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Transcription:

Actualités médicals Rchrchs médicals Nouvlls tchnologis Rvu d prss - Articls scintifiqus Mai 2009 N 0002 Gratuit Ds antibiotiqus combinés promtturs contr la tubrculos La séqunc génétiqu d la gripp A(H1N1) décodé Génériqus : la CNAM maintint la prssion C qu la gripp spagnol put nous apprndr sur l épidémi actull à virus A (H1N1) L poids d la chirurgi dntair Echographi à l'aid... d'un téléphon mobil Facultés d médcin: Ls hospitalounivrsitairs tranchnt Tout c qu vous voulz savoir sur l hématom xtradural cérébral P19 MdSpac Magazin st un rvu scintifiqu spécialisé n scincs médicals t actualités -.MdSpac.nt

Magazin du portail médical francophon Edito : La duxièm édition d MdSpac Magazin st au rndz vous, c magazin scintifiqu créé par ls profssionnls d santé t dstiné à lurs collègus partout dans l mond francophon. Rstz informr d touts ls actualités médicals t ds rchrchs réalisés dans ls domains ds scincs médicals. MdSpac.nt Administrator Equip d rédaction : L contnu du magazin st rédigé par ls mmbrs du portail médical francophon (MdSpac.nt), la list ds contributurs st si longu à citr dans cs pags. MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 2

Sommair : Actualités Médicals Rchrchs Médicals - Génériqus : la CNAM maintint la prssion.. 04 - C qu la gripp spagnol put nous apprndr sur l épidémi actull à virus A (H1N1).. 05 - Ds antibiotiqus combinés promtturs contr la tubrculos..08 - La séqunc génétiqu d la gripp A(H1N1) décodé.. 08 Rvu d prss - L poids d la chirurgi dntair..09 - Facultés d médcin: Ls hospitalounivrsitairs tranchnt.. 09 Hight Tch - Echographi à l'aid... d'un téléphon mobil.. 10 - E-Ball - Concpt du plus ptit ordinatur.. 15 Dossirs - Tout c qu vous voulz savoir sur l hématom xtradural cérébral.. 19 - La prévntion bucco-dntair 18 - Qustion du mois.. 19 - Cas cliniqu du mois.. 20 - Caricatur médical.. 21 - Sujts ds forums MdSpac.nt.. 21 MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 3

Actualités Médicals Génériqus : la CNAM maintint la prssion En 2008, l taux pénétration ds génériqus a un nouvll fois franchi l suil ds 80 %. Pour l'xrcic n cours, l'assuranc-maladi tabl sur ds prspctivs idntiqus. Un objctif convntionnl «ambitiux» mais «attignabl». En 2008, l taux d substitution au sin du réprtoir génériqu a attint 82 % (contr 81,7 % n 2007). «Un nivau élvé t satisfaisant, comparabl à clui d nos voisins uropéns», s félicit Frédéric van Rokghm, dirctur général d l'uncam (1). Sur l trrain, la fort implication ds profssionnls d santé (pharmacins t médcins) t l'impact du dispositif «tirs payant contr génériqus» ont été ls catalysurs d c légr accroissmnt. Cs douz drnirs mois, ls génériqus ont ainsi prmis à l'assuranc-maladi d'économisr 905 millions d'uros (contr 734 millions n 2007), auxquls il convint d'ajoutr ls 140 millions d'uros d'économis générés par ls médicamnts sous TFR (2). Pour autant, ls forts disparités géographiqus n matièr d substitution ds spécialités inscrits au réprtoir, ntndz la list ds produits génériqus (3), démontrnt qu'il st possibl d fair miux... Ctt anné, la CNAM maintindra donc la prssion auprès ds principaux acturs concrnés (assurés, pharmacins, médcins). Pour 2009, l'objctif national fixé par ls partnairs convntionnls tnd à maintnir l taux d pénétration ds génériqus à un nivau supériur à 82 %. Un objctif «ambitiux» tant ls margs d progrssion dvinnnt étroits au-dlà d 80 %, rlèv-t-on à la CNAM. Sans parlr d l'intégration d nouvaux produits dans l réprtoir qui a pour fâchux fft d'infléchir mécaniqumnt l taux d'utilisation ds génériqus. Pour attindr l but qu'll s'st fixé, l'assuranc-maladi vint donc d drssr un list d 15 moléculs cibls (avnant n 4). Parmi clls-ci figurnt notammnt nuf nouvlls moléculs (pantoprazol, prindopril, vnlafaxin, tc.) qui rprésntnt un potntil d'économis d 105 millions d'uros. Afin d gommr ls famuss inégalités régionals, l'assurancmaladi prévoit égalmnt d'élargir l dispositif «tirs payant contr génériqu» à l'nsmbl du trritoir (14 départmnts n l'ont pas ncor mis n plac). Et pour caus. Il xist près d 20 points d'écart ntr l prmir t l drnir départmnt (4). Pour ls accompagnr dans lur démarch, ls Délégués d l'assurancmaladi (DAM) visitront à nouvau ls profssionnls d santé dans l courant d l'anné. Ls médcins mis à contribution Dans c contxt, ls médcins dvront apportr lur pirr à l'édific. Il lur sra dmandé d procédr à un rapport coût/fficacité théraputiqu dans l cadr d'objctifs convntionnls, mais aussi d favorisr la prscription d médicamnts disposant d'un équivalnt génériqu. «Ds contrats d'amélioration ds pratiqus individulls (CAPI) pourront êtr signés dès l mois prochain ntr l'assuranc-maladi t ls médcins volontairs, affirm Frédéric van Rokghm. Cs drnirs sront rémunérés pour attindr divrs objctifs, dont la prscription dans l champ du réprtoir génériqu.» Avc la cris économiqu qui s'accompagn d'un diminution substantill ds rctts d la Sécurité social, ls médicamnts génériqus rprésntnt plus qu jamais un lvir vital pour ls financs d l'assurancmaladi. Mais il y a ds raisons d'spérr. Ls quatr prochains annés coïncidnt ffctivmnt avc la fin d la protction brvtair d nombruss moléculs, particulièrmnt coûtuss n trms d dépnss d santé. D fait, ls économis réalisés grâc aux génériqus pourraint doublr d'ici quatr ans, comm l soulign la CNAM. Evalué à 500 millions d'uros n 2002, c marché s'établit désormais à 1,8 milliard d'uros. @Chaima MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 4

C qu la gripp spagnol put nous apprndr sur l épidémi actull à virus A (H1N1) En matièr d pandémi grippal, l épisod d 1918, rsté dans l histoir sous l nom d gripp spagnol, st clui qui a l plus marqué l humanité. La gripp spagnol n a pas été la prmièr pandémi grippal puisqu ll a été précédé par d nombruss épidémis d grand amplur (notammnt cll d 1889-1891 du à un virus H2N2 qui aurait fait 6 millions d morts). Mais c st la prmièr qui a été suffisammnt étudié pour laissr un trac dans l histoir d la médcin t dans l histoir tout court. Bin qu la répétition n soit pas un règl absolu n épidémiologi comm n économi, il st logiqu d rchrchr dans l histoir d la gripp spagnol ds nsignmnts pour la pandémi d gripp A (H1N1) qui s profil dpuis qulqus smains, d mêm qu l on scrut ls causs t ls conséquncs d la cris d 1929 pour miux comprndr la cris économiqu actull. Nous tntrons d apportr notr pirr à ct édific n abordant qulqus qustions fondamntals posés par la pandémi d 1918. D où vnait l virus d 1918? Lorsqu l épidémi a frappé l mond à la fin d la prmièr gurr mondial, l hypothès la plus communémnt admis était qu l affction était lié au bacill d Pfiffr connu à l époqu sous l nom d «bacill d l influnza» t aujourd hui comm Hamophilus influnza. Mais rapidmnt un «virus filtrant» a été soupçonné notammnt à partir d xpérincs montrant qu l pouvoir pathogèn ds crachats d malads prsistait après passag par ds filtrs Chambrland arrêtant ls bactéris. C n st toutfois qu au miliu ds annés 30 qu l virus d la gripp fut idntifié, cultivé n 1940 t obsrvé au microscop élctroniqu n 1943. On sait aujourd hui qu il s agit d un virus A (H1N1) qui a pu êtr séquncé à partir d prélèvmnts faits sur 5 victims d l épidémi d 1918 t mêm rconstitué au laboratoir. L origin géographiqu du virus d 1918 n st pas connu avc crtitud. On sait qu ls prmirs cas ont été décrits dans l oust ds Etats-Unis n mars 1918 au camp Funston d l armé américain. Mais crtains historins d la médcin évoqunt ds cas chinois qui auraint précédé la propagation d la maladi aux Etats-Unis ou un épidémi analogu n 1916 dans un camp d soldats britanniqus dans l Pas d Calais. Sans qu on dispos d crtituds sur c point l un ds hypothèss l plus communémnt admiss st qu c virus H1N1 d 1918 provnait d souchs aviairs sauvags s étant adaptés à l homm put êtr après passag chz l porc. L nouvau virus A (H1N1) rsponsabl ds cas actuls aurait lui aussi ds séquncs génétiqus communs avc crtains virus aviairs t porcins. Commnt s st propagé la gripp spagnol? On n sait nttmnt plus sur ctt qustion qu sur la précédnt. L épidémi, après avoir frappé ls Etats-Unis n mars 1918, a attint la Franc n avril à la favur du débarqumnt du corps xpéditionnair américain puis l rst d l Europ t l Asi t nfin l hémisphèr sud n mai. Après ctt prmièr vagu du printmps 1918, la gripp spagnol st réapparu n Europ t aux Etats-Unis à l automn. La diffusion d l épidémi actull (d l Amériqu du Nord vrs l Europ) rappll pour l instant cll d la gripp spagnol, l batau ayant été rmplacé par l avion t ls mouvmnts d troups par l tourism t ls voyags d affair. La référnc avc l épisod d 1918 xpliqu bin la craint xprimé par crtains rsponsabls d l OMS d voir la maladi s dévloppr dans MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 5

l hémisphèr sud durant l hivr austral pour rvnir dans l hémisphèr nord à la fin d l automn 2009 ( Sit d l OMS. Alrt t action n cas d épidémi t d pandémi. ). Qulls étaint la morbidité t la mortalité d la gripp spagnol? Sur c point ls stimations rposnt sur c qui a été obsrvé dans ls pays occidntaux, ls statistiqus étant quasi inxistants dans ls régions asiatiqus ou africains touchés. Il smbl qu lors d la prmièr vagu d la pandémi, la contagiosité était majur (plus d 20 % d la population attint) avc un mortalité rlativmnt faibl. La duxièm vagu tout aussi contagius, a attint ds sujts épargnés par la prmièr (c qui démontr bin qu il s agissait d la mêm maladi) t s st accompagné d un mortalité élvé tout à fait inhabitull au cours d la gripp. Ls pourcntags d décès rapportés parmi ls sujts attints oscillnt ntr 1 t 3 % dans crtains séris, un pu moins d 10 % dans l armé français, 15 % dans crtains régions ds Etats- Unis t mêm 60 % chz ls Inuits d Alaska (contr nviron 1 pour 1 000 avc la gripp saisonnièr). Globalmnt si l on stim qu un milliard d sujts ont été infctés par l virus (la moitié d la population mondial d l époqu) t qu l nombr d morts s st situé ntr 20 t 100 millions, la létalité d l affction put-êtr stimé ntr 2 t 10 %, c qui laiss on l voit ds margs importants. Dans l détail, pour ls pays occidntaux pour lsquls ls statistiqus smblnt plus fiabls on aurait compté nviron 240 000 décès n Franc (0,5 % d la population), 225 000 n Grand Brtagn, 500 000 aux Etats-Unis. Un chos st sûr, contrairmnt aux autrs pandémis grippals (notammnt clls d 1957 [à H2N2 qui aurait fait 4 millions d morts] t d 1968 [à H3N2 qui aurait tué 2 millions d prsonns]) c sont surtout ls juns nfants t ls adults d 20 à 40 ans qui sont décédés lors d l épidémi d 1918. L mêm phénomèn smbl s obsrvr au cours d l épisod actul. Dux typs d hypothèss ont été avancés pour xpliqur ctt mortalité xcptionnllmnt élvé : ds complications bactérinns favorisés par ls privations d la gurr t la promiscuité ambiant ou un virulnc spécifiqu d c virus H1N1. L fait qu la mortalité s soit considérablmnt accru ntr ls dux vagus d l épidémi alors qu l nvironnmnt n avait pas évolué défavorablmnt st plus n favur d un létalité spécifiqu du virus sans dout acquis à l occasion d mutations. Slon ls prmièrs donnés dont on dispos sur la nouvll gripp A (H1N1), sa contagiosité smbl infériur à cll d la gripp spagnol ou d la gripp saisonnièr, puisqu plus d un mois après ls prmirs cas (idntifiés fin mars 2009 au Txas) nous n comptions ncor qu nviron 4400 cas l 9 mai. On n put toutfois xclur qu ls méthods actulls d survillanc épidémiologiqu t virologiqu aint prmis d captr un phas tout initial d l épidémi rsté inapparnt lors d l épisod d 1918. Sur la létalité d la nouvll gripp A (H1N1) nous n disposons d chiffrs fiabls qu pour ls Etats-Unis, l Canada t l Europ. Ls donnés provnant du Mxiqu (foyr apparnt d l épidémi) n autorisnt pas à établir un taux d mortalité, l nombr d cas confirmés biologiqumnt étant probablmnt très infériur à la morbidité réll. Si l on s bas sur ls chiffrs provnant ds pays occidntaux, la mortalité apparnt d l affction st aujourd hui plus proch d cll d la gripp saisonnièr (4 décès pour un pu plus d 3000 malads au 11 mai 2009) qu d cll d la duxièm vagu d la gripp d 1918. Commnt la gripp spagnol a-t-ll disparu? Comm son origin, ls causs d sa disparition n 1919-1920 dmurnt incrtains. L immunisation d la population récptiv st probablmnt l un ds phénomèns pouvant xpliqur ctt xtinction. Mais st-c l sul? La réaction ds autorités sanitairs fac à l épidémi actull st-ll adapté? Ctt qustion st l objt dpuis qulqus jours d débats parfois vifs dans ls médias. Pour tntr d y répondr, il st indispnsabl d n pas occultr l épisod d 1918 qui dmur l modèl d LA grand pandémi t qui rapplons-l a MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 6

marqué suffisammnt ls rsponsabls sanitairs pour conduir à la création d l ancêtr d l OMS par la Société ds Nations t du ministèr d la santé n Franc. Avc ls moyns théraputiqus dont nous disposons (anti-viraux, antibiotiqus pour combattr ls surinfctions, réanimation pour ls forms gravs) t ls arms prévntivs qu nous possédons d ors t déjà (msurs d isolmnt t d protction) ou qu nous aurons sans dout dans qulqus mois (vaccin) il st crtain qu la létalité lié à un virus idntiqu à clui d 1918 dvrait êtr snsiblmnt infériur à cll obsrvé au début du siècl drnir. D plus, ls plans d lutt contr la pandémi mis n plac dans ls pays dévloppés dvraint prmttr non pas d mpêchr à coup sûr la pandémi mais d n étalr l pic épidémiqu pour évitr un débordmnt complt d nos systèms d santé par un afflux trop important d malads. Mais malgré cs nots optimists, ls déclarations récnts ds rsponsabls d l OMS (évoquant la possibilité d dizains d millions d morts) t ls msurs miss n œuvr dans ls grands pays dévloppés nous smblnt tout à fait adaptés à la gravité potntill d ctt pandémi naissant (mêm si ll n st pas crtain). Et n tout état d caus, plus rsponsabls qu c à quoi nous avions assisté lors d l affair du sang contaminé ou d la canicul d 2003. @Rostt Rchrchs Médicals L risqu d cataract sous corticoïds inhalés n srait significatif qu'n cas d corticothérapi oral associé Ds équips australinns ont évalué la rlation à long trm ntr traitmnts corticoïds inhalés t pr os t risqu d cataract, n analysant ls donnés d'un étud d cohort conduit n population général chz ds sujts d 49 ans t plus, la Blu Mountains Ey Study. La population initial d ctt étud longitudinal comptait, ntr 1992 t 1994, 3 654 participants. Ds qustionnairs rmplis au cours d'ntrtins n têt-à-têt ont prmis d précisr l'utilisation parmi cs sujts, d corticoïds inhalés t/ou oraux n distinguant cux qui n prnaint plus c typ d traitmnt mais l'avaint rçu pndant au moins un mois par l passé (utilisaturs «passés») t cux qui étaint sous corticoïds à l'inclusion (utilisaturs «actuls») t avaint poursuivi c traitmnt pndant au moins un mois. Parmi ls 3 654 participants initialmnt inclus, 2 335 ont été xaminés au bout d 5 ans, ntr 1997 t 1999, t 1 952 au bout d 10 ans, ntr 2002 t 2004. L'âg moyn ds participants était d 63,1 ans pour cux ayant utilisé un corticoïd inhalé (70 % d sujts ayant signalé un antécédnt d'asthm), d 63,2 ans chz cux ayant rçu un corticoïd oral (46 % ayant rapporté un antécédnt d'asthm) t d 63,5 ans chz cux n'ayant rçu aucun corticothérapi. La population initial comptait 103 utilisaturs actuls t 120 utilisaturs passés d corticoïds inhalés, 31 utilisaturs actuls t 147 utilisaturs passés d corticoïds par voi oral ; 66 participants avaint, à un momnt donné, utilisé à la fois un corticoïd inhalé t un corticoïd pr os. Après ajustmnts sur l'âg t l sx, un risqu accru d cataract sous-capsulair postériur a été rtrouvé n association avc la corticothérapi inhalé (odds ratio, OR = 2,50 IC à 95 % 1,33-4,69), t la corticothérapi oral (OR = 4,11 ; 1,67-10,08) pour ls utilisaturs «actuls». Un association xistait égalmnt ntr corticothérapi inhalé (OR = 2,04 ; 1,21-3,43) t corticothérapi oral (OR = 3,45 ; 1,26-9,43) t augmntation du risqu d cataract nucléair. En rvanch, l risqu d cataract cortical MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 7

n'a pas smblé êtr influncé par la corticothérapi qull qu soit sa form. L'analys stratifié slon ls sous-groups, utilisaturs/non-utilisaturs, d corticoïds par voi oral, t après ajustmnts multipls (sur l'âg, l sx, l nivau d'éducation, l tabagism, l'xistnc d'un HTA, d'un diabèt), n montr cpndant un fft d la corticothérapi inhalé sur l'incidnc d la cataract sous-capsulair postériur t d la cataract nucléair qu chz ls participants ayant rçu égalmnt un corticothérapi oral. L risqu d cataract sous-capsulair incidnt à 10 ans n'était significatif qu chz ls participants ayant utilisé à la fois ds corticoïds inhalés t ds corticoïds oraux (OR après ajustmnts multipls = 4,76 ; 2,59-8,74 n comparaison ds participants n'ayant jamais utilisé ls dux forms d corticoïds). Ctt étud, fort d'un suivi d 10 annés, mt l'accnt sur l risqu élvé, à long trm, d cataract sous-capsulair postériur t d cataract nucléair lorsqu la corticothérapi inhalé st accompagné d'un corticothérapi oral. L ptit nombr d participants utilisaturs à la fois d corticoïds inhalés t pr os, t l manqu d donnés intérssant ls doss t ls durés, limitnt l'intrprétation ds résultats. @Admin La séqunc génétiqu d la gripp A(H1N1) décodé Ds chrchurs du Laboratoir national d microbiologi d Winnipg sont rsponsabls d ctt découvrt, résultat d la prmièr étud d la séqunc génétiqu du virus dans l mond. La ministr d la Santé, Lona Aglukkaq, a tnu à félicitr ls scintifiqus pour ctt réalisation xcptionnll, qui prmt d miux comprndr l fonctionnmnt d la gripp A. «C'st un prmièr mondial t un pruv d l'xcllnc scintifiqu canadinn», a- t-ll fait valoir lors d'un point d prss, à Ottaa. Pour l'administratur n chf d la santé publiqu du Canada, l doctur David Butlr-Jons, il s'agit d'un pas d géant pour la compréhnsion d ctt form d'influnza, d ss mods d transmissions t d ss mutations possibls. Qulqu 165 infctions attribuabls à la gripp À ont été confirmés au Canada dpuis la mi-avril. Prsqu tous ls malads canadins souffrnt d'un form bénign d la maladi. La sul xcption st un jun fill d l'albrta qui st toujours hospitalisé. Maintnant qu'ils connaissnt la structur la structur du virus, ls autorités croint qu ls infctions plus gravs t ls décès constatés au Mxiqu sont put-êtr attribuabls à d multipls facturs étrangrs à la gripp ll-mêm, dont l'état préalabl d santé ds victims, lur bagag génétiqu t lur nvironnmnt. «C'st l'un ds grands qustions qu tout l mond s posait», a souligné l dirctur scintifiqu du laboratoir d Winnipg, l doctur Frank Plummr. Son équip a travaillé jour t nuit pour obtnir ls résultats dévoilés mrcrdi. Ls autorités sanitairs canadinns ont annoncé mrcrdi qu la souch du virus d la gripp A (H1N1) présnt au Canada était très smblabl à cll qui a ntraîné la mort d 29 prsonns au Mxiqu. Ls chrchurs tntnt actullmnt d décodr la souch du virus qui a infcté ds porcs d l'albrta t qui a poussé crtains pays, dont la Chin, à intrdir l'importation d produits dérivés d ct animal. MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 8

Ls autorités répètnt qu la consommation d viand n pos aucun risqu d contamination à la gripp t croint qu ls porcs malads constitunt un xcption. @Rostt L poids d la chirugi dntair touchant pratiqumnt touts ls disciplins n chirurgi dntair, mais aussi n médcin tll qu la cancérologi, la drmatologi buccal t nfin la cardiologi qui constitu un véritabl problèm d santé publiqu dans notr pays. Ls journés comprnnnt égalmnt ds atlirs d formation continu prmttant l'acquisition d tchniqus t d théraputiqus récnts pour tous ls praticins. L profssur Abdlhamid Abrkan, présidnt du comité scintifiqu ds journés, nous dira qu «la chirurgi dntair st dvnu aujourd'hui un locomotiv ds scincs médicals à Constantin. Et il n faut pas oublir qu la santé dntair st un problèm considérabl d santé publiqu n Algéri». @ Hammar Ls 2s journés intrnationals d formation continu d Constantin, qui s déroulnt dpuis lundi t s poursuivnt aujourd'hui, s tinnnt ctt anné sous l thèm «Pour un approch global du patint». La manifstation s'st ouvrt lundi n fin d'aprèsmidi au palais d la cultur Malk Haddad n présnc d'éminnts prsonnalités médicals t univrsitairs algérinns t françaiss ainsi qu d'invités vnant d plusiurs pays. Co-organisés par l départmnt d chirurgi dntair d la faculté d médcin d Constantin t la faculté d chirurgi dntair d Strasbourg (Franc), c pari lancé pour la prmièr fois n 2OO7 smbl avoir répondu aux attnts ds gns d la profssion si l'on n jug par l'assistanc rcord qui a pris part, mardi matin, à la conférnc introductiv sur l thèm d la rchrch à la cliniqu. «La dmand st très grand t on a u du mal à satisfair l plus grand nombr», dira l Dr Ghodban, présidnt du comité d'organisation. En fft, il y avait plus d'un cntain d praticins vnus ds quatr coins du pays, quatorz prsonnalités scintifiqus vnus d Strasbourg, Paris, Clrmont-Frrand, Gnèv (Suiss) t du Liban, ds chirurgins dntairs vnus d la Tunisi t du Maroc ainsi qu ds spécialists n oncologi, cardiologi t drmatologi invités pour ctt circonstanc. Cs journés sont animés par un vingtain d conférncs thématiqus t plus d'un quarantain d communications orals t affichés Facultés d médcin: Ls hospitalo-univrsitairs tranchnt... L Consil national ds dux syndicats autonoms ds hospitalo-univrsitairs s tindra aujourd'hui à Algr avc, pour ordr du jour, d décidr d l'avnir du mouvmnt d contstation ntamé dpuis l 21 mars drnir par ls blouss blanchs. «L Consil national sra consacré à l'analys d la situation actull. Nous allons égalmnt tranchr lors d c consil sur l'avnir d la contstation», confi l Dr Djijli du Syndicat national ds maîtrsassistants d scincs médicals (SNMASM). Ls rgards ds blouss blanchs t ds étudiants n médcin sont tournés ainsi vrs ct événmnt qui s'annonc décisif. Pruv d l'intérêt d ctt réunion, la MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 9

présnc n forc d tous ls délégués syndicaux ds dix Facultés d médcin. Ls syndicalists auront à xaminr un possibl radicalisation d la contstation dans ls prochains smains, dans l but bin précis d fair plir la tutll. Avant mêm l début ds travaux du Consil national ds dux syndicats autonoms, un consnsus smblait s dégagr ntr ls syndicalists pour allr vrs un durcissmnt d la contstation. En trms plus simpls, un boycott non sulmnt ds xamns mais égalmnt ds cours t ds soins. L'approch d la fin d l'anné univrsitair réconfort cux qui n vulnt surtout pas laissr passr l'occasion pour mttr un maximum d prssion sur ls dux ministèrs d tutll t, n particulir, clui d l'ensignmnt supériur t d la Rchrch scintifiqu. Ls rsponsabls d c drnir ministèr sont confrontés cs drnirs jours à un monté n puissanc d la contstation ds étudiants n médcin, qui avaint tnu d nombrux rassmblmnts dans ls Facultés d médcin d'algr, Oran, Constantin t Annaba. L spctr d l'anné blanch commnc à affolr ls étudiants qui attndnt dpuis l 21 mars drnir d passr lurs xamns. L départmnt d Harraoubia Rachid avait tnté la smain drnièr d rassurr ls étudiants n écartant un rcours à l'anné blanch tout n promttant un prochain dénoumnt du conflit. Cs assurancs n'avaint pas réussi à convaincr ls concrnés. Samdi, ds cntains d'étudiants n médcin avaint tnu un rassmblmnt dvant la Faculté d médcin M'hamd Mahrzi (x-laprtin) à Algr, «pour attirr l'attntion sur lur situation». L Consil national ds dux syndicats autonoms annoncé pour aujourd'hui dvra d'aillurs évoqur, pour la prmièr fois dpuis l lancmnt du mouvmnt d contstation, l'anné blanch dans ls Facultés d médcin. L ministèr d tutll avait proposé un prolongmnt d l'anné univrsitair pour rattrapr l'accumulation ds xamns d cs dux drnirs mois. Un «solution» qui n fait pas l'unanimité. Ls syndicalists ont d'ors t déjà stimé qu l prolongmnt d l'anné univrsitair n'st pas la millur solution pour sortir d ctt situation d blocag. Il st à rapplr qu la principal rvndication ds blouss blanchs dmur l vrsmnt d la rétribution accordé aux hospitalo-univrsitairs, n commun accord ntr ls dux ministèrs d la Santé t clui d l'ensignmnt supériur. Slon ls organisations syndicals, l dossir d l'indmnité hospitalièr st actullmnt «glé» par ls srvics du Prmir ministr. Ls syndicalists sont catégoriqus : «il n'st désormais plus qustion d fair march arrièr sur ct acquis, quitt à rlancr un nouvll grèv illimité». @Hammar Hight Tch Echographi à l'aid... d'un téléphon mobil Un ptit apparil émttur d'ultrasons, d la taill d'un gros stylo, put réalisr un échographi t transmttr l'imag par un connxion USB à un mobil ou un PDA. Loin du gadgt, ct ngin s'inscrit dans un voi d rchrch qui vis à donnr aux médcins la possibilité d réalisr n tout liu c gnr d'xamn, util dans d nombrux cas. Réalisr ds apparils d'échographi légrs t suffisammnt compacts pour tnir dans la trouss d'un médcin n'st pas un idé nuv. Ds modèls xistnt d'aillurs déjà sur l marché. L but st d réalisr ds xamns rapids, sur l trrain, sur un fmm ncint ou, par xmpl, un patint souffrant d problèms cardiovasculairs. Mais lur taill t surtout lur coût puvnt êtr ncor réduits. C'st c qu vinnnt d démontrr William Richard t David Zar d la Washington Univrsity (St. Louis, Missouri). Il y a cinq ans, cs dux spécialists d l'ingéniri au srvic d la médcin avaint déjà planché sur un MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 10

apparil d'échographi miniaturisé capabl d s connctr par un pris USB à un ordinatur portabl. En partnariat avc Microsoft Rsarch, l'équip récidiv avc un ngin ncor plus ptit, d la taill d'un gros stylo t qui n consomm plus qu 0,5 att. William Richard s'st occupé du matéril t David Zar a réalisé l logicil. aussi chr qu la prmièr vrsion, connctabl sur un ordinatur portabl, à savoir 2.000 dollars. Mais l'équip affirm pouvoir dscndr à 200 dollars. L'ngin pourrait alors êtr largmnt diffusé. Imagri médical bon marché Pas d miracl : c ptit ngin portatif n rivalis pas avc ls apparils utilisés à l'hôpital. Ls imags sont moins bin définis t d ptit taill. Mais il tint dans la main t s connct, non plus à un ordinatur portabl, mais à un téléphon mobil ou à un PDA (Prsonal Digital Assistant), à condition qu son logicil systèm soit Windos Mobil. L'apparil fait ainsi l'économi d l'écran t ds fonctions d'affichag. Avc un téléphon, il st n plus possibl d'xpédir ls donnés, par xmpl pour qu'lls soint xaminés plus précisémnt ou stockés sur un srvur. @Admin E-Ball - Concpt du plus ptit ordinatur A gauch, ls dux facs d l'apparil du circuit dévloppé par William Richard. A droit, l'un ds apparils réalisés par un ntrpris. Microsoft Rsarch «Imaginz un apparil d c gnr dont on pourrait disposr dans un ambulanc ou dans la sall ds urgncs...» commnt William Richard, qui rappll n outr qu dans ls pays n voi d dévloppmnt, l mobil st largmnt plus répandu qu l'ordinatur. Or, soulign son collègu David Zar, «la médcin du vingt-t-unièm siècl st basé sur l'imagri, mais 70% d la population mondial n'a aucun accès à ds systèms d'imagri». L'objctif ds dux chrchurs st aujourd'hui d réduir l prix d rvint. Actullmnt, l'apparil, qui st désormais commrcialisabl, dvrait coûtr C st un ds nouvaux concurnts du Nxt- Gn PC Dsign Comptition. Bin qu au nivau rgonomi, l clavir lasr n soit pas top (pas d rtour ds touchs), l rst st un pur mrvill. J vous invit à allr voir la dscription complèt n anglais du concpt: nxtgndsigncomp MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 11

Votr magazin ds scincs ainsi qu la pag DviantArt du dsignr Apostol Tnokovski: dviantart M d S accc...n n..m d S Sp pa n tt ntr la tabl intrn d l os t la dur-mèr (fig :2), l plus souvnt du fait d ruptur traumatiqu d un artèr méningé (AMM) n rgard du trait d fractur d la voût(fig :3), parfois d la plai d un sinus vinux ou d un hématom«fracturair». Fig :3 Fractur tmporal gauch Dossirs DOSSIER DU MOIS : Tout c qu vous voulz savoir sur l hématom xtradural cérébral L idé d fair ctt approch m st arrivé n voyant qulqus nos juns étudiants préparnt l concours d spécialité d un programm dpuis l èr d diagnostic d l hématom xtra dural par l artériographi. t pour rafraîchir la mémoir ds uns t aidr d autrs à bin comprndr ctt pathologi t d n fair fac aux urgncs ; on a pnsé d fair ctt tntativ. fig :2 HED tmporo- pariétal gauch. 2-Qulqus notions à saisir : 2 :A / Nuroanatomi : Fig :4 ls ménings 1- définition/ généralités Ls traumatisms crânins (TC) constitunt un problèm majur d la santé publiqu, ils sont scondairs l plus souvnt aux accidnts d circulation t survinnnt généralmnt chz ds sujts juns. 2-5 % ds TC sont rprésntés par l hématom xtradural (HED). Fig :5 ls artèrs méningés,fig :1:ls principals causs ds Tc L HED st un urgnc nurochirurgical par xcllnc, Il st défini par l accumulation d sang au nivau d l spac épidural intracrânin Fig :6 Angiographi cérébral d profil : ls sinus vinux MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 12

2 : A : a / L crvau st protégé au sin d un boit crâninn hrmétiqumnt clos, par trois ménings : La dur-mèr : nvlopp dur, la plus xtrn, qui st n contact avc la tabl intrn d l os. (fig :4) L arachnoïd : fuillt mmbranux sous la dur mèr collctant l liquid céphalorachidin (LCR). La pi mèr : mmbran microscopiqu tapissant l crvau t dssinant ls sillons t ls circonvolutions. 2 :A :b / La vascularisation cérébral st assuré par ls artèrs carotidinns n avant t ls artèrs vrtébrals n arrièr.lurs anastomoss au nivau d la bas du crân sont à l origin du crcl anastomotiqu d Willis (polygon d Willis).Ls artèrs méningés (Fig:5) naissnt ds branchs collatérals d cs dux vois (carotidinns t vrtébrals). L artèr méningé moynn (AMM) st la plus important ds artèrs qui participnt à la vascularisation d la dur-mèr intracrâninn. -Engagmnt amygdalin : c st la dscnt ds amygdals céréblluss dans l trou occipital sous l fft d prssion au nivau d la foss cérébral postériur ngndré à l occasion d un hématom ou procssus tumoral. Fig :7 Foramn oval d Patchionni. 2 :A :c/ L drainag cérébral (Fig:6) st assuré par ds vins qui s jttnt à contr courant dans ls sinus (sinus longitudinal supériur, ls sinus latéraux, l conflunt ds sinus) qui à lurs tours s drainnt dans ls vins jugulairs. 2 :B/ La prssion intracrâninn : Loi d Monro Klly : la règl d or Variation sctur (Vs) Parnchym +Vs LCR + Vs sanguin = constant Fig : 8 HED avc ngagmnt tmporal Tout augmntation d un sctur s fait au dépnd ds dux autrs d tll sort qu ls trois volums soint constant, c qui définit la prssion intracrâninn (PIC) qui règn à l intériur d l ncint crâninn. Lorsqu ctt prssion st supériur à 20 mmhg chz l adult, on parl d hyprtnsion intracrâninn (HTIC). 2 :C/ ls Hrniations cérébrals : (Engagmnts cérébraux) :dux ngagmnts méritnt à décrir : -Engagmnt tmporal : c st l passag (hrni) du lob tmporal (parti intrn), sous l fft d la prssion cntrifug d l hématom ou procssus tumoral, dans l foramn oval (Fig :7) (spac limité par la tnt du crvlt n dhors t l tronc cérébral n ddans), dans ct spac pass l nrf oculomotur commun (c qui xpliqu la mydrias n cas d ngagmnt Fig : 8 ). Fig : 9 Engagmnt amygdalin 3 -Physiopathologi : la constitution d un hématom xtradural dépnd d plusiurs facturs: MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 13

Votr magazin ds scincs M d S accc...n n..m d S Sp pa n tt -l intnsité du traumatism : L importanc traumatism t son impact dirct sur l crân. du -la localisation : Il st fréqunt dans ls zons facilmnt décollabls : la région tmporal ( la zon décollabl d Gérard marchant).au nivau d la foss cérébral postériur l HED mt n ju l pronostic vital immédiat (intrvall libr brf ou inxistant) par d comprssion dirct du tronc cérébral. -l importanc du saignmnt : La toléranc du crvau à la comprssion dépnd d la vitss d xpansion d l HED (débit du vaissau lésé) plus qu l vaissau attint st d gros calibr plus qu la constitution d l hématom st rapid (AM, Sinus) : d où la notion d l intrvall libr -L âg du patint : l HED chz l nfant, c sont ls signs généraux (pâlur cutané) qui attirnt l attntion avant qu l tablau nurologiqu s install. Chz ls sujts âgés, la dur-mèr st très adhérnt à l os c qui xpliqu la rarté d cs hématoms dans ctt tranch d âg. 4. la cliniqu Aucun sign n'st spécifiqu d l'hed. L traumatism crânin st l plus souvnt modéré rsponsabl d lésion d la voût t d décollmnt dural (chut d sa hautur, chut d vélo, ). La notion d'intrvall libr st caractéristiqu d l'hed, traduisant l délai nécssair (qulqus hurs) à la constitution d'un hématom suffisant pour induir un HTIC. Ls évntulls lésions associés (Fig :10) : (contusion cérébral, HSD aigu associé ) puvnt masqur c mod d'installation. t ls évntuls déficits (signs d focalisation). nurologiqus -L intrrogatoir : dès l accuil du blssé : l hur d l accidnt (Zéro si oubli) t l hur d l arrivé aux urgncs. ls circonstancs d l accidnt afin d évalur ls mécanisms d décélération. Ls antécédnts, traitmnts, toxiqus la notion d prt d connaissanc brèv témoin d commotion cérébral inhérnt au traumatism, la notion d amnési rétrograd. -Rchrchr ls signs d hyprtnsion intracrâninn : 1 2 3 4 Céphalés tnacs. Nausés t vomissmnt n jt. Troubls visuls : diplopi, éclipss visulls Bourdonnnt d orills -Evalur l état d la conscinc : L échll d Glasco: (Glasgo Coma Scal :GCS ) st dvnu la référnc pour définir un état nurologiqu n urgnc. Ct indic st largmnt utilisé car il st d calcul simpl, rproductibl t d grand valur pronostiqu. Il xplor trois réponss : Répons oculair (y=e) Ouvrtur spontané ds yux E4 Ouvrtur à la dmand vrbal E3 Ouvrtur à la stimulation doulourus E2 Absnc E1 Fig :10 HED fronto-tmpoal associé à ds contusions odmatuss avc déviation d la lig médian. L xamn nurologiqu s acharn à apprécir l état d conscinc, rchrchr ls signs d hyprtnsion intracrâninn Répons vrbal (V) Oral approprié, orinté V5 Confus, V4 Incohérnt V3 Incompréhnsibl V2 Absnc V1 MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 14

Votr magazin ds scincs M d S accc...n n..m d S Sp pa n tt Répons motric (M) Sur ordr M6 A la stimulation doulourus Orinté M5 Rtrait n flxion M4 Flxion stéréotypé (décortication) M3 Extnsion (décérébration) M2 Absnt M1 La cotation suivant put êtr utilisé : Fig :11 plai délabrant du scalp L scor idéal st 15 (état d conscinc normal) GCS : 13, confusion mntal ; GCS 9-10 : Obnubilation stupur L état d coma st défini par un scor infériur ou égal à 8 GCS < 5, coma grav, souffranc axial Fig :12 :Hématom sous cutané frontal Il faut attachr un grand valur à un somnolnc croissant avc un braillmnt répété qui témoign l début d ngagmnt cérébral. Chrchr un déficit nurologiqu : Rchrchr ls signs focalisation : 1- Examn du crân t d la fac: Inspction t palpation du crân : déformation d la voût lié à un fragmnt mbarré ; plai du scalp (Fig :11), hématom :(Fig12) Ecoulmnt d LCR : par l conduit auditif xtrn (otorrhé) ou par l nz (rhinorrhé) Hématom péri orbitair bilatéral : fractur d la bas du crân. Fractur d l orbit ; paralysis oculomotrics, cécité (sction du nrf optiqu) ; tstr la snsibilité facial Fractur du rochr ; otorragi, surdité, paralysi facial périphériqu. Fractur du massif facial, disjonction craniofacial, N pas oubli qu un traumatisé crânin st considéré comm traumatisé du rachis jusqu'à la pruv du contrair. 2-Etud ds pupills : (zéro si oubli): C st un indic pronostic d grand valur : l étud d la taill (myosis ou mydrias), symétri t la réactivité à la lumièr (uni t bilatéral). -Un mydrias unilatéral st un sign d focalisation homolatéral d la lésion t témoign l ngagmnt tmporal unilatéral. -Tout Mydrias bilatéral aréflxiqu à la lumièr st un sign d pronostic très sombr. (état d mort cérébral apparnt) 3- rchrchr attntivmnt un déficit nurologiqu : Un hémiparési ou hémiplégi : Tout déficit constaté corrspond à un localisation controlatéral d la lésion. Modification ds réflxs d l hémicorps. Paralysi facial. MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 15

3- rchrchr ls troubls nurovégitatifs : Qui justifint un réanimation adapté Troubls d rythm cardiaqu. Encombrmnts bronchiqus Troubls circulatoirs : instabilité d la tnsion artérill, collapsus 5.ls forms cliniqus : Ls forms topographiqus : HED tmporal : Il st d loin l plus fréqunt. o L hémorragi st l plus souvnt suit à un ruptur du tronc d l AMM. o L évolution st souvnt rapid voir aigu avc un intrvall libr court. o L hémiplégi contr latéral st souvnt brutal, accompagnant ds troubls d langag (aphasi d Broca) dans ls hématoms gauchs. o La mydrias st constant t d apparition rapid annonçant l ngagmnt tmporal. Fig :13 Scannr :coup frontal :HED du vrtx HED d la foss cérébral postériur : c st un form grav mt rapidmnt l pronostic vital n ju par comprssion dirct du tronc cérébral ou suit à un hydrocéphali aigu par obstruction du quatrièm vntricul, l saignmnt st souvnt dû à un attint du sinus latéral ou ls vins émissairs mastoïdinns.( Fig :14) HED frontal: d évolution lnt, L intrvall st rlativmnt long qui put allr jusqu'à qulqus jours. La cliniqu st surtout d ordr psychiqu : irritabilité, impulsion, agitation HED pariétal: l saignmnt st souvnt d origin ossus (vins émissairs intra ossus). La cliniqu s install après qulqus hurs, marqué par un hémiparési progrssiv t ds troubls apraxiqus. HED occipital: l tablau cliniqu st dominé par ds troubls visulls : ds hémianopsi ou quadranopsi. HED d la bas du crân: souvnt dû à un diffusion d l hématom d la convxité vrs la bas du crân. HED du vrtx : c st un ntité rar, dû à un attint du sinus longitudinal supériur, l évolution st souvnt rapid, l tablau nurologiqu st marqué par ds signs d hyprtnsion intracrâninn au prmir plan. La rconstruction scanographiqu sagittal ou frontal st nécssair pour l mttr n évidnc.(fig :13) Fig :14 HED d foss cérébral postériur Ls forms trompuss : La présntation cliniqu classiqu (prt d connaissanc, intrvall libr, aggravation scondair) n concrn qu nviron un tirs ds HED. Ell doit cpndant êtr connu t justifi à ll sul l maintin n obsrvation ds victims. Surtout lorsqu l traumatism crânin n st pas évidnt. Malad dans un état d coma. Polytraumatisé (choc vagal put masqur un état d ngagmnt tmporal) Etat d ébriété ou d toxicomani. Criss comicials. Chz l nfant (sévics). Il faut toujours : palpr soignusmnt l crân (plai, hématom, points doulourux ) MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 16

Intrrogr l ntourag t rchrchr ds écoulmnts pathologiqus par l nz ou l orill. Dans l dout, n hésitz pas d dmandr un scannr cérébral. Ls forms pédiatriqus : la spoliation sanguin si minim soit -ll, put ntraînr un pâlur cutané muquus t l aggravation st souvnt dramatiqu par sa rapidité d où la nécssité d un Formul d numération sanguin n Urgnc t nvisagr un transfusion péri opératoir. 6.Ls xamns complémntairs : Ls radiographis standards : dmandés à défaut d scannr, à la rchrch d trait d fractur justifiant l transfrt d patint n miliu nurochirurgical ou un hospitalisation pour survillanc. (fig :15) fig :15 :radio d profil : Trait d fractur tmporal tmporal TDM cérébral : L xamn clé, réalisé sans injction, d produit d contrast montr : - L'HED constitué par un hyprdnsité spontané n form d «lntill bi convx» rfoulant la surfac cortical, parfois n rgard d'un fractur d voût visibl sur ls coups réalisés n fnêtrs ossuss. Fig :16 HED n lntill biconvx n rgard d un fractur tmporal IRM cérébral : xamn n a pas d pratiqu larg n urgnc, ll offr d millur rnsignmnt dans l hématom d la convxité. C st un xamn st util à la rchrch ds contusion du tronc cérébral n cas d discordanc Radiocliniqu (état d coma avc un ptit lam d HED qui n put xpliqur l état nurologiqu du patint ) 7. L pronostic : IL dépnd : D la sévérité t d la duré d la comprssion ainsi qu d son rtntissmnt sur l tronc cérébral. Ds lésions associés : contusions, hématom sous dural aigu, Hématom intracérébral, Du trrain : âg du blssé t ls tars. 8. l traitmnt : L traitmnt doit êtr jumlé à un xcllnt réanimation. La survillanc : Hospitalisation t survillanc cliniqu t scannographi ds hématoms d ptits taills t sans fft d mass (Fig :17) - Ls lésions associés t fft d mass. (Figur 16). Un TDM normal au tmps 0 doit êtr rfait dans un intrvall d 6 hurs. Fig : 17 lam d HED frontal Réanimation : Ell doit assurr un parfait vntilation, réduir l choc t compnsr la prt sanguin surtout chz l nfant. Ell lutt contr ls lésions cérébrals dits scondairs n cas d traumatism crânin MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 17

d mblé grav : lésions multipls associés : (odm diffus, contusions cérébrals ) Chirurgi : Ell s fait sous ansthési général, intubation t vntilation assisté, ll consist n un confction d un volt ossux cntré sur l hématom (fig :18), t d l évacuation d cluici. L hémostas st assuré par la coagulation ds vaissaux méningés qui saignnt.la suspnsion d la dur-mèr (fig :19) st un tmps capital afin d évitr un évntull récidiv d l hématom. En fin, La mis n plac d un drain d Rdon n xtra dural, rmis d volt ossux t sa fixation t la frmtur ds différnts plans 2. Vascularisation t circulation d l ncéphal Guy Lazorths 3. Ls traumatisms cranioncépohaliqus gravs Dr Jan pirr Sichz 4. La nurologi n pratiqu quotidinn.p.koskas Nurochirugical oprativ atlas. ROBERT H. WILKINS, M.D Prévntion bucco-dntair : Présrvz vos dnts d tout snsibilité, pour pouvoir mangr d tout n tout librté. Fig : 18 HED après confction du volt ossux Fig :19 La dur-mèr après L évacuation d l HED Autur : Dr GUERBOUZ Srvic d Nurochirurgi Etablissmnt Hospitalir t Univrsitair d Oran- Algéri Référncs : 1. Nurochirurgi : P.dcq t Kéravl Il était un fois un bouch qui s visitait comm un ptit royaum... Il y avait, dans ctt bouch, ds fés dntists chargés d protégr ls dnts. Cs dnts étaint si snsibls aux agrssions xtériurs qu'un simpl coup d chaud ou d froid suffisait à lur fair du mal. Alors, cs fés avaint bin du travail pour rpoussr ls ptits lutins qui arrivaint d tout part, armés d glacs, d glaçons t d'un chocolat si chaud qu'il fumait à la sorti du chaudron. Mais ls fés-dntists avaint un scrt qu'avc nous lls ont partagé : s brossr ls dnts avc un dntifric adapté t alors, on put tout mangr. La snsibilité dntair : la snsibilité dntair st l'un ds plus fréqunts motifs d consultions. C st un doulur au nivau d un ou plusiurs dnts, déclnché par; l froid (ls glacs) l chaud, l air t mêm crtains bonbon. MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 18

Ls gns qui n souffrnt prouvnt un inconfort fac au brossag t mêm à l'utilisation ds fils intr dntair. Ls causs d la snsibilité dntair. La cari profond. Ls obturations a l'amalgam dans ds cavités profonds. Maladi parodontal t déchaussmnt d la gnciv. Fractur coronair (pénétrant). Suit a ds séancs d blanchimnt ds dnts. Snsibilité tmporair suit a un détartrag. Présnc ds fêlurs au nivau ds dnts, suit a un traumatism, ou causés par l tabac chz crtains bruxoman ou l dgré d'abrasion st marqué. Alimntation acid - ls alimnts contnant un haut taux d'acid Commnt prévnir la snsibilité dntair. L brossag st la clé d votr santé bucco-dntair! L traitmnt d touts caris n bouch, rfair ls dnts déjà traité n cas d doulur ou snsibilité. Avant d passr au blanchimnt, il faut s brossr ls dnts avc ds avc un dntifric à action désnsibilisant afin d'évitr la snsibilité après. Rstaurr tout fractur dntair. Réduir ds alimnts acid t ls boissons gazuss. Si vous fumz, stoppz tabac. Un visit a votr dntist st évidnt fass aux problèm d la gnciv.t grincmnt ds dnts. vous t dépnd uniqumnt d vous, car la motivation st très important durant l régim qu vous dvriz suivr. Ainsi, adoptr un régim «fficac» st la clé pour réussir à mincir. Un régim amaigrissant commnc par l'élaboration d'un hygièn alimntair sain t équilibré. Ensuit, la pratiqu d'un ffort physiqu st fort consillé t c, régulièrmnt pour rtnir la lign acquis. Un bon régim alimntair doit aboutir s'il a pour point d départ un alimntation aussi varié qu possibl, n plus d l'éradication ds mauvaiss habituds. Il faut donc évitr ls alimnts richs n matièr grass comm la mayonnais, ls crèms t ls bouffs rapids. Si cla vous st impossibl, il faudra au moins limitr la quantité consommé. Ls alimnts cuits à la vapur sont cux qui vous aidront à éliminr ls xcès d lipid n sus. Vous dvrz prndr trois rpas par jour au maximum, aux mêms hurs, d façon régulièr. Dans l'alimntation humain, l ptit déjunr rst la plus important car il apport la grand majorité d'énrgi qu vous allz utilisr tout au long d la journé alors, il n faut surtout pas l sautr. Dr A.Hammar Chirurginn dntist Qustion du mois L régim miracl - C'st quoi? Dpuis ds annés, l surpoids st un problèm qui affct la société modrn. Rythm d vi à grand vitss, strss, alimntation non équilibré... tlls sont ls causs d c problèm qui touch un grand parti d l'humanité t qui ngndr souvnt un autr dont l surpoids. Prdr ls poids suprflus corrctmnt st crts plus compliqué qu d'n prndr. Toutfois, c n'st pas impossibl, mais il vous faut just d la volonté. En fft, l'idé d prdr du poids doit émanr d Si vous avz l'habitud d prndr dux rpas au cours d la journé, il st préférabl d sautr clui du dînr, parc MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 19

qu la nuit l corps st n rpos, d tll sort qu'il n nécssit pas baucoup d'énrgi. Si vous avz un ptit crux durant vos pauss, n grignotz surtout pas d la nourritur saturé d graiss, miux vaut prndr ds fruits qualifiés d drainur comm ls pomms ou simplmnt ds crudités. Durant la périod d régim, ls boissons gazuss t sucrés t mêm ls boissons dits "light" sont touts à évitr. Par contr, l'au minéral st vivmnt consillé d'autant plus qu'll n fournit pas d caloris. L'au st égalmnt un bonn solution quand vous avz faim car ll put vous rassasir d la mêm façon qu ls pâtissris, ls rostts ou ls frits. La sul différnc st au nivau du goût, mais cla s'apprnd à êtr toléré dans l tmps. En général, un homm a bsoin d 1.5 litr d'au par jour, cpndant il st égalmnt bénéfiqu d'n prndr un pu plus. C régim doit s'accompagnr d'un xrcic physiqu régulir d'un duré moynn d 30 minuts par jour. Ls activités sportivs ls plus fficacs qu vous dvz pratiqur pour maigrir sont la natation, la dans t l vélo. Si vous n'êts pas trop à l'ais dans cs disciplins, vous n'avz qu'à pratiqur la march à pid, c'st tout aussi fficac pour éliminr ls rondurs. Mais il faut fair attntion, crtains prsonns agissnt n irrsponsabl afin d prdr baucoup d poids trop vit n adoptant ds régims draconins. Pourtant, prdr 10 kilos n 1 mois, c'st mttr sa vi n péril t l fait d prdr davantag qulqus dizains d kg dans un court délai risqu d fair prndr l doubl n pu d tmps après : si vous prdz 10 kilos c mois-ci, au cas où vous arrêtrz votr régim, vous risquriz d gagnr 15 à 20 kilos l mois prochain. Ainsi, la moynn mnsull n prt d poids st évalué à 4 kilos par mois. Ainsi donc, contrairmnt à c qu'on laiss nous ntndr, ls régims miracls n'xistnt pas. Il faut du tmps pour prdr du poids t la volonté rst la sul arm pour combattr l surpoids. Prdr du poids comm il s doit du point d vu médical anéantit l risqu d rchut. Ls régims miracls n sont autrs qu ds moyns pour soutirr d l'argnt à tous cux qui y croint t souvnt c sont ls ouvrs d'un charlatan. Ainsi, nous vous proposons d suivr cs qulqus consils pour pouvoir rajunir votr corps t lui rdonnr un nouvll allur. Prdr du poids dans ls norms autorisés put aussi vous apportr d'autrs ffts bénéfiqus comm l'amélioration d votr état d santé du fait qu l surpoids augmnt l risqu d'êtr affcté par divrs cancrs, l ralntissmnt d la viillss t la diminution d risqu d'accidnt cardiaqu ainsi qu d l'accidnt vasculair t cérébral (A.V.C), l diabèt... En plus, vous vous sntirz bin dans votr corps quand vous affichz un lign parfait pour tstr votr pouvoir d séduction à nouvau. Au cas où vous allz suivr un régim amincissant, n'oubliz pas d'avisr votr médcin, c'st très important car il put vous aidr rin qu'n vous donnant ds consils. Cas Cliniqu du mois: vous pratiquz un injction intramusculair d piroxicam chz un fill d 15 ans sans antécédnts t qui présnt un sciatiqu. Alors qu'll st sorti d votr cabint t attnd dans la sall d'attnt sa mèr parti chrchr son véhicul, la fill dvint pal, couvrt d suur. Ell s plait d'un snsation d malais général ; d'imprssion d mort imminnt t d'opprssion thoraciqu.ll présnt un dyspné xpiratoir. Qul diagnostic dvz-vous évoqur n priorité? 1-malais vagal 2-choc anaphylactiqu 3-œdèm d Quick 4-cris d spasmophili La fréqunc cardiaqu st supériur à 180 bat/mn, l tmps d rcoloration cutané st immédiat, vous n'arrivz pas a prndr la prssion artérill, l'auscultation pulmonair n montr pas d sibilants. Qu faits-vous? MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 20

Votr magazin ds scincs 1- M d S accc...n n..m d S Sp pa n tt répons 2 : choc anaphylactiqu Un tablau d c typ dans l'hur qui suit un traitmnt st jusqu'a pruv du contrair un choc anaphylactiqu. l'xamn cliniqu rdrssra évntullmnt l diagnostic. L choc anaphylactiqu t l'œdèm d Quick sont ds urgncs, qu'il faut traitr n priorité t évoqur avant un malais vagal t la cris d spasmophili. L caractèr xpiratoir d la dyspné n concord pas avc l'œdèm d Quick. 2- votr pharmaci d'urgnc doit comportr d l'adrénalin! mêm dans un cabint d consultation tout médcin doit êtr n msur d'affrontr un choc anaphylactiqu, il faut débutr ls msurs théraputiqus immédiatmnt t applr l SAMU n mêm tmps. 1 r gst-adrénalin 0.5 mg n intramusculair a répétr tous ls 15mn si bsoin. l but st d'assurr un tnsion artérill satisfaisant. 2 èm gst -posr un voi vinus t rmplissag vasculair. ctt étap n doit pas rtardr l'administration d l'adrénalin. Ds Sujts sur ls Forums d MdSpac.nt : - QCM MdSpac 2009 : préparation du concours d résidanat : Un topic qui diffus ds Qcms à fin d bin préparr nos futurs résidants. - DICTIONNAIRE DU MEDESPACE.NET: Dictionnair médical intractif réalisé avc la participation ds MdSpacins. - Mon Ordonnanc: Caricatur Médical : Un imag vaut mill mots. Quoi d plus vrai? Ls caricaturists l'ont bin compris. Et hurusmnt pour nous, ils mttnt à notr disposition lurs mrvillux talnts d dssinaturs t d'humorists. Ils ont l don d voir du prmir coup d'oil l ptit côté drôl d'un situation parfois dramatiqu ou tout simplmnt banal. Crtains d cs artists ont caricaturé ds événmnts mttant n scèn ds médcins, ds infirmièrs, du prsonnl Topic pour nrichir ls connaissancs ds étudiants t médcins sur ls présntations ds médicamnts ls plus utilisés. - Commnt téléchargr un fichir hébrgé sur ls srvurs d partag : Ds tutoriaux pour bin utilisr ls srvurs d partags. - VRAIS OU FAUX? Ds qustions/réponss médicals élaborés par ls MdSpacins. Pour participr dans ctt rvu ou donnr votr avis, commntair, suggstion.. Connctz vous sur l portail médical francophon :.MdSpac.nt MdSpac Magazin Rvu francophons ds scincs médicals 21