Explorations isotopiques en pathologie digestive
|
|
- Raphaël Labranche
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 04/05/15 9h-10h MILNIS Michka L2 CR: Julie Chapon Digestif Dr Sophie GABRIEL 10 Pages Digestif- Explorations isotopiques en pathologie digestive Plan: A. Rappel : principes de la médecine nucléaire B. Examens isotopiques en pathologie digestive I. La vidange gastrique isotopique II. La scintigraphie des voies biliaires III. La recherche de diverticule de Meckel IV. L'Octréoscan V. TEP au 18FDG Explorations isotopiques en pathologie digestive A. RAPPEL: Principes de la médecine nucléaire La médecine nucléaire utilise les rayonnements ionisants émis par des atomes radioactifs à visée: Diagnostique (imagerie) Thérapeutique (iode 131) On administre au patient un radiotraceur (=radiopharmaceutique) qui va être capté par un organe. Les rayonnements seront détectés par une caméra qui formera l'image scintigraphique. Cette technique permet l'étude de la fonction des organes à la différence de la radiologie qui met en évidence l'anatomie. Le radiotraceur ou radiopharmaceutique correspond à l'association d'un marqueur et d'un vecteur. Un vecteur est une molécule dont on étudie la biodistribution. Le marqueur est un atome radioactif qui émet un rayonnement (caractérisé par le type de rayonnement, la demi-vie, l'énergie). N.B.: Quelques fois marqueur= vecteur (Iode; Thallium) car le marqueur peut être capable de se fixer dans le tissu via ses propriétés propres. a) Marqueurs=atomes radioactif Rayonnements émis : Émetteurs de photons uniques γ : 99mTc, 123I Émetteurs de positons β + : 18F (annihilation avec un e-, formation de 2 photons γ à 180 ) Détection : Gamma-caméra +/- couplée à un scanner TEP scanner : systématiquement couplé au scanner pour repérage anatomique 1/10
2 Gamma-caméra: 2 têtes qui tournent autour d'un axe TEP-TDM: Gamma caméra associée à un scanner, couronne de detecteurs. Radiologie vs Médecine nucléaire En radiologie les rayonnements sont EMIS. Le praticien choisi les caractéristiques du rayonnement appliqué au patient. En médecine nucléaire l'émission provient d'un atome radioactif qui a été administré au patient. Au final c'est le patient qui émet les rayonnements. b) Vecteur Il varie en fonction de la fonction que l on veut étudier. En scintigraphie on utilise : Colloïdes: molécules ne traversant pas la paroi digestive Mébrofénine: captation exclusive par le foie et élimination par les voies biliaires Octreoscan: analogue de la somatostatine (récepteurs à la somatostatine exacerbés dans les tumeurs endocrines) En TEP scanner on utilise: FDG : Fluorodésoxyglucose : analogue du glucose s accumulant dans les cellules cancéreuses et plus généralement les cellules inflammatoires (glycolyse exacerbée). Réalisation 2/10
3 Injection IV (sauf vidange gastrique per os) Pas d effet pharmacologique Allergie très rare Pas de Contre-Indications (sauf CI aux rayonnements ionisants (grossesse)) Examens longs (1/2 journée) Nécessité d être à jeûn pour le TEP, la vidange gastrique et la scintigraphie des voies biliaires Règles de radioprotection de base après l examen: pas de contact rapproché avec femme enceinte/ enfant en bas âge pendant 12h après l examen. Pas d allaitement pendant 48h (lait tiré et jeté). Ces règles varient selon le traceur et sa demi-vie. En scintigraphie on étudie la fixation: -Hyperfixation: captation accrue du radiotraceur -Hypofixation: captation diminuée du radiotraceur En TEP scanner on étudie l'hypermétabolisme. Sémiologie C'est différent de la tomodensitométrie où on étudie la densité, de l'irm où on traite un signal et de l'échographie où il s'agit de l'échogénicité. Principaux Examens: B. Examens isotopiques en pathologie digestive Etude de la motricité digestive (Estomac, Œsophage): Vidange Gastrique Isotopique / scintigraphie oesophagienne Recherche de dysfonction du sphincter d Oddi: Scintigraphie des voies biliaires Recherche de saignement digestif occulte : Diverticule de Meckel Diagnostic et bilan d extension des tumeurs neuroendocrines : Octréoscan (scintigraphie des récepteurs de la somatostatine) Cancérologie et Maladies Inflammatoires Chroniques Intestinales (MICI) : TEP au 18 FDG I. Vidange Gastrique Objectif: étudier la motricité de l estomac après la prise d un repas solide N.B. : Transit œsophagien= outil appréciable dans le suivi thérapeutique des troubles moteurs. Technique: Administration par voie orale d un repas solide contenant un colloïde marqué au Tc99m (omelette radioactive). Les colloïdes ne traversent pas la paroi digestive. -Acquisition statiques FA sur 4h (PP ;30 min ; 1h ; 2h...) -Tracer ROI (region of interest) image/image -Quantification de la RA persistante au sein de l estomac Durée totale: 4h (plusieurs images) Indication: - Gastroparésie = retard de la vidange gastrique ralentie, notamment diabète (neuropathie viscérale par atteinte de la voie parasympathique) -Autres indications : Gastroparésies des vagotomies ; Diagnostic et suivi du syndrome dyspeptique Résultats : défaut de vidange de l estomac pathologique si >10% à 4H Il s'agit d'une méthode de référence par sa simplicité, sa fiabilité, sa reproductibilité, son caractère non invasif et 3/10
4 son respect des conditions physiologiques. Digestif- Explorations isotopiques en pathologie digestive II. Scintigraphie Hépato-Biliaire Objectif: étudier la vidange des voies biliaires Principe: - Administration intraveineuse de Mébrofénine marqué au Tc99m, ayant une captation exclusive par le foie et une élimination rapide par les voies biliaires -Durée : 2h (séquence dynamique puis statique) -Détermination des paramètres fonctionnels (Tmax, T 1/2, coefficient d extraction, temps de transit hile/duodénum) à partir de ROI correspondant aux territoires intéressés. Indication: recherche de dysfonction du sphincter d Oddi (défaut de vidange de la bile au niveau du sphincter d Oddi, pathologie rare après cholécystectomie) ; suivi des sphinctérotomies endoscopique s Autres indications : recherche de cholécystite aiguë, évaluation de la perméabilité des anastomoses biliodigestives, atrésie des VB, cholangite sclérosante, évaluation de la fonction hépatique segmentaire Résultats: allongement du temps de vidange de la voie biliaire principale Examen simple, non invasif, reproductible, sensible Examen de 2ème intention après avoir éliminé une cause organique (lithiase, tumeur) Cet examen scintigraphique est normal. Il se lit de haut en bas et de gauche à droite. A 2min on ne visualise pas très bien, le radiotraceur ne s'est pas encore concentré dans le foie. Puis fixation hépatique et élimination par les voies biliaires. 4/10
5 La fin de l'acquisition met en évidence le dysfonctionnement du sphincter d'oddi car il n'y a pas d'élimination du radiotraceur de la voie biliaire principale. III. Recherche de Diverticule de Meckel Objectif : rechercher un diverticule de Meckel Contexte: le diverticule de Meckel (=reliquat embryonnaire présent dans environ 2 % de la population, dû à la fermeture incomplète de l extrémité iléale du canal omphalomésentérique reliant le sac vitellin à l intestin primitif) est localisé généralement dans les dernières anses iléales ; il correspond à une métaplasie de la muqueuse de l intestin grêle en muqueuse digestive de type gastrique. Principe : Captation spontanée du Technétium99m libre par les cellules de type gastrique par l expression du symporteur Iode-Sodium (NIS) (comme dans les cellules thyroïdiennes) Méthodologie : -Préparation du patient : à jeun d au - 6H pour diminuer la fixation gastrique. -Administration intraveineuse (Mbq/kg) du Technétium99m libre (pertechnétate). -Acquisition FA sur abdomen+/- incidences complémentaires -Durée: 1h, élimination urinaire Résultats attendus: recherche d une hyperfixation focale de même cinétique que la muqueuse gastrique au sein de la cavité abdominale (en dehors de l estomac), classiquement au niveau de la fosse iliaque droite. Examen facile, non invasif, reproductible, la sensibilité est d environ 85 % avec une spécificité de 95%, VPN supérieure à 90 %. 5/10
6 IV. L'Octréoscan (=scintigraphie des récepteurs de le somatostatine) Objectif: mise en évidence des tumeurs exprimant les récepteurs de la somatostatine (peptide) Contexte: les tumeurs neuroendocrines (carcinoïdes) surexpriment les récepteurs de la somatostatine (pancréas/ tractus gastro-intestinal ; sécrétantes ou non ; gastrinome, insulinome, VIPome...) Principe: injection intraveineuse d un analogue de la somatostatine (octréotide=vecteur) marqué à l Indium111 (marqueur)=octreoscan -Durée: 2 à 3 jours -Régime sans résidu est préconisé, ainsi qu une préparation colique afin de diminuer l accumulation digestive du traceur. -Acquisition des images (balayage CE à H4/6 ; statiques planaires FA/FP + Tomoscintigraphie (3D) centrée sur abdomen à H24 +/- H48) -Caméra équipée d un collimateur moyenne énergie, centrée sur 2 pics de l I111 (171 et 245 kev). Indication: diagnostic/ bilan d extension (méta) des tumeurs neuroendocrines/ évaluation traitement/récidive Résultats attendus: hyperfixation en regard des localisations tumorales (mise en route d un traitement par analogue de la somatostatine: Sandostatine ). Intensité variable du foyer (dépend de la densité d'expression des récepteurs) Examen facile, non invasif, reproductible, Se détection variable selon tumeurs primitives (gastrinomes et carcinoïdes : évaluée de 70 à 100 % ; 50% insulinomes) Complémentarité avec TEP-FDG Marquage par d autres isotopes pourrait permettre l utilisation thérapeutique de ces analogues (RIV) 6/10
7 On utilise le scanner qui permet d'augmenter la sensibilité de l'examen afin de ne pas passer à côté d'une petite tumeur. V. TEP au 18FDG Principe : injection d un analogue du glucose (FDG) marqué à un atome radioactif émetteur de positons Images réalisées avec une caméra TEP couplée à un scanner qui permet la localisation. Accumulation du FDG dans les cellules cancéreuses / inflammatoires ; hypermétabolisme Indications: Cancers Maladies inflammatoires Émission de positons Instabilité nucléaire par excès de charges positives Parcours de l ordre de quelques mm dans les tissus Positon au repos + électron du milieu => annihilation (E = mc2 ) : 2 photons de 511 kev Émission simultanée suivant des directions opposées (180 ) permet la localisation Le FDG 1) Entrée du FDG dans la cellule 2) Phosphorylation du FDG qui va être piégé dans la cellule Imagerie de la consommation du glucose Augmentation de l'expression membranaire du récepteur GLUT dans le cas de tumeurs : accumulation de FDG. Image de gauche :TEP brut Image du milieu : scanner Image de droite : scanner + TEP 7/10
8 Fixation physiologique : cerveau, cœur, glandes salivaires, anneau de Waldeyer, élimination urinaire (rein, uretères, vessie), tube digestif, enfant : thymus, graisse brune cervico-thoracique (surtout si le patient a froid). Indications Cancers : Diagnostic : caractérisation d'une lésion suspecte de tumeur pancréatique exocrine Stadification et bilan d extension : Systématique : estomac, œsophage, cholangiocarcinome Si signes d appel ou doute radiologique métastases : colon et rectum. Évaluation de la réponse thérapeutique : cancer voies aéro-digestives supérieures (estomac, œsophage) Surveillance systématique : jamais car trop couteux Recherche de récidive : devant point d appel clinique, radiologique ou augmentation des marqueurs : VADS, colon, rectum, pancréas =Indications de TEP au 18-FDG en oncologie digestive bénéficiant de l'amm MICI (maladies inflammatoires chroniques de l'intestin : maladie de Crohn, rectocolite ulcérohémorragique): Évolutivité de la maladie, extension et suivi sous traitement Il faut interpréter les images en fonction du contexte+++: ici, le patient présente une hyperfixation sternale et aortique qui pourrait faire penser à des métastases médiastinales. Ce n'est pas le cas, il y a hyperfixation parce que le patient a subit une sternotomie pour une valvuloplastie mitrale. 8/10
9 TEP au FDG dans les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin MICI= Rectocolite ulcérohémorragique (RCH) et maladie de Crohn (MC) -Tout âge mais plus fréquemment adolescent et adulte jeune -Étiologie est inconnue, vraisemblablement multifactorielle. -Incidence en augmentation dans les pays développés -Caractère chronique et récidivant (poussées entrecoupées de rémissions) -Multiples explorations tout au long de la vie des malades -Endoscopie=standard de référence, mais limites: risque de perforations en cas de maladie sévère active (sigmoidoscopie mais risque de sous estimations des lésions/ lésions hors d atteinte par l iléocoloscopie. Une lésion sténosante peut empêcher l évaluation des segments digestifs proximaux) -Évaluation non invasive fonctionnelle de l activité de la maladie est une question clinique éminemment pertinente Indications de la TEP au 18FDG dans les maladies inflammatoires ou infectieuses -Diagnostic étiologique des fièvres d origine inconnue, -Diagnostic d infections en cas d infections chroniques osseuses ou adjacentes (ostéomyélites, spondylodiscites,...) y compris sur prothèses, d infections du pied diabétique, des prothèses de hanche douloureuses, des prothèses vasculaires, de fièvre sur SIDA, -Bilan d extension de l inflammation des sarcoïdoses, des vascularites des gros troncs, des maladies intestinales inflammatoires -Suivi thérapeutique médical de l échinococcose alvéolaire inopérable TEP au FDG ET MICI -Bonne sensibilité de détection des lésions de MICI -Très bonne sensibilité de détection des lésions sévères (sténose et ulcérations) -Spécificité de l ordre de 65%-70% : due à l activité physiologique digestive mais possiblement sous estimée (seules les lésions endoscopiques macroscopiques sont retenues) -VPN excellente pour les lésions sévères -Particulièrement adaptée chez l enfant dans le suivi ou au bilan initial pour éviter la répétition des endoscopies TEP CONCLUSION: Explorations scintigraphiques digestives Indications essentielles en pathologie tumorale : -TEP 18F-FDG : cancers colorectaux -Scintigraphie à l'octréotide marqué: tumeurs endocrines entéropancréatiques Permettent également de suivre la migration d'un radioélément dans un organe ou un appareil, ce qui renseigne sur sa fonction ou sur le retentissement d'une pathologie -Etude du transit gastrique=référence pour l'appréciation des gastroparésies ; -Scintigraphie hépatobiliaire=performante pour diagnostic et suivi des dysfonctions oddiennes -autres radiopharmaceutiques permettent la recherche d'un diverticule de Meckel, d'un saignement digestif... Peu irradiantes, occupent aujourd'hui une place importante de l'imagerie digestive, en complément de l'endoscopie et des explorations échographiques et radiologiques 9/10
10 10/10
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailImagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire
4ème Journée inter-régionale RENATEN Centre / Poitou-Charente Imagerie des tumeurs endocrines Le point de vue de l imagerie moléculaire Maria João Santiago-Ribeiro CHRU Tours Université François Rabelais
Plus en détailBases physiques de l imagerie en
Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailIMAGERIE SCINTIGRAPHIQUE. Formation Générale en Sciences Médicales 2 année
IMAGERIE SCINTIGRAPHIQUE Formation Générale en Sciences Médicales 2 année Module biopathologie-imagerie Denis Mariano-Goulart Faculté de médecine et CHRU de Montpellier http:\\scinti.etud.univ-montp1.fr
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailDocument d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis
Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailSpécialiste en chirurgie
SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:
Plus en détail«J ai mal au ventre» :
«J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLes marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives
Les marqueurs biologiques des tumeurs endocrines digestives Michèle d Herbomez DIU de Chirurgie Endocrinienne Lille 2009 Bilan biologique participe au Diagnostic Pronostic Suivi Trois types de marqueurs:
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailChirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients?
HigHligHts 2012: CHiRURgiE Chirurgie assistée par robot et laparoscopie en 3D à l avantage des patients? Lukasz Filip Grochola a, Hubert John b, Thomas Hess c, Stefan Breitenstein d a Clinique de chirurgie
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailMédecine nucléaire Diagnostic in vivo
RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailRad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical
Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde
Plus en détailMANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998
Collège Hospitalo-Universitaire de Chirurgie Pédiatrique MANUEL DE CHIRURGIE PÉDIATRIQUE (chirurgie viscérale) Année 1998 TRAUMATISMES DE L ABDOMEN. J.M. GUYS INTRODUCTION I - LE MECANISME DES LESIONS
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE
ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailDans quelles situations a-t-on recou à une stomie?
Qu est-ce Guide pour qu une stomisés stomie? Une stomie (du grec bouche) est l abouchement volonta de l intestin à la peau de la paroi abdominale permetta l évacuation des selles ou de l urine. Une stomie
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailNEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE
NEPHROGRAMME ISOTOPIQUE EXPLORATION DE L HYPERTENSION RENO-VASCULAIRE D r Eric OUHAYOUN Service de Médecine Nucléaire - P r J.P. Esquerré CHU Purpan Toulouse - France Néphrogramme isotopique Principe :
Plus en détailNouvelles stratégies et nouveaux impacts de l imagerie des cancers
03 CHATAL Page 26 Jeudi, 18. mars 2004 8:21 08 Le cancer : nouvelles données, nouvelles stratégies, nouveaux espoirs Cancer: recent evidence, innovative strategies, future promises 2004 Elsevier SAS. Tous
Plus en détailLa recto-colite hémorragique
La recto-colite hémorragique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailNouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?
Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailEntérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps.
Entérocolpodéfécographie associée à l'étude du temps de transit colique: procédure diagnostique pour exécution en même temps. Marco Estienne, Piero Glorialanza, Veronica Giasotto, Fabrizio Gandolfo, Marianella
Plus en détailInfections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole
COMMUNIQUE DE PRESSE LANCEMENT DE IPRAALOX, 20 mg Pantoprazole Paris, le 7 Mars 2012 Sanofi annonce la mise à disposition dans les officines de Ipraalox 20 mg, à base de pantoprazole, une nouvelle marque
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détail