Obésité chez l enfant et l adolescent: Bases médicales pour une activité physique adaptée. Dr Anne LAUTRIDOU-DERYCKE, Pédiatre, CHU Rouen 25/09/2015
|
|
- Marie-Noëlle Martin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Obésité chez l enfant et l adolescent: Bases médicales pour une activité physique adaptée Dr Anne LAUTRIDOU-DERYCKE, Pédiatre, CHU Rouen 25/09/2015
2 Définitions Obésité et surpoids: accumulation anormale ou excessive de graisse corporelle qui peut nuire à la santé (OMS 2000). IMC: Poids (kg)/taille² (m) Chez l adulte: Obésité et surpoids définis en fonction de l IMC entrainant une augmentation de mortalité Chez l enfant : données non existantes Courbes d IMC: surpoids > 97 ème percentile, obésité? carnet de santé (réf française) Rolland-Cachera,1991 Courbes «IOTF» (internationale) 2000 Courbes de référence PNNS 2010
3
4
5 Epidémiologie En France actuellement, selon les études: chez les enfants de 7-9 ans: surpoids: 16-18%; Obésité 3-3,5% Après période d augmentation progressive, 1ers succès dans les pays ayant une politique de prévention/prise en charge (EU, France ): stabilisation Populations défavorisées: prévalence 3 à 4 fois supérieures que les populations aisées! Disparité régionale
6 Effets délétères de la sédentarité
7 Bienfaits de l activité physique Augmentation densité osseuse ( risque fracture et d ostéoporose) Diminution du processus d athérosclérose et donc du risque cardio-vasculaire: o o o Triglycéridémie et HDL, de l insulino-résistance de la Pression artérielle de la capacité à l effort ( Vo2 max) Amélioration du psychisme et l estime de soi: o o o o Image corporelle positive Mieux-être général Diminution agressivité Socialisation
8 Et la perte de poids? Chez les jeunes obèses ou en surpoids, AP seule: pas ou peu d effet sur corpulence Mais modifications de la composition corporelle ( masse grasse et masse musculaire) Cf Atlantis et Al 2006 En cas de limitation des apports alimentaires associée, elle limite la perte de masse musculaire aide à pérenniser la perte de poids
9 Spirale «vertueuse»
10 Etude ICAPS Intervention auprès des collégiens centrés sur l AP et la sédentarité Programme visant à modifier l attitude /motivation des enfants vis à vis de l AP+ propositions de nouvelles AP Suivi sur 4 années (479 enfants témoins) AP de loisir 1h/semaine et temps d écran Limitation de l de l IMC (4.2% devenus en surpoids contre 9.8% dans collège témoin) p<0.02 HDL cholestérol 79% des enfants avec une AP supervisée en dehors des programmes scolaires vs 47% témoins
11 Objectifs de prise en charge Permettre le retour du jeune à une meilleure santé «état complet de bien-être physique, mental et social» OMS,1946 «[ ] réaliser ses ambitions et satisfaire ses besoins et d autre part, évoluer avec le milieu ou s adapter à celui-ci» OMS, 1986 Obtenir 60 minutes d AP / jour chez tous les enfants (y compris obèses) Diminution de la masse grasse, et des facteurs de risque cardio-vasculaires Amélioration des complications Restaurer une image de soi positive De façon durable. (pas forcément perte de poids!!)
12 Accompagner un enfant/ ado vers l activité physique 1) Lutter contre la sédentarité o o Limiter les temps d écrans (TV, ordinateur, jeux vidéos, tablettes, téléphone ) Veiller à ce que l enfant ne reste pas inactif: Petits < 6 ans: éviter poussette, favoriser jeux extérieurs( square, jardin ), partager des activités en famille (promenade, jeux actifs ). Attention écrans déconseillés avant 3 ans!! >6 ans et ado :déplacement pour l école (à pied ou mixte), jeux récréatifs extérieurs( ballon, vélo, roller ), promener le chien, prendre les escaliers, activités de la vie quotidienne (aide pour ménage, courses, tondre la pelouse ) 2) Augmenter l activité physique structurée ou non o o o En club A l école Avec la famille, les parents, les amis
13 Evaluation préalable à l AP Au cours d un entretien préalable avec l enfant et ses parents et d un examen médical (indispensable) Pour rechercher les éventuelles contre-indicationsà l activité sportive Pour réfléchiravec le jeune et sa famille à la manière de la mettre en place : o o Activité adaptée (seul ou avec d autres jeunes en surpoids) au début Ou activité directement avec le groupe avec ou sans adaptation de son effort Importance de connaitre ses expériences antérieures (+ et -)concernant l AP, son degré actuel de sédentarité et d activité, ses gouts et habitudes + évaluer sa motivation.
14 Contraintes imposées par l AP chez l enfant/ado en surpoids Contraintes + élevées sur l appareil locomoteur: o Encombrement lié au poids o Plus de difficultés coordination/adresse/agilité/équilibre risque fractures/traumatismes plus important chez ces enfants Capacités cardio-respiratoires à l effort o Sollicitations + importantes pour même intensité d activité o Exacerbation d un asthme/ SAS (risque Hypoxémie/hypercapnie) Psychologiques o Mal-être lié à une mauvaise image du corps o Moins de soutien parental à la pratique d une AP o Stigmatisation par parents/camarades évitement des pairs
15 Evaluation préalable à l AP Evaluation staturopondérale: -Contraintes plus élevées si excès pondéral important évaluer la sévérité de l obésité - Obésité majeure > +4 DS
16 Evaluation préalable à l AP Evaluation staturopondérale: -Contraintes plus élevées si excès pondéral important évaluer la sévérité de l obésité - Obésité majeure > +4 DS Evaluer l aptitude physique et psychologique: - Cardio-vasculaire - Ostéo-articulaire - Psychologique
17 Evaluation préalable à l AP Evaluation staturopondérale: -Contraintes plus élevées si excès pondéral important évaluer la sévérité de l obésité - Obésité majeure > +4 DS Evaluer l aptitude physique et psychologique: - Cardio-vasculaire - Ostéo-articulaire - Psychologique Essoufflement, douleur thoracique, malaise, palpitations Asthme associé
18 Evaluation préalable à l AP Evaluation staturopondérale: -Contraintes plus élevées si excès pondéral important évaluer la sévérité de l obésité - Obésité majeure > +4 DS Evaluer l aptitude physique et psychologique: - Cardio-vasculaire - Ostéo-articulaire - Psychologique Pathologies ostéo -articulaires connues Douleurs (intensité)/localisation Ex clinique Souplesse / équilibre/ coordination
19 Evaluation préalable à l AP Evaluation staturopondérale: -Contraintes plus élevées si excès pondéral important évaluer la sévérité de l obésité - Obésité majeure > +4 DS Evaluer l aptitude physique et psychologique: - Cardio-vasculaire - Ostéo-articulaire - Psychologique Stigmatisation/ difficultés lors des pratiques sportives antérieures Perception image du corps
20 Synthèse de l évaluation
21 Avis médical MEDECIN TRAITANT Médecin obésité Médecin du sport Cardio-pédiatre Pneumo-pédiatre Chirurgien orthopédiste Epreuve d effort (VO2 max) EFR Radiographies CERTIFICAT MEDICAL (non contre-indication)
22 CSO pédiatrique: prise en charge multidisciplinaire Suivi médical(endocrino et gastro-pédiatres) Bilan et suivi diététique Avis complémentaires pour les complications: pneumo, gynéco, généticiens, orthopédistes, psychologues et psychiatres Equipe sociale(as/ médecin) Maisons des adolescents/ Psychologues Suivi Externe HDJ Mise à disposition du plateau technique pour les examens complémentaires: polysomnographie, bilan endocrinien, radiologique, génétique
23 En cas de désadaptation à l effort. Programme de réentrainement à l effort : o Activité à dominante aérobie (vélo, vélo ellipitique, rameur, stepper) o D intensité progressivement croissante o Idéalement 3 séances /semaine (pex min) En pratique : o Kiné libéral o APA ( Activité physique adaptée) o ADAPT ++
24 Dans les autres cas: Traiter l asthme, l apnée du sommeil Rééducation ciblée Conseils: o Rythme et fréquence de l activité o Reprise progressive de l activité physique o échauffement o Exercices d assouplissements o Habillage/ chaussage adaptés Certificat d inaptitude partielle PEC psychologique Liste clubs sportifs «sports et obésité» en HN
25 Normalement dans le cadre de l éducation nationale Mais utilisable aussi dans le secteur sportif associatif pour donner des indications d aménagement de l activité en fonction des contraintes physiques du jeune
26
27 Synthèse PNNS téléchargeable gratuitement
28
29 Conclusion Objectifs: Pouvoir redonner le «goût» de l activité physique à tous: o En toute sécurité (respect des contre-indications) o En connaissant et en prenant compte les limites de chacun o Dans des conditions de bien-être pour le jeune : seul ou en groupe, dans le but d une intégration ultérieure... Dans un but global d amélioration de la santé physique et psychique des jeunes Insister sur l aspect ludique/plaisir Objectif 60 minutes d AP / jour
30 QCM 1: L obésité chez l enfant Est définie par un IMC > 30 kg/m² (F) Peut être prévenue par une augmentation de l activité physique (V) Peut être une CI à l activité physique si elle est sévère (F) Entraîne une augmentation des contraintes liées à l activité physique (V) Peut entraîner une stigmatisation pouvant être responsable d un arrêt de la pratique sportive (V)
31 QCM2 Avant la reprise du sport chez un enfant obèse On conseille toujours la réalisation d une épreuve d effort (F ) Une consultation médicale spécialisée est toujours indiquée (F) Un examen médical est indiqué (V) On demande à l enfant de choisir un club sportif formé à l accueil des personnes obèses (F) L évaluation des contraintes psychologiques liée à l activité sportive sera évaluée (V) Un séjour à l ADAPT est indiqué (F)
32 QCM 3: Le temps d activité physique conseillé chez l enfant obèse Est de 30 minutes par jour (F) Est de 45 minutes 3 fois par semaine (F) Est de 60 minutes par jour (V) Est de 1h303 fois par semaine (F)
OBESITE ET EPS. Cf www.sante.fr.(programme national, nutrition santé, courbe de corpulence)
OBESITE ET EPS DEFINITION L obésité se définit comme un excès de poids pouvant retentir sur la santé. La mesure générale acceptée de l obésité est l Indice de Masse Corporelle (IMC : poids en kg / taille
Plus en détailCATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE
CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CATÉGORIE B TEST D ORIENTATION TECHNIQUES D'EXPRESSION ÉCRITE Durée : 3h00 Un concours ou un examen de catégorie B exige un champ de connaissances élargi
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailBouger, c est bon pour la santé!
Bouger, c est bon pour la santé! Tous concernés! De quoi s agit-il? Il s agit de toute activité physique, dès lors que nous bougeons. Ainsi tous les pas comptent, comme ceux que nous faisons chez nous
Plus en détailINNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro
INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailAPS résumé partie III
1 APS résumé partie III Les outils d évaluation de l activité physique Le but est de quantifier/ évaluer les activités physiques habituelles (non-structurées).on a plusieurs méthodes : - Indirectes (subjectives)
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailLe mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé. Acti March
Le mouvement vitalité! Un pas vers la forme! Sport-Santé Acti March Une Fédération pour votre forme Moyen de déplacement à la portée de tous, quel que soit son âge, la marche est une forme d activité physique
Plus en détailBrochure d information destinée aux parents. Bienvenue à Clairival. Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant
Brochure d information destinée aux parents Bienvenue à Clairival Informations utiles sur la prise en soins de votre enfant Présentation Le service de psychiatrie de l enfant et de l adolescent des Hôpitaux
Plus en détailPAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket*
COMMENCER LE SPORT PAS SI DUR QUE ÇA! * La super chaussure qui donne envie de faire du sport! Flash basket* La sédentarité liée à nos modes de vie participe à une augmentation de risques pour la santé
Plus en détailExposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?
5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailTests d exploration à l effort
Tests d exploration à l effort chez le sportif handicapé P. Edouard, F. Degache, F. Roche, J. Castells, P. Calmels, X. Devillard Service de Médecine Physique et de Réadaptation Laboratoire de Physiologie
Plus en détailActions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée
Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant
Plus en détailPROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I
PROMOTION DE L ACTIVITÉ PHYSIQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS DIABÉTIQUES DE TYPE I UN PROJET DU PROGRAMME CANTONAL DIABÈTE Jérôme Spring Maître de sport APA Diabétologie pédiatrique Riviera-Chablais
Plus en détailet de suivi de la corpulence des enfants
CALIMCO Logiciel d'évaluation et de suivi de la corpulence des enfants version 2.0 1 / 8 1.Introduction En 2004, un logiciel, CalIMCo, produit dans le cadre du PNNS, a été diffusé sous forme de CD Rom
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailDEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES. OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO)
DEFICIENCES METABOLIQUES ET ACTIVITES PHYSIQUES ADAPTEES OBESITE DIABETE I et II (M. AMATO) 1 OBESITE 2 OBESITES DE GRADE III ou MORBIDE, espérance de vie limitée 3 ans (grade II) à 10 ans (grade III)*
Plus en détailTest de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance?
Test de terrain ou test de laboratoire pour la performance en endurance? Ajaccio 12 mai 2012 F. Carré Université Rennes 1 Hopital Pontchaillou Inserm UMR 1099 Les «tests» chez le sportif Exploration performance
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailChallenges. Seniors. des. Dossier de presse. Village santé
Challenges des Seniors Dimanche 9 octobre 2011 Dossier de presse Epreuves challenges Village santé Activités déc couvertes Contact presse : Direction de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailCOMPETENCE DE NIVEAU N1
GROUPE DES ACTIVITES ATHLETIQUES DEMI FOND Réaliser une performance motrice maximale mesure à une échéance donnée COMPETENCE DE NIVEAU N1 Compétences attendues dans l APSA Réaliser la meilleure performance
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailDIABETE ET SPORT. Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS
DIABETE ET SPORT Dominique HUET Hopital Saint Joseph PARIS DIABETE TYPE 1#TYPE 2 Jeunes sportifs Risque hypoglycémie Adaptation schémas Autosurveillance +++ Sports souvent sources de difficultés Contre
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailRÉ-ACTIVITÉ... sédentarité et surpoids : promouvoir l activité physique auprès de tous les jeunes
RÉ-ACTIVITÉ... sédentarité et surpoids : promouvoir l activité physique auprès de tous les jeunes GUIDE À DESTINATION DES ÉDUCATEURS, ENSEIGNANTS, SOIGNANTS, ASSOCIATIONS ET COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailDirectives canadiennes en matière d activité physique Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire
Directives canadiennes en matière d activité physique Directives canadiennes en matière de comportement sédentaire Votre plan pour une vie active au quotidien! Directives canadiennes en matière d activité
Plus en détailObésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition
Obésité et psoriasis Données actuelles et questions au spécialiste en nutrition Emilie MONTASTIER, Carle PAUL Endocrinologie, Nutrition, Dermatologie Université Paul Sabatier, Hôpital Larrey UMR CNRS 5165,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailProjet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel
Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailRepenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme. Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc.
Repenser notre façon d aborder les problèmes de poids : s inspirer d un nouveau paradigme Fannie Dagenais, Dt.P., M.Sc. Un problème de santé publique inquiétant Au Québec: 73 % des femmes veulent maigrir
Plus en détailL EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière
L EXAMEN MEDICAL PREALABLE A LA PRESCRIPTION QUELLE EVALUATION INITIALE? Dr Jean-Marc SENE médecin du sport - CHU Pitié-Salpétrière INTRODUCTION INDICATIONS EVALUATION INITIALE PRESCRIPTION ET SUIVI CONCLUSION
Plus en détailTableau de garanties Accord National du 10 juin 2008 Socle conventionnel & Options
Tableau de garanties Accord National du 10 juin 2008 conventionnel & s Pour les salariés non cadres production agricole AGRI PREVOYANCE Introduction à la lecture du tableau de garanties Le tableau des
Plus en détailProgramme. Programme Activ. Dossier de presse Juin 2013. Dossier de presse Programme Activ 1
Programme Programme Activ Dossier de presse Juin 2013 Dossier de presse Programme Activ 1 01 UN DISPOSITIF AMBITIEUX POUR RÉDUIRE LES RISQUES DE RÉCIDIVE DE CANCERS DU SEIN 2 Une phase pilote a été menée
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailSport et maladies métaboliques (obésité, diabète)
Sport et maladies métaboliques (obésité, diabète) Chef du service de médecine du sport, CHU de Clermont-Ferrand Monsieur Julien AUCOUTURIER Maître de conférences STAPS 60 % des diabétiques de type 2 sont
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailDESTINATION LONDRES 2012
DESTINATION LONDRES 2012 Présentation L IME André Coudrier Les jeunes et le sport Projet «London 2012» L IME André Coudrier La structure La mission et le projet L IME et l APAJH Le personnel encadrant
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détailSession Diagnostic. organisme gestionnaire du développement professionnel continu. www.cardiosleep.fr
Session Diagnostic organisme gestionnaire du développement professionnel continu www.cardiosleep.fr UN CONSTAT 1 patient sur 3 est atteint de Troubles Respiratoires du Sommeil (TRS) en cardiologie. Les
Plus en détailEnsemble vers de saines habitudes de vie!
Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec
Plus en détailDécouvrez un nouveau métier :
Institut Français de Coaching en Sport - Santé - Bien-Être Découvrez un nouveau métier : 1 er Formation de coaching* réunissant 3 domaines : La Prévention Santé (prévenir les principales maladies de civilisation)
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailéviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR SES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur ses connaissances 3 Vrai Faux Rappel 4 Un AVC peut-il
Plus en détailANIMATIONS LA PETITE JULES VERNE COURIR LA JULES VERNE Samedi 30 mai
ANIMATIONS PETITE JULES VERNE COURIR JULES VERNE Samedi 30 mai LES DIFFERENTS ATELIERS AU SEIN DU STA AMIENS METROPOLE ATELIERS 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8 STA STA ANIMATIONS PETITE JULES VERNE COURIR JULES
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailProgrammation des séances (Trêve de Noël 2013) Détail des séances. * gainage abdo-lombaire (voir planches D) * gainage abdo-lombaire (voir planches D)
Détail des séances Séance numéro 1: 1- Course PMA 1 : I- 10 minutes de jogging facile + stretching des jambes II- 3 blocs de 6 minutes en 30 course/30 repos sur 154m Prendre 1 30 de récupération entre
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailINAUGURATION Du service de Pédiatrie Dossier de presse JEUDI 14 NOVEMBRE 2013
Dossier de presse INAUGURATION Du service de Pédiatrie JEUDII 14 NOVEMBRE 2013 Le dossier Le service de Pédiatrie Introduction La Pédiatrie : Ses activités Quelques données chiffrées Son fonctionnement
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailQuand le stress nous rend malade
Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors
Plus en détailAPPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION
APPLICATION THOMSON HEALTHCARE GUIDE D UTILISATION Créer son profil 2 Autorisation Health Kit (sous ios 8 uniquement) Autoriser Thomson Healthcare à écrire et à lire des données de santé 3 Création Profil
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailVIVAGO WELLNESS DOSSIER DE PRESSE
VIVAGO WELLNESS DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : 01.43.03.03.67 Didier Jardin 06.60.32.56.87 Olivier Bessières 06.65.51.32.99 Documentations et photographies disponibles sur demande. Espace Presse sur
Plus en détailProgramme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire
11-056-060 article LOPEZ_Donnadieu 18/09/13 16:30 Page56 Programme Gym Après Cancer Fédération Française d Education Physique et Gymnastique Volontaire Elodie LOPEZ*, Charlène FALZON 1, Marie-Christine
Plus en détailRéseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents
Obésité Sévère de l Enfant et de l Adulte en Nord/Pas-de-Calais Réseau Diabhainaut Programme Osean Enfant Document d Information pour les Parents Les services de médecine scolaire ou votre médecin traitant
Plus en détailRépublique Algérienne Démocratique et Populaire. Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière
République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière Direction de la Santé et de la Population de la Wilaya d'alger Etablissement Public
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailprésentation générale
présentation générale des installations médicales et sportives de pointe Conçu pour les meilleurs footballeurs, ouvert à tous les sportifs de haut niveau L arsenal thérapeutique du centre médical comprend
Plus en détailReprésentation d une distribution
5 Représentation d une distribution VARIABLE DISCRÈTE : FRÉQUENCES RELATIVES DES CLASSES Si dans un graphique représentant une distribution, on place en ordonnées le rapport des effectifs n i de chaque
Plus en détailJournée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre
Journée de conférences plénières le mardi 17 mars, 9h 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Journée forum / ateliers le vendredi 20 mars, 9h - 17h, Centre Pablo Neruda, Nîmes Des actions en parallèle tout au
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailQUESTIONNAIRE SUR LA PRATIQUE SPORTIVE DES JEUNES
1 QUESTIONNAIRE SUR LA PRATIQUE SPORTIVE DES JEUNES (6-20ans) en situation de handicap moteur et/ou sensoriel en Lorraine. Ce questionnaire est réalisé par le Comité Régional Handisport de Lorraine. Il
Plus en détailEducation Thérapeutique (ETP)
Education Thérapeutique (ETP) Enfant diabétique type I Marie Caron Infirmière puéricultrice référente en éducation thérapeutique Maryse Tamburro Cadre puéricultrice Centre initiateur de pompes à insuline
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailATELIER 2: Les «bénéfices psychologiques» de l ETP: psychothérapie, thérapie cognitivocomportementale. quels équilibres?
12èmes Journées Régionales d échanges en Education du Patient EDUCATION DU PATIENT : «Entre bénéfices possibles et attendus.vers de nouveaux équilibres» jeudi 29 et vendredi 30 novembre 2012 ATELIER 2:
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailBiarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance
Communiqué de presse 19 mai 2015 INNOVATION SANTE INNOVATION TERRITOIRE Biarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance Alors que la loi santé votée le 14 avril 2014 met en avant
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailLA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE
Jean-Paul BLANC Diététicien-Nutritionniste Neuilly sur Seine www.cabinet-de-nutrition-et-dietetique.eu LA QUESTION DE LA PRISE DE POIDS CHEZ LE FUMEUR EN SEVRAGE TABAGIQUE Au cours de la dernière décennie
Plus en détailMasseur Kinésithérapeute
CP Concours Prépa Santé Optimum : 896 h/an Access : 700 h/an de septembre à mai Masseur Kinésithérapeute Le Métier de Masseur Kinésithérapeute Le kinésithérapeute assure la rééducation des personnes atteintes
Plus en détailDEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS. 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte des objectifs de l eps
DEVELOPPEMENT DES ADOLESCENTS ET EPS 1. Définition 2. Spécificité des adolescents Nicolas DOMBROWSKI, Agrégé EPS, 2010 3. Quels problèmes professionnels pose le développement des adolescents pour l atteinte
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailatelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux
atelier d urbanisme commercial MALACHER NORD Étude d impacts économiques et commerciaux RENDU DOCUMENTAIRE 3 - DÉCEMBRE 2014 Sommaire les attentes croisées la synthèse des attentes l étude de potentiel
Plus en détail