CHAINES DE SOLIDES T X R X

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CHAINES DE SOLIDES T X R X"

Transcription

1 CHAINES DE SOLIDES Les mécanismes sont constitués de nombreuses pièces, certaines restant en permanence liées à d autres au cours du fonctionnement du mécanisme. Les liaisons mécaniques permettent la mobilité entre les groupes de pièces. L analyse de ces différentes liaisons fait ainsi apparaître les chaînes de solides. R S - Rappel sur les liaisons élémentaires Solide indéformable : C est un solide physique dont on peut négliger la déformation sous l effet des actions mécaniques A B d AB dt R s est un repère lié au solide S qui lui sont appliquées Cela implique que, quels que soient les points A et B appartenant à ce solide, la distance AB reste constante dans le temps. Rs = 0 Classe d équivalence : C est l ensemble des pièces d un même système mécanique qui sont en permanence en liaison encastrement, et dont le comportement du point de vue cinématique est équivalent au comportement de l une d entre elles. Liaison élémentaire : Modèle retenu pour traduire la relation physiquement établie entre deu solides ou classe d équivalence par l intermédiaire d une où plusieurs surfaces de contact, et autorisant un nombre défini de degrés de liberté (mouvements) de l un par rapport à l autre. Il y a au total 0 liaisons élémentaires autorisant des mouvements relatifs T X z Une liaison autorisant 6 degrés de liberté est appelée liaison libre. Une liaison n autorisant aucun degré de liberté est appelée liaison encastrement ou liaison fie. Une liaison élémentaire est caractérisée par un ou plusieurs éléments géométriques associés : direction, centre, normale, ae (voir annee). R X y y M Salette- Lycée Brizeu- Quimper Torseurs associés à une liaison élémentaire : On suppose que les liaisons entre solides sont parfaites, c'est-àdire que : les surfaces en contact sont géométriquement parfaites il n y a pas de frottement le contact est supposé bilatéral Chaque liaison élémentaire autorise un comportement mécanique de l un des solides par rapport à l autre. Des torseurs traduisent ce comportement : A z : C0 Chaines de solides.doc- Page sur

2 Le torseur cinématique : { V } (ou torseur des vitesses permises) ( S / R ) = Ω V( ( S / R ) A A, S / R ) On utilise de manière conventionnelle la lettre { ( S / R) } cinématique ( S / R) V (vitesse) pour désigner un torseur Ω est la vitesse angulaire( eprimée en rad/s), qui sera la même en tout point du solide V est la vitesse linéaire( eprimée en m/s), qui sera fonction de la position du point du solide ( A, S / R) Les éléments de réduction par projection dans une base particulière font apparaître n c paramètres (ou inconnues) cinématiques. Ce nombre correspond au degrés de liberté (ddl) de la liaison. Le torseur «statique» : { τ } (ou torseur des actions transmissibles) ( S R ) = A R( M S R ) ( A, S R ) Désigné de manière conventionnelle avec la lettre τ (pour torseur ) Les éléments de réduction par projection dans une base particulière font apparaître n s paramètres (ou inconnues) statiques. Ce nombre correspond au degrés de liberté supprimés de la liaison. Il eiste une relation particulière entre ces deu nombres : n c + n s = 6. - Graphe de structure (ou graphe des liaisons) Graphe où les classes d équivalence sont représentées par des cercles et les liaisons par des arcs (ou des segments) joignant les cercles. Suivant la représentation obtenue, on pourra distinguer : - des chaînes ouvertes continues de solides - des chaînes fermées simples de solides - des chaînes fermées complees de solides. L5 L9 0 L6 L L4 4 L8 L7 L 5 Eemple de chaîne ouverte continue : Robot Ericc Bras Avant-bras Graphe de structure : Poignet 4 L L4 Chaise Socle 0 Pince 5 L L 0 L5 5 4 Ici, les liaisons L i sont toutes des liaisons pivots : C0 Chaines de solides.doc- Page sur

3 Eemple de chaîne fermée simple: Vérin électrique Ecrou -tige Graphe de structure : Arbre vis L Bâti L L Eemple de chaîne fermée complee: Positionneur 6 aes Table Graphe de structure : Tige de vérin i Embase 0 Corps de vérin i Liaisons 0/ i et / i : liaisons sphériques Liaisons i / i : liaisons pivot glissant On appelle N le nombre de solides et L le nombre de liaisons intervenant dans la chaîne. On remarque que : - pour une chaîne ouverte continue : L = N - pour une chaîne fermée simple : L = N - pour une chaîne fermée complee : L > N. Nombre cyclomatique : On remarque que sur les chaînes fermées complees, il est possible d écrire plusieurs fermetures cinématiques. On appelle γ le nombre de cycles strictement nécessaires pour prendre en compte toutes les inconnues cinématiques. Ce nombre est défini par la relation : γ = L N + - Liaisons équivalentes Dans un graphe de structure, il est possible de remplacer un sous-ensemble de liaisons liant deu ou plusieurs pièces par une seule liaison entre deu solides, équivalente du point de vue cinématique et statique (si on se place dans le cas des liaisons parfaites). On distingue deu cas : - les liaisons en parallèle - les liaisons en série. Pour déterminer une liaison équivalente, on peut rechercher soit le torseur statique équivalent, soit le torseur cinématique équivalent. On parle dans le er cas de méthode statique, dans le ème de méthode cinématique. : C0 Chaines de solides.doc- Page sur

4 - Liaisons en parallèle: On considère une portion de graphe liant deu solides et par l intermédiaire de trois liaisons. On cherche à déterminer la liaison équivalente, qui pourrait être une liaison élémentaire. Méthode statique : Le solide est soumis à une action etérieure autre que celles dues au liaisons : { τ ( e ) }. On note : { τ } = { τ ( ) }, { τ } = { τ ( ) }, { τ } = { τ ( ) } et { τ équ } = { τ ( ) }. L On applique le PFS au solide. En considérant les trois liaisons, on obtient : { τ } + { τ } + { τ } + { τ ( ) } = { 0} e En considérant la liaison équivalente, on obtient : { τ équ} + { τ ( e ) } = { 0} Par substitution, on obtient : { τ } + { τ } + { τ } = { τéqu}. Attention, pour faire cette somme de torseur, il faudra tous les eprimer en un même point. : C0 Chaines de solides.doc- Page 4 sur L D une manière générale, le torseur statique d une liaison équivalente à n liaisons en parallèle τ = n équ τi () s eprime par : { } { } Méthode cinématique : i= On note : { V } = { V ( / ) }, { V } = { V ( / ) }, { V } = { V ( / ) } et { V équ } = { V ( / ) } L L Le comportement cinématique du solide par rapport à, est induit par la liaison L, mais aussi L et L et également par la liaison équivalente. On traduit cela par l égalité de tous les torseurs entre eu.{ V équ } = { V } = { V } = { V } D une manière générale, le torseur cinématique d une liaison équivalente à n liaisons en parallèle s eprime par : L L { V équ } = { V } =... = { V } =... = { } i Vn Conclusion : Dans le cas des liaisons en parallèle, on privilégiera la méthode statique. On aura intérêt à rechercher si les ensembles de points conservant pour chaque torseur sa forme particulière ont une zone commune. On écrira alors les éléments de réduction des torseurs en un point de cette zone commune. Mobilité : On appelle «m», le degré de mobilité de la liaison équivalente au n liaisons en parallèle. Il est égal à 6 (nombre maimum de degrés de liberté) moins le nombre d équations statiques indépendantes : m = 6 - rs Si m = 0, la liaison équivalente est une liaison encastrement ou fie. Si m > 0, la liaison est dite mobile à m degrés de libertés. Hyperstatisme : Si on appelle ns i le nombre d inconnues statiques introduites par la liaison «i», alors le nombre total d inconnues statiques mise en oeuvre par la liaison équivalente Ns vaut : Ns = ns i. L L L n i= L éq Action etérieure Action etérieure Léqu Léqu

5 En appliquant la relation (), on fait apparaître un nombre d équations scalaires statiques indépendantes noté «rs» au plus égal à 6. On appelle «h», le degré d hyperstatisme de la liaison équivalente au n liaisons en parallèle, le nombre total d inconnues statiques moins le nombre d équations statiques indépendantes : h = Ns rs Remarque : pour l étude des liaisons en parallèle, rs = ns eq nombre d inconnues statiques indépendantes que l on a dans le torseur statique de la liaison équivalente Si h = 0, la liaison est dite isostatique. Si h > 0, la liaison est dite hyperstatique d ordre h. Eemple de réalisation de liaison hyperstatique : guidage d un vilebrequin de moteur thermique à 4 cylindres : la liaison pivot est réalisée par 5 portées cylindrique correspondant chacune à une liaison pivot. On a donc un hyperstatisme h = 0, nécessaire ici pour avoir un guidage rigide du vilebrequin, mais qui impose des contraintes de précision d usinage au niveau des pièces participant au guidage. guidage par paliers lisses Autre eemple de liaison hyperstatique - Liaisons en série: On considère une portion de graphe liant trois solides, et par l intermédiaire de deu liaisons. On cherche à déterminer la liaison équivalente, qui pourrait être une liaison élémentaire. Méthode statique : Le solide est soumis à une action etérieure autre que celles dues au liaisons : { τ ( e ) }. On note : = τ ( ) = τ ( ) τ équ = τ ( ). { τ } { }, { } { } Léqu On applique le PFS au solide.on obtient : { τ } + { τ ( e ) } = { 0} On applique le PFS au système (+). on obtient : { τ } + { τ ( e ) } = { 0} τ, et { } { } On applique le PFS au solide en considérant la liaison équivalente, on obtient : { τ } { } = équ + τ ) { 0} ( e Par substitution, ces trois relations donnent : { τ } = { τ } = { τéqu}. D une manière générale, le torseur statique d une liaison équivalente à n liaisons en série s eprime par : { τ équ} = { τ } =... = { τi} =... = { τn} Méthode cinématique : () On note : { V } = { V ( / ) }, { V } = { V ( / ) } et { V équ } = { V ( / ) } L L Léqu L L L éq Action etérieure Action etérieure : C0 Chaines de solides.doc- Page 5 sur

6 Le comportement cinématique du solide par rapport à, est induit par la liaison L, mais aussi L et L et également par la liaison équivalente. La composition de mouvements de par rapport à s eprime par la composition des torseurs cinématiques : { V équ } = { V } + { V } D une manière générale, le torseur cinématique d une liaison équivalente à n liaisons en série s eprime par : { V } = n équ { Vi} i= Conclusion : Dans le cas des liaisons en série, on privilégiera la méthode cinématique. On aura intérêt à rechercher si les ensembles de points conservant pour chaque torseur sa forme particulière ont une zone commune. On écrira alors les éléments de réduction des torseurs en un point de cette zone commune. Hyperstatisme : La relation () permet de déterminer toutes les composantes des torseurs { i} τ. Par conséquent, une liaison équivalente à des liaisons en série est toujours isostatique. Mobilité : On appelle nc i le nombre d inconnues cinématiques introduites par la liaison Li. Alors le nombre total n d inconnues cinématiques de la liaison équivalente Nc vaut : Nc = nc i On appelle «m», le degré de mobilité cinématique de la chaîne continue ouverte constituée des n liaisons en série. Il est égal au nombre total d inconnues cinématiques : m = Nc On appelle «mu», le degré de mobilité de la liaison équivalente : mu = nc équ. Ces deu mobilités ne sont pas systématiquement égales. En effet m peut être supérieure à mu. On définit alors la mobilité interne «mi» telle que : m = mu + mi i= Cette mobilité peut se déterminer en supposant les deu solides terminau de la chaîne ouverte immobile l un par rapport à l autre et en observant les mouvements internes possibles. Eemple de liaisons en série : paumelle de porte 4- Chaînes fermées simples En reliant les deu solides etrêmes d une chaîne continue ouverte, on obtient une chaîne fermée simple. Une chaîne fermée simple possède autant de solides que de liaisons. On définit ci-dessous les relations caractéristiques d un tel type de chaîne en considérant ensuite l eemple d un vérin électrique. Etude statique et hyperstatisme : Une chaîne de n solides liés par n liaisons permet d appliquer (n-) fois le PFS. L un des solides étant fie ne peut être isolé. Il résulte de ces (n-) isolements un certain nombre d équations statiques indépendantes. On notera «rs» le nombre d équations statiques indépendantes et «Ns» le nombre total d inconnues statiques. On appelle h le degré d hyperstatisme d une chaîne fermé simple. Il est égal à la différence entre le nombre total d inconnues statiques Ns et le nombre de relations statiques indépendantes les liant rs : h = Ns rs : C0 Chaines de solides.doc- Page 6 sur

7 Etude cinématique et mobilité: Une chaîne de n solides liés par n liaisons permet d appliquer une fois la composition de mouvement en écrivant la fermeture des torseurs cinématiques. On obtient alors un système d au plus 6 équations cinématiques indépendantes. On notera «rc» le nombre d équations cinématiques indépendantes et «Nc» le nombre total d inconnues cinématiques. On appelle m le degré de mobilité d une chaîne fermé simple. Il est égal à la différence entre le nombre total d inconnues cinématiques Nc et le nombre de relations cinématiques indépendantes les liant rc: m = Nc - rc Cette mobilité se décompose en mobilité utile (loi E/S) «mu» et mobilité interne «mi» avec : m = mu + mi Problème : si la détermination de rc est en général aisée, celle de rs est souvent longue et fastidieuse. D où une certaine difficulté à déterminer le degré d hyperstatisme d une chaîne fermée simple. Par analogie avec les chaînes ouvertes, on démontre que la mobilité peut aussi s eprimer par la relation suivante : m = 6(n-) rs En utilisant la relation remarquable nc i + ns i = 6, on peut eprimer le degré d hyperstatisme plus simplement : n n On peut écrire : Nc + Ns = nc i + ns i = 6n De plus : rs = 6 (n-) m = (Nc + Ns) m D où : h = Ns rs = Ns ( (Nc + Ns) 6 m ) Ce qui nous donne la relation finale suivante : h = m + 6 Nc Eemple de chaîne fermée simple: Vérin électrique i= i= Ecrou -tige Arbre vis τ { ( E ) } Graphe de structure : L τ { ( ) } E y O z Bâti L L On définit les torseurs statiques et cinématiques par leurs éléments de réductions en O. r r r X + Y y + Z z r α τ = r r { V ( / ) } = M y + N z O O 0 r r r X + Y y + Z z r α τ ( ) = r r r { V ( / ) } = r px + M y + N z O pα O r r r Y y + Z z 0 τ ( ) = r r r { V ( / ) } = r L + M y + N z O u O { ( ) } { } { } On considère que cet ensemble matériel est en équilibre sous l action de deu torseurs etérieurs : r r r r r r Xe + Yey + Zez { τ } = et Xe' + Ye' y + Ze' z ( E ) r r r { τ ( E ) } = r r r Le + Mey + Nez O Le' + Me' y + Ne' z O : C0 Chaines de solides.doc- Page 7 sur

8 Etude statique : On applique le PFS à l arbre vis : { τ ) } + { ( ) } + { ( ) } { 0} E τ τ Puis, on applique le PFS à l écrou tige : { τ ) } + { ( ) } { ( ) } { 0} E τ τ X + X + Xe = 0 X + Xe'= 0 (b) Y + Y + Ye = 0 Y Y + Ye'= 0 Z On obtient au total équations: + Z + Ze = 0 Z Z + Ze'= 0 px + Le = 0 (a) px + L + Le'= 0 M + M + Me = 0 M M + Me'= 0 N + N + Ne = 0 N N + Ne'= 0 On remarque que l équilibre de l ensemble ne peut avoir lieu que si les composantes Xe' et Le sont liées (relation imposée par (a) et (b)). Au total, on obtient donc équations indépendantes (sur un total initial de ) liant 5 inconnues statiques. Le degré d hyperstatisme vaut donc : h = Ns rs = 5 = 4 X + X + Xe = 0 Y + Y + Ye = 0 Z + Z + Ze = 0 px + Le = 0 X + Xe'= 0 avec Le = pxe' M + M + Me = 0 N + N + Ne = 0 Y Y + Ye'= 0 Z Z + Ze'= 0 px + L + Le'= 0 M M + Me'= 0 N N + Ne'= 0 Etude cinématique : On eprime la fermeture cinématique :: { V ( / ) } + { V ( / ) } + { V ( / ) } = { 0} α On obtient alors deu équations scalaires indépendantes : +α = 0 pα + u = 0 Le degré de mobilité vaut donc : m = Nc rc = = (avec mu = et mi = 0) On peut retrouver la valeur de h en utilisant la relation : h = m + 6 Nc = + 6 = Chaînes fermées complees Une chaîne fermée complee possède un nombre de liaisons supérieur au nombre de solides. L étude d une chaîne complee reprend la même démarche que celle d une chaîne simple. Mais la présence de plusieurs cycles amène à des relations prenant en compte le nombre cyclomatique. Etude statique et hyperstatisme : Une chaîne de n solides liés par l liaisons permet d appliquer (n-) fois le PFS. L un des solides étant fie ne peut être isolé. Il résulte de ces (n-) isolements un certain nombre d équations statiques indépendantes. Ces équations font intervenir au total Ns inconnues statiques. On notera «rs» le nombre d équations statiques indépendantes et «Ns» le nombre total d inconnues statiques. On appelle h le degré d hyperstatisme d une chaîne fermé simple. Il est égal à la différence entre le nombre total d inconnues statiques Ns et le nombre de relations statiques indépendantes les liant rs : h = Ns - rs : C0 Chaines de solides.doc- Page 8 sur

9 Etude cinématique et mobilité: Une chaîne de n solides liés par l liaisons permet d écrire plusieurs fermetures cinématiques, en l occurrence γ fermetures On obtient alors un système d au plus 6γ équations cinématiques indépendantes. Ces équations font intervenir au total Nc inconnues cinématiques. On notera «rc» le nombre d équations cinématiques indépendantes et «Nc» le nombre total d inconnues cinématiques. On appelle m le degré de mobilité d une chaîne fermé simple. Il est égal à la différence entre le nombre total d inconnues cinématiques Nc et le nombre de relations cinématiques indépendantes les liant rc: m = Nc - rc Problème : si la détermination de rc est en général aisée, celle de rs est souvent longue et fastidieuse. D où une certaine difficulté à déterminer le degré d hyperstatisme d une chaîne fermée simple. Par analogie avec les chaînes ouvertes, on démontre que la mobilité peut aussi s eprimer par la relation suivante : m = 6(n-) rs En utilisant la relation remarquable nc i + ns i = 6, on peut eprimer le degré d hyperstatisme plus simplement : n n On peut écrire : Nc + Ns = nc i + ns i = 6 l i= De plus : rs = 6 (n-) m = 6 (l - γ) m = (Nc + Ns) - 6γ - m D où : h = Ns rs = Ns ( (Nc + Ns) 6γ m ) i= Ce qui nous donne la relation finale suivante : h = m + 6γ - Nc Dans le cas d un problème plan, cette relation devient : h = m + γ - Nc TABLEAU DES LIAISONS : C0 Chaines de solides.doc- Page 9 sur

10 : C0 Chaines de solides.doc- Page 0 sur

11 : C0 Chaines de solides.doc- Page sur

12 Ce qu il faut retenir : Il y aura sortes de problèmes à traiter : Recherche de la liaison équivalente à l association de liaisons en série ou en parallèles Recherche de la mobilité et de l hyperstatisme d un mécanisme. Penser à chercher la zone commune pour eprimer les torseurs Les relations à utiliser devront correspondre à l étude à mener : Liaison équivalente : liaisons en parallèle On cherche la liaison équivalente à l association de liaisons en parallèle. L association de liaison en parallèle est généralement hyperstatique τ + τ + τ = τéqu { } { } { } { } N S = Σ n si h = N S r s = N S n seq { V équ } = { V } = { V } = { V } r s correspond au nombre de composantes indépendantes du { τ équ} n seq correspond au nombres d inconnues statiques de la liaison équivalente m= 6 - n seq Liaison équivalente : liaisons en série On cherche la liaison équivalente à l association de liaisons en série. Cette association ne peut pas créer d hyperstatisme, elle va augmenter la mobilité { τ } = { τ } = { τéqu} N C = Σ n Ci m = N C { V équ } = { V } + { V } m u = n Cequ m = m u + m i Mécanisme à chaîne fermée simple On cherche à déterminer les mobilités et l hyperstatisme d un mécanisme N S nombre d inconnues statiques r s nombre d équations obtenues en appliquant (n-) fois le PFS h = N S r s m = N C - r c r c est le nombre d équations cinématiques indépendantes et m = m u + m i Il est difficile de déterminer r c et r s. On va généralement essayer de trouver la mobilité m du mécanisme en cherchant les mouvements indépendants possibles. On en déduit l hyperstatisme avec la relation : h = m N c Mécanisme à chaîne fermée complee On cherche à déterminer les mobilités et l hyperstatisme d un mécanisme h = N S r s m = N C - r c r c est le nombre d équations cinématiques indépendantes et m = m u + m i Il est difficile de déterminer r c et r s. On va généralement essayer de trouver la mobilité m du mécanisme en cherchant les mouvements indépendants possibles. On en déduit l hyperstatisme avec la relation : h = m + 6.γ - N c avec γ = L N + L nombre de liaison N nombre de pièces Cas du problème plan : On ne prend plus en compte que composantes dans les torseurs, et on a alors h = m +.γ - Nc : C0 Chaines de solides.doc- Page sur

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X

INTRODUCTION. A- Modélisation et paramétrage : CHAPITRE I : MODÉLISATION. I. Paramétrage de la position d un solide : (S1) O O1 X INTRODUCTION La conception d'un mécanisme en vue de sa réalisation industrielle comporte plusieurs étapes. Avant d'aboutir à la maquette numérique du produit définitif, il est nécessaire d'effectuer une

Plus en détail

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)

10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU) 0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2

Plus en détail

Continuité et dérivabilité d une fonction

Continuité et dérivabilité d une fonction DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures)

Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Bac Blanc Terminale ES - Février 2011 Épreuve de Mathématiques (durée 3 heures) Eercice 1 (5 points) pour les candidats n ayant pas choisi la spécialité MATH Le tableau suivant donne l évolution du chiffre

Plus en détail

Analyse statique d une pièce

Analyse statique d une pièce Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages

Plus en détail

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé

Planche n o 22. Fonctions de plusieurs variables. Corrigé Planche n o Fonctions de plusieurs variables Corrigé n o : f est définie sur R \ {, } Pour, f, = Quand tend vers, le couple, tend vers le couple, et f, tend vers Donc, si f a une limite réelle en, cette

Plus en détail

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide

Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide Chapitre 2 : Caractéristiques du mouvement d un solide I Rappels : Référentiel : Le mouvement d un corps est décris par rapport à un corps de référence et dépend du choix de ce corps. Ce corps de référence

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle

Chapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette

Plus en détail

ANALYSE DES DIFFERENTES FONCTIONNALITES DU FAUTEUIL

ANALYSE DES DIFFERENTES FONCTIONNALITES DU FAUTEUIL Dossier remis aux candidats: Un énoncé comportant 24 pages de texte en 5 parties : ANALYSE DES DIFFERENTES FONCTIONNALITES DU FAUTEUIL (Partie I page 4), ANALYSE DES FONCTIONS TECHNIQUES FT31 ET FT32 (Partie

Plus en détail

Cours de Résistance des Matériaux (RDM)

Cours de Résistance des Matériaux (RDM) Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION

Plus en détail

Limites finies en un point

Limites finies en un point 8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,

Plus en détail

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %

Exprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 % 23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une

Plus en détail

O, i, ) ln x. (ln x)2

O, i, ) ln x. (ln x)2 EXERCICE 5 points Commun à tous les candidats Le plan complee est muni d un repère orthonormal O, i, j Étude d une fonction f On considère la fonction f définie sur l intervalle ]0; + [ par : f = ln On

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN

MOTO ELECTRIQUE. CPGE / Sciences Industrielles pour l Ingénieur TD06_08 Moto électrique DIAGRAMME DES INTER-ACTEURS UTILISATEUR ENVIRONNEMENT HUMAIN MOTO ELECTRIQUE MISE EN SITUATION La moto électrique STRADA EVO 1 est fabriquée par une société SUISSE, située à LUGANO. Moyen de transport alternatif, peut-être la solution pour concilier contraintes

Plus en détail

Chapitre 0 Introduction à la cinématique

Chapitre 0 Introduction à la cinématique Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

Extrait des Exploitations Pédagogiques

Extrait des Exploitations Pédagogiques Pédagogiques Module : Compétitivité et créativité CI Première : Compétitivité et créativité CI institutionnel : Développement durable et compétitivité des produits Support : Robot - O : Caractériser les

Plus en détail

La médiatrice d un segment

La médiatrice d un segment EXTRT DE CURS DE THS DE 4E 1 La médiatrice d un segment, la bissectrice d un angle La médiatrice d un segment Définition : La médiatrice d un segment est l ae de smétrie de ce segment ; c'est-à-dire que

Plus en détail

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme

Chapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet

Plus en détail

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x =

AC AB. A B C x 1. x + 1. d où. Avec un calcul vu au lycée, on démontre que cette solution admet deux solutions dont une seule nous intéresse : x = LE NOMBRE D OR Présentation et calcul du nombre d or Euclide avait trouvé un moyen de partager en deu un segment selon en «etrême et moyenne raison» Soit un segment [AB]. Le partage d Euclide consiste

Plus en détail

SCIENCES INDUSTRIELLES (S.I.)

SCIENCES INDUSTRIELLES (S.I.) SESSION 2014 PSISI07 EPREUVE SPECIFIQUE - FILIERE PSI " SCIENCES INDUSTRIELLES (S.I.) Durée : 4 heures " N.B. : Le candidat attachera la plus grande importance à la clarté, à la précision et à la concision

Plus en détail

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE

LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent

Plus en détail

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE

STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point

Plus en détail

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007

Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007 Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n

Plus en détail

ÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.

ÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives. L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.

Plus en détail

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours.

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours. Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I

Plus en détail

ANALYSE CATIA V5. 14/02/2011 Daniel Geffroy IUT GMP Le Mans

ANALYSE CATIA V5. 14/02/2011 Daniel Geffroy IUT GMP Le Mans ANALYSE CATIA V5 1 GSA Generative Structural Analysis 2 Modèle géométrique volumique Post traitement Pré traitement Maillage Conditions aux limites 3 Ouverture du module Choix du type d analyse 4 Calcul

Plus en détail

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SESSION 2008 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE POUR CAMPING-CAR BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE SÉRIE SCIENCES ET TECHNIQUES INDUSTRIELLES GÉNIE ÉLECTROTECHNIQUE SESSION 2008 ÉPREUVE: ÉTUDE DES CONSTRUCTIONS Durée: 4 heures Coefficient : 6 POSITIONNEUR DE PANNEAU SOLAIRE

Plus en détail

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.

Exo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin. Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).

Plus en détail

La fonction exponentielle

La fonction exponentielle DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 novembre 204 à :07 La fonction exponentielle Table des matières La fonction exponentielle 2. Définition et théorèmes.......................... 2.2 Approche graphique de la fonction

Plus en détail

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2.

Exo7. Calculs de déterminants. Fiche corrigée par Arnaud Bodin. Exercice 1 Calculer les déterminants des matrices suivantes : Exercice 2. Eo7 Calculs de déterminants Fiche corrigée par Arnaud Bodin Eercice Calculer les déterminants des matrices suivantes : Correction Vidéo ( ) 0 6 7 3 4 5 8 4 5 6 0 3 4 5 5 6 7 0 3 5 4 3 0 3 0 0 3 0 0 0 3

Plus en détail

Vis à billes de précision à filets rectifiés

Vis à billes de précision à filets rectifiés sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29

Plus en détail

Statique des systèmes de solides. 1 Deux exemples d illustration 2 1.1 Système de freinage du TGV 1... 2 1.2 Micro-compresseur...

Statique des systèmes de solides. 1 Deux exemples d illustration 2 1.1 Système de freinage du TGV 1... 2 1.2 Micro-compresseur... Statique des systèmes de solides Table des matières 1 Deux exemples d illustration 2 1.1 Système de freinage du TGV 1............................ 2 1.2 Micro-compresseur..................................

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables

Cours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........

Plus en détail

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES

I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites. Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Plus en détail

Initiation aux Sciences de l Ingénieur LIVRET DE SECONDE

Initiation aux Sciences de l Ingénieur LIVRET DE SECONDE Etablissement : NOM : Classe :. Année scolaire : 20.. / 20 Initiation aux Sciences de l Ingénieur LIVRET DE SECONDE N fiche Savoirs Compétences Supports d apprentissage (à compléter) Validation (par l

Plus en détail

CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal

CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR. A - Propriétés et détermination du choix optimal III CHOIX OPTIMAL DU CONSOMMATEUR A - Propriétés et détermination du choix optimal La demande du consommateur sur la droite de budget Résolution graphique Règle (d or) pour déterminer la demande quand

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

1S Modèles de rédaction Enoncés

1S Modèles de rédaction Enoncés Par l équipe des professeurs de 1S du lycée Parc de Vilgénis 1S Modèles de rédaction Enoncés Produit scalaire & Corrigés Exercice 1 : définition du produit scalaire Soit ABC un triangle tel que AB, AC

Plus en détail

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs

Exo7. Limites de fonctions. 1 Théorie. 2 Calculs Eo7 Limites de fonctions Théorie Eercice Montrer que toute fonction périodique et non constante n admet pas de ite en + Montrer que toute fonction croissante et majorée admet une ite finie en + Indication

Plus en détail

Représentation d un entier en base b

Représentation d un entier en base b Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir

Plus en détail

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant

Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant Dimensionnement d une roue autonome pour une implantation sur un fauteuil roulant I Présentation I.1 La roue autonome Ez-Wheel SAS est une entreprise française de technologie innovante fondée en 2009.

Plus en détail

Repérage d un point - Vitesse et

Repérage d un point - Vitesse et PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées

Plus en détail

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g. PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les

Plus en détail

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )

DÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation ) DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité

Plus en détail

Merise. Introduction

Merise. Introduction Merise Introduction MERISE:= Méthode d Etude et de Réalisation Informatique pour les Systèmes d Entreprise Méthode d Analyse et de Conception : Analyse: Etude du problème Etudier le système existant Comprendre

Plus en détail

Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin

Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin 11 octobre 2014 2 Table des matières 1 Introduction 5 2 Bases de la programmation en C++ 7 3 Les types composés 9 3.1 Les tableaux.............................

Plus en détail

Correction de l examen de la première session

Correction de l examen de la première session de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi

Plus en détail

Chapitre 0 : Généralités sur la robotique 1/125

Chapitre 0 : Généralités sur la robotique 1/125 Chapitre 0 : Généralités sur la robotique 1/125 Historique de la robotique Étymologie : le mot tchèque robota (travail). Définition : un robot est un système mécanique polyarticulé mû par des actionneurs

Plus en détail

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre?

COMPTE-RENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Claire FORGACZ Marion GALLART Hasnia GOUDJILI COMPTERENDU «MATHS EN JEANS» LYCEE OZENNE Groupe 1 : Comment faire une carte juste de la Terre? Si l on se pose la question de savoir comment on peut faire

Plus en détail

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN

Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Nombres, mesures et incertitudes en sciences physiques et chimiques. Groupe des Sciences physiques et chimiques de l IGEN Table des matières. Introduction....3 Mesures et incertitudes en sciences physiques

Plus en détail

Nombre dérivé et tangente

Nombre dérivé et tangente Nombre dérivé et tangente I) Interprétation graphique 1) Taux de variation d une fonction en un point. Soit une fonction définie sur un intervalle I contenant le nombre réel a, soit (C) sa courbe représentative

Plus en détail

Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés.

Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Préparation au CAPES Strasbourg, octobre 2008 Construction d un cercle tangent à deux cercles donnés. Le problème posé : On se donne deux cercles C et C de centres O et O distincts et de rayons R et R

Plus en détail

II - 2 Schéma statique

II - 2 Schéma statique II - 2 Schéma statique Philippe.Bouillard@ulb.ac.be version 7 septembre 2006 Schéma statique Définition Appuis et liaisons [Frey, 1990, Vol. 1, Chap. 5-6] Éléments structuraux Sans références Les dias

Plus en détail

Problèmes sur le chapitre 5

Problèmes sur le chapitre 5 Problèmes sur le chapitre 5 (Version du 13 janvier 2015 (10h38)) 501 Le calcul des réactions d appui dans les problèmes schématisés ci-dessous est-il possible par les équations de la statique Si oui, écrire

Plus en détail

Plan du chapitre «Milieux diélectriques»

Plan du chapitre «Milieux diélectriques» Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation

Plus en détail

Deux disques dans un carré

Deux disques dans un carré Deux disques dans un carré Table des matières 1 Fiche résumé 2 2 Fiche élève Seconde - version 1 3 2.1 Le problème............................................... 3 2.2 Construction de la figure avec geogebra...............................

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

Mesure d angles et trigonométrie

Mesure d angles et trigonométrie Thierry Ciblac Mesure d angles et trigonométrie Mesure de l angle de deux axes (ou de deux demi-droites) de même origine. - Mesures en degrés : Divisons un cercle en 360 parties égales définissant ainsi

Plus en détail

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé.

Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. Enoncé et corrigé du brevet des collèges dans les académies d Aix- Marseille, Montpellier, Nice Corse et Toulouse en 2000. Énoncé. I- ACTIVITES NUMERIQUES (12 points) Exercice 1 (3 points) On considère

Plus en détail

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges? Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.

Plus en détail

Juste quelques clics... Modélisation puissante

Juste quelques clics... Modélisation puissante Visitez notre site www.mastercam-quebec.com CNC Software s engage à adopter des pratiques et comportements écologiques et socialement responsables dans notre industrie. La brocure que vous lisez à été

Plus en détail

Fonctions de deux variables. Mai 2011

Fonctions de deux variables. Mai 2011 Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs

Plus en détail

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013 CSMA 0 e Colloque National en Calcul des Structures -7 Mai 0 Simulation numérique par éléments finis de l écoulement dans un mélangeur bi-vis et l interaction mélange-mélangeur Hamza DJOUDI *, Jean-claude

Plus en détail

Fonctions homographiques

Fonctions homographiques Seconde-Fonctions homographiques-cours Mai 0 Fonctions homographiques Introduction Voir le TP Géogébra. La fonction inverse. Définition Considérons la fonction f définie par f() =. Alors :. f est définie

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

PROJET de Sciences Industrielles pour l ingénieur

PROJET de Sciences Industrielles pour l ingénieur SESSION 2013 TSIPR08 EPREUVE SPECIFIQUE - FILIERE TSI " PROJET de Sciences Industrielles pour l ingénieur Durée : 6 heures " N.B. : Le candidat attachera la plus grande importance à la clarté, à la précision

Plus en détail

Michel Henry Nicolas Delorme

Michel Henry Nicolas Delorme Michel Henry Nicolas Delorme Mécanique du point Cours + Exos Michel Henry Maître de conférences à l IUFM des Pays de Loire (Le Mans) Agrégé de physique Nicolas Delorme Maître de conférences à l université

Plus en détail

Introduction à l étude des Corps Finis

Introduction à l étude des Corps Finis Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur

Plus en détail

Guide pour l analyse de l existant technique. Partie 3

Guide pour l analyse de l existant technique. Partie 3 Partie 3 La Liaison Pivot sur roulement : Le Composant ROULEMENT 0 Introduction Le but de ce guide est de vous permettre une meilleure rédaction des rapports de Bureaux d Études que vous aurez à nous remettre

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris

Plus en détail

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile?

LA PUISSANCE DES MOTEURS. Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? LA PUISSANCE DES MOTEURS Avez-vous déjà feuilleté le catalogue d un grand constructeur automobile? Chaque modèle y est décliné en plusieurs versions, les différences portant essentiellement sur la puissance

Plus en détail

Chapitre 1 Cinématique du point matériel

Chapitre 1 Cinématique du point matériel Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la

Plus en détail

CCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé

CCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P

Plus en détail

Probabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie...

Probabilité. Table des matières. 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables... 2 1.2 Définitions... 2 1.3 Loi équirépartie... 1 Probabilité Table des matières 1 Loi de probabilité 2 1.1 Conditions préalables........................... 2 1.2 Définitions................................. 2 1.3 Loi équirépartie..............................

Plus en détail

Les calculatrices sont autorisées

Les calculatrices sont autorisées Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1

Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Chafa Azzedine - Faculté de Physique U.S.T.H.B 1 Définition: La cinématique est une branche de la mécanique qui étudie les mouements des corps dans l espace en fonction du temps indépendamment des causes

Plus en détail

Intelligence Artificielle Planification

Intelligence Artificielle Planification Intelligence Artificielle Planification Bruno Bouzy http://web.mi.parisdescartes.fr/~bouzy bruno.bouzy@parisdescartes.fr Licence 3 Informatique UFR Mathématiques et Informatique Université Paris Descartes

Plus en détail

Plan du cours : électricité 1

Plan du cours : électricité 1 Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme

Fonctions linéaires et affines. 1 Fonctions linéaires. 1.1 Vocabulaire. 1.2 Représentation graphique. 3eme Fonctions linéaires et affines 3eme 1 Fonctions linéaires 1.1 Vocabulaire Définition 1 Soit a un nombre quelconque «fixe». Une fonction linéaire associe à un nombre x quelconque le nombre a x. a s appelle

Plus en détail

Problème 1 : applications du plan affine

Problème 1 : applications du plan affine Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées

Plus en détail

Yves Debard. Université du Mans Master Modélisation Numérique et Réalité Virtuelle. http://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/index.html

Yves Debard. Université du Mans Master Modélisation Numérique et Réalité Virtuelle. http://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/index.html Méthode des éléments finis : élasticité à une dimension Yves Debard Université du Mans Master Modélisation Numérique et Réalité Virtuelle http://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/index.html 4 mars 6 9 mars 11

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Correction du baccalauréat ES/L Métropole 20 juin 2014

Correction du baccalauréat ES/L Métropole 20 juin 2014 Correction du baccalauréat ES/L Métropole 0 juin 014 Exercice 1 1. c.. c. 3. c. 4. d. 5. a. P A (B)=1 P A (B)=1 0,3=0,7 D après la formule des probabilités totales : P(B)=P(A B)+P(A B)=0,6 0,3+(1 0,6)

Plus en détail