ÉTAT DE LA QUALITÉ DE L AIR DANS LA VALLEE DE LA VALLIERE
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- Violette Perrot
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1 SURVEILLANCE QUALITE DE LA DE L AIR EN FRANCHE-COMTE ÉTAT DE LA QUALITÉ DE L AIR DANS LA VALLEE DE LA VALLIERE Campagne de mesures du 27 janvier au 18 avril 216 PM2,5 NO2 Quelle était la qualité de l air au niveau de la vallée de la Vallière durant l hiver 216? Découvrez les résultats de l évaluation menée par ATMO Franche-Comté au fil de ce document. NO PM1 SYNTHESE D ETUDE Editée en juillet 216
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3 ATMO Franche-Comté, association agréée par le Ministère chargé de l environnement a pour mission d intérêt général la surveillance de la qualité de l air ambiant de la région, et l information du public. Pour ce faire l association dispose de stations fixes réparties sur l ensemble du territoire régional. Pour compléter ce dispositif de surveillance continue, ATMO Franche-Comté mène également des campagnes de mesures ponctuelles grâce à des équipements mobiles. Dans le cadre de cette mission de surveillance régionale de la qualité de l air, ATMO Franche-Comté a souhaité réaliser une campagne hivernale de mesures au sein de la vallée de la Vallière. Le but est d évaluer l impact de l important trafic routier au sein de cette vallée encaissée sur la qualité de l air local. Pour ce faire, deux moyens mobiles de surveillance de la qualité de l air ont été installés du 27 janvier au 18 avril 216, en entrée de vallée (village de Perrigny) et fond de vallée (village de Revigny). Durant cette période, différents polluants, caractéristiques de la période de mesure et en lien avec le trafic important de la vallée, ont été suivis en continu : - les particules fines (PM1 et PM2,5) ; - les oxydes d azote (NO, NO2, NOx). Les niveaux ont été comparés aux mesures de la station fixe urbaine de Lons le Saunier, située en dehors de la Vallée de la Vallière. Les résultats obtenus lors de cette campagne seront également intégrés à une étude de modélisation. Réalisée dans un second temps, cette analyse permettra d estimer les concentrations moyennes annuelle des principaux polluants, leur répartition au sein de la vallée, ainsi que l exposition des populations. Rédigé par Karine LEFEVRE Vérifié par Anaïs Detournay 1
4 PROBLEMATIQUE DE L ETUDE ET CHOIX DES SITES La Vallée de la Vallière est une reculée jurassienne typique, située à proximité de Lons le Saunier. Profonde d environ 5 km, elle présente un trafic routier intense dans une vallée relativement étroite et traversée par la D678. En effet, l interdiction de transit des poids lourds au niveau de la pente Montaigu (D52), oblige les camions à l emprunter pour rejoindre le premier plateau. En 212, le Conseil Général du Jura a effectué un comptage sur la RD 678 au niveau de la commune de Revigny. Ce comptage a dénombré près de 4162 véhicules par jour, dont 429 poids lourds soit près de 3% du trafic. Ce pourcentage très élevé correspond à la proportion observée au niveau de l A36 sur les secteurs où le nombre de camion est le plus important de la région. Après visite sur le terrain, 2 stations mobiles ont été installées : - l une à l entrée de la vallée, sur la commune de Perrigny, à proximité de la route départementale, au 393 route de Conliège ; - la seconde en fond de vallée, sur la commune de Revigny, au niveau du parking de la salle polyvalente. Les résultats, pour chacun des polluants durant la campagne de mesures, ont été comparés aux teneurs enregistrées en continu au niveau de la station fixe du réseau de mesures d ATMO Franche-Comté de Lons le Saunier, implantée sur le parking à proximité du Conseil Départemental dans le centre-ville de Lons. La position de cette station, à l extérieur de la vallée, nous permettra d estimer l impact sur la qualité de l air des apports issus du trafic routier, par comparaison avec les mesures enregistrées au niveau des stations mobiles. 2
5 Station urbaine Lons le Saunier Site Perrigny Site Revigny Figure 1 : Localisation des stations mobiles et de la station fixe du réseau de mesures d ATMO Franche-Comté 3
6 Les données utilisées pour l exploitation des résultats sont issues de la station Météo-France de Montmorot. Données Météorologiques du 27/1/216 au 18/4/216 Figures Commentaires Précipitations (mm) Températures ( C) DONNEES METEOROLOGIQUES La direction des vents a été majoritairement de secteur Sud/Sud-Ouest, mais aussi de secteur Nord. Vents Durant cette campagne, les manifestations venteuses ont été importantes puisque les vents nuls (>1 m/s) n ont représenté que 1,5% des vents. Températures Par contre, les vents soutenus (> 6 m/s) ont représenté près de 19 % des manifestations venteuses. Des rafales, en provenance du Sud- Ouest, ont été enregistrées le 9 février, avec une pointe à 1 km/h et le 2 mars à 77,4 km/h. La température a été douce, avec une moyenne de 7,2 C, largement supérieure à la normale de saison. Aucune température moyenne journalière n a été négative. La température journalière minimale a été de 1 C, les 7 et 8 mars, et la température journalière maximale de 16 C, le 3 mars. Précipitations La pluviométrie a été particulièrement importante. Février et avril ont présenté des précipitations largement supérieures aux normales de saison. Ainsi en avril, 198 mm ont été enregistrés pour 1 mm habituellement. La pluviométrie a été plus faible en mars avec seulement 9 jours de pluie. 3 jours de pluie ont ainsi été observés sur les 82 jours de campagne, avec un maximum de 34 mm, le 5 avril. Les conditions météorologiques, avec une pluviométrie élevée et des vents relativement soutenus, ont été propices à la dispersion et au lessivage des polluants. Les températures douces enregistrées sont atypiques pour une campagne hivernale. 4
7 EXPLOITATION DES RESULTATS DE MESURES Les données issues de la campagne menée au sein de la vallée de la Vallière ont été comparées à celles de la station de mesure fixe du réseau d ATMO Franche-Comté de Lons le Saunier. Implantée au niveau du parking du Conseil départemental du Jura, elle présente une typologie urbaine. Figure 2 : Station urbaine de Lons le Saunier Par ailleurs, les résultats des mesures de campagne ont également été comparés aux valeurs réglementaires en vigueur. Néanmoins, cette évaluation comparative n est établie qu à titre informatif, les seuils régaliens étant en effet applicables à l échelle annuelle et non à l échelle temporelle restreinte d une campagne. Enfin, il est à noter que le caractère saisonnier des polluants, l impact de la saison de prélèvements ainsi que des conditions météorologiques peuvent influencer significativement les teneurs en polluants mesurées au cours d une campagne d évaluation. Particules fines - PM1 37% Emissions de PM1 par activité à Perrigny en % 3% 2% 6% Agriculture Industrie manufacturière Résidentiel/tertiaire Transports routiers Emissions de PM1 par activité à Revigny en % 1% 1% Agriculture Industrie manufacturière Résidentiel/tertiaire Transports routiers 52% Transports non routiers Production/Distribution d'énergie Traitement des déchets 46% 51% Transports non routiers Production/Distribution d'énergie Traitement des déchets Source : Inventaire des émissions année de référence 212 Figure 3 : Emissions de PM1 par activité à Perrigny et Revigny en pourcentage Deux secteurs d émission de particules fines se distinguent au niveau des communes de Perrigny et Revigny: le secteur du résidentiel/tertiaire (chauffage des logements et bureaux) et celui du transport routier. A noter que les données d émissions sont basées sur de nombreux facteurs décrivant les caractéristiques et l intensité des sources : type d émetteur, d activité, facteurs d émissions, données météorologiques, etc. Les 5
8 Concentrations moyennes en µg/m 3 /j Concentrations (µg/m3) données présentées correspondent à des pourcentages de contribution. Aussi, un secteur prédominant ne traduit pas forcément une importante quantité d émissions si le total d émissions est faible. L impact des particules sur la et l environnement est présenté dans une fiche spécifique en annexe. 8 Données générales en PM1 enregistrées du 27/1/16 au 18/4/ Valeur limite en moyenne annuelle 4 µg/m 3 Moyenne Maximum Perrigny Revigny Lons le Saunier Figure 4 : Evolution des concentrations moyennes journalières en poussières PM1 du 27/1 au 18/4/216 La concentration moyenne en poussières fines PM1 enregistrée au niveau de Perrigny a été légèrement supérieure à celle de Revigny et Lons le Saunier, avec 19 µg/m 3 contre 16 µg/m 3. Lons le Saunier enregistre le maximum journalier avec 6 µg/m 3, le 2 mars. A noter que, suite à un dysfonctionnement, aucune mesure n avait été enregistrée à Perrigny ce jour-là. Perrigny et Revigny présentent des niveaux maximums sensiblement plus faibles avec respectivement 56 µg/m 3 et 46 µg/m 3. Les teneurs moyennes en poussières fines enregistrées au cours de la période sont faibles et situées bien en-deçà de la valeur limite applicable en moyenne annuelle, établie à 4 µg/m 3. Evolution des concentrations moyennes journalières en PM1 du 27/1 au 18/4/ Lons le Saunier Perrigny Revigny Valeur limite de 5 µg/m 3 à ne pas dépasser plus de 35 fois par an Figure 5 : Evolution des concentrations moyennes journalières en poussières PM1 du 27/1 au 18/4/216 Durant la campagne d évaluation, les profils journaliers des teneurs en particules PM1 sur les différents sites de mesures sont sensiblement identiques. La station de Perrigny présente les valeurs journalières les plus élevées. Lons le Saunier, à part quelques exceptions, présente les valeurs les plus faibles. 6
9 Concentrations moyennes en µg/m 3 /h Les concentrations ont été relativement modérées. La valeur limite fixée à 5 µg/m 3 à ne pas dépasser plus de 35 fois par an, a été dépassée une seule fois sur Lons le Saunier, avec 6 µg/m 3 le 2 mars ; et une fois sur Perrigny, avec 56 µg/m 3 le 29 février. A noter que, suite à un défaut instrumental, aucune mesure n a pu être enregistrée sur Perrigny le 2 mars. Au vu des profils, le dépassement enregistré sur Lons ce jour-là a sans doute également impacté Perrigny. Au cours des mesures, un seul jour de dépassement de la valeur limite de 5 µg/m 3 à ne pas dépasser plus de 35 fois par an a été enregistré sur le site de Perrigny et la station urbaine de Lons le Saunier. Evolution des concentrations moyennes horaires en PM1 du 27/1 au 18/4/ Lons le Saunier Perrigny Revigny Heure Universelle Figure 6 : Profil des concentrations moyennes horaires en PM1 au cours d une journée durant la campagne Les moyennes horaires en particules PM1 relevées au niveau du laboratoire mobile disposé à Perrigny ont été systématiquement supérieures à celles de la station urbaine de Lons le Saunier et de la seconde station mobile. Aucun des relevés horaires moyens n enregistre une hausse entre 6 et 8h TU (soit 8 à 1h en heure locale), ce qui serait caractéristique d une émission par le trafic routier. Les profils observent une légère hausse des teneurs en poussières fines en début de journée, puis conserve tout au long de la journée un profil horaire moyen lissé. Ce type d évolution est généralement considéré comme représentatif des émissions issues du chauffage résidentiel (moins intense durant la nuit, et rallumé au matin). En tout état de cause, les moyennes horaires journalières sont restées inférieures à la valeur limite annuelle de 4 µg/m 3 durant la campagne de mesures. 7
10 Concentrations moyennes en µg/m 3 /j Concentrations (µg/m3) Particules fines PM2,5 8 Données générales en PM 2,5 enregistrées du 27/1/16 au 18/4/ Moyenne Maximum 4 2 Valeur limite en moyenne annuelle 2 µg/m Revigny Lons le Saunier Figure 7 : Données générales en poussières PM 2,5 enregistrées lors de la campagne La concentration moyenne en PM 2,5 enregistrée sur le site de Revigny au cours de la campagne a été sensiblement identique au site urbain de Lons le Saunier. Par contre, les valeurs maximales journalières ont été plus élevées sur Revigny, avec un maximum journalier de 47 µg/m 3 contre 39 µg/m 3 à Lons le Saunier. La teneur moyenne en particules très fines de type PM2,5 enregistrée au cours de la campagne de prélèvement s est située bien en-dessous de la valeur limite, fixée à 2 µg/m 3 en moyenne annuelle depuis 215. Evolution des concentrations moyennes journalières en PM2,5 du 27/1 au 18/4/ Lons le Saunier Revigny Figure 8 : Evolution des concentrations moyennes journalières en poussières PM2,5 durant la campagne Les tendances journalières en particules PM2,5 ont été très similaires entre les deux stations, à l image des PM1 durant toute la campagne. 8
11 Concentrations moyennes en µg/m 3 /h Evolution des concentrations moyennes horaires en PM2,5 du 27/1 au 18/4/216 Lons le Saunier Revigny Heure Universelle Figure 9 : profil des concentrations moyennes horaires en PM2,5 au cours d une journée durant la campagne De la même manière, le profil horaire moyen en particules PM2,5 a été similaire à celui des PM1. En effet, le site de Revigny a enregistré durant la campagne des teneurs légèrement supérieures au point de prélèvement de Lons le Saunier en journée et des concentrations identiques pendant la nuit. Les moyennes horaires journalières sont toutes restées inférieures à la valeur limite fixée à 2 µg/m 3 en moyenne annuelle depuis
12 Concentrations (µg/m3) Les oxydes d azote NO x Emissions de NOx par activité à Perrigny en % Emissions de NOx par activité à Revigny en % 12% 1%,4% 7% 73% 7% Agriculture Industrie manufacturière Résidentiel/tertiaire 92% Agriculture Industrie manufacturière Résidentiel/tertiaire Transports routiers Transports routiers Transports non routiers Transports non routiers Production/Distribution d'énergie Production/Distribution d'énergie Traitement des déchets Traitement des déchets Source : Inventaire des émissions année de référence 212 Figure 1 : Emissions de PM1 par activité à Perrigny et Revigny en pourcentage Source : Inventaire des émissions année de référence 212 En termes d émissions en oxydes d azote, le secteur des transports routiers prédomine largement aussi bien sur la commune de Perrigny, avec 73% des émissions que sur la commune de Revigny avec 92% des émissions. Le secteur industriel représente quant à lui 12% des émissions sur Perrigny, mais seulement,4% des émissions à Revigny. Le secteur résidentiel/tertiaire compte seulement pour 7% des émissions sur les 2 communes. L impact des oxydes d azote sur la et l envionnement est présenté dans une fiche spécifique en annexe. 1 Données générales en NO 2 enregistrées du 27/1/16 au 18/4/ Moyenne Valeur limite en moyenne annuelle 4 µg/m 3 Maximum Perrigny Revigny Lons le Saunier Figure 11 : Données générales en dioxyde d azote enregistrées lors de la campagne La moyenne en dioxyde d azote enregistrée durant la campagne au niveau de Perrigny a été légèrement inférieure à celle de la station urbaine de Lons le Saunier. Revigny a enregistré la moyenne la plus faible avec 7 µg/m 3. Le maximum a également été observé sur la station de Lons le Saunier avec 89 µg/m 3 /h. Les concentrations moyennes en NO 2 enregistrées sur les trois sites au cours de la campagne ont été largement inférieures à la valeur limite applicable en moyenne annuelle établie à 4 µg/m 3. 1
13 Concentrations (µg/m3) Concentrations moyennes en µg/m 3 /h 4 Evolution des concentrations moyennes horaires en NO 2 du 27/1 au 18/4/216 Lons le Saunier Perrigny Revigny Heure Universelle Figure 12 : Profil des concentrations moyennes horaires en NO2 au cours d une journée durant la campagne Les profils horaires journaliers en NO 2 enregistrés sur les trois sites de prélèvement durant la campagne de mesures ont tous présenté des niveaux très faibles. Les deux «pics» caractéristiques, habituellement rencontrés durant les heures de pointe du trafic routier le matin et le soir, sont faiblement identifiés sur Perrigny et Revigny, et plus prononcés au niveau de Lons. Le niveau de NO 2 enregistré au niveau de Perrigny au cours de la journée, en dehors de ces pics, est plus important que sur Lons, ce qui traduit une plus grande activité des sources d émissions sur ce site entre 9 et 18h. Aucune moyenne horaire journalière en NO 2 enregistrée au cours de la campagne n a franchi la valeur limite de 2 µg/m 3 /h à ne pas dépasser plus de 18 fois par an. Données générales en NO enregistrées du 27/1/16 au 18/4/ Moyenne Maximum Perrigny Revigny Lons le Saunier Figure 13 : Données générales en monoxyde d azote enregistrées lors de la campagne Les moyennes en NO, caractéristiques des émissions trafic, sont également extrêmement faibles sur l ensemble des sites. La moyenne maximale est observée sur Perrigny avec 6 µg/m 3 et la plus faible sur Revigny avec 2 µg/m 3, le site de Lons présentant des valeurs intermédiaires, à 4 µg/m 3. De même, les valeurs maximales horaires ont été observées le 27 janvier à 18 h avec respectivement 169 µg/m 3 sur Perrrigny et 153 µg/m 3 sur Lons le Saunier. Les niveaux sont comparables entre les deux stations. A Revigny la valeur maximale n a été que de 29 µg/m 3. 11
14 Concentrations moyennes en µg/m 3 /h Evolution des concentrations moyennes horaires en NO du 27/1 au 18/4/ Lons le Saunier Perrigny Revigny 2 1 Heure Universelle Figure 14 : Profil des concentrations moyennes horaires en NO2 au cours d une journée durant la campagne. La station mobile de Perrigny enregistre des niveaux plus élevés que la station urbaine de Lons le Saunier en journée. L évolution des niveaux relevés sur ces 2 sites sont caractéristiques des émissions en lien avec le trafic routier, avec un pic matinal et un pic dans la soirée. Un décalage est cependant visible entre les 2 courbes. Les teneurs relevées à Revigny restent en dessous des niveaux observés sur les autres stations, et ne présentent pas, à la différence des autres sites, les 2 pics observables en début et fin de journée lié à l intensification du trafic routier. Comme pour l évolution journalière du NO 2, nous pouvons également observer, au niveau du site de Perrigny, que les niveaux enregistrés entre 9h et 18 h, soit en dehors des pics de circulation, sont plus élevés qu au niveau du site de Lons, ce qui pourrait être le signe d une circulation routière plus importante au cours de la journée. 2, Rapport NO/NO 2 du 27/1/16 au 18/4/216 Rapport NO/NO 2 1,5 1,,5,4,2,2, Perrigny Revigny Lons le Saunier Figure 15 : Rapport NO/NO2 enregistré durant la campagne de mesures Le monoxyde d azote, émis par les sources telles que le trafic routier se transforme relativement rapidement en dioxyde d azote. Le rapport des concentrations NO/NO 2 constitue de fait un bon marqueur du caractère trafic des sites de mesures. En effet, plus le rapport NO/NO 2 est proche de 1, plus la distance entre la source (le trafic en l absence d autres facteurs d influence) et le site est faible. 12
15 Le rapport des concentrations NO/NO 2 calculé lors de la campagne de mesures ne permet pas de qualifier le caractère trafic de la Vallée. On peut noter toutefois que le site de Perrigny est plus impacté par la circulation routière que la station urbaine de Lons le Saunier. CONCLUSION La campagne de mesures menée de janvier à avril 216 au sein de la vallée de la Vallière n a pas permis d identifier une qualité de l air dégradée en lien avec le trafic intense des poids lourds dans la vallée. Les niveaux observés aussi bien sur les particules fines (PM 1 et PM 2,5) que sur les oxydes d azote (NO, NO 2) sont restés bas et nettement inférieurs aux limites réglementaires. Les niveaux d oxydes d azote, composés clairement identifiables comme provenant du trafic routier, n ont pas observé de différences significatives avec la station de Lons le Saunier. Nous avons pu cependant observer, au niveau du site de Perrigny, des niveaux plus élevés tout au long de la journée, ce qui pourrait être le signe d un trafic journalier plus soutenu. Les niveaux relevés sur les 2 sites choisi sont comparables à ceux de la station de mesures de Lons le Saunier. Les communes de Perrigny et de Revigny, bien que placées en environnement rural, présentent les caractéristiques d une zone sous influence urbaine. Il est également possible de dire que la station de Lons le Saunier est représentative des niveaux enregistrés dans la vallée. Toutefois, les conditions météorologiques, avec des vents relativement soutenus et une pluviométrie abondante, ont été favorables à la dispersion des polluants. Ces faibles niveaux, durant cette période, ont été observés sur toute la région. Dans une seconde étude, ces données seront intégrées à des outils de modélisation afin d évaluer les concentrations moyennes annuelles des principaux polluants ainsi que leur répartition au sein de la vallée. Cette seconde analyse permettra d apporter un nouvel éclairage sur l impact du trafic routier sur la qualité de l air dans la vallée ainsi que les différents niveaux auxquels la population est exposée. 13
16 ANNEXE REGLEMENTATION APPLICABLE EN AIR AMBIANT Polluants Domaine Valeurs réglementaires Dioxyde de soufre Seuils d'information et de recommandation 3 µg/m 3 /heure Dioxyde d'azote 2 µg/m 3 /heure Ozone 18 µg/m 3 /heure Applicatio n Particules PM1 5 µg/m 3 en moyenne sur 24 heures Dioxyde de soufre Seuils d'alerte 5 µg/m 3 /heure sur 3 heures consécutives 26 4 µg/m 3 /heure 26 Dioxyde d'azote Ozone 4 µg/m 3 /heure pendant trois heures consécutives 2 µg/m 3 /heure pendant 2 jours consécutifs et nouveaux risques µg/m 3 /heure sur 3 heures consécutives µg/m 3 /heure pour une protection sanitaire pour toute la population Particules PM1 8 µg/m 3 en moyenne sur 24 heures Valeurs limites Benzène 5 µg/m 3 en moyenne annuelle 21 Dioxyde de soufre Dioxyde d'azote Monoxyde de carbone Particules PM1 Particules PM2,5 35 µg/m 3 /heure à ne pas dépasser plus de 24 heures par an µg/m 3 /jour à ne pas dépasser plus de 3 jours par an 25 2 µg/m 3 /heure à ne pas dépasser plus de 18 heures par an 21 4 µg/m 3 en moyenne annuelle 21 1 µg/m 3 en maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures 25 5 µg/m 3 /jour à ne pas dépasser plus de 35 jours par an 25 4 µg/m 3 en moyenne annuelle µg/m µg/m 3 22 Plomb,5 µg/m 3 en moyenne annuelle 25 14
17 ANNEXE Polluants Domaine Valeurs réglementaires Ozone Particules PM2,5 Arsenic Cadmium Nickel végétation, env., env., env. Benzo(a)pyrène, env. Ozone végétation Valeurs cibles 12 µg/m 3 en maximum journalier de la moyenne sur 8 h à ne pas dépasser plus de 25 jours/an, moyenne sur 3 ans 18 (µg/m 3 ).h pour l'aot calculé à partir de valeurs horaires entre 8h et 2h de mai à juillet, moyenne sur 5 ans Applicatio n µg/m µg/m 3 6 ng/m 3 en moyenne annuelle du contenu total de la fraction PM1 5 ng/m 3 en moyenne annuelle du contenu total de la fraction PM1 2 ng/m 3 en moyenne annuelle du contenu total de la fraction PM1 1 ng/m 3 en moyenne annuelle du contenu total de la fraction PM1 Objectifs de qualité 12 µg/m 3 en maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures sur une année civile 6 µg/m 3 /h pour l'aot calculé à partir de valeurs horaires entre 8h et 2h de mai à juillet Particules PM1 3 µg/m 3 en moyenne annuelle civile Particules PM2,5 1 µg/m 3 en moyenne annuelle civile Benzène Santé 2 µg/m 3 en moyenne annuelle civile Plomb,25 µg/m 3 en moyenne annuelle civile Dioxyde de soufre Dioxyde de soufre végétation 5 µg/m 3 en moyenne annuelle civile Niveaux critiques 2 µg/m 3 en moyenne annuelle et du 1er octobre au 31 mars Non précisé Non précisé Non précisé Non précisé Non précisé Non précisé Non précisé Non précisé Oxydes d'azote végétation 3 µg/m 3 en moyenne annuelle Établi à partir : de la directive 28/5/CE concernant la qualité de l air ambiant et un air pur publiée le 21 mai 28 de la 4ème directive fille 24/17/CE concernant l'arsenic, le cadmium, le mercure, le nickel et les hydrocarbures aromatiques polycycliques dans l'air ambiant publiée le 15 décembre 24 du décret n du 21 octobre 21 relatif à la qualité de l air des arrêtés préfectoraux L'expression du volume doit être ramenée aux conditions de température et de pression suivantes: 293 K et 113 hpa. La période annuelle de référence est l année civile (du 1er janvier au 31 décembre). 15
18 ANNEXE 16
19 ANNEXE 17
20 RESEAU DE SURVEILLANCE DE LA EN FRANCHE-COMTE 15 rue Mégevand 25 BESANCON Tél. : Fax : Web : Courriel: contact@atmofc.org ATMO Franche-Comté est membre de la Fédération ATMO Toute copie (même partielle) de ce document doit être faite en citant expressément la source
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