ANALYSE SITUATIONNELLE DES JEUNES FILLES VULNERABLES DESCOLARISEES. Recherche formative

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ANALYSE SITUATIONNELLE DES JEUNES FILLES VULNERABLES DESCOLARISEES. Recherche formative"

Transcription

1 ANALYSE SITUATIONNELLE DES JEUNES FILLES VULNERABLES DESCOLARISEES EN COTE D IVOIRE Recherche formative

2 LA RECHERCHE FORMATIVE Le 2 ème volet de l Analyse Situationnelle concerne la recherche formative qui a comporté des discussions de groupes avec les jeunes filles et des entretiens individuels avec les jeunes filles et leurs partenaires masculins.

3 ECHANTILLON La taille de l échantillon a été de quatre vingt un (81) participants Six groupes de discussion ont été réalisés trois dans chaque tranche d âge (12-15, ans). Chaque groupe a comporté 7 à 10 participantes. Au total quarante-huit (48) participantes ont constitué les groupes de discussion à travers les cinq sites. Dix-neuf jeunes filles ont été interviewées individuellement dans les sites avec au moins une représentante de chaque groupe d âge dans chaque site. En outre, il a été demandé à ces jeunes filles d inviter un partenaire principal de 21 ans et plus pour un entretien. Nous avons conduit jusqu à 14 entretiens avec les partenaires masculins..

4 Situation familiale des jeunes filles Caractérisée par 5 facteurs principaux : - Familles nombreuses «J ai 17 grandes sœurs»; - Perte des 2 parents ou de l un des parents «La souffrance, c est la souffrance seulement, parce que ma maman n est pas là. C est elle qui pouvait m aider à réussir, mais elle n est pas là (elle est décédée).»

5 RESULTATS - Dislocation des familles des jeunes filles (séparation/divorce) «Je n ai pas eu de père, c est maman seule qui m a élevée ( )»; - Pauvreté «On n a pas d argent, même mangé même, c est problème aussi. Peut- être si on est malade encore, il n y a pas d argent (jeune nourrice de 19 ans de San-Pedro)». - Familles polygames «Mon papa a deux femmes, donc nous sommes à la maison avec la 1 ère.»;

6 Nature des rapports jeunes filles/parents - Le désengagement de la responsabilité des parents «il y a d autres là, ce sont leurs parents qui les encouragent à chercher des gars. Parce que, quand ils regardent les filles des voisins qui viennent donner de l argent chaque fois à leurs parents, ils se disent pourquoi pas leur fille aussi» - L affirmation de l autorité parentale - Le déficit de communication entre parents et jeunes filles - Les relations conflictuelles

7 Situation socio-économique des jeunes filles - Elles exercent dans le secteur informel : la coiffure, la vente et le ménage «Je travaille dans un salon de coiffure où j ai signé un contrat. Quand il y a des gens qui viennent, je les tresse. Je suis à la maison et quand il y a un client, on m appelle» ; - Autres sources de revenus : le recours aux partenaires et la prostitution.

8 Rapports des jeunes filles avec l école - Causes de déperdition scolaire : causes économiques, sociodémographiques, socioculturelles, les échecs scolaires, l influence de l environnement social et les grossesses «Moi j avais l envie, on m a mis à l école mais j ai arrêté au CE1 parce que ma maman n avait pas les moyens» * «Souvent, au lieu de partir à l école, elles vont se promener, et quand on les enceinte, on les renvoie de l école.»

9 Niveau d étude atteint / Age d interruption des cours à l école : non-scolarisées, niveau primaire et niveau secondaire

10 Représentations sociales de l école et du statut des jeunes filles : Les perceptions des jeunes filles sont diverses. La majorité des enquêtées reconnaissent l importance de l école. L école est une voie de réussite, «Je trouve que l école est la clé de la vie ( ).»;

11 L école est un lieu d apprentissage, «(A l école) On apprend à lire, à écrire et à calculer.» ; Mais l école n est pas la seule voie de réussite, «( ) celles qui ne vont pas à l école, si elles ont décidé de faire quelque chose, elles peuvent devenir comme celles qui sont allées à l école. Mais, si elles ne veulent rien faire, elles vont rester comme çà.» ;

12 «( ) elles ne peuvent pas être même chose. Parce qu elles peuvent être des, secrétaires, docteurs ; mais toi, tu seras à la maison pour être commerçante. Elles seront là pour payer et toi, tu seras là pour vendre seulement. Tu peux oublier beaucoup de choses, même pour écrire souvent ça peut t échapper. Donc on ne peut pas être même chose.». L école n est pas synonyme d un emploi, «Elles peuvent avoir le diplôme et ne pas pouvoir exercer le travail qu elles veulent ().»

13 Loisirs des jeunes filles RÉSULTATS La majorité des filles affirment : - Regarder la télévision - S adonner à des causeries entre amis ou entre frères et sœurs. D autres, par contre, s adonnent à la débauche: «Il y en a qui s en vont se prostituer, parce qu elles n ont pas d argent. Elles se donnent aux garçons. Elles se vendent pour gagner de l argent».

14 Les partenaires masculins des jeunes filles : Situation matrimoniale des partenaires masculins : les hommes sont en majorité déjà «fiancés» ailleurs ; ils considèrent leur «fiancée» comme leur femme et les jeunes filles de l enquête comme de simples partenaires sexuelles.

15 Situation socio-économique et socioprofessionnelle des partenaires masculins : La majorité exerce une profession modeste et fait partie de la classe moyenne en Côte d Ivoire. Seule une minorité est sans emploi.

16 Nature des rapports des jeunes filles avec leurs partenaires masculins La différence d âge, le niveau d instruction et le pouvoir financier des partenaires masculins influencent la façon dont les décisions se prennent à l intérieur du couple. ) «Maintenant, les filles ne regardent pas le statut d homme marié. S il lui donne ce qu elle lui demande, elle va faire ce que qu il veut ( )».

17 Vie sexuelle et vécu de la sexualité des jeunes filles déscolarisées - La majorité des jeunes filles est sexuellement active - Leurs expériences sexuelles se produisent généralement au sein d un groupe de camarades - L activité sexuelle est parfois suivie de grossesses non désirées dont l issue est souvent l avortement.

18 Connaissances, attitudes et comportements face au VIH/sida Connaissances sur le VIH/sida : - La quasi-totalité des jeunes filles et leurs partenaires ont déclaré avoir entendu parler du VIH/sida et de ses conséquences. «Il y a des filles aussi, elles sont fidèles, mais leurs gars ne le sont pas. Elles doivent se protéger en cherchant à connaître le statut de leur copain» - La voie sexuelle est largement citée comme principal mode de transmission du sida.

19 Moyens de protection contre la transmission du VIH Les jeunes filles ont cité l utilisation régulière du préservatif, la fidélité à un seul partenaire sexuel et l abstinence sexuelle. Les comportements à risques Les enquêtées ont cité le contact avec du sang ou un objet contaminé.

20 Attitudes face au VIH/sida RÉSULTATS - Age des premiers rapports sexuels : la majorité des jeunes filles de 12 à 19 ans est sexuellement active Attitude envers les PVVIH : les jeunes filles pensent que l on ne doit pas stigmatiser les PVVIH. Elles déclarent qu elles seraient tolérantes envers les PVVIH.» Si ton ami a sida, il ne faut pas l insulter. Il faut rester à coté de lui pour le soutenir»;

21 Perceptions et opinions sur l utilisation du préservatif, l abstinence et la fidélité Les jeunes filles pensent que le préservatif, l abstinence et la fidélité constituent de bons moyens de protection contre le VIH/sida. mais leurs propos sont différents.

22 RESULTATS Selon les jeunes filles, les préservatifs constituent un bon moyen pour se protéger contre le VIH/sida. «D abord, on dit qu il y a trois façons : il faut être fidèle jusqu au mariage. Mais de nos jours, la fidélité n existe plus, donc même si tu as un seul partenaire, il faut te préserver avec ce dernier. C est mieux jusqu au mariage. ( ). Si tu te protèges, ça évite beaucoup de maladies, mais pas le sida seulement : les maladies comme chaude pisse, gonococcie et surtout les grossesses indésirées. Donc si tu as un seul partenaire ; s il ne veut pas, il faut insister pour qu il se protège». (FGD ans San-Pedro).

23 La majorité des filles perçoit la fidélité comme dépassée et anormale. Cela transparait à travers les propos suivants : «Je suis obligée de chercher, de chercher «Je suis obligée de chercher, de chercher garçon pour avoir de l argent. Donc, je dois chercher l argent pour payer mon habit. ( )

24 La majorité des enquêtées pensent que connaitre sa sérologie est un moyen pour éviter le VIH. Les propos suivants l attestent : «Si tu aimes ton homme, pour ne pas se préserver, tu peux lui dire : " tu fais ton test et je fais mon test. Si c est ça, on peut rester ensemble. Mais si tu ne veux pas faire ton test ou te préserver, je ne peux pas rester avec toi aussi"»

25 Comportements sexuels des jeunes filles déscolarisées - De manière générale, ce sont les partenaires qui, le plus souvent, initient et contrôlent les interactions et les prises de décision sexuelle. - Concernant leur santé sexuelle, les jeunes filles cherchent principalement à éviter les grossesses. Le plus souvent, chez moi, c est moi qui décide. Mais si tu ne veux pas, c est bon (...) Je l exige à cause des grossesses. Le premier coup, c est ça même qui fait grossesse et deuxième, c est la maladie

26 La prévalence et les raisons des interruptions de grossesses Les jeunes filles sont souvent confrontées aux cas de grossesses parce qu elles ne maîtrisent pas leur cycle menstruel ou parce que leurs partenaires refusent de se protéger. L interruption des grossesses se fait souvent avec des méthodes traditionnelles et dangereuses ou dans des centres hospitaliers pour celles qui en ont les moyens. Les jeunes filles avortent par crainte de la réaction des parents et pour des raisons socioéconomiques.

27 Les canaux d information sur le VIH/sida Les enquêtées ont cité : La télévision, la radio et les sensibilisations de proximité Les itinéraires thérapeutiques Pour se soigner, les jeunes filles ont recours à l automédication, la médecine traditionnelle et la médecine moderne.

28 Organisations connues pour aider les jeunes filles déscolarisées Seule une minorité était capable de nommer au moins une organisation connue. La majorité des jeunes filles ont déclaré n avoir jamais bénéficié des services de ces structures.

29 Les stratégies pour aider les jeunes filles : Les Activités Génératrices de Revenus (AGR) sont demandées par les plus agées Les filles de 12 à 15 ans par contre souhaiteraient retourner à l école à cause des bienfaits de celles-ci. Elles réalisent maintenant que l école est la clé de la réussite : «Ça dépend.. Par contre, celles qui ont laissé un an, deux ans, si elles peuvent repartir à l école, c est bon. Mais, celles qui ont laissé l école ( ) Les petites de quinze ans, elles peuvent repartir mais dix huit ans»

30 Les campagnes de proximité, les campagnes médiatiques et les campagnes communautaires sont les stratégies d action et de communication proposées.

31

32 Merci pour votre aimable attention

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES

SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES JEUNES FILLES SUPER GO UN PROGRAMME DE RENFORCEMENT DES CAPACITES DES JEUNES FILLES CONTEXTE DU PROGRAMME SUPER GO Féminisation du VIH : quelques chiffres clés (EIS-2005) 0,4% des filles de 15 à 19 ans sont infectées

Plus en détail

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014

Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Sondage d opinion auprès des Canadiens Perception à l égard des couples de même sexe PROJET 12717-014 Table des matières Contexte et objectifs... 6 Méthodologie... 8 Résultats détaillés 1. Perception

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU

NOUS SOIGNONS CEUX QUE LE MONDE OUBLIE PEU A PEU 1/ Résultats de l enquête sur la couverture vaccinale et l accès aux soins de santé des populations roms sur Bruxelles 2/ Quelques bonnes pratiques: «film» 3/ Piste pour la suite NOUS SOIGNONS CEUX QUE

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Utilisation et usage d Internet

Utilisation et usage d Internet 1 résultats Utilisation et usage d Internet Internet s est imposé Quelque soit leur âge ou leur sexe, près de neuf jeunes sur dix déclarent utiliser Internet. Cette imposante proportion indique indubitablement

Plus en détail

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS

PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS PROMOUVOIR LA SANTÉ ET LES DROITS SEXUELS ET REPRODUCTIFS Positionnement en vue de la session spéciale des (22 septembre 2014) 2 1. FACE À UN AVENIR INCERTAIN, LES GOUVERNEMENTS DOIVENT SE REMOBILISER

Plus en détail

Une école au Togo, épisode 1/4

Une école au Togo, épisode 1/4 Une école au Togo, épisode 1/4 Thèmes Éducation, formation Concept Ce documentaire présente la situation de l école primaire au Togo. Contenu Pour visionner le documentaire Une école au Togo, allez sur

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE

DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Ecole d Application STURM Janvier-Février 2012 CM2 Salle 2 Mme DOUILLY DEBAT PHILO : L HOMOSEXUALITE Sujet proposé par les élèves et choisi par la majorité. 1 ère séance : définitions et explications Réflexion

Plus en détail

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick

Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick Adapté avec la permission du Ministère de l Éducation, Nouveau Brunswick SONDAGE SUR L ATTITUDE DES PARENTS ENVERS L ÉDUCATION EN MATIÈRE DE SANTÉ SEXUELLE Nota : Vous pouvez transmettre ce sondage de

Plus en détail

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE

LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE LES FRANÇAIS, LEUR ÉPARGNE & LEUR RETRAITE 1 Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique JeanPierre THOMAS Président du Cercle de l'epargne Philippe CREVEL Directeur

Plus en détail

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet

Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Les pratiques des 9-16 ans sur Internet Regards croisés entre parents et enfants! - Principaux résultats -! Décembre 2012! Arnaud ZEGIERMAN Directeur associé az@institut-viavoice.com Aurélien PREUD HOMME

Plus en détail

P.S.E. 1 ère situation d évaluation

P.S.E. 1 ère situation d évaluation Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :

Plus en détail

Etude sur Le service de restauration scolaire

Etude sur Le service de restauration scolaire Etude sur Le service de restauration scolaire En accord avec les objectifs de l Association des Parents d Elèves de Génération ECOLE, une enquête de satisfaction de la cantine scolaire a donné les résultats

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

PASSAGE. Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique

PASSAGE. Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique PASSAGE Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique EuropeAid/120804/C/G/Multi Rapport global des activités des clubs santé des lycées et collèges de Maroua. Année académique 2007-2008 Cameroun Septembre

Plus en détail

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire

Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Observatoire de la Microfinance Novembre 2011 Hay Chabab, Rue Baamrani Ain Sebaa Casablanca-Maroc Tel +212 522 739 089/ +212 522 739 124 Fax +212

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

BANQUE CENTRALE DU CONGO

BANQUE CENTRALE DU CONGO BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

Chapitre 5 Notions de base de la communication

Chapitre 5 Notions de base de la communication Chapitre 5 Notions de base de la communication 1) Information et communication Activité 1 : 1) Indiquez si les situations suivantes relèvent selon vous de l information (I) ou de la communication (C) :

Plus en détail

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage!

Dossier Le ménage. Le bonheur chez soi et le partage des tâches font bon ménage! Observatoire de la vie à la maison DOSSIER DE PRESSE MARS 2014 EVY RAES. Image du reportage photos ILIV 2013 - Se sentir à la maison en images Dossier Le ménage Le bonheur chez soi et le partage des tâches

Plus en détail

Pièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?

Pièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire PRÉSENTATION DU PROGRAMME Le cœur à l école PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire Le programme Le coeur à l école s adresse aux parents d enfants

Plus en détail

Questionnaire 6-12 ans

Questionnaire 6-12 ans N D IDENTIFICATION DE LA FAMILLE : E Questionnaire 6-12 ans Protocole de passation : Lorsque la réponse de l enfant est suggérée ou influencée par une autre personne présente (parent, frère ou sœur.),

Plus en détail

La problématique des grossesses non-désirées et situation des filles mères en Afrique et dans le monde Projet de rapport

La problématique des grossesses non-désirées et situation des filles mères en Afrique et dans le monde Projet de rapport Document n 16 La problématique des grossesses non-désirées et situation des filles mères en Afrique et dans le monde Projet de rapport Présenté par Mme Mariam Marie Gisèle Guigma/Diasso, députée (Burkina

Plus en détail

SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale

SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale SONDAGE EXCLUSIF Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale COMMUNIQUE Deux ans et demi après son élection, les Français sont-ils convaincus par les actions du Président Hollande? Quelles sont les

Plus en détail

Evaluation du besoin en promotion de la santé chez les jeunes dans les zones de santé (ZS) Nyantende, Nyangezi, Kaziba et Mwana

Evaluation du besoin en promotion de la santé chez les jeunes dans les zones de santé (ZS) Nyantende, Nyangezi, Kaziba et Mwana Evaluation du besoin en promotion de la santé chez les jeunes dans les zones de santé (ZS) Nyantende, Nyangezi, Kaziba et Mwana Une évaluation interne de Malteser International Bukavu, Juin 2012 Auteur

Plus en détail

Le VIH-sida, qu est-ce que c est?

Le VIH-sida, qu est-ce que c est? LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80

Plus en détail

Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement?

Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement? Session 4 : Quels sont les stratégies marketing à développer en assainissement? Jeu des 4 P Séquence prévue : 3 février 2012, de 14h30 à 17h15 Format : - Jeu des 4P : jeu de plateau, inspiré du jeu de

Plus en détail

INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE

INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE DIRECTION DES SERVICES ADMINISTRATIFS SERVICE POPULATION ET CITOYENNETE SECTEUR ETAT CIVIL INFORMATIONS SUR LE DROIT DE LA FAMILLE Annexe du décret n 2002 1556 du 23 décembre 2002 Ce document est destiné

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris)

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) Samedi : 10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) La séance a commencé par un tour de table afin de présenter chaque association

Plus en détail

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches.

Le guide. Don d organes. Donneur ou pas. Pourquoi et comment je le dis. à mes proches. Don d organes. Donneur ou pas à mes proches. Le guide Pourquoi et comment je le dis Don d organes. Pourquoi est-ce si important d en parler? En matière de don et de greffe d organes, la loi française prévoit

Plus en détail

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque: GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales

Plus en détail

Auxiliaire avoir au présent + participe passé

Auxiliaire avoir au présent + participe passé LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé

Plus en détail

Internet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010

Internet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010 Internet modifie la relation des Français ais à leurs banques Présentation du 12 janvier 2010 1 Objectif et méthodologie Objectif Mesurer le type de services bancaires possédé par les Français Analyser

Plus en détail

La Renaissance de L emailing à la Performance

La Renaissance de L emailing à la Performance La Renaissance de L emailing à la Performance Eviter l essouflement en revenant aux bonnes pratiques marketing Par Mario Roche, Sales Manager Acxiom France Better connections. Better results. Livre Blanc

Plus en détail

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles

Étude auprès de la génération X. Le paiement virtuel et la gestion des finances personnelles Étude auprès de la génération X Le paiement virtuel et la gestion des finances Rapport Présenté à Madame Martine Robergeau Agente de Développement et des Communications 11 octobre 2011 Réf. : 1855_201109/EL/cp

Plus en détail

Fiche qualité relative à l enquête Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Carte d identité de l enquête

Fiche qualité relative à l enquête Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Carte d identité de l enquête Fiche qualité relative à Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Nom Années de Périodicité Panel (suivi d échantillon) Services concepteurs Service réalisant Sujets principaux traités dans Carte d

Plus en détail

Influence du pouvoir intrafamilial sur les soins de santé maternelle au Mali: perspectives des femmes, des hommes et des belles-mères

Influence du pouvoir intrafamilial sur les soins de santé maternelle au Mali: perspectives des femmes, des hommes et des belles-mères Influence du pouvoir intrafamilial sur les soins de santé maternelle au Mali: perspectives des femmes, des hommes et des belles-mères Par Darcy White, Michelle Dynes, Marcie Rubardt, Koman Sissoko et Rob

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Encourager les comportements éthiques en ligne

Encourager les comportements éthiques en ligne LEÇON Années scolaire : 7 e à 9 e année, 1 re à 3 e secondaire Auteur : Durée : HabiloMédias 2 à 3 heures Encourager les comportements éthiques en ligne Cette leçon fait partie de Utiliser, comprendre

Plus en détail

PLANIFICATION FAMILIALE 5

PLANIFICATION FAMILIALE 5 PLANIFICATION FAMILIALE 5 El-Arbi Housni Le Programme National de Planification Familiale a été établi au Maroc sous l'entière responsabilité du ministère de la Santé en 1966. Ce programme a gagné beaucoup

Plus en détail

20 ans d expertise dans le domaine de la Direction du Développement Marketing & Commercial d entreprises en France et à l étranger

20 ans d expertise dans le domaine de la Direction du Développement Marketing & Commercial d entreprises en France et à l étranger 1 Michel Amossé 20 ans d expertise dans le domaine de la Direction du Développement Marketing & Commercial d entreprises en France et à l étranger Directeur Commercial & Marketing, de sociétés implantées

Plus en détail

Abd Al Malik: Ça c est du lourd!

Abd Al Malik: Ça c est du lourd! Abd Al Malik: Ça c est du lourd! Paroles et musique : Fayette-Mikano, Jouannest Polydor, Universal music Thèmes L immigration, la banlieue, la réussite sociale, le respect. Objectifs Objectifs communicatifs

Plus en détail

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit.

Protocole. [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. Protocole [anonyme et gratuit] Avec la Région, on en parle, on agit. 1. 2. Descriptif du dispositif Le contexte... p. 4 Les objectifs... p. 5 Les bénéficiaires... p. 5 Le chéquier et les coupons... p.

Plus en détail

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010.

Agence Thomas Marko & Associés. Du 3 au 8 septembre 2010. Octobre 00 Nobody s Unpredictable Sondage effectué pour : Agence Thomas Marko & Associés Echantillon : 000 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

Catalogue. Fichiers. www.effidata.com. Commandez aujourd hui SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE. commercial@effidata.com

Catalogue. Fichiers. www.effidata.com. Commandez aujourd hui SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE. commercial@effidata.com Catalogue BTOC Fichiers Commandez aujourd hui 0820 42 22 14 commercial@effidata.com SOLUTIONS GLOBALES D E-MARKETING DE CONQUÊTE www.effidata.com Sommaire Catalogue Fichiers BTOC 1. Classement Alphabétique

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES

Septembre 2012. Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES Septembre 2012 Enquête CLCV LES CONSOMMATEURS ET LEURS ASSURANCES 1 Qu elle vise à protéger nos biens ou à garantir notre santé, l assurance est aujourd hui une dépense contrainte pour la majorité des

Plus en détail

Tablette tactile : la nouvelle nounou?

Tablette tactile : la nouvelle nounou? Observatoire Orange - Terrafemina Tablette tactile : la nouvelle nounou? Sondage de l institut CSA Fiche technique du sondage L institut CSA a réalisé pour Orange et Terrafemina la 13 ème vague d un baromètre

Plus en détail

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON

PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

Enquête sur les indicateurs du paludisme

Enquête sur les indicateurs du paludisme Enquête sur les indicateurs du paludisme Questionnaire Femme ICF Macro Calverton, Maryland Janvier 200 ENQUÊTE SUR LES INDICATEURS DU PALUDISME QUESTIONNAIRE FEMME STANDARD [NOM DU PAYS] [NOM DE L ORGANISATION]

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M

IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M IDENTIFICATION DE CLIGNOTANTS SOCIAUX AU COURS DE l E4M La loi de la protection de l enfance La loi du 5 mars 2007 insiste sur la prévention et confie au Président du Conseil Général le soin d organiser,

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick

Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Droits et responsabilités Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau-Brunswick Le Service public d éducation et d information juridiques du Nouveau- Brunswick (SPEIJ-NB) est un organisme

Plus en détail

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce?

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce? 1 LA FAMILLE 1.1 Lecture premier texte Nadja va passer quatre mois de la prochaine année scolaire en France. Aujourd hui, elle a reçu cette lettre de sa famille d accueil. Chère Nadja, Je m appelle Martine

Plus en détail

Questionnaire destiné aux parents Médiation

Questionnaire destiné aux parents Médiation Questionnaire destiné aux parents Médiation Si vous êtes intéressé/e par une médiation ou si vous souhaitez en savoir plus sur ce que peut vous apporter une médiation, les informations suivantes vous concernant

Plus en détail

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche

Plus en détail

Exemple de questionnaire

Exemple de questionnaire Partie 2 - Interroger les jeunes sur leur sexualité et leur attitude vis-à-vis de la procréation Exemple de questionnaire d enquête auprès des jeunes John Cleland Introduction Cet instrument ne peut être

Plus en détail

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?

LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke

Plus en détail

Règlement pour l obtention d une bourse de Youth For Understanding (YFU) Suisse

Règlement pour l obtention d une bourse de Youth For Understanding (YFU) Suisse Règlement pour l obtention d une bourse de Youth For Understanding (YFU) Suisse 1 Idée générale Avec son fonds de bourse, Youth For Understanding (YFU) Suisse souhaite donner la possibilité à des jeunes

Plus en détail

QUESTIONNAIRE SUR L ADMISSIBILITÉ AU SARPA

QUESTIONNAIRE SUR L ADMISSIBILITÉ AU SARPA QUESTIONNAIRE SUR L ADMISSIBILITÉ AU SARPA Ce questionnaire vous permet d explorer si, dans votre situation, vous pouvez obtenir les services du SARPA. Pour plus d information, nous vous invitons à visiter

Plus en détail

Année scolaire 2015-2016

Année scolaire 2015-2016 Année scolaire 2015-2016 Groupe Scolaire SEN-Amâna Dossier de candidature AMÂNA Existe-t-il d'autre récompense à l'excellence sinon l'excellence? 85 Avenue Marie Curie 77600 Bussy Saint Georges Tel : 00

Plus en détail

Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre

Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre ISSN 029-997 N 2 avril 07 Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre Marie-Odile Simon, Christine Olm, Élodie Alberola L emploi ne protège plus de la pauvreté, même la plus extrême: 28% des

Plus en détail

Décès et succession LE DECES

Décès et succession LE DECES Décès et succession Des Services ou organismes accompagnent les personnes et familles à vivre leur deuil. Ci-dessous, nous nous limiterons à présenter quelques conseils et informations pratiques concernant

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes

Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse

Plus en détail

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux

les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux Personnes et familles Vie familiale / vie à deux les Contrats de mariage, les régimes matrimoniaux www.notaires.paris-idf.fr Vie familiale, vie à deux LES CONTRATS DE MARIAGE ET LES RÉGIMES MATRIMONIAUX

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail

VIH : Parlons-en franchement!

VIH : Parlons-en franchement! VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR. Article 1 : ENTREE EN VIGUEUR DU PRESENT REGLEMENT

REGLEMENT INTERIEUR. Article 1 : ENTREE EN VIGUEUR DU PRESENT REGLEMENT Direction Enfance et Vie Scolaire REGLEMENT INTERIEUR GARDERIES PERISCOLAIRES et RESTAURATION SCOLAIRE Article 1 : ENTREE EN VIGUEUR DU PRESENT REGLEMENT Le présent règlement s applique à compter du premier

Plus en détail

Les médias en quelques statistiques

Les médias en quelques statistiques Les médias en quelques statistiques Daniel Giroux Secrétaire général, Centre d études sur les médias, Université Laval Avec la collaboration de Sébastien Charlton Le fait que les Québécois passent de plus

Plus en détail

Informations sur les Bourses Sanitaires et Sociales. du Conseil Régional de Picardie 2012/2013

Informations sur les Bourses Sanitaires et Sociales. du Conseil Régional de Picardie 2012/2013 Informations sur les Bourses Sanitaires et Sociales du Conseil Régional de Picardie 2012/2013 Ouverture de la plate-forme du 13 juin au 30 septembre 2012 Les formations concernées : Toutes les formations

Plus en détail

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)

Plus en détail

Voici des réponses aux questions que vous vous posez:

Voici des réponses aux questions que vous vous posez: Bourse aux livres 2014: Mode d emploi Chaque année, vous achetez nombre de manuels scolaires pour vos enfants. Ces manuels coûtent cher: entre 7 et 25 en moyenne, mais certains peuvent aller jusqu à 60!

Plus en détail

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS

LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en

Plus en détail

Questionnaire pour les parents

Questionnaire pour les parents SiBO Schoolloopbanen in het BasisOnderwijs Dekenstraat 2 B 3000 Leuven Questionnaire pour les parents Nom de l enfant qui a amené ce questionnaire à la maison et sur lequel porte donc ce questionnaire:

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation

LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation Wendy Pyper Prendre du retard dans ses paiements LE NIVEAU ÉLEVÉ DE LA DETTE à la consommation au Canada a suscité un certain nombre de préoccupations. En octobre 2001, quelque 44 millions de cartes de

Plus en détail

1 - Avant de commencer le jeu, déposer chaque paquet de cartes, face contre table,

1 - Avant de commencer le jeu, déposer chaque paquet de cartes, face contre table, PLEIN LES POCHES RÈGLES DU JEU 1 - Avant de commencer le jeu, déposer chaque paquet de cartes, face contre table, à côté de la planche de jeu. 2 - Au début du jeu, chaque joueur reçoit 100 points. 3 -

Plus en détail

DIVORCE l intérêt du consentement amiable

DIVORCE l intérêt du consentement amiable Conférence-débat du jeudi 2 octobre 2014 DIVORCE l intérêt du consentement amiable Depuis le 1 er janvier 2005 (date d entrée en vigueur de la loi sur le divorce du 26 mai 2004), les époux ont le choix

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires

À retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires 1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION

LES OMD EN CHIFFRES. Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION 1 LES OMD EN CHIFFRES Par Raulin Lincifort CADET INTRODUCTION Faisant suite à la Déclaration du Millénaire, le bureau du PNUD en Haïti s est attelé à faire la promotion des Objectifs du Millénaire pour

Plus en détail

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Sondage réalisé par pour et publié en partenariat avec et avec le concours scientifique de la Publié le 19 janvier 2015 Levée d embargo le 19 janvier

Plus en détail

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans

LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans FAIREBOUGERLES9-13.org 1 LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans TABLE DES MATIÈRES 3 4 5 DONNÉES SOCIO- DÉMOGRAPHIQUES HABITUDES MÉDIATIQUES ET DE CONSOMMATION EN MATIÈRE DE MODE DE VIE PHYSIQUEMENT

Plus en détail

LE CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES PHARMACIENS

LE CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES PHARMACIENS LE CONSEIL NATIONAL DE L ORDRE DES PHARMACIENS & MEDICAMENTS DE LA RUE AGIR MAINTENANT AGIR ENSEMBLE Le Phénomène des médicaments de la rue constitue aujourd hui un véritable problème de santé publique.

Plus en détail

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ

RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée

Plus en détail