Programme Personnalisé de l Après cancer (P.P.A.C.) Enquête auprès des Médecins généralistes Résultats

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1 Programme Personnalisé de l Après cancer (P.P.A.C.) Enquête auprès des Médecins généralistes Résultats Dans le cadre du deuxième plan cancer et de ses recommandations, un groupe de travail s est réuni au réseau. Il a fait la commande de mener une enquête auprès des médecins traitants afin de cerner leurs difficultés, leurs souhaits et leurs attentes concernant le suivi des patients atteints de cancer. En effet, le plan cancer place le médecin traitant en première ligne du parcours de soin et de la surveillance du cancer. Il insiste sur le rôle de pivot et de réfèrent de proximité du médecin généraliste. Nous tenons tout d abord à remercier tous ceux qui ont pris le temps de répondre à notre questionnaire, dont les résultats sont présentés ci-après. Méthodologie : Nous avons bâti un questionnaire, testé auprès de deux médecins généralistes. Leurs réponses et remarques nous ont permis de bâtir la version définitive. Ce questionnaire définitif a été soumis aux médecins généralistes, lors d un entretien téléphonique. Sur 62 médecins contactés, 31 ont répondu à nos questions, soit un taux de participation de 50%. Analyse : I-Consultation du médecin généraliste pendant la prise en charge du cancer 6% 0% 57% 31% 6% Jamais Régulièrement De temps en temps Si problème 94% des médecins traitants interviewés «voient» leurs patients pendant ce temps de prise en charge : 57% d entre eux en cas de problème, 31% de façon régulière. Il semblerait donc qu il y ait un écart entre les préconisations de l INCa et de la loi «Hôpital, Patients, Santé et Territoires», qui prônent une implication précoce et continue des médecins traitants dans la phase active de traitement spécifique, et une certaine réalité du terrain. L implication permanente des médecins traitants dans le suivi des patients facilite la continuité des soins, mais il semblerait qu il existe des freins et / ou des facteurs modulant cette dernière : La notion de parcours est-elle connue des patients? Peut-il exister un certain «épuisement» du patient à consulter son médecin généraliste en plus des nombreuses consultations liées à la phase active de traitement? La présence de pathologies concomitantes favorise-t-elle le lien avec le médecin traitant? L ancienneté et / ou la qualité de la relation avec le médecin généraliste ont-elles un impact? Page 1 sur 6

2 II-Consultation du médecin généraliste en fin de traitement spécifique du cancer A/Délai par rapport à la fin du traitement spécifique : Les médecins questionnés n ont pas pu répondre précisément sur le nombre de leurs patients ayant un cancer, ni sur la phase de leur prise en charge (traitement ou suivi). Ont-ils besoin de connaitre les réponses à ces questions ; si oui, ont-ils un outil pour y répondre? De fait, ils ne peuvent préciser quel est le délai entre la fin du traitement spécifique et leur consultation. On peut aussi se demander si l information «fin de traitement» a bien été transmise, et dans un délai raisonnable. B/Initiative du rendez-vous avec le médecin généraliste : 0% 87% Patient Etablissement Entourage L initiative du rendez-vous vient dans 87% des cas du patient lui-même, ce qui renseigne sur la relation privilégiée souvent entretenue avec le médecin traitant, une relation de confiance que le patient renoue spontanément après la phase active de traitement. Dans des cas, les établissements sont à l origine de ce relais auprès des médecins traitants. Avec les mesures du second plan cancer, il est probable que des pratiques de traçabilité d un «dispositif de sortie» qui orienterait le patient vers son médecin généraliste vont devoir se développer. C/Durée de cette consultation : Nous souhaitions évaluer la durée moyenne de cette consultation de l après traitement du cancer, car l hypothèse d une durée allongée semblait évidente. Les réponses ont été unanimes, la durée en elle-même ne pose pas de problème et les médecins considèrent que ce temps supplémentaire accordé fait partie de leurs missions. Mais la désorganisation qu elle génère (retard des consultations suivantes, salle d attente bondée) est gênante. Lors de la prise de rendez-vous, les patients ne précisent pas qu il s agit d une consultation d après traitement ; de fait, le professionnel n est alors pas en mesure de prévoir un créneau horaire plus long. D/Rémunération de cette consultation : La rémunération n est pas un problème pour 48% des médecins traitants interrogés. Néanmoins, certains pratiquent des dépassements, d autres divisent le temps de consultation sur plusieurs rendez-vous rapprochés. Une minorité souhaiterait une rémunération spécifique «cancérologie», voire la fin de la rémunération à l acte. Page 2 sur 6

3 III-Problématiques de l après-cancer Toxicités / Séquelles 71% 1 16% Dépression 45% 2 Sexualité 26% OUI NON Emploi 26% Relation avec les proches 29% 39% Au vu de ces résultats, les problématiques sont d abord d ordre médical : 71% sont en lien avec les toxicités / séquelles des traitements 45% sont d ordre psychologique : dépression, angoisse, anxiété Les pourcentages de non-réponses restent élevés ; ces questions n ont peut-être pas étés évoquées avec le patient. La proposition de l utilisation des soins de support pourrait être une réponse aux difficultés présentées ci-dessus Nous reviendrons sur ce point plus loin. IV-Informations médicales en provenance des établissements Réception de l information 94% 6% Délai de réception satisfaisant 87% Pertinence 65% 29% 6% OUI Partiellement NON Les établissements relayent l information médicale à 94%, dans des délais satisfaisants selon 87% des médecins interrogés. Mais certains d entre eux (29%) regrettent son caractère trop technique, alors que 65% des répondants la considèrent pertinente. Page 3 sur 6

4 V- Surveillance au cours de la rémission A/Participation à une surveillance alternée : Il s agissait de savoir si les médecins généralistes accepteraient de participer à une surveillance organisée et alternée entre eux et les autres spécialistes, au cours de laquelle les informations seraient partagées entre les différents intervenants, via le réseau. 68% des médecins interrogés seraient d accord pour participer à une surveillance alternée, avec le réseau, si on leur en donne les moyens, c est-à-dire : protocole de surveillance et de suivi. 16% ne souhaitent pas y participer, par manque de temps et / ou par sensation de manque de compétences. B/Partage de l information (fiche synthétique à transmettre) : Concernant les réponses à la question de l utilisation d une fiche synthétique d informations à transmettre, il n est pas certain, au vu des commentaires recueillis, que les médecins interrogés l aient perçu comme faisant partie du protocole de surveillance alternée. Néanmoins certains disent manquer de temps, ou ne pas en avoir l habitude, ni la culture. OUI NON Sans avis Accord de participation 68% 0% 16% 16% Partage de l information / fiche synthétique 45% VI-Attentes des médecins généralistes vis-à-vis du réseau Veille sur la réalisation effective de la surveillance 16% 2 61% Relance (si surveillance alternée organisée) Circulation de l information Accès aux soins de support Faciliter l accès aux établissements / aux oncologues % 19% 16% % 68% 65% 45% OUI NON Sans avis Formation 52% 39% Page 4 sur 6

5 Le tableau ci-dessous résume les attentes et / ou besoins des médecins généralistes, et les réponses et / ou actions que le réseau propose, et / ou a mis en place. La plupart de ces services sont déjà rendus par le réseau, mais peu utilisés, peut-être par manque de visibilité. L équipe de coordination, lorsqu elle est sollicitée, se rend disponible et essaie de répondre au mieux à la problématique. Besoins des médecins Formations, en particulier pour la gestion des effets secondaires. Faciliter l accès aux établissements, aux oncologues Accès aux soins de support Informations sur les effets secondaires des thérapeutiques et leur gestion Soutien, aide, relai Douleurs / soins palliatifs Retour à domicile Démarches sociales et administratives Circulation de l information Relance Veille sur la réalisation effective de la surveillance Coordination du parcours de soin Consultation intermédiaire et de fin de traitement au réseau Aide technique et scientifique Réponse/actions du réseau La participation peu importante des médecins aux formations proposées par le réseau est souvent liée à de très nombreuses autres offres de formation et au manque de temps. Mise à disposition des documents de type fiches Oncodocs, protocoles Oncorif / Oncauvergne, publication INCa Les sorties d hospitalisation sont à la charge des établissements, mais le réseau Osmose peut aider et orienter. Une évaluation des solutions mises en place peut être proposée par l équipe de coordination. L assistante sociale aide les professionnels et les patients dans les démarches et orientations sociales. Organisation d une surveillance en vue d un partage avec les professionnels de ville, cela implique une organisation de réseau avec veille et relance. Ceci est en projet dans certaines thématiques. Fait à la demande, et si besoin. Fait à la demande, mais probablement à développer. La problématique est l accès à l information, et au bon moment. Les outils existent ; comment les met-on à disposition pour que les médecins puissent s en servir lorsqu ils en ont besoin? V-Conclusion En plus des attentes détaillées ci-dessus, cette enquête révèle qu il existe un besoin de soutien au médecin généraliste dans deux axes : démarches sociales et certaines situations médicales en lien avec le cancer. La particularité de ce soutien tient à ses caractéristiques : ponctuel, imprévisible, de nature très variable, toujours différent. Le réseau peut être un élément de réponse à ce soutien. Quelques réflexions intéressantes émergent aussi de ces entretiens : Le lien entre le patient et son médecin est en majorité maintenu pendant la phase active de traitement. La fin des traitements spécifiques n est probablement pas aussi bien identifiée par les médecins généralistes que par les oncologues. Page 5 sur 6

6 Il existe des besoins plus précis dans le cadre de l après cancer. Des organisations de la surveillance, incluant le médecin généraliste, pourraient se mettre en place. De façon indirecte, on découvre que les services proposés par le réseau sont bien utilisés par les médecins qui les connaissent. Cela pose la question de la visibilité des actions du réseau pour les professionnels moins habitués à le solliciter. VI-Annexe : questionnaire I-Consultation pendant la prise en charge II-Consultation de fin de TTT III-Problématiques de l après-cancer IV-Informations médicales V-Surveillance VI-Attentes vis-à-vis du réseau Jamais - De temps en temps - Régulièrement - Si problème A/Délai en jours B/Initiative du RDV Patient - Etablissement Entourage - Autre C/Durée (en minutes) D/Problèmes de rémunération Oui - Non - 1-Dépression Oui - Non - 2-Emploi Oui - Non - 3-Relation avec les proches Oui - Non - 4-Sexualité Oui - Non - 5-Toxicités/Séquelles Oui - Non - 6-Autres Commentaire 1-Réception de l information Oui - Non - 2-Délai de réception Satisfaisant - Insatisfaisant Sans avis 3-Pertinence Oui - Partiellement - Non Sans avis 1-Participation à une surveillance alternée 2-Partage de l information (fiche synthétique à transmettre) 1-Veille sur la réalisation effective de la surveillance 2-Relance 3-Circulation de l information 4-Accès aux soins de support 5-Faciliter l accès aux établissements/ aux oncologues 6-Formation 7-Autres Commentaire Page 6 sur 6

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