Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest
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- Noël Lapierre
- il y a 7 ans
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1 Consommations D O C U M E N T d énergie en élevage ovin de l Ouest Le prix du baril de pétrole fait maintenant partie de notre actualité quotidienne. L'inflation qu'il subit se répercute sur les autres sources d'énergie, y compris sur le prix des aliments, via le développement des agrocarburants. Ce renchérissement de l'énergie, comme les changements climatiques, incite fortement à la recherche d'une meilleure efficacité énergétique. Afin de disposer de premiers indicateurs, 39 fermes de références spécialisées et ovins-cultures du Réseau Ovin de l'ouest ont vu leurs consommations d'énergie étudiées. Les différents types d'énergies utilisés en élevage Les énergies consommées dans une exploitation peuvent être classées en 2 catégories : Les énergies directes : il s'agit essentiellement du fuel consommé par les tracteurs, du gazole utilisé pour les déplacements et de l'électricité consommée dans les bâtiments. Les énergies indirectes : ce sont celles qui ont été mobilisées pour la fabrication, l'emballage et le transport des aliments du bétail (y compris concentrés prélevés) et des engrais minéraux. Cette approche couvre environ 80 % des consommations d'énergie d'un élevage. Les 20 % non pris en compte correspondent à l'énergie nécessaire pour la fabrication et l'acheminement du matériel, des bâtiments et des produits phytosanitaires. Toutes les consommations d'énergie sont converties dans une unité commune, l'equivalent Litre de Fuel (EQF), de façon à pouvoir les cumuler. 1 litre de fuel correspond à 1,14 EQF : prise en compte de l'énergie mobilisée pour la production et le transport du carburant. Energies directes 1 litre de fuel 1,14 EQF 1 litre de lubrifiant 1,12 EQF 1 kwh d électricité 0,27 EQF Energies indirectes 1 tonne de céréales 70 EQF 1 tonne de tourteau de soja 160 EQF 1 unité d azote 1,47 EQF Poitou-Charentes Pays de la Loire Bretagne Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest - Novembre 2008
2 1/3 d'énergies directes en élevage ovin Pour les spécialisés, la consommation totale d'énergie ramenée par hectare de SAU représente en moyenne 279 EQF/ha, avec 1/3 d'énergies directes et 2/3 d'énergies indirectes. L'alimentation est le premier poste de consommation d'énergie, avec 44 % du total, devant le carburant, 30 %, puis la fertilisation, 20 %. Toujours pour les spécialisés, la consommation moyenne de fioul (tracteur) est de l'ordre de litres, auxquels il faut rajouter environ 80 litres de lubrifiants et 780 litres de gazole (voiture), soit un total de 10,6 EQF de carburants par brebis (détail par système ci-dessous). La consommation moyenne d'électricité est d'environ kwh, soit 7,2 kwh/brebis et 1,2 EQF/brebis. Spécialisés : 279 EQF/ha Des moyennes de 120 à 180 EQF pour 100 kg de carcasse d'agneau Spécialisés Nb SAU Structure % SFP Brebis Br/ha SFP EQF/ha SAU SFP EQF /brebis EQF/100 kg carcasse Ouest intensifs % , Ouest extensifs % 582 7, Est extensifs % 711 7, Spécialisés % 615 8, Ovins-cultures % 415 9, Dans le bassin Ouest 1, la consommation d'énergie des systèmes intensifs (plus de 9 brebis/ha SFP) apparaît logiquement plus élevée : plus du double par hectare de SAU, près du triple par hectare de SFP, +50 % par brebis, +30 % par kg de carcasse produit. Dans le bassin Est 2, les consommations moyennes par brebis des spécialisés et des ovins-cultures sont très proches (hors système en bergerie quasi-intégrale). Sur l'ensemble des spécialisés, la consommation moyenne de 156 EQF pour produire 100 kg de carcasse d'agneau peut être comparée aux références issues des autres productions : Production Ovins viande spécialisés Ouest Bovins viande France Bovins lait France Caprins spécialisés Poitou-Charentes Consommation d énergie 156 EQF/100 kg de carcasse 130 EQF/100 kg de carcasse 83 EQF/1 000 litres 195 EQF/1 000 litres 1 Deux-Sèvres, Pays de la Loire, Bretagne. 2 Confolentais et Montmorillonnais. Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest - Novembre
3 Le tableau ci-dessous présente le détail des consommations d'énergie directe pour les groupes spécialisés. Les grandes surfaces des élevages du bassin Est entraînent de plus fortes consommations de fioul et de gazole, alors que le recours aux travaux par tiers est nettement plus développé dans le bassin Ouest. Les systèmes intensifs du bassin Ouest, plus fortement orientés vers la production en bergerie, consomment en moyenne deux fois plus d'électricité par brebis que les systèmes extensifs. Système Fioul (litres) Consommation totale exploitation de carburants et lubrifiants Lubrifiants (litres) Gazole (litres) EQF travaux par tiers Total EQF Carburants & lubrifiants /brebis Consommation électricité Electricité (kwh) kwh/ brebis EQF électricité /brebis Ouest intensifs Ouest extensifs ,2 9, ,9 5,5 3,2 1,5 Est extensifs , ,7 1,5 Spécialisés , ,2 1,9 Encadré Ovins-cultures Ovins-cultures : 229 EQF/ha Pour les ovins-cultures l'atelier ovin ne représente que 45 % des consommations d'énergie, contre 87 % pour les spécialisés. Les poids de l'alimentation et de la fertilisation s'inversent : 17 % pour la première et 45 % pour la seconde. Les clés de l efficacité énergétique Au sein de chaque système, un groupe efficace a été constitué à partir des élevages consommant le moins d'énergie pour produire 100 kg de carcasse. Par rapport à la moyenne de chaque système, l'économie est de l'ordre de 10 % pour les groupes Ouest intensifs et Est extensifs, et de 30 % pour le groupe Ouest extensifs. Ce dernier groupe obtient des résultats remarquables, avec moins d'1 EQF/kg de carcasse, et des ratios de 25 EQF/brebis et à peine plus de 100 EQF/ha SAU. Ces groupes efficaces se distinguent avant tout par une meilleure productivité des brebis, à plus d'1,5 agneau/brebis à l'ouest et plus d'1,2 agneau à l'est. Ces niveaux de productivité permettent une meilleure valorisation des intrants dont le niveau n'est pas directement lié au nombre d'agneaux produits, notamment ceux liés à la surface (carburant, fertilisation), mais aussi les aliments consommés pour l'entretien des brebis. Dans le bassin Ouest, les tiers les plus efficaces se distinguent également par une intensification fourragère maîtrisée : chargement un peu inférieur, moins de fourrages stockés par brebis, moins d'unités d'azote et de fioul consommés par hectare. A noter dans ce groupe la présence d'un élevage en agriculture biologique (moins de 4 brebis/ha). On n'observe pas cette différence dans le bassin Est, où le tiers efficace se distingue même par une intensification fourragère un peu supérieure. Mais dans les trois systèmes, la consommation de concentré par brebis est inférieure dans les groupes efficaces, d'où des différences très nettes en terme de concentré/kg de carcasse. 3 Les consommations d énergie en élevage ovin - Novembre 2008
4 Dans les deux bassins, les groupes efficaces se distinguent également par des troupeaux de taille un peu inférieure, ramenée à l'unité de main-d'œuvre. L'agrandissement des troupeaux n'a pas toujours pu être accompagné des investissements ou changements de pratiques permettant de maintenir les performances techniques et économiques. Ouest intensifs Moyenne Tiers efficace Ouest extensifs Moyenne Tiers efficace Est extensifs Moyenne Tiers efficace EQF/100 kg carcasse dont carburant dont électricité dont alimentation dont fertilisation EQF/brebis EQF/ha SAU Brebis/UTA Brebis/ha SFP 12,5 11,9 7,3 5,8 7,8 8,0 N/ha SFP Litres fioul/ha SAU kg MS fourrages/brebis kg concentré/brebis kg concentré/kg carcasse 9,1 8,1 7,7 6,4 9,2 8,2 Productivité numérique/brebis 1,49 1,52 1,32 1,54 1,09 1,23 % EBE/produit brut Coût de production/kg carc. 6,0 5,9 6,2 5,8 6,5 6,1 Simulation coût ,1 6,8 7,2 6,7 7,9 7,1 (Tiers efficace : moindre consommation d énergie/100 kg de carcasse). (Coût de production hors rémunération de la main-d'œuvre familiale). La meilleure efficacité énergétique se retrouve sur le plan économique : dans chaque système, au moins 5 points d'ebe/produit brut séparent les tiers les plus performants de la moyenne. Les tiers efficaces des groupes herbagers de chaque bassin atteignent ainsi le seuil de 40 % d'ebe/pb. Cette logique se retrouve sur le coût de production, avec une économie maximale de 0,70 /kg pour le groupe Est extensifs. Les coûts de production 2006 ont été actualisés dans le contexte 2008, avec notamment des augmentations de 30 % sur les aliments achetés et 35 % sur les carburants. L'impact de ces augmentations est conséquent, de 0,8 à 1 /kg pour les tiers efficaces, et de plus d'1 /kg pour la moyenne de chaque groupe. Des marges de progrès dans tous les systèmes Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest - Novembre
5 Maîtriser ses consommations d'énergie Très fortement axé sur le pâturage, l'élevage ovin viande est traditionnellement peu gourmand en fuel : moins de stocks à constituer et à distribuer (cf. normes du tableau ci-dessous). C'est particulièrement vrai dans les systèmes herbagers, peu intensifiés, comme le montrent les faibles niveaux de fertilisation pratiqués. Mais la variabilité des résultats observés montrent l'existence de marges de progrès dans beaucoup d'élevages. permettant de réduire la consommation : techniques sans labour, recours à des équipements collectifs performants, bon réglage des outils, adéquation entre travail à réaliser et puissance du tracteur, entretien régulier des tracteurs comme des outils, etc. Le carburant La consommation d'électricité est marginale en élevage ovin viande, même en présence d'équipements de distribution du concentré (vis, robot). Ce n'est par le cas pour les carburants : 30 % de la consommation moyenne d'énergie des élevages, spécialisés ovins comme ovins-cultures. D'où l'importance des pratiques Encadré Calculez votre consommation théorique de fuel A partir de la composition de votre cheptel et de votre assolement, vous pouvez calculer votre consommation théorique de fuel et la comparer à votre consommation réelle : Cheptel (effectifs moyens) Système fourrager (1 ligne à choisir) Atelier Ovins viande Norme 30 EQF/UGB (soit 4,5 EQF/brebis) Exemple x582 brebis= EQF Bovins viande, caprins et ovins lait, équins 50 EQF/UGB Bovins lait 70 EQF/UGB 100 % foin 20 EQF/ha SFP x 83 ha = EQF Maïs < 5 % SFP 25 EQF/ha SFP 5 % < maïs < 25 % 40 EQF/ha SFP Maïs > 25 % SFP 60 EQF/ha SFP Grandes cultures 120 EQF/ha SFP x 13 ha = EQF Total EQF EQF Total litres de fuel (EQF x 0,88) litres Consommation réelle litres Ecart 874 litres (- 17 %) Votre élevage L'exemple pris correspond à la moyenne des Extensifs du bassin Ouest. Ne pas oublier de comptabiliser les consommations de carburants (réelles ou estimées) liées aux travaux par tiers et aux déplacements professionnels. La part des lubrifiants est plus facilement négligeable (conversion : 1 litre = 1,26 EQF). 5 Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest - Novembre 2008
6 L'alimentation Si les élevages ovins viande sont généralement autonomes en fourrages, y compris en paille pour la litière, leur consommation de concentré est devenue conséquente. La plaquette Améliorer l'autonomie alimentaire des élevages ovins de l'ouest publiée en mai 2008 liste un certain nombre de pistes pour tenter de résorber cette consommation. Le recours maximum au pâturage pour les animaux à forts besoins, en tout premier lieu les brebis allaitantes, constitue une priorité. La fertilisation Le coût énergétique d'une unité d'azote, 1,47 EQF, est plus de trois fois supérieur à celui d'une unité de Phosphore ou de Potassium. C'est donc la fertilisation azotée qu'il convient de surveiller en particulier, même si elle a déjà souvent été fortement réduite dans le cadre des diverses mesures agri-environnementales. Encadré Ne pas oublier les cultures Les extensifs du bassin Ouest sont également économes en énergie pour leurs cultures : moins de 200 EQF/ha, contre plus de 300 pour les intensifs de ce même bassin, avec un écart du simple au double concernant la fertilisation. A 260 EQF/ha, les systèmes mixtes ovins-cultures sont un peu plus économes que les herbagers du bassin Est (280 EQF/ha). Pour bénéficier de la fixation symbiotique de l'azote de l'air, l'implantation et la pérennité des légumineuses est fondamentale (objectif de 30 % de trèfle dans les associations). Des marges d économie sur les cultures Ce travail a été réalisé par le Réseau d'elevage Ovin de l'ouest Nathalie AUGAS - Chambre d'agriculture de Charente Guillaume BAHIER - Chambre d Agriculture de la Vienne Vincent BELLET - Institut de l'elevage Gilles CLENET - Chambre d'agriculture de Loire-Atlantique Laurent FICHET - Chambres d'agriculture du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Sarthe Alain GOUEDARD - Chambres d'agriculture de Bretagne - Pôle Herbivores Daniel INGREMEAU - Chambre d'agriculture des Deux-Sèvres Stéphane MIGNE - Chambre d'agriculture de Vendée Olivier PAGNOT - Chambre d'agriculture de la Vienne réf. Institut n ISBN n Maquette : C. Maigret (Institut de l Elevage) - Novembre 2008 Consommations d énergie en élevage ovin de l Ouest - Novembre
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