Toxicité pulmonaire des médicaments
|
|
- Marie-Claude St-Laurent
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Toxicité pulmonaire des médicaments Dr Sylvain MARCHAND-ADAM MCU-PH Service de Pneumologie Hôpital Bretonneau CHRU Tours (absence de conflit d intérêt)
2 généralités De plus en plus de médicaments concernés Fréquence varie en fonction des médicaments Gravité variable: nécessité d un diagnostic précoce +++
3 Evolution du nombre de Publications sur les pathologies thoraciques iatrogènes (D après une diapositive du Pr Camus)
4 diagnostic difficile
5 Mécanismes Aggression oxydative par ingestion chronique effet cytotoxique direct sur les cellules endothéliales des capillaires alvéolaires accumulation de phospholipides intracellulaires réaction de type immunologique Auboyer Conférence d actualisation
6 Pneumopathie infiltrante diffuse (PID) PID cellulaire et fibrosante Hémorragie alvéolaire Œdème pulmonaire Dommage alvéolaire diffuse (70%) Multiples tableaux Les voies aériennes supérieures Angioœdème Vaisseaux Maladie thromboembolique Hypertension pulmonaire Les voies aériennes inférieures Toux Bronchospasme bronchiolite Plèvre Épanchement Pneumothorax Epaississement douleur Médiastin adénopathies Cœur Neuromusculaire Péricardite, myocardite Défaillance diaphragmatique Dyskinésie respiratoire
7 Diagnostic difficile car diagnostic d élimination Causes de complications respiratoires en oncologie
8 Difficile car absence de test formel Imagerie +++ Résultats du LBA: hypercellularité++ Polynucléaire: œdème lésionnel, pneumopathie fibrosante Éosinophile Alvéolite lymphocytaire, sous population CD8 Mais souvent alvéolite panachée résultats histo-pathologiques Biopsie trans bronchique (risques+) ou transpariétale ne sont pas indispensables au diagnostic granulomes giganto-cellulaires sans nécrose caséeuse, amas lymphocytaires, fibrose diffuse..
9
10 Imputabilité intrinsèque INTERROGATOIRE +++ Vérification de l ordonnance Médicaments délivrés sans ordonnance Faisceaux d arguments : Signes cliniques compatibles Signes évolutifs/chronologiques compatibles
11 IMPUTABILITÉ intrinsèque Selon Bégaud et al. Thérapie. 1985
12 Imputabilité extrinsèque Données de la littérature (Pubmed) tableau clinique déjà décrit fréquence de survenue Questionner la pharmacovigilance Aide par le site pneumotox.com: Répertorier toutes les toxicités pulmonaires (thoraciques) publiées liées aux médicaments.
13 2011: références 63 tableaux 455 médicaments
14 Pneumotox.com: recherche par tableau clinique
15 Pneumotox.com: recherche par nom DCI de médicament
16 Algorithme de Naranjo «une probabilité diagnostique, à défaut d une certitude absolue» extrinsèques Intrinsèques et évolutifs PnP. Med certaine =score > 9, probable = entre 5 et 8, possible = entre 1 et 4, improbable = 0 Bonniaud P. Rev Mal Respir 2007;24:
17 Les PID médicamenteuses
18 Épidémiologie des PID médicamenteuses Incidence?? Pathologie rare: 3-5% des pneumopathies infiltrantes diffuses Sous estimée (ex: prescription d amiodarone; risque 1 à 8%) >200 médicaments commercialisés peuvent induire une pneumopathie médicamenteuse
19 Classification des pneumopathies infiltrantes diffuses >200 maladies Souvent maladies rares PID Causes connues PID idiopathique Granulomatose (Sarcoïdose) autre médicaments expositions connectivites FPI Autres que FPI Maladie multikystique pulmonaire Cancer OAP Pneumopathie d hypersensibilité Pneumoconioses Pneumopathie interstielle desquamative RB-ILD Pneumopathie chimique Radiation Pneumopathie interstitielle aigue Pneumopathie organisée cryptogénique Classification selon l étiologie Classification selon l aspect anatomopathologique Pneumopathie Interstitielle Lymphocytaire Pneumopathie interstitielle Non spécifique
20 prévalence des PID Sarcoïdose 8% professionnelle médicament 11% 5% hémorragie alvéolaire 4% connectivite 9% autre 11% PID idiopathique 52% Coultas AJRCCM 1994; 150:967
21 Devant une PID = Interrogatoire et examen clinique+++ Recherche d une étiologie Médicaments et thérapies Expositions professionnelles (Curriculum laboris) Expositions environnementales et tabac Symptômes/signes cliniques évocateurs de connectivite/ «maladie de système» Exa complémentaires: TDM, Fibro Br+/- histo; biologie
22 Concertation pluridisciplinaire Cliniciens Radiologues Anatomopathologistes +/-pharmacov, interniste.. En RCP Diagnostic de certitude Diagnostic incertain Diagnostic probable Biopsie pulmonaire/médiastinoscopie/biopsie extra-thoracique
23 Intérêt du TDM+++ Diagnostic de PID Évaluation/localisation de l atteinte Sd interstitiel Sd alvéolaire Autres opacités Orientation étiologique /«pattern» radiologique proche du «pattern» histologique diagnostic étiologique
24 Schéma du lobule secondaire Bronchiole centro-lobulaire 1,5-2,5 cm Bronchiole terminale Artériole Acinus Alvéole Septum interlobulaire Plèvre viscérale
25 Schéma du lobule secondaire avec représentation de l interstitium Interstitium interlobulaire Interstitium péri-bronchovasculaire Interstitium intralobulaire Interstitium sous-pleural Le compartiment interstitiel est la portion comprise entre l épithélium et l endothélium
26 Schéma simplifié Veinule Lymphatique Bronchiole et artère centro-lobulaires Septum interlobulaire Strutures aériques Lésions de l interstitiel et de l alvéole Pn. interstitielle Diffuse = Pn. infiltrante Diffuse
27 Syndrome interstitiel Opacités linéaires Opacités micronodulaires
28 Lésions élémentaires/lignes 1.Interlobulaires Régulières Stase veineuse ou lymphatique = œdème cardiaogénique
29 Lésions élémentaires/lignes Interlobulaires 1. Régulières = oedème 2. Irrégulières = lymphangite carcinomateuse
30 Lésions élémentaires/lignes 1. Interlobulaires 2. Intralobulaires Souvent fibrose MAIS non spécifique
31 Opacités linéaires Lignes intralobulaires Formant des réticulations
32 Signes de fibrose = Rayon de miel Bronchectasie de traction Distorsion des scissures
33 Micronodules: Distribution centrolobulaire
34 Distribution périlobulaire
35 Distribution ubiquitaire
36 SYNDROME ALVEOLAIRE Comblement des alvéoles par : - liquide - cellules - tissu anormal Alvéole Comblement incomplet = Verre dépoli Comblement complet = Condensation alvéolaire
37 Lésions élémentaires/sd alvéolaire Opacités en verre dépoli Condensation alvéolaire
38 Pattern TDM ou histologique des PID médicamenteuses Pneumopathie organisée (BOOP) PINS cellulaire et fibrosante Pneumopathie interstitielle commune (PIC ou UIP) PID PIL Hémorragie alvéolaire Pneumopathie lipidique Pneumopathie à Eosinophile Dommage alvéolaire diffus Granulomatose Protéinose alvéolaire
39 «pattern» de PO (ancienne BOOP) Pattern TDM Pattern histologique Sd alvéolaire subaiguë et chronique -Condensations alvéolaires multifocales -Bronchogramme aérique -Topographie périphérique et inférieure ou péribronchique -Parfois migratrices : 25 à 50 % des cas (argument en faveur du diagnostic) +/-verre depoli +/- opacités linéaires hilopériphériques Pas de fibrose Architecture pulmonaire est préservée Comblement de la lumière des espaces aériens distaux (alvéoles, canaux alvéolaires, bronchioles) par un tissu constitué de cellules inflammatoires, de fibroblastes et de myofibroblastes dans une matrice extracellulaire peu dense Lésions de distribution spatiale hétérogène (patchy); et uniformité temporelle Lésions endoluminales fibrose interstitielle Amiodarone, bétabloquants, nitrofurantoïne, carbamazépine, D- Pénicillamine, statines,
40
41 Homme 65ans lenalidomide Suivi pour myélome Hospitalisé en réanimation pour I resp Aigue Pneumopathie organisée à lenalidomide
42 «pattern» de PINS Pattern TDM La lésion principale Hyperdensité en verre dépoli bilatérale et symétrique et à prédominance sous pleurale +/- épaississement péri-bronchovasculaire +/-condensations alvéolaires basales +/- opacités linéaires hilopériphériques +/-signe de fibrose +/- bronchectasies par traction++ +/- opacités réticulées irrégulières++ +/- destructions en rayon de miel (rare) Pattern histologique La lésion principale Inflammation et fibrose en proportion variable et UNIFORME de l interstitiel Formes cellulaires (lymphocytes et plasmocytes) absence de granulome, de membranes hyalines Formes fibrosantes (peu ou pas inflammatoires) cytotoxiques(chimiothérapie), amiodarone
43
44 Dyspnée chronique Mr T 82 ans présente une Dyspnée progressive sur 2 mois (stade III NYHA) Crépitants bilatéraux non amélioré par diurétique; pas de signe ICG LBA: alvéolite lymphocytaire Diagnostic de pneumopathie chronique à la nicergoline prescrit depuis 15 ans pour trouble mnésique
45 Homme, découverte M de Hodgkin en mai 2006 HdM: dyspnée progressive au cours du traitement par ABVD (3 ème cure) Diagnostic de pneumopathie à la bléomycine
46 «pattern» d UIP Pattern TDM Réticulations fines intralobulaires avec destructions en «rayon de miel» Topographie: périphérique et basale +/-Bronchiectasies par traction +/-verre dépoli<réticulations Pattern histologique Les lésions destructrices prédominent à la périphérie du lobule, sous la plèvre Hétérogénéité temporelle: lésions jeunes et anciennes Hétérogénéité géographique: fibrose et persistance de zones poumon subnormal Bléomycine, nitrofurantoïne, amiodarone, sels d or
47 Remodelage architectural avec fibrose mutilante (rayon de miel histologique)
48 Mitomycine C intravesicale Homme de 73 ans ATCD K vessie et hospitalisé pour bilan K pulmonaire Découverte d une fibrose pulmonaire à la mitomycine C intravésicale
49 «Pattern» de PHS Pattern TDM Micronodule centrolobulaire Verre dépoli en mosaïque avec trappage +/-condensations Si chronique: signe de fibrose ou de bronchiolite oblitérante Pattern histologique inflammation Interstitielle (lymphocyte, +/- neutrophile) centrée sur les bronchioles Granulome sans caséum dans 2/3 des cas Si chronique fibrose et bronchiolite oblitérante Souvent intriquée avec BOOP ou avec PINS chimiothérapie, methotrexate, penicillamine, nitrofurantoine, AINS
50 Subaiguë Chronique Aiguë
51 Homme 82 ans Arthrose du genou Invalidante Hospitalisation pour I Resp aigue AINS Pneumopathie avec pattern de «PHS» secondaire à 7 jours de prise d AINS
52 Hémorragies alvéolaires (HA) Pattern TDM histologique Verre dépoli +++ +/- condensation alvéolaire Diagnostic par le LBA: sidérophage; score de GOLDE Pas de signe de fibrose Histologie: hematies et sidérophages dans les alvéoles Coloration de Pearls Anticoagulants, Inhibiteurs GPIIB/IIIA (abciximab, clopidogrel, ticlopidine)
53 Femme 28 ans HdM: Dyspnée progressive, fièvre 40 C; douleur diffuse Rx Th puis TDM Th LBA: score de GOLDE >140 Présence d ANCA anti MPO Hémorragie alvéolaire secondaire à la prise de propyl thio uracile
54 Pneumopathie aigue ou chronique à éosinophiles Aigue Condensations alvéolaires périphériques sous pleurales, bilatérales, asymétriques +++ Partie inférieure et moyenne du parenchyme ++ Souvent associées à verre dépoli ++, +/-nodules centrolobulaires et épaississement septaux interlobulaires et épanchement pleural++ Eosinophilie sanguine parfois retardée Diagnostic: LBA +++ Chronique Condensations alvéolaires périphériques sous pleurales, bilatérales, asymétriques +++ Partie supérieure et moyenne du parenchyme ++ Souvent associées à verre dépoli ++ Eosinophilie sanguine (40%) Diagnostic : LBA +++ AINS, Amiodarone, Méthotrexate, Nitrofurantoïne, bétaboquants, produits de contraste iodés, sels d or
55 Mr F 19 ans Tableau de SDRA NFS: leuco; 2% PNEo LBA: cellules; 24% PNEo Pct pleural: exsudat 30% PNEo Bactério négative Évolution favorable avec arrêt du Venlafaxine institué pour le Sd dépressif + Corticothérapie Diagnostic de pneumopathie aigue à éosinophile secondaire au Venlafaxine
56 Dommage alvéolaire diffus Pattern TDM Condensations alvéolaires bilatérales diffuses ou verre dépoli diffus plus marqué dans les zones déclives Epaississements septaux parfois associés histologique Secondaire à augmentation de la perméabilité capillaire avec extravasation responsable d un œdème pulmonaire +/- inflammation dépot de fibrine + nécrose cellulaire = membrane hyaline +/- hyperplasie epith. Agents cytotoxiques (bléomycine,interféron,interleukin 2, gemcitabine), produits de contraste iodés.
57 paclitaxel Patiente 65 ans suivi pour K sein métastastique I resp aigue après 1ere cure de paclitaxel
58 EN faite Tableaux souvent intriqués PINS, PO, PHS et DAD Mvse concordance TDM vs. anapath 9/20 (Cleverley et al. 2002)
59 Décision thérapeutique Que faire du médicament en cause? Bénéfice/risque Alternative Modalité de réintroduction Quel traitement pour l épisode actuel Corticothérapie??
60 Rôle du médecin Devant tous tableaux pneumologiques (dont PID), rôle toxique des médicaments? Utiliser pneumotox.com Arrêter (si possible et selon le contexte) le(s) médicament(s) incriminé(s) +/- avis spécialisé (+/- réintroduction) Avis auprès d un pneumologue (téléphone ou consultation) Déclaration au centre régional de pharmacovigilance (tel: ,
61
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailLa fibrose pulmonaire idiopathique
La fibrose pulmonaire idiopathique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCe n de «La Revue de Respir» est publié en partenariat avec HOLYVAC
Mars 2008 ; N 12 ACTUALITE DE RESPIR.COM Activités et chiffres clés EDITO Les statines : un nouveau traitement pour les BPCO? Pr. A. TAYTARD - Pneumologie - CHU Bordeaux ARTICLE COMMENTE Grigoriou BD,
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailPLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération
Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailEvaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailrecommandations pour les médecins de famille
BPCO: recommandations pour les médecins de famille BPCO: recommandations pour les médecins de famille Dr. med. Werner Karrer, Prof. Dr. med. Jörg D. Leuppi Les médecins de famille jouent un rôle central
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailAPRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX
Hôpital Privé d Antony APRES VOTRE CHIRURGIE THORACIQUE OU VOTRE PNEUMOTHORAX Livret d information Hôpital Privé d Antony OPC/KINE/297 Page 1 sur 6 Intervenants Rédigé par : Nom Profession Le Visa C.DUPUY
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailInfection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis.
Infection à CMV et allogreffe de cellules souches hématopoïétiques : Expérience du Centre National de Greffe de Moelle Osseuse, Tunis. Tarek Ben Othman Congrès de la STPI, 24 avril 2009 Plan Introduction
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détail