Février 2006!""# $%&!""#&!&'# ( ) * +, "-.$/0 (0""""%!! " #"

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Février 2006!""# $%&!""#&!&'# ( ) * +, "-.$/0 (0""""%!! " #""

Transcription

1 Février 2006!""# $%&!""#&!&'# ( ) * +, "-.$/0 (0""""%!! " #"

2 1()* 1 +, "-.$/0(0""""%!!""# $%&!""#&!&'# $! " #$%#$#$ % &'()*'(+,

3 SOMMAIRE GLOSSAIRE 1. INTODUCTION Rappel du contexte général Objectifs de l étude Contenu de l étude PRESENTATION GENERALE DU SECTEUR D ETUDE CARACTERISTIQUES DE L HABITAT AQUATIQUE DU RUISSEAU DU CANAL EN AMONT ET AVAL DES ETANGS NARLIN Méthodologie d étude Composantes habitationnelles du tronçon amont Présentation générale Constitution des fonds Colmatage par les dépôts limoneux Degré de diversification des fonds Composantes habitationnelles du tronçon aval Présentation générale Constitution des fonds Colmatage par les dépôts limoneux Degré de diversification des fonds CALCUL DES NIVEAUX TYPOLOGIQUES DU RUISSEAU DU CANAL ET DU RUISSEAU DE LA COMBE BAUDOT ETUDE DES BIOCENOSES BENTHIQUES Méthodologie d étude Stations d étude Localisation Caractéristiques stationnelles Résultats globaux Analyse faunistique stationnelle détaillée Station 5 : amont étang Val des Choues Station 4 : aval étang Val des Choues Station 2 : aval complexe des étangs Narlin Station 6 : Ruisseau de la Combe Baudot PROPOSITION D UN SUIVI EN VUE D EVALUER LES INCIDENCES DES REJETS DU CHENIL DE L ABBAYE DU VAL DES CHOUES SUR LA QUALITE DU RUISSEAU DU CANAL Rejets géneres par le chenil Nature des pollutions Traitement des rejets Auto-surveillance des rejets Proposition d un protocole de suivi physico-chimique et ecotoxicologique Sites d étude Paramètres à étudier Fréquences d analyses CONCLUSION...36

4 Annexes : Description des sites d étude et tableaux d échantillonnages MAG 20 et IBGN Listes faunistiques MAG 20 Listes faunistiques IBGN Liste faunistique établie dans le cadre de l étude ICPE du chenil de l abbaye du Val des Choues Fiche sécurité «Saniterpen plus» Etude réalisée par : 6, bis rue de Franche-Comté BESANCON Tél : / Fax :

5 GLOSSAIRE Apical : qualifie la zone amont (proximité de la source) des cours d eau Benthique: qui vit sur le fond d un cours d eau, d un plan d eau Biocénose : ensemble des organismes vivants occupant un milieu, organisés selon des relations établies Bryophytes: Mousses DBO5 : Demande biologique d oxygène en 5 jours. Expression de la quantité d oxygène nécessaire à la dégradation par voie biologique de la pollution organique. DCO : Demande chimique en oxygène. Expression de la quantité d oxygène nécessaire à l oxydation de matières réductrices Dystrophie: Dysfonctionnement d un écosystème, induit par un excès en éléments nutritifs Eaux vannes : effluents générés par les déjections humaines et animales Ecosystème : Ensemble d espèces vivantes (biocénose) considérées avec leur environnement (biotope) comme une unité fonctionnelle Edifice trophique : différents niveaux de la chaîne alimentaire EH : Equivalent Habitant : unité correspondant à la quantité de pollution journalière émise par un habitant Embâcle: accumulation de branchages, de tronc d arbre,... obstruant partiellement ou totalement l écoulement des eaux dans le lit d un cours d eau Etiage: débit le plus faible d un cours d eau et par extension: époque de basses eaux Eurytherme : organisme capable de supporter une large variation de température Habitat (d un cours d eau) : Caractérise les composantes morpho-dynamiques : nature et granulométrie du fond ; vitesses d écoulement ; hauteur de l eau. La complexité de l habitat influence la nature et la composition de la faune aquatique. Généralement, plus les caractéristiques habitationnelles sont variées, plus le peuplement faunistique est diversifié. Ichtyofaune : ensemble des poissons vivant dans un espace géographique ou un habitat déterminé Lentique: caractère des eaux calmes, stagnantes ou faiblement courantes Lotique: caractère des eaux courantes Macrofaune: faune visible à l oeil nu Mouille : partie profonde d un cours d eau, à écoulement lent MES : Matières En Suspension dans l eau Mésologique : relatif aux paramètres physico-chimiques Oligotrophe : caractérise des eaux pauvres en matières nutritives Polluosensibilité: niveau de sensibilité vis-à-vis des pollutions

6 Radier : partie d un cours d eau où l eau, sans profondeur, coule rapidement Rhéophile: espèce vivant dans les eaux courantes Ripisylve: Végétation colonisant les rives d un cours d eau Sténotherme : organisme ne tolérant qu une faible amplitude thermique Taxon: groupe faunistique ou botanique homogène, de niveau systématique variable (genre, famille, espèce,... Typologie : Détermination des traits caractéristiques dans un ensemble de données, en vue de distinguer des types, des systèmes,. Classification Ubiquiste: qualifie une espèce que l on rencontre partout

7 1. INTRODUCTION 1.1 RAPPEL DU CONTEXTE GENERAL Dans le cadre de la restauration du potentiel astacicole du ruisseau du Canal situé dans le Val des Choues dans la forêt domaniale de Châtillon et conformément aux objectifs de gestion du site NATURA 2000 n FR «Milieux forestiers du Châtillonnais avec marais tufeux et sites à sabot de Vénus» et du programme LIFE 04NAT/FR/ «Ruisseaux de têtes de bassins et faune associée», l Office National des Forêts (ONF) projette la vidange et la mise en assec du complexe des étangs Narlin-Vieille Digue- Tézenas. L objectif du programme LIFE 04NAT/FR/ «Ruisseaux de têtes de bassins et faune associée» est d expérimenter des techniques de préservation et de restauration de la qualité de l eau et des habitats liés aux ruisseaux de têtes de bassin versant sur les régions Bourgogne et Franche-Comté, afin de bénéficier d exemples reproductibles. Les actions envisagées visent à favoriser les quatre principales espèces de l Annexe II de la Directive Habitats-Faune-Flore liées à ces milieux : L écrevisse à pieds blancs, la moule perlière, la lamproie de Planer et le chabot. Ces espèces serviront de marqueurs biologiques afin de juger des résultats des actions sur le milieu. Parmi les sites NATURA sur lesquels se dérouleront les expérimentations du programme LIFE, figure le site FR «Forêt de Châtillon», dont fait partie le Ruisseau du Canal. Ce ruisseau, issu d un bassin versant karstique forestier, accueille une population relictuelle d écrevisses à pieds blancs (Austopotamobius pallipes) dans sa partie amont sur une longueur d environ 500 m. Or, il existe un important réseau de plans d eau sur le cours d eau, impactant la qualité des eaux et limitant les possibilités de recolonisation de l écrevisse sur ce ruisseau. La restauration de l habitat de l écrevisse à pieds blancs, mais aussi du chabot et de la lamproie de Planer deux espèces également présentes dans le ruisseau du Canal, constitue un enjeu de conservation prioritaire du Val des Choues. Aussi, pour atteindre cet objectif de conservation, la mesure n 7 du DOCument d OBjectifs et de gestion (DOCOB) du site NATURA 2000 prévoit sur le bassin versant du Ruisseau du Canal, l effacement d un complexe de 5 étangs à faible valeur piscicole et halieutique, situé en aval immédiat du tronçon relictuel à écrevisses à pieds blancs. Ces plans d eau constituent à l heure actuelle des obstacles à l expansion de la population d écrevisses à pieds blancs vers l aval du bassin versant et contribuent à perturber les peuplements piscicoles et astacicoles du ruisseau, par apports d espèces prédatrices ou concurrentes. L objectif principal de l opération d effacement des plans d eau est donc d offrir au ruisseau, un tronçon supplémentaire favorable à l écrevisse à pieds blancs. Parallèlement, cette action permettra de supprimer une source de perturbation de la qualité du ruisseau, au regard de la qualité physico-chimique de l eau (et notamment de la température de l eau) et de la qualité piscicole (suppression d une source d apports d espèces piscicoles indésirables).

8 1.2 OBJECTIFS DE L ETUDE La présente étude vise à réaliser un bilan écologique du Ruisseau du Canal, avant la réalisation des travaux d effacement du complexe des étangs Narlin/Vieille Digue/Tézenas afin : de dresser un état initial avant travaux, permettant d évaluer par la suite, les incidences des opérations de vidange et d effacement sur les composantes biologiques et les caractéristiques habitationnelles du ruisseau du Canal d apporter des éléments permettant d évaluer les incidences écologiques actuelles des plans d eau sur les peuplements biologiques du ruisseau (macrofaune benthique), de mesurer les effets des rejets actuels et futurs du Chenil de l abbaye du Val des Choues situé en tête de bassin versant du ruisseau du Canal. Cette étude s inscrit dans un programme de suivi scientifique, qui comprend en autres, une étude piscicole (basée sur des pêches électriques d inventaires réalisées en Août 2005 par le Conseil Supérieur de la Pêche, à la demande de l ONF), visant à établir l état du peuplement piscicole et astacicole du ruisseau du Canal, de part et d autre du complexe d étangs à effacer. 1.3 CONTENU DE L ETUDE Afin de répondre aux objectifs de la mission, l étude se décompose en plusieurs phases : Caractérisation de l habitat aquatique du ruisseau du Canal : Il s agit de réaliser un état avant travaux, des caractéristiques habitationnelles du ruisseau du Canal en amont et aval immédiat du complexe d étangs à effacer Détermination des niveaux typologiques du ruisseau du Canal, dans le but de définir le référentiel biologique potentiel du ruisseau Etude des biocénoses benthiques, du ruisseau du Canal (3 stations d étude ) et du ruisseau de la Combe Baudot (une station), hydrosystème témoin, situé dans une vallée adjacente au Val des Choues Proposition d un suivi qualitatif de l eau, en vue d évaluer les incidences des rejets du chenil de l abbaye du Val des Choues

9 2. PRESENTATION GENERALE DU SECTEUR D ETUDE Le secteur d étude s inscrit dans le Val des Choues, vallon forestier froid parcouru par le ruisseau du Canal, qui accueille plusieurs espèces d intérêt communautaire, dont l écrevisse à pieds blancs, le chabot, la lamproie de Planer, le cincle plongeur Ce vallon se développe au sein de la forêt domaniale de Châtillon, à fort intérêt écologique et patrimonial, faisant l objet d un classement en ZNIEFF et en NATURA Les milieux forestiers occupant le Val des Choues se localisent sur des sols temporairement inondables de part et d autre du ruisseau : l aulnaie-frênaie sur sol humide constitue le peuplement forestier le plus proche du ruisseau ; au delà, se développe la chênaie pédonculée. Le fond de vallon est occupé par des petits ruisseaux forestiers, des étangs oligotrophes et des zones marécageuses d importance communautaire.

10 3. CARACTERISTIQUES DE L HABITAT AQUATIQUE DU RUISSEAU DU CANAL EN AMONT ET AVAL DU COMPLEXE DES ETANGS NARLIN-VIEILLE DIGUE 3.1 METHODOLOGIE D ETUDE L habitat aquatique défini par les composantes physiques structurant l espace fluvial, a été étudié dans le but d établir un état initial avant les opérations de vidange du complexe des étangs Narlin/Vieille Digue/Tézenas. Pour répondre à cet objectif, ont ainsi été relevés et cartographiés à l échelle 1/100, les paramètres pouvant être impactés par l opération de vidange et de mise en assec des étangs : Caractéristiques dimensionnelles (largeur, section type) Nature du substrat. Les substrats occupant les fonds du ruisseau du Canal dans le secteur d étude sont les suivants : Matrice minérale Matrice végétale et organique Sables ( < 0.25 cm) Graviers (0.25 cm < < 2.5 cm) Cailloux, galets (2.5 cm < < 25 cm) Blocs ( > 25 cm) Branchage Système racinaire Végétation hélophytique Indication du colmatage par les matières fines limoneuses Séquence radier /mouille Vitesse des écoulements Figures d érosion latérale Deux tronçons du ruisseau du Canal ont ainsi été étudiés : Un tronçon de 200 m en amont immédiat du complexe des 5 étangs (tronçon hors influence de la queue de l étang Narlin supérieur) Un tronçon de 200 m en aval immédiat de l étang Vieille Digue Ouest. La reconnaissance de terrain s est déroulée le 8 Septembre 2005, en période d étiage sévère, alors que la partie située en amont du complexe des étangs Narlin était quasiment asséchée (dysfonctionnement du déversoir de l étang du Val des Choues en amont). Le report cartographique de l habitat aquatique (échelle 1/100) est consultable dans l annexe cartographique hors texte.

11 3.2 COMPOSANTES HABITATIONNELLES DU TRONÇON AMONT Présentation générale Le tracé du ruisseau du Canal dans ce secteur compris entre l étang du Val des Choues et l étang Narlin supérieur (linéaire entre les deux plans d eau de l ordre de 500m) a vraisemblablement été modifié par le passé : son tracé est anormalement rectiligne et ses débits sont court-circuités par un canal latéral prenant naissance en aval immédiat de l étang du Val des Choues et rejoignant le ruisseau en amont immédiat de la tranchée de Tête Vaillant. Le tronçon étudié a fait l objet d aménagements ponctuels (mise en place d épis en enrochements et de seuils), afin de diversifier la mosaïque habitationnelle. Le ruisseau du Canal présente une largeur moyenne de 2.5 à 3 m. Quelques points singuliers sont notés : rétrécissements localisés (2 m) en aval de l ouvrage hydraulique (OH) de la tranchée de Tête Vaillant ; surlargeur de 4 m en amont immédiat de ce même ouvrage. Les fonds sont plats. Les faciès d écoulement sont influencés par les ouvrages et aménagements réalisés sur ce tronçon: seuils constitués de planches, de troncs ou d enrochements ; épis déflecteurs en enrochements ; ouvrage hydraulique de la tranchée de Tête Vaillant. La hauteur des berges est peu élevée (0.5 m en moyenne) sur les 100 premiers mètres, puis s accentue en aval (1 à 1.5 m). Les berges sont verticales à sub-verticales et sont le siège d érosions en rives droite et gauche sur environ 31% du linéaire étudié (62 m). Ces érosions latérales sont rencontrées dans les parties amont (PK 55 à 75) et terminale (aval de l OH de la tranchée de Tête Vaillant). Ces dégradations de berges ont mis à nu les systèmes racinaires des essences arborées bordant le ruisseau Constitution des fonds Les fonds du ruisseau du Canal sont constitués majoritairement de matériaux meubles : les plages de graviers, avec un taux de recouvrement de 46.5% constituent le substrat dominant ; les dépôts de sable, deuxième substrat dominant, avec 23% de recouvrement, occupent généralement les secteurs où les vitesses d écoulements sont ralenties (zones rivulaires ; zones sous influence des aménagements réalisés: seuils, épis, ouvrage hydraulique). Les fonds à granulométrie plus grossière (cailloux anguleux) sont essentiellement rencontrés dans les parties apicale (PK 0 à PK 35) et terminale (PK 171 à PK 190) du tronçon étudié. Ils couvrent 21 % des fonds. Les autres supports observés sont accessoires (1.2 à 3.4 %) : branchages, blocs, hélophytes, fond artificiel (buse).

12 A noter que les blocs sont essentiellement issus d apports anthropiques, liés aux opérations de valorisation de l habitat aquatique. Répartition des substrats : Taux de recouvrement Substrat dominant Graviers 46.5 % Substrats Sable 23% secondaires Cailloux 21% Substrats Branchages 3.4% accessoires Artificiel (OH) 2.5% Blocs 2.4% Hélophytes 1.2% Sable Branchages Hélophytes Artificiel Blocs Cailloux Graviers Répartition des substrats sur le tronçon amont Colmatage par les dépôts limoneux Le colmatage limoneux est assez peu étendu, car seuls 14.3 % des fonds sont colmatés par des dépôts de faible épaisseur (< 1cm). Il est localisé en amont immédiat de l OH de la tranchée de Tête Vaillant et s explique par le contexte particulier de cette zone et par les conditions hydrologiques lors de la période d étude (assèchement partiel) : rétrécissement hydraulique entraînant une diminution des vitesses et favorisant la sédimentation des éléments fins ; apports vaseux issus du canal latéral Degré de diversification des fonds D une façon générale, les fonds du tronçon amont sont peu diversifiés et la mosaïque habitationnelle est très simple : de grandes plages minérales, généralement constituées d un seul type granulométrique (graviers ou sable ou cailloux) occupent les fonds du ruisseau. Les quelques éléments de diversification présents, sont d origine variable : éléments naturels (branchage notamment) ; aménagements d origine anthropique (épis et seuils édifiés à l aide de petits blocs ). Notons toutefois, que le secteur terminal situé en aval de l OH de la tranchée de Tête Vaillant, se singularise par un habitat aquatique plus varié, avec un degré d imbrication plus important des substrats présents (cailloux, sable, graviers, branchages).

13 3.3 COMPOSANTES HABITATIONNELLES DU TRONÇON AVAL Présentation générale Le ruisseau du Canal à l aval du complexe des étangs Narlin/Vielle Digue/Tézenas présente une largeur variable : 3 m en moyenne dans la partie amont du tronçon ; 2.5 m dans la partie intermédiaire ; 3.5 m dans la partie aval. Les fonds sont généralement plats, mais on note également la présence de quelques surprofondeurs (mouilles) de 0.1 à 0.3 m de profondeur. Ces mouilles sont associées à des vitesses d écoulement faibles à très faibles et à un colmatage limoneux de 1 à 5 cm d épaisseur. Les faciès d écoulement lotiques sont dominants sur le tronçon étudié. Les berges verticales à sub-verticales présentent des hauteurs variables : de 1 à 2 m (hauteur dissymétrique) sur les 2/3 amont du tronçon, la hauteur se réduit à moins d un mètre sur le tiers aval (0.7 m en moyenne). Les érosions latérales peu intenses (alternativement en rive droite et rive gauche) s étendent sur un tronçon de près de 78 m (PK 42 à 120), soit 39% du linéaire étudié. Le tronçon présente la particularité de réceptionner des apports d eaux latéraux issus de «bassins» adjacents en communication hydraulique avec l étang Vieille Digue Ouest Constitution des fonds Les fonds sont très majoritairement constitués de cailloux anguleux (92%), ce qui confère au tronçon étudié, une grande homogénéité habitationnelle. Les 5 autres substrats présents (cf. tableau suivant) sont très peu représentés (0.1 à 3.2 %). Les branchages et racines, avec un taux de recouvrement total de 3.8 %, sont disséminés sur le secteur. Les plages de graviers et herbiers d hélophytes sont situés en zone rivulaire de façon sporadique. La présence de blocs est marginale (< 0.1%). Répartition des substrats : Taux de recouvrement Substrat dominant Cailloux 92 % Substrat secondaire / Substrats Racine 3.2% accessoires Graviers 2.8 % Hélophytes 1.3 % Substrats Branchages 0.6 % très rares Blocs < 0.1 % Racines Branchages Graviers Cailloux Hélophytes Blocs Répartition des substrats sur le tronçon aval

14 3.3.3 Colmatage par les dépôts limoneux Un colmatage limoneux des supports est notablement observé. Il recouvre près de 34 % des fonds, avec des épaisseurs variables, mais ne dépassant pas 5 cm : Epaisseur inférieure à 1cm : 87 m², soit 14.2 % Epaisseur comprise entre 1 et 5 cm : 119 m², soit 19.4 % Epaisseur égale à 5 cm : 2.8 m², sot 0.46 %. Le colmatage limoneux, issu de la sédimentation des matières fines lorsque les vitesses d écoulement s atténuent, est rencontré systématiquement au niveau des mouilles et plus localement en bordure du lit Degré de diversification des fonds Les fonds sont homogènes, avec une mosaïque de substrats peu complexe, où domine très nettement, une matrice granulométrique grossière (cailloux). Globalement, peu d éléments de diversification sont présents et la structure habitationnelle apparaît très simple.

15 4. CALCUL DES NIVEAUX TYPOLOGIQUES DU RUISSEAU DU CANAL ET DU RUISSEAU DE LA COMBE BAUDOT La distribution des espèces de l amont à l aval d un cours d eau dépend d un certain nombre de paramètres mésologiques, qui déterminent des types d associations faunistiques théoriques (biocénotypes), constituant une typologie de référence. Ainsi, toute portion morphologiquement homogène d un cours d eau peut être associée à un des 10 types écologiques définis par Verneaux. Ces types se succèdent le long d un modèle longitudinal abstrait. Le peuplement théorique d un tronçon de cours d eau est ainsi donné par la détermination du niveau typologique théorique (Verneaux ) calculé à partir de données thermiques, trophiques et morpho-dynamiques. Calcul du niveau typologique théorique Le niveau typologique théorique (T) d une station est donné par la relation suivante : T = 0,45 T1 + 0,30 T2 + 0,25 T3 T1 = facteur thermique, constituant le déterminant principal. Il tient compte de la température maximale moyenne de l eau ( T) des 30 jours consécutifs les plus chauds T1 = 0,55 T - 4,34 T2 = facteur trophique : produit de la distance à la source (d0 en km) et de la dureté totale (D en mg/l) T2 = 1,17 ln (do x D ) + 1,50 T3 : facteur morpho-dynamique Il est fonction de la section mouillée à l étiage (S en m²), de la pente (p en ) et de la largeur du lit (l en m) T3 = 1,75 ln (Sm/(p x l²) x 100) + 3,92 Il existe ainsi 10 niveaux typologiques théoriques (notés B0 à B9), chaque niveau étant défini par un groupement d espèces présentant des caractéristiques écologiques voisines. Ainsi, la détermination du niveau typologique théorique permet de définir le groupe d espèces qui devrait théoriquement peupler le tronçon de rivière étudié.

16 Le tableau suivant présente les niveaux typologiques théoriques évalués au droit de 4 stations d étude (cf. carte de localisation des sites d étude), dont : trois stations sur le ruisseau du Canal une station sur le ruisseau de la Combe Baudot, petit affluent de la Digeanne s écoulant dans la vallée adjacente et parallèle à celle du ruisseau du Canal. Ce ruisseau d environ 1 km, de part son contexte géographique (bassin versant forestier ; absence de perturbations anthropiques) est considéré comme cours d eau de référence. Notons toutefois que ce ruisseau à écoulement faible, a été anciennement redressé et présente une capacité habitationnelle assez faible. RUISSEAU DU CANAL RUISSEAU DE LA AMONT ETANG VAL DES CHOUES S5 AVAL ETANG VAL DES CHOUES S4 AVAL COMPLEXE ETANGS NARLIN S2 COMBE BAUDOT (station de référence) S6 Température ( C) Distance source (km) Dureté totale (mg/l) Section mouillée (m²) Pente (0/00) Largeur lit (m) Niveau typologique théorique calculé Niveau typologique théorique B3 B4 B4 B2+ Zonation d Illiès épirhithron métarhithron métarhithron épirhithron Zone piscicole selon Huet Zone à truite supérieure Zone à truite moyenne Zone à truite moyenne Zone à truite supérieure Remarques concernant les paramètres mésologiques pris en compte : La dureté totale (mg/l) a été estimée à partir des valeurs moyennes de dureté mesurées sur les étangs Narlin et Vieille Digue en Le facteur thermique été évalué à partir des mesures en continu effectuées au printemps et été 2005, dans le cadre du programme LIFE «Ruisseaux de têtes de bassins et faune patrimoniale associée». La zonation typologique du ruisseau du Canal correspond à un niveau typologique B3 en amont de l étang du Val des Choues, évoluant vers l aval, vers un biocénotype B4. Rappelons que le facteur «température» intervient de façon prépondérante, dans la détermination de la structure typologique. Le glissement d un niveau typologique au suivant, du seul fait d une modification de la température correspond à un échauffement moyen d environ 3 C.

17 La température relevée dès la station la plus apicale (S5) paraît anormalement élevée au regard du contexte hydrographique et en référence à des données couplées température/distance aux sources effectuées sur des rivières référentes de Bourgogne Franche-Comté. Le glissement typologique observé entre d une part la station 5, et d autre part les stations 4 et 2, est essentiellement expliqué par l élévation notable de la température de l eau, à l aval de l étang du Val des Choues. En particulier, le secteur situé en aval de cet étang (station S4), semble particulièrement sensible à ce «vieillissement» typologique, signalant l influence de l augmentation de la température de l eau dans ce tronçon court-circuité par le canal (le réchauffement induit par l étang du Val des Choues est amplifié par les faibles débits transitant dans le ruisseau court-circuité). Au niveau de la dernière station située en amont du Pont de Lantive (S2), les apports latéraux d eaux fraîches issues de sources, tempèrent quelque peu, les réchauffements générés par les étangs Narlin et Vieille Digue. Le ruisseau de la Combe Baudot dans le secteur d étude correspond à un niveau typologique intermédiaire entre le B2/B3 (noté B2+) correspondant à l épirhrithron. Théoriquement, la composition et la structure de sa biocénose aquatique (benthos, ichtyofaune) devrait donc se rapprocher de celles du ruisseau du Canal, en amont de l étang du Val des Choues.

18 5. ETUDE DES BIOCENOSES BENTHIQUES 5.1 METHODOLOGIE D ETUDE La qualité hydrobiologique du ruisseau du Canal et du ruisseau de la Combe Baudot a été étudiée par application du protocole MAG 20, établi par l Université de Franche-Comté et le bureau d études Téléos. Comparativement à l Indice Biologique Global Normalisé (IBGN) faisant l objet de la norme AFNOR NF T de Mars 2004, il s agit d une méthode d évaluation de la qualité biologique d un cours d eau fondée sur une prospection plus complète de l espace fluvial s appuyant sur une description plus fine de l habitat aquatique et sur une détermination plus poussée des taxons prélevés. Ainsi, ont été échantillonnés sur chaque placette d étude, d une longueur voisine de 10 fois la largeur du lit du ruisseau, 20 micro-habitats définis par l association des trois composantes majeures de l habitat aquatique (nature du substrat, vitesse du courant et hauteur d eau), permettant de prospecter une gamme d habitats diversifiée. La détermination de la faune a été poussée au genre pour les insectes (excepté les diptères), les Mollusques, les Triclades et Achètes. Le protocole d échantillonnage permet également d évaluer l IBGN. Les fiches descriptives des stations d étude, les grilles d échantillonnage et les listes faunistiques détaillées sont présentées en annexe. A noter que nous avons également évalué le Coefficient d aptitude Biogène (CB 2 ) (Verneaux, 1982), coefficient permettant de distinguer les facteurs de qualité biologique : In : Indice «nature» de la faune, exprimant la sensibilité des taxons à la qualité de l eau Iv : Indice «variété taxonomique», reflet de la richesse faunistique dépendant de la qualité de l eau et de l habitat aquatique.

19 5.2 STATIONS D ETUDE Localisation Les stations d étude sont les suivantes (cf. carte de localisation des sites d étude) : STATION LOCALISATION REMARQUE Ruisseau S5 Amont étang Val des Choues du Canal S4 Aval étang Val des Choues Amont complexe étangs Narlin S2 Aval complexe des étangs Narlin/Vieille Digue Ruisseau de la S6 Combe Baudot Aval immédiat du pont de la tranchée de Tête Vaillant (secteur où le ruisseau n est plus court-circuité par le canal latéral) Amont du Pont de Lantive Station de référence 450 m en aval de la source Absence de source de perturbation

20 5.2.2 Caractéristiques stationnelles Les fiches descriptives détaillées des placettes d étude sont consultables en annexe. Station 5 : Amont étang Val des Choues Lit légèrement sinueux en zone forestière. Largeur du lit mouillé peu variable, d environ 2.5 m ; hauteur d eau moyenne de l ordre de 0.1 m, fluctuant entre 0.05 et 0.3 m. Ecoulements lotique et lentique, avec prédominance des vitesses comprises entre 5 et 25 cm/s. Mosaïque habitationnelle assez diversifiée, avec 7 substrats présents : cailloux et sable dominants (60%), graviers, blocs, branchages, vase. La végétation aquatique est très peu développée (< 5% de recouvrement). Station 4: Aval étang Val des Choues Amont complexe étangs Narlin Lit rectiligne, en zone forestière. Largeur du lit mouillé de 2.5 m ; hauteur d eau moyenne de l ordre de 0.1 m, variant entre 0.05 et 0.25 m. Ecoulements lotiques et lentiques. Mosaïque habitationnelle moyennement diversifiée (5 substrats), nettement dominée par les plages de cailloux (45%) et graviers (35%). Présence de dépôts sableux, de branchages et très localement de blocs. La végétation aquatique est absente.

21 Station 2: Aval complexe étangs Narlin Profil en long sinueux, en zone forestière. Largeur du lit mouillé de 2 m ; hauteur d eau moyenne de l ordre de 0.15 m, évoluant entre 0.05 et 0.3 m. Ecoulements diversifiés lotique et lentique, avec 3 classes de vitesses ; prédominance des vitesses assez rapides. Mosaïque habitationnelle moyennement diversifiée : 6 substrats présents ; fonds majoritairement composés de plages de cailloux (45%) et graviers (30%). Présence de dépôts sableux, de branchages, d hélophytes, et marginalement de dépôts vaseux. Station 6: Ruisseau de la Combe Baudot Profil en long assez rectiligne, en zone forestière. Largeur du lit mouillé de 1.5 m ; hauteur d eau moyenne uniforme de l ordre de 0.10 m. Ecoulements diversifiés lotique et lentique, avec 3 classes de vitesses ; prédominance des vitesses assez rapides. Mosaïque habitationnelle moyennement diversifiée : 6 substrats présents ; fonds majoritairement composés de plages de cailloux (35%) et graviers (35%). Présence de branchages, de dépôts sableux et vaseux, et marginalement de blocs. La végétation aquatique est absente.

22 5.3 RESULTATS GLOBAUX VARIETE TAXONOMIQUE (famille) TAXON INDICATEUR ABONDANCE TOTALE (individus/m²) IBGN CLASSE DE MAG 20 IBGN MAG 20 et IBGN MAG 20 IBGN QUALITE S5 - amont étang Goeridae vert VDC (GI=7) S4 - aval étang VDC Leuctridae vert (GI =7) S2 - Aval étangs Narlin Leuctridae (GI =7) vert S6 - Combe Baudot Odontoceridae (GI=8) vert A noter qu une étude hydrobiologique ponctuelle réalisée en aval immédiat de l abbaye du Val des Choues dans le cadre de la demande d autorisation au titre des Installations Classées pour la Protection de l Environnement a abouti à un IBGN de 13/20, avec une variété taxonomique de 29 et un taxon indicateur de niveau 5 de l échelle de polluosensibilité (Hydroptilidae). Notons dans la liste faunistique alors établie (cf. annexe), la présence du Trichoptère Philopotamidae, organisme polluo-sensible (GI=8), non répertorié dans le cadre de la présente étude. Densité (/m²) (M AG 20 - IBGN) Variété taxonomique (MAG 20 - IBGN) S5 S2 Combe Baudot (S6) S5 S2 Combe Baudot (S6) Taxon indicateur (M AG 20 - IBGN) IBGN S5 S4 S2 Combe Baudot (S6) S5 S4 S2 Combe Baudot (S6) 15

Stage Initiateur Canyon Villebois, oct. 2006

Stage Initiateur Canyon Villebois, oct. 2006 Stage Initiateur Canyon Villebois, oct. 2006 Quelques bases en Hydrologie et Écologie Aquatique Hélène Luczyszyn, hydrobiologiste 1 Hydrologie Quelques définitions Précipitations Infiltration : +/- en

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH

Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH Les macroinvertébrés: des bioindicateurs incontournables pour le monitoring des cours d eau en CH 4 e Rencontres de l eau 20 mars 2015, UNIL Nathalie Menétrey Hydrobiologiste Bureau d étude aquatique et

Plus en détail

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique

collection mise au point état initial et prévision d impact dans les documents d incidences milieu aquatique collection mise au point milieu aquatique état initial et prévision d impact dans les documents d incidences 1 PRINCIPES DE LA DEMARCHE.. 10 1.1. CHAMP D APPLICATION.... 12 1.2. UNE DEMARCHE EN QUATRE

Plus en détail

Exemple du SATESE MAGE 42

Exemple du SATESE MAGE 42 LE LAGUNAGE Exemple du SATESE MAGE 42 Rapide état des lieux Perspectives d association avec le procédé Filtre Planté de roseaux LAGUNAGES DU DEPARTEMENT DE LA LOIRE Conception et dimensionnement Principaux

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

Calopteryx vierge Mâle et femelle ne se ressemblent pas. Le mâle du Calopteryx vierge a des ailes brun noir foncé veinées de bleu. Ce redoutable prédateur reste perché sur des plantes de la berge ou sur

Plus en détail

16- Grand lac Shaw Portrait 2006

16- Grand lac Shaw Portrait 2006 Grand lac Shaw 16- Grand lac Shaw Portrait 2006 16.1 Localisation et description physique du Grand lac Shaw : Municipalité St-Narcisse-de- Rimouski Bassin versant (sous-bassin) Tenure Altitude (m) Latitude

Plus en détail

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité

Plus en détail

ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT

ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT ETUDE DU RESAU HYDRAULIQUE DE LA STATION BIOLOGIQUE DE PAIMPONT Auteurs : BERLEMONT Denis DUCROCQ Mélodie LAUTERS Marion PRIOUL Benoît THINZILAL Florence 08 /04 /2006 Sommaire Résumé... 4 A. INTRODUCTION...

Plus en détail

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014

Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est

Plus en détail

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS

VANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité

Plus en détail

Le Plan Départemental de l Eau

Le Plan Départemental de l Eau de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages

Plus en détail

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat».

«Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». «Poursuivre au-delà de BEEST : une approche fonctionnelle basée sur les traits de vie des espèces en relation avec l habitat». Philippe USSEGLIO-POLATERA Université Paul Verlaine Metz UMR-CNRS 746 - LIEBE

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides»

COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» COMMISSION THEMATIQUE «Protection des milieux aquatiques : cours d eau et zones humides» - 1-4 AVRIL 2013 MALICORNE-SUR-SARTHE COMPTE-RENDU DE REUNION Ordre du jour 1. Qu est ce qu un SAGE? Quel est le

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX?

NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? NOTE DU SECRÉTARIAT TECHNIQUE DU SDAGE QU EST-CE QUE LE BON ÉTAT DES EAUX? Mars 2011 Crédit photos : F. Abraham, F. Barratier, A. Cabot, L. Cadilhac, C. Lasnier, R. Lengereau, T. Marguet, M. Martini, B.

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel

CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L essentiel N 38 Développement durable n 2 En ligne sur le site www.fntp.fr / extranet le 19/02/2013 ISSN 1769-4000 CONCASSAGE, CRIBLAGE DE MATERIAUX : ENREGISTREMENT ICPE, ARRETE DE PRESCRIPTIONS GENERALES ICPE L

Plus en détail

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF

ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique

Plus en détail

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre

et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 3 3 Comment gérer et entretenir les rivières? Mauvaises pratiques à éviter Bonnes pratiques à suivre 75 Préambule Bonnes ou mauvaises pratiques d entretien, Comment s y retrouver? L entretien d une rivière

Plus en détail

MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU

MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU Philippe Adam et Nicolas Debiais Jean-René MALAVOI Ingénieur Conseil DIRECTION DE L EAU, DES MILIEUX AQUATIQUES ET DE L AGRICULTURE (DEMAA) SERVICE

Plus en détail

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace

La base de données régionale sur les sols. d Alsace. La base de données régionale sur les sols d Alsace 3 outils complémentaires pour connaître les sols en Alsace La base de données régionale sur les sols d Alsace Le guide des sols d Alsace La base de données régionale sur les sols Le réseau de mesure de

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE

RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE POUR UN TERRITOIRE DANS LA REGION ADMINISTRATIVE DE L ABITIBI-TEMISCAMINGUE MÉMOIRE DEPOSE AU BUREAU D AUDIENCES PUBLIQUES SUR L ENVIRONNEMENT (BAPE) DANS LE CADRE DES AUDIENCES PUBLIQUES POUR LES PROJETS DE RESERVES DE BIODIVERSITE POUR SEPT TERRITOIRES ET DE RESERVE AQUATIQUE

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006

SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 1- Marché de services pour l entretien courant des cours d eau du Boulonnais (2007-2009)... page 2 2- Etude de définition des aménagements de prévention

Plus en détail

CENTRALES HYDRAULIQUES

CENTRALES HYDRAULIQUES CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des

Plus en détail

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet

Avis bureau Création d une zone commerciale Sainte Anne sur Brivet Déplacement et agrandissement de la zone commerciale de Pont Château. 30ha Le projet et le SAGE Qualité des milieux Article 1 protection des zones humides Article 2 niveau de compensation Article 5 création

Plus en détail

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes

Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Annexe 3 Enjeux environnementaux prioritaires des forêts de Poitou-Charentes Cette annexe présente les enjeux environnementaux ayant été définis comme prioritaires en Poitou-Charentes. Une série de cartes

Plus en détail

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal

Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Congrès INFRA 2014- Montréal Plan d adaptation aux changements climatiques municipal Julien St-Laurent, M.Sc.Env. Spécialiste environnement Direction de l Aménagement, gestion et développement durable

Plus en détail

Y aqua. Livret enseignant

Y aqua. Livret enseignant Y aqua danlo l Livret enseignant Sommaire général Présentation de «Y aqua danlo»... p.3 Utilisation du livret enseignant...p.4 Enjeux de l eau...p.5 Objectifs de «Y aqua danlo»...p.6 Intégration de «Y

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval

Plus en détail

3Typologie des opérations. 1Postulats et principes. 2Les principaux dysfonctionnements MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU

3Typologie des opérations. 1Postulats et principes. 2Les principaux dysfonctionnements MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU MANUEL DE RESTAURATION HYDROMORPHOLOGIQUE DES COURS D EAU 1Postulats et principes généraux des opérations de restauration 2Les principaux dysfonctionnements à l origine des opérations de restauration 3Typologie

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES

1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 2. DESCRIPTION DE LA MASSE D'EAU SOUTERRAINE CARACTERISTIQUES INTRINSEQUES 1. IDENTIFICATION ET LOCALISATION GEOGRAPHIQUE Codes entités aquifères Code entité V1 Code entité V2 concernées (V1) ou (V2) ou secteurs hydro à croiser : 532a 532b Type de masse d'eau souterraine : Imperméable

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte»

«Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» «Silva Cell Investir dans l infrastructure verte» Silva Cell Module d enracinement pour arbres Application : - Le module Silva Cell crée un espace souterrain permettant l enracinement des arbres en ville.

Plus en détail

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

INTRODUCTION A L'ETUDE ECOLOGIQUE D'UN COURS D'EAU (*)

INTRODUCTION A L'ETUDE ECOLOGIQUE D'UN COURS D'EAU (*) 59 INTRODUCTION A L'ETUDE ECOLOGIQUE D'UN COURS D'EAU (*) par J. ARRIGNON Ingénieur LAN. Chargé de la 1 r e Région Piscicole au Conseil Supérieur de la Pêche ABSTRACT The standard study aims at giving

Plus en détail

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN

CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ

VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ VILLE DE SAINT-MAUR-DES-FOSSÉS MISE EN CONFORMITÉ DE L ASSAINISSEMENT INTÉRIEUR D UNE PROPRIÉTÉ Ce document regroupe, sous forme de fiches, les informations nécessaires à la réalisation des travaux de

Plus en détail

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie

STOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE

STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient

Plus en détail

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques

La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution

Plus en détail

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT:

Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2. 1. Fond: 2. IMPORTANT: Panneaux de terrasse TimberStar Notice de pose NOTICE DE POSE 1-2 Veuillez lire l intégralité de la notice de pose avant de commencer le montage! Les panneaux de terrasse TimberStar peuvent être sciés,

Plus en détail

Pagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres).

Pagaie rouge. Lieu de pratique Plan d eau calme ou piscine comprenant un parcours sur deux buts (terrain 36 mètres par 20 mètres). Compétences Compétences générales Naviguer avec vitesse et précision (performance) en s engageant et en prenant des informations pertinentes dans un contexte très complexe et incertain de déplacement,

Plus en détail

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes

Document d Objectifs des sites Natura 2000 FR 9110108 et FR 9101435 «Basse Plaine de l Aude» Table des Annexes Table des Annexes Annexe I : Procédure de désignation des sites Natura 2000 (ZPS et SIC). Annexe II : Composition du comité de pilotage. Annexe III : Exemple de cahier de pâturage tournant Manade. Annexe

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures

Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures Réglementation et dimensionnement des séparateurs à hydrocarbures 2012 SOURCE D INFORMATION Cette note de veille réglementaire et normative a été établie à partir : de la norme NF EN 858-1 COMPIL sur les

Plus en détail

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers

Plus en détail

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires

mesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure

Plus en détail

NOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT

NOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée

Plus en détail

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr

Placettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques

Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques AVIS Réf. : CWEDD/13/AV.343 Date : Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE 1. DONNEES DE BASE Demande : - Permis unique - Rubrique : 63.12.09.03.03 Projet : - Construction d un centre de données

Plus en détail

www.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois

www.cpie.fr La morphologie des cours d eau Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois www.cpie.fr DOSSIER CPIE EN ACTION Sensibiliser des usagers des cours d eau à l entretien des berges CPIE Bugey-Genevois La morphologie des cours d eau (hydromorphologie) Principes physiques, approche

Plus en détail

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents

Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de

Plus en détail

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro

CISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique

Plus en détail

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)

LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999) Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION

Plus en détail

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE)

ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) ESTIMATION DE LA TAILLE DES POPULATIONS D ANOURES DE LA FORET DE FONTAINEBLEAU (SEINE ET MARNE) Philippe LUSTRAT 33 rue de la garenne 77760 VILLIERS SOUS GREZ Lustrat P. (1999) - Estimation de la taille

Plus en détail

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact

Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable

Plus en détail

Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube

Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube Révision du Schéma Départemental des Carrières de l Aube Prise en compte du SDAGE Seine-Normandie BRGM/RP-60867-FR Version 2 - décembre 2012 M. CHABART, Y. THUON Avec la collaboration de M. LANSIART Étude

Plus en détail

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011

L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ;

Vu le dahir du 7 kaada 1371 (30 Juillet 1952) relatif à l urbanisme et, notamment, son article 18 ; Décret n 2-64-445 du 21 chaabane 1384 (26 décembre 1964) définissant les zones d habitat économique et approuvant le règlement général de construction applicable à ces zones. (B.O. n 2739 du 28-4-1965,

Plus en détail

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX

LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements

Plus en détail

COMMENTAiRES/ DECISIONS

COMMENTAiRES/ DECISIONS Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N

Plus en détail