Item 137 Ulcère de jambe
|
|
- Camille Roberge
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Item 137 Ulcère de jambe ÉTIOLOGIE PHYSIOPATHOLOGIE DIAGNOSTIC ÉVOLUTION PRINCIPES DE TRAITEMENT Objectifs pédagogiques Diagnostiquer un ulcère de jambe. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. L ulcère de jambe se définit comme une plaie cutanée chronique n ayant pas, de tendance spontanée à la cicatrisation. Il constitue dans la majorité des cas (>90%) une complication d une maladie vasculaire sousjacente souvent ancienne qui conditionne le pronostic et la conduite thérapeutique. Les autres causes d ulcères comprennent les vascularites, certaines dermatoses neutrophiliques (exemple : pyoderma gangrenosum), des infections cutanées profondes mycosiques, parasitaires ou bactériennes (tuberculose, mycobactérioses), des carcinomes cutanés primitifs ulcérés et certaines hémopathies (syndromes myéloprolifératifs, dysglobulinémies). Les ulcères de jambes peuvent être sont invalidants et à l origine de nombreuses hospitalisations. Il existe trois variétés d ulcères d origine vasculaire : - les ulcères d origine veineuse, ou mixtes artério-veineux mais à prédominance veineuse (70-80% des cas), - les ulcères d origine artérielle ou mixtes artério-veineux mais à prédominance artérielle (20%), - l angiodermite nécrotique. Les ulcères d origine veineuse Physiopathologie L'ulcère veineux est la phase tardive de l'évolution d'une insuffisance veineuse chronique. Celle-ci peut être secondaire à des varices avec reflux sur le réseau veineux superficiel ou d'origine post-thrombotique (reflux et/ou obstruction par thrombose mal reperméabilisée sur les troncs veineux profonds). Plus rarement, il s agit d une insuffisance valvulaire profonde primitive. L'hypertension veineuse dûe au reflux, plus rarement à l obstruction serait responsable de troubles de la microcirculation conduisant à une souffrance tissulaire avec anoxie (microangiopathie). Plusieurs hypothèses, qui ne s excluent pas, ont été proposées pour expliquer 1
2 l atteinte de la microcirculation : piégeage leucocytaire, manchon de fibrine péri-capillaire, hyperperméabilité capillaire... (tableau I). Caractéristiques cliniques L ulcère : L ulcère veineux est de grande taille, à contours ovalaires ou en carte de géographie, parfois circonférenciel, peu profond et spontanément peu douloureux. Le fond de l ulcère peut être propre et bourgeonnant, de bon pronostic ou au contraire atone, recouvert d un enduit jaunâtre adhérent voire croûteux ou surinfecté, purulent. Des bords souples, au même niveau que l ulcère, sont de bon pronostic, à l inverse de bords durs et saillants. Habituellement, l ulcère veineux est situé au niveau de la région sus-malléolaire interne et sur la face interne de jambe ; mais il peut être péri-malléolaire ou déborder largement sur la jambe. La peau péri-ulcéreuse : En périphérie, la peau présente les stigmates de l insuffisance veineuse chronique caractérisée la présence des troubles trophiques suivants qui peuvent s associer chez un même malade : Les lésions dermo-épidermiques (dermite de stase) : Il s agit de plaques érythémato-squameuses, prurigineuses, débutant souvent dans la région malléolaire interne et pouvant s étendre au reste de la jambe. Elles sont improprement appelées eczéma variqueux. Les lésions de capillarite : La dermite ocre forme de larges placards malléolaires internes ou des faces antérieures des tibias. Rouge violacé en phase initiale, ils deviennent rapidement bruns en raison des dépôts indélébiles d hémosidérine. L atrophie blanche correspond à l obstruction des petits vaisseaux dermiques. Elle se manifeste par une plaque de petite taille, irrégulière, atrophique et de couleur ivoirine parfois parcourue de fines télangiectasies. Souvent douloureuse, sa tendance à l ulcération est très importante. Les lésions d hypodermite : L hypodermite aiguë ou subaiguë se manifeste par un tableau de grosse jambe rouge douloureuse et non fébrile, d apparition progressive. La lipodermatosclérose ou «botte sclérodermiforme» peut survenir à la suite de plusieurs épisodes d hypodermite aiguë ou se constituer d emblée, insidieusement. Le mollet est dur, la peau est scléreuse, souvent pigmentée et impossible à pincer réalisant au maximum une véritable guêtre rétractile sclérodermiforme. Associé aux troubles trophiques, un oedème d origine veineuse peut être présent. Dans le cas du syndrome post-phlébitique ancien, cet œdème de jambe devient chronique et dur. Le contexte clinique : L ulcère veineux concerne le plus souvent la femme de 70 ans de moyenne d âge, présentant un surpoids dans 30% des cas. L interrogatoire rapporte la présence de symptômes fonctionnels et physiques témoignant d une insuffisance veineuse essentielle ou post-thrombotique : lourdeurs et tensions douloureuses de jambe, aggravées par la station prolongé debout ou assise, œdème vespéral. En cas de syndrome post-phlébitique, les antécédents avérés de thromboses manquent souvent et il faut savoir rechercher à l anamnèse des circonstances favorisantes comme un alitement prolongé, une intervention orthopédique au membre inférieur, de grossesses multiples. 2
3 L examen clinique : La recherche des varices des membres inférieurs se fait sur le patient debout par l inspection et par la palpation. L examen recherche aussi une ankylose de l articulation tibio-tarsienne. Explorations paracliniques L échographie-doppler des veines des membres inférieurs recherche les éléments suivants : - l existence ou non d un reflux significatif (durée > 1 seconde) sur les troncs veineux superficiels (veines saphènes), au niveau des crosses de ces veines et au niveau des veines perforantes. - l existence ou non d un reflux significatif sur les troncs veineux profonds, lié le plus souvent à un syndrome post-phlébitique, ou parfois à une incontinence primitive. - un syndrome obstructif profond, plus rare, témoin d un processus thrombotique ancien et mal reperméabilisé Traitement de l ulcère veineux non compliqué Traitement de la plaie elle-même : Il comporte trois phases (voir paragraphe «soins infirmiers de l ulcère de jambe»), phase de détersion, phase de bourgeonnement et phase de ré-épidermisation. La validité de la prophylaxie anti-tétanique doit être vérifiée. Mesures hygiéno-diététiques : Il faut lutter contre la sédentarité et un régime adapté permettra de corriger un surpoids éventuel. Inversement, une dénutrition (albuminémie < 30 g/l) pouvant être à l origine d un retard de cicatrisation devra être corrigée. L hygiène locale doit être parfaite. Moyens physiques de lutte contre l oedème : La contention est obligatoire et doit être, quelque soit le système choisi, de haut niveau (35 mm Hg à la cheville). Elle peut être élastique ou non, fixe ou amovible. Elle s oppose au reflux par un effet mécanique au cours de la marche et contribue à lutter contre l œdème. La contention élastique est la plus utilisée. Elle devra être portée en permanence le jour et mise en place avant le lever. Elle fait appel aux bandages, aux chaussettes ou aux collants élastiques. Elle est contre-indiquée en cas d index de pression systolique < 0,55 (voir plus loin) ou de pression distale < 50 mm Hg à la jambe. La surélévation d environ 10 cm des pieds du bas du lit facilite le retour veineux pendant le sommeil. La marche quotidienne ainsi que des séances de kinésithérapie destinées à mobiliser l articulation tibiotarsienne sont des compléments thérapeutiques nécessaires pour la vidange de la pompe veineuse du mollet et de la semelle veineuse plantaire. La chirurgie La chirurgie des veines superficielles consiste en un éveinage, le plus souvent stripping-crossectomie éventuellement complétée de phlébectomie. Elle est d autant plus indiquée que le reflux est long, le calibre des varices important et le sujet jeune. Il peut aussi s agir de la ligature de varices nourricières de l ulcère et/ou de perforantes incontinentes. Une crossectomie seule sous anesthésie locale peut aussi être réalisée en cas de contre-indication à l anesthésie générale. 3
4 La chirurgie des veines superficielles est contre-indiquée s il existe un syndrome obstructif sur les voies veineuses profondes. La sclérothérapie Elle est le plus souvent réalisée en complément de la chirurgie et chez les malades âgés pour lesquels la chirurgie est contre indiquée. Elle peut aussi être utilisée en première intention. Autres traitements La crénothérapie est un traitement d appoint. Les veinotoniques ne sont que d un intérêt limité au stade d ulcère constitué. Ils n améliorent que les signes fonctionnels de l insuffisance veineuse. Prévention de l ulcère veineux La lutte contre la sédentarité, la prévention du surpoids et le traitement systématique des varices chez le sujet jeune contribuent à la prévention de l ulcère veineux. La prévention du syndrome post-phlébitique passe par le traitement préventif et curatif des thromboses dans les situations à risque (chirurgie, grossesses, ). La prévention de la récidive ulcéreuse passe par une hygiène cutanée rigoureuse, la limitation des traumatismes, le drainage postural nocturne, le port permanent et définitif d une contention veineuse diurne et le maintien d une activité physique (marche). Evolution de l ulcère veineux non compliqué L ulcère par insuffisance veineuse superficielle, correctement traité, a un bon pronostic immédiat mais récidives et chronicisation sont possibles. L ulcère post-phlébitique a un pronostic plus péjoratif, la chronicisation et la récidive après guérison sont fréquentes. Les ulcères d origine artérielle Physiopathologie Les lésions cutanées observées sont la conséquence directe de l ischémie par défaut de perfusion artérielle du membre. Caractéristiques cliniques L ulcère : L ulcèration d origine artérielle est unique ou souvent multiple, à l emporte-pièce, de topographie suspendue (faces antérieure ou latérales de la jambe) ou distale (face dorsale du pied, orteils). Il est volontiers profond, dénudant rapidement les tendons sous-jacents. La douleur spontanée est constante, exacerbée par le décubitus : le patient dort souvent la jambe pendante en dehors du lit. 4
5 La peau péri-ulcéreuse : Reflet de l insuffisance artérielle chronique, elle est froide, décolorée, lisse et dépilée. Le contexte clinique : L ulcère artériel survient le plus souvent chez l homme de plus de 50 ans. Des facteurs de risque vasculaire sont toujours présents, souvent associés : tabagisme, hypertension artérielle, diabète, obésité, dyslipidémie, antécédents artéritiques (coronaropathie, accidents vasculaires cérébraux). L examen clinique : La notion de claudication intermittente, l abolition de pouls, la présence de souffles sur les axes vasculaires confirment le terrain artéritique. Une onychodystrophie des orteils est fréquemment observée. Explorations paracliniques L échographie-doppler artérielle va montrer, au niveau du membre atteint, le niveau et le type des lésions. Elle permet de mesurer l indice de pression systolique (rapport de la pression systolique tibiale postérieure sur la pression systolique humérale : normale comprise entre 1 et 1,3). Cet indice baisse proportionnellement à la gravité de l artériopathie. Elle est complétée par l échographie abdominale à la recherche d un anévrysme de l aorte abdominale source d embols vasculaires. L artériographie est indispensable car elle oriente la décision opératoire. Elle précise le siège de l oblitération, sa longueur, dépiste des plaques athéromateuses susceptibles d emboliser. La mesure de la PO2 transcutanée est un bon reflet de l oxygénation de la peau. Sa mesure est prise en compte dans la décision et le niveau d une éventuelle amputation. Traitement de l ulcère d origine artérielle Le traitement de l ulcère artériel résulte d une prise en charge multidisciplinaire à laquelle concourent, aux côtés du médecin, le chirurgien vasculaire, le cardiologue, le radiologue interventionnel. Traitement de la plaie elle-même : Le traitement infirmier est souvent douloureux, ce qui peut en limiter l efficacité. Il répond aux même principes que ceux prévalant pour l ulcère veineux (se reporter au paragraphe «soins infirmier de l ulcère»). La prophylaxie antitétanique doit être à jour. Mesures hygiéno-diététiques : Elles visent à corriger les facteurs étiologiques de la maladie artérielle. La contention élastique Contrairement à l ulcère veineux, est contre-indiquée car elle majore l ischémie distale. Chirurgie et radiologie interventionnelle : 5
6 Le traitement chirurgical fait appel aux techniques de pontage à l aide de greffon veineux ou prothétiques, d endartériectomies. Des gestes d angioplasties endoluminales avec ou sans pose de stent peuvent aussi être réalisés. Les indications chirurgicales sont prises en fonction des résultats des examens, artériographiques et en fonction du terrain vasculaire général du patient. Le traitement médical Il est représenté par les vasodilatateurs et les analogues de la prostacycline ; la prostacycline est indiquée en cas d ischémie grave avec contre-indication chirurgicale. Prévention de l ulcère d origine artérielle Elle résulte de la prévention et de la correction des facteurs de risque artériels. Evolution de l ulcère artériel Si la restauration d une circulation artérielle suffisante n est pas possible et si les facteurs de risque artériel ne sont pas corrigés, l ulcère s aggrave, ce qui peut conduire à l amputation ou à une surinfection de type gangrène. Dans les autres cas, l évolution est favorable mais des récidives, liées à l évolution du terrain artéritique, sont fréquentes. L ulcère par angiodermite nécrotique Physiopathologie L ulcère par angiodermite nécrotique résulte d une microangiopathie non inflammatoire associée à un infarcissement artériolaire (artériolosclérose). Caractéristiques cliniques L ulcère : L angiodermite nécrotique débute brutalement, souvent à la suite d un traumatisme minime, par une plaque purpurique ou livédoïde qui évolue rapidement vers une nécrose noirâtre puis vers une ou plusieurs ulcérations superficielles qui peuvent confluer en un ulcère superficiel. Les bords sont irréguliers en «carte de géographie» et ont une coloration violacée, livédoïde, caractéristique. Elle a une localisation suspendue à la face antéroexterne de la jambe. La douleur est spontanément intense, entraînant la perte du sommeil et, souvent, une altération rapide de l état général surtout chez la personne âgée. Le contexte clinique : L angiodermite nécrotique survient principalement chez la femme après 60 ans et sur un terrain d hypertension artérielle instable et/ou de diabète. L examen clinique : 6
7 La palpation de la zone péri-ulcéreuse est très douloureuse. Les pouls périphériques sont habituellement conservés. Les examens complémentaires Ils vont montrer le plus souvent la normalité des grands axes vasculaires artériels et veineux, mettant tout au plus en évidence une athéromatose sans sténose serrée. Une biopsie cutanée profonde permettra d éliminer une affection vasculaire inflammatoire (périartérite noueuse) ou, en association au bilan dysimmunitaire, des ulcérations liées à un syndrome des anticorps anti-phospholipides (primitif ou secondaire à un lupus érythémateux), voire une exceptionnelle calciphylaxie. Traitement de l ulcère par angiodermite nécrotique En raison de la douleur intense, l hospitalisation est la règle. Elle permet d instaurer un traitement antalgique énergique qui peut faire appel aux antalgiques de grade II de l OMS (tramadol, paracétamol codéïné) et même aux morphiniques. Traitement de la plaie elle-même : Le traitement infirmier est le plus souvent impossible à la phase aiguë en raison de la douleur intense provoquée par les soins locaux. Il se limitera, alors, à l application de pansements gras (tulles vaselinés) et à des séances de détersion douce dans des bains. Une auto-greffe de peau sous anesthésie locale permet une sédation rapide de la douleur et, le plus souvent une cicatrisation en quelques semaines. Mesures générales : Il s agit du contrôle d une hypertension artérielle ou d un diabète éventuellement associés. Evolution de l ulcère par angiodermite nécrotique En l absence de greffes précoces, le processus inflammatoire et l ulcération s étendent puis, après quelques semaines ou mois, une guérison spontanée survient. Les récidives sont fréquentes. Complications des ulcères de jambe Retentissement général de l ulcère En raison de sa chronicité et des pansements fréquents qu il nécessite, l ulcère a un retentissement psychoaffectif et social important et sous-évalué. La douleur des ulcères artériels et de l ulcère par angiodermite peut entraîner des troubles du sommeil et de l alimentation à prendre en compte dans la prise en charge globale du patient. Eczéma de contact 7
8 Avant l avènement des nouveaux pansements, c était une complication fréquente des ulcères de jambe, surtout des ulcères d origine veineuse en raison du grand nombre de produits topiques utilisés dans cette affection chronique. Il se manifeste sous la forme d un érythème vésiculeux, prurigineux, limité au début à la zone d application du produit mais pouvant diffuser à distance par la suite. Les principaux allergènes en cause sont le baume du Pérou, la néomycine, certains antiseptiques, la lanoline, les parfums et les conservateurs. Le diagnostic étiologique repose sur la réalisation de tests épicutanés adaptés (voir : eczéma de contact). Le diagnostic différentiel avec une dermite de stase est parfois difficile en raison de l intrication fréquente des deux mécanismes. La surinfection microbienne La présence de germes sur un ulcère est un phénomène non pathologique (colonisation) et ne justifie pas de prélèvements bactériologiques ni de traitement antiseptique ou antibiotique systématiques. Cependant, dans certains cas, l ulcère peut représenter la porte d entrée d une infection cutanée patente. Il faut y penser devant : - un écoulement verdâtre, - une odeur nauséabonde, - une augmentation de la douleur locale, - une inflammation des bords (symptôme et signe non spécifiques), - une lymphangite, - de la fièvre. Il peut s agir d une dermohypodermite bactérienne, souvent un érysipèle liée à une infection streptococcique (voir : érysipèle), d une fasciite nécrosante, d un tétanos (prévention systématique par vaccination chez les malades non immunisés), d une gangrène gazeuse (anaérobies) au cours des ulcères artériels. Les lésions ostéo-articulaires Les troubles vasculaires peuvent être à l origine de modifications ostéo-articulaires très fréquentes. Il peut s agir d une périostite puis d une ostéopériostite aboutissant à l ankylose de la cheville. De plus, les positions antalgiques sont souvent à l origine d attitudes vicieuses parfois très difficiles à corriger. L hémorragie Elle est surtout le fait des ulcères d origine veineuse lors de la rupture d une varice. C est une hémorragie en nappe, non pulsatile. Elle est spectaculaire mais une simple compression prolongée avec surélévation du membre est généralement suffisante pour la traiter. Cancérisation Elle est rare mais non exceptionnelle. Elle survient sur des ulcères très chroniques, évoluant depuis de nombreuses années. Les signes qui doivent y faire penser sont : - la chronicité de l ulcère sans aucune amélioration malgré un traitement bien conduit, - l apparition de douleurs, - l hémorragie locale - le bourgeonnement excessif. 8
9 Il peut être difficile de distinguer un ulcère cancérisé d un cancer cutané primitif d aspect ulcéreux. Le diagnostic est fait par la biopsie, souvent en plusieurs endroits de l ulcère. La radiographie osseuse est systématique à la recherche d une extension profonde. L examen clinique recherchera une adénomégalie inguino-crurale, témoignant d une extension ganglionnaire du carcinome. Traitement infirmier des ulcères de jambe En l absence d infection cliniquement patente, une antibiothérapie générale n est jamais indiquée. En raison des risques de sensibilisation et du risque de sélection de germes virulents, les antibiotiques locaux ne sont pas, non plus, indiqués. Les antiseptiques peuvent être utilisés mais pendant une courte période uniquement, en raison du risque allergénique et de leur activité cytotoxique qui ralentit le processus de cicatrisation. Le traitement de l ulcère de jambe comprend trois phases. A chaque phase, la réalisation des soins locaux et leur efficacité sont étroitement subordonnées à une bonne coopération entre le médecin, le personnel infirmier et le patient lui-même. La phase de détersion Le soin débute par un nettoyage de l ulcère réalisé à l eau savonneuse ou, pendant une courte période, au moyen d un antiseptique, par bains ou par toilettage. La détersion proprement dite a pour objectif d enlever les débris cellulaires et croûteux accumulés à la surface de l ulcère. Elle est avant tout mécanique, au bistouri, à la curette et aux ciseaux, éventuellement, et pendant une période limitée, sous couvert d une anesthésie locale (crème EMLA) et d antalgiques généraux, parfois même, en cas de douleurs trop importantes sous anesthésie loco-régionale. L utilisation des crèmes protéolytiques est pratiquement abandonnée au profit des pansements de nouvelle génération. Ainsi, lorsque l ulcère est sec, la détersion mécanique est complétée par l application, dans le fond, d un gel de cellulose (hydrogels). Il peut être laissé en place 48 heures sous un pansement secondaire peu absorbant (plaque d hydrocolloïde). A l inverse, lorsque l ulcère est exsudatif, il sera recouvert d un pansement à base d alginate de calcium ou d hydrofibres. En cas de surinfection ou d écoulements malodorants, on utilise des pansements au charbon actif ou à l argent à changer quotidiennement. La phase de bourgeonnement Elle fait appel à l utilisation de 3 types de produits : - les tulles neutres, dépourvus de substances sensibilisantes telles le baume du Pérou ou des antibiotiques ; - les plaques d hydrocolloïdes ou d hydrocellulaires qui peuvent être laissées en place jusqu à cinq jours et qui permettent, par leurs propriétés de membrane semi-perméable, de favoriser le bourgeonnement en maintenant une humidité, un ph et un degré d oxygénation optimaux ; - les alginates de calcium qui ont en plus une activité hémostatique. La phase de réépidermisation 9
10 Elle fait appel au même type de produits que précédemment. Cependant, dans un nombre important de cas, il peut être proposé au malade la réalisation de greffes en pastille ou en résille qui vont avoir un effet antalgique puissant et permettre de raccourcir la durée de cicatrisation. L utilisation de substituts cutanés fait actuellement l objet d études. Les dérivés de facteurs de croissance (PDGF) utilisés localement, très coûteux, n ont pas montré leur efficacité dans le traitement des ulcères veineux. Le traitement de la peau péri-ulcéreuse La peau péri-ulcéreuse doit être protégée de la macération par l application de pâte à l eau en cas d utilisation de pansement hydrocolloïdes adhésifs. Les lésions de dermite de stase sont nettoyées puis recouvertes de topiques gras ou de pâte à l eau voire d un dermocorticoïde de niveau II ou III pendant quelques jours sous surveillance locale quotidienne. La contention veineuse, à condition que l état artériel sous-jacent le permette, favorise la régression des hypodermites inflammatoires. Les traitement locaux (drainage lymphatique, contention) ne peuvent que limiter l aggravation de la lipodermatosclérose et les lésions de capillarite qui sont définitives. 10
11 Tableau I : physiopathologie de l ulcère veineux au niveau microcirculatoire (donnée à titre indicatif). -théorie du piégeage leucocytaire : ralentissement du flux microcirculatoire avec activation des leucocytes au niveau de l endothelium capillaire et relargage de cytokines (dont le TNF alpha), de leucotriènes, d enzymes protéolytiques, de radicaux superoydes, responsables d hyperperméabilité capillaire et de souffrance capillaire et tissulaire -théorie du manchon de fibrine péri-capillaire : distension du lit capillaire avec fuite de fibrinogène qui se polymérise en formant un manchon de fibrine peri-capillaire et une barrière à la diffusion des nutriments et de l O2. - hyperperméabilité capillaire, d où hémoconcentration capillaire, accentuation de la viscosité sanguine et microthromboses responsables d une raréfaction capillaire. -autres mécanismes : inactivation de facteurs de croissance responsables du maintien de l intégrité tissulaire, surcharge secondaire du réseau lymphatique aggravant les lésions, dégradation de la matrice extracellulaire par des métalloprotéinases.. La raréfaction capillaire, quelque soit le mécanisme invoqué est responsable d un ischémie microcirculatoire localisée et de l ulcère veineux. 11
12 Points clés La plupart des ulcères de jambe sont de cause vasculaire par hyperpression veineuse ou insuffisance artérielle. Les ulcères les plus chroniques sont les ulcères post thrombotiques. La douleur et l extension nécrotique sont les signes d orientation vers une cause artérielle (ulcère artériel ) ou artériolaire (angiodermite nécrotique). Les modifications de la peau péri-ulcéreuse sont plus fréquentes dans les ulcères de cause veineuse. La surinfection et l allergie de contact aux topiques utilisés sont les principales complications des ulcères veineux, hormis le risque de retard à la cicatrisation et de récidive après fermeture. Le traitement chirurgical doit être envisagé en priorité dans les ulcères par insuffisance veineuse chronique superficielle, dans les ulcères de cause artérielle et dans l angiodermite nécrotique. La contention veineuse diurne est obligatoire, à tous les stades de l ulcère d origine veineuse. La prise en charge d un ulcère d origine artérielle est multidisciplinaire. Dans tous les ulcères, la vérification de la validité de la vaccination anti-tétanique est obligatoire. Les moyens du traitement local doivent être adaptés aux trois phases évolutives successives de l ulcère : détersion, bourgeonnement, épithélialisation. Une bonne hygiène de vie, la rééducation de la marche et le traitement des facteurs aggravants ou étiologiques (tabac, HTA, diabète, ) sont les compléments indispensables aux traitements spécifiques de l ulcère artériel. Pour l exécution des soins locaux la coopération entre le médecin, le personnel soignant et le patient est primordiale. 12
B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailAIDE À LA PRESCRIPTION ET A L UTILISATION DES PANSEMENTS DISPONIBLES À LA PUI
INTRODUCTION: Les plaies ne cicatrisent pas grâce aux pansements, le traitement d une plaie se fait par le traitement de la cause : - Mise en décharge des escarres - Equilibre glycémique des diabétiques
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailLes hauts et les bas des «bas»
La face cachée de la phlébologie Les hauts et les bas des «bas» Madeleine Duclos 5 O M me V. Harris travaille de longues heures debout. En fin de journée, elle ressent des lourdeurs aux membres inférieurs.
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailAprès l intervention des varices. Informations et conseils sur les suites du traitement. Réponses aux questions fréquemment posées
Brochure à l attention du patient Après l intervention des varices Informations et conseils sur les suites du traitement Réponses aux questions fréquemment posées Les suites de l intervention En résumé
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailB08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs
B08-1 B08 - CAT devant une thrombose veineuse profonde des membres inférieurs 1. I n t r o d u c t i o n La thrombose veineuse profonde (TVP) des membres inférieurs est indissociable de sa complication
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailPRESCRIPTION PAR LE KINÉSITHÉRAPEUTE EN RÉÉDUCATION VEINO-LYMPHATIQUE : FAISONS LE POINT
PRESCRIPTION PAR LE KINÉSITHÉRAPEUTE EN RÉÉDUCATION VEINO-LYMPHATIQUE : Agnès BOURASSIN 1 1 Kinésithérapeute libéral Évry (91) Texte issu de la 1 ère Journée de rééducation vasculaire de l AKTL Hôpital
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailsur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip
À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance
Plus en détailgracieuseté de: Une compressothérapie et des jambes plus en santé
gracieuseté de: SIGVARIS Corp. 4535, rue Dobrin Ville St-Laurent (Québec) H4R 2L8 Canada 1.800.363.4999 Pour un détaillant SIGVARIS certifié près de chez vous, veuillez visiter le site www.sigvaris.ca
Plus en détailINFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU
INFORMATION CONCERNANT L OSTEOTOMIE DU GENOU Votre état nécessite la réalisation d'une ostéotomie au niveau du genou. Cette fiche est destinée à vous en expliquer les grands principes, le but et les bénéfices
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLa maladie de Buerger Thromboangéite oblitérante
Thromboangéite oblitérante La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailTenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active!
aide à guérir. TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! Soin de plaies Tenderwet active, le pansement irrigopour la détersion efficace et pratique de toutes La
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE
LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie
Plus en détailPREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad
PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailDéclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012
Assurance voyage et soins médicaux Déclaration médicale Prise d effet le 1 er octobre 2012 Nom : Date de naissance : JJ / MM / AAAA Numéro de membre : Numéro de police : DIRECTIVES POUR LE PROPOSANT IL
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP
INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailContention Veineuse chez la Femme Enceinte
IVème Journée d Actualités Interdisciplinaires en Gynécologie Obstétrique Hémostase et Anesthésie Avec le soutien du Groupe d Etudes sur l Hémostase et la Thrombose (GEHT) et la Société Française de Médecine
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailFeuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté
Feuille d instructions destinée aux agents quant à la façon de remplir le questionnaire médical VacanSanté Conseils pratiques : > Nous voulons que votre client puisse remplir le questionnaire médical sans
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailA. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier
A. Bourgeois SMIT. CHRU de Montpellier Homme, 41 ans, sans ATCD Séjour en Guyane (Cayenne et alentours) du 28/12/19 au 12/01/10 Hospitalisé du 09 au 11/02/10 pour érysipèle d évolution défavorable sous
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailPATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ
PATHOLOGIE CARDIO VASCULAIRE DES VOYAGEURS D. HOROVITZ Les étapes du transport Y a - t - il un cardiaque dans l avion? CONTRAINTES CX VX L HYPOXIE LES ACCELERATIONS EFFETS DE L ALTITUDE LOI MARIOTTE PV
Plus en détailLes eczémas: l approche au cabinet
Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détail