ENQUÊTE 2013 EMPLOI & FORMATION DANS LE LOT

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1 ENQUÊTE 2013 EMPLOI & FORMATION DANS LE LOT Faire avancer toutes les envies d entreprendre

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3 ENQUÊTE CCI EMPLOI FORMATION 2013 Le réseau des CCI de Midi-Pyrénées a interrogé, entre février et avril 2013, les entreprises ayant au moins un salarié inscrites au Registre du Commerce et des Sociétés. 4 secteurs ont été enquêtés : industrie agroalimentaire, métallurgie-mécatronique, filière TIC et activités touristiques. Au niveau régional, entreprises ont répondu à cette enquête, dont 94 dans le Lot. Nous les remercions vivement pour leur contribution. Un redressement statistique a été réalisé afin d assurer une représentativité des résultats par taille d entreprise et secteur d activité. Les résultats sont exprimés en pourcentage d entreprise répondantes. La 10 e édition de cette enquête a été réalisée en collaboration avec le CarifOref Midi-Pyrénées, Pôle emploi et l APEC. Elle permet de connaître à un moment donné la situation économique des entreprises ainsi que leurs pratiques et leurs besoins en matière d emploi et de formation. PANEL DE L ENQUÊTE LOTOISE : 94 ENTREPRISES INTERROGÉES : 35 entreprises relevant des activités touristiques (hôtel, restaurant, camping, activité de loisirs, etc.). 7 entreprises relevant de la filière TIC (développement et édition de logiciel, bureau d études, etc.). 30 entreprises relevant de l industrie agroalimentaire. 22 entreprises relevant de l industrie métallurgique et mécatronique. SOMMAIRE : Résumé global..3 Industrie agroalimentaire..9 Industrie métallurgique, mécatronique 13 Activités touristiques 17 En raison de la taille de l échantillon de la filière TIC, les réponses concernant ce secteur ont été intégrées dans le résumé global mais il n a pas été établi de présentation détaillée. 3

4 R É S U M É G L O B A L La situation économique La majorité des entreprises sondées (39%) enregistre une hausse du chiffre d affaires en Les baisses ont donc été minoritaires (24%). Pour 2013, les dirigeants sont majoritairement attentistes : 43% prévoient plutôt une stabilité du chiffre d affaires. Malgré tout, 37% se disent confiants et espèrent une hausse. 50% Evolution du chiffre d'affaires en 2012 et % 0% Baisse Stable Hausse Même si l activité progresse, les performances économiques purent dévoilent une toute autre vérité : le résultat d exploitation n augmente que pour 23% des entreprises contre 32% qui le constatent en baisse. Pour 2013, la situation semble s éclaircir quelque peu : 45% des sondés le prévoient stable et 33% en hausse. 50% Evolution du résultat d'exploitation en 2012 et % 0% Baisse Stable Hausse L emploi EMPLOIS INTERIMAIRES 74% des entreprises interrogées n ont pas eu recours aux intérimaires en L industrie agroalimentaire a été la moins pourvoyeuse d emplois intérimaires. Les industries métallurgique et mécatronique et surtout les industries agroalimentaires ont bien plus fait appel à ce type d employés. SAISONNIERS 55% des entreprises interrogées n ont pas embauché de saisonniers en Mais les disparités sectorielles sont très fortes : la plupart des établissements touristiques en ont embauchés contre 1/3 des industries agroalimentaires et seulement 10% des industries métallurgique-mécatronique. 4

5 RECRUTEMENTS Les entreprises lotoises sont celles qui, proportionnellement, ont le plus embauché ou essayé d embaucher parmi tous les départements de Midi-Pyrénées en En effet, 63,2% des entreprises lotoises ont accru (temporairement ou durablement) leurs effectifs, juste devant celles des Hautes-Pyrénées (62,6%) et celles du Gers (62,2%). 70% 65% 60% 55% 50% 45% 40% Part des réponses "oui" par département La moyenne régionale se situe à 56,2%. Au-dessous de cette moyenne, on retrouve l Ariège (55%) et l Aveyron (53,4%). Métallurgie et mécatronique Part des entreprises qui ont recruté ou tenter de recruter en 2012 Agroalimentaire Activités touristiques Dans le détail, les activités touristiques ont davantage recruté ou tenté de recruter (71%, plus fort taux régional) que l industrie agroalimentaire (60%, dans la fourchette haute de la région) et que l industrie métallurgique et mécatronique (59%, similaire à la moyenne régionale). 40% 50% 60% 70% 80% Cependant, il faut préciser que ces recrutements concernent également le personnel intérimaire et saisonnier. Il ne s agit donc pas dans toutes les situations de véritables créations de postes. Interrogés sur leurs canaux de recrutement, les dirigeants lotois répondent à 27% par «réseaux et relations», à 23% par candidatures spontanées et à 23% également grâce à Pôle Emploi et/ou l APEC. A noter que les entreprises ne possèdent pas qu un seul canal de recrutement et que la plupart d entre elles ont fourni plusieurs réponses à cette question. Le recrutement via les agences d intérim n a été cité que par 11% des sondés. Toutes les autres réponses sont plutôt négligeables. Ainsi, les mutations internes et les recrutements par la voie de la formation (suite à un contrat en alternance, de stage, etc.) concernent très peu de cas (respectivement 2 et 3%). Organisme de placement, cabinet de recrutement Répartition des réponses, tous secteurs. Autre Par réseaux et relations Mutation interne Agences d'intérim Petites annonces 2% 1% 2% 2% 3% 4% 5% 11% 23% 23% 27% 5

6 DIFFICULTÉS POUR RECRUTER En moyenne, près de 71% des dirigeants lotois ressentent des difficultés pour accroître et/ou renouveler leurs effectifs. Cette proportion s élevait à 82% en Les freins constatés dans les industries agroalimentaire et métallurgique-mécatronique ont principalement pour origine la rareté des compétences recherchées, l absence ou la déficience de filières de formation et, surtout pour l agroalimentaire, le manque de motivation ou de fiabilité des candidats. A la différence du secteur industriel, le tourisme semble éprouver davantage de difficultés pour accroître et/ou renouveler ses effectifs. En tête des raisons invoquées, on retrouve le manque de motivation ou de fiabilité des candidats, le manque d expérience et la rareté des compétences recherchées. Le Lot, un territoire peu attractif? Les chefs d entreprise répondent non : Enfin, il est important de souligner que les éléments faisant référence au manque d attractivité de la zone géographique ou du secteur d activité ne sont pas identifiés par les dirigeants lotois comme des freins au recrutement. Ces réponses peuvent paraître surprenantes aux vues des idées couramment admises. L explication vient du fait que, notamment dans l industrie (comme vu plus haut), une part importante des recrutements sont effectués par réseaux et relations, situations dans lesquelles les problèmes d attractivité s effacent. Au contraire, lorsque les entreprises ne parviennent pas à recruter, les raisons énoncées rejoignent d autres phénomènes qui sont identifiés de longue date dans le Lot : l inadéquation entre la demande et l offre de travail pour la main d œuvre rapidement disponible et présente sur place. Quelques difficultés engendrent des renoncements 32% des entreprises annoncent avoir renoncé à leur(s) recrutement(s) en raison d au moins une des difficultés suivantes : manque d attractivité du secteur d activité ou de la zone géographique, niveau de salaire trop bas, rareté des compétences recherchées, manque d expérience, manque de motivation ou de fiabilité des candidats, absence ou déficience des filières de formation, inadéquation entre temps proposé et temps voulu. Cette proportion s élève à 40% dans l industrie agroalimentaire mais ne concerne que 17% des entreprises de la métallurgie - mécatronique. En deux ans, la proportion des entreprises qui n ont pas pu mener à terme leurs projets de recrutement a augmenté, passant de 18 à 32%. Cependant, comme on vient de le voir, la part des entreprises qui ne ressentent aucun frein à l embauche a également progressé (de 13 à 20%). Cette situation paradoxale peut être expliquée par un écart grandissant entre, d une part, des entreprises «attractives» pour les candidats et, d autre part, des entreprises qui, pour diverses raisons liées à la situation géographique, à l impopularité du secteur d activité, au manque de formations, etc. ne parviennent pas à combler leurs besoins d effectifs. PRÉVISIONS DE RECRUTEMENT POUR % des entreprises lotoises interrogées envisagent de recruter en La répartition sectorielle est plutôt bien équilibrée : 59% dans le tourisme, 62% dans l agroalimentaire et 51% dans la métallurgie - mécatronique. Cité par 32% des sondés, l accroissement de l activité est de loin la principale cause des recrutements des entreprises lotoises. L anticipation des futurs départs (19%) et le remplacement des salariés (15%) sont les deux autres motifs les plus fréquemment cités. Tourisme : pallier à l accroissement de l activité L accroissement de l activité est plus souvent cité dans les activités touristiques que dans les autres secteurs pour justifier les futurs recrutements. Il s agit d ailleurs de la seule cause invoquée par les répondants pour laquelle le poids statistique est représentatif parmi les réponses des professionnels du tourisme. Agroalimentaire : remplacer les départs Dans l industrie agroalimentaire, une exigence surpasse de loin toutes les autres : le besoin de remplacer les futurs départs de salariés. Ces futurs départs sont principalement des départs à la retraite, ce qui sous-entend enseignement important de cette étude que la moyenne d âge des salariés de l industrie agroalimentaire serait plus élevée que dans les autres secteurs. Métallurgie et mécatronique : trois principales raisons pour recruter Enfin, dans les industries métallurgiques et mécatroniques, 3 réponses sont livrées dans les mêmes proportions : l accroissement de l activité, l anticipation des futurs départs et l évolution technologique de l entreprise. Cette dernière réponse n est pratiquement jamais citée par les répondants des autres secteurs. 6

7 EXPÉRIENCE ET QUALIFICATIONS REQUISES A la question de savoir pour quel niveau d expérience les dirigeants souhaitent engager les recrutements, les recherches sont principalement orientées vers «expérimenté avec plus de 5 ans d expérience». Mais les réponses sont très disparates d un secteur à l autre : Expérience requise pour engager les recrutements 30% Indifférent Débutant Expérimenté < 5 ans Expérimenté > 5 ans 59% 61% 46% 40% 21% 26% 29% 30% 16% 12% 11% 11% 14% 1% 39% Tourisme Industrie agroalimentaire Industrie mécatronique, métallurgique Le total par secteur peut dépasser 100% en raison des réponses multiples. TOTAL En termes de niveaux de qualification exigés, les dirigeants privilégient les CAP, BEP et les BAC. Au-delà, les réponses deviennent minoritaires. Cependant, là encore les différences sectorielles sont importantes : Qualification requise pour engager les recrutements CAP BEP BAC BAC+2, BAC+3 BAC+4, BAC+5 73% 62% 37% 37% 17% 5% 1% 1% 32% 73% 51% 32% 55% 49% 24% 11% Tourisme Industrie agroalimentaire Industrie mécatronique, métallurgique TOTAL EMPLOIS RECHERCHÉS PRIORITAIREMENT Les professionnels du tourisme recherchent des serveurs/barmen, cuisiniers/chefs de cuisine et animateurs. Dans l industrie agroalimentaire, les besoins sont variés et concernent les activités de production, l encadrement et la partie commerciale. Dans les industries métallurgiques et mécatroniques, les recherches se concentrent sur les opérateurs de commandes numériques et techniciens-agents de maîtrise. Néanmoins, les réponses sont assez disparates, même pour des secteurs d activité identiques. Par rapport à 2012, 73% des entreprises souhaitent rester en 2013 sur le même rythme de recrutement. La part des hausses annoncées est plus élevée (21%) que la part des baisses (6%). Mais les disparités sectorielles sont importantes : l industrie agroalimentaire est très majoritairement attentiste (84% des réponses), ainsi que le tourisme (83%). Mais la première affiche une intéressante part de hausses (11%) tandis que le second est plutôt pessimiste (seulement 6% de hausses). La métallurgiquemécatronique envisage majoritairement d accroître ses recrutements (58% à la hausse). Nota Bene : - Les réponses de la dernière question sont à prendre avec prudence car il s agit de prévisions. Dans les faits, seule une partie des prévisions de recrutement est généralement suivie d effet. 7

8 - Deux secteurs d activité (l agroalimentaire et la métallurgie-mécatronique) sur les trois étudiés sont plutôt épargnés par la crise économique actuelle. Aussi, les enseignements tirés de cette étude ne sauraient en aucun cas refléter la situation de toute l économie lotoise. - Enfin, le panel étudié ne concerne que des entreprises de forme sociétaire, qui sont statistiquement plus solides face aux conséquences de la crise économique, au contraire des entreprises individuelles. DÉPARTS Les départs de salariés devraient toucher, en 2013, 37% des entreprises, ce qui implique une anticipation pour les remplacer. Avec 54% des entreprises concernées, l industrie agroalimentaire est la plus touchée, contre seulement 39% dans l industrie métallurgique/mécatronique et 29% dans le tourisme. Les départs à la retraite sont les motifs les plus souvent cités dans l industrie métallurgique - mécatronique et l industrie agroalimentaire. En revanche, dans les activités touristiques, les futurs départs auront pour principal motif les fins de contrats. A noter que 7% des entreprises de l agroalimentaire prévoient de futurs licenciements économiques. Enfin, l immense majorité des entreprises ne se disent pas confrontées à un turn-over important. Les secteurs les plus touchés sont l industrie agroalimentaire et le tourisme (environ 20% des cas). CONTRATS DE GÉNÉRATION Objectif : permettre l embauche en CDI d un jeune tout en maintenant dans l emploi un salarié sénior. 37% des entreprises répondantes souhaitent être informées sur les détails du contrat de génération. LA FORMATION Seule une entreprise sur deux a réalisé des actions de formation en Les industries agroalimentaire (56%) et métallurgique/mécatronique (52%) sont les plus vertueuses, au contraire des activités touristiques (40%). Les deux tiers des entreprises interrogées veulent monter des actions de formation en Là encore, les industries agroalimentaire et métallurgique-mécatronique sont les plus enthousiastes. DIFFICULTÉS DANS LA MISE EN ŒUVRE DES FORMATIONS 77% des entreprises qui réalisent des actions de formation ne ressentent pas de freins dans leurs mises en œuvre. Mais les résultats diffèrent d un secteur à l autre : les industries agroalimentaire et métallurgiquemécatronique sont les plus satisfaites, au contraire des activités touristiques dont 35% des dirigeants se plaignent de difficultés. La plupart des difficultés constatées sont imputables à l indisponibilité des salariés (50% des cas), et au financement (31%). CHOIX DE L ORGANISME DE FORMATION Dans le Lot, tous secteurs confondus, la proximité géographique apparaît comme le critère le plus important (cité par 28% des sondés) pour choisir l organisme de formation. La personnalisation de la proposition faite à l entreprise est également très souvent citée (26%). L accompagnement global (18%), le prix (15%) et même la notoriété (13%) sont secondaires. Néanmoins, les activités touristiques et l industrie agroalimentaire privilégient la proximité et l industrie métallurgique-mécatronique est la seule à privilégier l accompagnement global, à égalité avec le prix. FORMATIONS RÉALISÉES Les domaines de formation les plus souvent réalisés en 2012 ont concerné l hygiène et la sécurité (28% des réponses), devant des domaines techniques propres à l activité de chaque entreprise (14%), la bureautique, informatique (10%) et la qualité (9%). 8

9 Pour 2013, les thèmes retenus restent les mêmes : les formations en hygiène et sécurité devraient être demandées par 22% des entreprises, devant les formations techniques (14%). SOURCES D INFORMATIONS SUR LA FORMATION La branche professionnelle (OPCA, syndicat professionnel) est la source d informations la plus souvent citée par les entreprises (29%), tous secteurs confondus. Juste après, les conseillers CCI sont cités par 19% des entreprises. A noter que les organismes de formation sont très peu sollicités. LES ORIENTATIONS PRIORITAIRES ET LES BESOINS Interrogés sur les grandes actions en cours de réalisation ou prévues à court/moyen terme pour développer leur entreprise, les dirigeants se focalisent sur certains thèmes : les investissements matériels pour leur permettre de rester compétitif ; dans le domaine des ressources humaines : la rédaction des fiches de postes et la réalisation des entretiens professionnels ; la formalisation des plans de formation pour permettre aux salariés de bénéficier de leurs droits à la formation continue ; la rédaction du document unique d évaluation des risques professionnels pour se conformer avec les exigences réglementaires. En revanche, malgré la moyenne d âge élevée des dirigeants lotois, ces derniers sont peu nombreux à citer les thèmes relatifs à la recherche d un successeur (moins de 10% des citations). Les cinq premiers domaines dans lesquels les entreprises souhaitent être accompagnées par la CCI concernent : les informations sur les mesures d aides à l emploi, les informations sur l offre de formation, les informations sur les dispositifs de formation, les échanges d expérience avec d autres entreprises les aides au développement de la communication et de la promotion de l établissement. 51% des entreprises touristiques souhaitent être accompagnées sur les mesures d aides à l emploi. POUR VOTRE ENTREPRISE, CHAQUE ELEMENT SUIVANT EST-IL DEJA REALISE, EN COURS OU PREVU A COURT OU MOYEN TERMES? Thématiques Réalisé, en cours Prévu POLITIQUE GÉNÉRALE Faire appel à la sous-traitance 26% 4% INVESTISSEMENTS Équipements, matériel 38% 24% Immobilier 18% 16% RESSOURCES HUMAINES Elaborer des fiches de postes 30% 12% Recrutement 17% 6% Réaliser des entretiens professionnels 25% 10% Mettre en place une procédure de recrutement 22% 3% Formaliser un plan de formation 25% 14% Elaborer le document unique d évaluation des 46% 23% risques professionnels DANS QUELS DOMAINES SOUHAITEZ-VOUS ETRE ACCOMPAGNE PAR LA CCI? Souhaite Thématiques l accompagnement de la CCI Informations sur les mesures 51% d aides à l emploi Échanges d expériences avec 26% d autres entreprises LA FORMATION Offre de formation 39% Informations sur les dispositifs de 33% formation AUTRES DOMAINES Communication, promotion de 25% l entreprise 9

10 I N D U S T R I E A G R O A L I M E N T A I R E L industrie agroalimentaire regroupe les activités qui transforment des matières premières issues de l agriculture, de l élevage ou de la pêche en produits alimentaires pour l homme ou l animal. En Midi-Pyrénées, ce secteur est dominé par la production laitière et la transformation de viandes. Le Lot se distingue par la variété de ses productions (confiture, viande ovine, foie gras, vin, etc.), et par le poids des emplois salariés qui y sont consacrés. De plus, la plupart des produits font l objet d un label de qualité et d origine (AOC, IGP, Label Rouge, etc.) permettant à toute l économie lotoise de tirer avantage de cette renommée. Ce secteur héberge dans le Lot environ 380 établissements et emploie près de 2600 salariés. La situation économique 50% Evolution du chiffre d'affaires en 2012 et % 0% Baisse Stable Hausse La majorité des entreprises sondées (42%) enregistre une stagnation du chiffre d affaires en Les baisses sont très minoritaires (18%). Pour 2013, les dirigeants sont majoritairement attentistes : 45% prévoient plutôt une stabilité du chiffre d affaires. Malgré tout, 37% se disent confiants et espèrent une hausse. 50% Evolution du résultat d'exploitation 2012 et % 0% Baisse Stable Hausse Même si l activité progresse, les performances économiques pures sont mauvaises puisqu à peine 18% des répondants constatent une hausse du résultat d exploitation. Les tendances sont plus optimistes pour 2013 : 32% des dirigeants prévoient une hausse du résultat d exploitation et seulement 20% l anticipe à la baisse. 10

11 L emploi EMPLOIS INTERIMAIRES 37% des entreprises agroalimentaires ont fait appel à des intérimaires en 2012, soit le plus fort taux des trois secteurs de cette étude. Mais la moitié des entreprises en ont employé moins que l année précédente. RECRUTEMENTS 60% des entreprises ont recruté ou tenté de recruter en 2012, le Lot s inscrivant dans la fourchette haute du niveau régional. Les réseaux et relations des dirigeants sont les canaux que privilégient par les recruteurs de ce secteur. Au contraire, les candidatures spontanées sont beaucoup moins mises à profit. Pôle Emploi et l APEC interviennent pour, en moyenne, 20% des recrutements. La majorité des entreprises consultées éprouvent peu de difficultés pour accroître et/ou renouveler leurs effectifs. Néanmoins, les freins perçus concernent la rareté des compétences recherchées, l absence ou la déficience de filières de formation et le manque de motivation ou de fiabilité des candidats. Ces difficultés sont de longue date connues dans le Lot et prouvent qu il persiste une inadéquation entre la demande et l offre de travail pour la main d œuvre disponible sur place. Des facteurs indirects jouent également en défaveur des recrutements, dont principalement la faiblesse de l offre de logements adaptés aux jeunes (étudiants ou actifs), le manque de transports en commun, et la difficulté pour le conjoint de trouver un emploi à proximité. Envisagez-vous de recruter en 2013? (hors intérimaires et stagiares) 33% 5% Oui Non 62% des dirigeants d une industrie agroalimentaire envisagent de recruter en % Ne sait pas Dans l industrie agroalimentaire, les besoins en recrutement se justifient par : - l anticipation des futurs départs (43% des réponses), - l accroissement de l activité (32%). Pour satisfaire leurs besoins en recrutement, la plupart des dirigeants orientent leurs recherches vers des candidats possédant une expérience d au moins 5 ans, c est-à-dire des salariés rapidement opérationnels et autonomes. Le CAP et BEP sont majoritairement jugés suffisants. Profils plus particulièrement recherchés : CAP et BEP. En 2012, l emploi avait progressé dans l industrie agroalimentaire lotoise. Pour 2013, 62% des dirigeants souhaitent faire de même et accroître leurs effectifs. DÉPARTS DE SALARIÉS Avec 54% des entreprises concernées, l industrie agroalimentaire est la plus touchée. Les départs en retraite (35% des cas) et les futurs licenciements économiques (7%) en seront les principaux motifs. 78% des entreprises ne se sentent pas confrontées par un turn-over important. 11

12 CONTRATS DE GÉNÉRATION Objectif : permettre l embauche en CDI d un jeune tout en maintenant dans l emploi un salarié sénior. 29% des entreprises répondantes souhaitent être informées sur les détails du contrat de génération. La formation En 2012, 56% des entreprises de l agroalimentaire ont réalisé des actions de formation. L industrie agroalimentaire a plébiscité des formations en hygiène et sécurité (34% des cas) loin devant les domaines de la qualité (14%). Au total, 61% des entreprises qui réalisent des actions de formation n éprouvent pas de difficultés dans leurs mises en œuvre, arrivent à mobiliser leurs salariés et sont informées sur les aspects juridiques. Néanmoins, quelques freins sont ressentis concernant le financement de ces formations et le choix parmi une offre mal adaptée aux besoins. L habitude (citée par 33% des répondants) et les recommandations de l entourage professionnel (25%) sont les principaux critères de choix de l organisme de formation. Au contraire, les catalogues, les sites internet et même les conseils de l OPCA ne sont pas prépondérants. En complément, les industriels de l agroalimentaire privilégient en tout premier lieu la proximité du lieu de la formation. La notoriété de l organisme et, même, l accompagnement global qu il peut fournir à l entreprise ne sont pas déterminants. En termes de sources d information, l industrie agroalimentaire préfère majoritairement la branche professionnelle devant toutes les autres. Seuls 13% d entre eux affirment consulter les conseillers CCI, au même niveau que les experts-comptables. Dans tous les cas, les organismes de formation sont très peu sollicités, de même que les revues et sites internet spécialisés. Pour 2013, la proportion d entreprises intéressées par des actions de formation progresse (65%). Le premier thème souhaité pour 2013 reste le même qu en 2012 : l hygiène/sécurité devrait être demandé par 24% des entreprises. Ensuite, les domaines techniques liés aux savoir-faire de l entreprise sont plébiscités par 13% des répondants. Les autres domaines demeurent à des niveaux marginaux. 12

13 Les orientations prioritaires et les besoins Interrogés sur les grandes actions en cours de réalisation ou prévues à court/moyen terme pour développer leur entreprise, les dirigeants se focalisent sur certains thèmes : les investissements matériels pour leur permettre de rester compétitif ; la rédaction du document unique d évaluation des risques professionnels pour se conformer avec les exigences réglementaires. dans le domaine des ressources humaines : la rédaction des fiches de postes et la réalisation des entretiens professionnels ; En revanche, malgré la moyenne d âge élevée des dirigeants lotois, ces derniers sont peu nombreux à citer le thème relatif à la recherche d un successeur. POUR VOTRE ENTREPRISE, CHAQUE ELEMENT SUIVANT EST-IL DEJA REALISE, EN COURS OU PREVU A COURT OU MOYEN TERMES? Thématiques Réalisé, en cours Prévu INVESTISSEMENTS Équipements, matériel 41% 13% RESSOURCES HUMAINES Elaborer des fiches de postes 33% 13% Document unique d évaluation des risques professionnels 48% 15% Formaliser un plan de formation et organiser le DIF 33% 3% Mettre en place, réaliser des entretiens professionnels 28% 3% Les principaux domaines dans lesquels les entreprises souhaitent être accompagnées par la CCI concernent : les informations sur les mesures d aides à l emploi, les offres de formation, les informations sur les dispositifs de formation, les aides au financement des formations, les aides à la communication et à la promotion de l entreprise, l organisation de la production et/ou des activités commerciales. 53% des entreprises de l agroalimentaire souhaitent être accompagnées sur les mesures d aides à l emploi. DANS QUELS DOMAINES SOUHAITEZ-VOUS ETRE ACCOMPAGNE PAR LA CCI? Souhaite Thématiques l accompagnement de la CCI EMPLOI ET RESSOURCES HUMAINES Informations sur les mesures 53% d aides à l emploi FORMATION Aide au financement 29% Offre de formation 52% Informations sur les dispositifs de 33% formation AUTRES DOMAINES Communication, promotion 25% Organisation de la production, 25% organisation commerciale 13

14 I N D U S T R I E M É T A L L U R G I Q U E & M É C A T R O N I Q U E Les activités prises en compte dans cette étude regroupent le travail des métaux, l industrie électrique, électronique et mécanique ainsi que la réparation et l installation de machines et d équipements. Dans le Lot, ces activités s articulent autour de l aéronautique, la fabrication de composants électriques et électroniques, la mécanique, le travail des métaux, le traitement de surfaces, etc. Ce secteur héberge dans le Lot environ 220 établissements et emploie 4500 salariés. La situation économique 60% 40% 20% Evolution du chiffre d'affaires en 2012 et % Baisse Stable Hausse La majorité des entreprises sondées (41%) enregistre une hausse du chiffre d affaires en Les baisses sont minoritaires (28%). Pour 2013, une large majorité (49%) de dirigeants anticipe une hausse du chiffre d affaires. Seuls 13% d entre eux s attend à une baisse. 50% 40% 30% 20% 10% 0% Evolution du résultat d'exploitation 2012 et Baisse Stable Hausse Contrairement aux autres secteurs, les résultats d exploitation des entreprises de la métallurgie-mécatronique se sont bien comportés : stables dans 41% des entreprises et en hausse dans 31%. Les tendances sont bien orientées : 46% le prévoient en hausse et seulement 13% l anticipe à la baisse. 14

15 L emploi EMPLOIS INTERIMAIRES 30% des entreprises de l industrie métallurgiquemécatronique ont fait appel à des intérimaires. Les trois quarts de ces entreprises en ont embauché autant que l année précédente. RECRUTEMENTS 59% des entreprises ont recruté ou tenté de recruter en 2012, le Lot s inscrivant au niveau de la moyenne régionale. Les réseaux et relations sont les canaux de recrutement privilégiés par les dirigeants de ce secteur. Au contraire, ils mettent beaucoup moins à profit les candidatures spontanées (autour de 17% des réponses). Pôle Emploi et l APEC interviennent pour, en moyenne, 21% des recrutements. 71% des dirigeants de ce secteur ressentent des freins pour accroître et/ou renouveler leurs effectifs. Ces difficultés mettent en avant, par ordre d importance, la rareté des compétences recherchées, l absence ou la déficience de filières de formation et le manque de motivation ou de fiabilité des candidats. Ainsi, lorsque les entreprises ne parviennent pas à recruter, les raisons énoncées mettent en avant les défauts du Lot : inadéquation entre la demande et l offre de travail pour la main d œuvre rapidement disponible et présente sur place, défaut de filières de formation adaptées aux besoins des entreprises, difficulté dans la recherche d emploi du conjoint, manque de logements adaptés au pouvoir d achat des jeunes actifs. Envisagez-vous de recruter en 2013? (hors intérimaires et stagiares) 6% Oui 51% des dirigeants d entreprises de l industrie métallurgique mécatronique envisagent de recruter en % 51% Non Ne sait pas 3 réponses sont livrées dans les mêmes proportions (autour de 25%) pour justifier les besoins en recrutement : - l accroissement de l activité, - l anticipation des futurs départs, - l évolution technologique de l entreprise. Pour ce faire, la plupart des recherches sont orientées sur des candidats expérimentés mais avec moins de 5 ans d expérience. Les dirigeants de ce secteur sont plus exigeants que les autres quant au niveau de diplôme : 73% demandent au moins le BAC et 55% le niveau BAC+2. En 2012, l emploi dans ce secteur avait déjà progressé. Pour 2013, 58% des dirigeants souhaitent faire de même et accroître leurs effectifs. DÉPARTS EN RETRAITE 39% des entreprises se disent concernées par de futurs départs de salariés. Ils auront pour principal motif les départs en retraite. L immense majorité des entreprises ne se sentent pas confrontées par un turn-over important. Profils plus particulièrement recherchés : niveaux BAC et BAC+2. 15

16 CONTRATS DE GÉNÉRATION Objectif : permettre l embauche en CDI d un jeune tout en maintenant dans l emploi un salarié sénior. 38% des entreprises répondantes souhaitent être informées sur les détails du contrat de génération. La formation En 2012, 52% des entreprises ont réalisé des actions de formation. Les domaines les plus souvent réalisés en 2012 par les entreprises de l industrie métallurgiquemécatronique ont concerné les formations techniques adaptées à leurs cœurs de métier (23%) et les formations sur l hygiène/sécurité (19%). Au total, 67% des entreprises qui réalisent des actions de formation n éprouvent pas de difficultés dans leurs mises en œuvre. La panoplie des offres proposées est satisfaisante, les dirigeants en maîtrisent l aspect juridique, les salariés sont globalement disponibles et les financements sont possibles. L habitude (citée par 32% des répondants) et les conseils des OPCA (26%) sont les principaux critères de choix de l organisme de formation. Au contraire, les industriels accordent peu d importance aux catalogues et aux sites internet spécialisés. En complément, les industriels privilégient autant l accompagnement global que peut fournir l organisme de formation et le prix qu il peut proposer (23% des réponses). La proximité du lieu de formation n est primordiale que pour 13% des sondés. De même, sa notoriété est très majoritairement jugée secondaire. En termes de sources d information, les dirigeants préfèrent majoritairement la branche professionnelle devant toutes les autres sources. Seuls 13% d entre eux affirment consulter les conseillers CCI. Dans tous les cas, les organismes de formation sont très peu sollicités. Pour 2013, la proportion d entreprises intéressées par des actions de formation progresse (68%). Les premiers thèmes souhaités pour 2013 restent les mêmes qu en 2012 : l hygiène/sécurité devrait être demandé par 20% des entreprises, devant les domaines techniques (15%) et la bureautique (13%). 16

17 Les orientations prioritaires et les besoins Interrogés sur les grandes actions en cours de réalisation ou prévues à court/moyen terme pour développer leur entreprise, les dirigeants se focalisent sur certains thèmes : les investissements matériels pour leur permettre de rester compétitif ; la rédaction du document unique d évaluation des risques professionnels pour se conformer avec les exigences réglementaires. l appel à la sous-traitance pour se concentrer sur ses activités stratégiques. En revanche, malgré la moyenne d âge élevée des dirigeants lotois, ces derniers sont peu nombreux à citer le thème relatif à la recherche d un successeur (7% des citations). POUR VOTRE ENTREPRISE, CHAQUE ELEMENT SUIVANT EST-IL DEJA REALISE, EN COURS OU PREVU A COURT OU MOYEN TERMES? Thématiques Réalisé, en cours Prévu POLITIQUE GÉNÉRALE Faire appel à la sous-traitance 39% 35% INVESTISSEMENTS Équipements, matériel 50% 14% Immobilier 19% 16% RESSOURCES HUMAINES Elaborer des fiches de postes 28% 14% Document unique d évaluation des risques professionnels 46% 36% Formaliser un plan de formation et organiser le DIF 24% 18% Les principaux domaines dans lesquels les entreprises souhaitent être accompagnées par la CCI concernent : les informations sur les mesures d aides à l emploi, les offres de formation, les échanges d expérience avec d autres entreprises, les informations sur les dispositifs de formation, le développement des technologies de l information et de la communication, la sécurité. 62% des entreprises de la métallurgie - mécatronique souhaitent être accompagnées sur les mesures d aides à l emploi. DANS QUELS DOMAINES SOUHAITEZ-VOUS ETRE ACCOMPAGNE PAR LA CCI? Souhaite Thématiques l accompagnement de la CCI INVESTISSEMENTS Augmenter, moderniser les équipements, le matériel 18% EMPLOI et RESSOURCES HUMAINES Document unique d évaluation des risques professionnels 22% Informations sur les mesures d aides à l emploi 62% Droit du travail 29% Échanges d expériences avec d autres entreprises 32% LA FORMATION Aide au financement 18% Offre de formation 36% Informations sur les dispositifs de formation 27% AUTRES DOMAINES Informations économiques 18% TIC 25% Communication, promotion 23% Sécurité 25% Environnement 24% 17

18 A C T V I T É S T O U R I S T I Q U E S Les activités prises en compte dans cette étude partie regroupent les restaurants traditionnels, la restauration rapide, les débits de boissons, les hôtels, les campings, les musées et autres lieux touristiques, ainsi que le transport lié au tourisme (transport routier de voyageurs, téléphériques, transports fluviaux). Ce secteur offre une large palette de métiers demandant professionnalisme et savoir-faire. Les employeurs recherchent une main d œuvre qualifiée afin de satisfaire la demande d une clientèle de plus en plus exigeante. Ce secteur héberge dans le Lot environ 1100 établissements et emploie plus de 1500 salariés. La situation économique 60% 40% 20% Evolution du chiffre d'affaires en 2012 et % Baisse Stable Hausse La majorité des entreprises sondées enregistre une hausse du chiffre d affaires en Les baisses n ont concerné que 28% des entreprises. Pour 2013, ils sont majoritairement attentistes : près d un sur deux s attend à une stabilité de l activité. 50% 40% 30% 20% 10% Evolution du résultat d'exploitation 2012 et % Baisse Stable Hausse Même si l activité globale progresse, la rentabilité économique évolue peu (43% la juge stable) et une part importante (33%) la constate en baisse. Les prévisions ne sont guère encourageantes : 38% prévoient une stabilité du résultat d exploitation et 34% une baisse. 18

19 L emploi INTERIM ET EMPLOIS SAISONNIERS De tous les secteurs concernés par la présente enquête, les activités touristiques sont celles qui ont le moins (16%) engagé de personnel intérimaires en Les effectifs employés sont restés globalement identiques à ceux de % des établissements touristiques ont embauché des saisonniers. Il s agit là du plus fort pourcentage sectoriel. RECRUTEMENTS 71% des entreprises touristiques ont recruté ou tenté de recruter en Il s agit du plus fort taux régional et, dans le Lot, du plus fort taux sectoriel. Cependant, ces données sont à relativiser car elles comprennent du personnel saisonnier pour une bonne part. Il s agit donc, dans peu d entreprises, d augmentations nettes et durables d effectifs. Les candidatures spontanées et, dans une moindre mesure, Pôle Emploi/APEC arrivent en tête des modes de recrutement : respectivement 30% et 27% des réponses. Les réseaux et relations interviennent beaucoup moins souvent (seulement 18%). Le tourisme semble éprouver davantage de difficultés pour accroître et/ou renouveler ses effectifs que les autres secteurs étudiés. En tête des raisons invoquées, on retrouve le manque de motivation ou de fiabilité des candidats (cités par 19% des dirigeants), le manque d expérience (17%) et la rareté des compétences recherchées (14%). Envisagez-vous de recruter en 2013? (hors intérimaires et stagiares) 32% 9% 59% Oui Non Ne sait pas 59% des entreprises lotoises interrogées envisagent de recruter en L accroissement de l activité est la raison la plus souvent citée par les professionnels du tourisme pour justifier les besoins en recrutements à venir. 59% des sondés ont dit vouloir recruter en 2013, dont la majorité dans le but d accompagner l accroissement de l activité. A la question de savoir pour quel niveau d expérience ils souhaitent engager ces recrutements, 57% répondent «expérimenté avec moins de 5 ans d expérience» et seulement 10% «expérimenté avec plus de 5 ans d expérience». Ils ne recherchent donc pas, en majorité, des débutants. Quant aux niveaux de diplômes exigés, la grande majorité des répondants (71%) tablent sur des niveaux CAP ou BEP. Profils plus particulièrement recherchés : niveaux CAP et BEP. Les professionnels du tourisme recherchent plutôt des serveurs/barmen, cuisiniers/chefs de cuisine et animateurs. Concernant 2013, les dirigeants sont très majoritairement attentistes : 80% veulent stabiliser les effectifs. DÉPARTS EN RETRAITE Seules 29% des entreprises du tourisme se disent concernées par des départs de salariés. Ces futurs départs auront pour principal motif les fins de contrats (78% des réponses). L immense majorité des entreprises ne se sentent pas confrontées par un turn-over important. Dans le tourisme, il s agit de 20% des entreprises. 19

20 CONTRATS DE GÉNÉRATION Objectif : permettre l embauche en CDI d un jeune tout en maintenant dans l emploi un salarié sénior. 34% des entreprises répondantes souhaitent être informées sur les détails du contrat de génération. La formation En 2012, 40% des entreprises touristiques ont réalisé des actions de formation. Les domaines de formation les plus souvent réalisés en 2012 par les entreprises du tourisme ont concerné l hygiène et/ou la sécurité (cités par 29% des entreprises), devant la bureautique (17%) et l informatique (17%). Tous secteurs confondus, 77% des entreprises qui réalisent des actions de formation n éprouvent pas de difficultés dans leurs mises en œuvre. Dans le tourisme, les difficultés semblent plus nombreuses puisque cette proportion n est que de 47%. La plupart des freins au recours à la formation sont imputables à l indisponibilité des salariés (50% des cas), et au financement (31%). En complément, les dirigeants privilégient à 24% la proximité, devant la personnalisation de l offre (18%). En termes de sources d information sur la formation, les activités touristiques privilégient les conseillers CCI (30%) devant les responsables des branches professionnelles (26%). A noter que les organismes de formation sont peu sollicités (9%). Pour 2013, la proportion d entreprises intéressées par des actions de formation s élève légèrement (51%). Le premier thème souhaité pour 2013 reste le même qu en 2012 : l hygiène/sécurité devrait être demandé par 29% des entreprises touristiques. Les connaissances en GRH sont sollicitées par 12% des répondants. De manière générale, les habitudes passées et les conseils des OPCA sont les principaux critères de choix de l organisme de formation. Pour les activités touristiques, les OPCA sont prépondérants (29% des cas). Au contraire, les sites internet spécialisés et les actions commerciales engagées par les organismes semblent moins déterminants dans les choix effectués par les dirigeants. 20

21 Les orientations prioritaires et les besoins Interrogés sur les grandes actions en cours de réalisation ou prévues à court/moyen terme pour développer leur entreprise, les dirigeants se focalisent sur certains thèmes : la rédaction du document unique d évaluation des risques professionnels pour se conformer avec les exigences réglementaires. les investissements matériels pour leur permettre de rester compétitif ; le développement du e-commerce pour conquérir de nouveaux marchés. En revanche, malgré la moyenne d âge élevée des dirigeants lotois, ces derniers sont peu nombreux à citer le thème relatif à la recherche d un successeur (moins de 10% des citations). POUR VOTRE ENTREPRISE, CHAQUE ELEMENT SUIVANT EST-IL DEJA REALISE, EN COURS OU PREVU A COURT OU MOYEN TERMES? Thématiques Réalisé, en cours Prévu POLITIQUE COMMERCIALE Développer l e-commerce 28% 11% INVESTISSEMENTS Équipements, matériel 33% 24% Immobilier 19% 16% RESSOURCES HUMAINES Elaborer des fiches de postes 24% 6% Recrutement 17% 6% Document unique d évaluation des risques professionnels 38% 22% Les cinq premiers domaines dans lesquels les entreprises touristiques souhaitent être accompagnées par la CCI concernent : les informations sur les mesures d aides à l emploi (même si ce thème est peu cité dans les réalisations en cours ou prévues à court/moyen terme), les informations sur les dispositifs de formation, les aides au développement de la communication et de la promotion de l établissement, les investissements en équipements et matériels, le développement durable. 41% des entreprises touristiques souhaitent être accompagnées sur les mesures d aides à l emploi. DANS QUELS DOMAINES SOUHAITEZ-VOUS ETRE ACCOMPAGNE PAR LA CCI? Souhaite Thématiques l accompagnement de la CCI INVESTISSEMENTS Augmenter, moderniser les équipements, le matériel 29% EMPLOI et RESSOURCES HUMAINES Document unique d évaluation des risques professionnels 15% Informations sur les mesures d aides à l emploi 41% Droit du travail 25% Échanges d expériences avec d autres entreprises 22% LA FORMATION Offre de formation 27% Informations sur les dispositifs de formation 33% AUTRES DOMAINES Informations économiques 19% TIC 25% Communication, promotion 31% Environnement 24% Développement durable 28% 21

22 22

23 À LA CCI DU LOT, DES CONSEILLERS SONT A VOTRE ÉCOUTE POUR VOUS ACCOMPAGNER DANS LES DOMAINES DES : RESSOURCES HUMAINES : Virginie NODAR virginie.nodar@lot.cci.fr Cécile HERMAN cecile.herman@lot.cci.fr FORMATION : Formation continue : Régina BURGER regina.burger@lot.cci.fr Formation initiale : Laure GROS l.gros@lot.cci.fr Formation à distance : Vianney LORÉ vianney.lore@lot.cci.fr APPUI AUX ENTREPRISES : Service industrie : Thierry VOIRIN thierry.voirin@lot.cci.fr Service tourisme : Stéphanie GAY stephanie.gay@lot.cci.fr Service commerce : Jean-Pierre GARCIA jean-pierre.garcia@lot.cci.fr Service qualité, sécurité, environnement, énergie : Yasmina LOISEAU yasmina.loiseau@lot.cci.fr CRÉATION REPRISE TRANSMISSION : Philippe MOUGENEL philippe.mougenel@lot.cci.fr PRÉVENTION DES DIFFICULTÉS D ENTREPRISE : Michel LECAMP michel.lecamp@lot.cci.fr CENTRE DE FORMALITÉS DES ENTREPRISES (création, reprise, modification, radiation) : Anne-Claire COUSTURE anne-claire.cousture@lot.cci.fr FICHIERS D ENTREPRISES : Véronique MIQUEL veronique.miquel@lot.cci.fr DOCUMENTATION : Carole VINCENS carole.vincens@lot.cci.fr LA CCI DU LOT DISPOSE DE CLUBS D ENTREPRISES. ADHEREZ ET PARTICIPEZ GRATUITEMENT AUX CLUBS THEMATIQUES : RH ; Export ; Qualité, sécurité, environnement, énergie ; Tourisme ; Performance et stratégie commerciale. En savoir plus : quai Cavaignac CS CAHORS Cedex Rue Hautessere CAHORS Étude réalisée avec le concours de : 23

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