PHILIPPE DUCHEMIN FINKEYS FRANCE

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1 PHILIPPE DUCHEMIN

2 LES METIERS DE LA FINANCE Master 2 Finance d Entreprises et de Marchés Grenoble 10 Mars

3 Enseignant Philippe DUCHEMIN, Consultant Formateur FINKEYS France Consultant BNPP;: cash management expert, CNP: choix d un outil «Front to Compta», SOCIETE GENERALE SGCIB - Product Control Group, projet Européen, CNCE: projet ALM, Fermat et calcul des Tx de Cession Interne, NATIXIS SDR: réconciliation PnL, VINCI Trésorerie: Financial ReportingCACIB: Fusion des Dérivés de Taux, Structurés de Crédit, XRT / SAGE, Progiciel pour Trésoriers, ABN AMRO: Validation de la VAR group, Amsterdam, American Management Systems: Consultant en «Risk Management» Banque Crédit Lyonnais Londres, responsable Middle Office, Crédit Lyonnais Paris, Suivi d Activité: P&L et Risques, Chambre Syndicale des Banques Populaires: Groupe de Recherche Opérationnelle Formateur Organismes professionnels: First Finance, Top Finance, Investance, Spring Finance, Centre de Formation Continue de Science Po, Programme CE.com Banque de France, Masters en Finance, Etranger: Alger, Tunis, Casablanca, Lisbonne, Luxembourg, Hanoi 3

4 Programme ACTEURS ET ORGANISATION LA BANQUE DE FINANCEMENT ET D INVESTISSEMENT o La Banque en général o La BFI en particulier LES METIERS DE LA FINANCE DE MARCHES o Front, Middle, Back et Compta o Les Fonctions de Contrôle: résultats et risques o Les Fonctions Transverses o La gestion de l information, des systèmes (applications) LES CHOIX DE CARRIERE o Banques Entreprises Conseil o International 4

5 Objectifs Vocabulaire français et anglais Terminologie Capital Markets Les acronymes métiers (abréviations) et Les métiers de la finance L organisation des marchés Les contraintes réglementaires 5

6 Qui Comprend? Le montant d OCI est à envoyer par Gop. Cette information est identifiée dans l outil référentiel SYREM par la famille de PCI BOCPTOCI (non croisé avec la famille de PCI de PNB MRPNBIAS) Chacun des montants d OCI ne doit pas faire l objet d un mapping aux indicateurs Khéops. En revanche, pour permettre l acquisition dans l environnement du contrôle de gestion, le traitement GL devra attribuer à l ensemble des montants d OCI l indicateur OBOI par défaut. Pour chaque Gop, GL devra envoyer 2 montants : l OCI contrevalorisé en YTD et l OCI contre-valorisé en MTD. RAPPORT SHUTTLE 6

7 Métiers de la Banque 7

8 Le système bancaire Les différents rôles de la Banque Payments and Money Credit Financing Risk Management Transformation Asset Management Investment 8

9 Les activités d une banque Les 5 POLES de la Société Générale 1. Réseaux France 2. Réseaux Internationaux 3. Services Financiers Spécialisés et Assurances 4. Banques Privée, Gestion d Actifs, et Services aux Investisseurs Banque de Financement et d Investissement 9

10 Réseau France 1 Retail Banking France BRF: Banque de Réseau France Trois réseaux: Société Générale Crédit du Nord Boursorama Clientèle Particuliers et Entreprises Encours de crédit: 350 M = 0,35 T Dépôts: 337M = 0,337T 2 Retail Banking International BHFM : Banque Hors France Métropolitaine Nombreuses Filiales et Participations 10

11 Financements Spécialisés 3 Financements Spécialisés et Assurances SGCF: Société Générale Consumer Finance A travers des filiales spécialisées: Crédit à la consommation (Cartes Enseignes) SGEF: Société Générale Equipment Finance Crédits spécialisés Haute Technologie, Equipement Industriel et Transport Financement des flottes de véhicules Financement de parcs informatiques Filiales Assurances (SOGECAP) Assurance Vie et Assurance Dommage (non vie) 11

12 Réseau France 4 Banque Privé, Gestion d Actifs et Services aux Investisseurs GIMS: Global Investment Management Services SGAM et AMUNDI (75% CA et 25% SG) SG Private Banking Newhedge: Courtages sur produits dérivés (fusion de Fimat et Calyon Financial) Boursorama direct: bourse en ligne Gestion SGAM : 344Me AMUNDI: 670M (hors LyxorAM, filiale SGCIB) SGSS: SG Securities Services (Global Custodian) Compensation, Conservation (Dépositaire), Gestion de Fonds 12

13 Groupe Société Générale - SGCIB 5 - Banque de FINANCEMENT et d INVESTISSEMENT SGCIB : Société Générale Corporate and Investment Bank 1 - GLOBAL MARKETS ACTIONS - Equity Derivatives - Equity Cash - Recherche actions TAUX CREDIT CHANGE et MATIERES PREMIERES - Taux Crédit Change: Foreign Exchange Debt and Credit IRD (Interest Rate Derivatives - Matières premières: commo 2 FINANCEMENT et CONSEIL COVERAGE and INVESTMENT BANKING - Fusions et Acquisitions (M&A) - Restructurations - IPO - Equity Capital Markets: issuance BANQUE DE FINANCEMENT - Origination, structuration - Structured Products - Global Hedging - Project Finance - Trade Finance - Syndicated Credit ACTIFS GERES EN EXTINCTION 13

14 Classification issue du Risque Opérationnel Découpage matriciel de la banque: lignes métiers o Investment Banking Corporate Finance o Investment Banking Trading and Sales o Banking Retail banking o Banking Commercial banking o Banking Payment and settlement o Banking Agency services and custody o Others Asset Management o Others Retail Brokerage 14

15 Cadre Réglementaire Les Risques 15

16 Les Organes de Contrôle - France Organes Législatifs: - Les Directives Européennes - Le Parlement Français: vote les lois Organes Exécutif - Le ministère de l Economie et des Finances : produits les règlements et les décrets La Loi Bancaire du 24 janvier 1984: modèle de banque universelle La Loi du 2 juillet 1996 de modernisation des activités financières La LSF du 1 aout 2003 de sécurité financière La directive MIF 1/11/2007: Marchés d Instruments Financiers MIFID 16

17 Les Organes de Régulation - France AMF : L autorité des Marchés Financiers Créée le 01/08/2003, pour remplacer 3 organismes: COB + CMF + CDGF ACPR : L autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution Ex ACP - Commission bancaire (CB) + Autorité de Contrôle des Assurances et des Mutuelles (ACAM) + CECEI (Comité des Établissements de Crédit et Entreprises d Investissement ) + CEA(Comité des Entreprises d Assurances) Indépendante mais «adossée» à la BdF. acpr.banque-france.fr CCLRF: Le comité consultatif de la Législatiion et de la Réglementation Financière. Ex CRBF, remplacé en 2003 Organes professionnels : Association Française des Etablissements de Crédit et des Entreprises d Investissement - AFECEI La Fédération Bancaire Française - FBF L Association Française des Marchés Financiers AFAMI L Association Française de la Gestion Financière - AFG 17

18 Les Organes de Régulation - Europe EBA : European Banking Authority l EBA, a remplacé au 1/1/11 le CEBS: Committee of Banking Supervisors qui s est occupé du reporting Finrep/Corep ESMA : European Securities and Market Authority l ESMA, a remplacé au 1/1/11 le CERS: Committee of European Securities Regulators. L ESMA est en charge du Mifid, de l EMIR, de la protection des investisseurs... EIOPA: European Insurance and Occupational Pension Authority Role très important dans le cadre de S2 (Solvency 2) ESRB : European Systemic Risk Board 18

19 Autres Organes Professionnels CNO : Le Comité de la Normalisation Obligataire Le CNO, association régie par la loi du 1er juillet 1901, a pour principales missions de : - Harmoniser les méthodes de calcul utilisées sur le marché de taux en euros et les marchés dérivés. - Calculer et diffuser des indices financiers et promouvoir leur utilisation. - Réaliser des études et faire des recommandations sur les instruments de taux. AFTE : Association Française des Trésoriers d Entreprise 19

20 Les Institutions Internationales Le CBCB: le Comité de Bâle sur le Contrôle Bancaire (1930). - BIS - Bank of International Settlements BRD - Banque des règlements internationaux Organisme privé qui produit des recommandations pour les établissements financiers en matière de couverture en capital. Cette couverture permet de faire face aux imprévus, qu on mesure par les techniques de calcul des risques. Le Fond Monétaire International (FMI) International Monetary Fund (IMF) (1944) La Banque Mondiale (BM) World Bank (WB) Les Banques Régionales de Développement (BERD) 20

21 Les Institutions Européennes Le CBE: le Comité Bancaire Européen. L ABE: Autorité Bancaire Européenne (ex CECB: Comité Européen des Contrôleurs Bancaires) CERS: Comité Européen du Risque Systémique Emissions de Directives: La CAD: Capital Adequation Directive 2004/39/CE: directive du MiFID 2006/48/CE et 2006/49/CE 21

22 Code Monétaire et Financier Diffusé en Décembre 2000 Reprend tous les textes législatifs relatifs à la profession Il se compose de 7 livres: o La monnaie o Les produits o Les services o Les marchés o Les prestations de services o Les institutions en matière bancaire et financière o Le régime de l Outre Mer 22

23 Basle 1 & 2 & 3 o 1988: Bale 1 o 12/1992: Bale 1 Implemented o 12/1996: Market Risk Amendment issued (CAD) o 12/1997: Market Risk Amendment implemented o 06/2004: Bale 2 Issued o 12/2006: Bale 2 Implemented o 12/2007: Bale 2 advanced approaches implemented o 07/2009: Revised Securitisation and Trading Book rules issued o 12/2009 Bale 3 consultative document issued o 11/2010: G20 endorsement of Bale 3 o 12/2011: Trading book rules implemented o 01/2013: Bale 3 implementation begins o 01/2019: full implementation of Bale 3 23

24 Les Risques Risque de marché: risque de perte qui résulte des variations des marchés. Risque de crédit: risque de perte résultant de la défaillance d un tiers, dans une relation prêteur/emprunteur Risque de contrepartie: risque de perte résultant de la défaillance d un tiers, pour les contrats de produits dérivés (CVA). Risque opérationnel: risque de perte associé à des événements opérationnels (internes) ou bien à des changements externes: juridique, système, personnel Risque de liquidité: risque de perte résultant des effets de l obligation de fermer une position; nouveaux ratios: LCR, NSFR. Risque de concentration: risque lié au faible nombre de clients. Risque de réputation: développement durable/environnement, commercial. Risque d assurance: incendie, vol, responsabilité, catastrophes naturelles 24

25 Les Risques Sous-Jacents Financiers et non Financiers: - Change et taux (structure à terme) - Actions, obligations, fonds, indices - Métaux précieux, non précieux, produits agricoles, - Electricité, Hydrocarbures: pétrole, gaz, fioul, Kérosène - Risques Climatiques, CO2 Risque de Crédit: - Risque de défaut (Defaulting) - Risque émetteur (Spread Downgrading) - Règlement-livraison et de pré livraison (Settlement) - Grands Comptes (Concentration) - Risques Pays Nouveaux types de risques: - Sur le Prix (risque directionnel) - Sur la volatilité et les corrélations - Sur les probabilités de défaut (+recovery) 25

26 Les Trois Piliers Bale II /Solvency II PILAR 1 PILAR 2 PILAR 3 MINIMAL CAPITAL REQUIREMENTS Quantitative approach Market Risk (no change) Credit Risk Operational Risk INTERNAL CONTROL The regulator can request a higher solvency ratio, depending on the quality of: Risk taken: interest rate and liquidity Risk Management, internal control and reporting Capital Allocation MARKET DISCIPLINE Improvement of Disclosure Capital Allocation to various risks Capital Structure Components of credit portfolio (geography, sector ) Internal Rating 26

27 Pilier 1 Exigence minimale en fonds propres L héritage du ratio Cooke: Le comité de Bâle II n a pas modifié le ratio de solvabilité. Les risques pris par les banques ne doivent pas excéder 8% de leurs fonds propres. L évolution du ratio Mac Donough: des méthodes de calcul du capital Prise en compte du risque opérationnel, en plus des risques de crédit et de marché pour le calcul du capital réglementaire Prise en compte de 4 nouvelles lignes métier, auparavant hors du périmètre des risques de crédit et de marché: Finance d entreprise, Gestion d actifs, Paiements et Règlement, Services d agence et de conservation Spécifiques à chaque type de risque Des méthodes de calcul différentes pour le risque de crédit, de marché, et le risque opérationnel Adaptables à chaque établissement Possible utilisation de méthodes de calcul internes, permettant d ajuster le coût du risque à la réalité économique de chaque établissement 27

28 Capitaux Réglementaires à la SGCIB Crédit Marché Opérationnel Total Réseau France Réseau Intern Fin. Spé. et Assur. Bq Privé. Gestion BFI Gestion Propre TOTAL

29 Le Ratio de solvabilité Le RES: Ratio Européen de Solvabilité Total des Capitaux Minimun 8% = Risque de marché+crédit+opérationnel Risques de marché Risque de crédit - modèle standard et modèle interne (la Var) - modèle standard (très identique au ratio Cooke) - modèle interne reposant sur notation interne Simplified Method : internal ratings (IRB Foundation) Complex Method: internal ratings (IRB Advanced) Risque opérationnel - Indicateurs de base et modèle standard - modèle interne (IMA) 29

30 Le Raroc 3 0 o Le Raroc est le taux de rendement du capital économique. o Il se mesure par la formule suivante: avec: MNI: marge nette d intérêt EL: expected loss UL: unexpected loss rfp: revenu des fonds propres Raroc MNI EL Coûts UL rfp Les variations sur cette formule sont nombreuses Une bonne compréhension des besoins doit permettre d identifier la bonne formulation. 30

31 Le capital économique vs réglementaire Il ne faut pas confondre ces deux type de capitaux. o Le capital économique répond à un objectif premier de gestion interne des établissements, tandis que le capital réglementaire vise à assurer une solvabilité minimale des institutions et de l ensemble du secteur bancaire. o Le capital économique est propre à chaque établissement, alors que le capital réglementaire est issu de normes internationales. Objectifs: Le capital économique permet d instituer un langage commun de la direction générale aux opérationnels et permet de définir la stratégie, tarifer les transactions, apprécier les performances, définir les limites de risques et gérer les concentrations

32 Basle III o Basel 1 Minimum capital standards pour le banking book o Basel 1.5 Introduction des modèles de VaR pour le trading book o Basel 2 Introduction des modèles internes o Basel 2.5 Révision de Bale 2 pour certains produits de crédit - Titrisation et «Correlation Trading» o Basel 3 Requalification du capital et augmentation des ratios minimums Introduction de ratios de liquidité (LCR-2015) et de ratios de funding (NSFR-2018) Introduction de besoins réglementaires supplémentaires pour certains produits de crédit The rules text presents the details of the Basel III Framework, which covers both microprudential and macroprudential elements. The Framework sets out higher and betterquality capital, better risk coverage, the introduction of a leverage ratio as a backstop to the risk-based requirement, measures to promote the build up of capital that can be drawn down in periods of stress, and the introduction of two global liquidity standards. 32

33 Liquidity Ratios 3 3 1/3/2014 1/1/

34 Références Problématique de la banque: la survie Combien de fonds propres faut-il avoir pour couvrir les risques: Il y a deux sortes de pertes potentielles (expected loss) - «Expected Losses» - «Unexpected Losses» Les fonds propres, qui correspondent au capital de la banque) permettent de couvrir les risques du type «Unexpected Loss». La partie «Expected Loss» est prise en compte directement dans les comptes à travers les provisions qui passent en résultat. LE TEXTE DE BALE: Depuis BALE 2, (1994), les banques ont la possibilité d utiliser un modèle interne de calcul de Risque. Ce calcul doit permettre de calculer le montant des fonds propres nécessaires à couvrir les risques: RISQUES vs FONDS PROPRES 34

35 Pertes attendues et inattendues COPYRIGHT 2013 PHILIPPE DUCHEMIN 3 5 o Distribution de probabilités sur les pertes liées au risque de marché. UL fréquence EL=expected loss = 0 UL = unexpected loss 1% Loss 0 Profit 35

36 Pertes attendues et inattendues COPYRIGHT 2013 PHILIPPE DUCHEMIN 3 6 o Distribution de probabilités sur les pertes de crédit. fréquence UL EL 0,03 % Loss 0 Profit 36

37 Texte du CRB Critères quantitatifs 5. Les principes suivants doivent être respectés : a) La perte potentielle est calculée quotidiennement ; b) Le niveau de confiance unilatéral requis est de 99 % ; c) Il est appliqué un choc instantané sur les prix équivalant à une variation sur dix jours correspondant à une période de détention de dix jours ouvrés. Les établissements peuvent recourir à un montant estimé pour des périodes de détention plus courtes en le pondérant par la racine carrée du rapport des durées afin d'obtenir un chiffre sur dix jours ouvrés ; d) La période d'observation (échantillon historique) pour le calcul de la perte potentielle doit être au minimum d'un an ; e) Les établissements doivent mettre à jour leurs séries de données au moins une fois tous les trois mois et plus fréquemment en cas d'accroissement notable des volatilités observées ; f) Les établissements peuvent prendre en compte les corrélations empiriques entre tous les facteurs de risques sous réserve que le système de mesure de celles-ci soit fiable, appliqué de manière intègre et que la qualité des estimations soit satisfaisante ; g) Les modèles doivent appréhender avec précision les risques particuliers liés au caractère non linéaire du prix des options ou positions assimilées.

38 Le Contrôle des Risques 38

39 CCCI: Comité de Coordination du Contrôle Interne 39

40 Contrôles LA GESTION DES RISQUES - fixe un cadre de gestion des risques: stratégie, gouvernance - définit la méthodologie -- définit le programme de contrôle : appétence, limites LE CONTROLE INTERNE - processus comprenant tous les contrôles intégrés dans l activité de l entreprise Contrôle interne -- s intègre dans la réduction des risques L AUDIT INTERNE - vérifie l efficacité du dispositif de contrôle des risques, sur tous les méthiers et à travers toutes les entités -- conduit des missions d audit ponctuelles 40

41 Méthode des notations internes (IRB) Notation interne / Probabilité de défaut PD Maturité M Perte moyenne en cas de défaut LGD 100% taux récupération x Fonction Utilisations Part non utilisée x CCF 12,5 x Fonction de pondération (K) + Exposition au risque EAD x Pondération de l'exposition au risque (RW) Emplois pondérés (RWA) x Exigence en fonds propres au titre de l UL Garanties Perte moyenne en cas de défaut LGD 8% PD : Paramètre reflétant le risque de défaillance de la contrepartie, à un horizon d un an EAD : Mesure du montant net en risque, au moment d'une éventuelle défaillance de la contrepartie LGD : Impact de la prise en compte des facteurs réducteurs du risque (sûretés) RW : Equivalent de la pondération liée à la contrepartie pour le calcul des emplois pondérés Cooke 41

42 Le Risque Opérationnel Définition «Tout risque de perte résultant de la défaillance ou de l inadéquation des processus internes, des personnes, des systèmes, ou d événements extérieurs» Est inclus le risque juridique Sont exclus le risque stratégique le risque de réputation Catégories de risques Fraude Interne Fraude externe Pratiques en matière d emploi & sécurité sur le lieu de travail Clients, produits & pratiques commerciales Dommages aux actifs corporels Dysfonctionnements de l activité & des systèmes Exécution, livraison & gestion des processus Lignes Métiers Banque d Investissement Négociation et vente Banque de détail Banque commerciale Paiements et règlements Fonction d agent Gestion d actifs Courtage de détail 42

43 Critères Qualitatifs En complément de critères quantitatifs, on retient aussi des critères qualitatifs: Mise en œuvre de procédures Organisation Comptable et Traitement de l information Systèmes de mesure des risques et des résultats Systèmes de surveillance et de maîtrise des risques Systèmes de documentation et d information Équipes indépendantes et formées de façon adéquate Des comités pour définir les limites Un comité d audit et une équipe d audit interne 43

44 Les Acteurs des Salles de Marchés 44

45 Front To Compta - BFI Front Office Middle Office Back Office Comptabilité Booking Position management Recherche Structureurs Reconciliations FO/BO Valorisations Résultats Risques Confirmations Paiements Collateral Premier niveau: engagements, paiements Second niveau: inventaire Fonctions Transverses Financières Gestion des données/des référentiels Product Control Risk Control Financial Control Collateral management Fonctions Transverses / Support Informatique MOA MOE Marketing Juristes 45

46 Les Métiers de Front Office o o o o Le Trading Market making Arbitragiste Issuer (primaire) Brokerage Global books (book tournant) Proprietary trading (prop trading) Les vendeurs sales Rémunération par des «sales credit», affectés à chaque transaction Les ingénieurs structureurs Opérations de montage (structured deal) Autres centres de profit La trésorerie CPM et ALM La Gestion du Collateral, Titrisation 46

47 Fonctions et Responsabilités Clients Recherche de Financement Recherche de couverture Recherche Pricing et Développement de nouveaux produits Commerciaux / Sales Identification des besoins des clients Propositions commerciales Ingénieurs Financiers Conception des Produits Structurés Modélisation Valorisation et simulation Validation Juridique Traders Responsable de la gestion des portefeuilles, à travers des couvertures globales Pricing interne et externe Suivi des Limites et des Procédures 47

48 Les Clients LES CLIENTS EXTERNES: Particuliers Banque Commerciale Entreprises Private banking Asset managers Hedge Funds Clients Institutionnels Collectivités Locales, Souverains Warrants, Certificats, ClickOptions, Trackers Capital guaranteed structured products Stock options, Leveraged employee shared plans, Management of equity participations Tailor-made structured products, Alternative Investments, Research, Execution Trackers, Equity Finance, Plain vanilla flow options, Exotic flow products, Research, Execution Plain vanilla flow products, Exotic flow products, Research, Execution Structured Products, Exotic flow products, Alternative Investments, Research, Execution et LES CLIENTS INTERNES: 48

49 Front Office Les Opérateurs de Marché: Market Making et Arbitrage Cotation, Saisie, événements sur transactions Suivi des résultats et des limites (trading et crédit) Suivi des procédures Suivi des confirmations (juridique) Gestion des lignes de produits mondiales Ligne de produit mondiale Interface entre vendeur/structureur/trader 49

50 Globalisation LA GLOBALISATION DES OPERATIONS Les lieux où se déroulent les opérations peuvent être très différents: o SALES o TRADING o MIDDLE OFFICE o BACK OFFICE o COMPTABILITE o SYSTEMES (cloud computing)) D ou la nécessité de réaffectation des résultats (pnb) et des couts (expenses). rétrocessions internationales Et gérer la répartition du résultat entre les traders/sales/structurers à l aide de prix de cession interne (tci) 50

51 Capital Markets Lignes Produits La Trésorerie Treasury Le Marché Monétaire Money Market Le Marché des Changes Forex, cash and derivatives Les Matières Premières Commodities: Precious Metals, Energy, Agri. Le Marché Obligataire Fixed Income Le Marché du Crédit Debt and Credit Dérivés Taux Interest Rate Derivatives Produit Inflation Inflation Product Le Marché des Actions Equity Dérivés Actions Equity Derivatives Les Produits Structurés Structured Products, Hybrids Titrisation MBS, ABS 51

52 Le Marché du Crédit LE MARCHE OBLIGATAIRE Trading obligataire: SVT: spécialistes en valeurs de trésor Trading: Options et Futures (Matif, Eurex, Liffe) Stripping de convertible: CB: convertible bonds Emissions: primaire et secondaire Syndications de crédits LES DERIVES DE CREDIT Vanille: CDS: Credit Default Swap et CLN: Credit Linked Note Options sur spread, TRS: total return swap Exotiques: CDO: Collateralized Debt Obligation, CDO Square Basket Default Swap: FTD: First to Default, NTD: nth to Default 52

53 Les Briques Les Produits/Concepts Fondamentaux Le Cours à Terme appliqué au change Le Forward/Forward: un prêt/emprunt à terme L option classique Americaine/européenne/bermude L option digitale L option digitale barrière L option min/max (lookback), moyenne (asiatique) Le CDS Credit Default Swap 53

54 Classification des instruments RATES FX Spot Prêt ou Emprunt Change Comptant Terme Prêt Différé Change à Terme Spot et Terme NDF (Non Deliverable Fwd) Prêt Forward Forward FRA Swap de change Change à Terme NDF Multi Période Swap Currency Swap Option mono période Option multi périodes Option sur FRA Cap et Floor Option de Change 54

55 Le Contrat Financier Caractéristiques générales d un Contrat Financier Contrat bilatéral entre deux parties, en général un acheteur et un vendeur. Engagement d échange de Capitaux (financement) ou de Risques (BFI). Le Nominal du contrat: montant en devise Le prix le prix est spécifique du contrat financier Ex: cours de change, prix obligataire, cours d action, spread... Le tiers: externe, interne, un marché Caractéristiques: date de début et date de fin 55

56 Les Positions Caractéristiques générales d une Position Ticket d achat/vente d un Actif/Passif Financier, Bilan ou Hors Bilan Mise à jour d une position longue ou courte Afin de pouvoir mettre à jour une position, il faut que l instrument financier soit FONGIBLE. C est la caractéristique essentielle d une position. Comptabilité: les positions se prêtent à un traitement de gestion de stock: LIFO/FIFO et CMP (cout moyen pondéré) 56

57 Bilan Financier TRANSACTIONS POSITIONS - ACTIF OTC Forward, Options, Swaps CDS TRESORERIE Prêts et Emprunts Repo MARCHES ORGANISES option futures COMMODITIES metals, energy, agro CURRENCIES SECURITIES obligations et actions EMISSIONS POSITIONS PASSIF monétaire, bmtn STRUCTURES 57

58 Crédit Default Swap (CDS) : Schéma Branche fixe : x% par an tant que pas d événement de crédit Acheteur de Protection Branche variable : 0 en l absence de défaut Vendeur de Protection Paiement contingent en cas de défaut : pair - valeur de l actif de référence 58

59 FTD First To Default First to Défaut basket 3 years Carrefour Fiat SPA Vodafone Siemens AG Unilever NV 15 BP 61 BP 71 BP 20 BP 16 BP Payment de 10 M en cas de Credit Event CAI 110 BP Client Livraison des titres en Défaut en cas de Credit Event 59

60 CDO Principe : titrisation d un portefeuille de crédits diversifiés TRANCHING Super senior [AAA+] Portefeuille de Dettes Pool Éventuellement via un SPV (Special Purpose Vehicule) Cession des titres ou via des CDS et/ou CLN Senior [AAA] Mezzanine(s) [AA] to [BB] Equity 60

61 Actions et Taux LES ACTIONS Les actions cash (courtage) Les dérivés d action: options et swaps Les warrants Les bourses en ligne Nouveaux instruments: ETN, ETF, CDF (Contract For Difference) LES TAUX Les dérivés de taux: Swaps standards (vanilles) Swaps exotiques, structurés Caps et Floors Swaptions Arbitrage de toute la courbe de taux: FX Swaps, Change à Terme, Swaps, Bonds 61

62 Les Autres Marchés LES MARCHES DE MATIERES PREMIERES Les métaux précieux et non précieux Les produits agricoles L ENERGIE Le pétrole et ses dérivés Le gaz et l électricité L uranium LE MARCHE DES CLIMATIQUES Les Dérivés Climatiques Les Contrats sur CO2 AUTRES 62

63 La Trésorerie d Entreprise o Gestion des relations avec les banques o Gestion de la liquidité o Gestion des risques, de change, de taux o Gestion de la dette et des placements o Comptabilité, IAS o Prévisions et Budget o Emissions de Titres (TCN) o La gestion des approvisionnements: matières premières 63

64 La gestion Actif Passif o La gestion actif-passif, aussi dénommée par son acronyme anglais ALM (Asset and Liability Management), est une pratique développée par les institutions financières anglosaxonnes à partir des années 1970 à la croisée des chemins de la gestion des risques et du pilotage stratégique o Historiquement, elle consistait strictement à: La gestion du risque de taux et du risque de liquidité. L ALM ne s adresse qu aux portefeuilles contenant des produits de taux d intérêt, tout particulièrement les portefeuilles de créances immobilières. L objectif était d assurer un équilibre du bilan, entre l actif et le passif. 64

65 La gestion Actif Passif Depuis les années 50-60, l ALM a suivi le développement du monde financier et tout particulièrement de la réglementation: o L ALM a évolué vers la problématique de fixation des prix internes, aussi bien pour les actifs que pour les passifs, afin de pouvoir déterminer le coût de la ressource (coût du capital) et le taux moyen de rémunération. o La mesure du risque de taux o La mesure du risque de liquidité o Le calcul des fonds propres réglementaires et économiques o La prise en compte des produits de hors- bilan o La calcul de la rentabilité du portefeuille: ROE «Return On Equity», qui nécessite la mesure du résultat sous la forme de PNB (Produit Net Bancaire), et l allocation d un niveau de capital qui sera issu du niveau de risque pris. Modèle bancaire: liaison Risques Capital 65

66 Bilan des banques françaises ACTIF Trésorerie et comptes à vue auprès de banques centrales 316,40 Actifs financiers détenus à des fins de transaction 1 829,80 Actifs financiers désignés à la juste valeur par le biais du compte de résultat 124,20 Actifs financiers disponibles à la vente 370,10 Prêts et créances sur les grandes entreprises 996,40 Prêts et créances sur la clientèle de détail 1 467,10 Prêts et créances 576,70 Placements détenus jusqu'à leur échéance 20,30 Dérivés - Comptabilité de couverture 88,00 Autres actifs 524,70 PASSIF Passifs financiers détenus à des fins de transaction 1 679,97 Passifs financiers désignés à la juste valeur par le biais du compte de résultat 176,70 Dérivés - Comptabilité de couverture 93,40 Dépôts d'établissements de crédit 468,43 Dépôts (autres que ceux d'établissements de crédit) 2 214,08 Titres de dette (y compris les obligations) 859,43 Provisions 26,56 Passifs subordonnés 71,46 Capitaux propres part du groupe 294,46 Autres passifs 429,08 TOTAL DE BILAN en milliards d euro 6 313,60 66

67 La gestion Actif Passif Depuis les années 50-60, l ALM a suivi le développement du monde financier et tout particulièrement de la réglementation: o L ALM a évolué vers la problématique de fixation des prix internes, aussi bien pour les actifs que pour les passifs, afin de pouvoir déterminer le coût de la ressource (coût du capital) et le taux moyen de rémunération. o La mesure du risque de taux o La mesure du risque de liquidité o Le calcul des fonds propres réglementaires et économiques o La prise en compte des produits de hors- bilan o La calcul de la rentabilité du portefeuille: ROE «Return On Equity», qui nécessite la mesure du résultat sous la forme de PNB (Produit Net Bancaire), et l allocation d un niveau de capital qui sera issu du niveau de risque pris. Modèle bancaire: liaison Risques Capital 67

68 Organisation BOARD OF DIRECTORS MANAGEMENT COMMITTEE ASSET LIABILITY COMMITTEE (ALCO] DEPARTEMENT ALM PLANIFICATION FINANCIERE CONTROLE DE GESTION ANALYSE CREDIT CPM CREDIT PORTFOLIO MGT GESTION BACK OFFICE TRESORIER 68

69 La Banque Commerciale o Le réseau de distribution: les agences bancaires et ses commerciaux vente de produits financiers de crédit ouverture de produits de placement, afin de récupérer de la liquidité gestion du risque de crédit (notation, scoring) selon délégation. o Le trésorier central gère le risque de taux et le risque de change en effectuant des opérations de couverture financières. gère le risque de liquidité, afin d assurer à la banque un approvisionnement adéquat en ressources financières. o Les services ALM production des prix: barèmes mensuels campagne de marketing calcul du revenu global des agences 69

70 COPYRIGHT 2013 PHILIPPE DUCHEMIN Le Taux de Cession Interne Trésorier Central TCI CASH CASH TCI CREDIT DEPOT 70

71 Statistiques 2012 o PNB (6 banques françaises en 2012) = 140 milliards dont 95 pour Bq Commerciale o Frais de gestion = 93 milliards o Coût du risque = 15 milliards, dont 13 pour Bq Commerciale o PNB/Total Bilan = 1,92% Coût du risque/total Bilan = 0,28% o MNI/Total Bilan = 1,09% Commisssions/Total Bilan = 0,51% o Ratio MNI/PNB = 50% Ratio Commissions/PNB = 30% o ROA=0,14% 71

72 Le Middle Office 72

73 Le Middle Office ASSISTANT TRADEUR Trading/Sales (Deal Management) Saisie des opérations, des événements Saisie des données de marché, valorisations Suivi des procédures: limites de marché, de crédit LES RISQUES Risk Management (Risk Control) La définition et la mesure des risques: la Var (Value At Risk) Le suivi des limites de marché et de crédit Le stress testing, backtesting LES RESULTATS Product Control La validation des données de marché La production des résultats, les provisions La validation des modèles Les rapprochements comptables 73

74 Le Contrôle Interne LES RISQUES DE MARCHE QUOTIDIEN LE RESULTAT ECONOMIQUE LES CAPITAUX PROPRES MENSUEL ANNUEL LE RESULTAT COMPTABLE BCBS Bale III Solvency II IASB - IFRS 74

75 Les Acronymes du Product Control PL ou PNL: Profit And Loss NBI: Net Banking Income NCR: Net Cost of Risk REFI: Refinancement: implicite et explicite FPV: Financial Performance View MTD, YTD: Month to Date, Year to Date EDN : Ecart de norme EDM: Ecart de méthode OCI: Other Comprehensive Income ALM: Asset Liability Management CPM: Credit Portfolio Management RP: Reserve Policy, Sales Policy, Retrocessions MTM: Mark To Market et Mark To Model NPV: Net Present Value 75

76 Valorisations Faut-il valoriser les opérations financière, les positions, les portefeuilles d actifs, de passifs? Avec quelle fréquence? en date d inventaire (fin de mois, fin d année) Dans quel but? Réponse partielle: LES NORMES COMPTABLES Réglements Comptables en matière de dérivés: IAS39 / IFRS9 International Accounting Standard Board (2005) SFAS Financial Accounting Standard (2006) Citation: Eugène Fama 1970 : «hypothèse d efficience infomationelle des marchés» «la meilleure estimation d un prix, est son prix de marché instantanné en présumant que toute l information, passée, présente, publique, et privée est incluse dans le prix présent des actifs financiers.» 76

77 Définitions Le Prix des Actifs et des Passifs Financiers Prix défini à la date de valorisation. Dans une unité monétaire: devise de valorisation. Méthodes de valorisation: on distingue 2 catégories de méthodes: Les méthodes ne faisant pas appel à un prix de marché: prix variable mais calculable par avance. Méthode du cout historique et pour les produits de taux: Méthode du cout amorti (en IFRS) Méthode du réescompte (en comptabilité française) Les méthodes faisant appel à un prix de marché: prix à recalculer à chaque date de valorisation D ou l origine du mot «Mark to Market». et de: «Fair Value»: «exit price», cout de remplacement, de liquidation 77

78 L intention de Gestion L intention de gestion représente les objectifs de l entité/opérateur. THEOREME FONDAMENTAL DU PRODUCT CONTROL LA VALORISATION DEPEND DU CHOIX INITIAL DE L INTENTION DE GESTION Aussi nommée: «Business Model», intention de portage. Notion Économique mais aussi Comptable, présente dans l ensemble de la réglementation comptable. Règles strictes à appliquer en cas de changement d intention ( voir la loi d octobre 2008, autorisant les banques à changer de catégorie suite à la crise) Intention de gestion homogène à l intérieur d un même portefeuille Conséquences, sur la séparation des banques: retail/bfi 78

79 Les intentions de gestion - French Gaap Le CRD : contrats d échange de taux d intérêt et de devise: Définition Méthode A Position ouverte isolée Couru et moins values latentes B Micro couverture Méthode de l élément couvert C Macro couverture Couru D Gestion spécialisée (trading) Valeur de marché (MTM) Le CRB : titres obligataires Définition Méthode 1 Titres de transaction (trading) Valeur de marché (MTM) 2 Titres de placement Couru et moins values latentes 3 Titres d investissement Couru Traduction: «Business Model»!! 79

80 Les intentions de gestion - IFRS IFRS 9 en remplacement de l IFRS 39 (évaluation et comptabilisation des instruments financiers) IFRS 4: évaluation des actifs financiers Définition Méthode HTM Position tenue jusqu à maturité Held To Maturity Coùt Amorti AFS Position disponible à la vente Available For Sale Fair Value (MTM) C Prêts et Emprunts Coût Amorti 80

81 Différences Markets / Asset Mngt Le résultat est exprimé en devise de résultat Sa «valeur actuarielle» est calée sur la date de fin de période Le résultat est soit positif, soit négatif Asset Management Vs Capital Markets ASSET MANAGEMENT CAPITAL MARKETS Objectifs Respecter un mandat Respecter des limites (trading et tiers) Evaluation Résultat+Performance(Rdt) Résultat Patrimoine Patrimoine Initial=Capitaux Patrimoine Initial Nul Rendement Rdt=Résultat/Capital Rdt=Résultat/Capitaux Risques Risques Var Relative Var Absolue 81

82 Income Attribution Analyse de Sensibilité et PL Hypothétique Indicateurs Sensibilité Limite Market Delta Delta Standard PL Hypothétique FX: USD/EUR // shift: Tx Eur 3M Index Cac40 spot Gamma Fx opt USD/EUR Portage Résultat Réel : jour

83 Etude de Sensibilité sur Options de Change Modèle de Garman Kholagen (BSM adapté au Options de Changes) calcul analytique des sensibilités calcul par simulation Facteur Sensibilités Variation Variation Sens Variation Réelle Sigma 0,25 Vega 30, ,08% -0,3110-0,3032 S 100 Delta 0, ,00% 0,3273 0,3371 S 100 Gamma 0, ,00% 0,0080 Rd 0,04 Rhod 21, ,68% 0,0316 0,0323 Rf 0,06 Rhof -24, ,50% 0,0074 0,0074 Rd-Rf -0,02 Rhodelta 24, ,43% 0,0465 0,0398 T 0,75 Theta -4, ,36% -0,0116 0,

84 Citation Adam Smith (1776) Les choses qui ont la plus grande valeur d usage ont fréquemment peu ou pas de valeur d échange; et au contraire, celles qui ont la plus grande valeur d échange ont fréquemment peu ou pas de valeur d usage. Rien n est plus utile que l eau; mais elle ne permet d acheter que peu de chose; elle s échange pour si peu de chose. Un diamant, au contraire n a que peu de valeur d usage, mais une grande quantité d autres biens peuvent être obtenus en échange. 84

85 Conclusions Validation du résultat: Résultat économique et résultat comptable Niveau d agrégation: Définition du périmètre retenu: identification des prix internes Définition de la durée: valorisation aux bornes Niveau de détail: soldes intermédiaires de gestion Le calcul de performance requiert une numérateur: résultat et un dénominateur: capital Le capital est à choisir parmi: le capital comptable, économique, réglementaire (lié aux risques pour la banque/assurance) Attribution de revenu et attribution de performance Explications de l origine du résultat 85

86 Le Back Office 86

87 Back Office Le BACK OFFICE s occupe de la gestion administrative des opérations effectuées par le FRONT OFFICE Les Back offices sont organisés par produit et leurs principales fonctions sont: S assurer de la réalité des deals traités avec les contreparties (process confirmation). Effectuer les paiements et livraisons de titres (process de R/L règlement livraison). Vérifier la réception des titres ou du cash ainsi que les positions avec «l externe» (custodian, clearing house, broker, Stock Exchange, correspondents bancaire ). Comptabiliser les règlements. 87

88 Back Office L OPERATIONNEL Le contrôle de la saisie des opérations, des événements Les confirmations (réception, envois) Les paiements La comptabilité de premier et de second niveau Le suivi de la trésorerie des desks La gestion des référentiels: clients, titres, calendriers, Les back offices titres et OTC (over the counter) LES RECLAMATIONS Les relations avec les banques, les entreprises L impact des IAS REGLE GENERALE: les BO ne saisissent plus aucune opération: workflow et STP 88

89 OPER - SG OBJECTIFS OPER (2008) Améliorer les process et maîtriser les risques opérationnels Finaliser le projet Confirmations Triple objectifs sur les deux composantes : Production et Matching Capacité à absorber et piloter le flux Réduction du stock de confirmations non produites ou non matchées Optimisation des process afin de s inscrire dans la durée Conduire le projet Suspens Réduction significative du nombre de suspens pour revenir à un niveau normal Identification des process ou organisations générateurs de dysfonctionnements et élaboration de plan d actions Pilotage des flux afin de s assurer de la stabilité de la situation Déployer le principe de Global Custody Optimisation des process d émissions des produits de dettes 89

90 La comptabilité 2 plans de compte: comptes sociaux (french gaap), et IFRS/IAS Premier niveau, au quotidien Enregistrement comptable: bilan, hors bilan Paiements: comptes de tiers/banque Confirmations, réconciliations, validations Second niveau, en fréquence mensuelle Les inventaires de fin de mois: passage des valorisations: couru (réescompte) et le mark to market (MtM), mark to model Le calcul des provisions La réévaluation des positions de change Le reporting réglementaire: BAFI, COREP, FINREP Le financement: REFI 90

91 Les métiers fonctionnels MARKETING La création de nouveaux produits: procédure, intégration, pricing La gestion des dossiers spéciaux et complexes Le conseil: montages structurés et fiscalité L impact d internet, la globalisation JURIDIQUE La validation des contrats, les contrats cadres, contrats ISDA AFB La validation des événements de crédit La réglementation: money laundering, contreparties, Les litiges de salle de marché ECONOMISTE Les prévisions économiques Les prévisions des marchés: taux, change, indices La politique monétaire La communication L analyse technique (chartiste) CHARTISTE ANALYSE TECHNIQUE 91

92 Accounting & reporting functional framework - Main applications P&L Economic and accounting quality P&L production AGRisk AGORA METEOR CRAFT Income attribution EOM P&L forecast Accounting General ledger and inventory accounting APF Platform Accounting reconciliations and matching AGORA GL APF NXG + GDS Analytical review PUMA APF PnL synthesis (Navette) Shuttle FX revaluation and PnL transfer GL APF BS by BL BO engines feeds ARES EPM APF Regulatory and Group reporting Magnitude reporting Local regulatory reporting GL APF + XL ICS APF GL & EPM pivot feeds KHEOPS ALMA SG risk reporting Tax reporting SGCIBML BO feeds BO engines feeds DEVL tools EPM REC ARTEMIS Budget Profitability analysis Expense allocation Analytical adjustment recording Forecasts Actuals analysis KHEOPS ALMA TOP BUDGET TRANSCRIBE BUDGET COSMOS AGORA CRAFT CTY PHAROS Norms management Permanent supervision management Referential management Intranet BDR PSP Support Accounting schemes management Expense production PS Expense Transfer pricing and retrocession ARIANE Caption: Macro Function further detailed SG tools SGCIB tools 92

93 L informatique de Marchés 93

94 L informatique bancaire La différence entre informatique des banques commerciales et des banques de marché Les systèmes Front et Back office Les chaînes de traitement: prêts, Pel Les réseaux et des architectures mondiales La bureautique et le poste de travail Les réseaux de paiements: Swift, Target, Relit, Les interfaces: comptabilité, données de marché Les systèmes Comptables, les EAI Les bases de données La sécurité et la confidentialité 94

95 Les Systèmes d informations Distinction entre systèmes Front et Back Front Tenue de position, gestion des transactions Gestion des soultes et outils de transfert de résultat/spread Calcul de valorisation et de couverture (hedging) Gestion des événements : exercices, fixings Suivi des risques et des résultats Back Cycle de validation : saisie, confirmation, paiements, événements(fixing) Trésorerie, calcul des intérêts (en valeur), reporting Valorisation, résultat économique et comptable Rapprochements : différentes présentations du résultat, mise en forme flexible Valorisation Calcul quotidien et stockage: un prix par contrat (ou par position) Fermeture de la journée (pas de possibilité pour corriger une valorisation) Nouvelles techniques : IRR (cout amorti), valeur intrinsèque, suppression de l actualisation Calcul des provisions 95

96 L exploitation Informatique Les Systèmes d Informations et la Sécurité Gestion des Accès: Identification et Autorisations Transfert des données - Cryptage des fichiers - Signature électronique des documents - Paiements sécurisés et Dématérialisation Non répudiation et Intégrité des échanges Archivage électronique Production Back Up (Plans de Continuité ou DRP: Disaster Recovery Plan) Outsourcing, contrats SLA (Service Level Agreement) Télécommunications Enregistrement des conversations, portables interdits 96

97 Reference Applications BDR (referential) Global M.O. systems Global B.O. systems CRI-like CRE/CRI or SGCIBML messages Accounting Platform DFO Quartz RDJ XRDJ NBI tools Management reporting EXPENSE ME MI Balance sheet & risk monitoring Operating expense tools (Cosmos) GL APF EPM KHEOPS Local reg. reporting tools ALMA PHAROS Group reporting PERF ICS MAGNITUDE SG tools SGCIB Global tools SG Basel 2 tools 97

98 Corrections Adjustments Reinforce the financial monitoring Dérivés de taux Crédits Opé de financement Écritures manuelles TAUX Loan IQ Horus Quartz Others Accounting platform RDJ ME MI SAPHIR GL Balance EPM Inventory Deal RWA Referential Balances & inventories at transaction level PHAROS / ALMA Group Basel 2 tools C3R Liquidity Risk analysis Interest rate Risk analysis Forex Risk analysis 4C MRP COLLECTE Liquidity Transfo Risk MAGNITUDE Group reporting 98

99 ITEC Organisation ITEC ITEC/DIR ITEC/ CTT: Client & Trading Technology ITEC/DPR: Deal Processing Technology ITEC/RRF: Risk & Finance Technology ITEC/FCC: Client Coverage Technology ITEC/CSY: Corsporate Technology ITEC/PRD: Production Services et ITEC/ARC: Architecture et Stratégie, ITEC/SEC: IT Risk Mgnt ITEC/AMER, ITEC/ASIA, ITEC/EMEA Shared Services: RESG/GTS/MKT: Global Technology Services RESG/GSC: Global Solution Centre 99

100 L organisation La MOA: Maitrise d Ouvrage Et MOE: Maitrise d Oeuvre La gestion des projets d installation de logiciels et de développement Le paramétrages des logiciels La gestion des référentiels La gestion des données externes: prix, ratings La rédaction de manuels pour les utilisateurs La gestion de la sécurité et des accès Les procédures d exploitation Les outils de reporting, les data warehouses (EAI) 100

101 Infrastructures 101

102 Les infrastructures des marchés financiers Les infrastructures des marchés financiers sont les infrastructures par lesquelles transite une part très élevée des flux financiers échangés entre les acteurs des systèmes financiers, et qui : - garantissent une exécution des ordres de virement dans les meilleures conditions de sécurité et d efficacité systèmes de paiement (Target2- Banque de France et CORE (FR) pour la France) - assurent le dénouement effectif des transactions sur instruments financiers systèmes de règlement-livraison (ESES France pour la France) - permettent de centraliser et de mieux maîtriser le risque de contrepartie systèmes de compensation (LCH.Clearnet SA pour la France) - enregistrent des transactions afin d assurer la transparence des marchés financiers registres centraux de données ou Trade repositories (TR) (projet EMIR) 102

103 Infrastructures de marché en France o Garantir une exécution des ordres de virement dans les meilleures conditions de sécurité et d efficacité systèmes de paiement: Target2-Banque de France et CORE o Assurer le dénouement effectif des transactions sur instruments financiers systèmes de règlement-livraison: ESES o Centraliser et maîtriser le risque de contrepartie systèmes de compensation: LCH.Clearnet SA o Enregistrent des transactions afin d assurer la transparence des marchés financiers registres centraux de données ou Trade Repositories (TR) / EMIR 103

104 Pour la France o Le paysage des infrastructures de marché financier français, qui comprend un système de paiement de gros montant (TARGET2-BF), un système de paiement de détails (CORE(FR)), un système de compensation (LCH.Clearnet SA) et un système de règlement-livraison de titres (ESES France), a connu une profonde mutation depuis 2007 : o les systèmes de paiement de montant élevé, TBF (Transfert Banque de France) et PNS (Paris Net Settlement) ont été remplacés en 2008 par le système unifié européen TARGET2 (Trans-european Automated Realtime Gross settlement Express Transfer) o Dans le domaine des paiements de masse, assurant l échange de l ensemble des moyens de paiement de détail en France, le nouveau système français CORE, lancé le 28 janvier 2008, a remplacé le système SIT o Pour ce qui est des systèmes de règlement-livraison de titres, le système RGV2 a été remplacé par ESES France en novembre 2007 o La compensation des instruments financiers reste assurée par LCH.Clearnet SA 104

105 Infrastructure de marché en France Les infrastructures de marché financier françaises s appuient pour leur communication sur les services assurés par SWIFT. 105

106 SWIFT, the international company SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications) Société coopérative de droit belge qui fournit des services de messagerie standardisée et sécurisée de transferts interbancaires à plus de 7500 institutions financières dans plus de 200 pays. SWIFT permet d assurer la non-répudiation des paiements, la société réalisant l équivalent d un acte notarial sur l ensemble des transactions effectués. gère un réseau IP (internet protocol) pour faciliter les échanges de paiements et d autres messages financiers entre institutions financières dans le monde est un organe de standardisation des banques: il devient un référentiel créé en 1973, il s est ouvert en 1987 aux acteurs de la chaîne Titres et en 2002 au monde des entreprises 106

107 SWIFT, autorité d enregistrement SWIFT : un organisme de standardisation technique pour les banques Pour ses besoins propres : Normes SWIFT Utilisation de standard mondiaux ISO 9362 pour le BIC (Bank Identifier Code) ISO pour l IBAN (International Bank Account Number) ISO 4217 pour les codes devise ISO 3166 pour le code pays ISO pour les standards de messages pour les Services Financiers. Autorité d enregistrement (RA = Registration Authority) pour plusieurs standards ISO dont BIC et IBAN ainsi que ISO

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