LES GROUPES DE DISCUSSION
|
|
- Charlotte Lefrançois
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES GROUPES DE DISCUSSION Extrait du Rapport final sur les recommandations d un modèle de mentorat Effectué dans le cadre du programme PROSPÉRITÉ ÉCONOMIQUE : LE SUCCÈS À LA PORTÉE DES FEMMES «PROMOUVOIR L AVANCEMENT DES FEMMES DANS DIVERS SECTEURS GRÂCE AU MENTORAT»
2 CONSTATS SUR LES GROUPES DE DISCUSSION Les objectifs visés par la tenue des séances de groupes de discussion ont été d obtenir des informations de type qualitatives complétant celles du sondage qui sont des informations plutôt quantitatives. Le second objectif visé par ces groupes est de promouvoir le mentorat auprès des intervenants économiques qui sont présents auprès des entrepreneurs et assistent aux projets de démarrage dans les deux MRC à l étude. Le groupe de discussion effectuée auprès des mentor(e)s et des gens d affaires avait également pour objectif de recueillir leurs commentaires quant aux choix des modèles de mentorat proposés et de cerner les différents besoins non comblés par le modèle actuel. Les mêmes objectifs ont été poursuivis pour le troisième groupe de discussion composée de mentoré(e)s avec des gens d affaires additionnels. Les mentoré(e)s ont apporté un éclairage sur les améliorations à apporter ainsi que sur les besoins non comblés perçus dans leur relation mentorale actuelle. Il est à noter qu un effort important a été effectué pour recruter autant de participants féminins que masculins afin d obtenir un point de vue des deux genres. La liste des participants est présentée en annexe du présent rapport. Les thématiques discutées sont: La définition du succès, différence entre la femme et l homme entrepreneure; Les besoins et les enjeux des femmes entrepreneures; L innovation et les orientations possibles dans le mentorat spécifiquement pour les femmes; La sélection du modèle de mentorat (à partir d une courte présentation des modèles proposés décrits à la section modèle de mentorat), en tenant compte des définitions du succès des femmes, de leurs enjeux; Les considérations du modèle de mentorat : soutien requis, durée, outils nécessaires, fréquence, etc.; Le recrutement des mentor(e)s et des mentoré(e)es; Intérêt à participer à un projet-pilote. LA DÉFINITION DU SUCCÈS POUR UN HOMME ET POUR UNE FEMME La majorité des répondants hommes dans les trois groupes de discussion indique d entrée de jeu qu il n y a pas de distinction entre les hommes et les femmes quant à leur définition du succès. Toutefois la majorité des femmes des trois groupes ont cerné les particularités suivantes:
3 Hommes déclarent Femmes déclarent Pas de distinction Pour les hommes, le succès est d atteindre ses objectifs financiers, le chiffre d affaires. (3 mentions) La femme atteint le succès lorsqu elle est reconnue et qu elle a un pouvoir d influence dans la région. «La famille, on n en parle pas vraiment nous les hommes» La différence est dans la façon d être et la façon de faire. «Le succès pour les femmes est lié à la passion. C est un mélange d authenticité et d identité. Le produit n est pas au centre et elles souhaitent faire travailler du monde. L homme est plutôt axé sur la croissance.» L équilibre. Sentiment d accomplissement face aux autres. La différence est dans les générations. (2 mentions) Les hommes sont des coqs compétitifs entre eux. Le succès est dans le processus, la finalité est dans la performance et la notoriété. Les hommes : accomplissement monétaire. Le succès des femmes est global : travail et famille. (10 mentions) Les femmes : accomplissement personnel. Équilibre travail-famille. (3 mentions) Le succès: «Faire une différence». Les femmes n ont pas la même échelle de valeurs, les hommes sont orientés vers les résultats, les femmes sont dans le comment, le facteur émotif est important. Les femmes mesurent leur succès par leur autonomie financière. Atteintes des objectifs dans la joie et m amuser. «Même définition du succès pour les hommes et les femmes». Hommes plus compétitifs que les femmes. Il ne devrait pas avoir de différence. (5 mentions) Les hommes et les femmes ont le même intérêt au démarrage de l entreprise. Le succès est personnel à chacun. La définition du succès est propre à chaque individu, l objectif étant de partager la même définition du succès entre les personnes d une même dyade.
4 Quelles sont les approches, les méthodes pour recruter des mentoré(e)s et des mentor(e)s pour développer et supporter l entrepreneuriat féminin? Réseau scolaire (cégep, université); Démarrage d entreprise (CLD, SADC); Diversifier la provenance des mentors : pharmaciens, artistes, dg d organismes, dentistes, etc.; Par des conférences; Les villes; Créer un momentum par la promotion; Prioriser le mentorat; Associations professionnelles; Bouche à oreille; Avoir des mentors ambassadeurs; Approcher des chefs d entreprises; Des messages personnalisés. LES BESOINS ET LES ENJEUX DES FEMMES ENTREPRENEURES RESSORTIS PAR LES PARTICIPANTS AUX GROUPES DE DISCUSSION: Refus de financement plus fréquents chez les femmes, problématique de l accès aux capitaux ainsi que la perception différentes des banquiers à leurs égards. Elles ont souvent peu de crédibilité financière. (7 mentions) Un réseau de contacts faible et une difficulté d accéder à une équipe. (5 mentions) La conciliation travail-famille. (5 mentions) Des doutes et des questionnements plus fréquents chez les femmes. Elles ont des longues réflexions et elles sont constamment à l affût de l information avant de prendre des décisions. (4 mentions), Elles recherchent à maîtriser tous les aspects de l entreprise au lieu de s entourer de gens compétents. (3 mentions) Manque de temps. Culpabilité plus fréquente chez les femmes. Gestion des émotions. Rentabilité.
5 LES BESOINS ET LES ENJEUX DES FEMMES ENTREPRENEURES VERBATIMS DES RÉPONDANTS MASCULINS: «Le stéréotype est en train de changer. Les hommes et les femmes veulent tous réussir (argent et famille). Les familles sont maintenant monoparentales et recomposées. On observe un changement dans l implication familiale des hommes. Les femmes sont plus dures que les hommes. Les hommes prennent plus de place dans les regroupements sociaux, ils aiment plus paraître.» «Les dossiers d affaires des femmes sont plus documentés tandis que les hommes se disent «GO! Je vais m arranger.» VERBATIMS DES RÉPONDANTES FÉMININS: «Les femmes vivent plus de refus des institutions financières. Quelque 70% du microcrédit est une clientèle féminine.» «Les hommes ont confiance en eux et savent s entourer des bonnes personnes. Les femmes souhaitent contrôler toutes les sphères de l entreprise. Elles doutent plus.» «S allier de bons conseillers un mastermind pour pallier aux faiblesses.» «Les femmes souhaitent se faire prendre au sérieux. Elles remettent continuellement en question leur projet d affaires. Elles ont plus la capacité à demander de l aide.» «Les femmes ont un attachement à leurs responsabilités familiales.» LES BESOINS À COMBLER DANS LE MENTORAT, POUR SUSCITER L ENTREPRENEURIAT CHEZ LES FEMMES Possibilité d ajouter un second ou de plusieurs mentors. (4 mentions) Choisir son mentor. (3 mentions) Mentor ayant vécu la conciliation travail-famille. Bons bassins de mentors féminins et masculins, solides et crédibles. Du mentorat axé sur les besoins de sécurité, de gestion des émotions, plus de support psychologique, plus de rétroaction. (3 mentions)
6 La connaissance du secteur. (2 mentions) Offrir le choix d un mentor féminin ou masculin. Avoir un questionnaire sur les attentes et les besoins. Faire des jeux de rôles pour améliorer l intervention des mentors. Avoir un diagnostic du mentoré(e). Faire un bilan annuel de la dyade. Avoir accès à des groupes. Une meilleure formation de base pour approfondir les besoins et les enjeux des femmes. Définir la personnalité. Briser les règles actuelles. VERBATIMS DES RÉPONDANTS MASCULINS: «Ce n est pas dans le cadre du mentorat que l on peut susciter l entrepreneuriat chez les femmes. C est plutôt de soutenir.» «C est un pas vers une stratégie de promotion de l entrepreneuriat.» «On a besoin de faire de la sensibilisation.» «Il faut ramener à des exemples précis. Coach vs mentor. Dans les 2 cas, il importe de préciser «d affaires».» VERBATIMS DES RÉPONDANTES FÉMININS: «De savoir que le mentorat est possible, ça donne confiance.» «Faire connaître les modèles. Les voir.» «Ce n est pas une question de sexe mais de personnalité.» «A une certaine époque de ma vie, lors de mon divorce, je n aurais pas voulu d un mentor homme.» «Explorer la dimension de l intuition.» «Créer une sorte d ambition.» LE MODÈLE DE MENTORAT ET LES CARACTÉRISTIQUES Les participants aux groupes de discussion ont été invités à sélectionner le ou les modèles de mentorat qui répondent, en tenant compte de la définition du succès et des enjeux.
7 1. Le modèle de mentorat basé sur les forces de la mentorée 2. Mentorat entre pairs («peer mentoring») 3. Une mentorée avec plusieurs mentors (formule de groupe) 4. Le e-mentorat 5. Autres La majorité des participants a indiqué que la dyade mixte, demeure un bon choix dans le modèle de mentorat mais avec des ajouts des caractéristiques des modèles présentés. Plusieurs participants ont indiqué la nécessité de conserver une dyade avec un mentor attitré dans l ajout de modèles de mentorat additionnels. La presque totalité des participants ne favorise pas une dyade du même sexe mais ils participants suggèrent de proposer le choix du sexe. Une majorité des participants a ajouté les modèles 2 et 3 qui consistent à accéder à un groupe de mentoré(e)s animer par un(e) mentor(e) et/ou une mentorée avec plusieurs mentor(e)s. Le modèle d une mentorée qui a accès à plusieurs mentors a aussi suscité beaucoup d intérêts mais souvent pour des objectifs de compétences et de connaissances additionnelles qui démontrent le besoin d une forme de service-conseil. L intérêt pour obtenir des formations d appoint et du support entre pairs a été fort éloquent dans les recommandations des participants des trois groupes de discussion particulièrement chez les mentoré(e)s. Les participants ont été unanimes quant à une participation au projet-pilote. LES RECOMMANDATIONS PRIORITAIRES Une description du mentorat, des avantages et des bénéfices pour les deux parties; Promotion du mentorat et de l entrepreneuriat; Un «catalogue» des profils des mentor(e)s; Un questionnaire permettant aux mentorés d établir leur profil, la définition du succès, les enjeux et les besoins ainsi que sa préférence en termes de dyade (homme, femme); Un bilan annuel de la dyade; Un soutien administratif: par un coordonnateur qui gère les demandes et les relations mentorales (l entente entre le ou la mentoré(e) et son mentor(e), le recrutement et la promotion. Le coordonnateur développe à l aide des parties prenantes des formations.
8 LES RECOMMANDATIONS SUR LE FONCTIONNEMENT Les dyades déterminent le nombre de rencontres et la fréquence; Une durée qui peut varier entre une année à plusieurs années mais avec une révision annuelle obligatoire; La formation des mentor(e)s et des mentoré(e)s; Outils d évaluation; Des rencontres d échanges entre mentors. LES RECOMMANDATIONS SUR LE RECRUTEMENT Les participants ont proposés différentes pistes pour le recrutement et la promotion du mentorat dans le but de sensibiliser les femmes entrepreneures et les communautés d affaires. Promotion et publicité : - Publiciser le service : mentors-ambassadeurs, bouche à oreille, connaissances d affaires; - Des capsules sur YouTube; - Maximiser la promotion web; - Décrire des cas vécu dans le journal. Diversifier l offre de mentors. Présenter les avantages et les bénéfices pour les deux parties. Milieu de l éducation (DEP-HEC-UQAM-cours professionnels). Par des conférences. Porte-paroles (3 mentions). Visite des PME. «Chaque entreprise devrait être au courant». Des cas vécus, situation d entrepreneurs au Québec et ici. Promouvoir le mentorat comme une cause sociale. N inviter que les femmes à une rencontre de mentorat. Les associations professionnelles et les intervenants économiques devraient aussi en faire la promotion.
ANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailLA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN
LA RECONNAISSANCE AU TRAVAIL: DES PRATIQUES À VISAGE HUMAIN JEAN-PIERRE BRUN PROFESSEUR CHAIRE EN GESTION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL UNIVERSITÉ LAVAL http://cgsst.fsa.ulaval.ca Dans quatre
Plus en détailUrgence Leadership. Un programme de développement du leadership dans les entreprises québécoises
Urgence Leadership Un programme de développement du leadership dans les entreprises québécoises Forum de réflexion sur le leadership d avenir - CIRANO 26 janvier 2009 1 Urgence Leadership Un programme
Plus en détailMENTORING à l intention de doctorantes et d étudiantes
MENTORING à l intention de doctorantes et d étudiantes May MORRIS, Directrice de Recherche CNRS, biologiste - biochimiste Claudine HERMANN, Professeure honoraire Ecole polytechnique, physicienne Evelyne
Plus en détailPasseport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi
Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite
Plus en détailActivités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut
FÉVRIER 2014 Activités de formation des MRC des Laurentides et des Pays-d en-haut Le calendrier électronique vise à informer les entreprises des MRC des Laurentides et des Pays-d en- Haut sur les différentes
Plus en détailMémoire sur le financement participatif. déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers
Mémoire sur le financement participatif déposé dans le cadre des consultations de l Autorité des marchés financiers Le 1 er mai 2013 Table des matières Introduction... 3 Mise en contexte... 3 Orientation
Plus en détailENQUÊTE SALARIÉS. VIAVOICE Mieux comprendre l opinion pour agir 178 rue de Courcelles 75 017 Paris + 33 (0)1 40 54 13 90 www.institut-viavoice.
Délégation interministérielle à la Famille ENQUÊTE SALARIÉS Baromètre de l Observatoire de la parentalité en entreprise, en partenariat avec la Délégation interministérielle à la famille et l Union nationale
Plus en détailBilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détailUtiliser le secteur privé comme levier?
Utiliser le secteur privé comme levier? Comprendre et analyser la collaboration des organisations canadiennes de développement international avec le secteur privé par le biais du plaidoyer, du dialogue,
Plus en détailCONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015
CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015 RAPPORT DE SYNTHÈSE Est de Terre-Neuve Ouest de Terre-Neuve Labrador TABLE DES MATIERES 1. Introduction... 3 2. Portrait de la population répondante... 4 3. Les avis
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailPolitique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET
Politique d investissement À L INTENTION DES ORGANISATIONS DÉSIRANT DÉPOSER UN PROJET ADOPTÉE LE 9 SEPTEMBRE 2009 MODIFIÉE EN MAI 2012 Le Forum jeunesse Estrie est soutenu financièrement par le gouvernement
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailÉcoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada
MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre
Plus en détailPLAN D'ACTION NOUS JOINDRE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE
SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE PLAN 2015 D'ACTION Le présent document propose des priorités d aux membres du conseil d administration de la SDT (SADCT CLDT) pour 2015 uniquement. Ces s ont été
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détail2013-2014. ersonne. mmigrante - FORUM 2020. as outains. Maison Famille de CÉGEP DE SAINT-HYACINTHE. Emploi SHERBROOKE. Montérégie. la des Maskoutains
MRC des as outains Unmonde votremesure CÉGEP DE SAINT-HYACINTHE Saint-Hyacinthe Technopole CLD Les Maskoutains ersonne mmigrante Emploi Montérégie Centre de santé et de services sociaux Richelieu-Yamaska
Plus en détailUne stratégie d enseignement de la pensée critique
Une stratégie d enseignement de la pensée critique Jacques Boisvert Professeur de psychologie Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu La pensée critique fait partie des capacités à développer dans la formation
Plus en détailPrincipes de gestion et leadership. Kaoutar Mdarhri Alaoui Chef de division de l observatoire de l emploi public MFPMA
Principes de gestion et leadership Kaoutar Mdarhri Alaoui Chef de division de l observatoire de l emploi public MFPMA Sommaire Expérience du MFPMA en matière d institutionnalisation de l égalité entre
Plus en détailContribution à la Consultation nationale des acteurs du soutien à la parentalité
Contribution à la Consultation nationale des acteurs du soutien à la parentalité dans le cadre de la «Mobilisation pour la petite enfance et la parentalité», menée par le Ministère délégué chargé de la
Plus en détailDIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP.
DIRIGEZ MIEUX. AMÉLIOREZ VOTRE COACHING AUPRÈS DES LEADERS. INSTAUREZ UNE MEILLEURE CULTURE DE LEADERSHIP. MOBILIS PERFORMA PRÉSENTE LE PROGRAMME DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN, UNE FORMATION ÉLABORÉE
Plus en détailCadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches
Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailPME ÉVALUATEURS D ENTREPRISES
PME ÉVALUATEURS D ENTREPRISES Division Évaluation d entreprises Division Stratégie et développement Valeur > Performance > Croissance 1 Un nouveau service! L évaluation d entreprise donne un instantané
Plus en détailCompte-rendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008.
Compterendu de la rencontre politique tenue à la Maison du commerce de la Chambre de commerce du Saguenay, lundi le 1er décembre 2008. Animateurs de la rencontre : Madame Nadine Daoud, présidente de la
Plus en détailDéfinir et consolider son projet associatif
FICHE PRATI QUE Définir et consolider son projet associatif L association se place sous le signe de la liberté : celle de se regrouper pour prendre collectivement une initiative. De l idée à la conception,
Plus en détailÉtablir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance
Établir des relations constructives avec les parents en services de garde à l enfance Colloque QuébecStrasbourg Octobre 2008 Présenté par Gilles Cantin, Ph.D. Département d éducation et pédagogie UQAM
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détail»»»» CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? DÉFINITION
5 Fiche de sensibilisation CONCILIATION FAMILLE-TRAVAIL OU COMMENT RÉCONCILIER LES DEUX MONDES DANS LESQUELS NOUS ÉVOLUONS? Il nous arrive fréquemment de nous interroger sur notre façon de faire les choses
Plus en détailSoutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale
Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne
Plus en détailLE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS
LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en
Plus en détail2 Quels usages peut-on faire du focus group? Encadré 1 L utilisation du focus group en évaluation. Explicitation Restitution. Usages du focus group
LE FOCUS GROUP 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? Un focus group est un type d entretien de groupe composé de personnes concernées par une politique de développement ou une intervention. Il est
Plus en détailMAÎTRISER LE CHANGEMENT RECRUTER DIFFÉREMMENT
emploisinfirmieres.com emploisprofessionnelsensante.com emploisenmedecine.com emploisendentisterie.com emploisenpharmacie.com MAÎTRISER LE CHANGEMENT RECRUTER DIFFÉREMMENT emploisenactuariat.com emploisencomptabilite.com
Plus en détail- Dossier de presse -
- Dossier de presse - Janvier 2014 Sommaire I. Valérie Moissonnier & l Institut du Selfcoaching 1. Valérie Moissonnier : son parcours et son blog RadioCoaching 2. L équipe de l Institut du Selfcoaching
Plus en détailCARNET DES SERVICES AUX ENTREPRISES ENSEMBLE, DANS LA MÊME DIRECTION
CARNET DES SERVICES AUX ENTREPRISES ENSEMBLE, DANS LA MÊME DIRECTION Mot de la Directrice du Centre local d emploi de Repentigny 01 Je vous présente avec fierté le carnet des services aux entreprises de
Plus en détailPROGRAMME DE MENTORAT
CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des
Plus en détailQUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014. Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont
QUÉBEC EN FORME ROSEMONT PLAN DE COMMUNICATION 2011-2014 Présenté aux membres du comité Québec en forme Rosemont par Magali Vaidye, le 17 janvier 2012 QUÉBEC EN FORME ROSEMONT Plan de communication 2011-2014
Plus en détailGUIDE D ÉLABORATION DE PROJETS ET DE PLANS D ACTION EN PRÉVENTION DE LA CRIMINALITÉ MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE
GUIDE D ÉLABORATION DE PROJETS ET DE PLANS D ACTION EN PRÉVENTION DE LA CRIMINALITÉ MINISTÈRE DE LA SÉCURITÉ PUBLIQUE JANVIER 2004 2 Auteures Sylvie Gagnon, M.A., Consultante en programmes et en développement
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailLes principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012
Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.
Plus en détailLES ETAPES DU MANAGEMENT LE CONTEXTE MONDIAL
LE CONTEXTE MONDIAL LE CONTEXTE COUTS QUALITE DELAIS LE RÔLE DU MANAGER ROLE DU MANAGER A ) ROLE DE GESTIONNAIRE FINALITE PRODUIRE. Ateindre les objectifs MOYENS GERER Organiser / Planifier / coordonner
Plus en détailCYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC
CYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC «POUR UNE ENTREPRISE DES SERVICES A LA PERSONNE PROFESSIONNELLE ET PERENNE» FEDESAP : TOUR CIT, 3 rue de l Arrivée 75749 PARIS CEDEX 15 Tél : 01 45 38 44 11 contact@fedesap.org
Plus en détailPartenaires en protection Aller de l avant
Partenaires en protection Aller de l avant Rapport de situation Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière Le 26 février 2008 Table des matières Point de vue du gouvernement 3 Consultations
Plus en détailQu est-ce qu un programme de dons?
1 Qu est-ce qu un programme de dons? Le terme «programme de dons» réfère à votre approche politique, stratégique, active visant à construire une relation durable avec vos abonnés et les donateurs. Tout
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détailPLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015
1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours
Plus en détailSTRATÉGIE CLIENT : PROCESSUS D AFFAIRES. Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA KPMG-SECOR
STRATÉGIE CLIENT : PROCESSUS D AFFAIRES Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA KPMG-SECOR Alain Dumas, MBA, ASC, CPA, CA Associé ALAIN DUMAS Associé KPMG-SECOR 555, boul. René-Lévesque Ouest, 9 e étage Montréal,
Plus en détailENTRETIENS JACQUES CARTIER 2013. Colloque. Nouvelles avenues en soutien au développement de l entrepreneuriat et des dirigeants de PME
ENTRETIENS JACQUES CARTIER 2013 Mardi 26 novembre 2013 Amphithéâtre Roland Calori, EM Lyon Business School Colloque Nouvelles avenues en soutien au développement de l entrepreneuriat et des dirigeants
Plus en détailLE SAVIEZ-VOUS? 58 % des français partis en vacances les ont préparés en ligne soit 17,2 millions. (Source : Raffour Interactive 2012)
LE SAVIEZ-VOUS? 58 % des français partis en vacances les ont préparés en ligne soit 17,2 millions. (Source : Raffour Interactive 2012) 12,2 millions ont réservé en ligne, soit 73 % de transformation. (Source
Plus en détailConférence de presse 8 juin 2011
Conférence de presse 8 juin 2011 Conférence de presse 8 juin 2011 1. Objectifs & fonctionnement de l Observatoire des femmes et de l assurance Marie-Louise Antoni et Véronique Morali 3. Principaux éclairages
Plus en détailRenforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied
: : A P P L I E D S U P P O R T : : Renforcez votre entreprise grâce à l expertise d Applied Maximisez votre investissement technologique LE SUCCÈS DE VOTRE ENTREPRISE DÉPEND DE LA PERFORMANCE DE VOS CAPACITÉS
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailParticulier. activités Investisseur Ajout d un quatrième palier à. Entreprise
Faits saillants Particulier Fractionnement de revenu de retraite entre conjoints Indexation contribution Faits parentale saillants au service ayant de un garde impact Crédit direct d impôt sur LogiRénov
Plus en détailRapport annuel 2009-2010
Rapport annuel 2009 2009--2010 Message de la présidente et du directeur général Mesdames et messieurs, Il me fait extrêmement plaisir de vous présenter, pour une première fois en tant que présidente, ce
Plus en détailSondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire. Rapport présenté à la
Sondage sur le phénomène de la cyberintimidation en milieu scolaire Rapport présenté à la Mars 2008 Tables des matières Contexte et objectifs.... 2 Page Méthodologie.3 Profil des répondants...6 Faits saillants..10
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailANNEXE 3 ANALYSE DU QUESTIONNAIRE «EGALITE FEMMES-HOMMES» EN DIRECTION DES AGENT-E-S DU CONSEIL GENERAL DE L ESSONNE (NOVEMBRE-DECEMBRE 2011)
ANNEXE 3 ANALYSE DU QUESTIONNAIRE «EGALITE FEMMES-HOMMES» EN DIRECTION DES AGENT-E-S DU CONSEIL GENERAL DE L ESSONNE (NOVEMBRE-DECEMBRE 2011) 76 INTRODUCTION En mai 2007, le Conseil général de l Essonne
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE
NOTE INTERNE DIRECTION DE L INTERNATIONAL ET DE L UNIVERSITE POLE AFRIQUE ET MEDITERRANEE DECEMBRE 2014 ETUDE AFRIQUE AUPRES DU RESEAU BPIFRANCE EXCELLENCE Bpifrance accompagne le développement des entreprises
Plus en détailAccompagner le changement Développer les talents et le mieux être en entreprise. COACHING Etre acteur de son développement de carrière
Accompagner le changement Développer les talents et le mieux être en entreprise L-Management est une société spécialisée dans l accompagnement des dirigeants et managers qui souhaitent optimiser leur gestion
Plus en détailLe temps partiel un moyen non discriminant pour favoriser la conciliation des temps de vie
Fiches de bonnes pratiques des entreprises ayant obtenu le Label égalité femmes / hommes Le temps partiel un moyen non discriminant pour favoriser la conciliation des temps de vie Le temps partiel est
Plus en détailLe tableau présente 6 processus de la gestion des ressources humaines et un volet communication:
OUTIL 9. LISTE NON-EXHAUSTIVE D EXEMPLES D ACTIONS DIVERSITÉ PAR DOMAINE RH [ OUTILS ] Ce document propose des pistes d action ainsi que des points d attention pour favoriser l égalité des chances au sein
Plus en détailMGP 702c Marketing & Financement d événements. Remarques (1) Remarques (3) Remarques (2)
MGP 702c Marketing & Financement d événements Remarques (1) Cette affiche présente les 9 domaines décrits dans le Projet Management Body of Knowledge (PMBoK) du Project Management Institute (PMI) De même
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailAccélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie
CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES CANADA PROGRAMME D AIDE À LA RECHERCHE INDUSTRIELLE Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie Apperçu PARI-CNRC : Qui sommes-nous? Quel est
Plus en détailFiche entreprise : E10
Fiche entreprise : E10 FONCTION ET CARACTÉRISTIQUES / PERSONNE INTERVIEWÉE La personne interviewée est le directeur de la mutuelle de formation 1 dans le secteur des entreprises adaptées dont 95 % gèrent
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détailForum sur le développement social de Roussillon. Assurer l équilibre. 4 juin 2009. Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay
Forum sur le développement social de Roussillon Assurer l équilibre 4 juin 2009 Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay Assurer l équilibre Le CLD de Roussillon compte parmi ses instances la commission
Plus en détailPour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ
Pour une stratégie de produits dérivés : compte rendu de la recherche effectuée par la SMQ Katy Tari, Orange Kiwi Chargée de projet 1. Mise en contexte La Société des musées québécois (SMQ) s intéresse
Plus en détailComment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti?
Fiche ABC Comment susciter la participation des étudiant e s et en tirer parti? Introduction Il n est pas rare que les enseignant e s souhaitent faire participer davantage les étudiant e s, soit durant
Plus en détailÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS
ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailS ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE
S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février
Plus en détailCahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS
Département fédéral de l intérieur (DFI) Office Fédéral de la Statistique OFS Etat-major Cahier des charges pour la réalisation d un audit externe du programme GUS / OFS Table des matières 1 Généralités
Plus en détailProfil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0
SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes
Plus en détailMémoire sur le projet de loi n o 36, Loi sur la Banque de développement économique du Québec
2013 Mémoire sur le projet de loi n o 36, Loi sur la Banque de développement économique du Québec Présenté à la Commission de l économie et du travail, de l Assemblée nationale du Québec Présenté le 17
Plus en détailUN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE
N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de
Plus en détailSCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING
MASTER DROIT, ECONOMIE, GESTION SCIENCES DU MANAGEMENT INGENIERIE DU MANAGEMENT METIERS DU MARKETING www.univ-littoral.fr PRESENTATION ET OBJECTIFS DE LA FORMATION Pour leur conduite de leurs entreprises
Plus en détailINFONUAGIQUE : EXPLORATIONS
REPTIC - Avril 2015 Cégep Montmorency INFONUAGIQUE : EXPLORATIONS C h r i s t o p h e R e v e r d, c o n s e i l l e r t e c h n o p é d a g o g i q u e À PROPOS DE LA VTÉ Organisme sans but lucratif financé
Plus en détailUn nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011
Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés
Plus en détailGouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3
IV Gouvernement du Québec Ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport, 08-00031 ISBN 978-2-550-52679-7 (version imprimée) ISBN 978-2-550-52680-3 (PDF) Dépôt légal Bibliothèque et Archives nationales
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailCONVENTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE Réf. MCCO1
CONVENTION DE FORMATION PROFESSIONNELLE CONTINUE Réf. MCCO1 Entre ODILE DOLLE COMMUNICATION SARL / ELIDO 2 carrefour de la Croix-Rouge, F- 75006 PARIS Organisme de formation n 11753537875 enregistré auprès
Plus en détailDépartement Enseignement TAXE D APPRENTISSAGE DIAGNOSTIC ET PLAN D ACTIONS
Département Enseignement TAXE D APPRENTISSAGE DIAGNOSTIC ET PLAN D ACTIONS QUI SOMMES-NOUS? MEJT, dont le siège est basé à Champagne au Mont d Or (69) a été créée en 1994 par Gilles GUILLERME. A sa création,
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailBonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015.
MOT DE LA PRÉSIDENTE Séance du conseil d administration du RTL, le 12 mars 2015 Le texte lu fait foi. Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars
Plus en détailProposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES
Proposition d un MODÈLE D ORGANISATION DE SERVICES JUIN 2007 Nous tenons à remercier Madame Suzanne Nicolas, consultante en santé primaire et gestion, pour la consultation qu elle a effectué et le rapport
Plus en détailLa transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio
Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie
Plus en détailCompte rendu. Jeudi 21 mai 2015 Séance de 11 heures 15. Mission d information commune sur la banque publique d investissement, Bpifrance
Compte rendu Mission d information commune sur la banque publique d investissement, Bpifrance Jeudi 21 mai 2015 Séance de 11 heures 15 Compte rendu n 25 Audition, ouverte à la presse, de M. Patrice BÉGAY,
Plus en détailenvironics research group
environics research group Sommaire Sondage en ligne sur les perceptions du public concernant le développement de carrière et le milieu de travail Janvier 2011 Préparé pour : Parrainé en partie par : 33,
Plus en détailSaguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012
Saguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012 Préparé par le comité régional du développement de Jeunes Entreprises - Jean-Michel Gobeil, agent de sensibilisation à l entrepreneuriat jeunesse - Chrystelle
Plus en détailCatalogue de formations. Leadership & développement durable
Catalogue de formations Leadership & développement durable Table des matières La formatrice 3 L Art de prendre de bonnes décisions 4 Mieux communiquer pour mieux collaborer 5 Développer sa capacité d influence
Plus en détailEnquête nationale sur le développement commercial des PME. Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés
Enquête nationale sur le développement commercial des PME Etude réalisée du 15 juin au 15 août 2009 sur un panel de 240 PME de moins de 250 salariés 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 1. SYNTHESE DE L ENQUÊTE...
Plus en détailEnsemble vers de saines habitudes de vie!
Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec
Plus en détailSuivi et évaluation des marchés ayant intégré le développement durable
Suivi et évaluation des marchés ayant intégré le développement durable L expérience du Conseil général de l Isère. Blandine Collin - service juridique - DDQ CGI intervention RAEE du 11-02-2010 1 HISTORIQUE
Plus en détail