SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER

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1 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER NOVEMBRE 2000 Service d Études Techniques des Routes et Autoroutes

2 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER NOVEMBRE 2000 Service d Études Techniques des Routes et Autoroutes Centre de la Sécurité et des Techniques Routières 46, avenue Aristide Briand BP Bagneux Cedex France Tél. : Fax : Internet :

3 2 Le schéma directeur a été élaboré sous la direction de Bernard LAFFARGUE. La rédaction de ce document a été pilotée par Régis SARNEL, à partir des productions de différents groupes de travail auxquels ont participé : BAYLE Daniel (CETE du Sud-Ouest) BLACHERE Michèle (CETE Méditerranée) BORIE Jeanne (SETRA) BOUET Bruno (SETRA) BOYON Eric (SETRA) CASSAN Gilles (DDE du Gard) CAYEUX Denis (DPS/IS) CHERVET Gérard (CETE de l Ouest) DELFOSSE Gérard (SETRA) DIEUDONNE Didier (STD du Bas Rhin) DURAND Jean-François (SETRA) FREITAS Nicolas (SETRA) GOUVERNEUR Patrice (SETRA) GRAFF Michel (SETRA) GUIRAUD Hervé (CETE de l Est) HINTZY Jean (SETRA) JAUME Paul (DR) LASSERRE Lucette (SETRA) MAISONNEUVE André (DSCR) MESNARD Robert (CETE de l Ouest) PALFART Joël (CETE Méditerranée) PEYRONNE Christian (SETRA) PUZENAT Michel (CETE de Lyon) REMY Michel (SETRA) RENAULT Daniel (CETE Méditerranée) THEILLOUT Jean-Noël (DSCR)

4 3 Sommaire Résumé Préambule Les politiques publiques dans le domaine routier Les objectifs stratégiques des directions d administration centrale Le schéma directeur de l informatisation du ministère Un schéma directeur du système d information routier pour assurer la cohérence Le contenu du schéma directeur du système d information routier La situation actuelle Une offre large d outils, mais cloisonnée par domaines L outillage des services Les échanges d informations avec les acteurs centraux Une demande en forte évolution dans les services Un partage et une meilleure connaissance du réseau Une production cartographique en forte croissance Une offre d outils claire et cohérente sur les différents réseaux Une intégration de la route dans les systèmes d informations géographiques L évolution technologique et l offre du marché L apport des outils SIG L évolution des technologies de communication Les technologies multimédias Le développement d une offre d outils du marché Les objectifs du système cible Une vision unique du référentiel routier pour tous les services Prendre en compte les nouveaux besoins de localisation Intégrer la dimension géographique Un référentiel pour formaliser les échanges de données routières Au niveau intra-départemental Au niveau national Une nouvelle génération d outils pour administrer et exploiter les données routières

5 4 4. Le système cible Le référentiel routier L architecture L administration des données du SIR L accès aux données du SIR Les outils communs d exploitation de données routières Les applications «métiers» L organisation L administration au niveau national L organisation au niveau local Les acteurs et les partenaires La maîtrise d ouvrage Le comité directeur du système d information routier La maîtrise d ouvrage du système d information routier Les maîtrises d ouvrage des applications «métiers» L IGN Les gestionnaires de réseaux R/CA Les gestionnaires des réseaux des routes nationales et départementales Les pôles SIR des CETE La mise en œuvre Développer le système d information routier dans les services Généraliser les référentiels routiers interurbains (RIU) sur le réseau national d ici 2 ans et sur les réseaux départementaux d ici 5 ans Aider les services gestionnaires à organiser leur système d information routier Renforcer et valoriser le système d information routier existant Finaliser et consolider VISAGE V2, CARTEN et SILLAGE Faire évoluer les outils de production de RIU pour faciliter les mises à jour Formaliser et optimiser les procédures d échanges de données Rechercher sur le marché des outils complémentaires Réorganiser, d ici 4 ans, le socle du système d information routier Consolider et faire évoluer le référentiel routier Remplacer les applications VISAGE et SICRE Intégrer progressivement le référentiel et les outils communs dans les applications «métiers» Promouvoir l utilisation du référentiel et des outils communs dans les applications métiers Aider les maîtres d ouvrages à organiser la migration de leurs applications

6 7. Annexes Glossaire Acronymes et abréviations Glossaire technique Cartographie des applications en Éléments constituant le référentiel routier Fonctionnalités des outils d exploitation Migration des outils du socle Projet de mise en oeuvre Projet fonctionnel et technique Projet d accompagnement Pilotage de l opération Estimation des charges et moyens sur trois ans Bibliographie Guides et documents de référence Rapports d études

7 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes Résumé La connaissance des réseaux routiers, quelle que soit leur domanialité (réseau routier national, départemental, ou local) est indispensable aux maîtres d ouvrages pour définir et évaluer les politiques routières, en matière d investissement, d exploitation, de sécurité et d entretien. C est à partir de ce constat, et pour bénéficier pleinement de l évolution des technologies de communication et de l information géographique (S.I.G. et G.P.S. notamment), que le SETRA a engagé une réflexion pour le développement des systèmes d informations dans le domaine routier. Le système d information routier (S.I.R.) doit permettre de capitaliser la connaissance du patrimoine routier et de la partager entre tous les acteurs concernés, dans les services de l équipement (DDE, DRE, direction des routes, direction de la sécurité et de la circulation routières, réseau technique du ministère), dans les services techniques des collectivités locales, et à l institut géographique national (I.G.N.). Le schéma directeur du S.I.R. définit le système d information cible, et les conditions de sa mise œuvre, pour les 5 années à venir. Le système cible, fondé sur la définition d un référentiel de localisation associé à la base de données géographique BDCARTO de l IGN, a pour objectifs : d assurer la plus grande cohérence possible pour la localisation des données routières entre les différents réseaux, de faciliter l intégration de données géographiques et les échanges d informations d une part, entre les applications métiers du domaine, d autre part, entre les gestionnaires des réseaux et les acteurs de l aménagement du territoire, intéressés par les données routières. L architecture logicielle du système cible vise à offrir une nouvelle génération d outils d administration du référentiel, et d exploitation des données, que devront utiliser les applications «métier», pour la cartographie et la présentation des données par exemple. Elle définit des standards d accès aux données du SIR, et des procédures de qualification d outils du marché, permettant de garantir leur bonne intégration dans le système d information des gestionnaires des réseaux. La stratégie de mise en œuvre du schéma directeur propose des solutions dès le court terme, et organise une évolution progressive des procédures, des outils, et des compétences vers le système cible : à l horizon d un an, elle s appuie sur la consolidation des actions engagées pour la production des référentiels interurbains ( RIU) et sur la version 2 des logiciels VISAGE (VISAGE Windows, CARTEN et SILLAGE), dans les 3 à 5 ans à venir, elle prévoit la conformité des outils au système cible, et l intégration des fonctions offertes par le SIR dans les applications métiers. Cette évolution induit des changements importants dans l organisation de la gestion des données routières, et doit s appuyer sur de nouvelles compétences pour administrer le SIR. Les services bénéficieront pour cela d une assistance renforcée du réseau technique (pôles SIR des CETE), et de toutes les mesures d accompagnement nécessaires.

8 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER 1 Préambule 1.1. Les politiques publiques dans le domaine routier 1.2. Les objectifs stratégiques des directions d administration centrale 1.3. Le schéma directeur de l informatisation du ministère 1.4. Un schéma directeur du système d information routier pour assurer la cohérence 1.5. Le contenu du schéma directeur du système d information routier

9 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER Préambule PRÉAMBULE 1.1. Les politiques publiques dans le domaine routier La connaissance du réseau est un des éléments indispensables aux maîtres d ouvrages pour définir et évaluer les politiques routières, que ce soit en matière d investissement, d exploitation, de gestion ou d entretien. Ce constat s applique aussi bien pour l État que pour les collectivités territoriales, en particulier les conseils généraux, comme le souligne la Cour des comptes dans son rapport de 1998 sur «l action des départements dans le domaine de la voirie routière». Au-delà, existe un enjeu plus général, lié à la politique française des routes, que l État a vocation à porter et à promouvoir, dont les principaux objectifs sont : d assurer la plus grande cohérence possible entre réseaux routiers, en termes de conception (cohérence dans l application des normes et préconisations techniques pour la géométrie, les équipements et les aménagements de sécurité) et d usage du réseau (entretien, sécurité routière et exploitation de la route) ; de faire partager à tous les maîtres d ouvrages et à l ensemble du secteur professionnel un même corps de doctrine technique. Une meilleure connaissance des réseaux, quelle que soit leur domanialité (réseau routier national, départemental ou local), est un préalable indispensable à ces actions. Le rapport du conseil général des ponts et chaussées (CGPC) sur le sujet, datant de mars 1996, préconise la mise en place d un système d observation et d évaluation minimale. L utilisation des systèmes d information permet de capitaliser la connaissance du patrimoine routier et de la partager entre tous les acteurs impliqués dans la gestion et l exploitation des réseaux. Son développement dans les services gestionnaires de voirie routière s inscrit ainsi pleinement dans les orientations du programme d action gouvernemental pour l entrée de la France dans la société de l information (PAGSI), en modernisant la gestion publique et en contribuant à la mise en œuvre des systèmes d informations territoriaux Les objectifs stratégiques des directions d administration centrale Les objectifs stratégiques définis en 2000, par la direction des routes et la direction de la sécurité et de la circulation routières, sont de : définir l évolution du réseau national au travers des schémas de service ; améliorer la gestion du patrimoine existant ; accroître la sécurité des usagers avec une connaissance des événements liés à l accidentologie et une promotion de la télématique routière ; mieux répondre à la demande du public avec une observation de l impact sur l environnement et une extension des dispositifs de protection ; développer le service à l usager dans le cadre de la circulation routière. Ils nécessitent, du niveau départemental au niveau national, une meilleure connaissance des réseaux et la prise en compte de leur contexte géographique. Ils supposent des outils permettant de mieux situer les caractéristiques de l infrastructure sur le réseau existant, les données de son environnement et les événements aléatoires ou temporaires (circulation, accidents, météo...), nécessaires à l information du public Le schéma directeur de l informatisation du ministère Le schéma directeur de l informatisation, révisé et approuvé en mars 1998, propose deux grands axes pour engager les services du ministère vers la société de l information : la maîtrise des mutations technologiques, en particulier les nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC) : réseaux, systèmes d information géographique (SIG), permettant d ouvrir de nouvelles perspectives sociales, culturelles, économiques ; l organisation de la connaissance du territoire, à l échelon local, et de nouveaux modes de fonctionnement, plus collectifs, plus souples et plus réactifs, pour renforcer le positionnement des services sur le territoire. Dans le domaine Infrastructures-Transports, où les applications et les échanges de données se

10 sont multipliés au cours des dernières années, ce schéma directeur recommande «la cohérence dans la gestion des données routières du domaine». Les orientations proposées pour assurer la cohérence d ensemble du système portent sur : la poursuite des actions de standardisation d un référentiel routier, utilisable par toutes les applications du domaine ; la modernisation des outils VISAGE 1 et leur évolution vers les systèmes d information géographique ; la coordination à assurer entre les maîtrises d ouvrages nationales, en direction d administration centrale et au SETRA, pour développer et maintenir cette cohérence dans les applications du domaine. Ce document définit le cadre dans lequel devront s inscrire progressivement, au cours des trois à cinq ans à venir, toutes les applications métiers participant à la connaissance du patrimoine routier et de son usage. Ses règles pour la standardisation du référentiel et la localisation des données routières s imposeront à tous les représentants permanents des maîtres d ouvrages (RPMO) du domaine Infrastructures-Transports, mais en aucun cas, le référentiel routier ne se substituera aux besoins spécifiques à couvrir par chacune des applications métiers Le contenu du schéma directeur du système d information routier Préambule Un schéma directeur du système d information routier pour assurer la cohérence Le présent schéma directeur est une déclinaison du chapitre consacré au domaine Infrastructures- Transports dans le schéma directeur de l informatisation du ministère. Il a un champ réduit au système d information routier, il en précise le cadre de cohérence globale et une «ligne de conduite», valable et applicable par toutes les applications du domaine. Ce cadre définit une organisation cible des applications au sein d un système d information routier, «le SIR», dont le socle est constitué du référentiel routier, avec pour objectifs : d assurer la plus grande cohérence possible entre les différents réseaux, pour homogénéiser les pratiques de localisation de données routières entre les différents acteurs ; d organiser le recueil et les échanges d information entre les services, pour la connaissance des réseaux routiers interurbains (national et départemental), en assurant la continuité de ces réseaux en traversée d agglomération ; de faciliter les échanges de données localisées sur le réseau routier, entre les applications «métiers» du domaine, entre les services gestionnaires de réseau et vers tous les acteurs de l aménagement du territoire, intéressés par les données routières ; de structurer le volet routier de la politique de développement des SIG dans le ministère. Les actions menées depuis 1996, sur le système d information pour la connaissance du réseau (SICRE) et pour les nouvelles applications intégrant des fonctions SIG (CONCERTO 2 et ORCHESTRAL 3 ), ont permis d engager la mise en œuvre d une standardisation d un référentiel de localisation avec le modèle d échange du référentiel interurbain (MERIU) et l intégration d un support cartographique. Le schéma directeur du système d information routier s inscrit dans la continuité de cette démarche, pour généraliser le référentiel à tout le domaine routier et faciliter son utilisation par les différents acteurs et applications. Les résultats attendus sont : un cadre de référence comprenant la définition du référentiel de localisation, l architecture technique et logicielle du système d information cible, les outils d administration du référentiel et des données routières et les outils communs d exploitations des données routières ; une organisation des échanges de données entre les différents acteurs, intégrant la définition des procédures nécessaires à l administration du référentiel et la mise en œuvre aux niveaux départemental, régional et national, des organisations, pour faciliter le partage de toutes les informations utiles à la gestion et l exploitation de la route ; la rationalisation de l évolution des outils, en s appuyant sur la définition des règles et standards à respecter par toutes les applications du domaine, pour garantir la cohérence des outils vis-à-vis du référentiel, faciliter les échanges de données entre applications et optimiser les investissements. 1 VISAGE : outil d aide à la gestion routière permettant de constituer une banque de données routières, de l interroger et de la gérer, dans des contextes extrêmement diversifiés. 2 CONCERTO : outil de gestion (en particulier pour la correction de la localisation) et d analyses statistique et géographique des données accidents de la circulation routière permettant des restitutions sur une cartographie du réseau routier. 3 ORCHESTRAL : outil de suivi et d aide au traitement des événements, localisés et géo-référencés, relatifs aux perturbations sur le réseau routier.

11 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER Pour cela, une réflexion a été menée en 1999, avec la production de six rapports sur ces thèmes disponibles auprès de la maîtrise d ouvrage du système d information routier. Préambule 12 Les cibles du schéma directeur sont les différents acteurs du système d information routier, à savoir : les gestionnaires de réseau routier : les directions départementales de l équipement (DDE), les conseils généraux, la mission de contrôle des sociétés concessionnaires d autoroutes (RCA) et les directions régionales de l équipement (DRE) ; le réseau technique du ministère de l Équipement, pour la partie assistance technique ; les services centraux du ministère de l Équipement, en tant que maîtrise d ouvrage : la direction des routes (DR), la direction de la sécurité et de la circulation routières (DSCR), le service d études techniques des routes et autoroutes (SETRA), le centre d études sur les réseaux, les transports, l urbanisme et les constructions publiques (CERTU) et le laboratoire central des ponts et chaussées (LCPC).

12 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER 2 La situation actuelle 2.1. Une offre large d outils, mais cloisonnée par domaines 2.2 Une demande en forte évolution dans les services 2.3. L évolution technologique et l offre du marché 2.4. Le développement d une offre d outils du marché

13 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER La situation actuelle LA SITUATION ACTUELLE 2.1. Une offre large d outils, mais cloisonnée par domaines La gestion de données localisées sur le réseau routier concerne tous les acteurs impliqués dans l élaboration, la mise en œuvre et l évaluation des politiques routières. Du niveau local au niveau national, ses principaux champs d application pour la connaissance de l infrastructure routière, de son environnement et de son usage couvrent aujourd hui : la gestion du domaine public ; l entretien des chaussées, des dépendances et des équipements de la route ; la gestion des ouvrages d art ; la sécurité routière ; la connaissance des trafics ; l exploitation de la route. Les outils logiciels proposés répondent à trois objectifs principaux : fournir aux services gestionnaires de réseaux, à l échelon local, les moyens de mettre en œuvre la doctrine technique et des méthodologies adaptées à leur contexte ; communiquer aux services centraux les éléments nécessaires à la définition et l évaluation des politiques nationales ; permettre la centralisation régionale et nationale de l information routière L outillage des services Pour la connaissance du patrimoine routier, l offre principale du réseau technique est basée sur la gamme des logiciels VISAGE. Ces logiciels sont diffusés aujourd hui dans toutes les directions départementales de l équipement, pour la gestion du réseau national. Ils sont de plus utilisés dans plus de cinquante départements, pour la gestion du réseau départemental. Dans les autres domaines, l offre de logiciels est structurée en applications «métiers», segmentées selon les grands domaines d activité des services de gestion de la route, avec : pour la connaissance des statistiques de trafic, les logiciels de la gamme SIREDO, MELODIE/ARPEGES ; pour l accidentologie, les logiciels de traitement statistique des accidents, remplacés progressivement par l application CONCERTO ; pour l entretien routier, les logiciels GiRR, IQRN, OMERE et SEMI (LCPC) ; pour la gestion des ouvrages d art, les logiciels EDOUART, MURIEL et IQOA bientôt remplacés par l application LAGORA ; pour les aspects réglementaires sur le domaine public routier, ACOVOI, LITTERALIS et le logiciel CONVOI remplacé progressivement par CIRCE ; pour l exploitation de la route, les logiciels TIGRE et, depuis 1999, le logiciel ORCHESTRAL. Si toutes ces applications s appuient sur une description du réseau routier et, dans certains cas, sur des informations de même nature, leur conception et leur utilisation ont été jusqu ici orientées selon une logique «verticale», privilégiant une approche spécifique par métier. Leur diffusion au cours des dernières années a conduit les utilisateurs à se constituer des «patrimoines de données individuelles», gérés dans le cadre d une activité (base de données VISAGE de la cellule entretien, bases de données trafics et accidents à la CDES, fichiers ouvrages d art) avec peu ou pas d échanges entre les différentes activités. Ces pratiques tendent en outre à multiplier les bases de données descriptives du réseau dans un même service, générant des surcoûts d acquisition de données, de développement de logiciels et surtout des incohérences d informations entre les applications routières Les échanges d informations avec les acteurs centraux La communication aux services centraux, des éléments sur la consistance du réseau routier national s appuie depuis 1995, sur le système d information pour la connaissance du réseau (SICRE). Ce système est basé sur une remontée annuelle intégrant d une part, des informations sur les évolutions du réseau («dossier d identification» : modifications de tracés, classement/déclassement du réseau) et d autre part des données descriptives de l état du réseau. Le SICRE s appuie en DDE, sur le logiciel VISAGE et au niveau national, sur une base de données géographiques couvrant l ensemble du réseau national, concédé et non concédé. Des échanges d informations entre les DDE, les CETE et le SETRA sont également organisés pour la connaissance des statistiques de trafics, des données d accidents et pour l évaluation des politiques

14 d entretien (indice qualité du réseau national -IQRN-, indice qualité des ouvrages d art -IQOA-, ). Dans le domaine de l exploitation de la route, les échanges d informations existants entre les centres d information routière sont étendus progressivement aux DDE, dans le cadre de la mise en œuvre du schéma directeur de l exploitation de la route (SDER). Enfin les directions d administration centrales demandent régulièrement aux services déconcentrés de leur fournir des données localisées sur le réseau routier national (contrats de plan, répartition des budgets d entretien, politiques d aménagement de sécurité, ). Comme pour les outils logiciels des services, tous ces échanges se sont développés selon une logique sectorielle et comportent leur propre description du réseau. Cette situation a conduit à multiplier les visions du réseau national et les risques d incohérence et de redondance de certaines informations. En outre, cette approche sectorielle ne permet pas de développer, entre les bases de données nationales des différentes activités, les échanges et les croisements d informations indispensables à certaines analyses. La cartographie détaillée des applications du système actuel est fournie en annexe Une demande en forte évolution dans les services Un partage et une meilleure connaissance du réseau Le recueil d informations sur l état du réseau et la gestion de bases de données routières ont, jusqu à présent, été principalement utilisés pour les politiques d entretien des chaussées. L évolution des pratiques des gestionnaires de réseau, qu il s agisse du service à l usager, de la sécurité routière ou de la prise en compte de l environnement, demande d enrichir leur contenu et de diversifier leur utilisation. Le contenu s étend ainsi progressivement vers les informations sur l environnement immédiat de la chaussée (accotements, dépendances, signalisation, équipements) et son environnement géographique (occupation du sol, zones à risques, activités socio-économiques). L utilisation de ces informations tend également à se développer dans tous les domaines d activités «traditionnelles» de la gestion et de l exploitation de la route Une production cartographique en forte croissance Le fort développement d outils bureautiques dans les domaines du dessin assisté par ordinateur (DAO) et de la publication assistée par ordinateur (PAO) au cours des dernières années, a accru les exigences des décideurs, en terme de qualité des documents d aide à la décision ou de communication. La demande de documents cartographiques, à l appui d études particulières ou pour des informations de comptes rendus annuels, est aujourd hui en forte croissance Une offre d outils claire et cohérente sur les différents réseaux La multiplication de solutions répondant à des problématiques par secteur d activité, ou type de fonction, a conduit à la réalisation de plus d une vingtaine d outils logiciels pour le seul domaine de la gestion de l exploitation de la route. Cette offre est devenue aujourd hui extrêmement complexe et tend à se spécialiser par type de réseaux. Les utilisateurs attendent aujourd hui une qualification claire de l offre d outils, (répondre à la question : «quels outils pour quels usages?»), et des solutions homogènes sur les différents réseaux, pour minimiser les investissements initiaux en termes d acquisition d outils et de formation Une intégration de la route dans les systèmes d informations géographiques La politique de développement des SIG dans le ministère, et plus généralement l utilisation croissante de SIG dans les collectivités territoriales et les autres administrations, incitent les services gestionnaires de réseau à engager, dans leur domaine d activités, de véritables démarches d organisation de SIG appliqués à la gestion du patrimoine routier. De telles démarches sont engagées aujourd hui dans les DDE. Une étude menée en a révélé des attentes fortes des services, en termes d outils, de méthodologies et d accompagnement du réseau technique. 1 CF. Etude Mercatique nationale (SETRA : 1999) La situation actuelle 15

15 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER La situation actuelle L évolution technologique et l offre du marché L apport des outils SIG La forte croissance de l offre d outils SIG, au cours des dernières années, a d abord rendu ces technologies plus accessibles, en développant des solutions utilisables dans un environnement bureautique. En dehors de leur application dans les centres d études techniques de l équipement (CETE), pour les études de projets, leur principale utilisation dans le domaine routier s est limitée à de la production cartographique. Les possibilités offertes par ces outils, pour la gestion de données géographiques et l analyse spatiale peuvent être exploitées pour développer l administration de données routières et compléter les applications d aide à la décision Les technologies multimédias Les technologies de numérisation d images, d informations non structurées, de plans ou documents techniques, connaissent également une forte croissance, avec l augmentation de la puissance et des capacités de stockage des matériels. Dans le domaine routier, leurs applications principales ont porté jusqu ici sur l utilisation de prises de vues du réseau, avec des fréquences de recueil variant de 5 à 20 mètres. Le développement de leur utilisation, complété par la gestion de documents techniques numérisés (plans, notes techniques, séries photographiques ou films), peut aujourd hui être envisagé. Dans certains cas, il peut constituer une solution alternative intéressante à la constitution de bases de données détaillées, particulièrement lourde à constituer et à entretenir. Leur diffusion dans les services a en outre permis le développement d une «culture» de l information géographique. Au-delà des compétences acquises pour les productions cartographiques, le souhait d optimiser l acquisition des données a conduit les utilisateurs à organiser l administration et les échanges de données, au sein du service et avec des partenaires externes. La mise en œuvre de ces pratiques dans les activités du domaine routier peut aujourd hui être envisagée L évolution des technologies de communication Les mutations profondes qu ont connu récemment les technologies de communication, au sein du ministère, avec le réseau I 2, la messagerie MELANIE et plus généralement avec l arrivée des technologies intranet/internet, accentuent le décalage entre l offre actuelle d applications routières et les solutions du marché. Face à des outils orientés sur un accès mono-utilisateur et difficilement communiquants, elles opposent des solutions ouvertes facilitant les échanges de données, et une large diffusion des informations. Leur prise en compte, dans la conception ou l évolution des applications peut permettre en particulier de faciliter le partage de données entre les services et l accès aux informations par les subdivisions Le développement d une offre d outils du marché Dans le cadre de prestations réalisées pour les gestionnaires de réseau au niveau local, des bureaux d études ou des sociétés de services ont été amenés à réaliser des outils couvrant certaines activités du domaine de la gestion et de l exploitation de la route. Les solutions disponibles aujourd hui couvrent principalement les activités de recueil et de gestion de données routières, complétées par des fonctions cartographiques ou SIG et quelques applications «métiers» (entretien des chaussées, signalisation, ). Les outils proposés bénéficient en général de l évolution de l état de l art et ont vocation à échanger des informations avec une ou plusieurs applications de l offre du ministère. Dans la mesure où ces outils peuvent être utilisés en complément de l offre du ministère et par un nombre significatif de services, il importe de veiller à leur bonne intégration avec les solutions proposées par le réseau technique. Cette intégration nécessite de définir des standards, des règles d échanges et des procédures de qualification. C est aussi l objet du présent schéma directeur du système d information routier.

16 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER 3 Les objectifs du système cible 3.1. Une vision unique du référentiel routier pour tous les services 3.2. Un référentiel pour formaliser les échanges de données routières 3.3. Une nouvelle génération d outils pour administrer et exploiter les données routières

17 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER Les objectifs du système cible LES OBJECTIFS DU SYSTÈME CIBLE 3.1. Une vision unique du référentiel routier pour tous les services Une vision unique et partagée de la représentation du réseau routier est la condition préalable au développement des échanges de données entre tous les acteurs intéressés par la connaissance du patrimoine routier. Du recueil de l information sur le terrain à son exploitation cartographique dans les applications des différents métiers, le référentiel a pour objectif d homogénéiser les pratiques de localisation des données routières, pour tous les acteurs de la gestion et de l exploitation de la route Prendre en compte les nouveaux besoins de localisation La localisation de données sur le réseau routier s appuie aujourd hui, pour le réseau interurbain, sur le système de repérage en points de repère (PR). Pour les besoins de l exploitation et de la sécurité routière, ce système doit être complété afin de mieux traiter la localisation sur les dispositifs d échanges (carrefours, bretelles). En outre, la prise en compte de nouveaux modes de localisation terrain (GPS, points singuliers du réseau ne correspondant pas à des PR) doit être facilitée. du service de gestion de la route et bureaux d études), avec les autres unités utilisant des données routières dans le cadre de leur activité (aménagement, environnement, transports...) et avec les subdivisions territoriales. Au niveau d un département, le développement des échanges de données, entre les systèmes d information des DDE et des conseils généraux, n est envisageable que si ces derniers disposent d un référentiel cohérent, pour localiser les informations sur le réseau routier et son environnement géographique. Les systèmes d information territoriaux, et toutes les initiatives locales visant à développer la communication entre les administrations, les collectivités locales et les usagers (réseaux inter-administrations, groupements d intérêt locaux et conventions d échanges pour les SIG), ajoutent une nouvelle dimension à l utilisation du référentiel routier, comme support d échanges de données routières vers tous les acteurs territoriaux Au niveau national Le développement des échanges de données routières entre les DDE, les DRE, les CETE, les CRIR et les services centraux, pour la définition, la mise en œuvre et l évaluation des politiques nationales, suppose de s appuyer au niveau national, sur une vision commune du référentiel routier Intégrer la dimension géographique L utilisation accrue des applications pour l aide à la décision suppose de compléter la vision actuelle du réseau routier, jusqu ici principalement centrée sur une logique linéaire, par les informations nécessaires à la localisation de données géographiques. La relation point de repère (PR) et coordonnées X,Y permet de faire le lien avec tout type de données géographiques localisées en X,Y Un référentiel pour formaliser les échanges de données routières Au niveau intra-départemental Dans un service, le référentiel constitue le support de tous les échanges de données localisées sur le réseau routier, entre les acteurs du domaine routier (cellules fonctionnelles 3.3. Une nouvelle génération d outils pour administrer et exploiter les données routières Pour la gestion de données sur le patrimoine routier, le logiciel VISAGE, dont la conception remonte à plus de dix ans, a montré ses limites, pour intégrer les nouvelles exigences des utilisateurs et prendre en compte les nouvelles technologies. Le développement de la gestion d informations géographiques, et la volonté d organiser l administration de données routières pour faciliter les échanges, supposent une nouvelle génération de logiciels. Ces outils doivent distinguer clairement les fonctions d administration des données, et les services offerts pour la gestion et l exploitation de données routières.

18 Leur conception de ces nouveaux outils doit prendre en compte les contraintes liées à la reprise des données existantes, et permettre une évolution progressive, vers le système cible. En outre, toutes les fonctions génériques de gestion et d exploitation de bases de données routières, doivent s appuyer au maximum sur les solutions disponibles sur le marché. Dans les domaines spécifiques à chacun des métiers de la route, une nouvelle génération d applications, intégrant les principes du système cible, a déjà été engagée avec les logiciels CONCERTO (pour l analyse des accidents) et ORCHESTRAL (pour l exploitation de la route). Cette évolution devra être poursuivie de manière progressive, lors de la mise à jour d outils existants ou la conception de nouvelles applications. Les objectifs du système cible 19

19 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER 4 Le système cible 4.1. Le référentiel routier 4.2. L architecture 4.3. L organisation

20 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER Le système cible LE SYSTÈME CIBLE 4.1. Le référentiel routier Le SETRA a défini le référentiel interurbain (RIU) pour les nouvelles applications comme CONCERTO et ORCHESTRAL, qui intègrent les fonctions offertes par les outils SIG. Le RIU permet de localiser sans ambiguïté les objets sur le terrain qu ils soient sur la chaussée, sur les échangeurs, sur les abords de la route et quelle que soit la technique de relevé utilisée (relevé terrain traditionnel, appareil à grand rendement ou GPS) : en coordonnées curvilignes, de type PR + abscisse, sur le tracé du réseau ; en coordonnées géographiques, de type X,Y dans un système de projection, pour une utilisation sur des supports cartographiques numérisés à une échelle minimum du 1/ e. Il est constitué : d une partie «nomenclature» (nom des routes et positionnement des PR), issue des bases de données routières existantes dans les services ; d une partie cartographique (tracé des routes, limites administratives, hydrologie et réseau ferré, occupation du sol, ), issue de la BDCARTO de l IGN. Pour les besoins de représentation ou d analyse à l échelle départementale, ou régionale, il permet ainsi une vision cohérente, sur un même fond cartographique, des données descriptives : du réseau routier national, concédé et non concédé, des réseaux secondaires et communaux d intérêt départemental ou régional, de l environnement géographique des réseaux routier. Le référentiel routier du système cible est une extension du RIU, comprenant trois types d informations : Le système de localisation et d identification désigne les objets routiers utilisés pour affecter une localisation relative en abscisse curviligne, à toute information relevée sur le réseau routier (cas d un revêtement, d une signalisation horizontale) ou ses abords immédiats (cas des équipements et dépendances). Il reprend la partie «nomenclature» du RIU, en la complétant pour préciser la localisation sur des voies de circulation, les dispositifs d échanges ou par rapport à des points particuliers du réseau. Les données descriptives du réseau comprennent les caractéristiques minimales applicables à tous les réseaux, pour répondre aux besoins des différents acteurs aux niveaux départemental, régional et national. Les données géographiques comprennent toutes les données numérisées nécessaires à la représentation cartographique du réseau, et aux analyses croisant les données routières avec celles issues d autres domaines : à l échelle régionale ou départementale, en milieu interurbain, elles reprennent la partie cartographique du RIU, qui assure la cohérence avec les données produites dans les autres domaines d activité des services du METL ou des conseils généraux, déjà largement utilisateurs de la BDCARTO comme l aménagement, l environnement, les transports scolaires,... dans les zones fortement urbanisées, en particulier en région Ile-de-France, la base de données géographiques retenue est la base GEOROUTE de l IGN. Ce choix permet un niveau de représentation adapté au contexte urbain, en assurant la cohérence avec la BDCARTO utilisé en interurbain. à l échelle nationale, la base de données géographiques retenue est la base ROUTE500, de l IGN. La description de ces éléments constituant le référentiel routier cible est fournie en annexe L architecture Pour faciliter sa conception et sa mise en œuvre progressive dans les services, l architecture globale du système est structurée en «couches». Chaque couche correspond à un ensemble homogène de fonctions organisées à partir du référentiel routier. Application «métier» Fonctions métiers Application «métier» Fonctions métiers Exploitation des données routières Accès aux données routières Application «métier» Fonctions métiers Administration des données du SIR Référentiel et données transversales

21 Résumé 1 Préambule 2 La situation actuelle 3 Les objectifs du système cible 4 Le système cible 5 Les acteurs et les partenaires 6 La mise en œuvre 7 Annexes SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER 5 Les acteurs et les partenaires 5.1. La maîtrise d ouvrage 5.2. L IGN 5.3. Les gestionnaires de réseaux 5.4. Les pôles SIR des CETE

22 SCHÉMA DIRECTEUR DU SYSTÈME D INFORMATION ROUTIER Ils s appuient sur le référentiel et la structure des données routières du SIR. Ils doivent être utilisables par toutes les unités d un service et offrir des fonctions : de définition et de mise à jour d une base de données comportant éventuellement des documents multimédias ; de sélection par attribut, par localisation cartographique ou par analyse spatiale des données routières ; de présentation des données sous différentes formes (géocodage et cartographie, schéma linéaire, schéma synoptique, fichiers d export). Selon le niveau de fonction à traiter, il pourra s agir d un composant réutilisable, d un outil complet du ministère ou d un progiciel du marché. Comme pour les données du SIR, ces outils communs devront pouvoir être accessibles «en ligne» par les applications utilisatrices. Le schéma ci-dessous montre quelques exemples de fonctions de présentation à couvrir : Présentation cartographique Document composite Le système cible Schéma itinéraire détaillé 24 Exploitation des données routières Schéma itinéraire simplifié Représentation statistique

23 L ensemble des applications est intégré dans un «système d information routier», le SIR, dont l objectif principal est de fédérer les applications du domaine afin de faciliter la cohérence et les échanges de données entre applications. L architecture fonctionnelle du système d information cible couvre, dans chacun des services, quatre niveaux de fonctions : l administration des données mises à disposition de l ensemble des acteurs du service : le référentiel et les données partagées du SIR ; l accès au référentiel et aux données partagées du SIR ; l exploitation de données routières ; les applications «métiers» centrées sur les fonctions «métier», spécifiques à une activité, ou un utilisateur. Seuls les trois niveaux, illustrés en vert foncé sur le schéma ci-contre, font l objet du schéma directeur. La définition des fonctions et le choix des solutions techniques pour la réalisation des applications «métiers» reste de la responsabilité de chaque maîtrise d ouvrage. Le système d information routier est intégré au système d information géographique du service. Il en constitue le volet du domaine routier L administration des données du SIR Pour le référentiel routier, elle a pour fonctions principales la gestion des évolutions du réseau routier, et le maintien de sa cohérence entre toutes les unités utilisatrices, internes au service ou externes (au niveau national le SETRA, au niveau départemental le conseil général). Sa mise en œuvre résulte directement des principes retenus pour l organisation de la mise à jour du référentiel au niveau national. Dans tous les services, elle permet au minimum d intégrer les mises à jour fournies par les acteurs responsables de la validation. Dans les services chargés de la gestion du réseau routier (DDE et CG) elle permet, en plus, la saisie et l utilisation locale de «projets de modifications» du référentiel. Ces projets de modification sont transmis à l IGN qui met à jour les données cartographiques. L administration des données routières a pour fonctions principales la constitution et la gestion d une base de données routières utilisables par toutes les unités du service. La constitution de la base couvre toutes les fonctions de catalogage décrivant la définition et le format des données, les règles de gestion pour la localisation sur le référentiel et les règles d administration (unité responsable de l acquisition, modalités de mise à disposition, ). La gestion porte sur les fonctions de mises à jour des informations, par des procédures de saisie ou d importation, en assurant la cohérence avec les évolutions du référentiel. Les recommandations du CCIG sur d administration des données localisées seront mises en œuvre L accès aux données du SIR Ces fonctions doivent permettre dans chaque service, d une part de faciliter l accès aux données du SIR par les applications «métiers», d autre part de diffuser tout ou partie de ces données aux acteurs externes, selon des formats d échanges standards. Pour tenir compte de l existant et de la mise en œuvre progressive des principes de l architecture cible, deux modes d accès doivent être envisagés pour les applications «métiers» : un mode d échange par des procédures d import/export régulières ou ponctuelles, selon des formats standards à définir ; des fonctions ou composants intégrables dans les applications «métiers», permettant l accès «en ligne» au référentiel et à la base de données du SIR. Les échanges avec les acteurs externes, portant sur la diffusion de mises à jour du référentiel, de données routières vers des applications ou d autres systèmes d information, pourront s appuyer sur les même principes et formats standards d échanges. La diffusion vers les subdivisions territoriales et vers des acteurs externes pour des utilisations ponctuelles, devra s appuyer sur des solutions simplifiant au maximum l accès aux informations, de type intranet Les outils communs d exploitation de données routières Ils correspondent à des fonctions génériques intéressant plusieurs applications «métiers», ou utilisables pour la réalisation d applications simples. Le système cible 23

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