Maraîchage bio diversifié en circuits courts
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- Thierry Marin
- il y a 8 ans
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1 fiche Repères 2014 Maraîchage bio diversifié en circuits courts Ces fiches repères ont été réalisées en 2014 par des techniciens spécialisés en maraîchage bio en Poitou-Charentes, sur la base de chiffres relevés dans le cadre d une étude de coûts de production. Les données ont été recueillies par les techniciens au cours de l appui aux producteurs. Ces données sont complétées le cas échéant à dire d experts. Typologie Compte tenu de la très grande diversité des systèmes d exploitation en maraichage, ces fiches repères reprennent une moyenne permettant de définir une typologie. Elles ne peuvent donner que quelques éléments d orientation dans la définition d un atelier légumes. Certains postes de charges tels que les taxes ou les charges MSA peuvent être sujets à variation selon le type d imposition (forfait ou réel) et selon le statut de l exploitation (exploitant à titre principal ou cotisant solidaire). Les données de ces fiches ne peuvent en aucun cas se substituer à l analyse préalable d un projet porté par un candidat d un point de vue technique et économique. 3 cas Les exploitations commercialisent en circuits courts. Nous avons retenu le nombre d années d activité pour les différencier. profil Les trois fiches suivantes décrivent uniquement l atelier maraichage d une exploitation. Cependant, de nombreuses d exploitations complètent leur activité par un autre atelier (PAM, poules pondeuses, arboriculture ). Ces fiches ne s inscrivent pas dans le cadre d une reprise d exploitation existante mais dans celui d une création. Une grande diversité de légumes est cultivée sur les exploitations : on retrouve en moyenne une quarantaine d espèces produites toute l année. La surface décrite dans les fiches est la surface cadastrale cultivée en maraîchage. Il convient la plupart du temps de la multiplier par 1.5 à 2 pour obtenir la SAU nécessaire aux différentes rotations. Les surfaces en production sont irriguées à l aide de deux types de matériel : aspersion et goutte à goutte. Les UTA (Unité de Travail Annuel) correspondent au travail effectué par une personne à temps complet durant une année. Une base de 60h par semaine sur 48 semaines, pour les chefs d exploitation et conjoints, a été retenue dans cette étude. Trois cas sont ainsi décrits : Cas 1 : une exploitation en phase de démarrage - inférieur ou égal à 3 ans d activité Cas 2 : une exploitation en développement - entre 3 et 8 ans d activité Cas 3 : une exploitation en rythme de croisière, - supérieur ou égal à 8 ans
2 CAS 1 Installation -3ans Structure d exploitation et moyens de production Surface 2ha surface cultivée 4% (soit 800m²) Pourcentage de surface sous abris Main d œuvre 1,65 UTA soit 0.82 UTA/ha soit 1 chef d exploitation de conjoint collaborateur. Type de sol Sol sans remontée d eau en hiver avec un réchauffement suffisant au printemps et une charge minimale en cailloux. matériels Traction : il est souhaitable d avoir un tracteur d une puissance minimum de 60 à 70 CV et si possible un tracteur permettant d intervenir sous abris (sans cabine). Matériel de travail du sol : charrue, Rotavator, vibroculteur. Conduite des cultures : semoir de précision manuel ou tracté, planteuse, dérouleuse à plastique, bineuse, broyeur, pulvérisateur manuel. Matériel d irrigation : aspersion et goutte à goutte. Tunnels de 5m à 9.30m. Récolte : lame souleveuse. Camionnette de livraison si vente extérieure à l exploitation et matériels de marchés (balance, étal, parasol ). Coût estimé de ce matériel (en occasion) : , amortissables sur 10 ans. Commercialisation La vente directe est majoritaire avec la prédominance de la vente par panier et à la ferme, sur les marchés et dans les magasins de détails. Certaines exploitations peuvent compléter leurs ventes auprès des grossistes. On constate en moyenne ces quatre circuits de vente différents sur les exploitations. chiffre d affaires /an (sur la base de 48 semaines de commercialisation) 710 /semaine /UTA /ha
3 Repères économiques charges opérationnelles totales 8 800, soit /ha Semences et plants : 66%, soit /ha Fertilisation : 9%, soit 396 /ha Produits de protection : 3%, soit 132 /ha Couverture de sol (paillage, voile ) : 17%, soit 748 /ha Filets anti-insectes : 4%, soit 176 /ha Emballage : 1%, soit 44 /ha charges de structure hors amortissement , soit /ha Carburants : 10%, soit 650 /ha Entretien/réparation : 9%, soit 585 /ha Achat de petit matériel : 6%, soit 390 /ha Eau/Gaz/Electricité : 7%, soit 455 /ha Location matériel : 7%, soit 455 /ha Assurances : 8%, soit 520 /ha Frais généraux (comptabilité, téléphone, courrier ) : 15%, soit 965 /ha Autres services extérieurs pour commercialisation (marché, certification) : 8 %, soit 520 /ha Taxes 4%, soit 260 /ha Charges de main d œuvre : MSA cotisations sociales des exploitants 26%, soit 1690 /ha Excédent Brut d exploitation EBE (Excédent Brut d Exploitation) - hors subvention : EBE/ha : EBE/UTA : EBE/CA : 36%
4 CAS 2 Exploitation 3-8 ans Structure d exploitation et moyens de production Surface 2ha surface cultivée 6% (soit 1200m²) Pourcentage de surface sous abris matériels Main d œuvre 1,80 UTA soit 0.90 UTA/ha soit 1 chef d exploitation de conjoint collaborateur de salarié. Type de sol Sol sans remontée d eau en hiver avec un réchauffement suffisant au printemps et une charge minimale en cailloux. En plus des matériels présents sur le CAS 1 : Tracteur d une puissance inférieure pour le travail sous tunnel Herse étrille ou désherbeur thermique Arracheuse de légumes racines Pulvérisateur porté Chambre froide et bâtiments pour le stockage des courges, légumes racines et/ou bulbes si nécessaire. Coût estimé de ce matériel supplémentaire (en occasion) , amortissables sur 10 ans Commercialisation La vente directe est majoritaire (par panier et sur les marchés à parts égales). Viennent ensuite la vente aux magasins de détail, la vente à la ferme et la restauration collective. Certaines exploitations peuvent compléter leurs ventes auprès des grossistes et des restaurateurs. On constate en moyenne trois circuits de vente différents sur les exploitations. chiffre d affaires /an (sur la base de 48 semaines de commercialisation) /semaine /ha /UTA
5 Repères économiques charges opérationnelles totales , soit /ha Semences et plants : 60%, soit /ha Fertilisation : 14%, soit 722 /ha Produits de protection : 5%, soit 258 /ha Couverture de sol (paillage, voile ) : 12%, soit 619 /ha Filets anti-insectes : 7%, soit 361 /ha Emballage : 2%, soit 103 /ha charges de structure hors amortissement , soit /ha Carburants : 7%, soit 676 /ha Entretien/réparation : 5%, soit 480 /ha Achat de petit matériel : 2%, soit 200 /ha Eau/Gaz/Electricité : 5%, soit 480 /ha Assurances : 6%, soit 580 /ha Frais généraux (comptabilité, téléphone, courrier ) : 10%, soit 970 /ha Autres services extérieurs pour commercialisation : 5 %, soit 485 /ha Taxes 3%, soit 290 /ha Charges de main d œuvre : - Main d œuvre salariale : 32%, soit /ha - MSA cotisations sociales des exploitants 25%, soit /ha Excédent Brut d exploitation EBE (Excédent Brut d Exploitation) - hors subvention : EBE/ha : EBE/UTA : EBE/CA : 38%
6 CAS 3 Exploitation 8 ans Structure d exploitation et moyens de production Surface 2,30ha surface cultivée 9% (soit 2070m²) Pourcentage de surface sous abris Main d œuvre 1,80 UTA soit 0.78 UTA/ha soit 1 chef d exploitation de conjoint collaborateur de salarié. + De la main d œuvre bénévole peut intervenir au coup par coup (stagiaire, amapien ). matériels En plus des matériels présents sur le CAS 1 et 2 : Augmentation de la surface sous abris qui passe de m² à 2 070m². Cette augmentation d environ 800 m² est estimée à Coût estimé de ce matériel supplémentaire (en occasion) : , amortissables sur 10 ans Type de sol Sol sans remontée d eau en hiver avec un réchauffement suffisant au printemps et une charge minimale en cailloux. Commercialisation La vente directe reste majoritaire mais avec une réorientation des débouchés vers les magasins spécialisés, les grossistes et les marchés au détriment des paniers. On constate en moyenne deux à trois circuits de vente différents sur les exploitations, avec une augmentation des volumes écoulés sur chaque circuit. chiffre d affaires / an (sur la base de 48 semaines de commercialisation) / semaine / ha / UTA
7 Repères économiques charges opérationnelles totales , soit /ha Semences et plants : 55%, soit /ha Fertilisation : 16%, soit 1060 /ha Produits de protection : 5%, soit 331 /ha Couverture de sol (paillage, voile ) : 12%, soit 795 /ha Filets anti-insectes : 9%, soit 596 /ha Emballage : 3%, soit 199 /ha charges de structure hors amortissement , soit /ha Carburants : 7%, soit 685 /ha Entretien/réparation : 5%, soit 489 /ha Achat de petit matériel : 1%, soit 98 /ha Eau/Gaz/Electricité : 5%, soit 489 /ha Assurances : 6%, soit 587 /ha Frais généraux (comptabilité, téléphone, courrier ) : 10%, soit 978 /ha Autres services extérieurs pour commercialisation : 5 %, soit 489 /ha Taxes 3%, soit 293 /ha Charges de main d œuvre : - Main d œuvre salariale : 33%, soit /ha - MSA cotisations sociales des exploitants 25%, soit /ha Excédent Brut d exploitation EBE (Excédent Brut d Exploitation) - hors subvention : EBE/ha : EBE/UTA : EBE/CA : 41%
8 fiche Repères 2014 Synthèse des trois fiches Surface totale en ha Surface sous abris en m² UTA rémunéré Chiffre d affaires annuel (sur la base de 48 semaines de commercialisation) Chiffre d affaires par semaine Chiffre d affaires par hectare Chiffre d affaires par UTA CAS 1 CAS 2 CAS , , , Charges opérationnelles totales Charges opérationnelles/ha Semences et plants/ha Fertilisation/ha Produits de protection/ha Couverture de sol (paillage, voile...)/ha Filets anti-insectes/ha Emballage/ha Charges de structures totales Charges de structure hors amortissement/ha Carburants/ha Entretien/réparation/ha Achat de petit matériel/ha Eau/Gaz/Electricité/ha Location matériel/ha Assurances /ha Frais généraux (comptabilité, téléphone, courrier...)/ha Autres services extérieurs pour commercialisation (marché, certification)/ha Taxes/ha Charges de main d œuvre/ha : - Charges salariales/ha - MSA chef d exploitation/ha EBE total (hors subvention) EBE/ha EBE/UTA rémunéré EBE/CA en % amortissements des matériels résultat d exploitation Rédaction Sylvie SICAIRE, conseillère légumes, Chambre d agriculture Charente. Benoit VOELTZEL, conseiller légumes, Chambre d agriculture Charente-Maritime. Relecture, compléments Stéphanie GAZEAU, MAB 16. Astrid RAGOT-JOUBERT et Jean-Pierre GOURAUD, Agrobio Poitou-Charentes. Membres du comité technique, Pôle conversion bio Poitou-Charentes.
9 Critères de réussite en maraîchage biologique La main d oeuvre Le temps de travail horaire en maraîchage est relativement élevé. On l estime en moyenne à 60h par semaine, sachant que la période d avril à septembre est la plus chargée. Pour assurer la production et la commercialisation dans des conditions satisfaisantes, il peut être nécessaire de recourir temporairement à de la main d œuvre supplémentaire. Dans les exploitations de la région, une partie de ce supplément de main d œuvre est fréquemment assurée par des bénévoles (amapiens, stagiaires,...) le sol Il faut apporter une vigilance particulière au choix des sols. Une terre maraichère de qualité est une terre qui n a pas de remontée d eau en hiver, qui a un réchauffement suffisant pour assurer la précocité au printemps. De plus il faut des parcelles permettant la culture de légumes racines, c est-à-dire avec une charge minimale en cailloux. La commercialisation l eau Selon le matériel utilisé, les cultures, et les conditions pédoclimatiques, le volume nécessaire peut varier de 1500 à 4500 m 3 /ha/an (200 mm de pluie équivaut à 2000 m 3 ). Il est souhaitable de se rapprocher de la DDT(M) ou d un technicien pour affiner le volume souhaité selon les conditions spécifiques de l exploitation. D autre part, les prélèvements en eau sont réglementés selon les territoires du Poitou-Charentes : il est indispensable de s assurer de l autorisation de prélèvement avant de finaliser son site d exploitation. La commercialisation en circuits courts nécessite un temps de travail important. Les compétences commerciales et le potentiel de clientèle de la zone de chalandise sont également déterminants. La vente directe nécessite une gamme diversifiée de légumes toute l année : cela représente de fortes contraintes de production pour un jeune installé. Une part d achat revente, et/ou de mutualisation peut permettre de simplifier la production en ayant une plus grande diversité d espèces. La production Les conditions agronomiques doivent être valorisées par une solide compétence technique pour s assurer d une production de bonne qualité, du point de vue sanitaire, de l aspect, et du calibre. La quantité produite est également déterminante.
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