Chambr. Vincent Lavier

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1 Chambr Lettre d information de la Chambre d Agriculture de Côte-d Or - 1 er trimestre N 35 SEPTEMBRE 2010 N 00 EDITO La nouvelle Pac va commencer à produire ses effets en Pour nos zones intermédiaires, nous en connaissons les risques et la profession se mobilise pour en limiter les conséquences les plus néfastes. La bataille syndicale et professionnelle continue, c est d autant plus vital pour notre avenir que les médiocres résultats comptables de notre agriculture côte d orienne mettent une fois de plus en évidence la fragilité économique de nos exploitations. Face à cette situation, il faut savoir se poser dans une dynamique de développement, trouver de nouvelles marges de manœuvre. C est un enjeu majeur pour l avenir de nos exploitations, qui oblige à optimiser tous les leviers d action qui participent à l augmentation de la productivité, de l efficacité et donc de la marge et du revenu. Toutes les productions sont désormais concernées par la variabilité des cours, dans une plus ou moins large mesure. D autre part, pour une même production, il existe une forte amplitude des résultats économiques entre les exploitations. Ces disparités peuvent s expliquer par de multiples causes : potentiel de production, niveau de charges, maîtrise technique ou encore stratégie commerciale. La bonne nouvelle, c est qu il reste des marges de progrès dont il faut se saisir. La technicité, la capacité d adaptation, la compétence technico-économique, l approche de la formation et du conseil peuvent représenter une alternative aux mauvais coups de cette nouvelle Pac. Il est important de connaître les chiffres de son exploitation, d évaluer ses performances en se comparant avec des Chambre d Agriculture de Côte-d Or 42 rue de Mulhouse - BP DIJON Cedex Tél : _ Fax : accueil@cote-dor.chambagri.fr CHAMBR INFO 21 - Édité par la Chambre d Agriculture de Côte-d Or Vincent Lavier groupes de références, d identifier ses marges de manœuvre par rapport à ses objectifs. Chacun est libre de déterminer où il mettra le curseur, l important c est de placer les moyens à la hauteur des objectifs. Si les marges de manœuvre sont bien réelles, les facteurs de risques le sont tout autant : risque rendement, risque sanitaire... Tous les risques doivent être pris en compte en fonction de leur potentiel de nuisance, en fréquence comme en amplitude. C est là encore, un moyen d agir directement sur la marge et le revenu. Dégager du revenu, c est important pour une exploitation, c est vital pour assurer sa pérennité et sa transmissibilité, mais c est tout aussi vital pour la tranquillité d esprit du chef d exploitation qui voit sa souplesse de gestion augmentée. Plus simplement, recueillir les fruits de son travail et de son investissement, c est une satisfaction personnelle qui profite à toute la famille. Des solutions existent pour y parvenir et redonner des perspectives d avenir. Votre Chambre d Agriculture dispose de moyens techniques et humains afin de vous épauler dans la gestion au quotidien de votre exploitation et dans l amélioration des performances de votre système de production. Les possibilités d accompagnement sont multiples et dans l attente de vous rencontrer, je vous souhaite une belle et heureuse année SOMMAIRE Page 2 Actualité du département Pac 2014: Où en sommes-nous? En 2015, la Chambre d agriculture s enracinera à Agronov De nouveaux locaux pour la Chambre à Châtillon-sur-Seine fin 2014 Page 3 Productions animales Contrôler les croissances pour améliorer les performances Pages 4 Productions végétales Cultiver la proximité pour un développement intelligent Pages 5 C est nouveau... Un service commun en grandes cultures Flavescence dorée: La Côte d Or en lutte Page 6 Formation - Installation - Emploi BP REAlisez votre projet professionnel! Pages 7 Territoire - Environnement Des outils et des modalités d accompagnement à la demande Pages 8 Gestion de l exploitation Quand le bon produit est soutenu par une bonne vente...

2 2 Actualités du département Pac 2014 Où en sommes-nous? Le 17 décembre 2013 le Conseil supérieur de l orientation (CSO) s est prononcé sur les grands arbitrages, mais beaucoup de points ont été encore reportés au début de l année Premier Pilier - Les aides découplées Le mode de répartition des aides du 1er pilier est à présent connu dans les grandes lignes, même si quelques modalités techniques restent à déterminer. En 2015, les DPU vont être remplacés par une aide découplée, composée de trois blocs : les droits à paiement de base (DPB), le paiement vert et le paiement redistributif. Entre 2015 et 2019, tous les DPB vont «converger» pour se rapprocher en 2019 du DPB moyen national estimé à 94 /ha environ. Le paiement vert sera proportionnel au montant du DPB chaque année, pour un montant moyen national de 85 / ha. Le paiement redistributif s appliquera dès 2015 sur les 52 premiers hectares de l exploitation et montera en puissance jusqu en 2018 : 5% en 2015, 10% en 2016 et jusqu à 20% en La Bourgogne aurait été plus avantagée par une convergence totale en 2019, du fait d un DPU moyen bourguignon inférieur En 2015, la Chambre d agriculture s enracinera à Agronov l été 2015, tout le 42 rue de Mulhouse partira rejoindre le A nouveau techno-pôle agro-environnemental Agronov, en construction à Bretenière, près de Dijon. Une page d histoire se tourne, mais il fallait saisir l occasion de regrouper sur un même site la Chambre d agriculture 21, la Chambre régionale d agriculture, les organisations agricoles et des entreprises du secteur. Des locaux neufs, dont les équipements seront mieux adaptés aux normes actuelles, la mutualisation de certains moyens techniques, une proximité renforçant les synergies avec entre les OPA et avec les organisations économiques et la recherche, fondamentale et appliquée... Agronov c est tout cela et bien plus encore, puisque ce lieu de contact et d échange entre la recherche, le monde agricole et l industrie, va aussi être un lieu privilégié d expérimentation et de transfert de technologies. Ce projet de déménagement sur ce site est soutenu par le Conseil général, le Conseil régional et le Grand Dijon. 200 postes sont concernés par ce déménagement. Aux côtés de la Chambre d agriculture de Côte d Or, vont s installer Arvalis, le Cetiom, la F. Cuma, AG3C, le Sedarb, la FDSEA 21, les JA 21 et les JA de Bourgogne, le Service de remplacement, le Contrôle laitier, le GDS et le FRGDS, l OS simmental. Aux côtés de la Chambre régionale d agriculture, la FRSEA, Interbev, l Afdi, l Unep. Le journal Terres de Bourgogne s installera également sur le site. au DPU moyen national. De même, l application du dispositif de paiement redistributif est défavorable aux exploitations d une taille supérieure à la moyenne nationale. Les exploitations de grandes cultures en particulier, en Côte d Or comme dans l Yonne, vont de fait se retrouver désavantagées par certaines dispositions nouvelles. En revanche, les exploitations allaitantes herbagères devraient être impactées plutôt favorablement (car leurs DPU sont souvent peu élevés) mais de façon plus limitée du fait de leur grande taille. Toutefois, chaque exploitation est unique, on peut donc difficilement tirer des généralités d une grande diversité de «cas uniques». Le statut des EARL pose aussi problème car, alors que la plupart des Gaec vont profiter de la transparence des plafonds d aide (au prorata du nombre d associés), les EARL n ont pas obtenu la transparence, ce qui crée des distorsions entre les différentes types d agriculture sociétaire. - Les aides couplées Concernant les aides couplées un plancher de 10 Vaches allaitantes minimum est institué avec un seuil de dégressivité à partir de 40 vaches. Montant unitaire sur les 40 premières vaches de 200 /VA et environ 70 / VA pour les suivantes. Le système s appuie sur la référence 2013 des animaux éligibles par exploitation. Ce qui reste à arbitrer : la prise en compte des génisses et les modalités d attribution des aides à l engraissement. Pour le secteur laitier, aide octroyée à la vache laitière, avec un plafond à 40 VA. Pour les ovins (plancher de 50 brebis) l enveloppe augmente de 9,6% (par rapport au paiement 2012) et de + 21% pour les caprins. Les seuils de dégressivité ne sont pas encore connus. Les productions végétales totaliseront 27 millions d aides couplées, dont 2% concernent le soutien à la production de protéines. Les productions de pois, féveroles, lupin et luzerne, voient leurs aides actuelles préservées. 2 nd pilier: zoom sur l ICHN et la PHAE L ICHN et la PHAE continueront d être octroyées sur les mêmes critères qu en 2013 avec une majoration de + 15% pour l ICHN dès En 2015, la PHAE disparaîtra et un nouveau dispositif ICHN, qui reste encore à préciser sera progressivement mis en place. Les éleveurs qui ne touchaient que la PHAE pourront alors souscrire en 2015 une Mesure agro-environnementale climatique «systèmes herbagers». De nouveaux locaux pour la Chambre à Châtillon-sur-Seine fin 2014 On en parlait depuis plusieurs années... Le projet de construction de nouveaux locaux pour la Chambre d agriculture de Côte d Or à Châtillon-sur-Seine, initié par la précédente mandature, est sur les rails. L équipe des conseillers qui couvrent la grande zone châtillonnaise devrait rejoindre fin 2014 un nouveau bâtiment de 400 m2, construit par la ville et mis à disposition en location-vente, selon un accord de partenariat entre la Chambre d agriculture et le maire de Châtillonsur-Seine. Sur ces terres à faible potentiel des plateaux châtillonnais, grandes cultures, polyculture élevage, production laitières, ovine, porcine, avicole, viticulture... agriculture conventionnelle et bio... toutes les agricultures sont représentées. Pour répondre aux besoins, la Chambre a su développer des compétences pluridisciplinaires qui s exprimeront pleinement dans ces nouveaux locaux où l accueil et le conseil seront privilégiés. Ce projet une fois concrétisé, permettra aussi de renforcer les synergies avec la Chambre d agriculture de l Yonne, pour apporter un meilleur service aux agriculteurs des plateaux de Bourgogne.

3 Productions animales 3 Contrôler les croissances pour améliorer les performances En Côte d Or, le contrôle de performance est assuré par Bovins croissance, intégré à la Chambre d agriculture. C est donc un service pour tous les éleveurs, toutes les races (charolaise, blonde d Aquitaine, limousine, blanc bleu, salers...), tous les types de production (broutards, taurillons...) et c est surtout par là que commence l amélioration génétique des bovins allaitants de races à viande. Il n y a pas de bonne vache sans génisse bien élevée et ce qui vaut pour les femelles vaut pour les mâles. Le contrôle de croissance reste le meilleur moyen de s en assurer. On peut bien sûr se contenter d une estimation visuelle du poids des animaux, mais l approche est délicate et souvent trompeuse. La pesée des jeunes permet de mieux négocier cette étape essentielle que représentent les six premiers mois de développement d un veau, tout en apportant à l éleveur des repères fiables quant à la conduite de son troupeau. Le point de départ, c est la certification de parenté, un préalable incontournable au contrôle de performance pour assurer la fiabilité des données recueillies. Mais la partie contrôle de croissance et pesée est la face émergente d un iceberg le Contrôle de performance - que les éleveurs associent souvent uniquement à la pesée-pointage. Le contrôle de performance va bien au-delà. C est le socle d un activité toute entière orientée vers l amélioration des résultats techniques et économiques de l élevage. Les objectifs du contrôle de performance sont clairs : il s agit de certifier, d évaluer, Zoom Les bilans veaux et génisses Un atout supplémentaire pour la performance, les adhérents à Bovins croissance bénéficient annuellement d un bilan des veaux et d un bilan des génisses : deux documents d une dizaine de pages qui reprennent de façon détaillée les performances des veaux et génisses de renouvellement. Cet outil diagnostic permet de suivre l évolution de son cheptel sur plusieurs année, d en contrôler l homogénéité, de se comparer aux élevages du département et du grand bassin allaitant (Bourgogne, Centre, Est de la France) et enfin de situer son niveau génétique et son évolution. de sélectionner les animaux, d optimiser les coûts de production et d anticiper en gardant, grâce à l accompagnement technique, une longueur d avance. En élevage allaitant, ce rôle technique s accompagne souvent d une fonction de suivi génétique. Quant à l accompagnement, il s entend «à façon» selon le rythme choisi par l éleveur : - Un contrôle avant sevrage, avec deux à trois pesées et pointage de l ensemble des veaux entre 4 et 12 mois, afin d obtenir une synthèse pour chaque animal. - Un suivi post-sevrage avec 3 pesées et le calcul des poids âge type (PAT). Pour les nouveaux adhérents, le conseil technique participe à l amélioration de la conduite du troupeau, explicite les différents documents produits (DEP, bilan de vêlages, bilan des veaux et génisses, BGTA, etc.), analyse les croissances et permet de détecter les problèmes alimentaires. Pour les éleveurs adhérents à la base de sélection depuis moins de cinq ans, le conseil intègre aussi l organisation du travail, l analyse des croissances (conseil sur le rationnement, la gestion du pâturage et la production fourragère), le bilan des vêlages et l analyse de conduite de la reproduction, le choix d un taureau et le tri des femelles du cheptel de souche. Alors que des écarts de performances importants caractérisent les élevages de Côte d Or, le conseil de performance semble d autant plus déterminant pour resserrer ces écarts. L appui technico-économique conjugue analyse individuelle, à partir d une analyse approfondie de l économie de l atelier bovin et réflexion collective, lors des moments d échanges entre professionnels. Les adhérents peuvent aussi bénéficier d autres services comme le diagnostic de contention, le calcul des rations, l analyse du comportement des veaux au sevrage. D autres services rendus à la profession sont associés au contrôle de performances comme le soutien à l organisation des concours, notamment Auxois Sud et Semur-en-Auxois (accueil, logistique, commissariat...). Pour conserver toujours une longueur d avance, le contrôle de performance collabore au programme Degeram (amélioration des troupeaux charolais), programme qui permettra de travailler des caractères économiques liés à la viabilité des veaux (9 exploitations connectées en Côte d Or). Contact: Jean-Pierre Godot, président de Bovins croissance «Adhérer au contrôle de performance c est s assurer de bénéficier d un suivi technique et génétique qui permet d avoir une bonne visibilité de tous les points d appréciation des performances : les croissances, les poids à la naissance et au sevrage. Le contrôle de performance s apprécie par rapport aux objectifs économiques d un élevage. Les opérations de pesées ne doivent pas focaliser l attention des éleveurs, c est essentiel, mais le contrôle de croissance s adapte au rythme des élevages et de plus en plus d éleveurs pratiquent eux-mêmes les pesées. La pesée représente un bon outil d appréciation, mais l accompagnement technique que nous apportons aux élevages permet d aller bien au-delà, car nous nous intéressons à des données techniques directement liées à l économie et à la rentabilité des élevages. La collecte de données et de références participe à l amélioration des performances des cheptels, individuellement et collectivement. D ailleurs, pour leurs animaux inscrits, les adhérents à Bovins croissance peuvent avoir directement accès aux documents édités par Charolais France, ainsi qu à toutes les données collectées par Bovins croissance. Le bilan génétique annuel donne une bonne appréciation du cheptel et permet d en mesurer l évolution. Le conseil et l accompagnement complètent le dispositif pour tirer le meilleur parti de ces informations. Au regard du coût d un suivi en contrôle de performance, on s aperçoit bien vite que le travail sur la génétique est plus payant et plus économique que tous les achats de concentrés destinés à rattraper une croissance qui dérape... Pour ceux qui souhaiteraient en savoir plus, toute une équipe technique performante est à leur disposition au Pôle agricole de la Chambre d agriculture de Côte d Or à Créancey».

4 4 Productions végétales Cultiver la proximité pour un développement intelligent En agriculture conventionnelle comme en agriculture biologique, les exploitants en grandes cultures peuvent trouver un appui technique auprès des conseillers de la Chambre d agriculture. L appui collectif est privilégié au travers des groupes de développement, au sein desquels les connaissances du conseiller technique et les apports individuels favorisent une dynamique de groupe efficace, chaque groupe déterminant ses axes de travail et ses orientations. Un groupe de développement fonctionne sous le statut d une association «loi de 1901» et décide collectivement des actions communes de formation, des échanges techniques et des expérimentations en vue de la production de références locales. L appui technique du conseiller de la Chambre d agriculture concerne la production de bulletins techniques, l organisation de tours de plaine, les échanges sur les marges brutes, l accompagnement des journées ou des voyages d études annuels. 15 groupes de développement en grandes cultures se sont formés sur la Côte d Or, qui rassemblent 452 adhérents et couvrent hectares. Repères L animation technique des groupes de développement va évoluer en Il s agit de proposer les mêmes services dans une nouvelle organisation, pour pouvoir développer un suivi plus spécifique sur des accompagnements de nouveaux projets collectifs, comme : le traitement à bas volume, la gestion des itinéraires culturaux en Semis Sous Couverts, la géométrie des cultures. Tout ceci dans le but d optimiser la production dans différents potentiels de sols. L ambition est aussi d ouvrir ces services aux zones plus spécialisées en polyculture élevage. Ce changement est proposé et réfléchi dans le cadre d un séminaire des Groupes de développement organisé fin janvier N hésitez pas à nous contacter pour connaître notre proposition d offre de services à travers les groupes de développement. La volonté de la Chambre d Agriculture de Côte d Or est de cultiver la proximité de nos actions avec les producteurs et de rester dans un développement intelligent de nos productions. Contacts : Pour la Plaine, Marielle Clémencet au Pour le plateau, Pauline Allard au Zoom Le premier groupement des producteurs de fruits et légumes de Côte d Or est sur les rails Porté par Philippe Marande, producteur de fruits et légumes à Messigny et Vantoux, un groupement d une dizaine de producteurs de fruits et légumes (GPFL 21), pour la plupart installés à Auxonne, s est constitué en Côte d Or fin L assemblée constitutive s est déroulée le 6 janvier Echanger sur les pratiques, améliorer la compétitivité des structures, conduire des projets collectifs... Telles sont les ambitions d un groupement de producteurs «un peu à l image des Geda» comme le présente Philippe Marande. Le GPFL 21 s est donné deux missions prioritaires : l acquisition de références locales et l accompagnement des jeunes en démarche d installation, car «les fruits et légumes permettent de s installer sur de petites surfaces». La démarche concerne les bio comme les conventionnels, au travers de l acquisition de références locales techniques et technico-économiques. Le groupe va également s atteler à adapter l outil «Mes parcelles» à la production maraîchère. D autres travaux concerneront la production de salades et de tomates, ainsi que la recherche de variétés de melons (en bio et conventionnel) adaptées à notre contexte pédo-climatique. Un voyage technique est programmé sur le thème de l endive. La dynamique, déjà bien engagée, ne demande qu à s enrichir de l adhésion de nombreux producteurs maraîchers. Adhésion : 50 /an. Contact : Laure Galimard

5 Productions végétales 5 Les évenements qui ont rhytmés l année 2011 C est nouveau... Un service commun en grandes cultures Favoriser les synergies, mutualiser les compétences pour répondre plus parfaitement aux besoins des agriculteurs tout en anticipant les évolutions pour les exploitations en grandes cultures et cultures annuelles, telles sont les préoccupations qui ont conduit la Chambre d agriculture de Côte d Or et la Chambre d agriculture de l Yonne, a s engager dans la mise en place d un service commun interdépartemental Côte d Or-Yonne. La complémentarité sans l uniformité Les deux départements se distinguent par l importance de leurs surfaces cultivées et la forte part des grandes cultures L apport des expérimentations L équipe Grandes Cultures de la Chambre d Agriculture Côte d Or a poursuivi en des travaux expérimentaux ou de développement sur les thèmes de la localisation des engrais minéraux au semis ou d apport en plein, et de la possibilité d augmenter l écartement des semis des céréales à 25 cm ; ceci pour envisager d associer au désherbage chimique du désherbage mécanique ou de fertiliser en localisé, pour une partie des besoins de la culture. En agriculture biologique : deux plateformes sont réalisées avec nos différents partenaires (Dijon Céréales, la Chambre d Agriculture de l Yonne et le Sedarb). Globalement, les travaux de toutes les expérimentations sont concluants : l effet de l écartement du semis n a pas d effet dépressif sur le rendement et la qualité des cultures testées. L intérêt de localiser des éléments ne permet pas toujours de mettre en évidence l avantage d une formulation (N/P, P solo, K, avec ou sans soufre) pour optimiser le potentiel de rendement en maintenant les coûts. Les doses d apport sont à retravailler. Concernant, les travaux sur le système de culture en Semis Sous Couverts Végétaux, les sols ont évolué depuis la mise en place des dispositifs (7ans). Le système de culture en Semis Sous Couverts Végétaux ne dégrade pas le potentiel de rendement des cultures d hiver, bien au contraire, il permet de l améliorer sensiblement par rapport à un système classique. Pour les cultures de printemps, la réponse est aussi positive, mais plus nuancée. Flavescence dorée La Côte d Or en lutte En 2013, des mesures de lutte obligatoires ont été prises sur l ensemble de la Saône et Loire et en Côte d Or afin d éviter la propagation de la flavescence dorée, maladie épidémique à évolution mortelle pour les ceps atteints. En Côte d Or, la profession s est largement mobilisée puisque 1250 professionnels ont participé à la formation facilitant (58% de la SAU dans le 21 et 71% dans l Yonne), avec de nombreuses problématiques communes. Sont concernées en agriculture conventionnelle comme en agriculture biologique, les grandes cultures et certaines productions végétales annuelles (à l exception du maraîchage, des cultures légumières de plein champ et de la moutarde). Les services techniques entendent ainsi être encore plus réactifs en jouant la complémentarité, dans le respect des spécificités de chacune des organisations et des territoires. Sur le terrain, l action du Service commun interdépartemental se traduira par des actions mutualisées. Un service commun viticulture depuis le 1 er janvier Directement issu de la volonté de mutualisation des compétences des deux Chambres d agriculture et de renforcement des synergies existantes, le Service commun viti est opérationnel depuis le 1er janvier 2014, il concerne les cultures pérennes comme la vigne, le cassis et l arboriculture pour les cerises icaunaises. Des actions concrètes traduisent déjà l enrichissement des compétences mutuelles avec le recrutement à venir d un chargé de mission eau basé dans l Yonne, pour la gestion des effluents vitivinicoles, concernant l Yonne et les plateaux du Châtillonnais. Autres domaines qui bénéficient directement dans chacun des départements de la mutualisation des compétences : le conseil oenologique et les conseils pour les bâtiments spécifiques comme les cuveries, les itinéraires de vinification. Le partage de l expérience acquise dans l accompagnement des projets collectifs comme les aires de lavages, le suivi en commun des résultats d expérimentation permettent sur les deux territoires viticoles d étoffer l offre de conseil en viticulture, tout en conservant les spécificités des départements et les outils existants. Là encore, pas question d uniformisation, mais plutôt d un enrichissement mutuel au service des différentes viticultures départementales. le dépistage et à la prospection sur le terrain, 642 parcelles ont ainsi été analysées révélant trois échantillons positifs. A toutes les étapes, les conseillers de la Chambre d agriculture sont intervenus pour la formation, les prélèvement et l accompagnement des viticulteurs, qui ont pu ainsi obtenir des réponses à leur questionnement légitime. Ce système de prospection est animé et coordonné au niveau régional par la Fredon en synergie avec les organisations professionnelles : Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB), Confédération des appellations et des vignerons de Bourgogne (CAVB), Chambres d agriculture, Service d éco-développement agrobiologique et rural de Bourgogne (SEDARB), Service régional de l alimentation (SRAI).

6 6 Formation BP REAlisez votre projet professionnel! Vous avez un projet professionnel agricole ; quel que soit le type de production, vous pouvez acquérir la capacité professionnelle par la voie de la formation continue ou par l apprentissage en préparant le BP REA Le BPREA (Brevet Professionnel Responsable d Exploitation Agricole) est dispensé par le Pôle Formation Installation Transmission Emploi de la Chambre d Agriculture (en partenariat avec le CFPPA et le CFA de Quetigny). Formation de niveau IV, il accueille des publics d origines différentes et avec tous types de projets d installation ou de salariat en agriculture, déjà définis ou en cours de réflexion. Après des études agricoles (CAPA, BEPA...) ou dans un autre domaine ( quel que soit le secteur ou le niveau de formation), dans le cadre d une réorientation professionnelle ou après une expérience dans un autre secteur d activité, chaque candidat construira son parcours et trouvera les modalités d acquisition de compétences les Transmission Association : une aide pour vous Le PITA est le lieu d accueil pour tout exploitant désirant avoir des renseignements sur la cessation d activité, la transmission de son exploitation et la recherche d un repreneur ou d un associé. N hésitez pas. (contact : Parent Alexis au ). mieux appropriées à sa situation et à son profil. Le BPREA est une formation modulaire par unités capitalisables (12 UC) qui permet d individualiser le parcours en terme de contenu et de durée (en fonction des acquis, des besoins et du projet personnel et professionnel), de mode de réalisation (en centre, en entreprise, en FOAD) et d étalement dans le temps (sur 1, 2 ou 3 ans) Avec un référentiel rénové et une organisation de la formation qui intègre les dernières évolutions de l Agriculture, le BPREA est une pièce maîtresse du dispositif à l installation dans le département de Côte d or puisque chaque année, plus de 40 jeunes porteurs de projet à l installation le préparent. Le diplôme permet d accéder aux aides à l installation. Bénéficiant d un statut, les candidats ont une indemnité ou un salaire au cours de leur formation. Contacts : Sabine Ecard ou Claude Delaporte : Mail : formation@cote-dor.chambagri.fr Enseignement Agricole Les Professionnels s investissent L enseignement agricole de Côte d Or, ce sont 13 établissements, plus de 2600 élèves, des formations de la 4 ème au BTS, voire à la licence. Préparant aux métiers de la production, de l environnement ou des services, les établissements répondent aux besoins des familles et des filières en accueillant les jeunes et en les préparant aux diplômes. Ils contribuent largement à la dynamique des territoires. Etablis depuis de longues années, les partenariats entre la Chambre d agriculture et les établissements d enseignement sont forts et ils évoluent constamment pour mieux répondre aux attentes de chacun. Ces attentes sont relayées par les représentants professionnels impliqués dans Les Professionnels s investissent... Existants depuis plus de 40 ans, les services de remplacement sont de précieux outils à la disposition du monde agricole. Efficaces, car implantés localement, ils apportent un service de proximité, rapide, en substitut de l exploitant(e), du conjoint(e), de l aide familial(e) absent(e). Essentiels, car en cas d accident, de maladie, de congé maternité ou paternité, de formation, d engagement dans une action de développement agricole, ou tout simplement pour prendre un week-end ou des vacances, ils assurent la continuité de l entreprise agricole. Les service de remplacement, c est simple, il suffit d adhérer! Alors pensez y! Pour tous renseignements: Fanny CLEMENCE les instances de pilotage ou de concertation des établissements. Suite aux nouvelles désignations consécutives aux élections de début 2013, les membres élus se sont retrouvés fin novembre à l échelon régional à Pouilly-en- Auxois (plus de 40 participants). Des objectifs généraux ont été définis pour une meilleure prise en compte de l évolution des métiers, pour la professionnalisation des acteurs et le renforcement de la cohérence entre recherche, développement et formation. Plusieurs axes de travail ont aussi été dégagés pour la prochaine campagne afin de permettre aux élus professionnels de mieux assurer leur mission de représentation et de faire évoluer les liens et partenariats entre la Chambre d agriculture et les établissements.

7 Territoire - Environnement 7 Les évenements qui ont rhytmés l année 2011 Des outils et des modalités d accompagnement à la demande De la sécurité à la performance Le service internet national pour prévoir, enregistrer, valoriser vos pratiques et faciliter le pilotage de vos cultures. Contact Cathie CUISIN Chambre d Agriculture de Côte d Or Antenne de Becquerel Tel : Cassandre COLLET Chambre d Agriculture de Côte d Or Pôle élevage Tel : Mail : mesparcelles@ cote-dor.chambagri.fr La Chambre d agriculture de Côte d Or développe des outils et des services pour vous accompagner aux mieux en fonction de vos demandes et du contexte réglementaire. Parmi ces outils, se distinguent MesP@ rcelles et depuis peu, un tout nouvel accompagnement individuel concernant le plan prévisionnel de fumure. Vous pouvez maintenant réaliser ce plan prévisionnel de fumure avec un conseiller de la Chambre d agriculture. Pour l ensemble de vos cultures vous pourrez ainsi calculer leurs besoins, afin de mettre en place un programme de fertilisation optimal et en accord avec la réglementation (équilibre de la fertilisation, méthode de calcul, périodes d interdiction d épandage...) Cette nouvelle proposition (conditions et tarifs sur demande) a été mise en place Zoom sur... pour répondre aux attentes formulées par certains agriculteurs. Outre l accompagnement individuel et le conseil, vous pouvez aussi participer aux formations organisées sur divers sujets, telle que la gestion de fertilisation (méthode de calcul et méthode de raisonnement), la conception d une aire de lavage de pulvérisateur, certiphyto... Pour vous informer et vous accompagner, le site internet de la Chambre d agriculture 21( est régulièrement mis à jour, à chaque nouvelle actualité réglementaire notamment. Informations générales Directive nitrates: Anne Hermant au Accompagnement individuel et Outil MesP@rcelles : Cathie Cuisin au à Dijon et Cassandre Collet au à Pouilly. MesP@rcelles constitue le premier outil mis à jour pour tenir compte des évolutions réglementaires en zone vulnérable et ainsi vous garantir la conformité des enregistrements. C est un outil Web qui permet d assurer la traçabilité des interventions réalisées sur les parcelles. Il a été conçu pour vous faciliter les saisies et les calculs, et sécuriser vos enregistrements. Il facilite aussi le pilotage des cultures par la valorisation des données technico-économiques. MesP@rcelles peut dépasser le seul cadre de la directive nitrates. Une assistance sur mesure est proposée pour vous accompagner durablement. N hésitez pas à nous contacter. Le Pôle «Aménagement Territoire- Environnement» a été réaménagé et divisé en deux entités : Une section «Aménagement - valorisation des ressources locales» et une section «Environnement».. Section Aménagement Valorisation des ressources locales Christelle Mignard, chef de section - Aménagement, urbanisme, cartographie : Christophe Benas, Anne Magnière, Micha Jojovic et Benoît Bordas - Agri-tourisme et diversification Mathilde Schryve, Séverine Gautier, Francine Schwick. Section Environnement Anne Hermant, chef de section Cassandre Collet, Cathie Cuisin, Corinne Delage, Géraldine Ducellier, Alice Faivre, Céline Sagres, Fatima Sbiri.

8 8 Gestion de l exploitation Quand le bon produit est soutenu par une bonne vente... Le savoir-faire n est pas toujours synonyme de «savoir-vendre» et, comme le rappelle Pascal Mure, président de Bienvenue à la ferme «si, pour certains producteurs diversifiés, l aspect commercial coule de source, pour d autres, tout reste à apprendre et à découvrir. Les formations aux techniques de vente permettent alors d être plus efficace sur le plan commercial». Un groupe de quatorze producteurs diversifiés de Côte d Or a suivi en 2013 une session de formation sur le thème «Améliorer ses techniques de ventes». Intervenante dans ce programme, Claudine Blanckaert insiste sur l importance d une vraie «mise en situation, chacun travaillant à partir de son expérience». Outre les aspects techniques de la mise en valeur des produits, notamment par la réorganisation de l espace de vente, il s agit aussi de mieux intégrer la dimension comportementale de l approche commerciale. «En écoutant, en observant un client, on en apprend beaucoup sur ses motivations et son comportement d achat» insiste Claudine Blanckaert. «La majeure partie des informations passe par le non verbal, pour l acheteur comme pour le vendeur». D où la nécessité de travailler sur des situations réelles à partir du vécu de chacun. Les premiers freins levés, tous les participants y trouvent leur compte et s empressent de mettre en pratique les acquis de la formation dès leur retour sur le terrain. Conscient désormais que la vente c est un vrai métier dont il faut connaître les codes et les ficelles... Pour en savoir plus : Mathilde Schryve Philippe Plançon, producteur d oeufs, Gaec du Pontot à Gevrey Chambertin Philippe Plançon, producteur d oeufs, Gaec du Pontot à Gevrey Chambertin «La vente directe, nous la pratiquons tous les jours, avec les particuliers comme avec les distributeurs. Avoir un bon produit ne suffit pas, il faut aussi savoir le mettre en valeur, accueillir les clients... Même si on est attiré par la vente, il faut en connaître les techniques, savoir agencer son magasin, faciliter la circulation des clients, démarrer une conversation... A la suite de cette formation j ai complètement changé l agencement de mon magasin et les clients ont apprécié ce changement. Ils ont trouvé que l espace était plus grand, les produits mieux mis en valeur. Pour moi c est évident, ce stage a été une réussite sur toute la ligne, cela valait le coup de s organiser pour pouvoir se rendre disponible». Prévenir les vols avec Les exploitants agricoles sont de plus en plus nombreux à être victimes de vols. Les forces de l ordre, toujours présentes sur le terrain, ont aussi une mission de prévention et de conseil. Des référents sûreté assurent cette mission. Ce sont des personnels de terrain expérimenté qui connaissent bien les modes opératoires et qui sont formés pour renforcer la protection d un site ou d un établissement. Ce référent peut vous aider gratuitement à identifier les mesures permettant d améliorer la protection de vos sites, d établir une stratégie de sécurisation, dans le respect de la réglementation, de comparer les devis établis dans votre projet de sécurisation. Les conseils du référent sûreté Votre exploitation agricole doit envoyer trois signaux aux malfrats : le gain est limité, la difficulté est grande pour commettre un méfait, le risque d être pris est élevé. Ce qu il faut faire - Favoriser la visibilité du site, proscrire la végétation extérieure abondante, privilégier un éclairage extérieur commandé par détection de mouvements pour la période nocturne ; - Mettre en place une vidéo-protection avec enregistreur dissimulé ou placé dans un local sécurisé ; - Ne pas laisser les clés des véhicules sur le contact et ou les équiper d un coupe circuit ; - Equiper les locaux d une bonne protection mécanique (barreaux, rideaux métalliques ) - Entreposer l outillage et les appareils électropositifs dans un local particulièrement protégé ; - Disposer d un moyen de détection de l intrusion en privilégiant la possibilité d effectuer une levée de doute à distance pour être en capacité de déclencher rapidement l intervention des forces de l ordre - Stationner les véhicules de manière à augmenter la difficulté pour voler du carburant ; - Dissimuler le disjoncteur d alimentation électrique de la pompe de la cuve à gasoil ; - Marquer le matériel au moyen d un pochoir et le répertorier sur une liste. Comment réagir? - Informer les forces de l ordre de tout comportement suspect ; - Ne pas s opposer physiquement à l agresseur et conserver son calme ; - Mémoriser le signalement de l agresseur (vêtements, signes distinctifs, corpulence...), les objets qu il a touchés, la direction et le moyen de fuite (véhicule, marque, modèle, immatriculation, couleur ) ; - Dès le danger écarté, composer le 17 et indiquer clairement l objet de l appel, ne pas raccrocher, attendre que l opérateur le demande ; - Dans l attente de l arrivée des enquêteurs, préserver les traces et indices, fermer le local ou délimiter la zone, ne toucher pas aux objets que les malfaiteurs peuvent avoir abandonnés (cagoule, chargeur d arme, douille, vêtement...), n ajouter pas de trace sur le lieu de l infraction ; - Déposer plainte. Comment contacter le référent sécurité? Par l intermédiaire de la Brigade de Gendarmerie ou du Commissariat de Police de votre localité ou directement - Groupement de Gendarmerie départementale de la Côte d Or, Major Alain Michaut. Tél : alain.michaut@gendarmerie.interieur.gouv.f Direction départementale de la Sécurité Publique de la Côte d Or, Brigadier Jean-Noël Chapotot Tél : jean-noel.chapotot@interieur.gouv.fr Réalisation: SEP de Bourgogne - Impression: CIB

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