Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

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1 Observatoire 2017 des Universités et des Écoles Novembre 2017 kpmg.fr

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3 Édito Je suis très heureux de vous présenter cette nouvelle et septième édition de l Observatoire des Universités et des Écoles 2017 qui s inscrit dans une période porteuse d espoir pour le secteur de l Enseignement supérieur et de la Recherche. En effet, les pouvoirs publics, en pleine réflexion, semblent vouloir développer l excellence de ce secteur afin de maintenir la France parmi les pays porteurs d innovations. Data Analytics, intelligence artificielle, nanotechnologies, psychologies des comportements : les nouvelles technologies creusent leur sillon dans ce domaine tant parmi les enseignements proposés à travers de nouvelles filières diplômantes, que pour la gestion quotidienne des établissements. Elles représentent dans les deux cas un nouveau défi d investissement pour les Universités et les Écoles. L Observatoire 2017 présente une nouvelle fois une analyse du passé pour mieux appréhender le futur. Les indicateurs choisis se complètent et s affinent à chaque édition pour approfondir notre connaissance commune et partagée de l Enseignement supérieur et de la Recherche. L ensemble des professionnels KPMG en charge de ce secteur et moi-même vous souhaitons une très bonne découverte de ces nouveaux chiffres et nous tenons, chacune et chacun, à votre écoute au quotidien. François Bloch Directeur Général, KPMG Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

4 SOMMAIRE

5 Objectif 6 Méthodologie 6 Point clé 6 1. Universités Recettes Dépenses Patrimoine Structure financière Écoles et Instituts Recettes Dépenses Patrimoine Structure financière 27 KPMG et l Enseignement supérieur et la Recherche 28 KPMG en un regard 30 Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

6 Objectif L objectif de l Observatoire est d apporter des éclairages sur les données financières des établissements (Universités, Écoles et Instituts) et d établir des ratios permettant de faciliter la compréhension des enjeux de l Enseignement supérieur et de la Recherche. L organisation et les objectifs des Universités et des Écoles étant très différents, il convient de ne pas comparer les ratios de ces deux catégories d établissement. Méthodologie L Observatoire 2017 porte sur un échantillon de 25 établissements d Enseignement supérieur de différentes régions de France et correspondant à des disciplines diverses. Notre échantillon se compose de : 17 UNIVERSITÉS, soit 23 % des universités adhérentes de l AMUE* ; 8 ÉCOLES ET INSTITUTS, soit 14 % des écoles et instituts adhérents de l AMUE. Chaque année l Observatoire des Universités et des Écoles compose l échantillon des établissements à partir de caractéristiques similaires afin que les données et ratios présentés soient comparables. Point clé Ce nouvel Observatoire fait apparaître une gestion très orthodoxe des entités concernées et un montant d investissements significatif bien supérieur en moyenne à la capacité d autofinancement dégagée dans l exercice. * Agence de Mutualisation des Universités et Établissements N.B. : Les moyennes N-1, correspondant à l année 2015, ne sont pas toujours identiques à l édition 2016 car celles-ci ont été retraitées de manière à prendre en compte un référentiel identique aux données 2016 et ainsi permettre une comparaison et une analyse plus justes. 6 - Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

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8 1 UNIVERSITÉS

9 1.1 Recettes Répartition des recettes Concernant les recettes totales, le constat de cette année est celui d une baisse constante en valeur relative des dotations de l État. Les «recettes neutralisation et reprises de subventions d investissement» sont isolées des «recettes totales» afin que les «recettes propres» reflètent plus fidèlement l activité de l université. En effet, d importantes neutralisations d amortissement pourraient biaiser l analyse de l activité si ces données étaient présentées sans distinction. Du côté des recettes propres, il n y a pas d évolution significative. Toutes les composantes ont évolué dans les mêmes proportions. 79% Recettes totales Dotation de l État 79% 80% 82% Recettes neutralisation et reprises de 5% 4% 4% subventions 1 5% 16% 1 Hors opération exceptionnelle 19% Subventions d exploitation / Recherche % 39% 38% 3% 17% Recettes propres hors dotation État et Amortissements Neutralisés 38% Taxe d apprentissage 5% 4% 6% Formation continue 18% 18% 17% Droits d inscription 17% 17% 17% Reprises subventions d investissement 1 3% 5% 4% 18% 5% Autres recettes de fonctionnement 19% 18% 17% 100% 100% 100% Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 9

10 1.2 Dépenses Répartition des dépenses Il n y a pas de variation significative dans les principales rubriques de dépenses. 5% 2% 16% Dépenses totales Répartition des dépenses, hors masse salariale et hors amortissements neutralisés Parmi les autres dépenses d exploitation, une augmentation est observée concernant notamment l entretien et les frais de scolarité. 24% 11% 17% Évolution de la répartition des dépenses stables 46% 2% 78% Masse salariale 78% 78% 79% Amortissements non neutralisés 2% 2% 2% Amortissements neutralisés 5% 4% 4% Autres dépenses d exploitation 1 16% 15% 15% Achats 17% 18% 19% Loyers matériel 2% 2% 3% Services extérieurs 46% 46% 46% Autres dépenses d exploitation 1 24% 21% 21% Amortissements non neutralisés 11% 14% 11% 100% 100% 100% 1 Hors éléments exceptionnels Dépenses moyennes par étudiant L augmentation de la moyenne des dépenses par étudiant est de 1 %. L évolution des charges constatée est proportionnelle au nombre d étudiants. Deux universités présentent un écart significatif : pour une, supérieur à et pour l autre inférieur à Dépenses moyennes par étudiant en Moyenne Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

11 Dépenses moyennes par étudiant, hors ressources propres Comme les années précédentes, les ressources propres ont un impact peu significatif sur les dépenses par étudiant. Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moyenne Dépenses moyennes hors ressources propres par étudiant en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Taux d encadrement moyen des étudiants Trois universités font apparaître un taux d encadrement inférieur à 3 %. Les universités pluridisciplinaires scientifiques supportent toujours un taux d encadrement plus important. Taux d encadrement moyen des étudiants en % Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moyenne 4,2 % 4,0 % 5,8 % Moy Nombre d étudiants 4,9 % 4,9 % Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Ce ratio se calcule de la manière suivante : nombre d enseignants nombre d étudiants Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 11

12 Masse salariale par étudiant La masse salariale par étudiant évolue en proportion du nombre d étudiants. Masse salariale par étudiant en Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moyenne Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Dépenses générales de fonctionnement par étudiant Les dépenses générales de fonctionnement augmentent d un peu plus de 20 %, en particulier sur les frais de scolarité et d implantation à l étranger. Dépenses de fonctionnement par étudiant en (hors masse salariale et sortie d'actifs neutralisés) Moyenne Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

13 Salaire brut annuel moyen par agent Cette donnée n avait pas été présentée lors des éditions précédentes mais était néanmoins observée par les experts KPMG car elle apporte un éclairage sur l évolution constante de ce ratio et également sur les disparités entre établissements liées à la masse salariale notamment. L augmentation de la moyenne est d environ 1,5 %. Celle-ci est principalement liée au GVT (Glissement Vieillissement Technicité), c est-à-dire une notion de variation de la masse salariale à effectif constant. Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moyenne Salaire y compris charges sociales en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 13

14 Masse salariale par université La croissance de la masse salariale est structurelle. Elle est en lien avec les changements d indices, d échelons et de quelques recrutements. Universités avec masse salariale inférieure à la moyenne Masse salariale (en M ) Moyenne M Universités Universités avec masse salariale supérieure à la moyenne Légère augmentation de la masse salariale pour ces universités. Masse salariale (en M ) Moyenne M Universités Moyenne 107 M Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

15 Évolution du poids de la masse salariale (y compris charges sociales) sur les recettes totales Six universités enregistrent un fléchissement du ratio «masse salariale» / «recette totales». Masse salariale / Recettes totales en % Moyenne Universités 76 % 77 % Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. 1.3 Patrimoine Taux d amortissement moyen On constate un vieillissement du parc immobilier, sans renouvellement. Cela induit une dégradation du ratio. À noter : les taux d amortissement moyens supérieurs à 60 %, observés pour certaines universités signifient que leur patrimoine n est pas très ancien, environ au milieu de sa durée de vie. Moyenne Taux d amortissement moyen en % Tertiaires à dominante lettres 51 % 70 Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé 45 % 55 % Moy Nombre d étudiants 51 % 44 % Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 15

16 Superficie bâtie par étudiant Sur cet exercice, il y a une baisse notable de la superficie bâtie par étudiant. Superficie par étudiant en m 2 Tertiaires à dominante lettres Tertiaires à dominante droit / économie Pluridisciplinaires avec santé Moyenne 6 m 2 5 m 2 8 m Moy Nombre d étudiants 6 m 2 78,6 m 2 2 Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Financement des investissements de l année par établissement Globalement, les universités ont réalisé des investissements supérieurs à leur capacité d autofinancement en prélevant sur leurs fonds de roulement. Multiplicateur investissement de l'année par rapport à la CAF (en %) En moyenne, les universités ont réalisé des investissements à hauteur d 1,2 fois leur capacité d autofinancement Moyenne Universités Moyenne x1,2 Ce ratio est déterminé de la façon suivante : investissements réalisés nets de subventions capacité d autofinancement 16 - Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

17 1.4 Structure financière Analyse de la trésorerie Les fonds de roulement constitués par les Universités assurent à ces institutions des réserves de trésorerie permettant le financement d investissements futurs. Les universités n 8 et 13 ont constaté une baisse de leur trésorerie, du fait de leur niveau d investissement plus fort. en M En M Moyenne Universités Fonds de roulement (FDR) Besoin en fonds de roulement (BFR) Trésorerie 16,6-6,7 23,3 Évolution du FDR en jours de dépenses Le calcul ne tient pas compte des engagements d investissements N qui se réaliseront sur l exercice suivant, nécessaires dans la détermination du fonds de roulement réellement mobilisable. En 2015, le ratio s était dégradé en raison des prélèvements effectués sur les dotations de l État. Nombre de jours En 2016, ces prélèvements n ont pas eu lieu et les universités recomposent leur fonds de roulement d où l augmentation de la moyenne globale annuelle. Les universités 8 et 14 constatent une augmentation plus marquée de leur ratio Moyenne Universités jours 46 jours Ce ratio se calcule de la manière suivante : fonds de roulement dépenses de fonctionnement x 365 Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 17

18 2 ÉCOLES ET INSTITUTS

19 2.1 Recettes Répartition des recettes Concernant les recettes totales, on constate une augmentation de la dotation de l État en valeur relative. Du côté des recettes propres, les revenus liés à la recherche sont en légère régression, en partie du fait des changements de méthode de comptabilisation. Les «recettes neutralisation et reprises de subventions d investissement» sont isolées des «recettes totales» afin que les «recettes propres» reflètent plus fidèlement l activité de l école. En effet, d importantes neutralisations d amortissement pourraient biaiser l analyse de l activité si ces données étaient présentées sans distinction. 70% % Recettes totales 22% Dotation de l État 70% 68% 68% Recettes neutralisation et reprises de 8% 7% 7% subventions 1 1 Hors opération exceptionnelle 30% Recettes propres hors dotation État et Amortissements Neutralisés 18% 6% 6% 40% Subventions d exploitation / 40% 44% 43% Recherche Taxe d apprentissage 6% 6% 7% Formation continue 6% 4% 2% Droits d inscription 18% 16% 15% Autres recettes de fonctionnement 30% 30% 33% 100% 100% 100% Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 19

20 2.2 Dépenses Répartition des dépenses, hors masse salariale et hors amortissements neutralisés Les autres dépenses d exploitation sont en augmentation en particulier du fait des évolutions des frais de scolarité. Répartition des dépenses La masse salariale augmente régulièrement. N.B. : Les dépenses d exploitation ainsi que les dépenses financières et exceptionnelles ne sont pas présentées car non significatives (<1 %). 23% 20% 12% Évolution de la répartition des dépenses stables 19% 2% 7% Dépenses totales 47% 3% 67% Masse salariale 67% 66% 64% Amortissements non neutralisés 3% 4% 4% Amortissements neutralisés 7% 7% 7% Autres dépenses d exploitation 1 23% 23% 25% Achats 19% 19% 18% Loyers matériel 2% 2% 2% Services extérieurs 47% 50% 51% Autres dépenses d exploitation 1 20% 16% 15% Amortissements non neutralisés 12% 12% 14% 100% 100% 100% 1 Hors éléments exceptionnels Dépenses moyennes par étudiant L augmentation de la moyenne des dépenses par étudiant est de 1 %. Dépenses moyennes par étudiant en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

21 Dépenses moyennes par étudiant, hors ressources propres Les dépenses par étudiant hors ressources propres ont augmenté de 2,5 %. Dépenses moyennes par étudiant, hors ressources propres, en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. Taux d encadrement moyen des étudiants Toutes les écoles ont un taux d encadrement proche de la moyenne exceptée une seule. Taux d encadrement moyen des étudiants en % Moy Nombre d étudiants 10,9 % 9,5 % Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique. Ce ratio se calcule de la manière suivante : nombre d enseignants nombre d étudiants Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 21

22 Masse salariale par étudiant La masse salariale par étudiant a connu une augmentation d 1,6 %. Masse salariale par étudiant en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. Dépenses de fonctionnement par étudiant Les dépenses générales de fonctionnement augmentent d un peu plus de 2 %. Dépenses de fonctionnement par étudiant en (hors masse salariale, amortissements et sortie d'actifs neutralisés) Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

23 Salaire brut annuel moyen par agent Cette donnée n avait pas été présentée lors des éditions précédentes mais était néanmoins observée par les experts KPMG car elle apporte un éclairage sur son augmentation constante de ce ratio et également sur les disparités entre établissements. Salaire y compris charges sociales en Moy Nombre d étudiants Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 23

24 Masse salariale par université Écoles avec masse salariale inférieure à la moyenne Pour les écoles dont la masse salariale est inférieure à la moyenne, on constate une très légère augmentation globale. Parmi les écoles dont la masse salariale est supérieure à la moyenne, une seule constate une baisse. Masse salariale (en M ) Moyenne ,6 M Écoles Écoles avec masse salariale supérieure à la moyenne Légère augmentation de la masse salariale pour ces universités. Masse salariale (en M ) Moyenne ,6 M 20 Moyenne Écoles 40,6 M Note de lecture : les universités du panel sont positionnées sur ce graphique Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

25 Évolution du poids de la masse salariale (y compris charges sociales) sur les recettes totales Trois écoles constatent une masse salariale inférieure à la moyenne. Masse salariale / Recettes totales en % Moyenne Écoles 71 % 68 % Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. 2.3 Patrimoine Taux d amortissement moyen Le taux moyen est globalement inférieur à 60 %. Taux d amortissement moyen en % Moy Nombre d étudiants 51 % 48 % Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 25

26 Superficie par étudiant La superficie par étudiant et stable d une année sur l autre pour les Écoles. Superficie par étudiant en m Moy Nombre d étudiants 24 m m 22 Note de lecture : les écoles du panel sont positionnées sur ce graphique. Financement des investissements de l année par établissement Les écoles ont réalisé des investissements significatifs. Pour cette édition, ce sont les investissements financés sur fonds propres qui ont été observés. Les subventions reçues pour les financer ont été retirées, d où la diminution du facteur multiplicateur par rapport à l édition précédente. En moyenne, les écoles ont réalisé des investissements à hauteur d 1,5 fois leur capacité d autofinancement. Moyenne Multiplicateur investissement de l'année par rapport à la CAF 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0, Moyenne Écoles x1,5 Ce coefficient multiplicateur est déterminé de la façon suivante : investissements réalisés capacité d autofinancement 26 - Observatoire 2017 des Universités et des Écoles

27 2.4 Structure financière Analyse de la trésorerie Les fonds de roulement constitués par les écoles assurent à ces institutions des réserves de trésorerie permettant le financement d investissements futurs. En M Moyenne Écoles en M Fonds de roulement (FDR) Besoin en fonds de roulement (BFR) Trésorerie 11,5-3,9 15,4 Évolution du FDR en jours de dépenses Le calcul ne tient pas compte des engagements d investissements N qui se réaliseront sur l exercice suivant, nécessaires dans la détermination du fonds de roulement réellement mobilisable. En 2015, le ratio s était dégradé en raison des prélèvements effectués sur les dotations de l État. Nombre de jours En 2016, ces prélèvements n ont pas eu lieu et les écoles recomposent leur fonds de roulement d où l augmentation de la moyenne globale annuelle Moyenne Écoles jours 78 jours Cette évolution se calcule de la manière suivante : fonds de roulement dépenses de fonctionnement x 365 Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 27

28 KPMG ET L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET LA RECHERCHE

29 Une expertise confirmée sur le terrain Les professionnels du réseau KPMG Enseignement supérieur et Recherche accompagnent quotidiennement divers acteurs de l éducation, de la formation et de la recherche pour les aider à répondre aux enjeux de ce secteur en forte mutation : > certification des comptes et accompagnement à la mise en place de la réduction des délais de clôture ; > plan stratégique ; > organisation et renforcement des dispositifs de contrôle interne (CICF) ; > plan de transformation et application de l instruction relative aux modalités de comptabilisation des opérations pluriannuelles ; > optimisation des outils de pilotage et de gestion ; > passage à la GBCP et audit du système d information. Une connaissance approfondie des enjeux du secteur Faisant écho à l actualité financière et comptable, KPMG organise des rendez-vous thématiques et publie régulièrement des études sur des sujets sectoriels ou transversaux. > Panorama de l attractivité de l Enseignement supérieur et de la Recherche, en partenariat avec Groupe AEF > Guide «Universités et Économie Sociale et Solidaire» > Conférence «Pilotage de l activité et réduction des délais de clôture des comptes» - Novembre 2014 > Conférence «Dispositifs de valorisation de la recherche : actualité législative & enjeux fiscaux pour les universités et fondations» - Mai 2013 > Guide des bonnes pratiques en matière de fondations universitaires Observatoire 2017 des Universites et des Écoles - 29

30 KPMG EN UN REGARD

31 KPMG, leader de l audit, du conseil et de l expertise comptable en France KPMG accompagne les sociétés cotées et groupes internationaux dans le cadre de missions d audit, de conseil financier (acquisitions cessions, introduction en bourse ) et de conseil en management. Le cabinet intervient auprès des PME, ETI, groupes familiaux, TPE, artisans, commerçants et professions libérales pour les accompagner à chaque étape de leur développement : expertise comptable, certification des comptes, aide à la création, évaluation, gestion sociale, transmission, conseil patrimonial, juridique et fiscal... KPMG apporte également son expertise aux acteurs de l Économie Sociale et Solidaire, de la Santé et du Secteur Public Local, à l État et aux collectivités territoriales, sur des sujets aussi variés que l information financière, la gouvernance, l évaluation, le pilotage, le contrôle interne ou externe Chiffres clés 238 bureaux en France professionnels KPMG en France compte plus de clients parmi lesquels : > références dans les collectivités publiques > associations et acteurs de l Économie Sociale et Solidaire > 200 sociétés cotées ou faisant appel public à l épargne Observatoire 2017 des Universités et des Écoles - 31

32 Contacts Bernard Bazillon Directeur national, Associé, Direction nationale Économie Sociale et Solidaire Enseignement Supérieur & Recherche Tél. : +33 (0) ecosociale@kpmg.fr Christian Liberos Directeur Associé, Référent Enseignement Supérieur & Recherche Tél. : +33 (0) cliberos@kpmg.fr Tour EQHO 2 avenue Gambetta CS Paris La Défense Cedex kpmg.fr Les informations contenues dans ce document sont d ordre général et ne sont pas destinées à traiter les particularités d une personne ou d une entité. Bien que nous fassions tout notre possible pour fournir des informations exactes et appropriées, nous ne pouvons garantir que ces informations seront toujours exactes à une date ultérieure. Elles ne peuvent ni ne doivent servir de support à des décisions sans validation par les professionnels ad hoc. KPMG S.A. est le membre français du réseau KPMG International constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative, une entité de droit suisse («KPMG International»). KPMG International ne propose pas de services aux clients. Aucun cabinet membre n a le droit d engager KPMG International ou les autres cabinets membres vis-à-vis des tiers. KPMG International n a le droit d engager aucun cabinet membre KPMG S.A., société anonyme d expertise comptable et de commissariat aux comptes, membre français du réseau KPMG constitué de cabinets indépendants adhérents de KPMG International Cooperative, une entité de droit suisse. Tous droits réservés. Le nom KPMG et le logo sont des marques déposées ou des marques de KPMG International. Imprimé en France. Conception - Réalisation : Communication - OLIVER - Novembre Crédit photos : Shutterstock.

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