ETUDE RELATIVE AUX MODES DE GESTION POSSIBLES DES SERVICES DE L EAU POTABLE À L ÉCHELLE DU BASSIN RENNAIS
|
|
- Pascal Roussel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ETUDE RELATIVE AUX MODES DE GESTION POSSIBLES DES SERVICES DE L EAU POTABLE À L ÉCHELLE DU BASSIN RENNAIS Réunion du comité de pilotage du 13 février 2012
2 I. L étude doit aider le SMPBR à conforter sa vision stratégique 1 Y a-t-il une volonté du SMPBR de renforcement de son intercommunalité de moyens? Quelle stratégie d intercommunalité pour une mutualisation de moyens optimisée? 2 3 Quel champ d intervention de la SPL projetée? 4 Quels coactionnaires possibles / pertinents / intéressés? 5 Quel choix de mode de gestion pour le service public de production d eau potable du SMPBR? Hors scope de l étude Vision stratégique : quel avenir et quels contours géographiques et fonctionnels pour le SMPBR à l horizon 1 er janvier 2015? Oui Mise en commun de moyens dans le respect des entités actuelles et des compétences de chacune : l outil SPL Plus de compétences transférées au SMPBR Extension du territoire sur la compétence production Oui (et lesquelles) Non Oui Non Production Eau potable Production + Distribution Eau potable Collecte Eaux usées Traitement Eaux usées Identification des partenaires potentiels Identification des conditions d intérêt du projet pour ces partenaires Ces conditions sont-elles conciliables avec l intérêt du SMPBR? Accord à trouver sur le tour de table et les modalités de gouvernance de la SPL Régie avec prestations de services en inhouse Toutes les collectivités actionnaires de la SPL optent-elles pour le même mode de gestion? DSP passée en in-house Régie à autonomie financière ou personnalité morale Non DSP
3 II. L étude doit permettre d identifier des pistes possibles de renforcement de la gestion publique de l eau sur le Bassin Rennais Hypothèse 1 : Création d une SPL se voyant attribuer par ses actionnaires des prestations ou DSP en inhouse sur un ou plusieurs champs de compétences Quelles compétences conservées par chaque Autorité Organisatrice du service (les actionnaires)? Quels enjeux de montée en puissance de la SPL (phasage des fins de contrat)? Quelle stratégie d Internalisation / Externalisation au sein de la SPL? Quels enjeux sur le volet organisation / «tuilage» / RH? Quels enjeux sur le volet financier / budgétaire? Evaluation de la capacité d évolution de l «outil» Hypothèse 2 : Passage en régie du SMPBR sans création d une SPL Quels enjeux de montée en puissance de la régie (phasage des fins de contrat)? Quelle stratégie d Internalisation / Externalisation pour la régie? Quels enjeux sur le volet organisation / «tuilage» / RH? Quels enjeux sur le volet financier / budgétaire? Evaluation de la capacité d évolution de l «outil»
4 III. L étude doit fournir au SMPBR des retours d expérience lui permettant d asseoir sa réflexion sur des cas concrets Retour d expérience n 1 : Hypothèse 1 : Création d une SPL se voyant attribuer par ses actionnaires des prestations ou DSP en inhouse sur un ou plusieurs champs de compétences SPL Eau du Ponant (Brest) Retour d expérience n 2 : SPL Eau de Barousse Retour d expérience n 3 : Autres exemples européens Retour d expérience n 1 : Hypothèse 2 : Passage en régie du SMPBR sans création d une SPL Cas du SDEA (Bas-Rhin) Retour d expérience n 2 : Eau de Paris
5 III. L étude doit fournir au SMPBR des retours d expérience lui permettant d asseoir sa réflexion sur des cas concrets Retour d expérience n 1 : Hypothèse 1 : Création d une SPL se voyant attribuer par ses actionnaires des prestations ou DSP en inhouse sur un ou plusieurs champs de compétences SPL Eau du Ponant (Brest) Retour d expérience n 2 : SPL Eau de Barousse Retour d expérience n 3 : Autres exemples européens Retour d expérience n 1 : Hypothèse 2 : Passage en régie du SMPBR sans création d une SPL Cas du SDEA (Bas-Rhin) Retour d expérience n 2 : Eau de Paris
6 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (1/7) 90% <5% SPL Eau du Ponant Capital social : 1 M ( actions x 10 ) Date de création : janvier 2011 Activités : production-distribution d eau / assainissement (BMO uniquement) Cadre contractuel : BMO : concessions de 99 ans pour l Eau et l Assainissement SIDEP Landerneau : affermage AEP 12 ans SIDEP Kermorvan : affermage AEP 12 ans + Maîtrise d œuvre + petits travaux 1,5% <5% Source:
7 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (2/7) Lancement du projet SPL : juin Rétro-planning sur 2 ans (fin des contrats liant BMO à VEOLIA Eau au 31/03/2012) Désignation d un Directeur de Projet appelé à prendre la tête de la SPL : M. Clément Formalisation de la décision politique et création de la SPL : 2 ème semestre 2010 A noter : organisation de 5-6 séminaires d une journée pendant l été 2010 pour faire aboutir les élus des quatre entités sur un projet de statuts consensuel Mise en place de l équipe projet et lancement des différents modules nécessaires à la prise en main des services : «les enjeux de changement et d intégration étaient tels qu ils devaient nécessairement être portés par une dynamique interne» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Sécurisation de la relation partenariale avec le délégataire sortant dans le cadre d un avenant de fin de contrat : «l un des facteurs clés de succès de l ensemble du projet» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Source: Entretiens Eau du Ponant ; VEOLIA Eau
8 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (3/7) Lancement du projet SPL : juin Rétro-planning sur 2 ans (fin des contrats liant BMO à VEOLIA Eau au 31/03/2012) Désignation d un Directeur de Projet appelé à prendre la tête de la SPL : M. Clément Formalisation de la décision politique et création de la SPL : 2 ème semestre 2010 A noter : organisation de 5-6 séminaires d une journée pendant l été 2010 pour faire aboutir les élus des quatre entités sur un projet de statuts consensuel Mise en place de l équipe projet et lancement des différents modules nécessaires à la prise en main des services : «les enjeux de changement et d intégration étaient tels qu ils devaient nécessairement être portés par une dynamique interne» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Sécurisation de la relation partenariale avec le délégataire sortant dans le cadre d un avenant de fin de contrat : «l un des facteurs clés de succès de l ensemble du projet» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Source: Entretiens Eau du Ponant ; VEOLIA Eau
9 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (4/7) Démarrage de l équipe projet : 6 cadres à plein temps à compter de janvier 2011 (recrutement 100% interne) montée en puissance progressive au fur et à mesure du passage des jalons de projet Parcours : Ingénieur des Mines ; M. Clément - Directeur de la SPL Postes occupés au sein de La Poste puis de la DCN de Brest expérience des changements de statut et des réorganisations menées dans ces deux établissements publics Arrivée à la Direction de l Eau et de l Assainissement de BMO en novembre 2008 Passage à quasi-100% sur le projet SPL dès le mois de juin 2010 Responsable Systèmes d information Responsable Ressources Humaines Responsable Finance / Contrôle de Gestion / Achats Responsable Réseaux et Installations Responsable Relations usagers Mise en place des systèmes d information (RH, Finance, Gestion Clientèle, Gestion production ) Choix du progiciel de gestion Wat.erp (SOMEI) pour la gestion de la relation client Source: Entretien Eau du Ponant 140 entretiens pour préparer les 140 contrats d embauche (80 p. de chez VE, 30 p. en détachement + 30 p. recrutées) Négociations amont avec les Syndicats de VE pour préparer l accord d entreprise Passation des marchés de soustraitance Mise en place des outils de reporting A noter : ¾ de l activité de la SPL est sous-traité, donc acheté à des entreprises Passation de deux marchés de prestations de services de 6 ans avec VE pour l exploitation des ouvrages de production EP et des postes et STEP (Assainissement BMO) Pilotage de la mission «réversibilité du service» confiée à VE dans le cadre de l avenant de fin de contrat Prise en main progressive de la gestion
10 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (5/7) Lancement du projet SPL : juin Rétro-planning sur 2 ans (fin des contrats liant BMO à VEOLIA Eau au 31/03/2012) Désignation d un Directeur de Projet appelé à prendre la tête de la SPL : M. Clément Formalisation de la décision politique et création de la SPL : 2 ème semestre 2010 A noter : organisation de 5-6 séminaires d une journée pendant l été 2010 pour faire aboutir les élus des quatre entités sur un projet de statuts consensuel Mise en place de l équipe projet et lancement des différents modules nécessaires à la prise en main des services : «les enjeux de changement et d intégration étaient tels qu ils devaient nécessairement être portés par une dynamique interne» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Sécurisation de la relation partenariale avec le délégataire sortant dans le cadre d un avenant de fin de contrat : «l un des facteurs clés de succès de l ensemble du projet» (Monsieur Clément, directeur de la SPL) Source: Entretiens Eau du Ponant ; VEOLIA Eau
11 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (6/7) Stratégie SPL Eau du Ponant : Internaliser au maximum le métier avec l assistance de VE pour bâtir les outils et protocoles d exploitation Contractualiser le transfert de savoir-faire Sécuriser la gestion des ouvrages stratégiques (usines) Stratégie de VE : Accompagner intelligemment la SPL tout au long du processus afin de rester un prestataire fiable pour le futur Signature en janvier 2011 d un avenant de fin de contrat prévoyant l achat à VEOLIA Eau par les collectivités d une prestation de réversibilité (4 M ) : Conception de logiciels / progiciels d exploitation ad hoc par les équipes informatiques de VEOLIA Eau pour le compte de la SPL Recrutement par VE d une équipe de chargés de clientèle et formation aux méthodes du Centre Relations Clients de VE en vue d un transfert de l équipe à la SPL (gestion de la relation clients) Source: Entretiens Eau du Ponant ; VEOLIA Eau
12 Retour d expérience n 1 : SPL Eau du Ponant (7/7) Les 80 personnes transférées de VE à Eau du Ponant concernent les activités Réseaux et Clientèle Agents transférés : équipes opérationnelles + encadrement intermédiaire 72 personnes 30 fontainiers / agents techniques de réseau AEP/EU en charge de la maintenance, de la détection de fuites, 30 agents travaux et réparations réseaux AEP/EU 12 personnes en gestion clientèle (releveurs, chargés clientèle back-office / front-office) Equipe de 8 personnes recrutées et formées pour constituer le futur Centre Service Clients de la SPL SPL Eau du Ponant Choix de la convention collective des entreprises de l eau Réunions de travail Amont avec les organisations syndicales de VE pour préparer un futur accord d entreprise préservant les acquis sociaux des salariés transférés (15 mois de discussion sur le sujet) VEOLIA Eau Annonce du transfert de personnels au Comité d Entreprise Région Ouest Etablissement de la liste des personnels transférables Autorisation des négociations amont menées entre la SPL et les délégués syndicaux au sein de VE. Réalisation de 140 entretiens individuels dont 80 avec les personnels de VE transférés Rédaction des nouveaux contrats de travail Risque latent : que se passe-t-il si les élus syndicaux actuels chez VE ne sont pas reconduits à la SPL?
13 Retour d expérience n 2 : SPL des Eaux de Barousse Comminges Save (1/2) Syndicat des Eaux de Barousse Comminges Save Historique: le Syndicat des Eaux de Barousse Comminges Save était déjà(et est toujours) actionnaire d une SEM qui gérait l eau potable d une partie de son territoire et était en régie pour l autre partie de son territoire (difficulté d intégrer les Communes nouvellement adhérentes au Syndicat dans l ancien contrat de DSP SEM). 98% 2% Syndicat des Eaux de Barousse Comminges Save Le CG du Gers participe à la SPL au titre de sa «clause de compétence générale». Compte tenu des modifications institutionnelles de la loi de 2010, il existe une incertitude quant à la légitimité de cette participation à l horizon En revanche, un accord pourrait être trouvé avec des Communes ou Communautés de Communes dont la compétence assainissement n a pas été transférée au Syndicat. Carte : les Communes membres du Syndicat des eaux de Barousse Comminges Save SPL Eaux de Barousse Comminges Save Capital social : 460 K Date de création : 3 décembre 2010 Activités : production-distribution d eau / assainissement Avancement du projet à décembre 2011 : reprise par la SPL de l ensemble des activités gérées initialement par la régie d eau (80 Communes) et d assainissement. Aujourd hui le territoire du Syndicat est donc pour partie exploité par une SEM et pour l autre exploité par une SPL. A terme le Syndicat envisage de transférer complètement l exploitation de son service à la SPL. Salariés: 48 (dont environ 42 agents fonctionnaires en mise à disposition et 6 agents salariés du droit privé. Source : ; entretien avec la SPL
14 Retour d expérience n 2 : SPL des Eaux de Barousse Comminges Save (2/2) La reprise du personnel salarié de droit privé selon l article L anciennement L du Code du Travail, s est faite uniquement depuis les régies d eau et d assainissement vers la SPL. Ce sont donc pour l essentiel des agents ayant choisi la mise à disposition pendant 3 ans. Initialement, en 2000, lors de la création de la régie d eau, certaines des 80 Communes concernées avaient des contrats de délégation et il a fallu reprendre les personnels transférables. Cependant, à l époque le Syndicat assisté d un avocat avait la faculté d une reprise plus «modulable». Les contrats de travail transférés ont donc été assez largement négociés. Les difficultés pratiques rencontrées dans la mise en œuvre se sont essentiellement concentrées sur la partie facturation (modification des références bancaires liées à la facturation). Il a fallu en effet demander aux abonnés qui avait opté pour une gestion automatisée du paiement de leur facture (prélèvement automatique, virement..) de donner à nouveau l ensemble des pièces nécessaires au maintien de ce mode de paiement et intervenir auprès des banques ce qui a nécessité beaucoup de gestion administrative et une réelle pédagogie auprès des usagers un peu perdus par ces changements. Source : ; entretien avec la SPL
15 Retour d expérience n 3 : Autres exemples européens - Allemagne Date de création : 1998 Capital : 100% Ville de Münich Domaines d activités : énergie, eau, transport, télécoms Effectifs : CA 2010 : 3,7 B ~60 filiales Couverture géographique : Münich et sa périphérie Gouvernance : Statuts et contrats d objectifs Aval du Conseil Municipal nécessaire pour : création des filiales, élargissement du champ d intervention, coopérations avec des acteurs privés Présence de la Ville au Conseil d Administration Aspects financiers : possibilité de subventions croisées entre branches d activités et entre filiales ; réinvestissement partiel des résultats + transfert annuel vers la ville (~300 M en 2009) Source : Fédération des SEM, sites internet Date de création : 01/01/2000 Capital : 100% Ville d Augsburg Domaines d activités : énergie, eau, transport Effectifs : CA 2010 : na ( personnes desservies) Couverture géographique : Augsburg et sa périphérie Gouvernance : Idem SWM Capital : 55% Energie Baden Würtemberg AG (détenu à 45% par EdF) 25% Ville de Düsseldorf 20% Ville de Cologne Domaines d activités : énergie (gaz, électricité, chauffage urbain), eau, incinération Effectifs : personnes CA 2010 : 1,7 B Couverture géographique : Düsseldorf et sa périphérie Conseil de surveillance et Directoire Quinzaine de participations majoritaires ou minoritaires dans différentes activités de service public sur Düsseldorf ou ailleurs (y compris à l international)
16 Retour d expérience n 3 : Autres exemples européens Italie Date de création : 2008 (fusion) Société cotée Capital : 27,5% Ville de Milan / 27,5% Ville de Brescia (pacte d actionnaires) ; aucune autre participation > 5% autorisée Domaines d activités : énergie, eau, environnement Effectifs : personnes CA 2010 : 6 B Couverture géographique : Milan, Brescia + reste de l Italie et international à travers une 40aine de filiales identifiées Gouvernance : Présence des villes au conseil de surveillance (12 des 15 membres) Représentation par les services (interdiction des élus de siéger dans les organes statutaires) Contrat de service entre les deux villes et l entreprise : définition des tarifs, du programme d investissements et du contrôle financier Aspects financiers : chaque branche doit s autofinancer ; versement de dividendes aux deux villes (165 M en 2010) Date de création : 1998 (précédemment en régie) Société cotée : 51% Ville de Rome, 11% GdF Suez Domaines d activités : énergie, eau, environnement Effectifs : personnes CA 2010 : 3,6 B Couverture géographique : Rome et sa périphérie Entreprise «indépendante» dans laquelle la Ville joue le rôle d un actionnaire majoritaire classique (représentation par les services) Contrats de prestation de services entre la Ville et ACEA Aspects financiers : chaque branche doit s autofinancer ; versement de dividendes à la Ville Source : Fédération des SEM, sites internet
17 III. L étude doit fournir au SMPBR des retours d expérience lui permettant d asseoir sa réflexion sur des cas concrets Retour d expérience n 1 : Hypothèse 1 : Création d une SPL se voyant attribuer par ses actionnaires des prestations ou DSP en inhouse sur un ou plusieurs champs de compétences SPL Eau du Ponant (Brest) Retour d expérience n 2 : SPL Eau de Barousse Retour d expérience n 3 : Autres exemples européens Retour d expérience n 1 : Hypothèse 2 : Passage en régie du SMPBR sans création d une SPL Cas du SDEA (Bas-Rhin) Retour d expérience n 2 : Eau de Paris
18 Retour d expérience n 1 : SDEA du Bas-Rhin Périmètre géographique : 456 communes, habitants. Organisation opérationnelle par territoire Périmètre technique : Eau + Assainissement km de réseaux, sites Effectifs : 530 agents dont 50 cadres supérieurs. Budget 2009 : 180 M Systèmes d information intégrés (SAP) Source : SDEA
19 Retour d expérience n 1 : SDEA du Bas-Rhin La Commission Géographique, créée pour chaque périmètre adhérant au SDEA, maintient une certaine capacité de décision à l échelon local : détermination du programme d investissement, niveau des redevances Eau / Assainissement, attribution des marchés de travaux, suivi des affaires locales, compte-rendu annuel d activité. En revanche, les conditions d exécution du service ne relève pas du contrôle direct de la «Commission Géographique». Architecture générale des instances élues Président du SDEA Assemblée générale Commission permanente du SDEA Place et rôle du délégué en fonctionnement intégré Désigne son Conseiller Territorial Présiden t au sein d une CG Conseil d Administration du SDEA : 6 conseils territoriaux 6 assemblées territoriales Siège à l AG (+ Commissions thématiques) Siège à l AT Siège au sein d une CG Collège Conseil Général Commissions Géographiques Collège Collectivités partiellement intégrées Délégué d une commune (en cas de transfert complet) : 1 délégué par commune + 1 délégué par tranche de 3000 habitants entamée
20 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Arrivée du Directeur Thierry Wahl mi-2008 pour piloter ce projet (ancien directeur au Ministère de l Environnement) Source : Eau de Paris
21 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Source : Eau de Paris
22 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Source : Eau de Paris
23 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Les activités reprises Source : Eau de Paris
24 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Zoom sur la gestion des usagers et des abonnés Source : Eau de Paris
25 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Une prise d appui sur les anciens délégataires pour assurer la continuité puis la réversibilité du service Source : Eau de Paris
26 Retour d expérience n 2 : Eau de Paris Source : Eau de Paris
27 Prochaines Etapes pour le SMPBR Chiffrage des différents scenarii de gestion : SPL SMPBR / Ville de Rennes ; Régie SMPBR ; Nouvelle DSP (pour référence) Avancée de la Ville de Rennes et du SMPBR en parallèle sur la réflexion «choix du mode de gestion» : Si identité de choix intérêt d une SPL «mutualisante» Si choix distincts peu d intérêt. En cas de remunicipalisation du service (en SPL ou dans le cadre d une régie SMPBR), importance de choisir un Directeur de projet dès la fin 2012 qui connaisse le contexte et les acteurs en place.
MISE ENPLACE SAVE(SEBCS) D UNESOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AUSYNDICAT DESEAUXBAROUSSECOMMINGES. Communauté de l Eau Potable, le 01/12/2011
MISE ENPLACE D UNESOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AUSYNDICAT DESEAUXBAROUSSECOMMINGES SAVE(SEBCS) Communauté de l Eau Potable, le 01/12/2011 MISE EN PLACE D UNE SOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AU SYNDICAT DES EAUX BAROUSSE
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailFAF.TT Groupe de travail paritaire «Services»
Secteur non marchand FAF.TT Groupe de travail paritaire «Services» Comptes-rendus des groupes de travail du 15 septembre et 24 septembre 2009 KPMG Entreprises Isabelle Le Loroux Associée KPMG Entreprises
Plus en détail10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux
Juin 2006 10 conseils sur la gestion et la mutualisation des agents par les groupements intercommunaux Article publié dans le Courrier des maires, n 191 du 01 mai 2006, par Emmanuel Duru, Responsable des
Plus en détailPACTE D ADMINISTRATION COMMUNE ENTRE LA VILLE ET L AGGLOMERATION D AGEN
Date de mise à jour : 3 décembre 2014 Entre PACTE D ADMINISTRATION COMMUNE ENTRE LA VILLE ET L AGGLOMERATION D AGEN ( Convention de création d un service commun en application de l article L 5211-4-2 du
Plus en détailEléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.
Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure
Plus en détailCONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines
CONTRIBUTION DU CH-FO Le dialogue social et la gestion des ressources humaines 1/ Les constats les plus marquants sont : - l absentéisme de courte durée qui continue d évoluer fortement et qui met sous
Plus en détailGuide juridique relatif aux modes de gestion des Offices de tourisme
Guide juridique relatif aux modes de gestion des Offices de tourisme La commune ou l EPCI décidant de créer un Office de tourisme doit choisir le mode de gestion qui correspond à son profil et à ses besoins.
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailLes pratiques du sourcing IT en France
3 juin 2010 Les pratiques du sourcing IT en France Une enquête Solucom / Ae-SCM Conférence IBM CIO : «Optimisez vos stratégies de Sourcing» Laurent Bellefin Solucom en bref Cabinet indépendant de conseil
Plus en détailA J C AVOCATS JURISCONSEIL SOCIÉTÉ D AVOCATS INTER BARREAUX CONSEIL FISCAL, JURIDIQUE ET SOCIAL
A J C AVOCATS JURISCONSEIL SOCIÉTÉ D AVOCATS INTER BARREAUX CONSEIL FISCAL, JURIDIQUE ET SOCIAL LE PARTENAIRE QUOTIDIEN ET PRIVILÉGIÉ DE LA PERFORMANCE DE VOTRE ENTREPRISE NOTRE CABINET Fruit de l évolution
Plus en détailP résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)
P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des
Plus en détailL ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE
L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique
Plus en détailLA RECONFIGURATION DES SERVICES D'EAU ET D'ASSAINISSEMENT A L'ECHELLE DES AGGLOMERATIONS G. CANNEVA R. DE LAAGE
LA RECONFIGURATION DES SERVICES D'EAU ET D'ASSAINISSEMENT A L'ECHELLE DES AGGLOMERATIONS G. CANNEVA R. DE LAAGE CONTEXTE NATIONAL DES PRISES DE COMPETENCES INTERCOMMUNALITE ET SERVICES D'EAU La généralisation
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailApports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement
Rencontres Nationales de l'assainissement Collectif Apports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement Estelle Burckel Directeur Réseaux & Hubert Lorang Directeur de Projets
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 11/12/2012
Direction Générale des Ressources / Direction des Achats et de la Commande Publique Question n 375 DACP REF : DACP2012059 Signataire : ED/ESP Séance du Conseil Municipal du 11/12/2012 RAPPORTEUR : Tedjini-Michel
Plus en détailLES métiers de L EnvironnEmEnt
LES métiers de L environnement : les familles de postes R&D/Laboratoires SUEZ ENVIRONNEMENT pilote un réseau technique et scientifique mondial, riche de 400 chercheurs et experts répartis dans les centres
Plus en détailSynthèse du bilan carbone
Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence
Plus en détailAménagement Numérique des Territoires Lorrains
Conférence annuelle du Tourisme Lorrain - 19 novembre 2014 Maison Régionale des Sports - TOMBLAINE Aménagement Numérique des Territoires Lorrains Etat des lieux, enjeux et perspectives Conseil Régional
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE
Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE
Plus en détailEnsemble mobilisons nos énergies
Ensemble mobilisons nos énergies «Lancé en Juin 2005, SIRIUS est désormais un projet au cœur de notre entreprise, au service des ambitions et des objectifs qui s inscrivent dans le cadre de notre stratégie
Plus en détailSOMMAIRE. Le Mot du Président. Présentation d Eure-et-Loir Numérique. Les élus du Bureau. Les faits marquants d Eure-et-Loir Numérique
SOMMAIRE Le Mot du Président Présentation d Eure-et-Loir Numérique Les élus du Bureau 3 4 5 Les faits marquants d Eure-et-Loir Numérique o Janvier à juin 2013 o Juin 2013 o Septembre 2013 o Décembre 2013
Plus en détailERDF et la Transition Energétique. CESE Nice le 23 avril 2014
ERDF et la Transition Energétique CESE Nice le 23 avril 2014 1. ERDF et la distribution d électricité en France 2. La transition énergétique 3. ERDF dans la transition énergétique 4. En synthèse 1 ERDF
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailLE PARTENARIAT PUBLIC-PRIVE
5 ème conférence européenne des entreprises publiques locales organisée par la Commission entreprises locales du CEEP Bruxelles - 29 octobre 2002 Comité économique et social européen ******** LE PARTENARIAT
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détailBUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT
BUDGET ANNEXE DE L ASSAINISSEMENT Le service de l assainissement est un service public à caractère industriel et commercial, soumis à la comptabilité M4 différente de la comptabilité M14 applicable au
Plus en détailMARDI 3 JUILLET 2007 à 15 H 00. À la Salle Polyvalente de Ravières
Tonnerre, le 25 juin 2007 N/Réf. : MD/RLC/CR/DB/07-0274 Objet : Réunion du Comité Syndical Madame, Monsieur, J ai l honneur de vous demander de bien vouloir assister à la réunion du Comité Syndical qui
Plus en détail1 er Comité de Pilotage. Etude départementale sur le déploiement de bornes de charge pour véhicules électriques. 16 septembre 2014
1 er Comité de Pilotage Etude départementale sur le déploiement de bornes de charge pour véhicules électriques 16 septembre 2014 Introduction Présentation du Comité de Pilotage Présidé par le SYANE (JP
Plus en détailSe raccorder à un réseau de chaleur
L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailUNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE
UNE AMBITION TRIPARTITE POUR L EGALITE ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES DANS L ENTREPRISE La grande conférence sociale a permis d établir une feuille de route ambitieuse, qui engage ensemble l Etat, les
Plus en détailStatuts de Paris Region Entreprises
Statuts de Paris Region Entreprises Article 1. Forme et dénomination TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES Il est institué entre les adhérents aux présents statuts et ceux qui y adhéreront, une Association
Plus en détailVotre implantation à l étranger
Votre implantation à l étranger Afin de déterminer la forme de présence la plus adaptée à la commercialisation de vos produits et de vos services, un choix est nécessaire entre quelques grandes options
Plus en détailLe partenaire. sport & loisirs. des collectivités
SPAS PALAIS DES SPORTS patinoires CentreS aquatiques stades SITES culturels golfs PISCINES PARCS DE LOISIRS Le partenaire sport & loisirs des collectivités EDITO Aux côtés des collectivités, pour servir
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailNOR : DEV O 08 1 5 9 0 7 C
REPUBLIQUE FRANCAISE MINISTERE DE L ECOLOGIE, DE L ENERGIE, DU DEVELOPPEMENT DURABLE ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE DIRECTION DE L'EAU Sous-Direction de l'action territoriale, De la directive cadre
Plus en détailLes degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public
Il n'existe pas de définition légale ou réglementaire explicite des modes de délégation de service public que représentent la concession, l'affermage, la régie intéressée ou la gérance (Circulaire du 7
Plus en détailPRÉSENTATION DE L OFFRE
PRÉSENTATION DE L OFFRE INCRECIO Conseil en Système d Information pour les PME et les collectivités Créée en 2014, INCRECIO propose une offre de Conseil en Système d Information à destination des entreprises
Plus en détailLa Préparation Opérationnelle à l Emploi Collective
Un appui au recrutement de vos futurs salariés intérimaires La Préparation L essentiel de la POEC A la différence de la POE Individuelle, la POE n est pas conditionnée au dépôt préalable d une offre d
Plus en détailUnité territoriale Dordogne 94, rue du Grand Prat - 19600 Saint-Pantaléon-de-Larche Tél : 05 55 88 02 00
Date d ouverture de l appel à projet : 1er octobre 2015 Date limite d envoi des dossiers de candidatures : 31 janvier 2016 Pour toutes questions : Délégation du bassin Atlantique-Dordogne Unité territoriale
Plus en détailComment transformer un pays en PETR?
Décryptage juridique Comment transformer un pays en PETR? Éditions Etd juillet 2014 Réunissant intercommunalités, collectivités de tous niveaux, associations d élus et réseaux nationaux, Etd constitue
Plus en détailEtude d'attac Pays d'arles, Modes de gestion Eau & Assainissement ACCM. 6 novembre 2014
Etude d'attac Pays d'arles, Modes de gestion Eau & Assainissement ACCM 6 novembre 2014 Contexte : Cette étude fait suite à l'amo de novembre 2013 et la saisine de l'accm d'octobre 2014. - L'AMO de 2013
Plus en détailPRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE VAUX LE PENIL
PRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE VAUX LE PENIL Conseil municipal du 15 décembre 2008 1 PRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) 1. Le Très Haut Débit, pourquoi?
Plus en détailCopyright Agirc-Arrco Mars 2012. 2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC)
2 QUESTIONS pour comprendre le Système d Information Retraite Complémentaire (SI-RC) SOMMAIRE (1/3) ENJEUX DE L INFORMATIQUE RETRAITE COMPLÉMENTAIRE 1. Depuis quand un programme de convergence informatique
Plus en détailELAN Pro. Découverte d un dispositif de développement professionnel. GDF SUEZ Infrastructures
ELAN Pro Découverte d un dispositif de développement professionnel Elan PRO Survol au dessus de la Branche Infrastructures La Branche Infrastructures dans le Groupe GDF SUEZ GDF SUEZ Energie Europe Energie
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Ordonnance n o 2010-18 du 7 janvier 2010 portant création d une agence nationale chargée de la sécurité sanitaire de l
Plus en détailLA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE
CETE MEDITERRANEE / COTITA JOURNEE TECHNIQUE DU 7 JUIN 2012 GESTION DE PATRIMOINE IMMOBILIER LA STRATEGIE PATRIMONIALE DE LA VILLE DE MARSEILLE «Le schéma directeur d'implantation des services municipaux»
Plus en détailAtelier du 25 Novembre 2010 : «Vers un Système National d Information sur l Eau au Maroc»
Atelier du 25 Novembre 2010 : «Vers un Système National d Information sur l Eau au Maroc» SYSTÈME D INFORMATIOND DE L ONEPL PLAN DE LA PRESENTATION PRESENTATION GENERALE DE L ONEP SIONEP PÉRIMÈTRE FONCTIONNEL
Plus en détailRAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF
RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF Exercice 2008 1 Conformément au décret n 95-635 du 06 mai 1995 mod ifié. Les données techniques contenues dans ce rapport
Plus en détailPrésentation de la SEM «Energies POSIT IF» :
Réunion régionale sur les outils de l'efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment Présentation de la SEM «Energies POSIT IF» : (Promouvoir, Organiser, Soutenir et Inventer la Transition énergétique
Plus en détailDématérialisation des factures du Secteur Public. Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015
Dématérialisation des factures du Secteur Public Présentation de l obligation à la fédération des offices publics de l habitat 3 avril 2015 1 La dématérialisation des factures 2 2008 : La première étape
Plus en détailPrésentation de l Agence Départementale INGÉNIERIE70 19 octobre 2012
Présentation de l Agence Départementale INGÉNIERIE70 19 octobre 2012 1 La Haute-Saône 545 communes pour une population de 240 000 habitants. 45 habitants / km 2 Vesoul 80% de communes de moins de 500 hab
Plus en détailCOMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013
Mairie de Trèves (Rhône) 450 route des Deux Vallées 69420 TREVES COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Le Conseil Municipal, dûment convoqué le 13 décembre 2013 s est réuni
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailExternaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN
Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...
Plus en détailCours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE
Cours VI : VIE POLITIQUE LOCALE, RELATIONS ENTRE SOCIETE CIVILE ET POUVOIR POLITIQUE INTRODUCTION : Les collectivités territoriales Depuis la révision constitutionnelle du 28 mars 2003, sont définies comme
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailStatuts de la. Communauté d universités et établissements. Université Sorbonne Paris Cité
Statuts de la Communauté d universités et établissements Université Sorbonne Paris Cité 1 / 22 L Université Sorbonne Paris Cité regroupe des établissements d enseignement supérieur et de recherche et des
Plus en détailMASTER 2 MENTION FINANCES PUBLIQUES ET FISCALITÉ
MASTER 2 MENTION FINANCES PUBLIQUES ET FISCALITÉ RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Droit, Economie, Gestion Mention : Droit public Spécialité : Droit public financier
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/09/2012
Direction Générale des Ressources / Direction des Achats et de la Commande Publique Question n 219 REF : 2012038 Séance du Conseil Municipal du 27/09/2012 RAPPORTEUR : Jean-François MONINO OBJET : Délégation
Plus en détailLinux Expo 2010. Gestion des Identités et des Accès. Le 16 mars 2010. Arismore
Linux Expo 2010 Le 16 mars 2010 Arismore 1 Agenda Arismore Vision fonctionnelle de la gestion des identités Positionnement de l open source 2 Spécialiste de la gestion des accès et des identités Société
Plus en détailDÉPARTEMENT DE SEINE ET MARNE ARRONDISSEMENT DE TORCY COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE COMMUNAUTE DU 30 MARS 2015
! DÉPARTEMENT DE SEINE ET MARNE ARRONDISSEMENT DE TORCY COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL DE COMMUNAUTE DU 30 MARS 2015 Date de convocation : 24 mars 2015 Date de publication : 24 mars 2015 L'an deux
Plus en détailune plate-forme de services administratifs pour le territoire bourguignon
une plate-forme de services administratifs pour le territoire bourguignon Le territoire bourguignon : chiffres clés Un territoire à forte dominante rurale Nombre d habitants: 1 612 397 (1) Nombre de communes
Plus en détailQuoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours
1 Quoi de neuf acteurs? Les politiques locales de l'habitat à l'épreuve des réformes en cours La réforme territoriale : quelle organisation, quelles compétences demain? Paris, 4 février 2010 1 2 Une longue
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z Service de l Eau Potable Année 2013 Elaboré
Plus en détailERDF prend le virage technologique des Smart Grids
Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film
Plus en détailGÉNÉRATEUR DE PERFORMANCE CONSEIL EN SYSTÈMES D INFORMATION
GÉNÉRATEUR DE PERFORMANCE CONSEIL EN SYSTÈMES D INFORMATION 15 30 50 80 100 IDENTITÉ LES CHIFFRES CLÉS 2006 2008 2010 CHIFFRE D AFFAIRES EN M 2011 2012 42 % 22 % Banque Finance Assurance Retraite Spécialiste
Plus en détailLa Géothermie arrive à Bagneux. En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous
La Géothermie arrive à Bagneux En 2016, un nouveau réseau de chaleur écologique et économique près de chez vous Le réseau de chaleur géothermique arrive à Bagneux La ville de Bagneux a fait le choix de
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL Prix Qualité Transparence 2010 1 Le présent rapport a pour objet de Présenter les différents éléments techniques et financiers relatif au prix et à la qualité
Plus en détailCréation d une Agence Locale de l Énergie
Création d une Agence Locale de l Énergie Création d une Agence Locale de l Énergie 1 La 1ère Agence Locale de l Énergie en Aquitaine 2 Planning de création 3 Définition du projet 4 Programme européen
Plus en détailREGLEMENT FINANCIER FFCV- Règlement Financier validé à l assemblée générale du 12/12/04 page 1 sur 14
REGLEMENT FINANCIER page 1 sur 14 Article 1 - Objet Le Règlement Financier est établit conformément aux directives du Ministère chargé des Sports et à l article 107 du Règlement Intérieur de la FFCV En
Plus en détailReprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble!
Le Livret d accueil du Repreneur Reprendre une entreprise. Nous allons faire un bout de chemin ensemble! 2 3. Sommaire Le CRA Ce livret a pour vocation de vous aider à utiliser d une manière optimale l
Plus en détailCONVENTION DE FINANCEMENT D UN LOGICIEL DE GESTION, RÉSERVATION ET PLANIFICATION POUR LE SERVICE PAM 77
Accusé de réception Ministère de l intérieur 92767616 Acte Certifié exécutoire Envoi Préfecture : 17/02/2015 Réception Préfet : 17/02/2015 Publication RAAD : 17/02/2015 CONVENTION DE FINANCEMENT D UN LOGICIEL
Plus en détailLANDOT & ASSOCIÉS Partenaire juridique des collectivités publiques
Créé en 1998, fort de plus de vingt collaborateurs, notre cabinet intervient en droit public et privé. Pour nos clients, tous publics ou parapublics, cette spécialisation est un gage de qualité et d indépendance.
Plus en détailPLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE Un certain regard sur les résultats 2011 Ce guide est cofinancé par l Union Européenne Ce guide est cofinancé par l Union Européenne PLEIN PHARE SUR LA CLAUSE SOCIALE
Plus en détailSCHÉMA POUR UNE GESTION FONCTIONNELLE ET PÉRENNE DU SERVICE D ADDUCTION D EAU POTABLE DE SIMA
SCHÉMA POUR UNE GESTION FONCTIONNELLE ET PÉRENNE DU SERVICE D ADDUCTION D EAU POTABLE DE SIMA RAPPEL DU CONTEXTE Sur l île d Anjouan, l UCEA est à ce jour la principale entité opérationnelle et fonctionnelle
Plus en détailLes Groupements de coopération
Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre
Plus en détailOPTIMISATION D ADDUCTION DDUCTION D EAU POTABLE. Ville de Thouars. Deux Sèvres
OPTIMISATION DU RESEAU D ADDUCTION DDUCTION D EAU POTABLE Ville de Thouars Deux Sèvres La Régie R de l Eaul Crée e fin 2001 ( reprise en Régie R suite à fin d un d contrat d affermage d ) Petite structure
Plus en détailinformatique internet télécommunications
informatique internet télécommunications mettre le Droit au DiaPason De l entreprise le cabinet Secteurs d activité informatique industrie Distribution edition, média santé médico-social services À la
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques La loi ESS, enjeux et opportunités (Dossier réalisé par Michèle Lorillon, In Extenso) La loi relative à l Economie Sociale et Solidaire (ESS), qui était tant attendue par
Plus en détailBULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS
BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS N 73 DU 27 JUILLET 2009 DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES 4 H-3-09 INSTRUCTION DU 24 JUILLET 2009 IMPOT SUR LES SOCIETES. DISPOSITIONS PARTICULIERES. REGIME FISCAL
Plus en détailLE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS. Présentation des enjeux du secteur
LE SECTEUR DE L EAU EN JORDANIE : ENJEUX ET ENSEIGNEMENTS Présentation des enjeux du secteur Avec des taux d accès proches de 100 %, les enjeux de l eau et l assainissement en Jordanie ne sont pas l accès
Plus en détailStatuts GS1 Suisse. Ensemble pour créer des valeurs
Statuts GS1 Suisse Ensemble pour créer des valeurs GS1 Suisse Statuts Statuts Association GS1 Suisse I Nom, siège et objectif de l association Art. 1 Nom et siège 1. Sous le nom Association GS1 Suisse
Plus en détailPRATIQUE. Le prêt de personnel à but non lucratif, une forme atypique d emploi et de travail
innovation sociale en rhône-alpes FICHE n 27 PRATIQUE MutualisER des ressources HUMAINES Le prêt de personnel à but non lucratif, une forme atypique d emploi et de travail Les mutations des entreprises
Plus en détailSanté et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE)
Point réglementation N 1 Santé et sécurité des adjoints techniques territoriaux des établissements d enseignement (ATTEE) (anciennement TOS, exerçant dans les lycées et collèges) Mis à jour en septembre
Plus en détailÉdito. Bonne lecture! Catherine DI FOLCO, Présidente du Centre de gestion de la fonction publique territoriale du Rhône et de la Métropole de Lyon
Édito L année 2014 a constitué pour le Centre de gestion du Rhône et de la Métropole de Lyon une année forte d évolutions et de renouvellement avec en parallèle la poursuite des nombreuses activités qui
Plus en détailAPFP. Les Pays, moteurs de stratégies de développement territorial et de gouvernance locale. Contribution de l Association de
Mars 2012 cahier d acteurs Association de Promotion et de Fédération des Pays APFP APFP Pays / Territoires de projet Contribution de l Association de Promotion et de Fédération des Pays dans le cadre des
Plus en détailTitre CIRCULAIRE N 2011-02 du 17 janvier 2011
Titre CIRCULAIRE N 2011-02 du 17 janvier 2011 Objet - RÈGLES RELATIVES À L ASSURANCE CHÔMAGE APPLICABLES AUX EMPLOYEURS PUBLICS - CONSÉQUENCES POUR L ASSURANCE CHÔMAGE DES DISPOSITIONS DE L ARTICLE 26
Plus en détailCahier des Clauses Techniques Particulières. Etude relative au développement des missions E-administration et E- citoyenneté.
Cahier des Clauses Techniques Particulières Etude relative au développement des missions E-administration et E- citoyenneté. SOMMAIRE Article 1 Contexte p 3 Article 2 Objet du marché p 4 Article 3 Exigences
Plus en détail