Manger local. Contre la malbouffe. cinéma Procès à charge au Méliès de Montreuil. Politis. dérives d une multinationale

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Manger local. Contre la malbouffe. cinéma Procès à charge au Méliès de Montreuil. Politis. dérives d une multinationale"

Transcription

1 Politis Politis Les n 1241 du 21 au 27 février 2013 spanghero dérives d une multinationale Contre la malbouffe Manger local M F: 3,30 E & :HIKNOG=VUXXUW:?l@c@e@l@a" italie Un scrutin incertain politique Ces juges qui gouvernent cinéma Procès à charge au Méliès de Montreuil

2 dossier consommation Contre la malbouffe, manger local Viande, fruits, légumes Leur menu préféré, c est la proximité. p. 20 Tout le monde à poêle! p. 22 industriels «Les négligent les produits locaux» p. 23 Pourquoi les contrôles ont échoué p. 24 Plus de quatre mille kilomètres à travers quatre pays, de l abattoir roumain à l assiette anglaise, en passant par l importateur Spanghero à Castelnaudary et l usine de confection luxembourgeoise de Comigel : c est la distance parcourue au galop incontrôlé par la viande de cheval vendue pour du bœuf mais deux fois moins coûteuse, qui fourrait les lasagnes Findus débusquées début février par les services britanniques. Ajoutons un étage de sous-traitance et deux intermédiaires courtiers pour compléter cette pérégrination, étonnante mais banale dans le monde impitoyablement concurrentiel du commerce sans frontière. Ce que l on appelle un circuit long. Les premiers émus ont cru le scandale réduit à un scénario de western spaghetti : un méchant (roumain), une victime (une marque appréciée). Mais il s agit bien d une fraude massive, chaque jour alourdie de révélations, étalée sur des mois, qui sait répétitive, avec Spanghero à la barre, des complicités actives (Comigel? Les courtiers?). Et qui n est qu un pan d une magouille encore plus vaste, structurelle, ourdie par plusieurs réseaux : elle touche déjà une quinzaine de pays, une trentaine d entreprises, des millions de produits. Tous coupables? L hypocrisie culmine dans ce système indécrottable. Les États annoncent plus de contrôles, appellent les filières à la responsabilité, mais autorisent dans la foulée (via Bruxelles) le retour des farines animales, cause de la crise de la vache folle! Quelle nouvelle norme, quelle armée d inspecteurs pourraient restaurer la confiance dans des circuits organisant de facto la complexité et l opacité pour maximiser les profits, où celui qui concède le plus bas prix emporte le marché on ne veut pas savoir comment? Et les consommateurs, sont-ils prêts à s interroger sur le bénéfice supposé qu ils retirent d une guerre des prix dont ils préfèrent souvent ignorer les coulisses? Patrick Piro La riposte des circuits courts À chaque crise de l industrie agroalimentaire succède un mouvement d adhésion aux réseaux de vente de proximité, dont le développement est désormais soutenu par les pouvoirs publics. 18 Politis 21 février 2013 Pont-de-Beauvoisin, près de Chambéry : Marie sort de la boutique Producteurs de saveur avec sa viande de bœuf pour la semaine. Ce point de vente collectif distribue les denrées d une quinzaine de producteurs, tous de l Avant-Pays savoyard. Son amie Isabelle en est à l origine. Auparavant, elle vendait directement sa viande à la ferme. La boutique, que tiennent à tour de rôle les producteurs, améliore notablement le système : l approvisionnement est plus important et varié produits animaux, légumes, fruits, fromages, vin, spécialités locales. «Je sais d où ça vient, je connais les producteurs, ils savent répondre à mes questions, et c est tellement meilleur!, explique Marie. Cela fait des années que je n achète plus rien en boucherie, et encore moins en supermarché.» Plus précisément : depuis la crise de la vache folle en 2000, date de sa rencontre avec Isabelle. Une consommatrice en perte de confiance envers la distribution classique, et une éleveuse désemparée devant le recul des ventes de viande. Marie connaît aujourd hui près de chez elle une dizaine de producteurs ou de groupements écoulant leurs denrées en vente directe, une pratique dont la Savoie est une des grandes adeptes en France. C est en Rhône-Alpes, entre Lyon et Saint- Étienne, qu est né en 1978 Uniferme, premier point de vente collectif en France. «On en compte actuellement près de deux cents dans cette région, la plus en pointe dans le pays», souligne Mathilde Piotrowski, enseignante et chercheuse spécialisée dans les circuits courts à l IUT de Saint-Étienne.

3 Pratiques individuelles ou collectives, foires, marchés de plein-vent, vente à la ferme, livraison à gré de paniers hebdomadaires ou avec un engagement sur la durée de la part des clients (associations du type Amap), points de vente collectifs, distribution par Internet «Au début, nous avons tenté de caractériser ces circuits courts, mais nous avons vite renoncé devant leur foisonnement, relate sa collègue Anne- Hélène Prigent-Simonin. L important, c est avant tout le dynamisme et l innovation dont fait preuve ce secteur.» Circuit «court» : mode de commercialisation où n apparaît pas plus d un intermédiaire entre le producteur et le consommateur. Le ministère de l Agriculture a donné en 2009 une définition à ce vocable souple, lors du lancement d un programme de soutien à ces initiatives de moins en moins marginales. Le dernier recensement agricole livre pour la première fois des statistiques : en 2010, 21 % des exploitants Entre 6 et 7 % des familles privilégient les achats alimentaires de proximité. ( ) avaient choisi de privilégier la proximité avec le consommateur pour au moins une partie de leurs productions! Principalement dans le Sud-Est, à 50 % pour des légumes et du miel, contre 10 % pour les produits animaux, «encore minoritaires mais en développement exponentiel», signale Yuna Chiffoleau, sociologue à l Inra. Sans surprise, il s agit généralement de petites exploitations, ayant recours en majorité à la vente à la ferme. 10 % d entre elles pratiquent le bio (mais bien plus hors labellisation officielle), contre 2 % dans les circuits longs. Selon le Credoc (2009), entre 6 et 7 % des familles privilégient les achats alimentaires de proximité (au marché, à la ferme, chez le producteur), «qu il reste cependant difficile de quantifier plus précisément tant ils sont diffus», prévient Mathilde Piotrowski. Si les circuits locaux ne sont pas nés des scandales agroalimentaires, ceux-ci «ont chaque fois favorisé leur essor, sous l impulsion Un producteur installe une pyramide de légumes frais à Bordeaux, en 2010, à l occasion de la manifestation «Les légumes dans la ville.» ANDRIEU/afp des consommateurs, dont la demande est motrice, souligne Anne-Hélène Prigent- Simonin. Cependant, ces derniers ont la mémoire courte, et les crises n expliquent pas tout.» Si la préoccupation sanitaire finit par se diluer, la quête du goût et d une cohérence écologique sont plus pérennes. Avec ou sans bio. Ainsi, la limitation du nombre de kilomètres parcourus par les aliments est une demande croissante (1). Le réseau de boutiques Biocoop mentionne sur ses étiquettes la distance de résidence du producteur. Un autre critère est bien plus présent dans les discours depuis deux ans, constate Anne-Hélène Prigent- Simonin : «faire vivre l économie de la région et favoriser les emplois locaux», et au-delà des cercles militant contre la mondialisation. Aussi l intérêt se focalise-t-il désormais beaucoup plus sur les circuits «de proximité», à la fois courts et locaux (2), mais aussi générateurs de liens sociaux. Et pas seulement pour la convivialité des contacts directs entre (suite page 22) 21 février 2013 Politis 19

4 dossier consommation F. Decante/ Biosphoto Viande, fruits, légumes Leur me Il y a ceux qui cultivent leur lopin, ceux qui achètent local, ceux qui privilégient le lien entre vendeur et acheteur Témoignages. «Les vaches, on les voit manger, on sait ce qu on mange.» Quand ils vivaient en région parisienne, Colette et Pierre consommaient beaucoup de surgelés. «Mais pas de plats cuisinés! J ai toujours préparé moimême, souligne Colette. On allait aussi au marché le dimanche. Mais on regardait moins la provenance.» C était avant la vache folle et les lasagnes au cheval. Depuis qu ils ont pris leur retraite à Penestin, en Bretagne, ils consomment «local» au maximum. Grâce au potager, ils ont des poireaux tout l hiver, des tomates et des haricots en quantité, qu ils échangent contre les courgettes du voisin. Idem pour les fraises et les framboises. Pour le pain, ils ont passé un contrat avec un boulanger «qui a construit son four à bois et nous livre du bio deux fois par semaine, comme une bonne partie du voisinage. Depuis deux ans, il fournit le supermarché du village, Carrefour Market, où l on trouve des produits d ici.» Le bœuf, ils l achètent chez un voisin éleveur qui a ouvert boutique dans sa ferme. «Les vaches, on les voit manger dans les champs, on sait ce qu on mange.» Il y a sept ans, le couple passait par une Amap, qui n a pas tenu : «Les gens avaient l impression d acheter plus de terre que de légumes.» Déconvenue aussi pour la farine, qu il allait chercher chez un meunier. «On s est retrouvés deux fois avec des mites alimentaires.» Chez le poissonnier, Colette ne prend que ce qui vient de la criée du Croisic ou de la Turbale. Il y a aussi une ferme fruitière où Colette et Pierre prennent des pommes, des pommes de terre, des noix, des yaourts, du cidre, du miel et du lapin. «Pour le reste, poursuit Colette, je vais au Carrefour Market, même s il est plus cher que Leclerc. C est important de conserver un supermarché dans le village.» Pierre fait aussi ses confitures et ses sorbets. «Mais pas le gâteau breton, trop compliqué» Du producteur au consom acteur C est la nostalgie des radis croquants et des pommes de terre goûteuses de son grand-père jardinier qui a convaincu Perrine, aux revenus modestes, de s abonner aux Paniers du Val-de-Loire. Une voisine, au détour d une conversation de trottoir, lui fait l article pour l association Val bio Centre. Créée en 2000, elle regroupe une vingtaine de fermes familiales biologiques et six jardins d insertion dans la région Centre, et livre ses paniers dans 200 dépôts répartis à Orléans et alentour, mais aussi en Île-de- France dans trente-cinq villes de la banlieue et les vingt arrondissements parisiens! Depuis, chaque vendredi soir, Perrine va chercher son panier bio chez sa voisine, au bout de sa rue, à Montreuil. Pour une somme à peu près équivalente à celle consacrée auparavant à choisir soigneusement ses fruits et légumes au marché, elle partage désormais avec les siens les saveurs de son enfance. Dans son panier d environ 4 kg, elle trouve 4 à 5 variétés de légumes et une de fruits, avec une recette et des infos sur les producteurs et l association. Sur le site de cette dernière, la provenance des produits est détaillée pour une traçabilité simplifiée. Si les Paniers du Val-de-Loire mettent en avant leur volonté de tisser des liens étroits entre producteurs et consommateurs, qui peuvent se rencontrer lors de la fête annuelle à la mi-septembre, l association est aussi engagée dans une démarche solidaire. Dans leurs cinq Jardins de Cocagne, une centaine de personnes en difficulté ont retrouvé un emploi, tout comme les salariés de deux entreprises partenaires. L une, à Blois, opère la mise en paniers et la livraison à Orléans, l autre, un chantier d insertion de Choisy-le-Roi, dans le Val-de- Marne, livre Paris et sa région. Le système de vente développé par les Paniers du Valde-Loire est sous forme d abonnement (en ligne sur il permet d impliquer plus directement le consommateur urbain dans le développement de l activité. L association propose également un panier bio étudiant, en partenariat avec l Unef, à un tarif plus avantageux et livré dans cinq universités parisiennes. Le retour des potagers de résistance Quand le tonnage des tomates autoproduites en France continue de progresser pour dépasser les tonnes alors que la production agricole ( tonnes) et les importations sont en baisse, quand les listes d attente pour la location d un petit jardin familial s allongent chaque année dans toutes les régions de France, notamment dans les environs des grandes villes, c est qu il se passe quelque chose. Une sorte de résistance des consommateurs qui perdent confiance dans les circuits de distribution. Ce désamour transcende les classes sociales et les inégalités de revenus. Il y a les foyers modestes, les femmes seules ou les chômeurs qui trouvent dans ces potagers un moyen de manger jusqu à la fin du mois. Mais aussi les retraités, les classes moyennes et les célèbres bobos qui défoncent leurs pelouses ou arrachent leurs rosiers pour installer des poireaux, des salades et surtout des fraisiers ou des arbustes à petits fruits. La crise économique étant doublée d une crise de confiance dans le système productif, le mouvement des potagers gagne en puissance ; et l autoproduction s étend sur les surfaces récupérées un peu partout, y compris des toits et des terrasses. De quoi, comme le 20 Politis 21 février 2013

5 DANIAU/afp PAVANI/afp DANIAU/afp nu préféré, c est la proximité! confient beaucoup des jardiniers du grand ensemble de potagers de Stains, en Seine-Saint-Denis, faire la nique aux grandes surfaces. Et surtout, expliquent les néojardiniers comme les anciens, «retrouver des valeurs d échange d un potager à l autre, ce qui a disparu dans l immensité d un hypermarché où nous ne savons plus ce que nous achetons». Une explication reprise dans les jardins ouvriers des environs de Roubaix, où une dizaine de familles se sont discrètement offert une vache pour avoir du lait. Les cantines de Saint-Étienne montrent l exemple La municipalité, dirigée par les socialistes depuis 2008, a engagé la restauration scolaire dans une mutation importante. En 2009, à l occasion du renouvellement d un contrat de prestation, la ville bouleverse le cahier des charges : la moitié des composants des repas devra être en bio, et 10 % de plus chaque année. Début 2013, l entreprise Elior, qui a emporté le contrat, tient le calendrier : 80 % des aliments sont bio, «et l on devrait atteindre 100 % en 2014», affirme Fabrice Poinas, responsable du secteur à la ville. Le cahier des charges comporte des critères diététiques (dont l absence d OGM et de colorants), mais aussi une obligation d approvisionnement «le plus local possible». Le périmètre : les départements de la Loire et limitrophes, «voire un peu au-delà», explique Fabrice Poinas. Moyennant cette souplesse, le tiers des aliments des cantines de la ville provenait l an dernier de producteurs locaux. «Nous visons 50 % en 2013.» Le prestataire est contrôlé tous les mois, afin de vérifier la traçabilité des aliments. Un bémol tout de même : selon un observateur régional, «la ville a mis en place son programme sans liaison avec la communauté d agglomérations, qui a compétence sur la politique agricole locale. On se prive donc d un levier de soutien aux producteurs du bassin». L amortissement des équipements municipaux, achevé en 2009, aurait pu induire une réduction des charges de la restauration scolaire, «mais la municipalité a préféré investir dans la santé et le développement durable, à coût constant». La grille tarifaire a cependant été revue à la baisse pour aider les familles modestes. Au prix plancher, le repas coûte 1 euro. «Nous livrons près de repas par jour. Un chiffre en progression constante, mais nous espérons mieux», conclut Fabrice Poinas. Où en sont les Amap? Ignorées quand éclate un scandale dans l industrie agroalimentaire, les associations pour le maintien d une agriculture paysanne (Amap) sont pourtant un témoignage concret d une alternative à l agrobusiness mondialisé. D après le Mouvement interrégional des Amap (Miramap), plus de groupes de consommateurs, réunis autour d un paysan, participent ainsi au maintien d une agriculture de proximité qui se veut socialement équitable et écologiquement saine. Ces initiatives citoyennes ont été créées en 2001 pour lutter contre les pollutions et les risques sanitaires de l agriculture industrielle. Rémunérés par l Amap, les producteurs locaux proposent des paniers de légumes, de fruits et, pour certains d entre eux, du fromage, du pain, de l huile d olive et de la viande. Depuis 2010, les Amap se sont regroupées dans une dizaine de réseaux régionaux et départementaux. Elles travaillent en lien avec la Fédération nationale de l agriculture biologique et la Confédération paysanne. Et face au rouleau compresseur de la Politique agricole commune (PAC), qui aide massivement l agriculture industrielle, elles bataillent depuis peu pour faire reconnaître leur statut d association d intérêt général. Des liens plutôt que des affaires Quand Louis-Marie Sire prévoit de faire abattre un de ses jeunes bovins, il lui suffit d avertir son réseau par courriel : les commandes sont bouclées en deux jours. En cinq ans d activité, l éleveur s est constitué un réseau de fidèles qui viennent retirer à la ferme leurs cagettes de 10 kg de viande 100 % bio. Le bouche-à-oreille a parfaitement fonctionné. Ses clients, il les croise régulièrement dans les parages de Quistinic, son petit village morbihanais. «Certains perçoivent le RSA, ils demandent à payer en deux fois.» Tout juste réserve-t-il une place privilégiée sur sa liste pour le petit groupe francilien de Vincent : cet ami lui a avancé l argent pour l achat de ses premières vaches, en Les liens de proximité, la confiance, l amitié : des valeurs que Louis-Marie, ex-paludier à Guérande, place au-dessus du rendement économique. Il s en tient à huit vaches mères et autant de bovins vendus chaque année, nourris à l herbe et aux céréales de ses vingt hectares. «La taille de mon exploitation me permettrait d élever 26 bêtes, mais j ai fait un autre choix. Je préfère gagner en confort dans mon travail, et être plus disponible pour mes clients.» La municipalité a contribué à l installation de l éleveur. Il était le seul agriculteur bio en 2008, Quistinic en compte aujourd hui six, dont la famille de sa fille, qui produit du blé et du pain, vendu en Amap. «Nous échangeons nos terres afin d allonger leur cycle de rotation.» Ces dernières années, il a vu plusieurs collègues s engager dans des circuits de vente de proximité. Bubry, à huit kilomètres, accueille un marché de producteurs locaux tous les vendredis. Louis-Marie Sire est aussi trésorier d un groupement d achat «bio, équitable, local» regroupant une quarantaine de familles de quatre villages proches. Une autre manière de pousser ses convictions. Pascale Bonnardel, Thierry Brun, Ingrid Merckx, Patrick Piro, Claude-Marie Vadrot 21 février 2013 Politis 21

6 dossier consommation Quand on calcule tous les bénéfices apportés (suite de la page 19) producteurs et consommateurs. Le Réseau des épiceries solidaires, qui distribue de l aide alimentaire à bas prix, en a fait l expérience. «On nous signalait que des agriculteurs fréquentaient nos boutiques, de quoi nous interpeller!», raconte Véronique Blanchot, au pôle alimentation-santé de l association. Depuis l été dernier, une trentaine de producteurs en difficulté, en Poitou-Charentes et en Aquitaine, ont été invités à approvisionner en produits frais onze épiceries solidaires régionales plus de clients par semaine. «Certains manifestent la valeur pour eux d aider un agriculteur local en choisissant ses produits. Et, bénéfice sanitaire, la consommation de fruits et légumes a fait un bond.» Désormais appréhendé par les statistiques officielles, bruissant d initiatives nouvelles, le mouvement des circuits de proximité n a rien d une mode, confirment les observateurs. D autant plus que les producteurs affirment aussi leurs motivations propres : retrouver des marges en sortant de la nasse des circuits longs où la très forte concurrence les lamine, redonner du sens au métier valorisation des produits, lien avec les clients, regagner une qualité de vie, etc. «Entre 60 et 80 % des nouveaux agriculteurs installés, surtout les maraîchers, choisissent de vendre une part importante de leur production en direct, témoigne Yuna Chiffoleau. Depuis quelques années, les pouvoirs publics en ont compris l intérêt et les soutiennent. Les circuits courts se banalisent, ils ne sont plus étiquetés alternatifs.» Au point qu il faut contrer les dérives. Même si elle est plus difficile à maquiller, la tromperie existe dans les échanges locaux, «et il faut leur imposer les mêmes exigences de transparence qu aux circuits longs, affirme la sociologue. Grâce à des étiquetages spécifiques mais aussi à des systèmes de contrôle qui gagneraient à être collectifs et participatifs, impliquant producteurs, consommateurs et pouvoirs publics, ce que permet leur proximité.» Une expérience de cette nature a déjà eu lieu dans la région de Grenoble de 1984 à 2011, avec l Association développement agriculture de l Y grenoblois (Adayg) (3), rappelle Serge Bonnefoy, qui l a animée : 101 communes impliquées, 70 producteurs locaux, un budget annuel de près d un million d euros pour développer de multiples canaux de vente directe ou assimilée, y compris en grande distribution. L association, dont l activité vient d être en partie reprise par des communautés de communes du territoire, était pilotée par des représentants des pouvoirs publics, des professionnels, ainsi que les chambres d agriculture et de l artisanat. «La préfiguration d une gouvernance alimentaire locale, un peu en avance sur son temps», commente Serge Bonnefoy. Il y manquait encore l implication d associations de consommateurs et d intérêt collectif, qui ne manqueraient pas aujourd hui de revendiquer une place. 22 Politis 21 février 2013 Patrick Piro (1) Les Anglo- Saxons ont forgé le terme «locavore» pour désigner ces consommateurs soucieux de l impact du transport des aliments. (2) Se limiter à un intermédiaire, comme sur un marché ou un site de vente par Internet, ne garantit pas une production locale. (3) Le Y évoque le dessin des trois vallées qui convergent à Grenoble. Tout le monde à poêle! Le scandale des produits transformés a remis sur la table la nécessité de cuisiner soi-même. Un exercice pas si compliqué. Acide lactique (E 270) dans la sauce tomate (Auchan). Disulfite de sodium (E 223) et gomme xanthane (E 415) dans le pavé de saumon grillé purée de pomme de terre aux épinards (Auchan). Diphosphate disotique (E 450), triphosphate pentasodique (E 451), erythorbate de sodium (E 316), béta- carotène (E 160a) dans la tourte à la parisienne (Leader Price) Côté cordons bleus de poulet chez Picard, se bousculent l extrait de paprika (E 160c), des citrates de sodium (E 331), de l alginate de sodium (E 401) et des carraghénanes (E 407). Des carraghénanes qu on retrouve dans un dentifrice, dans «l écrasée de pommes de terre à l huile d olive» (Picard) ou dans la «galette des rois amande frangipane» (Picard encore), où s ajoutent des traces de «crustacés, poissons, soja, arachide, autres fruits à coque, sésame, mollusque». Un pêle-mêle lié à la fabrication de produits différents dans un même établissement. Rien de très ragoûtant dans cette pile d additifs faits pour conserver ou colorer. Tel est le menu quotidien de nombre de foyers, grands consommateurs de plats transformés. Le microondes est à la cuisine ce que la télévision est au salon. Place prépondérante. La faute à pas de temps, qu on dit (mais gagner du temps sur quoi?). La faute au siècle de vitesse. Qui obligerait à avaler n importe quoi. La profusion et le succès des programmes culinaires à la télévision (rassemblant cinq à six millions de téléspectateurs pour «Top Chef» ou «Masterchef») laisseraient penser que l époque est à la reconquête des fourneaux. Rien n est moins sûr, à regarder les Caddies de supermarchés garnis de plats cuisinés. Ces programmes rassemblent parce qu ils vendent du rêve. Au même titre qu un tirage du Loto.

7 par les circuits courts, la balance penche franchement de leur côté. Cuisiner des produits de saison, c est facile, bon et pas cher. de Gueltzl/ Photononstop La mode, bien installée aujourd hui, des cours de cuisine chez les restaurateurs, pourrait aussi laisser penser à une volonté de taquiner la casserole à domicile. Mais c est là une démarche qui répond souvent à l épate des soirs de fêtes. Et surtout : qui peut s offrir un cours de cuisine de trois ou quatre heures, entre 75 et 120 euros selon les établissements? À vrai dire, le temps et l argent sont des idées reçues dans les habitudes de consommation. La cuisine, c est beaucoup plus que des recettes. Certes, du lien social. Certes, du temps à l épluche. Mais pas vraiment coûteux. Sur un marché, en ce plein hiver, le brocolis, la carotte, le potiron sont à 1 euro le kilo. 1,30 euro le kilo de navet, 2,50 euros les petits pois. C est assez pour fabriquer une soupe. Voire une poêlée. Pêle-mêlée dans un faitout, c est trois fois moins de temps que l écoute d une matinale de Patrick Cohen sur France Inter. La cuisse de pintade à 8,90 euros le kilo : à sec dans une cocotte en fonte (selon les conseils d Alain Passard, sublime chef de la haute cuisine), sans graisse, cuite d abord sur la peau puis retournée sur la chair, c est le temps du «Petit Journal» de Canal +. Toujours sur un étal, celui d un poissonnier : la limande blonde ou le carrelet à 3,90 euros le kilo. À placer au four le temps d un JT, arrosé de citron. Ou le maquereau à moins de 3 euros le kilo, fourré de moutarde, dégusté après vingt minutes au four. Mieux : le mulet. Poisson délaissé, entre 7 et 9 euros le kilo. À faire tailler en filets par son poissonnier. Lequel vous répliquera moqueur : «Vous vous lancez dans la grande cuisine?» Sans savoir que le plus grand chef d Alsace, Valère Diochet, au restaurant le Pont aux chats, à Strasbourg, propose précisément ce plat en carpaccio (au sein d un menu complet calibré à 17 euros, fait maison!). À servir aussi en tartare. En dix minutes, arrosé d un jus de citron. Moins de temps que les agapes d Alexandra Sublet (France 5). Pour finir, une poire cuite au vin, une pomme au four, c est tout de même pas plus compliqué qu un passage en caisse avec des yaourts Yoplait. Il existe mille et une manière de faire. Voire de refaire, en mangeant équilibré et en équilibrant son budget. Parce que la cuisine est un sentiment. Elle est affaire d éducation. Il existe des foyers où les mouflets n ont jamais connu la moindre fragrance. Les effluves d un court-bouillon, d un fond de veau, d un riz pilaf, d une soupe taquinée de cumin. Ni même les parfums d un haricot mouton. Sans effluves, pas de transmission. Ni de goût. C est pourtant pas con, le haricot mouton. Yuna Chiffoleau Chercheuse à l Institut national de la recherche agronomique (Inra) à Montpellier. La cuisine est un sentiment. Elle est affaire d éducation, d effluves. Sans effluves, pas de transmission. Jean-Claude Renard «Les industriels négligent les produits locaux» Pour la sociologue Yuna Chiffoleau, le potentiel des circuits courts en distribution alimentaire est mal connu. Les tromperies massives sur la qualité de la viande en Europe montrent combien le délitement des liens entre producteurs et consommateurs fragilise les filières agroalimentaires longues, analyse Yuna Chiffoleau, chercheuse à l Inra. Pourtant, la course aux approvisionnements à bas coûts, et de plus en plus loin, serait une fausse nécessité : les produits locaux sont compétitifs et les circuits courts globalement bien plus profitables aux régions. La crise des lasagnes à la viande de cheval connaît des développements quotidiens. Êtes-vous surprise par son ampleur? Yuna Chiffoleau Pas vraiment. Nous connaissons les dysfonctionnements de ces circuits longs depuis la crise de la vache folle. Le scandale actuel montre que l on n a rien appris depuis. Malgré l instauration de la traçabilité des produits, les failles persistent. Ce n est pas très étonnant : le lien entre les producteurs, les industriels de l agroalimentaire et les consommateurs n a jamais été aussi distendu. Il est révélateur de voir surgir ce terme de «minerai» pour désigner les sous-produits de la filière viande : les industriels n élaborent plus des aliments, ils font des assemblages. Ils sont parfois plus dans la finance que dans l agroalimentaire. Les consommateurs veulent des produits peu chers. L industrie agroalimentaire peut-elle se passer d importer des ingrédients à bas coûts? L idée que les circuits longs sont une nécessité est erronée. Les industriels ne font tout simplement même plus l effort de se tourner vers les matières premières locales. Il règne une profonde méconnaissance de ces ressources et des partenaires du monde agricole. Dans le Pays de Figeac, en Midi- Pyrénées, on trouve du steak haché 100 % bœuf, issu de races locales, dont la provenance et les conditions d élevage sont facilement vérifiables, et moins cher qu en supermarché. En dehors des pratiques de dumping social l importation de pays où les salaires sont très bas, cette matière première offre un rapport qualité-prix bien supérieur à celui des circuits longs. Les produits locaux sont entretien compétitifs, on est en train de le découvrir, et nous comptons le mettre en évidence par une étude européenne qui livrera ses résultats en Pourtant, le «minerai» importé arrive en France à des prix défiant toute concurrence C est parce que l on s en tient à des comparaisons biaisées, fondées sur la vision comptable étroite de l agro-industrie. Quand on calcule tous les bénéfices apportés par les circuits courts, la balance penche franchement de leur côté : plus d emplois locaux, une bien meilleure garantie de qualité, et l évitement de nombreuses nuisances découlant de schémas d approvisionnement destructeurs. Par exemple, l État s acharne sur les petits abattoirs locaux en les accablant sous des normes établies dans le but d encadrer les ateliers à gros débit. Les garde-fous réglementaires sont souvent surdimensionnés pour de petits établissements en mesure de maîtriser les risques à leur échelle. Deux poids deux mesures, qui provoquent la fermeture d abattoirs locaux. Certains départements en sont aujourd hui dépourvus, un préjudice pour les filières courtes, dont la réglementation ignore les spécificités. Les circuits courts peuvent-ils garantir les volumes d approvisionnement qu attend l agro-industrie? Encore une fois, nous sommes là dans les idées reçues. «Local» ne veut pas dire «limité», les ressources existent! D ailleurs, dans un plat cuisiné, la proportion de viande n est pas très importante : la question des volumes ne se pose donc pas de façon cruciale. Privilégier les importations relève de choix stratégiques d investissement. Nous ne sommes pas surpris que Spanghero se retrouve au cœur de cette affaire de tromperie sur la marchandise. L entreprise n est pas réputée pour valoriser les produits locaux. Dans son cassoulet, le canard vient de Pologne, les haricots d Argentine Par ailleurs, les industriels peuvent faire évoluer leurs pratiques : par exemple, engraisser les bovins sur place au lieu de les envoyer en Italie, ce qui contribuera à soutenir des petites et moyennes entreprises. Le mouvement a d ailleurs démarré en Midi-Pyrénées. Rien n empêche de le généraliser. Propos recueillis par Patrick Piro 21 février 2013 Politis 23 N f u q e s

8 dossier consommation Pourquoi les contrôles ont échoué Les organismes de surveillance manquent d efficacité face à la multiplication des opérateurs et à la diminution de leurs moyens. Le scandale alimentaire qui a touché l Union européenne ces dernières semaines, avec la découverte de viande de cheval vendue pour de la viande bovine, s ajoute à de nombreux autres, notamment la maladie dite de la «vache folle» ou le poulet et la mozzarella à la dioxine. Parfois très médiatisés, ces scandales sont l occasion de se demander comment des produits alimentaires frauduleux ont pu échapper aux contrôles. Dans le cas de l affaire des lasagnes à la viande de cheval, «les fraudes sont favorisées par un système industriel où le laxisme domine trop souvent. En parallèle, les éleveurs se sentent harcelés par un empilement de normes sanitaires et de traçabilité, bien qu ils ne soient pas à l origine de ce type de crise. Il faut donc une volonté d appliquer une même rigueur à tous les niveaux de la transformation», réagit la Confédération paysanne. «Les circuits de commercialisation rendent les contrôles plus complexes. Si l on ajoute à cela le désengagement des pouvoirs publics de l activité de contrôle, on arrive à des situations potentiellement dangereuses pour 24 Politis 21 février % C est la baisse, en six ans, des effectifs de l administration chargée du contrôle des produits. le consommateur», ajoute l association UFC Que choisir. Depuis l affaire de la vache folle, les produits non transformés sont surveillés sur le plan sanitaire, et la mention de leur origine est obligatoire. Mais les législations française et européenne sont très laxistes en ce qui concerne les produits transformés, tels les surgelés. Le consommateur sait d où vient le filet de bœuf qu il achète chez son boucher ou au rayon boucherie de son supermarché, mais pas précisément d où vient la viande contenue dans les lasagnes surgelées. Celles-ci peuvent mentionner «origine France» même si la viande vient de Roumanie. Les organismes de contrôle comme la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) peuvent certes déceler des délits et les sanctionner, mais «on observe une évolution de fond depuis plusieurs années vers une délégation des services de contrôle officiels aux professionnels eux-mêmes et à l autocontrôle. Récemment, la Commission européenne a encore émis des propositions dans ce sens», pointe Olivier Andrault, chargé de mission Des membres des services vétérinaires du Nord contrôlent un éleveur de Bruaysur-Esacaut. LO PRESTI/afp (1) Dans un entretien publié par terraeco. net, le 11 février. De la supériorité du bœuf français Les premiers jours de la crise des lasagnes au cheval ont déclenché des réflexes pas très ragoûtants. De même que les pratiques de dumping social en Europe furent «emblématisées» par le «plombier polonais», en 2005, la fraude alimentaire tenait son margoulin sous le masque des «mafias roumaines», suggéraient certains commentaires. En réaction à l émoi d une possible «contamination» de leurs plats par du cheval, des prestataires de la restauration ont garanti qu ils «agriculture et alimentaire» pour l UFC- Que choisir (1). La DGCCRF n assure en fait qu une fonction de veille et d anticipation des marchés alimentaires et non alimentaires. Elle a ainsi rappelé en 2012, dans une directive nationale d orientation, que la vérification de la conformité des produits passe par le seul système d auto contrôle, une obligation communautaire source de dérives. «Les réformes ont rendu la DGCCRF inapte à contrôler des flux commerciaux complexes et de dimension européenne», souligne la CGT de cette administration, qui dénonce, avec les autres syndicats, le fiasco des réorganisations dues aux restrictions budgétaires. «En opérant une saignée des effectifs, en baisse de 15 % en six ans, la révision générale des politiques publiques [RGPP] a placé les services de contrôle dans la quasi- incapacité à remplir leurs missions», affirme la CGT. À cela s ajoutent les coupes dans les effectifs des services vétérinaires du ministère de l Agriculture, qui ont diminué de 11 % en Lorsque des trafics présentant de gros risques sanitaires sont détectés, la DGCCRF fait appel aux policiers de l Office central de lutte contre les atteintes à l environnement et à la santé publique (Oclaesp). Les investigations nécessitent cependant des moyens et du temps. Les services de la DGCCRF et de l Oclaesp enquêtent depuis 2011 pour démontrer «que 100 tonnes de poissons d élevage et sauvages (anguilles, crevettes, brochets ) ont été commercialisées avec des actes de tromperie sur l origine et les qualités substantielles», ontils révélé en décembre Les deux services mènent une opération internationale de lutte contre la contrefaçon et la vente de produits alimentaires falsifiés, dont l inventaire contient des dizaines de scandales potentiels. Thierry Brun servaient bien de la viande de bovin nationale. Le Figaro (12/02) livrait «quatre astuces» pour être sûr de manger non du bœuf mais «du bœuf français». Sous-entendu : s il est de chez nous, c est que le bœuf est bien du bœuf, l Hexagone étant «naturellement» au-dessus de tout soupçon d arnaque alimentaire! Ce nationalisme bovin s est subitement calmé dès que la société Spanghero s est retrouvée au premier rang des suspectés mafieux.

ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE. Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI

ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE. Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIEME LEGISLATURE Déposée le 18 février 2013 PROPOSITION DE LOI visant à rendre obligatoire l indication du pays d origine pour les produits agricoles

Plus en détail

Auriol : le service public de la Restauration scolaire

Auriol : le service public de la Restauration scolaire Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION Pur etc. : un Fast Good A tout moment de la journée, PUR etc. propose des produits cuisinés comme à la maison, autour de fruits et légumes de saison, et fait de la qualité et la

Plus en détail

5 repas. e r. www.produits-casino.fr. arce qu un repas est un moment de plaisir, de partage et qu il construit notre santé,

5 repas. e r. www.produits-casino.fr. arce qu un repas est un moment de plaisir, de partage et qu il construit notre santé, Rapides_economiques_v03.qxd:Mise en page 1 11/03/08 10:03 Page 12 es Repas Bonheur Ca commence aujourd hui! DISTRIBUTION CASINO FRANCE SAS au capital de 45 742 906 Euros Siège social : 1 Esplanade de France

Plus en détail

Etude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles

Etude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles 1 Etude-action pour le développement des circuits courts en pays Haut-Languedoc et Vignobles Partie 3 Résultats d enquête auprès d intermédiaires économiques Auréline DOREAU, Yuna CHIFFOLEAU Octobre 2012

Plus en détail

Menu 2015. MBA Recherche

Menu 2015. MBA Recherche 1 Repas à 22$ 2 Repas léger Potage du moment + Quiche individuelle et petite verte + Choix de : florentine, tomates séchées et chèvre ou Lorraine + Dessert du jour ou salade de fruits Repas de pâtes Salade

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Plus en détail

«Les Potagers de Marcoussis»

«Les Potagers de Marcoussis» «Les Potagers de Marcoussis» Chantier d insertion par le maraîchage biologique Le «Projet conserverie» : Création d une unité de transformation de fruits et légumes locaux, sous forme de structure d insertion

Plus en détail

Nutrition et santé : suivez le guide

Nutrition et santé : suivez le guide Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques

Plus en détail

Edition Limitée CLASSIC 2. Spécial NOUVEL AN CHINOIS. recettes

Edition Limitée CLASSIC 2. Spécial NOUVEL AN CHINOIS. recettes CLASSIC 2 Edition Limitée 20 recettes Spécial NOUVEL AN CHINOIS 福 Bonheur 禄 Prospérité 春 Printemps Bonheur 寿 Longévité 春 Printemps Histoire et légende du Nouvel An Chinois A l origine, le mot chinois signifiant

Plus en détail

DANET TRAITEUR. PRESTATIONS «ENTREPRISE» Plateaux repas et panier sandwich LA QUALITE AU SERVICE DE VOTRE ENTREPRISE

DANET TRAITEUR. PRESTATIONS «ENTREPRISE» Plateaux repas et panier sandwich LA QUALITE AU SERVICE DE VOTRE ENTREPRISE DANET TRAITEUR 6 impasse des Chasseurs 14120 MONDEVILLE danet.traiteur@gmail.com TEL 02.31.34.09.12 / 06 33 68 25 98 Site internet : www.danet-traiteur.com/ DANET TRAITEUR LA QUALITE AU SERVICE DE VOTRE

Plus en détail

Des choix de repas délicieux et pratiques qui conviennent à vos besoins et préférences diététiques

Des choix de repas délicieux et pratiques qui conviennent à vos besoins et préférences diététiques Des choix de repas délicieux et pratiques qui conviennent à vos besoins et préférences diététiques SAS GLUTE SOUCIEUX DES CALORIES SOUCIEUX DU SODIUM RECHERCHE D U ÉQUILIBRE RECHERCHE DE PROTÉIES OUS POUVOS

Plus en détail

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe

Plus en détail

REUNIONS ET TEAM BUILDING POUR ENTREPRISES

REUNIONS ET TEAM BUILDING POUR ENTREPRISES REUNIONS ET TEAM BUILDING POUR ENTREPRISES Dans le cadre de notre atelier culinaire, nous avons le plaisir de vous proposer nos différentes formules de réunions de travail associées aux plaisirs de la

Plus en détail

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca

Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction

Plus en détail

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL

Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio BIOCONSEIL Les stratégies commerciales et marketing de l entreprise bio Dans quels circuits de commercialisation vont évoluer vos produits?

Plus en détail

Quelles sont les chances des petits producteurs de se

Quelles sont les chances des petits producteurs de se Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer

Plus en détail

60 produits solidaires pour les familles

60 produits solidaires pour les familles 60 produits solidaires pour les familles Une mobilisation de tous les acteurs Éleveurs Maraîchers Produits frais Produits secs GMS Conseil Général agriculteurs Droguerie Enseignes Transformateurs Manufacturiers

Plus en détail

LIVRET DE PRESENTATION

LIVRET DE PRESENTATION LA GENÈSE DES JARDINS DE CONTRAT 1992, Château-Renault Trois passionnés ouvrent un chantier d'espaces verts et un atelier de menuiserie. Leur but : faire partager leur savoir-faire, l association Contrat

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre!

Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Juin 2012 Les produits solidaires, 100 jours pour convaincre! Contexte et historique de la démarche La Réunion a connu au mois de février des tensions sociales dont la cause la plus immédiate résultait

Plus en détail

choucroute Dossier de presse d lsace La Choucroute d Alsace comme vous ne l avez jamais goûtée DU 17 AU 25 janvier 2015

choucroute Dossier de presse d lsace La Choucroute d Alsace comme vous ne l avez jamais goûtée DU 17 AU 25 janvier 2015 La Choucroute d Alsace comme vous ne l avez jamais goûtée Dossier de presse Création graphique : Musiconair Pendant 9 jours, les Chefs d Alsace et les Maîtres Restaurateurs d Alsace vous font découvrir

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

LE GUIDE. pour ne plus gaspiller. Les petits gestes du quotidien qui font du bien au porte-monnaie et à la planète.

LE GUIDE. pour ne plus gaspiller. Les petits gestes du quotidien qui font du bien au porte-monnaie et à la planète. LE GUIDE pour ne plus gaspiller Les petits gestes du quotidien qui font du bien au porte-monnaie et à la planète. EL14021_leaflet_foodrespect_FR PROD.indd 1 14/04/14 10:47 Nos achats, notre façon de manger

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Monnaie. Options de paiement Il y a différentes façons de paiement pour les produits et services en Estonie:

Monnaie. Options de paiement Il y a différentes façons de paiement pour les produits et services en Estonie: Monnaie L Euro ( ) est la monnaie officielle de l Estonie depuis le 1er janvier 2011. 1 euro = 100 centimes. Les pièces suivantes sont utilisées: 1, 2, 5, 10, 20 & 50 centimes et 1 & 2 euros. Les dénominations

Plus en détail

PLUS DE DROITS ET PLUS DE CHOIX POUR LE CONSOMMATEUR. Plus d informations sur la loi Consommation : mars 2015

PLUS DE DROITS ET PLUS DE CHOIX POUR LE CONSOMMATEUR. Plus d informations sur la loi Consommation : mars 2015 Plus d informations sur la loi Consommation : www.loiconso.gouv.fr #LoiConso VOITURE CONSOMMATION RESPONSABLE QUALITÉ & TRAÇABILITÉ CARTE DE FIDÉLITÉ ON LITIGES OFF LUTTE CONTRE LE SURENDETTEMENT SANTÉ

Plus en détail

Les Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne).

Les Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). Les Petites Toques PLAT CHAUD STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). PEPITES DE PLET PANE Poids net pour une part : 115 g Ingrédients

Plus en détail

La Carte et le Menus

La Carte et le Menus La Carte et le Menus 17 rue Gémare 14000 Caen Tel : 02 31 85 30 30 - Fax. : 0231852780 Contact@ArchiDona.fr La Carte du Restaurant (varie au rythme des saisons et de l humeur du Chef) Pour les repas jusqu

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

Restaurant La Fontaine

Restaurant La Fontaine Restaurant La Fontaine M E N U S Mardi 6 Octobre 2015 Au Vendredi 31 Octobre 2015 EPMTTH Ecole de Paris des Métiers de la Table du Tourisme et de l Hôtellerie 17, Rue Jacques Ibert 75017 PARIS Tel : 01.44.09.12.16

Plus en détail

Créer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :

Créer une AMAP. Les autres paniers S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple : S informer et agir! Créer une AMAP Qu'est-ce que c'est? L'AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (marque déposée), dont l'objet principal est de "mettre en lien paysans et

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE

ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE ASSEMBLÉE DES COMMUNAUTÉS DE FRANCE L évolution des effectifs intercommunaux NOTE TECHNIQUE Juillet 2012 1. Une augmentation des effectifs dans les collectivités locales La fonction publique territoriale

Plus en détail

Livret de recettes. de Rigolo Comme La Vie. Préparez vos papilles, les «masters chefs» mettent leurs toques pour vous épater».

Livret de recettes. de Rigolo Comme La Vie. Préparez vos papilles, les «masters chefs» mettent leurs toques pour vous épater». Livret de recettes de Rigolo Comme La Vie Préparez vos papilles, les «masters chefs» mettent leurs toques pour vous épater». Des recettes à réaliser en famille pour le plaisir. Tarte au potimarron Soupe

Plus en détail

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)?

Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? Que manger le jour de la compétition (Athlétisme - concours)? La veille au soir Les buts de l alimentation sont de maintenir les réserves en glycogène (réserve de sucre pour l effort) tant au niveau du

Plus en détail

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.

Qui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité. Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

1 www.agrobiosciences.org

1 www.agrobiosciences.org Intervention. 4èmes Rencontres Alimentation, Agriculture & Société. Déc 2003. «Alimentation et prévention du cancer : quelle vérité?» Par Denis Corpet (1). Directeur de l équipe "Aliment et Cancer" de

Plus en détail

Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner!

Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre des petits chefs : un outil unique pour faire découvrir aux tout-petits le plaisir de cuisiner! Le grand livre

Plus en détail

Comparer des prix. Comparer des gains. Prix du gazole dans deux stations service. Comparer des salaires entre pays. Encadrer des salaires

Comparer des prix. Comparer des gains. Prix du gazole dans deux stations service. Comparer des salaires entre pays. Encadrer des salaires Comparer des prix Prix du gazole dans deux stations service Voici des prix affichés du gazole dans deux stations service : 1,403 e/l dans la première et 1,51 e/ L dans la seconde. 1. Quelle est la station

Plus en détail

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire.

Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Compte rendu de la réunion du 13 novembre 2014 Restauration scolaire et hygiène buccodentaire. Personnes présentes : M. le Maire, Guillaume MATHELIER, M. Quentin MAYERAT, Adjoint à l'éducation et à la

Plus en détail

LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES LIVRET DE RECETTES POUR LES ENFANTS DE 18 MOIS À 4 ANS BON POUR MON ENFANT, BON POUR MON BUDGET

LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES LIVRET DE RECETTES POUR LES ENFANTS DE 18 MOIS À 4 ANS BON POUR MON ENFANT, BON POUR MON BUDGET LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES LIVRET DE RECETTES POUR LES ENFANTS DE 18 MOIS À 4 ANS BON POUR MON ENFANT, BON POUR MON BUDGET Ce livret a été réalisé dans le cadre d un stage d une étudiante

Plus en détail

Mieux connaitre votre enfant

Mieux connaitre votre enfant Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement

Plus en détail

VENDREDI 11 MARS 2011. Bienvenue. à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1

VENDREDI 11 MARS 2011. Bienvenue. à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1 VENDREDI 11 MARS 2011 Bienvenue à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1 PRESENTATION DE LA CUISINE CENTRALE 2 Direction Générale des Services Jean-Pierre

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne

Plus en détail

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques

Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques Les Points de vente collectifs de PACA Etat des lieux et dynamiques 1. Contexte et enjeux de l enquête L état des lieux des collectifs d agriculteurs en PACA (Trame / FRGEDA PACA - 2010) Intérêt grandissant

Plus en détail

Leçon 10. Je quitte la maison - par où commencer? Matériel : Niveaux : Buts : Vocabulaire : Temps requis :

Leçon 10. Je quitte la maison - par où commencer? Matériel : Niveaux : Buts : Vocabulaire : Temps requis : SECONDAIRE Leçon 10 Je quitte la maison - par où commencer? Niveaux : S1, S2 (9 e, 10 e ) Buts : Aider les élèves à se préparer lorsqu ils quittent l école pour vivre seul ou avec un locataire. Vocabulaire

Plus en détail

La Carte et le Menus

La Carte et le Menus La Carte et le Menus 17 rue Gémare 14000 Caen Tel : 02 31 85 30 30 - Fax. : 0231852780 Contact@ArchiDona.fr La Carte du Restaurant (varie au rythme des saisons et de l humeur du Chef) Pour les repas jusqu

Plus en détail

EXEMPLES DE MENUS ENTREPRISE. Traiteur. L'excellence qui décuple vos sens! 455, avenue Robespierre 83 130 LA GARDE 06 11 61 65 85

EXEMPLES DE MENUS ENTREPRISE. Traiteur. L'excellence qui décuple vos sens! 455, avenue Robespierre 83 130 LA GARDE 06 11 61 65 85 EXEMPLES DE MENUS ENTREPRISE Traiteur L'excellence qui décuple vos sens! 455, avenue Robespierre 83 130 LA GARDE 06 11 61 65 85 EXEMPLE DE MENUS REPAS D ENTREPRISE MENU À 35 Bonbon de foie gras, pomme

Plus en détail

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin?

Protéines. Pour des Canadiens actifs. De quelle quantité avez-vous besoin? Protéines Pour des Canadiens actifs De quelle quantité avez-vous besoin? 1 Protéines 101 Les protéines sont les principaux éléments fonctionnels et structuraux de toutes les cellules du corps. Chaque protéine

Plus en détail

La cuisine "fait maison" et sa relation avec le PEM

La cuisine fait maison et sa relation avec le PEM La cuisine "fait maison" et sa relation avec le PEM Sommaire 1. Le «fait maison» un phénomène de masse La cuisine "fait maison" - 2. Les motivations du «fait maison» 10 juin 3. Le plaisir de la cuisine

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

PAROLES D ACTIFS. 1. Les personnes qui travaillent font partie LEÇON DU

PAROLES D ACTIFS. 1. Les personnes qui travaillent font partie LEÇON DU 1 Acteurs économiq PAROLES D ACTIFS 1. Les personnes qui travaillent font partie de la population active. a. Lisez la leçon du jour ci-contre. b. Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.

Plus en détail

Semaine du 25 au 29 AOUT 2014

Semaine du 25 au 29 AOUT 2014 Semaine du 25 au 29 AOUT 2014 PAS DE CANTINE Persille de volaille Méli-mélo/dés d emmental Salade niçoise Tomate œufs durs fromage Salade russe Salade verte/fromage Achard de papaye Duo de carotte, courgette

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche)

Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche) Vie pratique Le rapport de fin de séjour : Vienne (Autriche) Logement L université dans laquelle j ai effectué mon séjour d étude nous proposait au préalable un site sur les logements en résidence étudiante.

Plus en détail

01/06/15 05/06/15 MENUS CRECHE 4C T O M A TOMATES EN VINAIGRETTE TABOULE A LA MENTHE CELERI RAPE CAROTTES AU MAIS CONCOMBRE A LA CREME

01/06/15 05/06/15 MENUS CRECHE 4C T O M A TOMATES EN VINAIGRETTE TABOULE A LA MENTHE CELERI RAPE CAROTTES AU MAIS CONCOMBRE A LA CREME Page 1 01/06/15 05/06/15 TOMATES EN VINAIGRETTE T O M A TABOULE A LA MENTHE CELERI RAPE CAROTTES AU MAIS CONCOMBRE A LA CREME CARBONARA DE SAUMON NORMANDIN DE VEAU AU JUS s/v : gratin œuf bechamel AIGUILLETTES

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives

Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013

Plus en détail

Pot & Cie c est l histoire d une reconversion PAROLES D EXPERTE. Un tout-en-un précis et performant, pour une cuisine goûteuse et authentique

Pot & Cie c est l histoire d une reconversion PAROLES D EXPERTE. Un tout-en-un précis et performant, pour une cuisine goûteuse et authentique PAROLES D EXPERTE Pot & Cie à Saint-Gratien Isabelle Dupuis au sein de son petit restaurant chaleureux Pot & Cie à Saint-Gratien (95). Un tout-en-un précis et performant, pour une cuisine goûteuse et authentique

Plus en détail

Préface CAVEAU. Vous allez découvrir des plats gourmands préparés avec des produits de. la région, pour la plupart. Salade verte

Préface CAVEAU. Vous allez découvrir des plats gourmands préparés avec des produits de. la région, pour la plupart. Salade verte Préface Vous allez découvrir des plats gourmands préparés avec des produits de la région, pour la plupart. Il nous tient à cœur de cuisiner en accord avec les saisons et de choisir des ingrédients de première

Plus en détail

PLAQUETTE 2014 / 2015. (valable à partir du 1/10/2014) Fotolia. OUVREZ ET DÉCOUVREZ!

PLAQUETTE 2014 / 2015. (valable à partir du 1/10/2014) Fotolia. OUVREZ ET DÉCOUVREZ! PLAQUETTE 204 / 205 Fotolia. (valable à partir du /0/204) VREZ ET DÉCVREZ! A LA BONNE HEURE EST UNE ENSEIGNE DE CASINO RESTAURATION Casino Restauration bénéficie de quarante années d expérience et de services

Plus en détail

MENUS ACTIVITÉS & INCENTIVES TARIFS 2014

MENUS ACTIVITÉS & INCENTIVES TARIFS 2014 LA VILLA DU LAC & SPA HÔTEL FACE AU LAC SÉMINAIRES & ÉVÉNEMENTS MENUS ACTIVITÉS & INCENTIVES TARIFS 2014 93, Chemin du Châtelard FR-01220 Divonne-les-Bains Tél : +33(4) 50 20 90 00 villadulac@hotels-classeaffaires.fr

Plus en détail

Dossier de commercialisation

Dossier de commercialisation Dossier de commercialisation La Friche la Belle de Mai, La Criée, Le Channel, La Cité Internationale de la Dentelle et de la Mode, La Condition Publique, Le 104 La Condition Publique, Roubaix La Condition

Plus en détail

HÔTEL CHAVANNES-DE-BOGIS

HÔTEL CHAVANNES-DE-BOGIS HÔTEL CHAVANNES-DE-BOGIS BEST WESTERN vous propose mille et une nuits GLISSEZ SUR LE REFLET DES ÉTOILES SOIRÉE / BUFFET / ANIMATION / DJ / COTILLONS À MIDI, LES SOIRS OU POUR LE TEA-TIME ON TOMBE, ON RIGOLE,

Plus en détail

Située à 50km de Paris, la Bergerie est le lieu idéal pour vos Séminaires.

Située à 50km de Paris, la Bergerie est le lieu idéal pour vos Séminaires. Située à 50km de Paris, la Bergerie est le lieu idéal pour vos Séminaires. Réservation au : CZE Bergerie Nationale Parc du Château CS 40609 78514 Rambouillet cedex Tel : 01 61 08 68 70 E mail : animation.bn@educagri.fr

Plus en détail

Une tradition 100% bio.

Une tradition 100% bio. Une tradition 100% bio. Le MotduPrésident Depuis 1989, Biopress ne cesse de s affirmer comme un acteur important dans le secteur des huiles biologiques. Face à un marché de plus en plus exigeant, notre

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

Notre carte " Traiteur" - 2015

Notre carte  Traiteur - 2015 Traiteur Nancy et Stefan Vincent 1 rue du Livot 5080 Rhisnes Tél. 081 56 65 42 nancy@linstantdapres.be www.linstantdapres.be Notre carte " Traiteur" - 2015 Zaks froids : 1 pièce Carpaccio de saumon ou

Plus en détail

Mots-clés : denrée, préemballé, étiquetage, ingrédient, information, consommateur, allergène, boulanger, pain

Mots-clés : denrée, préemballé, étiquetage, ingrédient, information, consommateur, allergène, boulanger, pain Circulaire n 6252 2 Février 2015 Gestion de l entreprise Fabrication Réglementation hygiénique et sanitaire 7 0 5 Dossier suivi par : Flavie SOUPLY Rédactrice : Flavie SOUPLY Ligne directe : 01.43.59.45.08

Plus en détail

Fiche descriptive d activités

Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires

Plus en détail

Restaurant scolaire. Menus du lundi 5 janvier au vendredi 09 janvier 2015. Haricots verts / Purée de Pomme de terre

Restaurant scolaire. Menus du lundi 5 janvier au vendredi 09 janvier 2015. Haricots verts / Purée de Pomme de terre Menus du lundi 5 janvier au vendredi 09 janvier 2015 Semaine 2 (4é.5j) VERDUN Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Salade du pêcheur Pâté de campagne principal Légume Hachis Poulet à la crème Cordon bleu

Plus en détail

Démarche de traçabilité globale

Démarche de traçabilité globale Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus

Plus en détail

RENSEIGNEMENTS SUR LES ALLERGIES

RENSEIGNEMENTS SUR LES ALLERGIES RENSEIGNEMENTS SUR LES ALLERGIES Si vous avez une allergie alimentaire, nous vous recommandons de ne pas consommer nos produits. Malgré toutes les précautions que nous prenons, il nous est impossible de

Plus en détail

Economie Sociale et Solidaire, une invitation à vivre autrement!

Economie Sociale et Solidaire, une invitation à vivre autrement! Economie Sociale et Solidaire, une invitation à vivre autrement! Dossier de presse Rencontres Solidaires en Rhône-Alpes Novembre 2010 Plus de 100 rendez-vous en Rhône-Alpes! Service presse 04 72 59 40

Plus en détail

LE GUIDE DU FOURNISSEUR DE RUCHES

LE GUIDE DU FOURNISSEUR DE RUCHES www.laruchequiditoui.fr LE GUIDE DU FOURNISSEUR DE RUCHES 1 Bonjour, Félicitations! * * Votre compte est créé. Il s agit d une première étape. Ce guide est fait pour vous donner le mode d emploi et les

Plus en détail

Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012

Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012 Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres 18 septembre 2012 Sommaire Communiqué de synthèse P. 1 Le projet de regroupement des fonctions support : un projet stratégique P.

Plus en détail

AMAP, marque et publicité mensongère

AMAP, marque et publicité mensongère AMAP, marque et publicité mensongère En 2003 puis 2008, Alliance Provence a déposé la marque AMAP (Association pour le Maintien de l Agriculture Paysanne), afin de se doter de cet outil pour garantir l

Plus en détail

INITIATIVE BIO BRETAGNE

INITIATIVE BIO BRETAGNE Il fait dans mon assiette Charte régionale des engagements réciproques entre les acteurs de la filière Bio et de la Restauration Collective pour l intégration d ingrédients Bio dans les repas en Bretagne

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 529 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Enregistré à la Présidence du Sénat le 18 avril 2013 PROPOSITION DE LOI portant création d une appellation d «Artisan restaurateur», PRÉSENTÉE Par M. Christian

Plus en détail

Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011

Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011 Le Programme National pour l Alimentation en Limousin Comité Régional de l ALIMentation du 09/12/2011 1 09/12/2011 1 Ordre du jour - Le Programme national de l alimentation : bref rappel - Gouvernance

Plus en détail

Mercredi 12 janvier 2011

Mercredi 12 janvier 2011 NUMÉRO DE LA COPIE :.. EXAMEN PROFESSIONNEL D ACCES AU GRADE D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL DE 1 ère CLASSE SPECIALITE «RESTAURATION» Session 2011 Mercredi 12 janvier 2011 EPREUVE : Epreuve écrite à caractère

Plus en détail

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann

Plus en détail

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives

La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 711 SÉNAT SECONDE SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2009-2010 Enregistré à la Présidence du Sénat le 15 septembre 2010 PROPOSITION DE LOI visant à limiter la production de viande provenant d animaux abattus

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

Panorama de la grande distribution alimentaire en France

Panorama de la grande distribution alimentaire en France N 25 Février 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Panorama de la grande distribution alimentaire

Plus en détail

O SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. Depuis 2008, l enseigne développe son réseau de franchises

O SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. Depuis 2008, l enseigne développe son réseau de franchises Présentation enseigne O SUSHI 2015 STORY O SUSHI, stratégie de déploiement de 60 boutiques sur le territoire national d ici 2020. 1998 : Création du réseau Depuis 2008, l enseigne développe son réseau

Plus en détail

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012

Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de

Plus en détail

CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE

CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE CONSEILS POUR UN REGIME SANS SEL ET PAUVRE EN SUCRES LORS D'UNE CORTICOTHERAPIE GENERALE Les fiches d'informations ont été rédigées en collaboration par les 2 centres de référence des maladies bulleuses

Plus en détail

Enquête industrie Agroalimentaire

Enquête industrie Agroalimentaire [Texte] Enquête industrie Agroalimentaire La CCI de la Vendée a mené, courant 2013, une enquête auprès des entreprises industrielles vendéennes afin d analyser la structuration et l organisation de ces

Plus en détail

Nos Offres Séminaires

Nos Offres Séminaires Nos Offres Séminaires Idéalement placé aux portes de la Bretagne Aux portes de Rennes, sur l axe Paris-Rennes, Le Privilège est idéalement placé au carrefour des régions du grand ouest. Proche des gares

Plus en détail