CAPSULITE RETRACTILE DE L EPAULE Mise au Point. C BARCELO, J.J.RAILHAC CHU Toulouse - Purpan
|
|
- Renée Paule Rochon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CAPSULITE RETRACTILE DE L EPAULE Mise au Point C BARCELO, J.J.RAILHAC CHU Toulouse - Purpan
2 OBJECTIFS 1) Démontrer que la «capsulite rétractile» entre dans le cadre de l algodystrophie 2) Insister sur les possibilités de diagnostic précoce par IRM 3) Optimiser les techniques d arthro et burso-distension
3 OBJECTIF 1 La «capsulite rétractile» entre dans le cadre de l algodystrophie
4 MULTITUDES D APPELLATIONS «CAPSULITE RÉTRACTILE» - Epaule gelée («frozen shoulder») - Epaule bloquée (De Sèze ) - Capsulite adhésive - Algodystrophie - Algoneurodystrophie - Syndrome épaule-main - Syndrome douloureux régional complexe de type I.
5 MULTITUDES D APPELLATIONS «CAPSULITE RÉTRACTILE» - Epaule gelée («frozen shoulder») - Epaule bloquée (De Sèze ) - Capsulite adhésive - Algodystrophie - Algoneurodystrophie - Syndrome épaule-main - Syndrome douloureux régional complexe de type I. - N est pas une algodystrophie - N est une forme d algodystrophie - Est une algodystrophie sans phase chaude - Entre dans le cadre de la maladie de Dupuytren - Est différente du syndrome douloureux régional complexe de type 1 - Est différente du syndrome épaule-main
6 MULTITUDES D APPELLATIONS «CAPSULITE RÉTRACTILE» - Epaule gelée («frozen shoulder») - Epaule bloquée (De Sèze ) - Capsulite adhésive - Algodystrophie - Algoneurodystrophie - Syndrome épaule-main - Syndrome douloureux régional complexe de type I. - N est pas une algodystrophie - N est une forme d algodystrophie - Est une algodystrophie sans phase chaude - Entre dans le cadre de la maladie de Dupuytren - Est différente du syndrome douloureux régional complexe de type 1 - Est différente du syndrome épaule-main
7 MULTITUDES D APPELLATIONS UNE SEULE MALADIE SOUS DES FORMES DIVERSES!!! - Epaule gelée («frozen shoulder») - Epaule bloquée (De Sèze ) - Capsulite adhésive - Algodystrophie - Algoneurodystrophie - Syndrome épaule-main - Syndrome douloureux régional complexe de type I. - N est pas une algodystrophie - N est une forme d algodystrophie - Est une algodystrophie sans phase chaude - Entre dans le cadre de la maladie de Dupuytren - Est différente du syndrome douloureux régional complexe de type 1 - Est différente du syndrome épaule-main
8 POUR ETRE SIMPLE La «capsulite rétractile» de l épaule serait l étape, la plus connue, d une affection, l algodystrophie sympathique, qui évolue en 3 phases : Phase de début, «chaude» qui fait errer le diagnostic Phase d état, «intermédiaire», de «capsulite rétractile» Phase tardive «froide», de «récupération»
9 PHYSIOPATHOLOGIE Encore inexpliquée, malgré de nombreuses études : - Augmentation de la sensibilité aux catécholamines - Inflammation neurogène - Dérèglement du métabolisme du tissu conjonctif - Pathologie auto-immune DEREGLEMENT DU SYSTEME SYMPATHIQUE (théorie de Leriche) : épine irritative avec stimulus périphérique, déclenchant un arc réflexe vers les centres médullaires et, de là, vers les nerfs spinaux orthosympathiques. La réponse est une VASODILATATION RÉGIONALE AVEC DES PHÉNOMÈNES PSEUDO-INFLAMMATOIRES... EVOLUTION VERS UNE FIBROSE
10 ETIOLOGIES FORMES PRIMITIVES : 30 % DES CAS FORMES SECONDAIRES : - traumatismes - pathologies cardiaques, thoraciques et mammaires - maladie Dupuytren. - affections neurologiques : séquelles d hémiplégie, coma, - diabète, - hyperthyroïdie - facteurs locaux : calcifications tendineuses, chirurgie - médicaments (Isoniazide, barbituriques, antiviraux, iode 131) +++ TERRAIN PSYCHIQUE : anxiété, tendance dépressive, hyperémotivité (labilité neurovégétative)
11 ANATOMOPATHOLOGIE Peu d études (dissections Duplay 1876, travaux De Sèze 1960, Mac Laughlin, Simmonds, Neviaser données arthroscopiques) Au stade de capsulite rétractile : capsule épaissie, rétractée, fibrosée (pseudo Dupuytren), mais aussi synoviale épaissie et scléreuse, fibrose et rétraction du ligament coraco-huméral et de l intervalle des rotateurs. Quelques adhérences dans le récessus axillaire, la gaine du long biceps et l espace sous-acromial Au stade de début : hypervascularisation de la synoviale sans élément inflammatoire PAS D EPANCHEMENT PATHOLOGIQUE PAS DE RUPTURE DE COIFFE
12 ÉVOLUTION EN TROIS PHASES sur une durée de 12 à 18 mois
13 ÉVOLUTION EN TROIS PHASES 1. «phase chaude», «algodystrophique», avec installation progressive de douleurs d intensité variable, permanentes, à prédominance nocturne attribuées souvent à tort à une tendinite. Les mouvements passifs sont normaux.
14 ÉVOLUTION EN TROIS PHASES 2. «phase d état», typique de la «capsulite rétractile», avec des douleurs qui diminuent pendant que s installe un enraidissement se traduisant par une réduction des mouvements actifs et passifs dans tous les plans de l espace (+++ abduction et rotation externe)
15 ÉVOLUTION EN TROIS PHASES 3. «phase froide», de «capsulose rétractile», avec récupération de l enraidissement sur plusieurs mois, mais avec possibilité de séquelles «infra-cliniques» (Binder 1983)
16 OBJECTIF 2 La «capsulite rétractile» peut être diagnostiquée de façon précoce par IRM
17 RADIOGRAPHIES Normales au début (parfois tout au long de l évolution)
18 RADIOGRAPHIES Puis apparition, en quelques semaines, d une hypertransparence de la tête humérale: - plus ou moins homogène, - classiquement «mouchetée», «pommelée», pseudo kystique et à prédominance sous-chondrale Hypertransparence pouvant persiste après la guérison ; non corrélée à la clinique et à la durée d évolution
19 RADIOGRAPHIES Deux points à souligner : 1. Intérêt pour le diagnostic différentiel et la recherche d associations 2. Intérêt des clichés comparatifs
20 SCINTIGRAPHIE au Technetium 99 Hyperfixation non spécifique hyperostéoblastose du remodelage osseux : - précoce du bord médial de la tête humérale, acromion et coracoïde - +/- intense, parfois absente - peut persister au-delà des signes cliniques - pas de parallélisme avec la clinique et le pronostic
21 SCINTIGRAPHIE «trois temps» Hyperfixation liée à l hypervascularisation de la phase initiale et de la phase d état
22 ARTHROGRAPHIE Intérêt diagnostique Intérêt thérapeutique
23 ARTHROGRAPHIE Pas d épanchement intra-articulaire Sensation de résistance à l injection, parfois douloureux Diminution du volume articulaire < à 8 cc Reflux de produit de contraste dès que l on relâche la pression Pas de rupture de la coiffe Petit récessus axillaire avec arthrogramme «pâle», Gaine bicipitale et récessus sous-scapulaire souvent difficiles à remplir Bords de la synoviale parfois irréguliers Possibilité de drainage lymphatique à la phase chaude
24 DRAINAGE LYMPHATIQUE Surtout à la phase chaude mais aussi intermédiaire
25 VOLUME ARTICULAIRE 2 cc 4 cc 8 cc +++Résistance à l injection
26 «RUPTURES CAPSULAIRES»
27 «RUPTURES CAPSULAIRES» Terme impropre En fait, ce sont des ruptures des récessus synoviaux, bicipital et/ou sub-scapulaire. Parfois reflux sur le point de ponction.
28 ARTHROSCANNER - Peu d intérêt - Confirme les données arthrographiques - Recherche d un aspect microlacunaire de l os -diagnostic différentiel avec rupture coiffe des rotateurs
29 IRM T1 et T2 FS T1 FS Gado 3 plans Rétrécissement du récessus axillaire Epaississement de la capsule, du ligament coraco-huméral et de l intervalle des rotateurs à 4 mm (se 70%, sp 95%) Anomalies de l espace sous-acromial Tissu fibreux dans le triangle souscoracoïdien Pas d épanchement et pas de rupture de coiffe
30 IRM : INTERET DANS LE DIAGNOSTIC PRECOCE DES SEQUENCES T2 FS ET SURTOUT T1 FS POST-GADO - Hypersignal T2 FS du récessus axillaire - Rehaussement capsulo-synovial de l intervalle des rotateurs (se 92%, sp 100%) et du récessus axillaire (se 42% et sp 88%) - Rehaussement hétérogène du spongieux de la tête humérale mais aussi de toutes les structures de voisinage (coiffe, bourse sous acromio-deltoïdienne, voûte acromioclaviculaire, tendon du long biceps, espace graisseux sous-coracoïdien
31 Arthrographie Diminution de la taille des récessus articulaires Coronal T1 Coronal T1 FS gado Augmentation de taille et prise de contraste intense du récessus axillaire inférieur. Bursite associée.
32 Coronal T1 Coronal T1 FAT SAT gadolinium Prise de contraste intense capsulaire et de l intervalle des rotateurs associée à une bursite sous acromio deltoïdienne.
33 Radiographie épaule Coronal T1 Coronal DP FS Coronal T1 FS gado Axial T1 FS gado
34 ARTHRO-IRM Diminution de volume du récessus axillaire Epaississement de la capsule, de l intervalle des rotateurs (supérieur à 5 mm)(se 64 %, sp 86 %) Epaississement du ligament coraco-huméral (supérieur à 4 mm)(se 59 %, sp 95 %)
35 ECHOGRAPHIE 2 coupes recommandées : 1) Sagittales obliques de l intervalle des rotateurs : hypoéchogène, hyperplasique plus ou moins vascularisé en doppler énergie 2) Transverses obliques du ligament coraco-huméral : épaissi de plus de 3 mm (normal : 1,34 +/- 0,32 mm) Etude dynamique : diminution du glissement du supra-épineux sous l acromion (RYU et coll.)
36 ARTHROSCOPIE - Surtout geste à visée thérapeutique : résections du ligament coraco-huméral, du ligament gléno-huméral, capsulotomie antérieure, résection du tendon subscapulaire - A la phase de début : synoviale rougeâtre hypervascularisée mais sans infiltrat inflammatoire en histologie - Aux phases d état et tardive : épaississement fibreux de la synoviale avec diminution du volume articulaire
37 OBJECTIF 3 Optimiser les techniques d arthro et burso-distension
38 TRAITEMENT «RACCOURCIR L ÉVOLUTION ET ÉVITER DES SÉQUELLES» 1) Phase chaude de début : - Repos, antalgiques, physiothérapie, AINH inefficaces, corticoïdes intra-articulaires ou intra-bursaux? - Mobilisation et kinésithérapie souvent délétères - Intérêt de la calcitonine+++ 2) Phases d état et froide : - kinésithérapie, autorééducation - arthroscopie avec capsulotomie - mobilisation sous AG - arthrodistension et bursodistension
39 «ARTHRODISTENSION MOBILISATION» ARTHRODISTENSION TECHNIQUE Sujet en décubitus Ponction antérieure AL 1 à 2 cc de Xylocaïne à 1% Injection jusqu à résistance de produit de contraste iodé «manœuvres de pompage» en essayant de gagner du volume injecté Terminer par une injection de corticoïdes Prise de clichés Mobilisation
40 «ARTHRODISTENSION MOBILISATION» MOBILISATION Dès la fin de l arthrographie : Mobilisation active et passive dans tous les plans de l espace Manœuvres de l araignée, mouvements pendulaires, peignage, main dans le dos Dans les suites de l arthrodistension : Kinésithérapie tous les jours pendant 1 mois
41 «ARTHRODISTENSION MOBILISATION» RESULTATS Amélioration des amplitudes articulaires plus ou moins spectaculaire Raccourcissement de l évolution naturelle Généralement guérison dans un délais de un mois Diminution des séquelles Si échec : possibilité de renouvellement et/ou de bursodistension
42 «BURSODISTENSION MOBILISATION» - Bourse et espace sous-acromiodeltoïdien impliqués dans l affection (Etude anatomique DUPLAY, 1876, bursographies et IRM Galy-Fourcade et Railhac, 2002)
43 «BURSODISTENSION MOBILISATION» TECHNIQUE Ponction sous-acromiale antérieure Injection de Xylocaïne puis de produit de contraste iodé Terminer par injection de corticoïdes Mobilisation et kinésithérapie dans les suites Bons résultats
44 CONCLUSION 1. Le terme de «capsulite rétractile» rentre dans le cadre de la pathologie locorégionale d algodystrophie 2. Un diagnostic et un traitement précoces sont possibles grâce à l IRM 3. Les techniques d arthro et de bursodistension- mobilisation ont fait la preuve de leur utilité
45 QUELQUES CAS POUR S ENTRAINER
46 Quizz 1 Patiente de 52 ans. IRM épaule gauche pour douleur inflammatoire avec limitation des mouvements Sag DP FS Coro T1 Coro DP FS Ax DP FS
47 Quel est votre diagnostic? Quel examen complémentaire pourrait le confirmer
48 Quel est votre diagnostic? tendinopathie du tendon supra épineux avec doute sur une rupture transfixiante Quel examen complémentaire pourrait le confirmer arthroscanner
49 Quizz 1 Arthroscanner épaule droite Coronal Sagittal
50 Quizz 1: rupture transfixiante du tendon supra épineux Passage de produit de contraste de l articulation gléno-humérale dans la bourse sous acromio deltoïdienne au travers d une perforation de la partie antérieure du tendon supra-épineux. Coronal Sagittal
51 Quizz 2: quel est votre diagnostic?
52 IRM épaule Coronal et sagittal DP FS Coronal et sagittal T1 FS gadolinium
53 Quizz 2 Radiographie standard: Aspect pommelé de la trame osseuse IRM: Hypersignal DP FS et prise de contraste de la capsule articulaire et notamment du récessus axillaire inférieur
54 Quizz 2: Capsulite Rétractile L arthrographie à visée diagnostic et thérapeutique a confirmé le diagnostic.
55 Quizz 3 Femme de 45 ans, diabétique. Adressée pour arthrographie et infiltration devant une suspicion de capsulite rétractile. Clichés pré arthrographique
56 Quizz 3 Que suspectez vous? Quel examen demandez vous?
57 Quizz 3 Que suspectez vous? ostéonécrose tête humérale. En effet sur ce cliché standard, on objective une bande condensée arciforme cerclant un territoire dense de la tête humérale en zone articulaire. Quel examen demandez vous? IRM épaule
58 Coronal T1 Axial T1 Coronal DP FS
59 Quizz 3: ostéonécrose tête humérale L IRM confirme le diagnostic d ONTH Liseré de démarcation arciforme en hyposignal T1 et DP FS délimitant une zone nécrosée de la TH en hyposignal T1 et Hypersignal DP FS. Œdème périlésionnel Epanchement intra articulaire
60 ATTENTION!!!! Les causes d épaule raide sont multiples. Epaule raide Capsulite Rétractile
humatologue FMC Socio-Pro juridique Les canalopathies douloureuses Imagerie de la capsulite rétractile de l épaule Complications osseuses du VIH
Le humatologue La revue de la Fédération Française de Rhumatologie FMC Les canalopathies douloureuses Imagerie de la capsulite rétractile de l épaule Complications osseuses du VIH PR : objectif remission
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES
LES TROUBLES MUSCULO- SQUELETTIQUES DE L EPAULE CHEZ DES TECHNICIENNES DE LABORATOIRE L. MERIGOT, F. MARTIN, Avec la participation des Drs G. DALIVOUST, G. GAZAZIAN 26 Janvier 2010 1 SOMMAIRE 1. Introduction
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLes luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Les luxations et instabilités de l'épaule Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 anatomie descriptive et fonctionnelle de la scapulo-humérale
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailSOFARTHRO.com. Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective
Réparation arthroscopique de la coiffe des rotateurs par bandelettes ou fils : étude comparative et prospective Boyer P, Bouthors C, Ben Hamida F, Mylle G, Massin P service d orthopédie, Hôpital Bichat
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailETUDE QUALITATIVE SUR LES
ETUDE QUALITATIVE SUR LES SÉJOURS CHIRURGICAUX POUR PATHOLOGIES DE L ÉPAULE ET L ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE EN SAVOIE ET HAUTE-SAVOIE AVRIL 2009 Observatoire Régional de la Santé Rhône-Alpes Espace Régional
Plus en détailUniversité Paris-VI. Orthopédie. Questions d internat
Université Paris-VI Orthopédie Questions d internat 2000 Christophe Castelain Michel Christofilis Marc Jayankura (ccapitie@free.fr) Camille Samaha Samy Zouaouy Mise à jour : 12 septembre 2000 2/252 Orthopédie
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailD re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon,
Conflits d intérêts Comité d élaboration D re Francine Borduas, médecin de famille, Québec D r Richard Blanchet, médecin de famille, expert en médecine du sport, Québec D r David Dixon, médecin de famille,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailREEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE
REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE REEDUCATION APRES RUPTURE DU LIGAMENT CROISE ANTERIEUR OPERE Eric HALLARD, Kinésithérapeute La rupture du LCAE est de plus en plus fréquente
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailK I N é S I T H é R A P I E & D B C
KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailChirurgie articulaire secondaire Pr. Philippe PELISSIER
Pr. Philippe PELISSIER Service de Chirurgie Plastique Centre F.X. Michelet CHU de Bordeaux www.e-plastic.fr Introduction Kinésithérapie Dénervation Arthrolyse - Artholyse chirurgicale - Artholyse + ligamentotaxis
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailDémarche d évaluation médicale et histoire professionnelle
révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage
Plus en détailCritères de suivi en rééducation et. d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation
RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Critères de suivi en rééducation et Octobre 2007 Version pré-commission d orientation en ambulatoire ou en soins de suite ou de réadaptation Après chirurgie des ruptures
Plus en détailTendinopathies rotuliennes. Tendinopathies achiléennes
Epicondylites Epitrochléites Enthésopathies des Ischio-jambiers Syndromes de coiffe Cicatrices fibreuses musculaires Tendinopathies achiléennes Aponévrosites plantaires Tendinopathies rotuliennes Périostites
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailinformation détaillées données au patient sur le cercle vicieux douleur-émotions-évitement.
du rôle du système sympathique anime les débats sur la physiopathologie et le traitement du SRDC. Dans la région corporelle atteinte, on constate à la fois une hypersensibilité des récepteurs noradrénergiques
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailInstitut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010
C. Gable - DUHAM 2010 Les orthèses provisoires en pathologie traumatique LES FRACTURES DIGITALES LA MAIN COMPLEXE LES ENTORSES DIGITALES Institut Régional de Réadaptation Nancy DUHAM 2010 Colette Gable,
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailOstéoarticulaire 363
Ostéoarticulaire 363 OS Fiche 1 Bilan avant prothèse pour omarthrose : radiographie Objectif Faire le diagnostic positif d omarthrose. Distinguer une omarthrose primitive d une omarthrose secondaire. Distinguer
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailLes Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.)
DOSSIER Les Troubles Musculo-Squelettiques (T.M.S.) De par leur fréquence et leur impact, tant médical que socioprofessionnel, les TMS constituent un problème majeur de santé au travail. Bien que de nombreuses
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailPATHOLOGIES NON OPEREES
PATHOLOGIES NON OPEREES DE LA COIFFE DES ROTATEURS ET MASSO-KINESITHERAPIE AVRIL 2001 Service des recommandations et références professionnelles Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Ensemble de symptômes et d atteintes qui touchent principalement : nerfs ligaments tendons vaisseaux sanguins articulations disques intervertébraux muscles
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailRééducation après lésion dégénérative de la coiffe des rotateurs
28 Article de revue Khelaf Kerkour, MCMK, Physiothérapeute, chef de l Hôpital Régional de Delémont, 2800 Delémont Jean-Louis Meier, Rhumatologue, médecin-chef, même adresse Jacques Mansuy, chef de clinique,
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailSALLES DE TRAITE. et Troubles Musculo-Squeletiques (TMS)
SALLES DE TRAITE et Troubles Musculo-Squeletiques (TMS) Recherche de pistes de prévention des TMS à partir d observations en situation réelle. Cas particulier des exploitantes agricoles. Pourquoi ce travail?
Plus en détail097AS2014/02/18. Thérapie à Ultra-son. BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR
097AS2014/02/18 Thérapie à Ultra-son BTL-4000 Smart/Premium ENCYCLOPÉDIE THÉRAPEUTIQUE DU BTL 100AS2014/02/18FR 1 adnexite - changements post-inflammatoires... 4 2 arthrite... 5 3 arthrite - subaqual...
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailQu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)?
Qu est-ce qu un trouble musculosquelettique (TMS)? Symptômes et atteintes qui touchent principalement ces structures : nerfs muscles tendons ligaments articulations vaisseaux sanguins Cela peut se produire
Plus en détailPrévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU
Prévention des Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) VILLE DE LANDERNEAU SOMMAIRE 1/ Pourquoi cette démarche? 2/ Les TMS 3/ Les caractéristiques de la démarche 4/ Méthodologie :. Principes pris en compte.
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailLes anomalies des pieds des bébés
Les anomalies des pieds des bébés Pierre Mary Consultation d orthopédie pédiatrique Service d orthopédie et de chirurgie réparatrice de l enfant Hôpital Jean Verdier Hôpital Trousseau Comment étudier un
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE
ENDERMOTHÉRAPIE THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE 1 Endermothérapie THÉRAPIE TISSULAIRE, ARTICULAIRE ET MUSCULAIRE DEPUIS PLUS DE 25 ANS, LPG SYSTEMS ACCOMPAGNE LES KINÉSITHÉRAPEUTES DANS
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailArticulations du coude et de l avant-bras
Articulations du coude et de l avant-bras 1 Articulation du coude 1.1 Définition Le coude est l articulation intermédiaire du membre supérieur. Elle comprend trois articulations distinctes entre l humérus,
Plus en détailLes troubles musculosquelettiques du membre supérieur
Ce guide concerne les troubles musculosquelettiques (TMS) du membre supérieur. Il a été élaboré à partir de travaux de la section Assistance en physiologie-ergonomie (APE) du service de Physiologie environnementale
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailÉCHOGRAPHIE DU TENDON ACHILLÉEN
ÉCHOGRAPHIE DU TENDON ACHILLÉEN Ce que tout radiologue généraliste doit connaître P. Omoumi (1), L. Bouilleau (1), O. Favelle (1), G. Azulay (2), A. Rolon (2), J. Brilhault (1), MJ. Borie (1), B. Fouquet
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détaille traitement de la douleur
le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez
Plus en détailDémarche de prévention des TMS et outils pour l action
Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailAlgodystrophie du bras
Algodystrophie du bras L algodystrophie est une maladie longue et pénible, bien que finissant souvent par guérir quasiment sans séquelles. Sa cause est encore sujet de discussions. L explication classique,
Plus en détailBiomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied
Les Entretiens de Bichat Podologie 2013 Biomécanique des pathologies de contraintes de l avant-pied et du médio-pied C. Cazeau* * Clinique Geoffroy saint-hilaire, 59 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris,
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détail