Délégation de la Sarthe le 21 janvier Séance du 5 février 2015

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1 Délégation de la Sarthe le 21 janvier 2015 Rapport de la Directrice Générale de l Agence Régionale de Santé Délégation Territoriale de la Sarthe au Conseil Départemental de l'environnement, et des Risques Sanitaires et Technologiques Séance du 5 février 2015 Modernisation et extension de l usine de Sablé sur Sarthe : autorisation préfectorale au titre de l article L du code de la santé publique Le SIAEP de Sarthe et Loir est alimenté en eau (pour la partie correspondante à l ancien syndicat de la Martinière comportant 8 communes et desservant habitants) par une usine de potabilisation à Sablé sur Sarthe, pompant l eau dans la rivière Sarthe

2 Cette usine est autorisée à prélever et potabiliser m3/h d eau de la Sarthe, par arrêté préfectoral du 22 décembre 2010, arrêté qui définit également, par DUP, les périmètres de protection autour de cette prise d eau Un stockage de secours (bassin de storage) permet à l unité de fonctionner 5 jours sans pompage en Sarthe. En 2013, cette usine a produit 3 millions de m3 d eau. Dans les faits, cette usine date de 1966 et a fait l objet de travaux jusqu en Contexte : Bien que prévue pour produire 1200 m3/h, en réalité, cette usine est techniquement limitée à 800 m3/h. Par ailleurs, la filière traitement actuelle, bien que complète, ne répond plus totalement aux critères attendus sur la qualité et la sécurité des traitements : absence de suivi en continu de la qualité de l'eau brute, dépassements fréquents sur le paramètre COT, dépassements ponctuels sur les bromates, présence de bactéries sulfito-réductrices et de certains pesticides,

3 manque de supervision et d'asservissement pour les traitements, absence de destruction des évents d ozone, et aucun traitement des boues et eaux de process (rejet à la Sarthe). D où la décision du syndicat d engager une rénovation de la filière de traitement. La qualité et le traitement actuel La prise d eau en Sarthe dispose d un périmètre de protection (DUP du 22 décembre 2010) La qualité de l eau brute est conforme aux normes des eaux brutes utilisées pour la production d eau destinée à la consommation humaine. Néanmoins, il faut noter une eau brute présentant une teneur élevée en matières organiques, une eau colorée, et la présence d un cocktail important de pesticides. Elle est par ailleurs, naturellement assez fortement minéralisée (TH de l ordre de 30 avec un potentiel entartrant élevé). La filière actuelle comporte 2 files de traitement similaire (une de 1966 et une de 1982) comportant : Une pré-ozonation Une décarbonatation et coagulation par lait de chaux, amidon et chlorure ferrique Une décantation Une filtration sur sable Une inter ozonation Une filtration sur charbon actif en grains Une désinfection finale à l eau de Javel Une remise à l équilibre calco carbonique

4 Compte tenu des insuffisances évoquées précédemment, le projet consiste à rénover cette usine de façon à assurer une capacité de production réelle de 1200 m3/h, d améliorer l abattement du COT et donc limiter la formation des composés chlorés indésirables (THM), d assurer la destruction des évents d ozonation, d améliorer le suivi, la gestion et le fonctionnement des équipements et des traitements, mieux surveiller une éventuelle pollution en Sarthe et assurer une meilleure gestion des eaux de process et les boues.

5 La filière retenue est, dans le principe, similaire à celle actuelle, mais en rajoutant une étape de coagulation floculation à floc lesté par injection de charbon actif en poudre, chlorure ferrique, amidon et micro sable, afin d assurer un meilleure affinage de l eau notamment visà-vis des pesticides et matière organique. La possibilité d intégrer ultérieurement une étape de désinfection aux ultra violets des eaux filtrées avant la chloration est également prévue.

6

7 Un certain nombre d équipements de l usine actuelle sont conservés (l ozonation, la désinfection finale, la remise à l équilibre calco carbonique, la filtration sur charbon actif en grains, les 3 filtres à sable de la file la plus récente Tous les produits et procédés de traitement sont autorisés au titre de la production d eau destinée à la consommation humaine. Cette filière modernisée ne devrait pas apporter d amélioration vis à vis du paramètre bromate. Néanmoins, le développement des automatismes et de la supervision doit être de nature à faciliter la gestion du taux d ozonation au regard du ph et de la température de l eau brute, facteurs influençant la production de bromates

8 La gestion des eaux de process et de boues : Il est prévu la collecte de l ensemble des rejets, un épaississement des boues, une déshydratation des boues par filtre presse, un stockage des boues (autonomie 6 mois) et une valorisation agricole. Les eaux de process et issues du traitement des boues sont rejetées dans la Sarthe avec contrôle du ph et de la turbidité. Ce dispositif a fait l objet d un récépissé en date du 10 avril 2014 au titre de la loi sur l eau. La valorisation agricole de boues ne pourra se faire que dans le respect des normes et règles applicables (qualité, plan d épandage, suivi et traçabilité) Surveillance : Qualité de l eau brute : mise en place d une station d alerte au niveau du point de pompage en Sarthe avec arrêt prévu en cas de dépassement de certaines seuils. Il est prévu un suivi en continu de paramètres ph, conductivité, turbidité, oxygène dissous, température, ammoniaque, hydrocarbures dissous et matières organiques, Un suivi de la toxicité par système biologique (test poisson ou équivalent).

9 Il est également prévu une autosurveillance par intrumentation le long de la filière sur les paramètres de suivi de l efficacité des traitements et du fonctionnement des organes de gestion. L ensemble des informations (station d alerte, instrumentation) fait l objet d une supervision informatique permettant une gestion de alertes, un renvoi vers un système d astreinte et d aide à la décision.

10 Le pétitionnaire devra définir une procédure détaillée et disposer d une traçabilité les opérations d entretien, vérification et d étalonnage de tous ces équipements. Une analyse de risque le long de la filière a également permis de déterminer les équipements de secours en fonction de la gravité du risque identifié (stock de pièce et de pompe de secours)

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