pour un système de gestion de la qualité en kinésithérapie Association de l AKB et du Cartel des Kinésithérapeutes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "pour un système de gestion de la qualité en kinésithérapie Association de l AKB et du Cartel des Kinésithérapeutes"

Transcription

1 pour un système de gestion de la qualité en kinésithérapie Association de l AKB et du Cartel des Kinésithérapeutes

2 L'image sur la page précédente représente les deux pôles dans le système de gestion de la qualité qui est envisagé: l auto-évaluation et le contrôle inter-collégial sont les deux éléments qui forment la base de l amélioration de la qualité. La flexibilité, qui produit graphiquement le K de la kinésithérapie, produit aussi le dynamisme et le progrès dans la qualité de la pratique, visualisé par la flèche. Cette version est traduite de la version néerlandophone Association de l AKB et du Cartel des Kinésithérapeutes, 2008 Imperiastraat 16, Zaventem Conception graphique: Zatande 2

3 Contenu Un système qualité pour notre profession...5 Gérer la qualité d une façon systématique?...7 La professionnalisation de la gestion de la qualité...8 Expertise et conditions...9 L'auto-évaluation et le contrôle inter-collégial...11 Des actions qualité vers la gestion de la qualité totale...12 Une gestion de la qualité totale équilibrée...13 Les piliers spécifiques...14 Communication et collaboration interdisciplinaire...15 La surveillance du résultat des formations...16 Développement de la compétence d auto-évaluation...17 Travailler avec des projets

4 Vous êtes kinésithérapeute et vous avez des questions ou des suggestions concernant la promotion de la qualité dans votre profession? Vous voudriez participer à une initiative existante? Contactez votre association professionnelle ou le site web du projet Vous y trouverez les projets locaux ou régionaux qui ont débuté fin 2008, ainsi que les projets centraux qui commencent en

5 Un système qualité pour notre profession Le projet pilote Pro-Q-kine, financé dans le cadre de l'article 56 de l'assurance maladie, offre la possibilité de développer d'ici 2010 un système de contrôle qualité pour les kinésithérapeutes en Belgique, sous la supervision des associations professionnelles. Pour sa concrétisation, la responsabilité de ce projet a été confiée au secteur. Les partenaires sociaux collaborent au projet, c est-à-dire, les associations professionnelles, les instituts de formation (Universités et Hautes Ecoles), les administrations qui subventionnent le projet et les organismes assureurs. Les kinésithérapeutes ont l opportunité de développer la gestion de la qualité selon les besoins et les possibilités du secteur même. Des associations professionnelles et des cercles locaux de kinésithérapeutes proposent des projets qui seront réalisés et testés avec un soutien scientifique. Les résultats seront (en partie) déterminants pour la forme, la structure et le contenu du système «qualité» futur en Belgique. Un système d'accréditation 1 pourra assurer l'enregistrement, le suivi et l appréciation des kinésithérapeutes qui augmentent leur expertise et implémentent les processus de promotion de qualité dans leur offre de soins. Cette brochure vous donne l aperçu des aspects les plus importants du projet pilote. Elle est rédigée sur la base des principes sur lesquels un consensus existe chez les représentants de domaine de travail. Ces lignes directrices sont disponibles sur le site web du projet 1 L'accréditation (par une instance externe) implique la reconnaissance d'un certain niveau de qualité ou d'un niveau d'expertise. Un plan et une méthode de travail doivent permettre de mettre correctement en place ce système de reconnaissance. 5

6 6 Lignes directrices pour la gestion de la qualité en kinésithérapie

7 Gérer la qualité d une façon systématique? La gestion de la qualité en santé publique a ses propres caractéristiques. Par exemple, la qualité s objective difficilement, le feedback des patients n'est pas facile à apprécier, et les processus de travail ne sont pas facilement standardisés ou harmonisés. Dans certains secteurs, de grands efforts sont faits. Les institutions et les organismes de santé publique introduisent des mécanismes pour l'assurance de la qualité 2, surveillent les normes de qualité et travaillent à l'amélioration de la qualité. Le secteur des soins de santé est confronté à la nécessité croissante de professionnalisation et de promotion de l'expertise dans le domaine de la gestion de la qualité. Il y a un besoin réel de prestataires de soins ayant reçu une formation spécifique comme fonctionnaire ou coordinateur de contrôle de la qualité. Chaque prestataire de soins doit toutefois avoir des connaissances de base dans ce domaine. Pour les kinésithérapeutes des différents secteurs de la santé publique, allant du cabinet indépendant à l'équipe spécialisée, il est important de gérer la qualité de façon systématisée. 2 L assurance qualité (quality assurance) doit garantir la qualité proposée. On peut maintenir des normes qui sont posées, ou les faire évoluer. L'amélioration qualitative vise l'amélioration effective de la qualité. Elle peut aussi augmenter avec l évolution des normes de qualité. 7

8 La professionnalisation de la gestion de la qualité La gestion de la qualité comprend différents aspects pour le kinésithérapeute, professionnel hautement formé. Utiliser des indicateurs de qualité est un élément important pour travailler avec des normes de qualité. Tenir compte de l harmonisation des soins 3, utiliser des standards et des recommandations, connaître les méthodes comme l analyse des processus et des problèmes, et utiliser les instruments et méthodes de travail pour mesurer les différents aspects de qualité (incl. la satisfaction) sont également indispensables. Dans la pratique, on constate que le travail s appuyant sur des critères ou méthodes liés á la gestion de la qualité (par exemple SMART 4 ou PDCA 5 ) pose encore des problèmes, pour le diagnostic ou lors de la planification d'interventions et de l'administration des dossiers. Une professionnalisation de la gestion de la qualité en kinésithérapie doit veiller à ce que les dispensateurs de soins disposent d'une compétence efficace dans le domaine. Actuellement en Belgique, la kinésithérapie n'a pas de système intégré de contrôle et de promotion de la qualité. Il n y a pas de cadre spécifique pour définir la qualité ou pour soutenir et accompagner l'objectivation, l'évaluation et l'amélioration de la qualité de manière structurée. La nécessité de développer des mécanismes adéquats de contrôle qualité a été formulée clairement par le terrain. 3 L harmonisation des soins en trajets standardisés (clinical paths) a pour but d augmenter l efficacité des soins de santé, surtout quand différents échelons et différents professions sont impliqués. Une harmonisation peut se baser sur l existence des bonnes pratiques (evidence based practice) et des recommandations ou protocoles de traitements et guides de bonne pratique professionnelle. 4 L établissement des objectifs thérapeutiques doit se faire selon des critères précis: les buts doivent être spécifiques, mesurables, avoir été fixés (avec les intéressés) et réalistes. 5 «Plan-Do-Check-Act&Adjust» est le plan méthodique de base pour agir, par la fixation et l évaluation des buts et des méthodes de travail. 8

9 Expertise et conditions Un constat est le besoin réel de développement d'expertise dans le domaine du contrôle qualité. Le projet veillera à la mise en place de cette expertise, tenant compte du fait que les mécanismes de gestion de la qualité seront défendus par le secteur lui-même. Un investissement considérable devra donc se faire afin de dispenser la formation nécessaire pour les kinésithérapeutes et pour la concrétisation du projet. Offrir les moyens de compréhension des méthodes mènera à l'amélioration de la qualité lorsque les kinésithérapeutes constateront euxmêmes que l'application de ces méthodes apporte concrètement une augmentation de la qualité et la rend objectivable. Les choix de l approche, des mécanismes de travail (ou des systèmes) sont basés sur l'étude d exemples réalisés à l'étranger et sur les bonnes pratiques existantes dans d'autres secteurs, comparables ou transposables au contexte belge de la kinésithérapie. L'approche tient également compte de la législation en matière de contrôle qualité dans les structures de santé. Inversement, les réglementations actuelles (entre autre la nomenclature) pourront s inspirer des propositions de ce projet. Il faut préciser qu il est peu utile d introduire un système de contrôle qualité si des mécanismes de rémunération et de remboursement adaptés ne sont pas mis en place. Afin qu'une approche professionnelle soit garantie à long terme, il faut une évolution dans l organisation au niveau des associations professionnelles qui font fonction de partenaires dirigeants dans ce projet. Le projet doit donc investir des moyens suffisants dans la formation personnelle et le développement de l organisation et d une équipe, afin qu à l issue du projet des mécanismes soient retenus et développés. 9

10 10 Lignes directrices pour la gestion de la qualité en kinésithérapie

11 L'auto-évaluation et le contrôle inter-collégial La concertation inter-collégiale 6 et la coopération sont les éléments importants pour promouvoir la qualité. Les kinésithérapeutes collaborent dans des cercles ou des dispositifs similaires. Le travail permanent à l'amélioration qualitative par le biais de groupes de travail, par la coopération et la concertation, est repris comme un pilier fondamental dans le système de gestion de la qualité. Un deuxième pilier important est l'auto-évaluation comme point de départ de toute réflexion. Identifier soi-même ses forces et ses faiblesses, en concertation, stimule et amplifie la motivation pour améliorer et entretenir sa démarche qualité, du fait même que la propriété de l'expertise et de la professionnalisation est reconnue ici chez le kinésithérapeute. L autoévaluation et la reconnaissance par les pairs auront leur place dans le système de gestion de la qualité. 6 L auto-évaluation et l appréciation par les pairs servent à évaluer et corriger les compétences et les pratiques par un contrôle collégial. 11

12 Des actions qualité vers la gestion de la qualité totale La mise en place d un système de gestion de la qualité doit tenir compte de 3 niveaux : les actions professionnelles de qualité (au niveau des compétences propres du kinésithérapeute en tant que professionnel) le contrôle qualité systématisé (avec les méthodes et techniques spécifiques de mesure, d'analyse, de maîtrise et d'amélioration) la gestion de la qualité totale 7 (tenant compte de tous les intéressés et de tous les aspects importants). Au premier niveau, les recommandations de bonne pratique et la formation continue spécialisée seront importantes. Au deuxième et troisième niveau, il est essentiel que les kinésithérapeutes apprennent à se servir des notions, des principes et des méthodes du contrôle qualité, aussi bien pour les compétences en kinésithérapie que pour la gestion de tout son environnement de travail. Pour tout cela, il est important de pouvoir interpréter et travailler avec des indicateurs 8. 7 La gestion de la qualité totale (total quality management ou TQM) est une certaine forme de contrôle qualité avec une dimension plus large sur la qualité et les besoins. 8 Les indicateurs (le plus souvent sous forme de chiffre) donnent une indication de la qualité présente ou du niveau de gestion de la qualité. Les indicateurs peuvent porter par exemple sur l'efficacité des soins (par ex. le nombre de rechute après un traitement) ou sur la satisfaction des patients. 12

13 Une gestion de la qualité totale équilibrée Le projet pilote choisit l'approche selon les principes de gestion de la qualité totale (total quality management ou TQM), basé sur l autoévaluation en collaboration avec des pairs, et une conception dynamique de la (gestion de la) qualité (comme d'application dans le modèle de travail PROSE 9 ). Nous savons que dans le domaine des prestations de soins la mesure objective de la qualité est une donnée difficile et que la concertation systématique et la coopération entre professionnels ainsi que le consensus doivent être organisés. Ce projet valorise un équilibre entre différents aspects (entre autre les personnes et moyens impliqués, le diagnostic et les actions d amélioration, la planification et le soutien). Dans cette optique, le bien-être prend une place importante. Les kinésithérapeutes sont non seulement actifs comme indépendants, mais travaillent aussi en équipe, en réseau et également de façon interdisciplinaire. Le contrôle qualité doit donc être attentif à tous les facteurs qui déterminent la qualité et aussi les aspects de la satisfaction et de l'estime de soi qui découlent du souci de qualité. Le bien-être des prestataires de soins est tout aussi important que le feedback et la satisfaction des patients. 9 PROSE s inspire du modèle de l'european Foundation for Quality Management. Depuis 2003, différents institutions de santé publique et du secteur de bien-être travaillent avec l instrument (voir 13

14 Les piliers spécifiques Parce qu'ils ont été qualifiés, ces dernières années, de nécessaires ou importants par les acteurs sociaux, scientifiques ou professionnels, cinq piliers sont mis en avant dans le projet pilote. Ces piliers sont étroitement liés entre eux : Gestion des connaissances : l'accent est mis, par exemple, sur la consultation des sources scientifiques et la recherche de recommandations de bonnes pratiques pour le traitement en se basant sur l «evidence based practice». Gestion des compétences avec l'accent mis sur les méthodes de travail, leur évaluation par l auto-évaluation et l'appréciation par des pairs. Certaines compétences spécifiques qui sont insuffisamment prises en considération dans la formation initiale du kinésithérapeute ainsi que l acquisition de certaines méthodes de travail peuvent être valorisées pour garder son profil de compétence à niveau (par exemple via portfolio). Organisation des soins et du cabinet avec, entre autres, l'accent mis sur l'efficacité des soins, ou des méthodes de travail en cabinets de groupe. Qualité des soins avec, entre autres, l'accent mis sur l'intérêt de soins spécialisés. Informatisation et automatisation avec, entre autres, la possibilité de gérer entièrement l'administration par le dossier électronique. 14

15 Communication et collaboration interdisciplinaire Une communication efficace avec les patients et d autres personnes renforce l efficacité d une pratique de kinésithérapie. Même lorsque le kinésithérapeute n est pas membre d une équipe pluridisciplinaire, la collaboration et la communication avec les autres prestataires de soins est un élément important pour la qualité des soins de santé. Autant les organisations internationales comme l Organisation Mondiale de la Santé, que les nationales telles l INAMI, soutiennent le développement d une structure de travail interdisciplinaire dans le cadre de la formation et de la pratique de la kinésithérapie. Les associations professionnelles demandent que les kinésithérapeutes soient plus systématiquement impliqués comme «partenaires de soins». Dans cette perspective, la compétence en communication est essentielle, ainsi que la collaboration pour la planification et le suivi des soins, avec une orientation centrée sur les besoins du patient. Le projet soutient fortement le développement et l installation d instruments et de structures qui peuvent promouvoir et coordonner l interdisciplinarité. Un exemple : la gestion adaptée des dossiers cliniques et l utilisation systématisée des structures interprofessionnelles d échange et des méthodes de travail (sur le plan du diagnostic et de la thérapeutique) ayant une vue multidimensionnelle de la santé des êtres humains. 15

16 La surveillance du résultat des formations La mission des instituts de formation, en collaboration avec les associations professionnelles, est de garantir l acquisition des compétences professionnelles. Il faut donc valider les programmes de formation sur base de la pratique professionnelle, des besoins de la société et du terrain. Il est donc nécessaire que des mécanismes soient installés, permettant une bonne détection des besoins en kinésithérapie et organisant un bon feedback vers les instituts de formation. Les associations professionnelles peuvent assurer une fonction de surveillance de la qualité lors de l installation de ces mécanismes. Elles peuvent également être un partenaire actif pour la surveillance de la qualité dans les formations initiales et post-initiales. Les qualifications professionnelles spécifiques requises peuvent également y être reliées. Il vaut mieux installer une bonne coopération à la base plutôt que de remédier à posteriori aux compétences insuffisamment rencontrées. Les initiatives de la formation doivent être axées sur l'obtention effective des compétences, en évaluant si ces compétences sont atteintes et si elles sont effectuées dans la pratique. Si un kinésithérapeute suit une formation, sur le dossier interdisciplinaire qui ne va pas de paire avec une évaluation de l utilisation correcte de ce dossier et sa mise en pratique par le kinésithérapeute, alors cette formation n'a pas été utilisée de façon optimale dans le cadre d un système de surveillance de la qualité. Les associations professionnelles peuvent remplir une fonction importante dans l évaluation des modules de formation. 16

17 Développement de la compétence d auto-évaluation Pouvoir évaluer les compétences via des critères de jugement bien définis est une compétence en soi. Celle-ci doit être développée chez les kinésithérapeutes en fonction de la formation, de l'auto-évaluation et aussi de «l'intervision» (vision collégiale par un groupe de pairs). L'autoévaluation et les échanges avec des pairs sont des éléments cruciaux du contrôle qualité. Un kinésithérapeute doit être en mesure d estimer ses points faibles. Dans le même ordre d idée, tous les kinésithérapeutes (collègues) doivent pouvoir se donner entre eux un feedback sur leur fonctionnement professionnel. Un système de gestion de la qualité doit réserver une grande responsabilité au kinésithérapeute lui-même. A l'avenir par exemple, il devrait être possible de demander (auprès d'un centre agréé) un contrôle spécifique de certaines compétences en fonction de son propre plan de recyclage. Une méthode de travail semblable peut être plus efficace que l'obtention d'une accréditation sur base du suivi de quelques soirées de formation sans engagement et sans que ceci ne soit accompagné de quelque forme de contrôle que ce soit. Il faut aussi qu'un kinésithérapeute puisse faire appel à un collègue lors d une évaluation par des pairs, et même lors de l'organisation d'une évaluation de la qualité de sa propre pratique (par exemple via une enquête auprès des patients). L'introduction d'une telle forme de contrôle inter-collégial est stimulante pour l'amélioration qualitative. Son introduction exige un système efficace pour permettre aux kinésithérapeutes d intégrer et d appliquer ces méthodes d'une façon correcte. 17

18 Travailler avec des projets Le projet offre la possibilité de tester différentes méthodes et formules qui stimuleront le contrôle qualité de la pratique professionnelle et qui installeront des mécanismes pour le développement de la qualité avec un soutien scientifique et logistique. Nous ne perdrons pas de vue que la faisabilité et la convivialité sont des critères primordiaux pour réaliser tout cela. En complément, une coordination centrale propose des projets réalisés à partir d un développement «du haut vers la base (top-down)». Ces projets ciblent entre autres : Le développement d'un système d auto-évaluation, couplée à une méthodologie pour l évaluation par les pairs (peer-assessment), afin que ce système soit utilisable dans le cadre d échanges intercollégiaux et dans le respect de l épanouissement personnel. Le développement d'un système d indicateurs de qualité utilisables pour la pratique en kinésithérapie également basés sur une méthodologie. Ce système peut résulter en une approche transversale qui offrira une vue réelle de ces indicateurs de qualité. Le développement d'un système de formation axé sur le résultat où les échanges intercollégiaux tiennent une place centrale. Les modules de formation peuvent être validés par les associations professionnelles et être intégrés dans un système d'accréditation. Il doit toutefois aussi y avoir un mécanisme par lequel la performance et la fiabilité du système qualité peuvent être vérifiées régulièrement, ceci afin que le gouvernement puisse accorder sa confiance à un système autant que possible autorégulateur de la surveillance qualité. L'enregistrement dans un registre de qualité doit être géré d'une manière fiable et correcte. Ceci peut aller de paire avec des audits et une certification des systèmes. 18

19 Vous êtes kinésithérapeute et vous avez des questions ou des suggestions concernant la promotion de la qualité dans votre profession? Vous voudriez participer à une initiative existante? Contactez votre association professionnelle ou le site web du projet Vous y trouverez les projets locaux ou régionaux qui ont débuté fin 2008, ainsi que les projets centraux qui commencent en

QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY

QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY QUALITÉ EN KINÉSITHÉRAPIE QUALITY IN PHYSICAL THERAPY Promotion de la qualité avril mai 2010 La promotion de la qualité en kinésithérapie Le cabinet de groupe, le cabinet de l avenir? Promotion de la qualité:

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes

La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes La planification de l offre médicale en Belgique: les kinésithérapeutes ETAT DE LA SITUATION 2007 V1.1 Direction générale Soins de Santé primaires et Gestion de Crise Bruxelles, octobre 2008 1. Les Kinésithérapeutes

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale

L Institut national d assurance maladie-invalidité. Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale L Institut national d assurance maladie-invalidité Son organisation, ses missions et son rôle dans la sécurité sociale 6 Juillet 2015 1. INTRODUCTION Les principales caractéristiques du système de soins

Plus en détail

HEG Gestion de la Qualité L.Cornaglia. Les référentiels SMI, normes, processus de certification

HEG Gestion de la Qualité L.Cornaglia. Les référentiels SMI, normes, processus de certification Les référentiels SMI, normes, processus de certification 1 Définitions selon le Guide ISO/IEC 2:2004 Norme Document, établi par consensus et approuve par un organisme reconnu, qui fournit, pour des usages

Plus en détail

Programme d assurance de la qualité

Programme d assurance de la qualité Programme d assurance de la qualité Section B Section B Programme d assurance de la qualité Aperçu du Programme d assurance de la qualité... -B-1- Introduction... Programme d assurance de la qualité...

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

P05 22-08-2006. Exigences pour les experts et les inspecteurs, état actuel. [Experts et inspecteurs]

P05 22-08-2006. Exigences pour les experts et les inspecteurs, état actuel. [Experts et inspecteurs] [Experts et inspecteurs] P5 22-8-26 Richard Hartless Building Research Establishment, BRE UK www.buildingsplatform.eu Exigences pour les experts et les inspecteurs, état actuel L'objectif de ce document

Plus en détail

Diplôme d'expertise comptable

Diplôme d'expertise comptable Diplôme d'expertise comptable Dispositions relatives aux épreuves NOR : ESRS1400075A arrêté du 28-3-2014 ESR - DGESIP A3 Vu ordonnance n 45-2138 du 19-9-1945 ; décret n 2012-432 du 30-3-2012, notamment

Plus en détail

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique

Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Pollutec 2013 Atelier ATEE AUDIT ENERGETIQUE EN ENTREPRISE Transposition de l article 8 de la directive européenne 2012/27 relative à l efficacité énergétique Laurent Cadiou DGEC/SCEE Bureau Économies

Plus en détail

Vers l amélioration continue

Vers l amélioration continue Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Critères de qualité des projets

Critères de qualité des projets s de qualité des projets Pour pouvoir mener une réfleion systématique sur la qualité des projets, on a besoin de critères. Les critères présentés ici s'appliquent à des projets d'intervention en promotion

Plus en détail

Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4

Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4 STRATEGIE DE FORMATION PROGRAMME JUNIOR 2015-2019 Juin 2015 Table des matières 1 APPROCHE DE LA STRATÉGIE DE FORMATION AXÉE SUR LES ASSISTANTS JUNIORS... 4 2 LES ACTIVITÉS DE FORMATION DU PROGRAMME JUNIOR

Plus en détail

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Assurance maladie et accidents Etat 4 mai 2015 Plan de mise en œuvre du concept national maladies rares

Plus en détail

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier

Un métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments

Plus en détail

Partie 1 : Introduction

Partie 1 : Introduction Objectifs de la formation L'intérêt des organisations informatiques pour les meilleures pratiques ITIL est maintenant prouvé au niveau mondial. Outre l'accent mis sur l'alignement de l'informatique sur

Plus en détail

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur

F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S. sur F RSE Plan d action A04 Bruxelles, le 14.09.2006 MH/JC/LC A V I S sur L AVANT-PROJET DE PLAN D ACTION EN MATIERE DE RESPONSABILITE SOCIETALE DES ENTREPRISES EN BELGIQUE *** 2 Dans sa lettre du 10 juillet

Plus en détail

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)

Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available

Plus en détail

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE

RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées

Plus en détail

Processus 78: Gestion de la connaissance

Processus 78: Gestion de la connaissance Pré-étude portant sur l'implémentation et l'organisation d'un système de gestion des connaissances au SPF Finances Processus 78: Gestion de la connaissance Version validée par le comité de pilotage le

Plus en détail

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE

LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE Dans ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. LA COLLABORATION INTERPROFESSIONNELLE POSITION DE L AIIC

Plus en détail

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017

Niveau d'avancement et d'atteinte des cibles d'impact des projets, par objectif stratégique Planification stratégique 2012-2017 et d'atteinte des cibles d'impact des 1. Formaliser l'offre de services pour l'ensemble des programmes-services et des programmes de soutien. Définir et promouvoir l'offre de services en Dépendances (2013-12-

Plus en détail

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION

AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION AGRÉMENT DES PROGRAMMES DE FORMATION D INFIRMIÈRE PRATICIENNE SPÉCIALISÉE (IPS) DOCUMENT DE PRÉSENTATION NOVEMBRE 2010 PRÉAMBULE L agrément des programmes constitue un exercice important qui permet non

Plus en détail

"L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012

L'évolution du marquage CE Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 "L'évolution du marquage CE" Rencontre / débat organisée par le SNITEM 19 juin 2012 A l'occasion de son assemblée générale annuelle, le SNITEM (Syndicat National de l'industrie des Technologies Médicales)

Plus en détail

Fiche conseil n 16 Audit

Fiche conseil n 16 Audit AUDIT 1. Ce qu exigent les référentiels Environnement ISO 14001 4.5.5 : Audit interne EMAS Article 3 : Participation à l'emas, 2.b Annexe I.-A.5.4 : Audit du système de management environnemental SST OHSAS

Plus en détail

Charte de l'audit informatique du Groupe

Charte de l'audit informatique du Groupe Direction de la Sécurité Globale du Groupe Destinataires Tous services Contact Hervé Molina Tél : 01.55.44.15.11 Fax : E-mail : herve.molina@laposte.fr Date de validité A partir du 23/07/2012 Annulation

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie

Caisse Nationale de l'assurance Maladie Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS Mesdames et Messieurs les Médecins Conseils Régionaux Date : Monsieur le Médecin Chef de La Réunion

Plus en détail

Mise en place d une démarche qualité dans un système d information

Mise en place d une démarche qualité dans un système d information Mise en place d une démarche qualité dans un système d information IMGT The international ImMunoGeneTics information system Laëtitia Regnier, IE Bioinformatique, Responsable Management de la Qualité (RMQ).

Plus en détail

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école

Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Ligne directrice du cours de perfectionnement pour les directrices et directeurs d école Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Janvier 2005 This document is available in English under

Plus en détail

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC

Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Enquête 2014 de rémunération globale sur les emplois en TIC Les emplois repères de cette enquête sont disponibles selon les trois blocs suivants

Plus en détail

SYSTEME INFORMATIQUE DES DECHETS INDUSTRIELS ET DANGEREUX «SIDID «Sommaire

SYSTEME INFORMATIQUE DES DECHETS INDUSTRIELS ET DANGEREUX «SIDID «Sommaire Exposé relatif au SYSTEME INFORMATIQUE DES DECHETS INDUSTRIELS ET DANGEREUX «SIDID «Sommaire 1 Introduction 1.1 Réglementation portant sur le traitement et l élimination des déchets industriels dans le

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)

Expert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior) 1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

La démarche qualité. Un nouveau mode de management pour l hôpital

La démarche qualité. Un nouveau mode de management pour l hôpital La démarche qualité Un nouveau mode de management pour l hôpital Quelques définitions La qualité selon la norme ISO La qualité selon la définition de l'oms L'assurance qualité selon la norme ISO Le management

Plus en détail

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR

COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR Regio Basiliensis et ARFE COOPÉRATION EUROPÉENNE EN MATIÈRE DE SANTÉ - VALEUR AJOUTEE POUR LES POPULATIONS, L ECONOMIE ET LES REGIONS II. Forum ARFE du 22 février 2008 en coopération avec la Regio Basiliensis

Plus en détail

«INNOVATION PEDAGOGIQUE PAR LA MISE EN PLACE D UNE UNITE DE PHARMACIE EXPERIMENTALE POUR AMELIORER LA QUALITE DE LA FORMATION PROFESSIONNALISANTE»

«INNOVATION PEDAGOGIQUE PAR LA MISE EN PLACE D UNE UNITE DE PHARMACIE EXPERIMENTALE POUR AMELIORER LA QUALITE DE LA FORMATION PROFESSIONNALISANTE» REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE Université de Monastir Faculté de pharmacie de Monastir «INNOVATION PEDAGOGIQUE PAR LA MISE EN PLACE D UNE UNITE

Plus en détail

Un reporting intégré en tant qu'aide à la gestion

Un reporting intégré en tant qu'aide à la gestion Un reporting intégré en tant qu'aide à la gestion Suivi d'un reporting basé sur les indicateurs pour atteindre les objectifs Tilia Umwelt GmbH Sommaire 1. Que signifie gestion? 2. Que signifie gestion

Plus en détail

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5

asah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5 AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre

Plus en détail

SUPPLEMENT AU DIPLÔME

SUPPLEMENT AU DIPLÔME SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des

Plus en détail

EN PRATIQUE. Le médecinconseil. votre mutualité

EN PRATIQUE. Le médecinconseil. votre mutualité EN PRATIQUE Le médecinconseil de votre mutualité Une brochure des Mutualités Libres Rue Saint-Hubert, 19-1150 Bruxelles T 02 778 92 11 - F 02 778 94 04 commu@mloz.be Photos > Isopix, Reporters www.mloz.be

Plus en détail

Annexe sur la maîtrise de la qualité

Annexe sur la maîtrise de la qualité Version du 09/07/08 Annexe sur la maîtrise de la qualité La présente annexe précise les modalités d'application, en matière de maîtrise de la qualité, de la circulaire du 7 janvier 2008 fixant les modalités

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

Qu'est-ce que la normalisation?

Qu'est-ce que la normalisation? NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,

Plus en détail

CHARLES MULLENDERS Fiche d identité

CHARLES MULLENDERS  Fiche d identité CHARLES MULLENDERS 6, rue du Lorisberg F 67470 Eberbach-Seltz France (Alsace) Téléphone : +33 (0) 3 88 86 57 52 Mobile : +33 6 14 70 50 16 E-mail : charles.mullenders@live.fr Fiche d identité Né le 12

Plus en détail

TABLEAU COMPARATIF - 81 -

TABLEAU COMPARATIF - 81 - - 81 - TABLEAU COMPARATIF Le Sénat, Vu l'article 88-4 de la Constitution, européen et du Conseil sur les produits dérivés négociés de gré à gré, les contreparties centrales et les référentiels centraux

Plus en détail

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.

UEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES

Plus en détail

Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007

Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 PREAMBULE L article L. 231-5 du code du sport rappelle que les fédérations sportives veillent à la santé

Plus en détail

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)

Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP

Plus en détail

TRAJET DES DIRIGEANTS. http://economie.fgov.be TRAJECT VOOR LEIDINGGEVENDEN

TRAJET DES DIRIGEANTS. http://economie.fgov.be TRAJECT VOOR LEIDINGGEVENDEN TRAJET DES DIRIGEANTS TRAJECT VOOR LEIDINGGEVENDEN Table des matières Défis pour le SPF Economie et réponses Contexte Objectifs Contenu Résultats Défis pour le SPF Economie Marché du travail sous pression

Plus en détail

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation

Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Annexe E Modèles de profils de poste et de termes de référence pour les principales tâches de suivi-évaluation Pour une gestion orientée vers l'impact Guide pratique de S&E des projets Table des matières

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

L Ag ence esanté en route...

L Ag ence esanté en route... L Ag ence esanté en route... Le Luxembourg souhaite se doter d un dossier électronique national d échange et de partage de données de santé, entre et pour les professionnels de santé intervenant auprès

Plus en détail

Bienvenue chez votre pharmacien

Bienvenue chez votre pharmacien Bienvenue chez votre pharmacien En première ligne Le pharmacien Prestataire de soins à part entière, le pharmacien occupe aujourd hui une place centrale au cœur de notre système de santé. Disponible sans

Plus en détail

Qualité des soins Campagne de sensibilisation

Qualité des soins Campagne de sensibilisation Qualité des soins Campagne de sensibilisation INAMI Service des Soins de Santé Direction Recherche, développement et promotion de la qualité Dr Carl Cauwenbergh et Isabelle Collin Carl.cauwenbergh@inami.fgov.be

Plus en détail

Lignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario

Lignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario Lignes directrices pour une compétence continue chez les hygiénistes dentaires de l Ontario Section F Tenue d un portfolio professionnel Toutes les hygiénistes dentaires en Ontario doivent maintenir un

Plus en détail

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique

Guide No.2 de la Recommandation Rec (2009).. du Comité des Ministres aux États membres sur la démocratie électronique DIRECTION GENERALE DES AFFAIRES POLITIQUES DIRECTION DES INSTITUTIONS DEMOCRATIQUES Projet «BONNE GOUVERNANCE DANS LA SOCIETE DE L INFORMATION» CAHDE (2009) 2F Strasbourg, 20 janvier 2009 Guide No.2 de

Plus en détail

Guide d'utilisation de l'instrument électronique en ligne d'auto-évaluation du CAF

Guide d'utilisation de l'instrument électronique en ligne d'auto-évaluation du CAF Guide de l'utilisateur_v12.doc Novembre 2010 Guide d'utilisation de l'instrument électronique en ligne d'auto-évaluation du CAF Introduction L'instrument électronique en ligne d'auto-évaluation du CAF,

Plus en détail

Améliorer l efficacité de votre fonction RH

Améliorer l efficacité de votre fonction RH Améliorer l efficacité de votre fonction RH Des tendances accentuées par un environnement économique et social en constante évolution La fonction RH doit répondre à des exigences croissantes en termes

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Agenda numérique - Partie V. Juillet 2015

Agenda numérique - Partie V. Juillet 2015 Agenda numérique - Partie V Juillet 2015 Table des matières Partie V - Protection et sécurité des données numériques... 1 V.1 Cybersécurité... 1 V.2 Sécurité des paiements... 3 V.3 Confiance des consommateurs

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE

REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,

Plus en détail

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» SCSZ/09/042 DELIBERATION N 09/030 DU 5 MAI 2009 RELATIVE A LA COMMUNICATION DE DONNEES A CARACTERE PERSONNEL PAR LA BANQUE

Plus en détail

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Comité de consultation du 30/11/2011 Objectifs stratégiques 2 16% 9% 29% 46%

Plus en détail

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE

Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Conclusions de la 9ème réunion du Groupe Consultatif du SYGADE Le Groupe consultatif du SYGADE soumet à l'attention du Secrétaire général de la CNUCED les conclusions suivantes formulées lors de sa 9ième

Plus en détail

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.

Plus en détail

ManageEngine IT360 : Gestion de l'informatique de l'entreprise

ManageEngine IT360 : Gestion de l'informatique de l'entreprise ManageEngine IT360 Présentation du produit ManageEngine IT360 : Gestion de l'informatique de l'entreprise Améliorer la prestation de service à l'aide d'une approche intégrée de gestion des performances

Plus en détail

Petit guide pour choisir une solution CRM

Petit guide pour choisir une solution CRM Petit guide pour choisir une solution CRM Trouvez la solution qui vous convient» Nos clients sont plus performants. www.update.com Avant-propos Le CRM est en passe de devenir le principal logiciel de l

Plus en détail

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES 1) OBJET DUREE ET DISPOSITIONS GENERALES a. OBJET DU MARCHE Marché pour la souscription d'un contrat d'assistance à la maîtrise d'ouvrage concernant

Plus en détail

LE SAVIEZ-VOUS 1) LA C.S.C.A.

LE SAVIEZ-VOUS 1) LA C.S.C.A. LE SAVIEZ-VOUS Etre adhérent du Sycaest, c est bien entendu bénéficier de nombreux services et prestations. Mais c est aussi participer au financement de la Chambre Syndicale des Courtiers d Assurances

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

agrément DES professions paramédicales

agrément DES professions paramédicales agrément DES professions paramédicales LES ERGOTHÉRAPEUTES Table des matières Pourquoi agréer les ergothérapeutes?...3 Un ergothérapeute au sens de la loi : de qui s'agit-il?...4 L'agrément est obligatoire...5

Plus en détail

Les Assurances au Luxembourg

Les Assurances au Luxembourg Les au Luxembourg QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Face à un environnement législatif et à une gamme de produits en mutation constante, les assureurs de la place ont souhaité se doter d une offre commune,

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du bien-être au travail Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.

Plus en détail

AP 8. Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI)

AP 8. Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI) AP 8. Instauration d un instrument d évaluation uniforme (BelRAI) 1. Formulation initiale dans le plan d actions 2013-2018 Calendrier: 1er juillet 2017 - Chef de projet : SPFSPSCAE/DG1 Responsables: Institut

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013

Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 Principales caractéristiques du système de santé belge (niveau fédéral) Michel VIGNEUL 4 novembre 2013 LE SYSTEME DES SOINS DE SANTE EN BELGIQUE 1. LA PROTECTION SOCIALE BELGE 2. LE FONCTIONNEMENT QUOTIDIEN

Plus en détail

ISTQB Agile Tester en quelques mots ISTQB Marketing Working Group

ISTQB Agile Tester en quelques mots ISTQB Marketing Working Group ISTQB Agile Tester en quelques mots ISTQB Marketing Working Group Mai 2014 Qu est-ce que l ISTQB? ISTQB : International Software Testing Qualifications Board (www.istqb.org): Association sans but lucratif

Plus en détail

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA

ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA 1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement

Plus en détail

LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé

LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé SP 7.4 LES RÔLES CONTEMPORAINS DE LEADERSHIP ET DE GESTION DE L INFIRMIÈRE : arrimage d un continuum de cours avec les besoins du réseau de la santé Martine Mayrand Leclerc, inf., MGSS/MHA, Ph.D. Robert

Plus en détail

PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE

PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE PLAN OPÉRATIONNEL DU DÉPARTEMENT GESTION ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE TABLE DES MATIÈRES 1. Vision... 2 2. Missions... 4 3. Organigramme... 5 4. Analyse SWOT... 6 5. Pan opérationnel... 9 5.1 ARBRE DES

Plus en détail

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes

L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes L égalité femmes-hommes dans le développement : alibi ou réalité? Claudine Drion Le Monde selon les femmes Les engagements de la Belgique La loi sur la coopération internationale de 1999 institue l égalité

Plus en détail

Un Master en sciences infirmières pour favoriser l intégration des novices et la formation continue des équipes

Un Master en sciences infirmières pour favoriser l intégration des novices et la formation continue des équipes Séminaire européen du SIDIIEF Evolution de la formation infirmière : quels défis pour les milieux cliniques? 21 novembre 2013 Un Master en sciences infirmières pour favoriser l intégration des novices

Plus en détail

Fiche méthodologique Rédiger un cahier des charges

Fiche méthodologique Rédiger un cahier des charges Fiche méthodologique Rédiger un cahier des charges Plan de la fiche : 1 : Présentation de la fiche 2 : Introduction : les grands principes 3 : Contenu, 1 : positionnement et objectifs du projet 4 : Contenu,

Plus en détail

Formation Conseil - Recrutement

Formation Conseil - Recrutement Gobbelsrode 42, 3220 HOLSBEEK. Tél: 016/62.35.22 info@amvr.be www.amvr.be Formation Conseil - Recrutement Formation Points de départ : Notre objectif principal est de contribuer au succès de votre entreprise.

Plus en détail

WHITE PAPER Une revue de solution par Talend & Infosense

WHITE PAPER Une revue de solution par Talend & Infosense WHITE PAPER Une revue de solution par Talend & Infosense Master Data Management pour les données de référence dans le domaine de la santé Table des matières CAS D ETUDE : COLLABORATION SOCIALE ET ADMINISTRATION

Plus en détail

L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE

L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE Pour faciliter la lecture de ce document, les mots de genre féminin appliqués aux personnes désignent les femmes et les hommes, et vice-versa, si le contexte s y prête. L INFIRMIÈRE CLINICIENNE SPÉCIALISÉE

Plus en détail

Un réseau collectif fiable dans le système de santé publique

Un réseau collectif fiable dans le système de santé publique Un réseau collectif fiable dans le système de santé publique Cabinets médicaux/centres de soins médicaux/réseaux Cliniques/Hôpitaux Réhabilitation/Soins Prestataires de services médicaux Partenaires santé/assurances

Plus en détail

Doctorate of Business Administration Programme francophone

Doctorate of Business Administration Programme francophone Mis à jour le 11-10-13 Doctorate of Business Administration Programme francophone 1. Présentation du programme DBA(F) Le programme Doctorate of Business Administration (DBA) assuré à distance par l American

Plus en détail

Aperçu et raison d être du programme d études

Aperçu et raison d être du programme d études Section I Section I - Aperçu et raison d être du programme Aperçu et raison d être du programme d études Contexte Le cours Carrière et vie 2231 s inspire, du point de vue conceptuel, philosophique et pratique,

Plus en détail

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ ',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,

Plus en détail

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale

Concerne : Protocole Orientation usagers SPF Sécurité sociale et autorité fédérale Service public fédéral Sécurité sociale Service public fédéral Sécurité sociale Place Victor Horta 40 boîte 20 1060 Bruxelles Personne de contact Machteld Ory 02/528.63.18 machteld.ory@minsoc.fed.be Concerne

Plus en détail