«Modifications topographiques et indicielles de la silice sous faisceau d électrons»

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "«Modifications topographiques et indicielles de la silice sous faisceau d électrons»"

Transcription

1 IRCOM «Modifications topographiques et indicielles de la silice sous faisceau d électrons» Directeur de thèse : Isabelle Niort Jacques Marcou (OGI : Optique Guidée et intégrée) Co-encadrante : Claire Darraud (C2M : Composants et Circuits Microélectroniques et Microoptiques) isabelle.niort@unilim.fr, darraud@unilim.fr, marcou@ircom.unilim.fr Institut de Recherche en Communications Optiques et Microondes (IRCOM) UMR 6615, Université de Limoges 123, avenue Albert Thomas Limoges cedex France

2 Plan de l exposé Objectif I) Mécanismes des interactions électrons-silice I.1) Particules et rayonnement émis I.2) Énergie déposée I.3) Phénomènes mis en jeu II) Microscope électronique à balayage (MEB) III) Caractérisation topographique et indicielle III.1) Caractérisation topographique de trous et de «sillons» III.2) Caractérisation indicielle (surfaces rectangulaires) Conclusion et perspectives

3 Objectif : Réalisation d un filtre à bande passante très étroite pour application aux réseaux WDM Gravure par faisceau d électrons de micro résonateurs directement sur la gaine polie d une fibre optique monomode en silice ou ou Micro résonateurs Gaine Cœur

4 Inscription directe par e-beam de composants sur fibre de silice Pourquoi? insensibilité aux bruits électromagnétiques suppression des problèmes d alignement entre composants miniaturisation des circuits optiques intégration de composants facilitée par le logiciel de pilotage du faisceau électronique technologie de faible coût : pas de masques et de résine très bonne résolution comparée aux autres systèmes de lithographie

5 I) Mécanismes des interactions électrons-silice

6 I.1) Particules et rayonnement émis Effets des irradiations sur la silice : variations du volume modification de la densité variations de contraintes loi de Lorentz-Lorentz : Δn n 2 2 n 1 n 2 6n 2 ΔV V Δα α Electrons Auger Electrons secondaires Electrons rétrodiffusés Rayons X caractéristiques Continuum de rayons X Fluorescence X Faisceau d électrons e-beam Surface de l échantillon Cathodoluminescence Surface de l échantillon Ces effets dépendent principalement de : numéro atomique z de la cible énergie E du faisceau d électrons Z faible E élevée Surface de l échantillon Z faible E faible Z élevé E élevée Z élevé E faible

7 I.2) Énergie déposée Conditions de simulation : code EGS4 du type Monte Carlo + procédure PRESTA (électrons de faibles énergies) faisceau ponctuel perpendiculaire à la surface volume découpé en cellules de 0,1 0,1 0,1 m électrons / cellule de la surface Résumé des interactions gérées par EGS4 rayonnement de freinage diffusion Bhabha (e+ e-) diffusion Möller (e- e-) annihilation diffusion multiple Molière pertes par ionisation

8 Energie déposée dans la silice par les électrons incidents p (m) p (m) 2,0 2,4 1,8 1,6 (MeV) ,2 2,0 (MeV) ,4 1,2 1,0 0, ,8 1,6 1,4 1,2 1,0 0, ,6-50 0,6 0,4 0,4 0,2 l (m) 0,2 l (m) 1,4 1,6 1,8 2,0 2,2 2,4 2,6 2,8 1,4 1,6 1,8 2,0 2,2 2,4 2,6 2,8 15 kv 20 kv

9 Energie déposée dans la silice par les électrons incidents p (m) p (m) 4,0 4,0 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 (MeV) ,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 (MeV) ,5 0,5 l (m) l (m) 1,5 2,0 2,5 1,5 2,0 2,5 25 kv 30 kv

10 I.3) Phénomènes mis en jeu fluidité des électrons issus du faisceau dans la silice émissions d électrons secondaires ruptures de liaisons Si-O déplacement d atomes élévation locale de la température libération d espèces moléculaires moléculaires O 2 et H 2 O génération et mutation de défauts migration d ions ablation processus thermique

11 II) Microscope Électronique à Balayage (MEB)

12

13 Paramètres d irradiation Source d électrons : filament de tungstène Type d émission : thermoïonique Tension d accélération des électrons 1 à 30 kv Diamètre de la sonde (nm) 5 à 1000 Courant d échantillon (na) 0,1 à 85 Grandissement 4 à Modes d irradiation stationnaire ou balayé Linetime (ms/ligne) 0,21 à 240 Nb de lignes/fenêtre 484 à 3872 Déplacement de la platine (x et y) course de 20 mm Inclinaison de l échantillon 0 à 75 Pilotage du MEB : XL Génèse / XL Pilot / Elphy Quantum

14 Le pilotage du MEB : XL Génèse Interface graphique

15 Lentille objectif WD focal. (point de focalisation) Image nette de la surface de l échantillon WD < WD focal. WD > WD focalisation échantillon

16 III) Caractérisation topographique et indicielle

17 Bibliographie manque d informations : compaction et profil d indice nécessité de quantifier e et n en fonction des paramètres d irradiation et tracer des courbes d étalonnage trous, disques et segments sur des pastilles de silice massive pure (Herasil 3) et sur la gaine polie d une fibre optique monomode surfaces rectangulaires sur des pastilles d Herasil et des films de silice dopée au germanium (collaboration avec B. Poumellec et A.S. Jacqueline du LPCES d Orsay ACO : «Elaboration de guides optiques sur substrats vitreux en utilisant l interaction douce entre les électrons et la matière») silice dopée silice pure silicium

18 III.1) Caractérisation topographique ( 2 exemples) Réalisation de «sillons» et de trous sillons : ligne avec faisceau défocalisé (mode balayé : HL) sur pastilles d Herasil paramètres : fixes : d spot,, WD et I variables : V et durée d irradiation (fluence ) -9 na t s 10 I 2 S cm caractérisation de e : profilomètre de contact Dektak IIA trous : faisceau focalisé (mode stationnaire : spot) sur fibre et pastilles d Herasil paramètres : fixes :, WD et I variables : V, durée d irradiation et d spot caractérisation de e : profilomètres interferomètriques à glissement de phase shift phase interferometric profilometer de Texas Company Fogale Nanotech caractérisation de : microscope électronique à balayage

19 «Sillons» sur pastilles d Herasil 3 Région irradiée e e = - K.(1-exp(-a.)) V (kv) a ( (e/cm 2 ) -1 ) K (nm) 10 1, , , , ,5 162

20 Trous sur pastilles d Herasil et fibre Gonflement Fossé V = 25 kv d spot = 100 nm WD = 12 mm I = 1, 1 na = min 8 min 10 min 15 min 30 min 1h30 V = 30 kv d spot = 500 nm WD = 12 mm I = 17 na = min 20 s 50 s 1 min 2 min

21 Evolution du diamètre en fonction de la durée d'irradiation pour V = 30 kv = K.ln(a.t+1)

22 Evolution de la variation d épaisseur en fonction de la durée d'irradiation pour V = 30 kv e = - K.(1-exp(-a.t))

23 Synthèse sur la compaction

24 III.2) Caractérisation indicielle (sur pastilles de silice massive pure) réalisation de guides plans V = 30 kv et d spot = 1 m mesure de l indice de surface : méthode de = 633 nm n = 1, 4571 avant irradiation évolution de n en fonction de la fluence après irradiation Δn 0, exp

25 mesure des indices effectifs = 633 nm reconstruction du profil d indice (WKBI) m m s w l x exp 1 1 n n x n incertitude :

26 Conclusion Bombardement électronique : compaction, gonflement et variation indicielle Compaction maximale dépend du motif réalisé (trou, ligne, ) n maximale = 1, à 4 modes guidés pour 0 < < 7, e/cm 2 (0 < < 1,2 C/cm 2 ) Perspectives Détermination de la loi d évolution indice-énergie déposée Influence de l épaisseur et de la nature de la couche métallique Effets de proximité Utilisation de méthode destructive et de sonde de microanalyse Obtenir un profil d indice avec une meilleure précision Évolution de n et du profil d indice en fonction de la tension d accélération

L PRESENTATION GENERALE SCPIO

L PRESENTATION GENERALE SCPIO L PRESENTATION GENERALE SCPIO Nom : DEPARTEMENT PLATEFORME TECHNOLOGIQUE Sigle: CEA / DRT / LETI / DPTS SILICUIM Etablissement : CEA Grenoble Adresse : 7 rue des Martyrs Site Web : 804 GRENOBLE Cedex 9

Plus en détail

DIFFRACTion des ondes

DIFFRACTion des ondes DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

Microscopie électronique en

Microscopie électronique en Microscopie électronique en transmission I. Instrument Nadi Braidy Professeur adjoint Génie chimique et Génie biotechnologique Université de Sherbrooke Nadi.Braidy@USherbrooke.ca 8 mars 2011 Plan I. Instrument

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative

Plus en détail

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques GDR Verres GDR 3338 Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique

Plus en détail

Colonnes électroniques et ioniques - Détecteurs spécifiques associés : Etat de l'art présenté par les constructeurs Jeudi 2 décembre 2010

Colonnes électroniques et ioniques - Détecteurs spécifiques associés : Etat de l'art présenté par les constructeurs Jeudi 2 décembre 2010 Edité le 29/10/2010 Colonnes électroniques et ioniques - Détecteurs spécifiques associés : Etat de l'art présenté par les constructeurs Jeudi 2 décembre 2010 09h00-09h30 09h30-10h30 10h30-13h45 14h00-14h30

Plus en détail

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique.

Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Etude des nanofils en trois dimensions et à l échelle atomique par sonde atomique tomographique. Mike El Kousseifi K. Hoummada, F. Panciera, D. Mangelinck IM2NP, Aix Marseille Université-CNRS, Faculté

Plus en détail

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800

Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Spectrophotomètre double faisceau modèle 6800 Double faisceau avec optiques parfaitement stables. Bande passante 1,5 nm. Logiciel de navigation Jenway Flight

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier

Procédés plasmas à faisceau d ions. P.Y. Tessier Procédés plasmas à faisceau d ions P.Y. Tessier Institut des Matériaux Jean Rouxel, CNRS Groupe des plasmas et des couches minces Université de Nantes Plan Introduction Gravure par faisceau d ions Dépôt

Plus en détail

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse

Mesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

Elaboration de matériaux micro et nanostructurés

Elaboration de matériaux micro et nanostructurés Elaboration de matériaux micro et nanostructurés Thierry FOURNIER CNRS/Institut Néel thierry.fournier@grenoble.cnrs.fr Tel:0476889071 SMB2009 Sciences de la Miniaturisation et Biologie 1 FEYNMAN 29/12/1959

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Où sont-elles? Presque partout

Où sont-elles? Presque partout Les puces Vision historique Fabrication Les circuits numériques Les microprocesseurs Les cartes à puces Les puces d identification Controverses Questions Les puces Où sont-elles? Presque partout Où ne

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

Préparation de lame TEM dans un FIB principe, avantages, inconvénients

Préparation de lame TEM dans un FIB principe, avantages, inconvénients Préparation de lame TEM dans un FIB principe, avantages, inconvénients B. Domengès Journée scientifique annuelle de l Institut de Recherche sur les matériaux avancés 28 juin 2012 - Caen Plan Introduction

Plus en détail

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure

AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant

Plus en détail

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?

QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION? QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées

Plus en détail

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»

(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.» Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.

Plus en détail

Les outils de la nanotechnologie:

Les outils de la nanotechnologie: Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos Les outils de la nanotechnologie: Polytech-Lyon / Matériaux 5ème année (2013-2014) (1) Polytech-Lyon 5 ème année Chap. 3 : les outils des nanos

Plus en détail

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER

Consolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur

Plus en détail

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques

Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Caractérisations des nanomatériaux par microscopies électroniques Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Partie 1 - Le microscope électronique en transmission (M.E.T.)

Plus en détail

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes

Plus en détail

Circuits intégrés micro-ondes

Circuits intégrés micro-ondes Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors

Plus en détail

De la micro à la nano-électronique

De la micro à la nano-électronique De la micro à la nano-électronique Christian Ngô ECRIN LT M ngo@ecrin.asso.fr LE PUCE MICR-ELECTRNIQUE AU QUTIDIEN Cafetière électrique 1 puce 10 000 T Pèse personne 1 puce 10 000 T Télévision 10 puces

Plus en détail

Cuves pour Spectrophotomètres

Cuves pour Spectrophotomètres Cuves pour Spectrophotomètres Tél : 01.45.12.90.80 Fax : 01.45.12.94.75 info@bioserv.fr Page 25 TRAYCELL Ultra Micro Cuve à Fibres Optiques La TrayCell Hellma est une ultra micro cuve à fibres optiques

Plus en détail

La plate-forme Caractérisation CIM PACA

La plate-forme Caractérisation CIM PACA La plate-forme Caractérisation CIM PACA Un partenaire de choix pour la caractérisation chimique de vos matériaux Partenaires: Qui sommes-nous? La plate-forme Caractérisation CIM PACA est une association

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL

APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION

Plus en détail

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr

Plus en détail

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE

PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE PRINCIPE MICROSCOPIE CONFOCALE Un microscope confocal est un système pour lequel l'illumination et la détection sont limités à un même volume de taille réduite (1). L'image confocale (ou coupe optique)

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple

Contribution des faisceaux d ions à l élaboration de dispositifs pour l électronique souple Comité National Français de Radioélectricité Scientifique Section française de l Union Radio Scientifique Internationale Siège social : Académie des Sciences, Quai de Conti Paris Journées scientifiques

Plus en détail

Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC

Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC Switching PCIe Photonique/Silicium Intel Connectique Intel MXC Le PCI Express comme standard Depuis ces dernières années, le PCI Express est le standard reconnu comme étant le principal interconnexion

Plus en détail

Les rayons X. Olivier Ernst

Les rayons X. Olivier Ernst Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction

G.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner

Plus en détail

La Fibre Optique J BLANC

La Fibre Optique J BLANC La Fibre Optique J BLANC Plan LES FONDAMENTAUX : LA FIBRE OPTIQUE : LES CARACTÉRISTIQUES D UNE FIBRE : TYPES DE FIBRES OPTIQUES: LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS DE LA FIBRE : QUELQUES EXEMPLES DE CÂBLES

Plus en détail

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie

M1 - MP057. Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie M1 - MP057 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Imagerie Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission : - colonne,

Plus en détail

Microscopies Électroniques

Microscopies Électroniques Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission

Plus en détail

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +

Plus en détail

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification

Défauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint

Plus en détail

Rayonnements dans l univers

Rayonnements dans l univers Terminale S Rayonnements dans l univers Notions et contenu Rayonnements dans l Univers Absorption de rayonnements par l atmosphère terrestre. Etude de documents Compétences exigibles Extraire et exploiter

Plus en détail

TP n 1: Initiation au laboratoire

TP n 1: Initiation au laboratoire Centre Universitaire d El-Tarf Institut des Sciences Agronomiques 3 ème année Contrôle de Qualité en Agroalimentaire TP n 1: Initiation au laboratoire Introduction L analyse de la matière vivante au laboratoire

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3

Plus en détail

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions

Plus en détail

Chapitre 11 Bilans thermiques

Chapitre 11 Bilans thermiques DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................

Plus en détail

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND

LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions :

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions : BANCS DE PUISSANCE Banc de puissance Disponible en 3 versions : Inertiel /DF2is Inertiel /DF2i Freiné /DF2fs Avec un frein à courant de Foucault 3 GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique

Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de

Plus en détail

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave

500 W sur 13cm avec les modules PowerWave 500 W sur 13cm avec les modules PowerWave Philippe Borghini / F5jwf f5jwf@wanadoo.fr Janvier 2012 Introduction Tout le monde a déjà vu au moins une fois, sur les puces, ces fameuses platines PowerWave

Plus en détail

Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge

Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge Conception de microsystèmes à base d actionneurs en SU8 pour la manipulation de micro-objets en milieu liquide et transfert vers un milieu quasi-sec * * * Annexes Mémoire de Thèse de Matthieu Lagouge soutenue

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique.

Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Haute Ecole de la Ville de Liège. Institut Supérieur d Enseignement Technologique. Laboratoire Electronique Méthodologie. Jamart Jean-François. - 1 - La fabrication d un circuit imprimé. SOMMAIRE Introduction

Plus en détail

pka D UN INDICATEUR COLORE

pka D UN INDICATEUR COLORE TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011

Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011 DOSSIER DE PRESSE Microélectronique Les technologies 3D au CEA-Leti mai 2011 CONTACTS PRESSE : CEA / Service Information-Media Stéphane LAVEISSIERE Tél. : 01 64 50 27 53 - stephane.laveissiere@cea.fr Vincent

Plus en détail

CONSOMMABLES. Tubes polarimètres. Cuves spectrophotomètres. Lampes spectrophotomètres

CONSOMMABLES. Tubes polarimètres. Cuves spectrophotomètres. Lampes spectrophotomètres CONSOMMABLES Tubes polarimètres Cuves spectrophotomètres Lampes spectrophotomètres Chemin des Abeils.30110 BRANOU LES TAILLADES. Tél. : 04.66 30.57. 75 Fax : 04.66.30.46.21 Spectrophotomètres SECOMAM CONSOMMABLES

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire :

Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : Spectrophotométrie - Dilution 1 Dilution et facteur de dilution. 1.1 Mode opératoire : 1. Prélever ml de la solution mère à la pipette jaugée. Est-ce que je sais : Mettre une propipette sur une pipette

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures

Sujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Approche d'un projecteur de diapositives...2 I.Questions préliminaires...2 A.Lentille divergente...2 B.Lentille convergente et

Plus en détail

Marquage laser des métaux

Marquage laser des métaux 62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome

PHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -

Plus en détail

Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance

Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Caractérisation non linéaire de composants optiques d une chaîne laser de forte puissance Stéphane Santran Co-tutelle : Centre de Physique Moléculaire Optique et Hertzienne (CPMOH), Talence Laurent Sarger

Plus en détail

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs

D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE C OMPTEUR DE FRANGES A FIBRE OPTIQUE. Détecteurs D ETECTEURS L UXMETRE SUR TIGE Capteur luxmètre à sonde détachable, idéal pour les expériences de polarisation, il permet de quantifier simplement et rapidement les principales sources et phénomènes lumineux.

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Les moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ]

Les moments de force. Ci-contre, un schéma du submersible MIR où l on voit les bras articulés pour la récolte d échantillons [ 1 ] Les moments de force Les submersibles Mir peuvent plonger à 6 000 mètres, rester en immersion une vingtaine d heures et abriter 3 personnes (le pilote et deux observateurs), dans une sphère pressurisée

Plus en détail

Appareils de signalisation optiques Colonnes lumineuses préconfigurée Kompakt 71

Appareils de signalisation optiques Colonnes lumineuses préconfigurée Kompakt 71 Appareils de signalisation optiques Colonnes lumineuses préconfigurée Hiérarchie Produit Coloris Tension électrique Dimensions en mm Fixation 697 rouge/vert 24 V ø 70 x 138 697 rouge/jaune 24 V ø 70 x

Plus en détail

Catalogue de machines. CNC-Carolo. Edition de juillet 2011

Catalogue de machines. CNC-Carolo. Edition de juillet 2011 Catalogue de machines 1/6 La Basic 30x20 : L'accès à la CNC pour débuter Idéale pour la gravure, la découpe de multiplis jusqu'à 5 mm d'épaisseur, la réalisation de circuits imprimés Description : Modèle

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

Licence et Master E.E.A.

Licence et Master E.E.A. Licence et Master E.E.A. N. Galopin & F. Camus UFR PHITEM 2 avril 2015 Spécialités des Masters 2 De roulement des E tudes Apre s le Master? De roulement des e tudes Locaux et environnement ge ographique

Plus en détail

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES

III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100

Plus en détail

Interférences et applications

Interférences et applications Interférences et applications Exoplanète : 1ère image Image de la naine brune 2M1207, au centre, et de l'objet faible et froid, à gauche, qui pourrait être une planète extrasolaire Interférences Corpuscule

Plus en détail

COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE

COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE Caractéristiques: COUPLEUR DIVISEUR, BANDE LARGE, DOUBLE FENÊTRE Haute fiabilité Basses pertes d insertion Très basse PDL (Polarization dependent loss- Sensibilité à la polarisation) Uniformité excellente

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Enregistrement automatique. des données

Enregistrement automatique. des données Enregistrement automatique des données Chapitre: 6 Page No.: 1 Il n y a que quelques années que l enregistrement manuel de données géotechniques était de coutume. L introduction de l enregistrement automatique

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe

Plus en détail

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009

Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 Ecole Centrale d Electronique VA «Réseaux haut débit et multimédia» Novembre 2009 1 Les fibres optiques : caractéristiques et fabrication 2 Les composants optoélectroniques 3 Les amplificateurs optiques

Plus en détail

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4

Comment suivre l évolution d une transformation chimique? + S 2 O 8 = I 2 + 2 SO 4 Afin d optimiser leurs procédés, les industries chimiques doivent contrôler le bon déroulement de la réaction de synthèse menant aux espèces voulues. Comment suivre l évolution d une transformation chimique?

Plus en détail

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation

Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation URSI-France Journées scientifiques 26/27 mars 2013 Superstrat tout Dielectrique Pour le Contrôle de l Ouverture Angulaire d'une Antenne à Double Polarisation All Dielectric Superstrate to Control the Half-Power-BeamWidth

Plus en détail

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires

Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Introduction à la physique nucléaire et aux réacteurs nucléaires Nassiba Tabti A.E.S.S. Physique (A.E.S.S. Physique) 5 mai 2010 1 / 47 Plan de l exposé 1 La Radioactivité Découverte de la radioactivité

Plus en détail

ENREGISTREUR DE TEMPERATURE

ENREGISTREUR DE TEMPERATURE ENREGISTREUR DE TEMPERATURE Jean-Pierre MANDON 2005 www.pictec.org Cet enregistreur de température a été réalisé dans le cadre de la construction d'un chauffe eau solaire. Il me permet d'enregistrer les

Plus en détail

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie

Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie Aiguilleurs de courant intégrés monolithiquement sur silicium et leurs associations pour des applications de conversion d'énergie ABDELILAH EL KHADIRY ABDELHAKIM BOURENNANE MARIE BREIL DUPUY FRÉDÉRIC RICHARDEAU

Plus en détail