Rapport d activités 2009 ISD-ND de St Laurent des Hommes Mai 2010

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1 Rapport d activités 29 ISD-ND de St Laurent des Hommes Mai 21

2 Madame, Monsieur, Chers collègues, chers élus, L exploitation de l ISDND* de Saint Laurent des Hommes, gérée en régie directement par du personnel syndical, s apparente de plus en plus à la gestion d un site industriel eu égard aux technologies mises en œuvre et le niveau de technicité requis. Le bilan de l année 29 témoigne de la performance environnementale du site, avec un renouvellement du certificat ISO 141, et permet d orienter les actions prioritaires de l exploitation. Le principal objectif concerne le captage du biogaz afin de réduire les nuisances olfactives. Dans ce but, un recrutement sera effectué en 21 pour suivre le captage en temps réel et optimiser les installations réalisées en 29 : puits de captages montés à l avancement pendant l exploitation et puits forés dans les anciens casiers. D autres axes d amélioration sont étudiés (traitement des lixiviats, valorisation électrique du biogaz, mise en place de champs solaires) et verront le jour en 21 et 211. Nous vous souhaitons à toutes et à tous une bonne lecture. Francis COLBAC et François ROUSSEL Co-présidents du SMD3 * ISDND : Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux Rapport présenté par François ROUSSEL, Président du SMD3 Rédacteur en chef : Bertrand BOISSERIE, Directeur du SMD3 Rédaction du rapport : Damien PALEM

3 Sommaire 1. L ISDND de St Laurent des Hommes Présentation 1.2 Les activités de l ISDND 1.3 Les moyens humains de l ISDND 1.4 La saturation du site 2. Les déchets de l ISDND en chiffres Les ordures ménagères et assimilées 2.2 Les déchets propres secs (DPS) 2.3 Les Déchets Verts 2.4 Le verre 2.5 L amiante lié 5. Les projets pour Diminution des nuisances 5.2 Exploitation du casier 5.3 Améliorations du site 6. Les incidents / accidents La communication Les visites de l ISDND 7.2 La CLIS 3. La démarche qualité La certification ISO La gestion des effluents 3.3 La prévention des nuisances La sécurité incendie Contrôle du bruit Les envols de déchets Prévention de la prolifération des oiseaux Les nuisances olfactives L intégration paysagère Le biogaz Le contrôle des eaux 3.4 Le bilan hydrique 8. ANNEXES Annexe 1 : étanchéité des casiers 8.2 Annexe 2 : politique environnementale 8.3 Annexe 3 : analyses des rejets 4. Les aménagements réalisés en Les bassins de contrôle 4.2 Le traitement 4.3 La diminution des nuisances 4.4 Quai de déchargement

4 1. L ISDND de St Laurent des Hommes 1.1 Présentation L Installation de Stockage de Déchets Non Dangereux est localisée au lieu dit "Seneuil" sur la commune de Saint Laurent des Hommes (24). Située sur le site de l'ancienne décharge non contrôlée exploitée par le SMCTOM de Montpon Mussidan de 1976 à 21, elle fut réhabilitée par le SMD3 en 21 afin de réaménager une ISDND conformément aux prescriptions de l'arrêté du 9 septembre Le site est soumis depuis à un arrêté préfectoral d'autorisation d'exploiter datant du 11/9/7 (complété par celui du 24/6/29) et valable jusqu au 31/12/11. Le site s'étend sur une superficie de 25 ha dont 13 ha sont dédiés au stockage de déchets, 1 ha sont utilisés pour les aménagements généraux et le reste laissé libre. Elle est implantée sur un site garantissant l imperméabilité du sol, qui a été renforcé par la mise en place de barrières de protection (géomembranes et géocomposites) pour éviter tout risque de pollution du sous-sol (annexe 1 : étanchéité des casiers). 1.2 Les activités de l ISDND Activités Provenance Tonnage autorisé/an Stockage des déchets résiduels (ordures ménagères et assimilées) Transit des déchets propres et secs (DPS) SMCTOM de Montpon Mussidan, SICTOM de Ribérac, SMCTOM de Nontron, CC Moyenne Vallée de l Isle et SMBGD SMCTOM de Montpon Mussidan et CC Moyenne Vallée de l Isle 5 T/an 2 T/an Plateforme de stockagebroyage des déchets verts SMCTOM de Montpon Mussidan 3 T/an Transit du verre SMCTOM de Montpon Mussidan Pas de seuil Stockage des déchets d amiante lié Particuliers issus de collectivités adhérentes et les professionnels du département Pas de seuil 2

5 1. L ISDND de St Laurent des Hommes 1.3 Les moyens humains de l ISDND F. ROUSSEL / F. COLBAS Co-présidents du SMD3 A. PALVADEAU Responsable qualité B. BOISSERIE Directeur du SMD3 Service administratif Siège SMD3 C. PORCHERON Adjointe administrative D. PALEM Responsable ISD-ND R. FAYE Adjoint technique Conducteurs engins d exploitation B. BOUILLEAU P. ENOCQ Agents d exploitation et d entretien M. MALBEC L A. VENARD Recrutements prévus en 21 : un technicien Hygiène Sécurité environnement Un agent d exploitation du réseau de biogaz 1.4 La saturation du site La prolongation de l autorisation d exploiter accordée par arrêté préfectoral permet de prévoir une saturation du dernier casier d enfouissement fin 211. Pour cela, des travaux de rehausse (création d une digue périphérique) seront réalisés en septembre 21 pour augmenter la capacité du casier en exploitation de 6m 3. Un dossier de demande d autorisation d exploitation sera déposé début 21 pour assurer la continuité du service public pour les 24 prochaines années. 3

6 2. Les déchets de l ISDND en chiffres 2.1 Les ordures ménagères et assimilées tonnes d Ordures Ménagères et d encombrants ont été traitées sur l ISDND de Saint Laurent des Hommes soit 4% des déchets ménagers du département. 4-7% Les déchets propres secs (DPS) tonnes de DPS ont transité par l ISDND en

7 2. Les déchets de l ISDND en chiffres 2.3 Les Déchets Verts 2 23 tonnes de déchets verts ont été valorisées dans le milieu agricole en 29. Ces déchets sont issus de l entretien des jardins publics, des espaces verts et des jardins des particuliers du secteur du SMCTOM de Montpon-Mussidan via les déchèteries Le verre 2 13 tonnes de verre ont transité par l ISDND en 29 pour être ensuite acheminées dans des usines de valorisation situées à Vayres (33). Le verre provient des bornes d apport volontaire du secteur de Montpon-Mussidan et du ribéracois L amiante lié 254 tonnes d amiante lié ont été accueillies sur l ISDND en 29 pour être stockées dans une alvéole spécifique

8 3. La démarche qualité 3.1 La certification ISO 141 Depuis 25 le SMD3 s'est engagé dans une démarche de management environnemental selon la norme ISO 141, sur l ISDND de Saint Laurent des Hommes et plus largement sur le fonctionnement de son siège de Coulounieix-Chamiers construit selon le référentiel HQE (Haute Qualité Environnementale). Dans ce cadre, le SMD3 a défini une politique environnementale pour traduire sa volonté de rechercher en permanence la meilleure performance environnementale (annexe 2). Pour cela, le SMD3 s'est fixé comme objectifs de prévenir tout risque de pollution des milieux naturels et de réduire les nuisances pour les riverains, en s'appuyant sur : > le respect de la législation; > le contrôle des rejets aqueux (jus de déchets traités) et atmosphériques (biogaz, odeurs); > l'engagement d'amélioration continue; > la prévention et la maîtrise des accidents et situations d'urgence; > la communication en toute transparence aux autorités et aux riverains 3.2 La gestion des effluents L exploitation d une ISDND génère divers effluents* qu il convient de maîtriser. * lixiviats : jus issus de la décomposition des déchets stockés et eaux de pluies filtrées à travers les déchets. * biogaz : gaz issu de la décomposition naturelle des déchets (méthanisation). Juin 26 : l ISDND et le siège du SMD3 ont été certifiés ISO 141 par Bureau Veritas Certification Avril 29 : renouvellement de la certification pour 3 années Projet en cours 6

9 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances La sécurité incendie La sécurité incendie est assurée par divers moyens préventifs (humidification, suivi météorologique, rondes de surveillance le week-end) et correctifs (astreintes, réserve incendie, engin, recouvrement). Canon d irrigation Station météo Matériel de recouvrement Réserve incendie (5m3) Contrôle du bruit Des mesures de bruit ont été réalisées en avril 27 par la société Stéphane Beaudet Acousticien conformément aux prescriptions de l arrêté du 23 janvier Les niveaux sonores mesurés sur le site sont conformes aux seuils fixés par la réglementation. JOUR NUIT Mesure Seuil réglementaire Mesure Seuil réglementaire Limite de propriété 6.5 db(a) 7 db(a) 37.5 db(a) 6 db(a) Zone à émergence réglementée 2 db(a) 6 db(a) db(a) 4 db(a) Analyses Beaudet - 13/4/7 Les envols de déchets La prévention est réalisée à l aide d un filet anti-envol entourant l ensemble du casier en cours d exploitation et d un grillage entourant l ensemble du site. Les abords du site sont régulièrement nettoyés par l exploitant. 7

10 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Prévention de la prolifération des oiseaux En fonction des saisons, le site est confronté à la présence de mouettes (hiver) ou de milans (été) attirés par les déchets stockés. Dispositifs de lutte mis en place : utilisation d un canon effaroucheur à déclenchement aléatoire Utilisation de fusées crépitantes réduction de la surface d exploitation Les nuisances olfactives L ISDND est confrontée à l émergence d odeurs issues de la fermentation des déchets dans le casier de stockage. La mise en place de drains horizontaux dans les déchets en 28, a été complétée par de lourds investissement en 29 pour limiter au maximum ces nuisances : forage de 19 puits de captage du biogaz Mise en place de bâche de recouvrement et de confinement Caractérisation de l impact olfactif et des risques sanitaires potentiels associés et mise en place d actions correctives : 4 HT Caractérisation des odeurs «Tous les indicateurs de risque sont inférieurs aux valeurs seuil => les risques sanitaires liés aux émissions du site ne sont pas préoccupants pour la santé des populations avoisinant le site» (Rapport de Guigues environnement) 8

11 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Forage de 19 puits de captage du biogaz dans les casiers réhabilités : 55 HT Mise en place de bâches de recouvrement : 13 HT Forage d un puits Recouvrement temporaire des déchets par bâches : confinement des biogaz pour un meilleur captage du biogaz = limitation des odeurs. Des puits de captage sont aussi construits au fur et à mesure du comblement du casier afin de capter un maximum de gaz pendant l exploitation. Puits de captage monté à l avancement L intégration paysagère Afin d intégrer au mieux l ISDND dans son environnement, le SMD3 réalise chaque année de nombreux aménagements paysagers à l intérieur mais aussi à l extérieur du site. 9

12 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Le biogaz Le biogaz (méthane) produit par les casiers de stockage d OM est collecté pour être brûlé sur site par une torchère. Cette unité fait l objet d une surveillance journalière en interne et semestrielle par un laboratoire agréé afin de vérifier que les valeurs réglementaires de rejet sont respectées (annexe 3). Projets 21/211 : valorisation électrique par la mise en place de turbines ou moteurs alimentés par le biogaz et fabricant de l électricité. Suivi qualitatif / quantitatif du biogaz torchère ISDND 29 teneur CH4 Débit (Nm3/h) teneur O2 Débit à 1% de CH O2/ CH4 % Débit (en Nm3/h) j f m a m j j a s o n d Température ( C) CO (mg/nm3) Mesure cible Mesure Seuil Analyses SGS - 17/9/9 Sortie torchère Taux de fonctionnement de la torchère en 29 : % j f m a m j j a s o n d Objectifs pour 21 : Maintenir constamment des teneurs favorables à la valorisation énergétique du biogaz (méthane : CH4> 4% et oxygène : O2<4%). Limiter les arrêts de la torchère à 48 heures sur l ensemble de l année. 1

13 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Le contrôle des eaux Dans le cadre de la surveillance du site et conformément à la réglementation en vigueur, des contrôles sont assurés aux niveaux des lixiviats avant et après traitement, des eaux souterraines, des eaux de ruissellement et du milieu récepteur. Les lixiviats Les lixiviats sont collectés au cœur des casiers par un réseau de drains afin d être traités in situ avant rejet dans le milieu naturel. Ce dispositif fait l objet d une surveillance quotidienne en interne et mensuelle par un laboratoire agréé afin de vérifier que les valeurs réglementaires de rejet sont respectées (annexe 3). En 29, un traitement complémentaire a été mis en place pour améliorer le traitement : Filtre à sable Filtre à charbon actif m3 de lixiviats traités en 29 > Le traitement des lixiviats Babiol (rejet milieu naturel) Bassin aéré Traitement physico-chimique Filtre à sable et filtre à charbon actif Projet en cours 11

14 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Le contrôle des eaux Les lixiviats ZOOM sur le traitement physico-chimique Il consiste à ajouter 2 réactifs dans les lixiviats de manière à piéger la pollution sous forme de boues et de l éliminer. > Paramètres non conformes au seuil réglementaire (%) ,2 6,5 5, % Lixiviat aéré + coagulant (chlorure d aluminium) + floculant (polymère anionique) Lixiviat après traitement physico chimique La mise en place d un traitement complémentaire en 29 (filtre à sable et filtre à charbon actif) a permis de maintenir les non-conformités sous le niveau de 28. En 21, la future station de traitement permettra de réduire nettement le nombre de paramètres non-conformes. Conformité des analyses >94% Projet 21 : construction d une usine de traitement complémentaire comprenant : réacteur biologique, filtre à sable, ultrafiltration et filtre à charbon actif. 12

15 3. La démarche qualité 3.3 La prévention des nuisances Le contrôle des eaux Les eaux souterraines Les eaux de ruissellement Le milieu récepteur - 3 piézomètres de surveillance de la nappe phréatique - Suivi trimestriel par un laboratoire agréé - Paramètres : ph, COT, résistivité, potentiel redox - eaux de pluie non en contact avec les déchets collectées par un fossé périphérique - Suivi mensuel en interne - Paramètres : ph, résistivité - Exutoire de la station de traitement des lixiviats via les lagunes - Suivi semestriel par un laboratoire agréé - Paramètres : DBO5, DCO, Ammonium, Phosphore, Coliformes totaux, O2 dissous, IBGN Les résultats de la surveillance sont présentés en annexe Le bilan hydrique 1 Précipitations sur le site en 29 précipitation cumul ) m (m s e lé u m u c s n tio ita ip c ré p ) m (m e in a m e s / s n tio ita ip c ré p 13

16 3. La démarche qualité Le contrôle des eaux 3.3 Le bilan hydrique «Le volume des précipitations météoriques peut être évalué à l aide des relevés météorologiques. Une étude sur plusieurs décharge mixtes (ordures ménagères (OM) + déchets industriels (DI)) a montré que E tr, l évapotranspiration, représentait en moyenne 75 % de la pluviométrie réelle [Barres, 199]. Une étude de l ex-anred réalisée de 1983 à 1985 en collaboration avec les exploitants de décharges, le BRGM et l IRH, sur sept sites français de classe I (souvent mixtes : D.I. + O.M.) a établi que la quantité moyenne de lixiviats récupérés dans les conditions techniques de l époque était de 1 5 m 3 /ha/an [Barres, 199] ; cela correspondait à 25 % de la pluviométrie P, soit un rapport théorique de P/4. Enfin, au-delà de dix ans, la couverture définitive réduit considérablement les infiltrations d eau et la production de lixiviats n'est plus que de,2 % de la pluviométrie [AGHTM, 2].» Nous considérons que la couverture d argile de 3 à 4m d épaisseur ne laisse percoler que.2% des précipitations dans le massif de déchets. eaux de ruissellement dirigées vers l'extérieur du site + infiltration alvéoles en exploitation (B2 / B3) avec une surface de déchets exposée à la pluie de 2 m² le reste étant bâché (eaux de ruissellement dirigées vers fond de casier) surface B1 ext surface B2 / B3 non bâchée surface B2 / B3 bâchée hypothèses de calcul retenues 2% des eaux de pluie vont traverser la couche de couverture en argile de 3/4m d'épaisseur 25% des eaux de pluie vont traverser le massif de déchets (75% évaporées ou consommées par méthanogénèse) 7% des eaux de pluie ruissellement sur les bâches vont traverser le massif de déchets (car fort débit) B2 + B3 = Précipitations mesurées sur site janv fev mars avril mai juin juillet août sept oct nov dec total , ,4 25, ,5 99 volume lixiviats casier B transféré vers traitement (m3) Mesure du débit instantané quotidiennement ,3 276, ,3 334,8 236, , production lixiviats casier B calculée (m3) surface (m²) coefficient appliqué surface B1 ext 1 9, surface totale B2 / B surface B2 / B3 non bâchée 1 675, surface B2 / B3 bâchée , m3 Nous constatons que les volumes de lixiviats calculés et mesurés sont très proches. Le système de drainage des lixiviats fonctionne donc correctement. Un sondage réalisé à la pelle mécanique a permis de vérifier en mai 21 l absence de lixiviats en fond de casier B. (charge hydraulique < 3cm). 14

17 4. Les aménagements réalisés en Les bassins de contrôle Afin de répondre à la réglementation, le système de lagunage a été supprimé, pour être remplacé par des bassins de contrôle étanches. Les réseaux d eau de ruissellement et d eau traitée (lixiviat) ont été séparés. Chaque rejet fait l objet d un contrôle hebdomadaire en interne et mensuel par un laboratoire agréé. 4.2 Le traitement des lixiviats De mars à mai 29 : une étude scientifique a été menée afin d optimiser le traitement des lixiviats : un filtre à sable et deux filtres à charbon actif complètent le traitement depuis octobre. 4.3 Diminution des nuisances 19 puits de captage du biogaz ont été forés en 29 sur les casiers réhabilités afin de réduire les nuisances olfactives dues à la décomposition des déchets Un écran végétal (6 arbres sur 3 mètres) a été planté afin de limiter la dispersion des odeurs émises par le stockage des déchets. 15

18 4. Les aménagements réalisés en Quai de déchargement Afin de poursuivre l exploitation du casier B jusqu en décembre 211, un nouveau quai de déchargement a été réalisé. Des filets anti envols ont été installés au plus près de la zone de déchargement pour éviter toute dispersion de sacs plastiques sur le site et ses alentours. Une aire de maintenance des engins d exploitation a également été construite dans le respect de la règlementation, avec une aire de dépotage du carburant étanche et reliée à un débourbeur / déshuileur. 16

19 5. Les projets pour Diminution des nuisances Le réglage du réseau de captage des biogaz sera optimisé par l acquisition d un analyseur de gaz. Les puits de captage seront montés au fur et à mesure du comblement du casier afin de collecter le biogaz en cours d exploitation. 5.2 Exploitation du casier La zone d exploitation est limitée à 2 m². Les zones en attente d exploitation sont systématiquement bâchées afin de favoriser le captage du biogaz. Le temps de compactage est déterminé de façon à obtenir une densité > 1. L exploitation du casier de stockage se poursuivra jusqu à fin 211 par la réalisation d une digue périphérique. 5.3 Améliorations du site 21 : Une station d épuration plus moderne sera construite afin d assurer un traitement optimal des lixiviats. Les sous produits (boues) seront déshydratés et enfouis sur site. 211 : Mise en place d une valorisation énergétique du biogaz (cogénération). 211 : Mise en place de champs solaires (4.5ha) sur les anciens casiers de stockage de déchets. 17

20 6. Les incidents Les incidents sont enregistrés dans le cadre de la norme ISO141 ; en 29, aucun incident n a été relevé. A noter : aucun incendie n a été constaté sur le casier en 29, grâce aux mesures de prévention : surveillance météorologique et humidification des déchets. Pour améliorer encore la prévention, une surveillance par caméra thermique est prévue pour 21 : déclenchement automatique du système d extinction et alerte de l agent d astreinte. 7. La communication 7.1 Les visites de l ISDND nombre de visiteurs de l'isdnd Prés de 9 personnes ont visité l ISDND en 29. L objectif pour 21 est de dépasser 1 visiteurs dans le cadre de la sensibilisation du public. Le public accueilli à l ISDND se compose de riverains, d associations, de scolaires ou d élus La CLIS La Commission Locale d Information et de Surveillance s est réunie le 23/1/9. Cette réunion n a fait l objet d aucune remarque particulière sur le fonctionnement du site. 18

21 8. Annexes 8.1 Annexe 1 : étanchéité des casiers 19

22 8. Annexes 8.2 Annexe 2 : Politique environnementale du SMD3 2

23 8. Annexes 8.3 Annexe 3 : Analyses des rejets Suivi de la qualité des rejets atmosphériques Analyses en entrée de torchère (SGS - 17/9/9) CH4 (%) CO2 (%) O2 (%) H2S mg/nm3 Valeur Analyses en sortie de torchère (SGS - 17/9/9) Valeurs Température ( C) SO2 (mg/nm3) CO (mg/nm3) HCl (mg/nm3) HF (mg/nm3) CO2 (%) O2 (%) 8.8 Seuil réglementaire 15 21

24 2 5 DCO (mg/l) DBO5 (mg/l) Cyanures (μg/l) Hydrocarb. to35.3 taux (mg/l) Etain (mg/l) Sn Fer (mg/l) Fe Aluminium (mg/ L) Al Zinc (mg/l) Zn Nickel (mg/l) Ni Cuivre en Cu (mg/l) Cu Cadmium (mg/l) Cd Chrome (mg/l) Cr Mercure (mg/l) Hg Plomb (mg/l).71 PB Manganèse (mg/ L) Mn Métaux totaux* (mg/l) Chrome VI (mg/ 7.1 L) Arsenic (mg/l) Composés halogénés absorba bles (μg/l) 2.5 * somme PB, Cu, Cr, Ni,Mn, Zn, Sn, Cd, Hg, Fe, Al En rouge : Valeurs supérieures au seuil réglementaire flux / 18/5 jour flux / 8/4 jour flux / 17/3 jour flux / flux / flux / juin jour juil jour 28/8 jour pas pas pas de de de rejt rejet rejte pas de rejet flux / sept jour flux / flux / 17/11 jour 15/12 jour non non mesuré mesuré car pb car pb flux / 2/1 jour 8.3 Annexe 3 : Analyses des rejets flux / 24/2 jour MEST (mg/l) COT en C (mg/ L) Azote total (mg/ L) Phosphore total (mg/l) Indice phénol (μg/l) Fluorures en F (μg/l) 14.7 flux / 14/1 jour T C air T C eau ph (sur place) Conductivité (μs/cm) Débit (m3/h) Date 8. Annexes Suivi de la qualité des rejets de lixiviats traités (LDAR) en 29 22

25 8. Annexes 8.3 Annexe 3 : Analyses des rejets Suivi de la qualité des eaux souterraines - Analyses 29 (LDAR) 23/9/29 analyse annuelle piézo 1 piézo 2 piézo 3 Manganèse (µg/l) chlorures (mg/l) sulfate (mg/l) 3,8 8,3 4,5 magnésium (mg/l) plomb (µg/l),9,9 1,3 cuivre (mg/l),11,1,1 chrome (µg/l),5,5,5 nickel (µg/l) 1,3,5,5 zinc (mg/l),3,1,1 etain (µg/l),5,5,5 cadmium (µg/l),5,5,5 mercure (µg/l),5,5,5 DCO (mg/l) DBO5 (mg/l) MES (mg/l) ammonium (mg/l),1,1,1 PO4 (mg/l),5,13 1,29 niveau piézométrique 23

26 8. Annexes 8.3 Annexe 3 : Analyses des rejets Suivi de la qualité des eaux de ruissellement (auto surveillance) Suivi de la qualité des eaux du milieu récepteur (LDAR) La méthode IBGN (indice biologique global normalisé) permet d apprécier la qualité des eaux courantes en analysant le peuplement d invertébrés benthiques (qui vit au fond de l eau), considéré comme une expression de la qualité globale de la rivière. Elle se traduit par une note sur 2 et est composée de 2 composantes : le groupe indicateur (GI) qui correspond à la qualité de l eau, et la variété taxonomique qui correspond à la variété des habitats. En 29, le laboratoire départemental d analyses et de recherche a réalisé une mesure de l IGBN: la note attribuée en amont du site est la même qu en aval, ce qui démontre l absence d impact écologique de l ISDND sur le milieu récepteur. Note en amont : 1/2, qualité moyenne Note en aval : 1/2, qualité moyenne La qualité «moyenne» est due au fait que le fond du Babiol est fortement colmaté (ensablement) : l activité biologique est donc réduite. 24

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