Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau guide des analyses.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau guide des analyses."

Transcription

1 MANUEL DE PRELEVEMENT 2015

2 Chers collaborateurs Nous sommes heureux de vous présenter notre nouveau guide des analyses. Ce document regroupe la liste de toutes les analyses réalisées au laboratoire Biocôme, ainsi que les différentes procédures pour la réalisation des prélèvements. Nous espérons que la première édition de ce guide sera bien accueillie, même s il est encore perfectible. N hésitez pas à nous faire part de vos suggestions. Laboratoire St Côme 9 rue Jean-Jacques Bernard Compiègne Tél : Fax : Ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 18h30, le samedi de 7h30 à 18h00 Laboratoire de l Hôtel de ville 12 rue Jean Legendre Compiègne Tél : Fax : Ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 12h00 et de 14h30 à 18h00, le samedi de 7h30 à 12h00 Dr Daneski Luciano : Médecin biologiste Dr Ciolkovitch Alexandre : Médecin biologiste Dr Taleb Nouri : Pharmacien biologiste Notre site internet : 2

3 SOMMAIRE OBLIGATIONS ANALYTIQUES 4 GUIDE DU PRéleveur pages Prélèvement sanguin 1- Ordre de prélèvement 5 2- Choix des tubes 6 3- Renseignements à obtenir obligatoirement 7 4- Renseignements à obtenir si possible 7 Autres matériels 8 En cas d accident d exposition au sang 8 LISTE ALPHABétique des analyses 9 Remarques 16 Principales analyses hors nomenclature avril Autres analyses 18 Recueil d urines pour ECBU 18 Recueil d urines pour Biochimie (échantillon) 19 Recueil d urines pour un Compte 19 Recueil des selles 20 Scotch test 20 Expectoration 21 Divers 21 Elimination des déchets 21 CONSERVATION DES échantillons 22 EXAMENS 23 3

4 Obligations pré-analytiques Identification des échantillons et fiche de transmission Eléments devant figurer : Nom Prénom Sexe Nom de jeune fille Date de naissance Le laboratoire met à disposition des préleveurs externes des étiquettes comportant le nom, prénom, nom de jeune fille, date de naissance, sexe du patient et un N unique pour les patients habituels. Si cette option n est pas retenue ou n est pas mise en place (nouveaux patients) tous ces éléments doivent figurer, écrits à la main, sur chacun des tubes, flacons, etc. La fiche de transmission doit être dûment remplie : Identité préleveur Identité patient (nom, prénom, date de naissance, sexe et nom de jeune fille) Date et heure de prélèvement Posologie et date et heure de dernière prise pour dosage de médicaments ou INR Elle doit être accompagnée de la prescription, sinon, spécifier les analyses demandées. IMPORTANT L absence ou l erreur d identification du prélèvement ou de l échantillon est un critère de non-conformité, et peut entraîner le refus d un échantillon. 4

5 GUIDE DU PRéleveur Prélèvement sanguin 1 Ordre de prélèvement Exemple des tubes Sarstedt (Sec, citrate, héparine, EDTA, Fluorure, Vs). Veuillez également respecter le volume de remplissage des tubes et procéder à une homogénéisation systématique par 6 à 8 retournements lents pour chaque tube. Attention : une pose de garrot prolongée (plus d une minute) peut entraîner des modifications importantes dans les résultats de certaines analyses. 5

6 2 Choix des tubes BOUCHON BLANC TUBES SECS SEROLOGIE (toxo,rubéole,hépatites,hiv ) HORMONOLOGIE, PROCALCITONINE MARQUEURS (CEA, CA153, CA125, CA199, SCC, CYFRA21, PSA..) AUTOIMMUNITE, ALLERGIE ELECTROPHORESE ET IEP TROPONINE, MYOGLOBINE, VANCOMYCINE BOUCHON VERT TUBES CITRATE HEMOSTASE : (TP, TCK,FIBRINE, FACTEURS, D-DIMERES, PDF, ANTI Xa, AT 3...) GROUPES SANGUINS, COOMBS AGGLUTININES IRREGULIERE BOUCHON ORANGE TUBES HEPARINATE DE LITHIUM ANALYSES DE BIOCHIMIE COURANTES IONOGRAMME (Na, K, Cl, RA, protides) CALCIUM IONISE BOUCHON ROUGE TUBES EDTA NFS, PLAQUETTES RETICULOCYTES TYPAGE LYMPHOCYTAIRES (HLA, T4-T8) HEMOGLOBINE GLYQUEE BNP ELECTROPHORESE DE L HEMOGLOBINE BOUCHON jaune TUBES FLUORURE GLYCEMIE LACTATE BOUCHON MAUVE VS UNIQUEMENT 6

7 3 Renseignements à obtenir obligatoirement Dosage de médicaments Posologie, fréquence et mode d administration du médicament Date, heure et posologie de la dernière prise. Génétique Consentement. Attestation consultation disponibles en annexe. Prélèvements microbiologiques Nature et origine du prélèvement. 4 Renseignements à obtenir si possible Bactériologie et virologie But de l analyse (diagnostic étiologique, choix ou suivi d une antibiothérapie, contrôle d efficacité thérapeutique). Traitement en cours. Immunodépression. Recherche des germes en préopératoire. Voyage. Parasitologie et mycologie Origine géographique. Voyage. Déplacements et séjours effectués (date et durée). Immunodépression. Antécédents pathologiques. Hyperéosinophilie éventuelle. Principaux signes cliniques. 7

8 Autres matériels Flacons pour recueil d urines, selles, crachats. Ecouvillons. Flacon pour Hémocultures. En cas d accident d exposition au sang 1. Nettoyage immédiat de la plaie (eau+savon) puis rinçage. 2. Réaliser une antisepsie de la plaie à l eau de javel 9 diluée au 1/5, ou soluté de Dakin pur, ou Bétadine, ou alcool à 70. Temps de contact : 5 minutes. 3. En cas de projection sur une muqueuse ou les yeux, rinçage immédiat et abondant à l eau ou sérum physiologique au moins 5 minutes. 4. Consultation dans les 4 heures du médecin référent ou du service d urgence le plus proche. 5. Déclarer dans les 24 heures l accident du travail à votre caisse de sécurité sociale, à votre employeur et/ou à votre assurance si vous avez contracté une assurance volontaire (secteur libéral). 6. Si le patient source est connu, lui demander l autorisation d effectuer les sérologies HIV, hépatites B et C. Prévoir un prélèvement en conséquence. 8

9 Remarques : Les délais de réalisation technique annoncés ne sont pas contractuels. Dans l ensemble, le délai est valable lorsque le prélèvement parvient au laboratoire avant 11h00. Le biologiste se réserve le droit de contrôler une analyse : dans ce cas le délai annoncé peut ne pas être respecté. A jeun = 12 heures sans manger, boire de l eau, un café sans sucre ou un thé sans sucre est possible. Prévoir un seul tube sec pour sérothèque par dossier, pour les sérologies et Marqueurs tumoraux. Pour toute analyse urgente, les tubes doivent être apportés au laboratoire immédiatement après le prélèvement. 9

10 Lorsqu une analyse est transmise à un laboratoire spécialisé, se reporter à son guide disponible au laboratoire Saint-Côme pour prendre connaissance des conditions de prélèvement, choix des tubes et conditions de conservation des échantillons. Principales analyses hors nomenclature 2015 Ci-dessous, nous avons listé les principales analyses spécialisées non remboursées (hors nomenclature) pour lesquelles il faut compléter le formulaire (disponible au laboratoire) d accord du patient pour le règlement de l analyse au laboratoire. A joindre avec les échantillons accompagné du règlement des examens. Les tarifs sont susceptibles de changer au 1 er janvier de chaque année civile. Nom Tube Prix 2015 ACIDES BILIAIRES TUBE SEC ALPHA1 ANTITRYPSINE TYPAGE TUBE SEC AMH-HORMONE ANTIMULLERIENNE TUBE SEC AC ANTI KERATINE TUBE SEC AC ANTI MUSK TUBE SEC AG PNEUMOCOQUE URINAIRE ECHANTILLON D URINES GONOCOQUE SEROLOGIE TUBE SEC HANTAVIRUS SEROLOGIE TUBE SEC HLA B27 2 TUBES EDTA AVANT 12H. PAS LE SAMEDI CA 50 TUBE SEC CA 72.4 TUBE SEC CALCIUM IONISE TUBE HEPARINE CHAINES LEGERES LIBRES LAMBDA TUBE SEC CHAINES LEGERES LIBRES KAPPA TUBE SEC CHOLINESTERASE ERYTHROCYTAIRE TUBE HEPARINE CHOLINESTERASE PLASMATIQUE TUBE SEC COENZYME Q10 TUBE SEC COTININE URINAIRE URINES FACTEUR V LEIDEN TUBE EDTA GLUCAGON AU LABORATOIRE HOMOCYSTEINE TUBE SEC OU HEPARINE IODEMIE TUBE SEC OU HEPARINE LIPIDOGRAMME TUBE SEC. A JEUN LISTERIOSE TUBE SEC LIPOPROTEINE A TUBE SEC MYCOPLASMES HOMINIS (GENITAUX) TUBE SEC NITRITES URINAIRES ECHANTILLON D URINES 6.00 OSMOLARITE URINAIRE URINES 24H QUANTIFERON AU LABORATOIRE RESISTANCE PROTEINE C ACTIVEE 2 TUBES CITRATES VITAMINE B1 TUBE EDTA VITAMINE C AU LABORATOIRE

11 Autres analyses Hémoculture (Délai : 1 er résultat 4J, résultat final 21 J) Cet examen doit être effectué lors d un pic thermique, et peut être répété (3 hémocultures peuvent être pratiquées à 1 ou plusieurs heures d intervalle). Noter les renseignements nécessaires sur la fiche clinique : l heure du prélèvement, température du patient au moment du prélèvement, n d ordre de l hémoculture, traitement antibiotique éventuel Oter la capsule et désinfecter le bouchon. Introduire stérilement 10ml de sang au maximum à travers le centre du bouchon en caoutchouc. Mélanger le sang et le bouillon dans le flacon (5-6 retournements lents) Etiqueter le flacon. Apporter rapidement au laboratoire. Recueil d urines pour ECBU (Examen CytoBactériologique des urines) Intérêt : Cette analyse permet de reconnaître les infections urinaires et de déterminer le germe en cause. Préconisations pour le prélèvement : - A domicile ou au laboratoire, si possible avant tout traitement antibiotique et de préférence 2-3 h après la dernière miction. Pour contrôle après traitement, les premières urines du matin. - Se laver les mains. - Faire une toilette soigneuse au Dakin. - Eliminer le premier jet dans les toilettes. - Uriner ensuite dans le flacon fourni par le laboratoire (au moins un ½ flacon) et le refermer soigneusement. - Identifier le flacon. - Le flacon doit être acheminé au laboratoire dans les 2 h. Sinon, il peut être conservé au réfrigérateur (2-8 C) 6-8 heures. - Pour les urinocols enfants, poser la poche, après désinfection locale soigneuse. - Ne pas laisser l urinocol plus d une heure sur l enfant. - La poche doit être acheminée au laboratoire, dans un pot pour urines, dans l heure qui suit, sans la vider. 11

12 Pour la recherche de Chlamydiae et/ou Mycoplasmes, le protocole de désinfection est le même : les urines recueillies et transmises sont celles du 1 er jet. Pour la recherche des parasites : recueillir toute la miction ou les urines de 24 h (selon le cas) et acheminer dans les 2 h qui suivent. Recueil d urines pour Biochimie (échantillon) A domicile ou au laboratoire, recueillir les premières urines du matin au lever et à jeun (sauf acétone et glucose après charge), en dehors des périodes des règles (au moins un ½ flacon). Eliminer le 1 er jet. Acheminer dans les 2 h sinon, garder au frigo. Recueil d urines pour un Compte d Addis Hématies-Leucocytes par minute (HLM) Intérêt : Cette analyse consiste à mesurer le débit des hématies et des leucocytes passant dans les urines. Ce recueil s effectue sur la totalité des urines émises en 3 h. Préconisations pour le prélèvement : 3 heures avant le lever habituel : - Vider la totalité de la vessie dans les toilettes. - Boire un grand verre d eau. - Noter la date et l heure sur le flacon. - Se recoucher et rester allongé au repos pendant 3 heures. 3 heures après (le plus exactement possible) : - Uriner dans le flacon fourni par le laboratoire pour recueillir la totalité des urines. Dans l intervalle des trois heures, toutes les urines doivent être récupérées dans le flacon. - Noter l heure sur le flacon. Identifier le flacon Le flacon doit être acheminé au laboratoire dans les 2 h. Nb : Chez la femme, l analyse doit être effectuée en dehors de la période des règles. 12

13 Recueil des selles Intérêt : Ce recueil permet de réaliser des coprocultures (pour la mise en évidence de l agent responsable d une diarrhée infectieuse), des examens de parasitologie et des recherches de sang dans les selles. Préconisations pour le prélèvement : Pour la coproculture, cet examen est à effectuer, si possible, lors des épisodes diarrhéiques. Il est souhaitable de faire cet examen à distance de tout traitement - Recueillir les selles dans le flacon fourni par le laboratoire (1/3 du flacon). - Identifier le flacon si cela n a pas été fait par le laboratoire. Noter la date. La parasitologie et la recherche de sang dans les selles, peuvent être demandées sur des échantillons de trois jours différents. Les flacons doivent être acheminés au laboratoire dans les 6-8 heures qui suivent le prélèvement. Nb : Pour d autres examens plus spécifiques : on se référera au protocole du laboratoire spécialisé auquel on envoie les échantillons. Scotch test Intérêt : Ce test permet de mettre en évidence les œufs d Oxyures (vers intestinaux), très fréquents chez les enfants et très contagieux, entraînant des démangeaisons et troubles du sommeil. Préconisations pour le prélèvement : A effectuer au lever avant la toilette et les premières selles. - Décoller le scotch de son support (utiliser du scotch transparent optiquement). - Appliquer le côté adhésif sur les plis de la marge anale et le maintenir en appuyant quelques secondes. - Retirer le scotch et l étaler sur la lame support. - Renouveler l opération avec le second scotch. 13

14 Expectoration Faire le prélèvement au réveil, après rinçage bucco-dentaire à l eau du robinet et lors d un effort de toux, aidé si besoin d une kinésithérapie Avant toute prise d antibiotique ou d antiseptique. Expectorer dans le flacon en évitant de cracher de la salive, il faut attendre une sécrétion pectorale. Garder le flacon à température ambiante et le porter au laboratoire dans la demi-heure. Remarque : pour tout prélèvement bactériologique : le prélèvement doit être réalisé avant ou à distance de toute antibiothérapie sauf prescription contraire ou cas exceptionnel. En cas de doute, voir avec le biologiste. Divers : Pour tout prélèvement inhabituel, contacter directement le laboratoire, un biologiste vous indiquera la marche à suivre. Elimination des déchets Les déchets contaminés sont collectés dans des containers spécifiques présents dans chaque salle de prélèvement ou dans les mallettes des préleveurs. Les aiguilles doivent être obligatoirement éliminées dans un récipient adapté et en aucun cas remises dans le sachet de prélèvement. Par sécurité, le recapuchonnage est interdit. Les déchets, mis dans ces containers intermédiaires de petite taille, sont ensuite mis dans des fûts spécifiques qui sont ramassés par une filière spécifique selon les réglementations (DASRI). Les déchets non contaminés, emballage de seringues, embouts plastiques des aiguilles, papier, etc. sont éliminés dans des poubelles de ville. 14

15 CONSERVATION DES échantillons Le laboratoire conserve les échantillons primaires en vue de répétition des analyses, ou d analyse complémentaire. Les échantillons sanguin en vue de diagnostics d affections bactériennes, virales, parasitaires, les marqueurs tumoraux sont conservés en sérothèque selon les principes décrits dans la procédure «Gestion de la sérothèque» du laboratoire. Les autres tubes sont gardés 24 heures à 2-8 C. Les selles sont gardées jusqu au rendu de résultats. Les boîtes de pétri gélosées, ainsi que les écouvillons sont gardés 1 semaine à température ambiante. Toutes les urines sont gardées 7 jours. Délai pour prescrire une analyse complémentaire : L analyse à refaire ou à ajouter ne pourra être faite que si les conditions de conservation postanalytique (que ce soit à 2-8 C, T ambiante ou congelé) sont en adéquation avec les conditions de conservation préanalytique requises. Pour cela, le laboratoire dispose d une procédure spécifique. Les préleveurs doivent contacter le laboratoire pour s assurer de la faisabilité. Fiches fournisseurs 15

16 Examens à réaliser à jeun : Glycémie Hyperglycémie provoquée Insuline, PeptidesC Cholestérol Cholestérol LDL ou HDL Triglycérides Gastrine Cross laps Test respiratoire Helicobacter Examens à réaliser le matin : Prolactine TSH Cortisol (possibilité de réaliser un cycle 8h00, 16h00) Examens à congeler dans l heure après le prélèvement : ARN de l hépatite C Homocystéine Facteur Willebrand et cofacteur de la ristocétine Examens dont les résultats sont donnés au patient exclusivement par le prescripteur, fiche de consentement et renseignements cliniques indispensables : Caryotype HT 21 (Recherche de facteur de risque de la trisomie 21) 16

17 Laboratoire St Côme 9 rue Jean-Jacques Bernard Compiègne - Tél : Laboratoire de l Hôtel de ville 12 rue Jean Legendre Compiègne - Tél :

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR

SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises

Plus en détail

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE

CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil

Plus en détail

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe

Tableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe 1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour

Plus en détail

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente

Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Caisse Primaire d Assurance Maladie de La Charente Examens périodiques de santé pour tout assuré social (sauf RSI) Les examens périodiques de santé Pour qui? En règle générale Pour tous les assurés sociaux

Plus en détail

MANUEL DE PRELEVEMENT. Groupe BiopyrénéesLab. MQ MU PRE 001 Version 2. Mise à jour : 24/12/2014

MANUEL DE PRELEVEMENT. Groupe BiopyrénéesLab. MQ MU PRE 001 Version 2. Mise à jour : 24/12/2014 MQ MU PRE 001 Version 2 Mise à jour : 24/12/2014 MANUEL DE PRELEVEMENT Groupe BiopyrénéesLab Ce document ne peut être reproduit sans l autorisation du laboratoire Page 2 sur 92 Réalisé par : Dr D. HEYRAUD

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients

Semaine Sécurité des patients Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants.

DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants. DIABÈTe De TYPe 1 Petit guide pour les parents et les enfants. Guide pour comprendre et aborder sereinement l apparition du diabète de type 1. Sommaire Le contrôle glycémique 04 Qu est-ce que le taux d

Plus en détail

points Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009

points Les actes de biologie médicale : analyse des dépenses en 2008 et 2009 d é c e m b r e 2 0 1 0 - n u m é r o 3 3 points de r e p e r e Le suivi du codage des actes de biologie médicale, qui permet de connaître la structure des dépenses de biologie pour les actes réalisés

Plus en détail

PLAN EXPERT TNS. Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties, de 1 à 4 plafonds annuels de la Sécurité Sociale

PLAN EXPERT TNS. Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties, de 1 à 4 plafonds annuels de la Sécurité Sociale PLAN EXPERT TNS Type de contrat Cotisations et assiette de prestations Garanties Capital décès / PTIA Prévoyance complémentaire des Experts Partenaires Prévoyance : En pourcentage de la base des garanties,

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ

RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ RAPPORT ANNUEL D ACTIVITÉS SCIENTIFIQUES 2005 DU COMITÉ D ASSURANCE QUALITÉ EN BIOCHIMIE LABORATOIRE DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC MARS 2006 AUTEUR Comité d assurance qualité en biochimie MEMBRES DU COMITÉ

Plus en détail

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble

ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

LA RETRAITE Loi Madelin (R94)

LA RETRAITE Loi Madelin (R94) LA RETRAITE Loi Madelin (R94) Type de contrat Age de l assuré Garanties en cas de vie Rente viagère différée (destinée aux professions non salariées non agricoles) L âge de l assuré, déterminé en nombre

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Guide des dons Sang, plasma, plaquettes... et vous, que donnerez-vous? Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

Isolé : 2,20 % du PASS (54 /mois) Isolé : 2,69 % du PASS (67 /mois) Famille : 5,46 % du PASS (135 /mois) Famille : 6.54 % du PASS (162 /mois)

Isolé : 2,20 % du PASS (54 /mois) Isolé : 2,69 % du PASS (67 /mois) Famille : 5,46 % du PASS (135 /mois) Famille : 6.54 % du PASS (162 /mois) PLAN PROFESSIONS LIBERALES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE / SCENARIO RETRAITE) Type de contrat Cotisations Garanties Capital décès / IAD Rente d éducation Rente de conjoint Régime de Prévoyance

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida.

Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. Bilan d Activité du Don de Plaquettes par cytaphérèse Sur une Période d une année au Service Hématologie EHS ELCC Blida. L.Aribi, F.Kaouane, S.Oukid, C.Boucherit, M.K.Benlabiod, Y.M.Bouchakor, M.T.Abad

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants

Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Diabète de type 1: Informations destinées aux enseignants Le diabète chez les jeunes Le diabète de type 1 est une maladie très difficile à affronter, surtout quand on est jeune. Malheureusement, si quelque

Plus en détail

L ANGINE. A Epidémiologie :

L ANGINE. A Epidémiologie : L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable

Plus en détail

Ageas Sérénité Manager

Ageas Sérénité Manager Ageas Sérénité Manager Adaptez votre contrat de prévoyance au développement de votre entreprise Assurance Homme clé I Protection Associés I Couverture d emprunt I Prévoyance familiale Une solution simple,

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles

TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE Chapitre II Lutte contre le dopage Section 3 Agissements interdits et contrôles Sous-section 1 Organisation des contrôles Paragraphe 2 Examens et

Plus en détail

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

GUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG

GUIDE DU DONNEUR. Protection santé SERVICE DU SANG GUIDE DU DONNEUR Protection santé SERVICE DU SANG Introduction 2 Pourquoi donner un peu de Sang? Avant toute chose, les dons de sang, de plasma ou de plaquettes contribuent à sauver des vies humaines.

Plus en détail

Sang, plasma, plaquettes...

Sang, plasma, plaquettes... Sang, plasma, plaquettes... Le don de sang, un geste incontournable En donnant votre sang, vous aidez par exemple une femme qui a perdu beaucoup de sang lors de son accouchement à reprendre des forces,

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants «Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents

Plus en détail

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE

CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91

Plus en détail

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la

Le test de dépistage qui a été pratiqué à la élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,

Plus en détail

DECES OU INVALIDITE PERMANENTE ET TOTALE Tout assuré Majoration par enfant à charge DECES SIMULTANE- DECES ou INVALIDITE ABSOLUE et DEFINITIVE

DECES OU INVALIDITE PERMANENTE ET TOTALE Tout assuré Majoration par enfant à charge DECES SIMULTANE- DECES ou INVALIDITE ABSOLUE et DEFINITIVE PLAN GERANTS MAJORITAIRES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE / SCENARIO RETRAITE) Type de contrat Cotisations Garanties Régime de Prévoyance des Gérants Majoritaires Prévoyance : en pourcentage

Plus en détail

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B

Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer

Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer H A B I T A T Assurance de Prêt ( AdP ) Solution Risques spéciaux Pour les emprunteurs qui ont des difficultés à s assurer Vos Garanties - 2005/2006 Une tarification sur mesure pour : les maladies aggravées,

Plus en détail

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde

Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde 1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose

Plus en détail

MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité

MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité MODULAR ANALYTICS EVO Un univers de Fiabilité, de Puissance et de Flexibilité Roche Diagnostics 2, avenue du Vercors - BP 59 38242 MEYLAN Cedex Tél. : +33 (0)4 76 76 30 00 Fax : +33 (0)4 76 76 30 01 www.rochediagnostics.fr

Plus en détail

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Voyage en Chine au mois de Novembre 2013

Voyage en Chine au mois de Novembre 2013 Voyage en Chine au mois de Novembre 2013 Note importante!! : Lors de la remise de vos documents, veuillez vérifier soigneusement les noms, dates de départ etc. S il y a une erreur, veuillez SVP nous en

Plus en détail

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence

Plus en détail

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES

RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme

Plus en détail

Le jeune diabétique à l école

Le jeune diabétique à l école Le jeune diabétique à l école Défis et Solutions Prof. Marc Maes Equipe de diabétologie pédiatrique Centre de convention Cliniques Universitaires St Luc 1200 Bruxelles Marc.Maes@uclouvain.be Le jeune diabétique

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Indications pédagogiques B2 / 32

Indications pédagogiques B2 / 32 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques B2 / 32 B : S INFORMER / SE DOCUMENTER Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire Objectif opérationnel Pré-requis Nombre d exercices proposés

Plus en détail

NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION

NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION NETTOYAGE ET CONDITIONNEMENT DU MATERIEL DE SOINS EN VUE DE LA STERILISATION OBJECTIFS SPECIFIQUES : ENUMERER SANS ERREUR LES ELEMENTS QUI COMPOSENT LE MATERIEL COURANT DE SOINS EXPLIQUER CHACUNE DES TECHNIQUES

Plus en détail

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)

Plus en détail

En option : il est possible d augmenter le capital de base (l augmentation ne s applique pas à la majoration enfant à charge).

En option : il est possible d augmenter le capital de base (l augmentation ne s applique pas à la majoration enfant à charge). Type de contrat Cotisations Garanties PLAN GERANTS MAJORITAIRES (SOUSCRIT EN COMPLEMENT DU CONTRAT LA RETRAITE 2013) Régime de Prévoyance des Gérants Majoritaires Prévoyance : en pourcentage de la base

Plus en détail

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques

Diabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les

Plus en détail

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015

LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire. Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 LES SOINS D HYGIENE l hygiène bucco dentaire Formation en Hygiène des EMS de la Somme EOH CH ABBEVILLE JUIN 2015 1 SOINS DE BOUCHE ENTRETIEN DES PROTHESES DENTAIRES L état bucco-dentaire est souvent préoccupant

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

À recycler ou pas? Guide pratique du tri

À recycler ou pas? Guide pratique du tri À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Vulcano Pièges Fourmis

Vulcano Pièges Fourmis FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

LD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION

LD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par

Plus en détail

Guide d injection de l insuline

Guide d injection de l insuline Guide d injection de l insuline Table des matières Introduction........................2 Instruments d injection d insuline........3 Glycémie Hyperglycémie..........................15 Table des matières

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER

MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER Pour en savoir plus, rendez-vous sur : MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 657 boulevard

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER

MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cmu.fr www.ameli.fr www.securite-sociale.fr + 3646 MIEUX COMPRENDRE LE SYSTÈME DE SANTÉ POUR SE SOIGNER ACS CMU Caisse Primaire d Assurance Maladie 5, avenue

Plus en détail

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)

DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux

Plus en détail

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2

KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2 KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Complications de la transfusion

Complications de la transfusion Complications de la transfusion Traditionnellement, les accidents transfusionnels sont décrits selon leur cause, immunologique, infectieuse, autre. Il est cependant plus didactique de les étudier selon

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Ordonnance collective

Ordonnance collective Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant

Plus en détail

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND

TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules

Plus en détail

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705

RAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705 356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine

Plus en détail

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail