Introduction à la Biologie Moléculaire. Corinne ABBADIE
|
|
- Joëlle Archambault
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Introduction à la Biologie Moléculaire Corinne ABBADIE
2 Introduction Le vivant est complexe: - 30 millions de types d organismes protéines différentes chez l homme Place de la bioinformatique dans la biologie moléculaire: - stocker les données - éditer les données - analyser les données (computational biology) - rechercher et extraire un élément dans la masse - comparer des données : ex comparer des génomes - créer de la connaissance : - modéliser une structure 3D - identifier des gènes potentiels dans un génome (- appui de l instrumentation utilisée en biologie)
3 1- Les molécules constitutives du vivant 1-1 Les êtres vivants sont constitués de cellules Organismes unicellulaires Organismes pluricellulaires cellule Cellules procaryotes (toujours unicellulaire) Cellules eucaryotes (unicellulaire ou pluricellulaire)
4 1-2 Les cellules sont constituées d assemblage de molécules Chaque diagramme représente une image grossie d un facteur 10 de la précédente: -Un doigt -La peau -Les cellules de la peau -La structure de ces cellules -La structure d une mitochondrie -- la structure d un ribosome -La structure de deux protéines -Ces protéines sont constituées d atomes
5 1-3 Les différentes catégories d ions et de molécules constituant les êtres vivants Gaz dissous: O2, CO2, NO Ca++, oligoéléments organiques
6 Toute matière vivante est composée d eau, d ions, de petites molécules organiques et de macromolécules. Les pourcentages (en poids) indiqués correspondent à ceux mesurés dans la bactérie Escherichia coli. (a) Structures chimiques de l eau, de quelques ions et de quelques petites molécules courants dans les structures biologiques. (b) Modèles 3D d une molécule d ADN et d une protéine. Chaque atome est représenté par une boule colorée (blanc = H, rouge = O, gris = C, jaune = P, bleu = N, vert = S).
7 Liaisons chimiques intra et intermoléculaires FORCE (kcal/mole) TYPE DE LIAISON LONGUEUR (nm) Dans le vide Dans l eau Covalente Non covalente: ionique hydrogène Attraction de van der Waals
8 1-4 Les protéines: leur composition et leur structure 3D déterminent leur fonction Protéines : macromolécules essentielles - constituent la majeure partie de notre matière (le reste=lipides) - assurent la plupart de nos fonctions L information pour fabriquer ces protéines est contenue dans le génome.
9 1-3-1 Les protéines sont des polymères d acides aminés. La séquence en acide aminés détermine la structure primaire de la protéine Les protéines sont des polymères d acides aminés. Les acides aminés ont une structure commune. L atome de carbone (vert) lié aux trois groupes chimiques H, NH2 et COOH sont communs à tous les acides aminés. Le groupe latéral, appelé résidu ou R (rouge), est spécifique à chaque acide aminé.
10 Détail de la liaison peptidique, la liaison chimique entre deux acides aminés. (a) Réaction de condensation entre deux acides aminés pour former la liaison peptidique. (b) Une protéine est donc formée d un squelette monotone d où émergent les résidus (R). La chaine protéique est polarisée avec une extrémité N-terminale et une extrémité C-terminale. Par convention, on donne toujours la séquence en acides aminés de N vers C.
11 Structure des 20 acides aminés communs, classés en 3 groupes: hydrophiles, hydrophobes, et autres. C est le résidu R (en rouge) qui détermine les propriétés chimiques de chaque acide aminé. Sont indiqués en parenthèse les codes à 3 lettres et à une lettre pour chaque acide aminé.
12 Séquence en acides aminés = structure primaire La diversité des protéines résulte des différentes combinaisons linéaires des 20 acides aminés existants. La très petite protéine (=peptide) présentée en exemple est composée de 4 acides aminés. Il en existe 20 4, ou , différentes possibles. Les protéines, appelées également polypeptides, sont généralement constituées de 50 à 2000 acides aminés. Leur diversité possible est donc théoriquement infinie. Chaque protéine est donc caractérisée par une séquence unique (=structure primaire), ce qui n empêche pas que des fragments de séquence (=motif) soit commun à plusieurs protéines. Le nombre et la nature de ses acides aminés confèrent à une protéine une masse précise, mesurée en Dalton (masse d un atome d hydrogène). Une acide aminé fait en moyenne 110 Da. Une protéine fait donc en moyenne entre 5 et 200 kda. La masse d une protéine peut être mesurée -Approximativement par la technique d électrophorèse -très précisément par la technique de spectrométrie de masse. Cette masse très précise est un critère d identification. Il existe des banques de données de masses de protéines.
13 1-3-2 Les propriétés chimiques des acides aminés conditionnent un repliement 3D des protéines Structure secondaire Propriétés chimiques des R Interactions entre acides aminés 1 er degré de repliement=structure secondaire 3 types de structure secondaire: - Tour - Hélice alpha - Feuillet beta
14 Structure d un tour. L atome d oxygène (en rose), légèrement chargé négativement, du groupe CO du résidu i de la chaîne polypeptide établit une liaison dite «hydrogène» (tiré vert) avec l atome d hydrogène (en blanc), légèrement chargé positivement, du groupe NH du résidu i + 3. Cela permet l établissement d un tour dans la chaîne polypeptidique.
15 Structure d une hélice alpha. Le squelette polypeptidique s enroule en une spirale stabilisée par des liaisons hydrogène (pointillés noirs) qui s établissent entre des atomes d oxygène (légèrement chargés négativement) et des atomes d hydrogène (légèrement chargés positivement). Les résidus R émergent en surface de l hélice. Typiquement, les hélices alpha sont hydrophobes et rencontrées dans les parties transmembranaires des protéines membranaires.
16 Structure d un brin beta. La chaine polypeptidique s organise de façon à alterner les résidus R (vert). Cela permet une meilleure occupation de l espace et évite l encombrement stérique.
17 C N N C Structure d un feuillet beta antiparallèle. Deux brins beta adjacents s alignent en direction opposée. Des liaisons hydrogène entre groupes NH et CO connectent chaque acide aminé d un brin à l acide aminé situé en face sur l autre brin, stabilisant ainsi la structure en feuillet. N C N C Structure d un feuillet beta parallèle. Deux brins beta adjacents s alignent dans la même direction. Des liaisons hydrogène entre groupes NH et CO connectent chaque acide aminé d un brin à deux acides aminés situés en face sur l autre brin, stabilisant ainsi la structure en feuillet.
18 Présence relative des acides aminés dans les différentes structures secondaires Acide aminé Hélice alpha Feuillet beta Tour Ala Cys Leu Met Glu Gln His Lys Val Ile Phe Tyr Trp Thr Gly Ser Asp Asn Pro Arg La connaissance de ces fréquences permet de faire de la prédiction de structure secondaire à partir de la séquence
19 Organisation en motifs et domaines Le motif hélice-tour-hélice (en bleu). Ce motif permet l emboitement de la protéine (un facteur de transcription) dans le grand sillon de la double hélice d ADN. Protéine et ADN interagissent ensuite grâce à des liaisons faibles qui s établissent entre acides aminés et bases des nucléotides Le doigt de zinc. Ce motif est constitué d une hélice alpha, d un feuillet beta antiparallèle et d un atome de zinc retenu par les résidus (en vert) de deux cystéines du feuillet beta et deux histidines de l hélice alpha. Ce motif peut aussi s emboiter dans le grand sillon de l ADN et interagir avec les bases. Quelques motifs rencontrés dans les facteurs de transcription. Un motif est une combinaison de quelques éléments de structure secondaire. Ils ont une séquence et une structure caractéristique.
20 Trois exemples de domaines. Un domaine est un ensemble de structures secondaires, plus gros qu un motif. (A) Domaine composé uniquement d hélices alpha séparées par des boucles de longueur variable. (B) Domaine composé d un assemblage d hélices alpha et de brins beta. (C) Domaine composé d un sandwich de deux feuillets beta. Dans les trois exemples, les boucles font surface. Elles constituent souvent les régions d interaction avec d autres molécules.
21 Structure tertiaire Une protéine est constituée de 1 ou plusieurs domaines, identiques ou différents. Cela représente sa structure tertiaire Exemple d une protéine (CD4) constituée de 4 domaines identiques
22 Exemple d une protéine (Src) constituée de 4 domaines différents. Chaque domaine a une fonction propre: les domaines SH2 et SH3 en bleu et vert sont des domaines d interaction avec d autres protéines. Les domaines kinases en jaune et orange ont une activité enzymatique qui nécessite la présence d ATP (en rouge). (A) Modèle en ruban (B) Modèle en boule.
23 Représentation schématique de quelques protéines mettant en valeur leur nature modulaire. L EGF (Epidermal Growth Factor) est constitué d un seul domaine, appelé domaine EGF (orange). Il est généré par clivage d un précurseur qui contient ce domaine EGF en multiples exemplaires. Le domaine EGF est également présent dans les protéines Neu et TPA, associé à d autres domaines. Ainsi, les protéines sont des combinatoires de domaines.
24 (C) (C ) (A) (B) (C) Modèle en boule et bâton. Montre tous les atomes, sauf d hydrogène, et les liaisons covalentes et non covalentes. Modèle en ruban. Met en évidence de façon schématique les structures secondaires et les éventuelles molécules associées (ici le groupement hème avec son atome de fer en violet). Modèle en boule représentant chaque atome, mais aucune liaison. Les atomes de chaque acide aminé sont colorés en fonction d une propriété que l on choisit. Ici, les acides aminés hydrophobes sont représentés en jaune, les acides aminés hydrophiles en bleu. On constate que la surface de la molécule est préférentiellement hydrophile. (C ) Représentation en boule d une coupe à l intérieur de la protéine. L intérieur de la molécule est préférentiellement constituée d acides aminés hydrophobes. Différents types de représentation de la structure tertiaire des protéines (ex de la myoglobine)
25 Structure quaternaire Certaines protéines sont constituées de plusieurs chaines polypeptidiques associées par des interactions faibles ou quelques liaisons covalentes. On dit que ces protéines présentent une structure quaternaire. Chaque chaine polypeptidique d une protéine à structure quaternaire est appelée «sous-unité». La protéine Cro du bactériophage λ est un dimère de deux sousunités identiques. L hémoglobine est composée de deux sous-unités α et deux sous-unités β
26 Structure quaternaire de l aspartate transcarbamoylase
27 1-3-3 Techniques d étude des protéines Séparation par électrophorèse -Échantillon biologique (cellules en culture, biopsie ) -Broyage -Séparation des différentes protéines par migration dans un gel réticulé sous l influence d un champ électrique: la migration dépend de la taille de la protéine et de sa charge Appareil d électrophorèse. Chaque échantillon est déposé dans un puits ménagé dans un gel de polyacrylamide. Un champ électique est appliqué pendant quelques. Plus les protéines sont petites et chargées, plus elles migreront loin dans le gel. La position des protéines est ensuite révélée par une coloration (au bleu de Coomassie).
28 Electrophorèse native Les protéines ne subissent aucune modification avant d être séparées par électrophorèse. Séparation assez mauvaise Electrophorèse des protéines du sérum. Cinq échantillons de sérum ont été analysés par électrophorèse. Le gel a été coloré puis scanné en densitométrie. On peut distinguer au plus 5 bandes, alors que le sérum contient plusieurs centaines de protéines différentes.
29 Electrophorèse dénaturante SDS-polyacrylamide gel electrophoresis (SDS-PAGE) Les protéines sont dénaturées par -chauffage, qui casse les laisons hydrogène -SDS, un détergent chargé négativement, qui casse les liaisons ioniques -mercaptoéthanol qui casse les ponts disulfures Les protéines migreront alors grâce à leur forte charge négative apportée par le détergent et de façon proportionnelle à leur masse. La résolution est fortement améliorée
30 SDS-PAGE d échantillons de cerveau de patients atteints de sclérose en plaque A: Marqueurs de masse moléculaire en kilodaltons (S). Substance blanche contrôle (WM). B: Echantillons de différentes régions de plaques d un malade chronique. C: Echantillons de différentes régions de plaques d un malade aigü. Echantillons P: centre de la plaque, IPP: zone périplaque proximale, OPP: zone périplaque distale, NAWM: substance blanche normale à proximité d une plaque. Protéines PLP: protéolipide, MBP: myelin basic protein, GFAP: glial fibrillary acidic protein, ALB: serum albumin
31 Electrophorèse bidimensionnelle -Première séparation en fonction de la charge (point isoélectrique) -Deuxième séparation en fonction de la masse
32 Analyse d électrophorégrammes bidimensionnels des protéines du cerveau et du foie. L analyse permet de dégager les protéines communes aux deux tissus (en rouge) de celles spécifiques à chaque tissu (en bleu). On peut aussi observer pour les protéines communes des différences quantitatives.
33 Analyse par spectrométrie de masse (protéomique) Etude protéomique par électrophorèse bidimensionnelle et spectrométrie de masse. (A) Electrophorèse bidimensionnelle. Découpage d un spot. Digestion par une protéase (ex trypsine) qui coupe la chaine polypeptidique après les arginines et les lysines. Cela clive la protéine en peptides. (B) Dans le spectromètre de masse, les peptides sont ionisés par un laser puis accélérés dans une colonne jusqu à un détecteur. Le temps de trajet de chaque peptide dépend du rapport entre sa masse et sa charge. Les résultats sont confrontés à une banque de données qui contient toutes les masses théoriques de tous les peptides de toutes les protéines telles que l on peut les prédire à partir des données du séquençage humain.
34 Séquençage des protéines Détermination chimique de la séquence d une protéine par la méthode de la dégradation d Edman. Dans une première étape, on fait réagir l extrémité N- terminale de la protéine avec du phenylisothiocyanate (PITC), un composé fluorescent. L extrémité COOH ne peut pas réagir avec ce composé. Dans une deuxième étape, on fait subir à la protéine marquée une hydrolyse acide légère. Dans cette condition, Le PITC a tendance à se cycliser et ainsi à se cliver du reste de la protéine. Le produit cyclisé s appelle le phenylthiohydantoin (PTH). L hydrolyse acide génère donc un PTH associé à l acide aminé N-terminal et une protéine raccourcie de son acide aminé N-terminal et présentant une nouvelle extrémité N-terminale. L acide aminé fixé au PTH est ensuite identifié par chromatographie liquide, sur la base de ses propriétés chimiques. Le restant de la protéine est soumise de nouveau aux deux étapes précédentes. Ainsi les acides aminés N-terminaux sont identifiés successivement générant la séquence de la protéine.
35 Détermination de la structure des protéines Cristallographie aux rayons X. (A) Des rayons X sont bombardés sur (B) un cristal de protéine purifiée. (C) Les rayons X sont diffractés par les atomes du cristal. Le patron de diffraction est récolté sur un film photo. (D) Le patron de diffraction est ensuite analysé de façon à reconstituer la structure tridimensionnelle. L analyse repose sur le fait que chaque atome diffracte les rayons X en fonction du nombre d électrons qui le constitue et que la position des atomes les uns par rapport aux autres modifie la diffraction.
36 protéines cristallographiées Possibilité de prédire des structures à partir de la séquence, par analogie avec des structures connues de séquences homologues
Formavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailTD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT
TD DOSAGE DE PROTEINES ET ELECTROPHORESE : PARTIE THÉORIQUE BST1 SVT Daniela LENER IBMC Texte conseillé pour consultation : Biochimie, Voet & Voet, ed. De Boeck. Dosage des protéines Pendant une purification
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détail2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences
2D-Differential Differential Gel Electrophoresis & Applications en neurosciences Jean-Etienne Poirrier Centre de Neurobiologie Cellulaire et Moléculaire Centre de Recherches du Cyclotron Université de
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailLeslie REGAD ; Gaëlle LELANDAIS. leslie.regad@univ- paris- diderot.fr ; gaelle.lelandais@univ- paris- diderot.fr
Programmation avec R Polycopié d exercices Leslie REGAD ; Gaëlle LELANDAIS leslie.regad@univ- paris- diderot.fr ; gaelle.lelandais@univ- paris- diderot.fr Ce polycopié rassemble différents exercices vous
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailTP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique
TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence
Plus en détailProduction d une protéine recombinante
99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailNiveau 2 nde THEME : L UNIVERS. Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS
Document du professeur 1/7 Niveau 2 nde THEME : L UNIVERS Physique Chimie SPECTRES D ÉMISSION ET D ABSORPTION Programme : BO spécial n 4 du 29/04/10 L UNIVERS Les étoiles : l analyse de la lumière provenant
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailSemestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»
Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,
Plus en détailULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailFiche professeur. Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu
Fiche professeur TEME du programme : Comprendre ous-thème : Cohésion et transformations de la matière Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu Type d activité : Activité expérimentale
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailUE6 - Cycle de vie du médicament : Conception rationnelle
UE6 - Cycle de vie du médicament : Conception rationnelle Dr. Raphaël Terreux Faculté de Pharmacie (ISPB) Département pédagogique des Sciences Physico-Chimiques et Pharmacie Galénique 8 avenue Rockefeller,
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailOBJECTIFS. Savoir identifier les différents domaines des ondes électromagnétiques.
4 Les ondes électromagnétiques et le photon Le V.L.A. (Very Large Array) au ouveau-mexique est formé d antennes paraboliques orientables, disposées au sol selon un immense Y inscrit dans un carré de côté
Plus en détailLes cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli
Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailCharger une structure Comment ouvrir un fichier avec VMD? Comment charger un fichier PDB directement depuis la Protein Data Bank? Comment charger un
Charger une structure Comment ouvrir un fichier avec VMD? Comment charger un fichier PDB directement depuis la Protein Data Bank? Comment charger un fichier restrt de AMBER? Comment charger une trajectoire
Plus en détailSEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200
SEQUENÇAGE LI-COR DNA 4200 Le gel de séquence contient 64 puits au maximum soit 16 clones traités en parallèle. Les oligos utilisés (modifiés en 5 ) fluorescent à 700/800 nm. Une amorce permet de séquencer
Plus en détailMise en pratique : Etude de spectres
Mise en pratique : Etude de spectres Introduction La nouvelle génération de spectromètre à détecteur CCD permet de réaliser n importe quel spectre en temps réel sur toute la gamme de longueur d onde. La
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailProtéomique Séance 1 Introduction aux données de protéomique et aux outils de recherche
Protéomique Séance 1 Introduction aux données de protéomique et aux outils de recherche Mathieu Courcelles BCM2003 26 Mars 2009 BCM2003-H09 Protéomique Démonstrateur: Mathieu Courcelles Questions? Via
Plus en détailJean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966
Jean Dubuffet AUTOPORTRAIT II - 1966 MON VISAGE A LA MANIERE DE JEAN DUBUFFET OBJECTIFS - utiliser son expérience sensorielle visuelle pour produire une œuvre picturale. - réaliser une œuvre s'inspirant
Plus en détail1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5
Section COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5 Les matières premières Pour vous donner un produit de qualité, nous choisissons celles qui offrent les meilleures garanties. Série DATATEL
Plus en détailUniversité Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de
Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMaster de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant
Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master
Plus en détailDiagnostic biologique de la toxoplasmose
COURS DE COLLEGE DE MALADIES INFECTIEUSES MICROBIOLOGIE PARASITOLOGIE Diagnostic biologique de la toxoplasmose 26 Janvier 2012 Faculté de Médecine de Sousse Principes des techniques utilisées dans le diagnostic
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailInfluence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation
Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu
Plus en détailRDP : Voir ou conduire
1S Thème : Observer RDP : Voir ou conduire DESCRIPTIF DE SUJET DESTINE AU PROFESSEUR Objectif Compétences exigibles du B.O. Initier les élèves de première S à la démarche de résolution de problème telle
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détaile-biogenouest CNRS UMR 6074 IRISA-INRIA / Plateforme de Bioinformatique GenOuest yvan.le_bras@irisa.fr Programme fédérateur Biogenouest co-financé
e-biogenouest Coordinateur : Olivier Collin Animateur : Yvan Le Bras CNRS UMR 6074 IRISA-INRIA / Plateforme de Bioinformatique GenOuest yvan.le_bras@irisa.fr Programme fédérateur Biogenouest co-financé
Plus en détailEléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés
Actualités gemmologiques Eléments de caractérisation des diamants naturels et synthétiques colorés Dr. Erel Eric 1 Développés depuis les années 50 pour leurs applications dans les domaines des abrasifs,
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailBiotechnologies en 27 fiches
9782100589142-cezard-lim.qxd 23/04/13 7:40 Page I Fabien CÉZARD Biotechnologies en 27 fiches 2 e édition 9782100589142-cezard-lim.qxd 23/04/13 7:40 Page II Une autre version de cet ouvrage a été publiée
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailLes débuts de la génétique
HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailCosmétique, perfection de couleur et délicatesse sont les principes fondamentaux de DousColor.
DousColor Effet couleur ton sur ton Douscolor signifie la couleur douce et couvrante ton sur ton, résultat d'une récente recherche scientifique. Il ne contient pas d'ammoniaque et n'éclaircit pas les cheveux.
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailChapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle
Chapitre 4 - Spectroscopie rotationnelle 5.1 Classification Déterminer à quelle catégorie (sphérique, symétrique, asymétrique) appartiennent ces molécules : a) CH 4, b) CH 3 F, c) CH 3 D, d) SF 6, e) HCN,
Plus en détailPanorama de l astronomie
Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement
Plus en détailCircuits intégrés micro-ondes
Chapitre 7 Circuits intégrés micro-ondes Ce chapitre sert d introduction aux circuits intégrés micro-ondes. On y présentera les éléments de base (résistance, capacitance, inductance), ainsi que les transistors
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailSéquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire
Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage
Plus en détailCritères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)
Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailPHOTO PLAISIRS. La Lumière Température de couleur & Balance des blancs. Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1
PHOTO PLAISIRS La Lumière Température de couleur & Balance des blancs Mars 2011 Textes et Photos de Bruno TARDY 1 Blanc Infrarouge Flash Température Lumière RVB Couleur chaude Couleur Couleur Couleur Incandescente
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détail1S9 Balances des blancs
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S9 Balances des blancs Type d'activité Étude documentaire Notions et contenus Compétences attendues Couleurs des corps chauffés. Loi de Wien. Synthèse additive.
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailCentre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE
Centre Universitaire LA CITADELLE 220, avenue de l Université B.P 5526 59379 DUNKERQUE CEDEX 1 GUIDE DES ETUDES LICENCE PROFESSIONNELLE Chimie Industrielle (anciennement : Industries chimiques et pharmaceutiques)
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailEcran : Processeur : OS : Caméra : Communication : Mémoire : Connectique : Audio : Batterie : Autonomie : Dimensions : Poids : DAS :
SMARTPHONE - DUAL-CORE - NOIR 3483072425242 SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLEU XXXX SMARTPHONE - DUAL-CORE - BLANC 3483072485246 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROSE 3483073704131 SMARTPHONE - DUAL-CORE - ROUGE XXXX
Plus en détail