Version non spécialisée des Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la colite ulcéreuse
|
|
- Hubert Simoneau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Version non spécialisée des Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la prise en charge médicale des personnes atteintes de non hospitalisées Décembre 2015 Introduction Les directives en matière de pratique clinique revêtent une grande importance pour les professionnels de la santé, car elles procurent un aperçu d un problème clinique (dans ce cas-ci les personnes atteintes de non hospitalisées) et elles énoncent des recommandations quant à la meilleure manière d assurer la prise en charge médicale d une maladie. Adoptées par consensus, les directives sont élaborées par des experts du secteur des soins de santé qui passent en revue toutes les informations scientifiques actuellement disponibles, arrivent à une entente à leur sujet et formulent des recommandations quant à la stratégie de traitement optimale. Les déclarations et recommandations contenues dans les directives ont pour objet de guider les médecins dans le cadre de leur processus de prise de décisions concernant l utilisation de certains médicaments ou traitements. Elles ne tiennent pas nécessairement compte du fait que la situation d un patient peut présenter certaines caractéristiques uniques qui requièrent une approche différente, chaque patient devant recevoir des soins personnalisés. La relation entre un médecin et un patient est vitale. Ensemble, ils prennent des décisions importantes à propos des plans de traitement. L accès à des informations exactes sur les options de traitement aidera les patients à avoir des discussions éclairées avec leur médecin et à choisir la meilleure voie à emprunter. Lorsque les patients participent vraiment au processus de prise de décisions concernant leur plan de traitement, ils se sentent vraiment parties prenantes et ils sont ainsi davantage susceptibles d observer le plan. Cette version non spécialisée des Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la prise en charge médicale des personnes atteintes de non hospitalisées vise à permettre aux patients de prendre en charge leur santé et de devenir partenaires à parts égales avec leurs fournisseurs de soins.
2 Définitions Les directives en matière de pratique clinique sont rédigées dans un langage hautement scientifique et habituellement, seuls les spécialistes médicaux les comprennent. Nous présentons ci-dessous des définitions concernant les aspects les plus importants des directives, l objectif étant que les patients les saisissent mieux. Définition de la Les recommandations présentées dans les directives sont divisées en différentes catégories, chacune étant fonction de l étendue de la maladie, dans ce cas-ci la. Il est important de comprendre d abord toutes ces catégories avant de se pencher sur les médicaments recommandés pour chacune d elles. La se divise en trois catégories, chacune étant fondée sur la partie de l intestin qui est touchée : Côlon transverse Angle splénique 1. Proctite ulcéreuse : L inflammation se limite au rectum. Habituellement, on considère qu il s agit d une forme plus bénigne de la maladie. 2. Colite ulcéreuse du côté gauche : Il y a présence d inflammation continue, laquelle commence au rectum et peut s étendre jusqu à l angle situé dans le côlon près de la rate (appelé l angle splénique). Côlon ascendant Rectum Intestin grêle Côlon descendant 3. Colite étendue : L inflammation s étend au-delà de l angle splénique. Définition de la gravité de la Tout au long des directives, il est aussi question de la gravité de la, laquelle se divise dans les catégories suivantes : légère, ou grave. Les médecins se servent d une carte de pointage pour déterminer le degré de gravité en fonction de quatre paramètres. Il incombe au patient de fournir les renseignements nécessaires pour les deux premiers : 1. Fréquence des selles : a. Nombre normal de selles (selon le nombre observé lorsque la maladie est en rémission) b. Une ou deux selles de plus que la normale c. Trois ou quatre selles de plus que la normale d. Au moins cinq selles de plus que la normale 2. Saignements rectaux : a. Pas de sang observé
3 b. Traînées de sang présentes dans les selles moins de la moitié du temps c. Présence manifeste de sang dans les selles la plupart du temps d. Seul du sang est expulsé Les deux autres paramètres sont utilisés par les médecins dans le cadre de l évaluation globale du degré de gravité de la maladie : 3. Conclusions de l endoscopie (définies ci-dessous) a. Maladie normale/inactive b. Légère c. Modérée d. Grave 4. Évaluation globale du médecin a. Dans cette section, le médecin donne un pointage qui prend en compte le sentiment de bien-être général du patient. Le pointage numérique global (basé sur la fréquence des selles, les saignements rectaux, les conclusions de l endoscopie et l évaluation globale du médecin) permet de déterminer si le degré de gravité de la est léger, modéré ou grave. Définition de la rémission L obtention de la rémission totale de la maladie constitue le résultat optimal ou le meilleur résultat recherché dans le cadre du traitement de la. Il existe deux différentes formes de rémission, définies ci-dessous : 1. Rémission des symptômes : Il y a eu amélioration significative des symptômes, d après le patient et le médecin. Cela comprend normalement une fréquence normale des selles (moins de trois par jour) et l absence de sang dans les selles. 2. Rémission complète : Il s agit du résultat souhaité. Cela comprend à la fois la rémission des symptômes et la rémission endoscopique. Pour établir s il y a rémission endoscopique, on recourt à une procédure portant le nom d endoscopie (définie ci-dessous). Évaluation de l efficacité du traitement 1. Endoscopie Dans le cadre de cette procédure, le médecin peut voir si la paroi interne du côlon a «guéri». Cela porte le nom de guérison de la muqueuse intestinale. La coloscopie et la sigmoïdoscopie sont des types particuliers de procédures endoscopiques qui servent à évaluer la guérison de la muqueuse intestinale. Souvent, les médecins effectuent une endoscopie lorsqu il faut prendre des décisions importantes concernant de possibles changements de médicaments. 2. Pharmacovigilance thérapeutique Il s agit d un test servant à mesurer la quantité de médicament présente dans le sang d un patient pour garantir que la dose est adéquate.
4 Médicaments Ces directives en matière de pratique clinique mettent l accent sur cinq grandes catégories de médicaments, définies ci-dessous : 1. Acide 5-aminosalicylique (5-ASA) : Ces médicaments sont habituellement désignés sous le nom «anti-inflammatoires» et leur action consiste à limiter la production de certaines substances chimiques qui déclenchent l inflammation. Les médicaments faisant partie de cette catégorie comprennent les mésalamines (Asacol MD, Mezavant MD, Pentasa MD, Salofalk MD et Sulfasalazine MD ). 2. Corticostéroïdes : Ces médicaments servent à réduire l inflammation. Les médicaments faisant partie de cette catégorie comprennent la prednisone et l hydrocortisone. 3. Immunosuppresseurs : Ces médicaments réduisent l inflammation dans l intestin par la suppression du système immunitaire. Le méthotrexate, l azathioprine (Imuran MD ) et la 6-mercaptopurine (Purinethol MD ) sont des exemples d immunosuppresseurs. L azathioprine et la 6-mercaptopurine sont étroitement liées et elles appartiennent à une catégorie d immunosuppresseurs appelée thiopurines. 4. Traitements anti-tnf (facteur de nécrose tumorale) : Ces médicaments ciblent et bloquent les molécules en cause dans l inflammation. Les traitements anti-tnf sont des médicaments biologiques. À titre d exemples, mentionnons l adalimumab (Humira MD ), l infliximab (Remicade MD ) et le golimumab (Simponi MD ). 5. Autres traitements : Un autre type de traitement biologique est le bloqueur d intégrine vedolizumab (Entyvio MD ). Directives applicables au traitement de la Dans la plupart des cas, la prise en charge de la met en œuvre une approche thérapeutique à intensité progressive. Cela signifie que lorsqu un traitement initial cesse de fonctionner (ou ne fonctionne pas dès le départ), les patients essaient le groupe de médicaments suivants. On espère que ces médicaments seront d une plus grande efficacité dans le cadre du traitement du patient, mais ils sont également plus coûteux et/ou peuvent augmenter la possibilité d effets secondaires. Habituellement, dans le cadre de l approche à intensité progressive, un patient commence son cheminement à partir de l intensité la plus faible. Dans le cas des patients souffrant d une forme plus grave de la maladie, il peut s avérer nécessaire de commencer à une intensité plus élevée. Les directives en matière de traitement sont organisées par types de traitements. Elles procurent également des recommandations quant au dosage, au moment où il convient d évaluer l efficacité du traitement et aux mesures à prendre si la maladie progresse ou si la rémission est obtenue.
5 Recommandations concernant l acide 5-aminosalicylique (5-ASA) Le traitement au moyen du 5-ASA représente habituellement le traitement de première intention auquel on recourt dans le cas des patients souffrant d une active de légère à pour obtenir une rémission complète. Étapes du traitement Proctite ulcéreuse de légère à Colite du côté gauche de légère à Colite ulcéreuse de légère à de toute étendue au-delà de la proctite Colite ulcéreuse de légère à de toute étendue au-delà de la proctite Évaluation Recommandation Rémission obtenue Proctite ou du côté gauche de légère à Proctite ou du côté gauche de légère à Proctite ou du côté gauche de légère à Évolution de la maladie Dosage Directives applicables à la prise d acide 5-aminosalicylique (5-ASA) La prise d un suppositoire de 5-ASA (1 gramme par jour) est recommandée comme traitement initial en vue de l obtention de la rémission des symptômes. Un lavement de 5-ASA (minimum de 1 gramme par jour) est recommandé comme traitement initial en vue de l obtention d une rémission complète. Une préparation de 5-ASA orale (dosage allant de 2,0 à 4,8 grammes/jour) est recommandée comme option de traitement initiale en vue de l obtention d une rémission complète. Sinon, il est préférable d utiliser une combinaison de 5-ASA oral et rectal plutôt que le 5-ASA oral seul en vue de l obtention d une rémission complète. Il faudrait procéder à une évaluation des patients de quatre à huit semaines après qu ils aient commencé le traitement au 5-ASA oral et/ou rectal pour déterminer s ils répondent au traitement ou s il faut changer de traitement. Les patients chez qui une rémission est obtenue par la prise de 5- ASA oral et/ou rectal doivent continuer le même traitement quotidiennement pour le maintien d une rémission complète. Les patients chez qui une rémission est obtenue par la prise de 5- ASA oral seul doivent continuer ce traitement (dosage d au moins 2,0 grammes/jour) pour le maintien d une rémission complète. Dans le cas des patients qui n éprouvent pas de symptômes en prenant des corticostéroïdes oraux et qui n ont pas pris de 5-ASA par le passé, on suggère la prise d un médicament à base de 5-ASA oral (dosage d au moins 2,0 grammes/jour) pour permettre de déterminer si la rémission complète peut être maintenue sans recours à d autres corticostéroïdes. Si un patient atteint de n a pas répondu à un traitement au moyen d un médicament à base de 5-ASA oral, il n est pas recommandé de passer à une autre préparation de ce type pour obtenir une rémission. Il est suggéré d utiliser une seule dose de médicament à base de 5-ASA par jour plutôt que des doses plus fréquentes pour obtenir ou maintenir une rémission complète de la. Cette manière de faire est plus pratique et peut favoriser une meilleure observation du traitement, ce qui comprend moins de doses manquées.
6 Recommandations concernant les corticostéroïdes Les corticostéroïdes sont utilisés de plusieurs manières différentes et dans le cadre de plusieurs étapes différentes de l approche thérapeutique à intensité progressive pour la prise en charge de la colite ulcéreuse. Les corticostéroïdes ne sont pas destinés à un usage à long terme, mais ils peuvent être très avantageux à certains moments. Étapes de traitement Colite ulcéreuse de à grave Colite ulcéreuse de légère à Évolution de la maladie Colite ulcéreuse de légère à Proctite ou du côté gauche de légère à Rémission obtenue Évaluation Recommandation Directives applicables aux corticostéroïdes La prise d un corticostéroïde oral est recommandée comme traitement initial en vue de l obtention d une rémission complète. La prise de Budésonide MMX par voie orale est recommandée comme traitement initial de rechange en vue de l obtention d une rémission complète. Les patients qui n ont pas répondu au traitement au moyen du 5- ASA doivent passer à un corticostéroïde oral en vue de l obtention d une rémission complète. Les patients qui n ont pas répondu au traitement au moyen d un médicament à base de 5-ASA rectal doivent passer à un corticostéroïde rectal en vue de l obtention d une rémission complète. Il n est pas recommandé d utiliser des corticostéroïdes oraux en vue du maintien de la rémission complète, car au long terme, ils sont inefficaces et ils s accompagnent d autres effets secondaires graves. Il faudrait procéder à une évaluation des patients deux semaines après qu ils aient commencé le traitement aux corticostéroïdes pour déterminer s ils répondent au traitement ou s il faut changer de traitement. Recommandations concernant les immunosuppresseurs Les immunosuppresseurs sont habituellement utilisés pour la prise en charge de la active de à grave. À l instar des autres catégories de médicaments, les immunosuppresseurs sont aussi utilisés principalement dans le but de faire passer un patient à la rémission. Ils servent également à réduire ou à éliminer le besoin de recourir au traitement aux corticostéroïdes. Étapes de traitement ulcéreuse chez qui est obtenue une rémission des symptômes au moyen de corticostéroïdes Directives applicables aux immunosuppresseurs Le traitement à la thiopurine seul n est pas recommandé pour l obtention d une rémission complète. Dans le cas de certains patients qui sont arrivés à une rémission des symptômes au moyen de corticostéroïdes oraux, la thiopurine peut représenter une option pour le maintien d une rémission complète sans recours aux corticostéroïdes.
7 Le traitement au méthotrexate seul n est pas recommandé pour l obtention ou le maintien d une rémission complète. Recommandations concernant le traitement anti-tnf Il existe différents types de produits biologiques anti-tnf; discutez avec votre médecin pour déterminer quelle est l option la plus appropriée pour vous. Étapes de traitement ulcéreuse qui ne répondent pas aux thiopurines ou aux corticostéroïdes ulcéreuse commençant à prendre des anti-tnf pour la première fois ulcéreuse qui ont développé une dépendance aux corticostéroïdes Évaluation Recommandation Rémission obtenue Évolution de la maladie Dosage Directives applicables au traitement anti-tnf Le traitement anti-tnf est recommandé en vue de l obtention d une rémission complète chez les patients qui ne répondent pas aux thiopurines ou aux corticostéroïdes. Lorsque le patient prend des anti-tnf pour la première fois, il est recommandé de les combiner à de la thiopurine ou à du méthotrexate plutôt que de les utiliser seuls en vue de l obtention d une rémission complète. Le traitement anti-tnf est recommandé en vue de l obtention et du maintien d une rémission complète sans recours aux corticostéroïdes. Il faudrait procéder à une évaluation des patients de huit à 12 semaines après qu ils aient commencé le traitement anti-tnf pour déterminer s ils répondent au traitement ou s il faut changer de traitement. Les patients chez qui une rémission est obtenue au moyen du traitement anti-tnf doivent continuer ce traitement pour le maintien d une rémission complète. Dans le cas des patients qui n ont pas répondu adéquatement au traitement anti-tnf, il faut ajuster (augmenter) la dose en vue de l obtention d une rémission complète. Dans le cas des patients qui cessent de répondre au traitement anti-tnf, il faut accroître la dose et/ou la fréquence de la prise du médicament en vue de l obtention d une rémission complète. En vue de déterminer la dose optimale d anti-tnf à utiliser dans le cadre du traitement, il faut recourir à la pharmacovigilance thérapeutique lorsque cela est possible.
8 Recommandations concernant les autres médicaments Le vedolizumab constitue un autre médicament biologique dont le mode d action diffère de celui des anti-tnf et il représente le degré le plus élevé de l approche thérapeutique à intensité progressive. Étapes de traitement ulcéreuse qui ne répondent pas à un traitement anti-tnf ulcéreuse qui cessent de répondre à un traitement anti-tnf Colite ulcéreuse de à grave Évaluation Recommandation Rémission obtenue Directives applicables aux autres médicaments Dans le cas des patients qui ne répondent pas à un traitement anti-tnf donné, il est recommandé de recourir au vedolizumab plutôt que de passer à un autre traitement anti-tnf, en vue de l obtention d une rémission complète. Dans le cas des patients qui cessent de répondre à un traitement anti-tnf, d après les résultats de la pharmacovigilance thérapeutique, il est recommandé de passer à un autre traitement anti-tnf ou au vedolizumab en vue de l obtention d une rémission complète. Le vedolizumab est recommandé pour l obtention d une rémission complète chez les patients qui n ont pas répondu aux corticostéroïdes, aux thiopurines ou aux traitements anti-tnf. Il faudrait procéder à une évaluation des patients de huit à 14 semaines après qu ils aient commencé le traitement au vedolizumab pour déterminer s ils répondent au traitement ou s il faut changer de traitement. Les patients chez qui une rémission est obtenue au moyen du vedolizumab doivent continuer ce traitement pour le maintien d une rémission complète. Les deux traitements qui suivent, à savoir la transplantation fécale et les probiotiques, ne sont pas encore éprouvés scientifiquement; c est pourquoi il est recommandé de ne les utiliser qu en contexte d essais cliniques. Autres traitements Le recours à la transplantation fécale (ou thérapie fécale) n est pas recommandé pour l obtention ou le maintien d une rémission complète, sauf si cela se fait dans le cadre d un essai clinique. Le recours aux probiotiques n est pas recommandé pour l obtention ou le maintien d une rémission complète, sauf si cela se fait dans le cadre d un essai clinique. Conclusion Dans le cadre du traitement des patients atteints de, les professionnels de la santé poursuivent plusieurs objectifs, notamment amener la maladie des patients en état de rémission complète, réduire le recours aux corticostéroïdes, éviter les opérations et faire en sorte que la rémission
9 soit maintenue. Les résultats de travaux de recherche démontrent que plus les patients ont leur mot à dire quant à leur santé, plus ils sont susceptibles de devenir partenaires à parts égales avec leurs fournisseurs de soins et d observer leur traitement. Crohn et Colite Canada est ravie d avoir élaboré cette version non spécialisée des Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la prise en charge médicale des personnes atteintes de non hospitalisées. Le document vise à permettre aux patients de prendre en charge leur santé et de devenir partenaires à parts égales avec leurs fournisseurs de soins. Il est important de se rappeler, toutefois, que ces directives particulières ne traitent ni des opérations que les patients pourraient subir, ni de l hospitalisation des patients en raison de leur. En outre, les directives ne traitent pas des questions reliées à la «qualité de vie», de manière plus précise les facteurs environnementaux, la gestion du stress et la gestion des symptômes par le recours à certaines habitudes alimentaires. Mise en garde Les directives en matière de pratique clinique ne visent pas à remplacer les avis médicaux. Consultez votre professionnel de la santé avant d apporter tout changement à votre traitement, y compris y mettre fin. Remerciements Crohn et Colite Canada aimerait remercier les membres du groupe de travail responsable de l élaboration de la version non spécialisée des directives, qui ont apporté leur contribution à la préparation dudit document : D re Hillary Steinhart (gastroentérologue), D r John Marshall (gastroentérologue), Karen Frost (infirmière praticienne), Barbara Currie (infirmière praticienne), Joanna Valsamis (représentante non spécialisée) et Dara Willis (représentante non spécialisée). Nous aimerions également souligner que ces directives non spécialisées ont été élaborées à partir des Directives canadiennes en matière de pratique clinique applicables à la prise en charge médicale des personnes atteintes de non hospitalisées produites et publiées par L Association Canadienne de Gastroentérologie. i L élaboration de la version non spécialisée de ces directives en matière de pratique clinique a été rendue possible grâce à des subventions sans restrictions d AbbVie Canada, de Janssen Inc, de Shire Pharma Canada ULC et de Takeda Canada. i Bressler, B., Marshall, JK., et coll. Clinical Practice Guidelines for the Medical Management of Nonhospitalized Ulcerative Colitis: The Toronto Consensus. Gastroenterology. 2015, Volume 148, Numéro 5,
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailComprendre la COLITE ULCÉREUSE
Comprendre la Qu est-ce que la colite ulcéreuse? La colite ulcéreuse est une affection chronique du gros intestin (côlon). L appareil digestif (y compris l estomac, les petit et gros intestins) transforme
Plus en détailLettre circulaire aux Gastro-Entérologues
Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision
Plus en détailMaladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale
World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale juin 2009 Reviewers Dr. Charles N. Bernstein (président, Canada) Prof. Michael
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailLa recto-colite hémorragique
La recto-colite hémorragique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailPratiques exemplaires pour les soins des mii Prendre des mesures pour introduire un modèle intégré de soins multidisciplinaires axés sur le patient
Pratiques exemplaires pour les soins des mii Prendre des mesures pour introduire un modèle intégré de soins multidisciplinaires axés sur le patient COMPRENDRE. prendre contrôle. mieux vivre. CDHF.ca Pratiques
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailDictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013
Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Normes et soumission de données Notre vision De meilleures données
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailQuelle est l incidence
Printemps 2012 Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance-? Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance?
Plus en détailLa présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :
Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailExemple de recherche documentaire
Exemple de recherche documentaire Étape 1 : Préparer le plan de recherche Démarrez votre recherche en écrivant clairement votre sujet (formuler une question si nécessaire), en identifiant les concepts
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailMALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :
DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailCécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.
Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME
LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailUne infirmière re clinicienne en et soins de. Stomathérapie. fonction? L infirmière. re «clinicienne?» Rôle de l infirmil. ressource?
Une stomathérapie et soins de plaies : intérêt d une d telle fonction? Marie Magdeleine lefort ULB Erasme re «clinicienne?» re praticienne «nurse practitioner» Prise en charge de pathologies spécifiques
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailINFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE
INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailJanvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA
Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER
Plus en détailInventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)
Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si
Plus en détailRéseau ONE Network. Sommaire de l évaluation de l impact sur la vie privée
Réseau ONE Network Sommaire de l évaluation de l impact sur la vie privée Avis de droit d auteur Copyright 2012, cybersanté Ontario Tous droits réservés Toute reproduction d'un extrait quelconque du présent
Plus en détail{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014
Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA
Plus en détailQUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?
QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détail«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»
«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailFormulaire de demande du programme de bourses d études AbbVie 2015
Formulaire de demande du programme de bourses d études AbbVie 2015 Description du programme Crohn et Colite Canada offrira dix (10) bourses uniques d une valeur maximale de 5 000 $CAN à des étudiants vivant
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailBrûlures d estomac. Mieux les comprendre pour mieux les soulager
Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Définition et causes Brûlures d estomac Mieux les comprendre pour mieux les soulager Vous arrive-t-il de ressentir une douleur à l estomac
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailExemples de textes explicatifs
Exemples de textes explicatifs 1. Lis le texte explicatif suivant et, avec tes camarades, réponds aux questions portant sur les caractéristiques de ce type de texte. Pourquoi il nous faut notre dose quotidienne
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailPrésenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie
Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:
Plus en détailProgramme de certification sans gluten. Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque
Bienvenue Jim McCarthy Directeur général Association canadienne de la maladie cœliaque Le droit à la sécurité alimentaire et le Programme de certification sans gluten QMI-SAI Global Symposium sur la sécurité
Plus en détailDemande de règlement d invalidité de longue durée
Régime d assurance pour les cadres de gestion de la Fonction publique Demande de règlement d invalidité de longue durée Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. Police collective n
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailBulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,
Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détail2011-2012 RAPPORT D ACTIVITÉS. 6020 rue Jean-Talon Est, bur. 400, Montréal (Québec) H1S 3B1 514 341-7272 1 877 341-7272 www.moelleepiniere.
2011-2012 RAPPORT D ACTIVITÉS 6020 rue Jean-Talon Est, bur. 400, Montréal (Québec) H1S 3B1 514 341-7272 1 877 341-7272 www.moelleepiniere.com Ce rapport a été rendu possible grâce au travail des personnes
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailQue sont les. inhibiteurs?
Que sont les inhibiteurs? TABLE DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2010 La FMH encourage la redistribution de ses publications à des
Plus en détailQui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés?
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Qui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés? Donna Cousineau Infirmière en pratique avancée Hôpital Carleton Queensway Le 12 décembre
Plus en détailREER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix?
REER, CELI ou prêt hypothécaire : comment faire le bon choix? Jamie Golombek L épargne est une pratique importante. Elle nous permet de mettre de côté une partie de nos revenus actuels afin d en profiter
Plus en détailLE REFLUX ACIDE ET LE RGO
LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de
Plus en détailL informateur. financier. Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie. mai 2002. Les choses changent. Vous devez savoir.
L informateur financier DU GROUPE-CONSEIL EN PROTECTION DU PATRIMOINE MD À LA FINANCIÈRE SUN LIFE Protection contre les créanciers offerte par l assurance-vie mai 2002 Les choses changent. Vous devez savoir.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailConseils pour réaliser un tableau de sortie
Conseils pour réaliser un tableau de sortie Ne pas oublier d adapter le langage au patient ou à l institution! Attention au langage trop scientifique ; mais rester cependant clair et précis ; faire passer
Plus en détailSection narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario
Section narrative du plan d'amélioration de la qualité (PAQ) pour les organismes de soins de santé de l'ontario Centre d accès aux soins communautaires du Nord-Est Approuvé par le conseil d administration
Plus en détailL INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE
Pour faciliter la lecture de ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailHiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes
Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailLES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1
LES BASES JURIDIQUES DE LA RESPONSABILITE & DE L ASSURANCE EN MATIERE DE RECHERCHE BIOMEDICALE DIU-FARC-TEC 04/11/2009 1 1ère Partie : La recherche biomédicale en France Historique Responsabilité et Assurance
Plus en détailPlan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques
Plan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques Jacinthe Savard, inf. M. Sc. Andrée-Anne Picard, inf. B. Sc. AEESICQ St-Jean-sur-Richelieu 2009 Plan de présentation Activités d apprentissage et
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailLoi 41. GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens
Loi 41 GUIDE D EXERCICE Les activités réservées aux pharmaciens AVIS Ce guide ne se substitue pas aux lois, aux règlements ou au jugement des professionnels de la santé. Il représente l état actuel du
Plus en détailMANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 138 : MAI 2003 LINE FONTAINE, PHARMACIENNE INSPECTEURE-CONSEILLÈRE PROFESSIONNELLE MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE La diversité et la quantité de médicaments
Plus en détailLUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL
LUMIÈRE NATURELLE BIEN-ÊTRE ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL 1 Lumière naturelle SOMMAIRE Introduction La lumière naturelle est essentielle Les effets sur la santé et le bien-être Les effets sur la sécurité et performance
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailLa Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers
Votre assurance soins médicaux et soins dentaires collective prendra-t-elle fin prochainement? Nous avons des solutions. Les régimes sont établis par La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers On tient
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?
Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur
Plus en détailPRECISION ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION. mensuel PRECISION
mensuel Nouvelles sur la recherche, l éducation et la défense du dossier de l arthrite : juin/juillet 2014 ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION Dans ce numéro du Mensuel JointHealth, nous regardons de plus près
Plus en détailLA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE
Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détail