demande à élasticité unitaire De façon générale, l élasticité de la demande d un bien dépend dans une large mesure du nombre de substituts proches que ce bien possède 23
24 La recette n est que le prix d un bien multiplié par la quantité vendu de ce bien Si le prix d un bien augmente, la quantité vendue diminue et la recette peut dès lors augmenter ou diminuer L évolution de la recette dépend évidemment de la sensibilité de la demande à la variation du prix, et donc de l élasticité de la demande par rapport au prix 24
25 Si la demande diminue fortement quand le prix augmente, la recette diminue Si la demande ne diminue que faiblement, la recette augmente Il y a en effet une relation très importante entre l élasticité de la demande par rapport au prix et la variation de la recette 25
26 La définition de la recette est: R = p q Supposons que le prix et la quantité se modifient et deviennent respectivement p+ p ; q+ q La nouvelle recette sera: R 2 = (p+ p)(q+ q)=pq + q p + p q + p q R 2 R = R = q p + p q + p q Pour des petites valeurs de p et q R = q p + p q 26
27 On peut aussi exprimer le taux de variation de la recette par rapport à la variation du prix, il suffit diviser par p: Nous pouvons aussi nous demander sous quelles conditions le taux de variation de R est positive: En divisant par q: 27
28 La recette marginale est la variation de la recette suite à la variation de la quantité demandée d un bien En transformant cette équation on peut exprimer la relation entre la recette marginale et l élasticité: 28
29 En présence d une fonction de demande (inverse) linéaire: p = a - bq P RT P2 A P1 B e=1 Q2 Q1 Q Q1 Q 29
30 La recette marginale peut se représenter: RT P a bq D RT ( a bq) Q aq bq 2 RT R' a 2bQ Q RT Q1 Q R 30
31 L élasticité de la demande par rapport au revenu est utilisée pour représenter la façon dont la quantité demandée réagit à une variation de revenu: L élasticité de la demande par rapport au revenu est utilisée par les économistes pour classifier le biens comme inférieurs ou biens de luxe. 31
32 La technologie La théorie de la firme s occupe des choix qui la firme peut faire dans le cadre des certaines contraintes Ces choix peuvent concerner la quantité de production, le prix de vente, ou le comportement stratégique On peut distinguer entre les contraintes imposées par la nature et lesquelles imposées par les clients, les concurrents ou la technologie 32
33 La technologie La théorie de la production étudie les contraintes technologiques de la firme, c.à.d. la relation entre l emploi des facteurs de production (les inputs) et le niveau de production (output) réalisé par la firme La technologie représente les relations de production, i.e. la configuration du processus de transformation des inputs en outputs Les inputs sont souvent classés en grandes catégories telles que la terre, le travail, le capital et le matières premières 33
34 La technologie Les biens de capital sont les inputs qui sont euxmêmes des biens produits Il sont des machines d une sorte ou d une autre Parfois on utilise le terme capital pour désigner l argent utilisé pour démarrer ou faire tourner une affaire Afin d éviter des confusions, on peut distinguer entre le capital financier et le capital physique 34
35 La technologie Pour des niveaux donnés de production (output) qui la firme souhaite produire, il y a seulement certaines combinaisons des inputs permettant d obtenir ces quantités En d autres termes, il y a seulement certaines combinaisons qui sont techniquement réalisables L ensemble des combinaisons des inputs et outputs techniquement réalisables est appelé ensemble de production Le niveau maximum d output produit en utilisant un donné niveau d inputs représente la frontière de l ensemble de production 35
36 La technologie y = output Frontière de production est représentée par la fonction de production: y=f(x) A B Ensemble de production x = input 36
37 La technologie La fonction de production met en relation inputs et outputs Elle représente les lois de la production aussi que la technologie d une firme Un méthode de production est la combinaison des facteurs de production qui est nécessaire pour produire une unité du bien X Un méthode de production A est plus efficient en termes techniques d un méthode B s il utilise moins inputs pour produire le même niveau d output 37
38 La technologie Considérons un processus de production utilisant deux facteurs de production génériques, le capital (K) et le travail (L) L ensemble de toutes combinaisons de K et L suffisant à produire une quantité donnée d output et dit isoquante Sur chaque isoquante, les différentes combinaison de K et L permettent d obtenir la même quantité d output Pour la même fonction de production, différentes isoquents correspondent à différentes niveaux de production 38
39 La technologie On peut aussi définir l isoquante comme l ensemble des méthodes de production techniquement efficients pour la production d un même niveau d output Comme pour les courbes d indifférence, les isoquantes peuvent prendre des formes différentes selon le degré de substituabilité entre les facteurs de production 39
40 La technologie Inputs utilisés en proportions fixes (Leontieff) K L 40
41 Substituts parfaits K La technologie 10 A 3 B 4 11 L 41
42 La technologie Fonction de production Cobb-Douglas f(k,l) = AK α L K L 42
43 La technologie Comme pour les courbe d indifférence, on suppose que les isoquantes ont un certain nombre de propriétés Les technologies sont monotones: si on augmente la quantité d un de deux inputs, il devrait être possible de produire au moins la même quantité d output La technologie et convexe: pour deux techniques X et Z associées à le même niveau de production Y, il existe toujours une leur combinaison linéaire qui permit de produire au moins Y. 43
44 La technologie La fonction de production générique est la suivante Y f ( L, K, R, S, Où: Y = output L = travail K = capital R = matières premières S = terre ν = rendements d échelle γ = paramètre d efficience, ) 44
45 La technologie La fonction de production représente donc une relation purement technique entre les inputs et l output Les prix des facteurs de production ne sont pas pris en compte dans la fonction, mais ils déterminent les décisions de production de la firme Le fonctions de production sont représentés graphiquement sur les axes Cartésiennes 45
46 La technologie Des modifications des variables déterminent des déplacements le long de la courbe ou de déplacements de la courbe La pente de la fonction de production représente le produit marginal du facteur de production, c.à.d. la variation de l output suite à une variation du facteur de production Le produit marginale de chaque facteur est donc la dérivée de la production Y par rapport a celui-ci 46
47 La technologie Y P L ' Y L Y=f(L) K3v3 Y=f(L) K2v2 P K ' Y K Y=f(L) K1v1 L 47
48 La technologie La pente de l isoquante est défini taux de substitution technique K Y L 48
49 La technologie Le taux de substitution technique représente le taux auquel la firme peut diminuer la quantité d un de deux inputs et augmenter la quantité de l autre en maintenant inchangé le niveau de production Le TST est décroissant Δy = P K (K,L)ΔK + P L (K,L)ΔL = 0 On peut transformer cette équation de la façon suivante:. 49
50 La technologie L intensité des facteurs de production pour chaque technique est la pente de la droite qui passe pour l origine et pour la technique K P1 P2 Y L 50
51 La technologie Quand on augmente tous les facteurs de production, i.e. quand on change l échelle de production, on peut avoir des situations différentes Rendements d échelle constants Rendements d échelle croissants Rendements d échelle décroissants L augmentation de l output est proportionnel à l augmentation des inputs tf(k, L)=f(tK, tl) L output augmente proportionnellement plus que les inputs f(tk, tl) >tf(k, L) L output augmente proportionnellement moins que les inputs f(tk, tl) < tf(k, L) 51
L Elasticité Concept et Applications Chapitre 4
L Elasticité Concept et Applications Chapitre 4 L Elasticité...... est une mesure de la réaction des acheteurs et vendeurs aux changements dans les conditions du marché...... nous permet d analyser les
Plus en détailFONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX
FONCTION DE DEMANDE : REVENU ET PRIX 1. L effet d une variation du revenu. Les lois d Engel a. Conditions du raisonnement : prix et goûts inchangés, variation du revenu (statique comparative) b. Partie
Plus en détailConcurrence imparfaite
Concurrence imparfaite 1. Le monopole 2. Concurrence monopolistique 3. Hotelling et Salop 4. Concurrence à la Cournot 5. Concurrence à la Bertrand 6. Concurrence à la Stackelberg Monopole Un monopole,
Plus en détailCHAPITRE 1 : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ
CHAPITRE : DE LA FONCTION DE DEMANDE DU CONSOMMATEUR À LA DEMANDE DE MARCHÉ..Introduction.2. Le point de départ de l analyse micro-économique du consommateur.3. La fonction de demande individuelle.4. Effets
Plus en détailL oligopole ESCP 2012 2103
Structures de marché L oligopole Anne Yvrande Billon ESCP 2012 2103 1 Plan du cours (1/2) 1. Introduction : qu est ce qu un oligopole? 2. L oligopole de Cournot 3. Le «paradoxe de Bertrand» 2 1. Introduction
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailMarchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène
Marchés oligopolistiques avec vente d un bien non homogène Partons de quelques observations : 1. La plupart des industries produisent un grand nombre de produits similaires mais non identiques; 2. Parmi
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailPolitiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006
Politiques monétaire et fiscale Cours de M2R Printemps 2006 Ekkehard Ernst OCDE Ekkehard Ernst 1 Introduction et résumé du cours Objectifs Connaître et apprendre les concepts modernes d analyse monétaire
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailCHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal
III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailCONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER. Epargne et emprunt Calcul actuariel
CONSOMMATION INTERTEMPORELLE & MARCHE FINANCIER Epargne et emprunt Calcul actuariel Plan du cours Préambule : la contrainte budgétaire intertemporelle et le calcul actuariel I II III Demandes d épargne
Plus en détailLa demande Du consommateur. Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal
La demande Du consommateur Contrainte budgétaire Préférences Choix optimal Plan du cours Préambule : Rationalité du consommateur I II III IV V La contrainte budgétaire Les préférences Le choix optimal
Plus en détailAC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =
LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailLogistique, Transports
Baccalauréat Professionnel Logistique, Transports 1. France, juin 2006 1 2. Transport, France, juin 2005 2 3. Transport, France, juin 2004 4 4. Transport eploitation, France, juin 2003 6 5. Transport,
Plus en détailLes coûts de la production. Microéconomie, chapitre 7
Les coûts de la production Microéconomie, chapitre 7 1 Sujets à aborder Quels coûts faut-il considérer? Coûts à court terme Coûts à long terme Courbes de coûts de court et de long terme Rendements d échelle
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détailChapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne
hapitre 2/ La fonction de consommation et la fonction d épargne I : La fonction de consommation keynésienne II : Validations et limites de la fonction de consommation keynésienne III : Le choix de consommation
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailVariations du modèle de base
1 Variations du modèle de base Dans ce chapitre nous allons utiliser le modèle de base du chapitre précédent pour illustrer certaines questions économiques simples. Ainsi, le modèle précédent nous permettra
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailPropriétés des options sur actions
Propriétés des options sur actions Bornes supérieure et inférieure du premium / Parité call put 1 / 1 Taux d intérêt, capitalisation, actualisation Taux d intéret composés Du point de vue de l investisseur,
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailBac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)
Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre
Plus en détailBaccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013
Baccalauréat ES/L Amérique du Sud 21 novembre 2013 A. P. M. E. P. EXERCICE 1 Commun à tous les candidats 5 points Une entreprise informatique produit et vend des clés USB. La vente de ces clés est réalisée
Plus en détailCOURS 2 : LA DEMANDE DU CONSOMMATEUR
Université Pierre et Marie Curie Licence Informatique 2014-2015 Cours LI 352 - Industrie Informatique et son Environnement Économique Responsable : Jean-Daniel Kant (Jean-Daniel.Kant@lip6.fr) COURS 2 :
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailSINE QUA NON. Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases
SINE QUA NON Découverte et Prise en main du logiciel Utilisation de bases Sine qua non est un logiciel «traceur de courbes planes» mais il possède aussi bien d autres fonctionnalités que nous verrons tout
Plus en détailFormation tableur niveau 1 (Excel 2013)
Formation tableur niveau 1 (Excel 2013) L objectif général de cette formation est de repérer les différents éléments de la fenêtre Excel, de réaliser et de mettre en forme un tableau simple en utilisant
Plus en détailProblèmes de crédit et coûts de financement
Chapitre 9 Problèmes de crédit et coûts de financement Ce chapitre aborde un ensemble de préoccupations devenues essentielles sur les marchés dedérivésdecréditdepuislacriseducréditde2007.lapremièredecespréoccupations
Plus en détailMéthode : On raisonnera tjs graphiquement avec 2 biens.
Chapiittrre 1 : L uttiilliitté ((lles ménages)) Définitions > Utilité : Mesure le plaisir / la satisfaction d un individu compte tenu de ses goûts. (On s intéresse uniquement à un consommateur rationnel
Plus en détailPremier modèle - Version simple
Chapitre 1 Premier modèle - Version simple Les individus vivent chacun six générations successives d adultes, chacune d une durée de dix ans, sans distinction faite entre les individus d une même génération.
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailChapitre 1. L intérêt. 2. Concept d intérêt. 1. Mise en situation. Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de :
Chapitre 1 L intérêt Au terme de ce chapitre, vous serez en mesure de : 1. Comprendre la notion générale d intérêt. 2. Distinguer la capitalisation à intérêt simple et à intérêt composé. 3. Calculer la
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailL'ELASTICITE-PRIX I- QUAND LES PRIX VARIENT...
L'ELASTICITE-PRIX La consommation dépend, entre autre, du prix des biens et des services que l'on désire acheter. L'objectif de ce TD est de vous montrer les liens existants entre le niveau et l'évolution
Plus en détailComplément d information concernant la fiche de concordance
Sommaire SAMEDI 0 DÉCEMBRE 20 Vous trouverez dans ce dossier les documents correspondants à ce que nous allons travailler aujourd hui : La fiche de concordance pour le DAEU ; Page 2 Un rappel de cours
Plus en détailSouad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/
Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation
Plus en détailAux chapitres 14 et 15, nous avons vu
Chapitre 16 La monnaie et les marchés des biens et des services Sommaire Xxxxxxxx Les effets des variations monétaires sur le revenu national........ 519 Les effets sur la monnaie des variations sur le
Plus en détailLe modèle canadien de gestion de la dette
Le modèle canadien de gestion de la dette David Jamieson Bolder, département des Marchés financiers L objectif que poursuit le gouvernement canadien dans la gestion du portefeuille de la dette intérieure
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailCours Marché du travail et politiques d emploi
Cours Marché du travail et politiques d emploi L offre de travail Pierre Cahuc/Sébastien Roux ENSAE-Cours MTPE Pierre Cahuc/Sébastien Roux (ENSAE) L offre de travail 1 / 48 Introduction Introduction Examen
Plus en détailDidacticiel Études de cas. Description succincte de Pentaho Data Integration Community Edition (Kettle).
1 Objectif Description succincte de Pentaho Data Integration Community Edition (Kettle). L informatique décisionnelle («Business Intelligence BI» en anglais, ça fait tout de suite plus glamour) fait référence
Plus en détail10. L épargne, l investissement et le système financier
10. L épargne, l investissement et le système financier 1. Le système financier Un système financier = ensemble des institutions financières qui ont pour objet de mettre en relation les besoins de financement
Plus en détailFonctions homographiques
Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie
Plus en détailCalculs de probabilités avec la loi normale
Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce
Plus en détailL ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ
L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailStatistiques Descriptives à une dimension
I. Introduction et Définitions 1. Introduction La statistique est une science qui a pour objectif de recueillir et de traiter les informations, souvent en très grand nombre. Elle regroupe l ensemble des
Plus en détailPartie 5 : La consommation et l investissement
Partie 5 : La consommation et l investissement Enseignant A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès France Cours de macroéconomie suite La troisième partie a exposé les théories
Plus en détailM2 IAD UE MODE Notes de cours (3)
M2 IAD UE MODE Notes de cours (3) Jean-Yves Jaffray Patrice Perny 16 mars 2006 ATTITUDE PAR RAPPORT AU RISQUE 1 Attitude par rapport au risque Nousn avons pas encore fait d hypothèse sur la structure de
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailLISTE D EXERCICES 2 (à la maison)
Université de Lorraine Faculté des Sciences et Technologies MASTER 2 IMOI, parcours AD et MF Année 2013/2014 Ecole des Mines de Nancy LISTE D EXERCICES 2 (à la maison) 2.1 Un particulier place 500 euros
Plus en détailJOHANNA ETNER, MEGLENA JELEVA
OPENBOOK LICENCE / BACHELOR Micro économie JOHANNA ETNER, MEGLENA JELEVA Sommaire Remerciements... Introduction... V VII Chapitre 1 Demande et offre sur le marché... 1 Chapitre 2 Technologie de production...
Plus en détailPrudence, Epargne et Risques de Soins de Santé Christophe Courbage
Prudence, Epargne et Rique de Soin de Santé Chritophe Courbage ASSOCIATION DE GENÈVE Introduction Le compte d épargne anté (MSA), une nouvelle forme d intrument pour couvrir le dépene de anté en ca de
Plus en détailPratique des options Grecs et stratégies de trading. F. Wellers
Pratique des options Grecs et stratégies de trading F. Wellers Plan de la conférence 0 Philosophie et structure du cours 1 Définitions des grecs 2 Propriétés des grecs 3 Qu est ce que la volatilité? 4
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailCARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT
TP CIRCUITS ELECTRIQUES R.DUPERRAY Lycée F.BUISSON PTSI CARACTERISTIQUE D UNE DIODE ET POINT DE FONCTIONNEMENT OBJECTIFS Savoir utiliser le multimètre pour mesurer des grandeurs électriques Obtenir expérimentalement
Plus en détailOrganisation Industrielle
Organisation Industrielle Chapitre 1 : Introduction Master 1 Université Lyon 2 Laurent Granier - Année 2011/2012 - Définition de l économie industrielle «Etude de la structure des entreprises et des marchés,
Plus en détailun environnement économique et politique
Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque
Plus en détailExo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs
Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication
Plus en détailERRATA ET AJOUTS. ( t) 2 s2 dt (4.7) Chapitre 2, p. 64, l équation se lit comme suit : Taux effectif = 1+
ERRATA ET AJOUTS Chapitre, p. 64, l équation se lit comme suit : 008, Taux effectif = 1+ 0 0816 =, Chapitre 3, p. 84, l équation se lit comme suit : 0, 075 1 000 C = = 37, 50$ Chapitre 4, p. 108, note
Plus en détailNote de service À : De :
Note de service À : De : Tous les Fellows, affiliés, associés et correspondants de l Institut canadien des actuaires et autres parties intéressées Jim Christie, président Conseil des normes actuarielles
Plus en détailFonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme
Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailIntroduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux
Nom : Prénom : Num Etudiant : Groupe de TD : Introduction à la Microéconomie Contrôle continu Licence 1 Economie-Gestion 2009/2010 Enseignants : E. Darmon F.Moizeau B.Tarroux PRECISEZ ICI SI VOUS AVEZ
Plus en détailQuatrième partie IV. Test. Test 15 février 2008 1 / 71
Quatrième partie IV Test Test 15 février 2008 1 / 71 Outline Introduction 1 Introduction 2 Analyse statique 3 Test dynamique Test fonctionnel et structurel Test structurel Test fonctionnel 4 Conclusion
Plus en détailMesure, impact des politiques et estimation. Programme de formation MIMAP. Remerciements
Pauvreté, bienêtre social et équité : Mesure, impact des politiques et estimation par JeanYves Duclos Département d économique et CRÉFACIRPÉE, Université Laval, Canada Programme de formation MIMAP Remerciements
Plus en détailBaccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Antilles Guyane 12 septembre 2014 Corrigé EXERCICE 1 5 points Commun à tous les candidats 1. Réponse c : ln(10)+2 ln ( 10e 2) = ln(10)+ln ( e 2) = ln(10)+2 2. Réponse b : n 13 0,7 n 0,01
Plus en détailCorrection du bac blanc CFE Mercatique
Correction du bac blanc CFE Mercatique Exercice 1 (4,5 points) Le tableau suivant donne l évolution du nombre de bénéficiaires de minima sociaux en milliers : Année 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailTRAVAIL ET GESTION DE L EMPLOI?
INDICATIONS COMPLÉMENTAIRES E n s e l i m i t a n t à u n e présentation graphique simple et en insistant sur les déterminants de l'offre et de la demande, on expliquera l'analyse néoclassique du fonctionnement
Plus en détailTSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES
TSTT ACC OUTILS DE GESTION COMMERCIALE FICHE 1 : LES MARGES Coût de revient du produit + Marge du fabricant = Prix de vente HT au distributeur Prix d'achat HT du distributeur + Marge du distributeur =
Plus en détailDérivation : Résumé de cours et méthodes
Dérivation : Résumé de cours et métodes Nombre dérivé - Fonction dérivée : DÉFINITION (a + ) (a) Etant donné est une onction déinie sur un intervalle I contenant le réel a, est dérivable en a si tend vers
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détaildonnées en connaissance et en actions?
1 Partie 2 : Présentation de la plateforme SPSS Modeler : Comment transformer vos données en connaissance et en actions? SPSS Modeler : l atelier de data mining Large gamme de techniques d analyse (algorithmes)
Plus en détailTable des matières. I Mise à niveau 11. Préface
Table des matières Préface v I Mise à niveau 11 1 Bases du calcul commercial 13 1.1 Alphabet grec...................................... 13 1.2 Symboles mathématiques............................... 14 1.3
Plus en détailVision industrielle et télédétection - Détection d ellipses. Guillaume Martinez 17 décembre 2007
Vision industrielle et télédétection - Détection d ellipses Guillaume Martinez 17 décembre 2007 1 Table des matières 1 Le projet 3 1.1 Objectif................................ 3 1.2 Les choix techniques.........................
Plus en détailWARRANTS TURBOS CERTIFICATS. Les Warrants. Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier
WARRANTS TURBOS CERTIFICATS Les Warrants Découvrir et apprendre à maîtriser l effet de levier 2 WARRANTS Qu est-ce qu un Warrant? Un warrant est une option cotée en Bourse. Emis par des établissements
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailPremier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K
Premier ordre Expression de la fonction de transfert : H(p) = K + τ.p. K.e τ K.e /τ τ 86% 95% 63% 5% τ τ 3τ 4τ 5τ Temps Caractéristiques remarquables de la réponse à un échelon e(t) = e.u(t). La valeur
Plus en détailLE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.
LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailCHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS
CHAPITRE 2 : L'INVESTISSEMENT ET SES DETERMINANTS Notions à connaître: Taux de rentabilité, taux d'intérêt, demande anticipée, investissement matériel, investissement immatériel, investissement public,
Plus en détailFctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines
FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html
Plus en détailLecture graphique. Table des matières
Lecture graphique Table des matières 1 Lecture d une courbe 2 1.1 Définition d une fonction.......................... 2 1.2 Exemple d une courbe........................... 2 1.3 Coût, recette et bénéfice...........................
Plus en détailPERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES
PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment
Plus en détail