Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Athan Baillet
|
|
- Lucie Damours
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Athan Baillet
2 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 2
3 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 3
4 Quelques définitions Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Comorbidités Rhumatismes inflammatoires chroniques 4
5 Quelques définitions Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Comorbidités Rhumatismes inflammatoires chroniques 5
6 Qu appelle-t-on comorbidités? Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Ce que ce n est pas : Manifestations cliniques d une maladie (par exemple uvéite de la Spondyloarthrite, nodules sous cutanés de la polyarthrite rhumatoïde) Ce que c est : Le terme «comorbidités» désigne des maladies et/ou divers troubles s ajoutant à la maladie initiale. A noter que ces maladies «secondaires» peuvent être liées ou non à la maladie initiale 6
7 Quelques définitions Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Comorbidités Rhumatismes inflammatoires chroniques 7
8 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Qu appelle-t-on rhumatisme inflammatoire chronique? Polyarthrite rhumatoïde Spondyloarthrite Connectivites et vascularites Arthropathies métaboliques Polyarthrose 8
9 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 9
10 Comorbidités ou multimorbidités 10 Radner H. Nat Rev Rheumatol 2014;10:
11 % patients (mean 95% IC) Prévalence des comorbidités : 3920 patients Maladies CV Cancers Infections GI M pulmonaires Psychiatrie Dougados M. Ann Rheum Dis. 2014;73:62-8
12 Prévalence des comorbidités : QUEST-RA 9874 patients Comorbidités (%) 12 Gron KL, Clin Exp Rheumatol. 2014;32:869-77
13 Prévalence des comorbidités : 3984 patients Prévalence des comorbidités (%) 13
14 Pourquoi se soucier des comorbidités? Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. Fréquence accrue au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques : Maladies cardiovasculaires Infection Ostéoporose Cancers Dépression 2. Moindre prise en charge au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques : Mammographie Vaccinations 14
15 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Quelles sont les limites 15
16 Prévalence des comorbidités COMORA FRANCE COMEDRA COMOSPA FRANCE Infarctus du myocarde 3% 1,5% 2% AVC 2% 2% Cancer prostate 1% 1,5% 2 % Cancer sein 5% 3,9% 0 % Cancer utérus 2% 1,3% 2% Cancer du colon 2% 0,6% 0 % Mélanome 1% 0% Cancer Basocellulaire 4% 1% Lymphome 1% 0,3% Hépatite B/C 2%/0% 2%/0% Ulcère gastroduodénal 7% 10 % Diverticulite (chirurgie) 7,3% 1% Ostéoporose 18 % Fracture vertébrale 2 % Fracture col fémoral 0 % BPCO 2% 16 Asthme 7% Dougados M. Ann Rheum Dis. 2014;73:62-8 Dépression 21% Dougados M. Ann Rheum Dis ;doi:
17 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? Maladies cardiovasculaires liées à l athérosclérose Infections Ostéoporose Cancers Dépression? 17
18 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Quelles sont les limites? 6. Finalement, pourquoi sommes-nous là? 18
19 Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques Elaboration Mise à jour Dissémination Mise en pratique Evaluation 19
20 20
21 Analyse systématique de la littérature : approche hiérarchisée Recommandations internationales ACR ou EULAR dans les RIC Recommandations internationales dans la population générale Recommandations nationales 21
22 Analyse systématique de la littérature PubMed (n = 468) Embase (n = 694) Résumés analysés après retrait des doublons (n = 1136) Articles analysés (n = 108) Résumés exclus (n = 1028) Pas de RIC (n = 524) Pas de comorbidité (n = 455) Pas d adulte (n = 13) Pas de recommandation (n =36) Articles exclus (n = 66) Pas de RIC (n = 31) Pas de comorbidité (n = 22) Pas d adulte (n = 4) Pas de recommandation (n = 9) 22 Articles inclus (n = 42)
23 FICHE DE RECUEIL Tension artérielle (TA) Reporter la maladie et les traitements Hypertension oui non ne sait pas Traitement anti-hypertenseur oui non ne sait pas Fiche finale 72 votants Moy. accord : 4,82 Dépister Pression artérielle systolique ce jour : Pression artérielle diastolique ce jour : I I I I mmhg I I I I mmhg Hypertension connue : si TA 140/90 mmhg, adresser au médecin traitant ou cardiologue pour prise en charge de l hypertension Hypertension non connue : si TA 140/90 mmhg, confirmer par mesure hors du cabinet (auto-mesure ou Mesure Ambulatoire de la Pression Artérielle) ou adresser au médecin traitant ou cardiologue pour prise en charge de l hypertension. En auto-mesure, la TA doit être <135/85 mmhg. Si TA 180/110 mmhg, adresser d emblée au médecin traitant ou cardiologue pour prise en charge de l hypertension Les patients ayant un RIC doivent avoir un dépistage annuel et à chaque consultation dans le lupus. Les patients ayant une hypertension traitée doivent avoir une mesure tensionnelle pluriannuelle.
24 FICHE DE RECUEIL Diabète Reporter la maladie et les traitements Diabète oui non Traitement anti-diabétique oui non Si diabète mesure de l HbA1c : I I I I I I I I mois année I I I,I I% valeur jamais ne sait pas En cas de diabète, l HbA1c doit être mesurée tous les 3 à 6 mois. La cible d HbA1c est de 7 % sauf si : - Diagnostic récent, sans antécédent cardiovasculaire et espérance de vie > 15 ans : cible d HbA1c 6,5 % - Espérance de vie < 5 ans ou complications macrovasculaires évoluées, ou diabète ancien mal équilibré : cible d HbA1c 8 % - sujets 75 ans avec état de santé fragilisé : cible d HbA1c entre 8 et 9 % Recommandations : si HbA1c non réalisée ou cible non atteinte, référer au médecin traitant, à l endocrinologue ou au diabétologue Fiche finale 74 votants Moy. accord : 4,36 Reporter les FDR Taille I I, I I I m IMC I I I, I I kg/m 2 Surpoids si IMC 25 kg/m²et obésité si IMC 30 kg/m². Tour de taille élevé si 80 cm chez la femme et 94 cm chez l homme. Recommandations : perdre du poids si obésité ou surpoids. Dépister Si absence de diabète glycémie : I I I I I année Poids I I I I kg Tour de taille : I I I I cm Corticothérapie oui non ATCD familial de diabète oui non ne sait pas ATCD personnel de glycémie élevée oui non ne sait pas I I,I I I g/l valeur jamais ne sait pas Il est recommandé de dépister un diabète tous les 1 à 3 ans, en fonction des facteurs de risque (surpoids, obésité, tour de taille élevé, corticoïdes, ATCD familial de diabète, ATCD personnel de glycémie élevée). Le diagnostic de diabète se fait en présence d une glycémie à jeun 7,0 mmol/l (1,26 g/l) confirmée sur 2 e prélèvement ou d une glycémie 11,1 mmol/l (2 g/l). Recommandations : si découverte de diabète, référer au médecin traitant, à l endocrinologue ou au diabétologue.
25 FICHE DE RECUEIL Insuffisance cardiaque Reporter la maladie Diagnostic d insuffisance cardiaque (par ex. œdème aigu du poumon) oui non ne sait pas Fiche finale 75 votants Moy. accord : 4,46 Si ne sait pas, a-t-il un suivi cardiologique oui non Dépister la maladie Œdème des membres inférieurs oui non Essoufflement* oui non Orthopnée** oui non Recommandation : En présence de symptômes évocateurs d insuffisance cardiaque, référer au médecin traitant ou à un cardiologue * Apparition d un essoufflement pour un effort qui n en causait pas précédemment ** Nécessité de prendre un oreiller pour ne pas être essoufflé en position allongée
26 FICHE DE RECUEIL Risque cardiovasculaire global (1/2) Reporter les traitements Traitement anti-agrégant : oui non ne sait pas Traitement anti-coagulant : oui non ne sait pas Reporter les situations à haut et très haut risque (présentes ou passées) Pathologies cardiovasculaires ischémiques incluant infarctus du myocarde, angine de poitrine, coronaropathie silencieuse ou stent : oui non ne sait pas Accident vasculaire cérébral ou accident ischémique transitoire : oui non ne sait pas Artériopathie oblitérante des membres inférieurs : oui non ne sait pas Plaque carotidienne : oui non ne sait pas Insuffisance rénale modérée à sévère (débit de filtration glomérulaire DFG < 60 ml/min) : oui non ne sait pas et valeur du DFG : I I I ml/min MDRD Cockroft Diabète de type 2 ou type 1 : oui non ne sait pas Fiche finale 26 Si vous avez coché oui pour l une des pathologies précédentes, le patient est à (très) haut risque CV et doit être adressé à un cardiologue. Sinon, calculez le Heart SCORE.
27 FICHE DE RECUEIL Risque cardiovasculaire global (2/2) Pour le calcul du Heart SCORE, vous avez besoin des éléments suivants : Sexe : H F Age : I I I ans Cholestérol total (CT) : I I, I I I g/l HDL : I I, I I Ig/l Ratio CT/HDL : I I,I I Tabagisme actif : oui non Pression artérielle systolique : I I I I mmhg Fiche finale 74 votants Moy. accord : 4,31 Heart SCORE obtenu : I I I, I I % Calculez le Heart SCORE et multipliez le par 1,5 en cas de PR. Attention, si le patient n est pas stable ou pas en rémission du RIC au moment du dosage, le Heart SCORE peut être faussement bas et un contrôle ultérieur est souhaitable. Recommandations : Si le Heart SCORE (multiplié par 1,5 en cas de PR) est > 1 %, adresser le patient à un cardiologue. En cas de tabagisme actif, rappeler au patient l importance du sevrage et lui recommander une consultation de tabacologie. Le risque cardiovasculaire global doit évalué au moins tous les 5 ans et après chaque changement majeur de traitement de fond du rhumatisme pour les PR, SA et RPso et tous les ans pour les patients atteints de lupus.
28 FICHE DE RECUEIL Dyslipidémie Reporter la maladie et les traitements Traitement hypolipémiant oui non ne sait pas Année de mesure du profil lipidique : I I I I I année jamais ne sait pas Fiche finale 77 votants Moy. accord : 4,44 En cas d hypercholestérolémie traitée, le cholestérol doit être mesuré tous les ans. Sinon, le cholestérol doit être mesuré au moins tous les 5 ans et après chaque changement majeur de traitement de fond du rhumatisme pour les PR, SA et RPso et tous les ans pour les lupus. Certains traitements comme le tocilizumab nécessitent un suivi plus rapproché. Attention, si le patient n est pas stable ou pas en rémission du RIC au moment du dosage, le cholestérol peut être faussement bas et un contrôle ultérieur est souhaitable. Dépister Cholestérol LDL : I I, I I I g/l I I,I I mmol/l Vérifier que le LDL a atteint sa cible en vous référant au tableau ci-dessous. Si ce n est pas le cas, adresser le patient au médecin traitant ou au cardiologue pour la prise en charge thérapeutique (règles hygiéno-diététiques RHD et/ou traitement hypolipémiant). Heart SCORE (%) (recalibré pour la PR) CIBLE < 0,70 g/l < 1,8 mmol/l 0,70 < 1,00 g/l 1,8 à < 2,5 mmol/l Valeurs de cholestérol LDL 1,00 à 1,90 g/l 2,5 à < 4,9 mmol/l < 1 1,15 g/l pas d intervention pas d intervention RHD > 190 mg/dl > 4,9 mmol/l RHD ± traitement si non contrôlé 1 à < 5 1,15 g/l RHD RHD RHD ± traitement si non contrôlé RHD ± traitement si non contrôlé 5 à < 10 1,00 g/l RHD ± traitement RHD ± traitement RHD + traitement immédiat RHD + traitement immédiat 10 ou très haut risque CV 0,70 g/l RHD ± traitement RHD + traitement immédiat RHD + traitement immédiat RHD + traitement immédiat
29 Comorbidités et rhumatismes inflammatoires chroniques 1. De quoi parle-t-on? 2. Pourquoi se soucier des comorbidités au cours des rhumatismes inflammatoires chroniques? 3. A quelles comorbidités s intéresser particulièrement? 4. Que peut/doit faire l équipe de rhumatologie? 5. Quelles sont les limites? 29
30 Limites Depistage et non PEC Responsabilité médicale Actualisation fréquente des recommandations Diagnostic par excès PSA et prostatectomie Dépression 30
31 FICHE DE RECUEIL Dépression Reporter la maladie Patient actuellement suivi pour dépression : oui Non Fiche finale 80 votants Moy. accord : 4,00 Reporter les FDR ATCD de dépression ou de traitement antidépresseur : Oui Non
32 Rhumatologues libéraux Collaboration ville/hôpital Réunion de concertation Rhumatologues du service IDE de coordination HDJ Initiation de biothérapie/dépistage des comorbidités 8h00 : Accueil IDE (poids, taille, TA aux 4 membres + remise des auto-questionnaires) 8h45 : Consultation Pharmacien 9h30 : Entretien avec l externe: recueil des informations sur courrier informatisé 11h00 : Densitométrie osseuse 11h30 : Validation de l indication thérapeutique par médecin sénior 12h00 : Repas 13h00 : Injection de la biothérapie et ETP par IDE 13h30 : Echographie ostéo articulaire adaptée 14h00 : Consultation médicale : Synthèse des recommandations individualisée
33 Partie rhumatologique : - Caractéristiques et activité de la maladie (PR, SA, Rhum. Pso.) - Historique des traitements Partie comorbidités : - Cardiovasculaires: HEART Score, dyslipidémie, diabète, HTA, surpoids - Infectieuses: vaccinations, dentiste - Cancéreuses: dépistages (sein, côlon, prostate si indiqués), consultations dermato. gynéco. Courrier informatisé - Ostéoporose: fractures, apports calciques, DMO, FRAX - Auto questionnaires: SAOS: Epworth, Berlin Toxiques: Fagerstrom, CAGE-DETA Observance: Morisky + CR Pharmacien
34 Courrier informatisé Donné au patient dés sa sortie A destination: Médecin traitant Rhumatologue traitant Pharmacien d officine Objectifs: Orienter le patient pour ses dépistages et la prise en charge des facteurs de risque cardio vasculaires Ostéoporose/vaccination: prise en charge +/- prescription directe
35 Conclusion Enjeu de santé publique Rationel EBM : COMEDRA Implication des patients experts, IDE Outils «check list» Extension à d autres pathologies (gastro, dermato )
Le VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailEvaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailAPRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE
APRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE CE QUE JE DOIS FAIRE POUR PRÉVENIR LA RÉCIDIVE! Informations et conseils pour une bonne réadaptation La fédération française de cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailCENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques
CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire
Plus en détailActivité physique et diabète de type 2
Activité physique et diabète de type 2 D après le référentiel de la Société francophone du diabète : Duclos M et al, Médecine des maladies Métaboliques. 2011; 6 : 80-96 Forum Santé Vertolaye Le 10/10/2013
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailAc#vité Physique et Diabète
Ac#vité Physique et Diabète DIAPASON 36 MSA Châteauroux 2012 Dr Thierry KELLER 27 & 28 septembre 2012 Quels Constats? L inac#vité TUE!! "30% Mortalité totale 9% Risque Cardio-Vasculaire (coronaropathie)
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailLe cœur et les artères des femmes sont en danger
Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr
Plus en détailAutomesure de la tension artérielle
Automesure de la tension artérielle Pour mieux surveiller votre santé Illustration Imothep M.-S. Être bien informé, mieux se prendre en charge Souhaitez-vous mesurer vous-même votre tension? Comprendre
Plus en détailRAPPORT D ORIENTATION. Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées
RAPPORT D ORIENTATION Développement de la prescription de thérapeutiques non médicamenteuses validées Avril 2011 Ce rapport d orientation est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailHypertension artérielle. Des chiffres qui comptent
Hypertension artérielle Des chiffres qui comptent REPÈRES 7 500 000 d hypertendus (15 à 20 % des adultes en 1990). La fréquence de l hypertension artérielle (HTA) augmente avec l âge. Mais sur 8 personnes
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance Maladie pour 2014 RAPPORT AU MINISTRE CHARGÉ DE LA SÉCURITÉ SOCIALE ET AU PARLEMENT SUR L ÉVOLUTION DES
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailGUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée
GUICHET D ACCESSIBILITÉ MÉDICALE Vous êtes à la recherche d'un médecin de famille? Clientèle visée La clientèle ciblée par ce service est la clientèle dite orpheline. Il s agit des personnes de tous âges
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailAméliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014
Améliorer la qualité du système de santé et maîtriser les dépenses : propositions de l Assurance maladie pour 2014 Rapport au ministre chargé de la sécurité sociale et au Parlement sur l'évolution des
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailProgramme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients
Programme cantonal Diabète une réponse de santé publique au service des patients Dr Isabelle Hagon- Traub Mme Léonie Chinet Direc:on Programme cantonal Diabète Maladies chroniques: préoccupations partagées
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailepm > nutrition Formation & Conseil
CATALOGUE FORMATIONS THEME : NUTRITION et SANTE Septembre 2011 Juin 2012 Journée Spéciale pour les Pharmaciens «Conseils Nutritionnels en Officine» Journées de Formation sur Paris «Nutrition de l Adulte»
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailProgramme DPC des infirmiers
Catalogue de formations de la FNFCEPPCS pour l année 2015 Programme DPC des infirmiers Le catalogue peut évoluer en cours d année ; nous vous en tiendrons informés. 1 L INFIRMIER DE CENTRE DE SANTÉ FACE
Plus en détailéviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR SES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur ses connaissances 3 Vrai Faux Rappel 4 Un AVC peut-il
Plus en détailCazenove & Stédo. départ pour : RCV. Nous ne sommes pas que des super héros, nous sommes avant tout des Hommes comme les autres! Scénario.
Cazenove & Stédo départ pour : RCV Nous ne sommes pas que des super héros, nous sommes avant tout des Hommes comme les autres! Scénario Cazenove Dessins Stédo Couleurs Christian Favrelle et Pierre Schelle
Plus en détailGUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE
GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailLe diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle. Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût
Le diabète en France L épidémie silencieuse du XXI ème siècle Optimiser la prise en charge du diabète afin de limiter son expansion et son coût Le diabète est une véritable épidémie. Cette maladie chronique
Plus en détailUn diabète de type 2. Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec. Atelier animé par :
Vers un programme Sport Santé pour les personnes vivant avec Un diabète de type 2 Atelier animé par : Pr Martine Duclos CHU Montpied, Clermont-ferrand Dr Julien Aucouturier UFR STAPS, Lille Séminaire interactif
Plus en détailN.-B. 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4. 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4
Profil démographique 1 18 à 34 24,3 28,1 20,1 24,4 Groupe d âge 35 à 54 36,7 23,0 31,6 49,3 55 à 64 18,7 18,7 21,3 16,9 65 et plus 20,3 30,2 26,9 9,4 Sexe Niveau de scolarité Homme 48,0 40,5 47,8 52,3
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détail