- Les facteurs qui ont joué un rôle de levier : - Une VOLONTE POLITIQUE AGENDA 21.
|
|
- Alain Noël
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 - La mise en place d une politique départementale des dépendances vertes s exprime par la volonté de rationnaliser la conception, la réalisation et l entretien du réseau routier départemental pour une gestion durable dans le cadre de l AGENDA 21 - Les facteurs qui ont joué un rôle de levier : - Des politiques hétérogènes à l échelle du territoire 16 subdivisions, 16 approches différentes. - Une consommation démesurée des herbicides. - Une image négative de la route ; - L acte 2 de la décentralisation des services de l équipement et l intégration au département de 300 agents: opportunité de changement. - Une force de propositions des services techniques. - Une VOLONTE POLITIQUE AGENDA 21.
3 40 ans déjà A l étranger En France LA GESTION RAISONNEE EN DATE A Londres, le 1er symposium sur la gestion des routes. On parle de réserves naturelles des dépendances vertes. Allemagne, Suisse, Belgique développent des politiques «douces» Le Haut Rhin adopte un nouveau mode de fauchage - La Région Alsace propose une gestion écologique Le Calvados publie «moins d herbe coupée, nature protégée» Le SETRA édite le Guide pratique de l entretien des dépendances vertes
4 En Dordogne Mise en œuvre du premier plan de fauchage départemental Tentative de suppression des herbicides : un échec Adoption de la première passe dite «de sécurité» ans après, une nouvelle réflexion GUIDE DE LA GESTION RAISONNEE DES DEPENDANCES VERTES Elaboration d une politique confirmée et affirmée Le 0 herbicide De nouveaux «chantiers» dans le cadre de l AGENDA 21
5 VOUS AVEZ DIT «GESTION RAISONNEE».. OBJECTIFS ET ENJEUX - Assurer la lisibilité - Maintenir la visibilité - Renforcer les séquences visuelles paysagères et animation parcours Objectifs de sécurité Enjeux environnementaux - Conjuguer entretien et Développement durable - Maintenir les milieux - Valoriser les paysages - Intégrer la route - Contrôler les plantes invasives Prise en compte de la sécurité des agents -Assurer le fonctionnement des ouvrages - Maintenir le gabarit routier GESTION RAISONNEE Objectifs maintien viabilité Enjeux économiques - Optimiser les opérateurs d entretien - Choisir et entretenir le matériel adéquat - Mutualiser les moyens techniques
6 La Dordogne enrichit la démarche -LA ROUTE: UN METIER, DES RESPONSABILITES L agent, le chef d équipe l homme de terrain devient l acteur de la gestion raisonnée Car il s agit bien, en situation de chantier sur le terrain, de raisonner, de prendre une option, de faire un choix pour conjuguer : sécurité-environnement-économie et paysage- de positionner le «curseur» La démarche s accompagne de formation et d outils d aide à la décision - LA ROUTE, UNE FONCTION CULTURELLE L identité culturelle «le pays, paysage» «Dans notre département ce ne sont pas les châteaux qui sont importants mais ce qu il y a entre les châteaux le paysage»
7 LES ROUTES EN DORDOGNE 5000 KM route 4500 ha de dépendances vertes 300 agents d exploitation arbres d alignement 70 aires de pique-nique
8 MISE EN PLACE D UN GROUPE DE TRAVAIL PAR LE POLE PAYSAGE ET ESPACES VERTS DE LA DRPP - Réunir l ensemble des acteurs : Services de la direction des Routes, environnement, hygiène et sécurité, Parc de l Equipement, Associations naturalistes Chargés de mission AGENDA 21 Le groupe de travail animé par un intervenant extérieur (écologue) - Une feuille de route : - Mener un bilan/expertise des pratiques - Rationnaliser les modes opératoires - Pérenniser une politique de gestion raisonnée
9 9 THEMES SERONT ABORDES : LA DIVERSITE DES DEPENDANCES. ACCOTEMENT ET SECURITE Une politique de végétalisation et de 1 er passe de sécurité des accotements FOSSE Abandon des traitements chimiques
10 DELAISSES Donner une fonction ou rendre à la nature TALUS DEBLAIS / REMBLAIS 2 passes, «rien ne sert d aller toujours plus loin, plus haut»
11 HAIE ET LISIERE,développement de l utilisation du lamier, respectueux du végétal. HERBICIDES, plus jamais
12 STATION D INTERET FLORISTIQUE : Le fauchage tardif AIRE DE PIQUE-NIQUE, des équipements simples et de qualité DECHETS VERTS, développer leur valorisation
13 POUR CHAQUE THEME ABORDE rédaction d une fiche technique validée par l Assemblée Départementale - Diagnostic multicritères des pratiques - Analyse des difficultés rencontrées par rapport aux objectifs - Des propositions techniques pour l avenir - objectifs de qualité - le mode opératoire - la programmation des travaux
14 La fiche technique est le document référence des bonnes pratiques
15 Qui accompagne l agent dans sa démarche au quotidien.
16 ELLES SONT REGROUPEES DANS LE GUIDE DE LA «GESTION RAISONNEE DES DEPENDANCES VERTES» VALIDEE EN 2006 PAR L ASSEMBLEE DEPARTEMENTALE Qui s accompagne en par:
17 - Une action de communication grand public La route n est pas un jardin, c est un espace naturel, un couloir de biodiversité. Un autre regard sur l entretien, la tolérance aux «mauvaises herbes»
18 -Mise en œuvre d un plan de formation pour l ensemble des 300 agents d exploitation, chefs d équipe et contrôleurs. PREMIERE JOURNEE DEUXIEME JOURNEE TROISIEME JOURNEE 9 h à 12 h COMPRENDRE le PAYSAGE Vous avez dit "Paysage"? définition, lecture, perception, analyse paysagère UNE POLITIQUE DEPARTEMENTALE ROUTE ET PAYSAGE - Le projet paysage - De l'étude d'environnement aux mesures compensatoires paysagères TRAITEMENTS SPECIFIQUES - Les arbres d'alignement : de la plantation à la gestion - Les aires de pique-nique : Un plan départemental, qui fait quoi? - L'aménagement des giratoires ATELIER D'APPLICATION - L'emploi des produits phytosanitaires - Les bonnes pratiques avant/pendant/après - Descriptions techniques des produits homologués au Conseil Général de Dordogne - Les méthodes alternatives de désherbage chimique 12 h à 13 h 30 Pause déjeuner Pause déjeuner 13 h 30 à 16 h 30,ROUTE et SECURITE Le végétal un outil de sécurité routière : Guidage, repérage et confort LES TERRASSEMENTS LA VEGETALISATION GERER LES DEPENDANCES VERTES Une gestion raisonnée des dépendances vertes -Le constat des pratiques actuelles -Les objectifs départementaux : une nouvelle approche -Un cahier des charges départemental Le fauchage, débroussaillage, désherbage, haies et lisières VISITE SUR LE TERRAIN Exemples de méthodes alternatives au désherbage chimique Les conséquences d'un désherbage non approprié. L'entretien d'une aire de repos FIN DE JOURNEE FIN DE JOURNEE FIN DE JOURNEE
19 NOUS ALLONS ABORDER DEUX THEMATIQUES SIGNIFIQUATIVES ET MARQUANTES DE NOTRE DEMARCHE - LE FAUCHAGE TARDIF - ET LE «ZERO HERBICIDE»
20 FAUCHAGE TARDIF NATURE PRESERVEE. Ce n est pas une expérience, mais une réalité de terrain pérennisée et enrichie chaque année. Le fauchage ou débroussaillement tardif, c est intervenir après la fructification des espèces pour favoriser la multiplication végétale.
21 La gestion de ces stations est mise en place avec trois partenaires. Le PNRPL Parc Naturel Régional Périgord Limousin pour des stations d intérêt botanique
22 - Le SFO Société Française d Orchidophilie, pour les orchidées.
23 -Et le CREN Conservatoire Régional d Espèces Naturels d Aquitaine pour les tulipes sauvages.
24 - Ils s appellent «maculé», «moustique, «abeille», «singe», «bécasse». 45 espèces recensées en Dordogne, 22 le long des routes, 4 ont disparus depuis A la fois, plantes «mythiques» et précieuses, indicatrices des milieux naturels, les orchidées suscitent l intérêt de tous, de l écologiste, du grand public et des botanistes. L intérêt d une telle démarche est la protection des milieux et des espèces. - Sur la Dordogne, à ce jour, 34 stations botaniques font l objet d un fauchage tardif, enrichi chaque année de nouvelles stations. - L action se concrétise directement sur le terrain en présence du chef de secteur, du conducteur d épareuse et du référent botaniste, tous sont acteurs. Après un diagnostic de sécurité, la séquence préservée est identifiée, balisée et cartographiée. - Une signalétique personnalisée informe usagers et élus locaux.
25 Chaque année une campagne d information renforce la démarche.
26 LE 0 HERBICIDE Une démarche longue, «un poids culturel, cultural, la notion de «mauvaises herbes», «du propre» 13 ans de démarche, des freins, des échecs, un travail de terrain, progressif, de formation, de sensibilisation, d écoute, de réponse 2003 Création du marché départemental de produits phytosanitaires - On passe de 10 à 3 substances actives - On élimine les plus nocives : 2-4D, Diuron, etc - Equipement de pompes doseuses : : : : : 0
27 2006 Malgré ces premières mesures, le poids des habitudes prend le dessus, les pratiques encore excessives qui entraînent des impacts forts Disparition des graminées et apparition des mauvaises herbes
28 Colmatage des fossés
29 Déstabilisation des talus par érosion. Sols mis à nu, déchaussement de la signalisation verticale, pollution
30 Une image négative pour le département
31 2008- L ASSEMBLEE GENERALE VOTE LE 0 HERBICIDE. UN CHANGEMENT DES PRATIQUES, pas une méthode mais des méthodes et des techniques de mises en œuvre. Désherbage thermique au gaz Détourage par fauchage manuel Désherbage par balayage mécanique ou manuel
32 Des outils d accompagnement sont nécessaires - Mise en place de plaques anti-herbe en plastique recyclé, fauchage mécanisé en priorité sur les zones dangereuses. Un dialogue permanent avec les acteurs de terrain, vecteur de réussite et d appropriation LE ZERO HERBICIDE UNE REALITE POUR LA DORDOGNE.
33 2009 UN PREMIER BILAN -Economie: - 1 passe en moins de débroussaillement sur l ensemble du réseau : euros - Bilan carbone 390 tonnes de rejet CO euros de produits phytosanitaires litres de désherbants - 3 passages de traitement sur l ensemble de réseau - Environnement: - Enrichissement de la biodiversité - Hygiène et sécurité: - protection des agents et préservation des milieux - Professionnel: - une formation pour les nouveaux agents - l agent acteur et responsable - un guide des bonnes pratiques - la Dordogne département référent - Communication: - A POURSUIVRE, NE PAS RELACHER
34 L AVENIR - Une démarche irréversible tournée vers l avenir - Approche globale du projet routier. - Des critères environnementaux dans les appels d offres. - Un observatoire des pratiques. - Et la mise en place d indicateurs environnementaux. - D autres chantiers : - Un matériel en adéquation avec les objectifs ex: coupe de l herbe à 15cm (réduit rejet CO2 en 20%) matériel en prise de force économique. - Mise en œuvre de la «charte zéro phyto» envers les collectivités pour conforter la démarche à l échelle du territoire. - Création de la «journée départementale de la gestion raisonnée».
35
Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailOUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :
OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailLes compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique
Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression
Plus en détailUne espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis
Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailSchéma Directeur Accessibilité
Schéma Directeur Des services régionaux de transport de voyageurs - Deuxième concertation en Gironde - Contenu de la présentation Rappel des étapes antérieures sur le réseau ferroviaire (Maillage, référentiel
Plus en détailLA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS
LA TRAME VERTE ET BLEUE DU NORD-PAS DE CALAIS 1 Les objectifs opérationnels de la Trame Verte et Bleue Connaître Observer Evaluer Restaurer, préserver et gérer les cœurs de nature La Trame Verte et Bleue,
Plus en détailwww.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA
www.ecophytozna-pro.fr La plateforme technique d informations des professionnels des ZNA Les objectifs du site Site de ressources sur les problématiques de réduction des produits phytosanitaires en ZNA
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailUne nouvelle écologie des parcs et des jardins
Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications
Plus en détailESII. Une entreprise éco-citoyenne
ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailpour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux
pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailBROSSE DE DÉSHERBAGE GAUCHE/DROITE
BROSSE DE DÉSHERBAGE GAUCHE/DROITE GÉNÉRALITÉS La brosse est montée sur une plaque de montage DIN [brosse latérale], elle est équipée (d origine) avec des béquilles et peut être montée et démontée par
Plus en détailLa solidarité, notre force!
E N T R E P R I S E D E N T R E T I E N E T D E N E T T O YA G E N E T T O YA G E LOCAUX La solidarité, notre force! E S PA C E S VERTS VOIRIE www.creno-services.fr Une entreprise doublement engagée à
Plus en détailCompte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)
Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre
Plus en détailLe compost. Un petit écosystème au jardin
Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailMONTELIMAR ENERGIE POSITIVE
STRATEGIE DEVELOPPEMENT DURABLE 2014/2020 document interne MONTELIMAR ENERGIE POSITIVE p.1/11 BIODIVERSITE & ENERGIE 2 ATOUTS FORTS POUR REPONDRE AUX ATTENTES DES MONTILIENS EN MATIERE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailTELA BOTANICA Le réseau des botanistes francophones. Daniel MATHIEU, président dmathieu@tela-botanica.org Montpellier, FRANCE
Daniel MATHIEU, président dmathieu@tela-botanica.org Montpellier, FRANCE Mettre les botanistes en réseau autour de projets concrêts Objectifs Collecter données et connaissances Sensibiliser et former Tela
Plus en détailPETIT GUIDE D ÉCO-CONDUITE
PETIT GUIDE D ÉCO-CONDUITE L éco-conduite : notre collectivité s engage Rouler dans «le bon sens» aujourd hui, c est utiliser sa voiture de manière écologique, économique et sûre. Ce guide vous permettra
Plus en détailAssociation des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,
Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement
Plus en détailLes Français et la nature
Les Français et la nature Contact Frédéric Micheau Directeur des études d opinion Directeur de département Tel : 01 78 94 90 00 fmicheau@opinion-way.com http://www.opinion-way.com Mars 2015 1 Méthodologie
Plus en détailProximité Ethique Responsabilité
Qu est-ce que le développement durable à l échelle de ma TPE-PME? Proximité Ethique Responsabilité cgpme-idf@wanadoo.fr-tel: 01 56 89 09 30 www.cgpme-idf.fr Salon Entreprise Durable 20 octobre 2009 Qu
Plus en détailIntégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne
Intégration du référentiel hydrographique Bd Carthage dans le Système d Information de l agence de l eau Adour Garonne point de vue sur l importance attributaire d un référentiel 1 Plan de la présentation
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailRÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION. INC - 27 janvier 2014
RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION INC - 27 janvier 2014 DIAGNOSTIC DU RÉSEAU INSTITUTIONNEL DE FORMATION SOMMAIRE La formation et le RIF : constats Les engagements de la COG Ucanss 2013-2016 La création
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailSELLE Masse d'eau AR51
SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution
Plus en détail2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7
Comité VIVEA sollicité : D042 Réf. interne : D042/2010/1012 - Attention dossier non encore envoyé à Vivea 1. Titre de l'action de formation : certiphyto 2. Identification de l'organisme de formation :
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailMISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS
MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important
Plus en détailNe brûlons plus nos déchets verts à l air libre!
En savoir QUIZZ + Plan de Protection de l Atmosphère des Bouches-du-Rhône 1 2 3 4 J ai le droit de brûler mes déchets de tonte de pelouse en petite quantité dans ma cour non exposée à la route. Mes déchets
Plus en détailEtat de la connaissance de la biodiversité. sur la commune de Pantin
Direction des Espaces Verts Mars 2011 Etat de la connaissance de la biodiversité sur la commune de Pantin Depuis sa création, le Département de la Seine-Saint-Denis a mobilisé ses moyens et fédéré les
Plus en détailCompte rendu : 1ère Réunion du CoTITA Sud-ouest du 24 octobre 2012 Club «Gestion des matériels routiers»
Compte rendu : 1ère Réunion du CoTITA Sud-ouest du 24 octobre 2012 Club «Gestion des matériels routiers» Accueil : Parc de Toulouse Présents : T.Chouette(représentant COTTITA), CG 12, 24, 31, 32, 33, 40,
Plus en détailhandyjob )))) multi-services Un regard différent sur le monde je suis handycapable
Un regard différent sur le monde je suis handycapable Avec 80% de travailleurs handicapés, notre spécificité est d'être une entreprise solidaire et citoyenne en proposant un service d'une grande exigence
Plus en détailOutil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles
Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles Check-list à l'attention des chargés d'étude réalisant le Porter à Connaissance Cocher les lignes si le territoire
Plus en détailPays Rhin-Vignoble -Grand Ballon
Pays Rhin-Vignoble -Grand Ballon Schéma Régional de Cohérence Écologique (SRCE) Réunion commission EauBiodiversité-Déchets 22 janvier 2015 DGALN - Direction de l'eau et de la Biodiversité 1 Ordre du jour
Plus en détailUn Plan Signalétique en Entre-deux-Mers : retour d expérience.
Un Plan Signalétique en Entre-deux-Mers : retour d expérience. ADT 67, Atelier de Développement Signalisation touristique, Mardi 15 novembre 2011, SELESTAT I- Le Pays Touristique de l Entre-deux-Mers :
Plus en détailGuide pratique de l. éco agent. des gestes. simples. et quotidiens. pour agir
éco agent Guide pratique de l des gestes simples et quotidiens pour agir 1 Edito Sommaire L électricité...3 Les équipements bureautiques...4 Le confort thermique...5 Le papier...6 Les déchets...7 Les déplacements...8
Plus en détailLE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I
LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailL évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se
PHYTOREM S.A. L évidence écologique Une station d assainissement où il fait bon se Le BAMBOU-ASSAINISSEMENT Le Procédé Sol EFFLUENTS EXPORTATION VERS LA TIGE Chaume ou tige Pollution organique et minérale
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailSud Expert Plantes Développement Durable. Thème COSMETOPEE ---------- 12 participants 8 pays. SEP 2D -Cosmétopée -Restitution session du 11 juin 2012
Sud Expert Plantes Développement Durable ---------- 12 participants 8 pays PREMIERE REFLEXION: Colloque Cosmétopée Février 2012 à Chartres OBJECTIFS DU COLLOQUE PermettreauxacteursdelaCosmeticValleyetduprogrammeSudExpertPlantes(SEP)de
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailLa réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme
La réforme du permis de construire et des autorisations d urbanisme 1 PREAMBULE Quelques dates pour situer la réforme du permis de construire 2 Le permis de construire en quelques dates 1852 : décret relatif
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailUn expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale
Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLe plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire
Le plan de lutte contre la crise en Région Pays de la Loire Directeur général adjoint en charge des finances et services généraux du conseil régional des Pays de la Loire Contexte La région des Pays de
Plus en détailNotre organisation. Ils nous font confiance. Contrôle Qualité. Marchés au Bénéfice des collectivités territoriales.
Notre organisation Notre organisation vous permet d avoir un suivi des prestations et une réactivité optimum de notre part. Conseil d Administration / Président Psychologue CRENO Entreprise d Insertion
Plus en détailMesures Agro-Environnementales
02 Mesures Agro-Environnementales LES DISPOSITIFS MAE Dispositif A C est le dispositif national de la Prime Herbagère Agro-Environnementale (PHAE 2). Dispositif B : C est le dispositif de la Mesure Agro
Plus en détailEtablissement Public d Aménagement de la Meuse et de ses Affluents
n 4 juillet 2006 Sommaire : Plan d'actions et de Prévention des Inondations : Expérimentation du logiciel Osiris Meuse Lancement de l'étude globale du bassin amont de la Meuse Lancement de l'étude hydraulique
Plus en détailBanque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale
Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailLa filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque.
La filière noisette : un développement des surfaces est encore possible d après Unicoque. Cette action de diffusion est cofinancée par l Union européenne avec les Fonds Européen Agricole pour le Développement
Plus en détailFiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS
Fiche technique CONSTRUCTION D UNE LAVOGNE SUR LA COMMUNE DE COLLIAS Lavogne : abreuvoir pour les troupeaux établi sur une couche d'argile imperméable. Naturelles à l'origine, elles sont souvent empierrées
Plus en détailSommaire. Message du Président 3. Les 7 enjeux du développement durable 5. Notre Politique, nos actions. Partager une même éthique des affaires 6
Sommaire Message du Président 3 Les 7 enjeux du développement durable 5 Notre Politique, nos actions Partager une même éthique des affaires 6 Garantir et toujours renforcer la sécurité des collaborateurs,
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailLE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE
LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE Contact : LE GRAND LARGE 02.99.20.60.20 contact@legrandlarge-congres.com SOMMAIRE LE DEVELOPPEMENT DURABLE AU GRAND LARGE Pages 1 à 7 ENVIRONNEMENT
Plus en détailLa Charte. forestière. du Pilat. Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt
La Charte forestière du Pilat Un engagement collectif pour une gestion durable de la forêt Réalisation Jecom - RCS 493 898 043 - Avril 2011 - Imprimé sur papier issues de forêts françaises et belges gérées
Plus en détailGuide méthodologique
Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e
Plus en détailNOR : RDFF1503959C. La ministre de la décentralisation et de la fonction publique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 28 juillet 2015 relative aux dispositions applicables en matière de prévention du risque d exposition à l
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailFiscalité environnementale
Secrétariat général Fiscalité environnementale Février 2009 La réforme de la fiscalité environnementale, adoptée dans la loi de finances pour 2009 et la loi de finances rectificative pour 2008, concrétise
Plus en détailAvis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet
Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailBROSSE DE DESHERBAGE
BROSSE DE DESHERBAGE Montage sur plaque de base à l avant d une balayeuse aspiratrice (Réception DRIEE en genre VASP/VOIRIE) Pour éliminer les mauvaises herbes, algues et mousses sur la voirie et les espaces
Plus en détailRemeha ZentaSOL. La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement
Remeha ZentaSOL La nouvelle norme en matière de simplicité, design et rendement ZentaSOL Système de chauffe-eau solaire Remeha ZentaSOL L'énergie solaire est la source de chaleur la plus écologique et
Plus en détailCahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE
Actions Thématiques 2015 : développer les compétences des travailleurs handicapés, usagers des ESAT bas-normands dans la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée, à but non lucratif Cahier des
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailLes mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France
Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement
Plus en détailAfin de répondre aux enjeux environnementaux, sociétaux et éthiques devenus primordiaux dans
Afin de répondre aux enjeux environnementaux, sociétaux et éthiques devenus primordiaux dans notre société, Synchrone technologies est engagée dans une démarche de Responsabilité Sociale et Environnementale.
Plus en détailLa Géosurveillance par Securitas Alert Services
La Géosurveillance par Securitas Alert Services Insert picture in this frame Insert picture in this frame Le leader mondial des solutions de sécurité 12 % des parts de marché dans le monde Nombre de salariés
Plus en détailMaîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise
Artisans, Professionnels, PME, TPE, Collectivités vous êtes concernés! Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Fédération française des sociétés dʼassurances Dans le cadre de la gestion
Plus en détailFORMATION AUX PREMIERS SECOURS
Evènements FORMATION AUX PREMIERS SECOURS Mission Locale du Charolais - 17 rue Jean Bouveri - 71 130 GUEUGNON Structure support du projet Rappel de la mise en place et des objectifs de cette action. L
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailLOCAUX COMMUNS CREATION D'UNE PEPINIERE D'ENTREPRISES ESQUISSE N 2 RDC R+1 R+2 R+3 TOTAL Accueil 47 473 m2 Bureau administration 15 Local repro/archives 12 Petite salle de réunion 35 Salle de conférence
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailOffice bavarois de l environnement
Bayerisches Landesamt für Umwelt Office bavarois de l environnement À propos de nous L Office bavarois de l environnement (Bayerische Landesamt für Umwelt, LfU) est l administration spécialisée centrale
Plus en détailAIDE A LA MOBILITE DU POLE EMPLOI DE ST ASTIER
AIDE A LA MOBILITE DU POLE EMPLOI DE ST ASTIER 1 AIDE AU PERMIS DE CONDUIRE POLE EMPLOI Aide plafonnée à 1200. Avoir une période d'inscription à Pôle Emploi d'au moins 6 mois. Bénéficiaire de l'allocation
Plus en détailQuelques éléments de cadrage
La prise en compte du développement durable passe par la prise en compte de l achat vert qui vise au respect de l environnement mais également de l achat éthique qui veille au respect des droits sociaux
Plus en détailAGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS
Direction des Ressources humaines AGENT DE VOIRIE DANS UN CENTRE D EXPLOITATION DÉPARTEMENTAL POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction des Routes Service : Centre Technique Départemental
Plus en détail