Réseaux de transport en commun et morphologie des territoires

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Réseaux de transport en commun et morphologie des territoires"

Transcription

1 Réseaux de transport en commun et morphologie des territoires Journées d échanges sur la mobilité urbaine 30 mars

2 CONTENU DE L ÉTUDE! Rapport de recherche sur la typologie et la desservabilité des espaces périurbains.! Atlas portant sur l espace périurbain d une centaine d aires urbaines françaises : " échantillon représentatif par classe de taille par répartition géographique ; " des aires urbaines de à habitants (Paris-Lyon-Marseille exclues). Figure 16 : Liste des aires urbaines retenues 2

3 CONTENU DU RAPPORT DE RECHERCHE 1 - Typologie des disparités spatiales de la périurbanisation : cinq indicateurs : intensité, portée, grain, homogénéité, forme. 2 - Desservabilité des espaces périurbains : 4 scénarios de desserte : «capillaire» desserte vers le pôle urbain intégrale et directe par transport public ; «hydrographique» desserte vers le pôle urbain par transport public avec réseau hiérarchisé, lignes affluentes avec rupture de charge à la confluence avec les lignes principales ; «bimodal» desserte vers le pôle urbain avec rabattement 2 roues sur les lignes principales directes de transport public ; «noyau» desserte vers le pôle urbain avec réseau de lignes directes de transport public limité aux axes routiers principaux ; pour chaque scénario : calcul du linéaire de réseau à créer pour habitants périurbains (densité de réseau) évolution du linéaire par décile de population desservie. 3

4 DÉMARCHE ET MÉTHODES DE RECHERCHE! Analyse individualisée aire urbaine par aire urbaine (reprise dans l atlas) permettant une analyse typologique et une analyse statistique des facteurs explicatifs, complétée par une récapitulation pour l ensemble des 100 aires urbaines.! Analyse portant sur la totalité des espaces périurbains des 100 aires urbaines sélectionnées! Définition et délimitation des îlots périurbains : répartition de la population à partir d un carroyage à 200 m avec densité minimale de 5 habitants/ha et création de polygones agrégeant les carreaux (pages du rapport).! Définition de la forme des îlots : 3 indices d étirement, de digitalisation, de compacité (pages du rapport), puis classification ascendante hiérarchique en 6 types. Figure 34 : Illustration des différentes classes morphologiques issues de la CAH 4

5 ! Typologie de l espace périurbain d une aire urbaine : affectation d un type de forme ou de grain à chaque carreau ou îlot de l espace périurbain ; typologie par classification ascendante hiérarchique de la répartition de l espace périurbain en types de forme ou de grain. Figure 38 : Classification morphologique des couronnes périurbaines Figure 36 : Morphologie des couronnes périurbaines de Laval et de Montargis 5

6 Figure 39 : Classification granulométrique des couronnes périurbaines 6

7 ! Tracé et calcul du linéaire de réseau dans les scénarios de desserte : espace desservi à partir d un point d arrêt en fonction du tracé viaire, 1 km à pied, 4 km à vélo (pages 70 à 80 rapport) ; détermination du nombre de points de desserte (pages 81 à 84 rapport) ; détermination du linéaire de réseau par SIG avec règles propres à chaque scénario. 7

8 RÉSULTATS DES DISPARITÉS SPATIALES DE LA PÉRIURBANISATION 1 - L intensité de la périurbanisation décroît avec la taille démographique des aires urbaines : dans une même classe de taille démographique les écarts d intensité sont importants (cf. étude Prédit-Wiel Adeupa 1999). 2 - La portée de la périurbanisation croît avec la taille démographique 3 - L homogénéité de la périurbanisation croît avec la taille démographique 8

9 4 - Les écarts d intensité semblent liés à la densité de population rurale 5 - Les écarts de portée semblent liés à la densité du réseau urbain 9

10 6 - La granulométrie de la périurbanisation est très liée à la densité du maillage communal Figure 39 : Classification granulométrique des couronnes périurbaines 7 - L homogénéité de la périurbanisation (quel que soit le grain) dépend également du maillage communal Les territoires à maille large communale accroissent l hétérogénéité de la périurbanisation en particulier dans l Ouest et le Sud-Est, avec un effet supplémentaire lié à la dispersion de l habitat rural traditionnel. Au contraire la finesse du maillage communal au nord-est de la ligne Saint Malo Genève favorise l homogénéité d une périurbanisation émiettée en petits îlots. 10

11 8 - La répartition spatiale des trois formes de périurbanisation est très fortement régionalisée : Typologie et desservabilité des espaces périurbains Le Sud-Ouest est la région où la proportion de la dispersion individuelle est maximale.!!!!!! type 1 type 8!!!!!!! type 2 type 3 type 6 type 4 La finesse du maillage communal dans les campagnes ouvertes du Nord-Est de la France favorise la domination de la forme satellitaire. Les bocages de l Ouest à l habitat rural traditionnel dispersé et au large maillage communal favorisent la cohabitation de la forme satellitaire et de la dispersion individuelle. type 5 type 7!!!!!!!!!!!!!!! Tableau 9 : profil des classes morphologiques des couronnes Profil des types (8 classes) : Type Satellitaire Réticulaire - linéaire Dispersée Type 1 38 % 36% 27 % Type 8 35 % 19 % 46 % Type 2 52 % 41 % 7 % Type 3 35 % 49 % 16 % Type 6 25 % 65 % 10 % Type 4 58 % 18 % 24 % Type 5 81 % 9 % 10 % Type 7 72 % 23 % 5 % Moyenne générale 50 % 34 % 17 % Type 1 Type 2 Type 3 Type 4 Type 5 Type 6 Type 7 Type 8 Couronne dispersée, peu satellitaire Profil moyen, peu dispersé Couronne linéaire et / ou réticulaire (peu satellitaire) Couronne dispersée et satellitaire (peu réticulaire) Couronne satellitaire (peu réticulaire) Couronne fortement linéaire et / ou réticulaire (peu satellitaire et dispersée) Couronne satellitaire (peu dispersée) Couronne très dispersée

12 La forte proportion de la forme réticulaire le long des grands couloirs fluviaux est confirmée. Les plaines du Languedoc Roussillon favorisent aussi la prépondérance de la forme satellitaire. 12

13 D ores et déjà, sa mise en œuvre apparaît impossible, à moins de réduire au minimum le nombre de service sur chaque ligne. Une analyse est menée ensuite pour évaluer l impact de 4 facteurs sur le niveau d offre nécessaire : densité périurbaine, portée, forme et granulométrie. RÉSULTATS DES SCÉNARIOS DE DESSERTE 1 - Scénario capillaire : 24,5 km de ligne /1 000 habitants périurbains impact de la densité urbaine et le la portée : Impact de la densité et de la portée "Coût" du réseau en fonction de la densité de la couronne Coût (km de ligne pour 1000hab) 70,0 60,0 50,0 40,0 30,0 20,0 10,0 y = -14,374Ln(x) + 83,559 R 2 = 0,4714 R= - 0,6866 0, Densité de la couronne (hab/km!) Coût (km de ligne pour 1000hab) "Coût" du réseau en fonction de son rayon 70,0 60,0 50,0 40,0 30,0 20,0 10,0 y = 0,2219x + 17,289 R 2 = 0,057 R= 0,24 0, Rayon (longueur de la plus grande ligne en km ) coût élevé coût moyen coût faible Le niveau de desserte en transport public décroît comme une fonction non linéaire de la densité. Pour 30 à 40 habitants par km 2, il faut 30 à 40 km de lignes pour habitants. Pour 100 habitants au km 2, il n en faut plus que de 10 à 20 ; pour 200 habitants au km 2 moins de 10 km. Le niveau de desserte en transport public croît de façon proportionnelle à la portée de la périurbanisation. Pour une portée de 20 km il faut 20 km de ligne pour habitants ; pour une porté de 50 km il faut 30 km de ligne pour habitants. À noter une très forte dispersion du nuage de points pour les valeurs comprises entre 20 et 40 km, ce qui explique le taux de corrélation très médiocre. 13

14 !!! cien n ont pas besoin d un niveau d offre élevé pour desservir leurs couronnes périur-!!!!!!!!!!!! 1 - Scénario baines. capillaire : 24,5 km de ligne /1 000 habitants périurbains Impact de la morphologie et de la granulométrie impact de la morphologie et de la granulométrie : Morphologie F&/%)/+#(0+%-(GG$%$("'0+#(+%-**9/&'$-"+#(+H(&*0-"+ Q"V$'(-'#%0&*-',/(%+&/(*DD&/$'(-' '' (,*DG$#&'(&')WPX' 9!+"!#!'/0!:!0(1 S'(&'+"+'(*/0'0*$&)),$*,#&'?B98:2' ;;1 S'(&'+"+'(*/0'#%$,I-)*,#&'?B9:BF' ;1 S'(&'+"+'(*/0'(,0+&#0%' B9FBA' ;;;1 Granulométrie F&/%)/+#(0+%-(GG$%$("'0+#(+%-**9/&'$-"+#(+H(&*0-"+ '' Q"V$'(-'#%0&*-',/(%+&/(*DD&/$'(-' (,*DG$#&'(&')WPX' 9!+"!#!'/0!:!0(1 Y*,))&'D"Z&//&'(&0',)"$0'1[*4'?B9@AE' ;;;1 \&/0,$%'(&'+"+-)*$,"/'(&')*'I"-#"//&' 1[*.J]^D_4'?B9@;A' ;;;1 \&/0,$%'(W,)"$0'1/.#&'(W,)"$0'+"-#' 2BB^D_'(&'I"-#"//&4'?B9::8' ;1 S'(&')*'(&/0,$%'(&'+"+-)*$,"/'(&')*'I"-#"//&'&>+),3-%'+*#'T' 1 `*'$*,))&'(&0',)"$0'?B9:8B' <' `*'(&/0,$%'(W,)"$0' B9:8B' <' Relations entre les paires!"#$%&'()&!"#$%*"+(,!"#$%-./0'( $+1(%2%3%4/51(65&!!! " " $+1(%7%3%$685%4/51(65&!!! " " $+1(%9%3%6&$/:;''./6( $+1(%<%3%5.$(''/$./6(=%4/51(65& $+1(%>%3%?*"+(,?=%1(;%4/51(65& " $+1(%@%3%5.$(''/$./6(! $+1(%A%3%$685%6&$/:;'./6(! $+1(%B%3%$685%5.$('/$./6(!! Relations entre les paires!"#$%&'()&!"#$%*"+(,!"#$%-./0'( $+1(%2%3%/'"$4%$564%1($/$4%($%*"+(,4!! " $+1(%7%3%1($/$4%/'"$4! " $+1(%8%3%15"-/'%9*"+(,9 "! $+1(%:%3%;5.,<4%/'"$4 $+1(%=%3%$564%;5.,<4%/'"$4 " ""!!! Les morphologies de types réticulaire et surtout satellitaire réduisent le niveau de desserte nécessaire. Inversement la forme dispersée a un impact très négatif sur le niveau de desserte nécessaire. Le niveau de desserte est sensible à la fois à la taille des îlots, à leur densité spatiale et à leur densité de population. La canalisation de la périurbanisation et sa concentration dans des îlots de grande taille densément construits a un impact positif sur le kilométrage de la ligne qu il est nécessaire de créer pour desservir périurbains

15 2 - Scénario hydrographique : 9 km de ligne/1 000 habitants périurbains Réseau direct : 5,3 km de ligne/1 000 habitants périurbains. Taux de couverture : 2/3. Desserte du dernier décile : 16 fois plus que le premier. Desservir 100 % du périurbain coûte 2,5 fois plus que de desservir 50 %. Faible densité et dispersion augmentent le kilométrage des lignes 15

16 plus cher par habitant desservi qu un réseau desservant 10 % de la population, mais pour obtenir une couverture de 100 %, le réseau nécessaire coûtera 3,3 fois plus cher par habitant 3 - Scénario bimodal : 4 km de ligne /1 000 habitants périurbains. Taux de couverture 100 %. Réseau direct 2,4 km de ligne/1 000 habitants. Taux de couverture 80 %. desservi qu un réseau desservant 10 % de la population (Figure 64 b). Figure 64 a et b : "Coût" de la desserte en fonction de la couverture démographique (réseau "bimodal") Partie 4 : Hypothèses de rationalisation de la desserte des couronnes périurbaines Coût)de)la)desserte)exprimé)en)fonction)du)cout)de)la) desserte)du)premier)décile)de)la)couronne) périurbaine 16,0 14,0 12,0 10,0 8,0 6,0 4,0 2,0 0,0 Evolution)du)coût)de)la)desserte)en)fonction)du)décile)de)la) population)desservie 1,0 1,0 1,1 1,3 1,6 1,9 2,6 3,1 5,2 14,5 D10 D20 D30 D40 D50 D60 D70 D80 D90 D100 Décile)de)population)desservie Coût)du)réseau)(base)1)=)cout)du)réseau)desservant) 10%)de)la)population) 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 Evolution)du)coût)de)la)desserte)en)fonction)de)la)part)de)la) population)desservie 1,0 1,0 1,1 1,1 1,2 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% 1,3 Part)de)la)population)desservie 1,5 1, Différence de coût de la desserte selon les couronnes 3,3 A l instar des réseaux «capillaire» et «hydrographique», on observe d import Desservir 100 % des habitants coûte deux fois plus que de desservir 80 %. variations de coût entre les couronnes. Bien que le coût moyen de la desserte des couro 2,1 par un réseau «bimodal» est de 4 km de ligne pour habitants, ce dernier var 1,6 km de ligne pour habitants (pour Lille et Strasbourg) à plus de 10 (pour Nice, et Châteauroux) (Figure 65). 116 Le kilométrage de lignes est sensible à la densité et la dispersion. L influence de la morphologie et de la granulométrie est très faible. Figure 65 : "coût" de desserte des couronnes périurbaines par un réseau "bimodal" 16 Afin de comprendre les différences entre couronnes, nous avons réalisé un modèle lin multiple. L analyse exploratoire fait ressortir deux variables qui expliquent significative

17 s que pour Toulouse, le réseau noyau des radiales est particulièrement peu airement à Bordeaux. 4 - Scénario noyau : 3,2 km de lignes/1 000 habitants périurbains. Taux de couverture 82 %. Longueur du réseau "grandes radiales" par rapport au réseau "modes doux" %"!!!! Population de la couronne périurbaine %!!!!! $"!!!! $!!!!! #"!!!! #!!!!! "!!!!!!&%!&'!&"!&(!&)!&*!&+ # #&# #&$ Ratio Longueur du réseau "grandes radiales"/longueur du réseau "mode doux" -dessus montre Un réseau le rapport noyau entre est en la moyenne longueur 35 du % réseau noyau et celle du moins long qu un réseau bimodal, mais le importants taux : du de minimum couverture de démographique 0,3 à Pau à 1,1 passe pour Cambrai, de Boulogne et 100 % à 82 %. Les contrastes régionaux demeurent élevés

18 Est-ce là l optimum souhaitable au plan économique et aussi au plan socio pol tique? 5 - Comparaisons des scénarios %!*! 3"#$%&%'(")*+,(*-"</*#"-,)(*+,(*9*/-$,(*+,*&2(,%34 =3"</=*+3*&2(,%3*9C#*+,*;'6),D6%%%*+%B'/%)/(* +,((,&B'( $#*! 8./01234./15/623 H5891/6! 9@1.97./=A51@2!!!!!!!!!!!! &/=566/5.2! 8./01234./15/6234"1900C2343@.4=2@41D/77693% $!*! #*!!*! $!& %!& '!& (!& #!& )!& *!& +!&,!& $!!& 3"3B,&/3&,*+2#"6&%$+'83,*9.*+,*;%*$"$3;%/'")*+,*;%*-"3&")),*+,((,&B', Une densité de desserte toujours très élevée même avec un système de rabattement. Desservir la totalité du périurbain coûte beaucoup plus cher en densité de réseau. Le scénario bimodal est le plus économique. une desserte reposant sur un réseau noyau réduit aux grandes radiales paraît pe intéressante : le gain en niveau de desserte se paie par l acceptation de l enclav ment pour un cinquième des périurbains. 18

19 Des contrastes régionaux très affirmés, identiques quel que soit le scénario. Outre la densité, tenir compte de la morphologie et de la granulométrie. Les formes satellitaires denses à gros grains sont beaucoup plus économes que les formes émiettées et dispersées peu denses. 19

20 6 - Enclavement et risque de précarité périurbains Figure 73 : nombre Nombre'de'périurbains'non'desservi'en'fonction'du'"coût"'du'réseau' non desservis en du coût (seuil national) 8#000#000 7#000#000 Nombre'de'périurbains'non'desservis 6#000#000 5#000#000 4#000#000 3#000#000 2#000#000 Réseau#Hydrographique Réseau#Grandes#Radiales Réseau#Bimodal Réseau#Capillaire 1#000# ,00 1,00 2,00 3,00 4,00 5,00 6,00 "Coût"'du'réseau'en'km'de'ligne/1000'hab.'desservis Avec un plafond de niveau de desserte de type urbain (2,4 km), 4 à 5 millions de périurbains enclavés. Avec un plafond de 4 km, 1,5 à 3 millions de périurbains enclavés. Le dilemme pour les périurbains enclavés : vélo ou covoiturage? 20

21 Typologie et desservabilité des espaces périurbains Répartition géographique des périurbains risquant l enclavement!!!!!!!!!!!!! Plus de périurbains potentiellement enclavés à Toulouse. De la moitié aux trois quarts des périurbains potentiellement enclavés à Agen et à Pau. Partie 4 : Hypothèses de rationalisation de la desserte des couronnes périurbaines agglomérations qui concentrent le plus de laissés pour compte. En effet, les couronnes diagonale du vide, par leur faible poids démographique, pèsent au final assez peu d dénombrement des périurbains non desservis par les réseaux de transport en commun. c est bien dans les couronnes des grandes aires urbaines que le nombre de périurbain desservis est le plus important : Toulouse, Bordeaux, Rennes, Nantes, Rouen (Tableau!!!!!!!!!!!! Pourcentage de périurbains non desservis Tableau 32 : Nombre de périurbains non desservis dans les principales couronnes Hydrographique Bimodal (2,4km 2,4km ligne/1000 hab. 4km ligne/1000 hab. ligne/1000 hab.) Toulouse Bordeaux Rennes Nantes Rouen Tours Grenoble Nice

22 Aire urbaine de Toulouse (Code Insee : 004) Chiffres clef Population : hab., dont dans la couronnes périurbaine Densité de la couronne : 71 hab./km² Emplois : , dont dans l agglomération (22% des emplois de l agglo sont occupés par des habitants de l agglo) Superficie : 5381 km² (dont 4569 km² pour la couronne) Indicateurs - = + Intensité Portée Hétérogénéité Caractéristique des réseaux théoriques Morphologie Répartition morphologique de la population périurbaine Satellitaire : 17% Satellito-réticulaire : 15% Réticulaire : 38% Linéaire : 5% Dispersé : 26% Répartition en trois grands types Satellitaire : 31% I x=50% Réticulaire : 43% I x=34% Dispersé : 26% I x=17% Classe morphologique 1 - Couronne dispersée, peu satellitaire Granulométrie Taille moyenne des ilots : 42 ha Densité d ilots : 7,6 ilots/100 km² Répartition granulométrique de la surface bâtie périurbaine Ilot < 20 ha : 14% I x=11% Ilot ha : 10% I x=19% Ilot ha : 21% I x=29% Ilot ha : 17% I x=16% Ilot > 130 ha : 39% I x=25% Classe granulométrique 1 - Couronne avec de très grands ilôts Distance entre les habitants et les lignes Capillaire, Hydrogra- -phique Type de réseau théorique Bimodal Grandes radiales Q1 116 m 268 m 800 m Médiane 280 m 685 m 2093 m Moyenne 382 m 1018 m 2983 m Q3 549 m 1520 m 4042 m D9 877 m 2474 m 7028 m Longueur et coût moyen Réseau «capillaire» 359 lignes pour 12744km de réseau Coût moyen : 41,0km/1000 habitants Réseau «hydrographique» 359 lignes pour 3635 km de réseau Coût moyen : 11,7km/1000 habitants Réseau «bimodal» 40 lignes pour 1291km de réseau Coût moyen : 4,2km/1000 habitants Réseau «grandes radiales» Population desservie : 79% 14 lignes pour 641 km de réseau Coût moyen : 2,6km/1000 habitants desservis 22

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX

BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX BILAN ÉCONOMIQUE ET SOCIAL DU VAL D OISE 1998-1999 LES ÉQUIPEMENTS COMMUNAUX 1 - Des communes inégalement desservies en terme d équipements 2 - Des pôles majeurs d attraction en terme d équipements 3 -

Plus en détail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail

L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part

Plus en détail

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19

Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT

Plus en détail

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement

Plus en détail

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire

Plus en détail

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril

Plus en détail

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011

Lambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011 Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du

Plus en détail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail

Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Y:\AVE 2010\Jou... Nationale...

Y:\AVE 2010\Jou... Nationale... De l analyse des marchés de la Construction Durable au diagnostic de la montée en compétence dans les métiers du Bâtiment et des ENR à l horizon 2014 sur 30 territoires 13 es Assises de l énergie Dunkerque

Plus en détail

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Déploiement de la fibre optique sur le territoire : premiers travaux à Mées

DOSSIER DE PRESSE. Déploiement de la fibre optique sur le territoire : premiers travaux à Mées DOSSIER DE PRESSE 19 mars 2014 Déploiement de la fibre optique sur le territoire : premiers travaux à Mées I. Pourquoi la fibre optique? II. Rappel du projet III. Calendrier de déploiement de la fibre

Plus en détail

Version définitive approuvée après enquête publique

Version définitive approuvée après enquête publique Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de

Plus en détail

Les territoires ruraux prennent leur avenir en main! Des campagnes innovantes au cœur de la métropolisation. Tramway : LIEU DE LA MANIFESTATION

Les territoires ruraux prennent leur avenir en main! Des campagnes innovantes au cœur de la métropolisation. Tramway : LIEU DE LA MANIFESTATION Les territoires ruraux prennent leur avenir en main! Des campagnes innovantes au cœur de la métropolisation Dijon, les 26 et 27 novembre 2013 LIEU DE LA MANIFESTATION PALAIS DES CONGRES DE DIJON 3 boulevard

Plus en détail

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile

Les cartes de Bruit. Recueil des données du trafic aérien. La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49. Service Technique de l Aviation Civile La a Mise en œuvre de la Directive 2002-49 Les cartes de Bruit Recueil des données du trafic aérien Service Technique de l Aviation Civile François WATRIN Recueil et mise en forme des données du trafic

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRUX MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE L RECHERCHE rrêté du 29 mars 2012 fixant au titre de l année 2012 le nombre de postes offerts aux recrutements sans

Plus en détail

observatoire des emplois d avenir

observatoire des emplois d avenir observatoire des emplois d avenir 4 ème vague Emplois d avenir et zones urbaines sensibles (ZUS) L Association des Maires de Grandes Villes de France a activement participé à la montée en puissance des

Plus en détail

Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013

Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013 Ingénieur Jurisprudences Constantes 2003 2013 Conseil d Etat et Tribunaux Administratifs Les décisions de justice ci-dessous concernent des recours formulés à l encontre de décisions défavorables de la

Plus en détail

de la logistique dans les Pyrénées Orientales

de la logistique dans les Pyrénées Orientales Le secteur du transport et de la logistique dans les Pyrénées Orientales Soirée économique des Délégués Consulaires de la CCI de Perpignan jeudi 30 octobre 2014 Le positionnement du département au sein

Plus en détail

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014

Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 2014 Le marché locatif privé sur Lille et la métropole lilloise Les loyers de marché à fin novembre 214 par Michel MOUILLART, Professeur d'economie à l'université Paris Ouest, FRICS CLAMEUR analyse chaque année

Plus en détail

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes

TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation

Plus en détail

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013

Compas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013 n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRUX MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE L RECHERCHE rrêté du 14 mars 2012 autorisant au titre de l année 2012 des recrutements sans concours d adjoints

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

RECOMMANDATION MEDIA. La Boîte à Pizza

RECOMMANDATION MEDIA. La Boîte à Pizza RECOMMANDATION MEDIA La Boîte à Pizza Sommaire I - Rappel du Brief 1.1 Produit 1.2 Contexte II - Cibles 2.1 Principale 2.2 Secondaire III - Objectifs IV - Stratégie des moyens - Aquitaine 4.1 Presse 4.2

Plus en détail

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015

Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique. Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Marché de l occasion et exigences de rénovation énergétique Rencontre de l Observatoire 21 mai 2015 Logements neufs / logements d occasion 7 700 logements d occasion vendus en 2013 dans l aire urbaine

Plus en détail

SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ

SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ 1 OBJET DU SCHÉMA DIRECTEUR Une démarche partenariale du Département de la Seine-Saint-Denis, avec les collectivités

Plus en détail

Bilan des formations présentées lors de la semaine étudiant SEGEUN 2013

Bilan des formations présentées lors de la semaine étudiant SEGEUN 2013 Bilan des formations présentées lors de la semaine étudiant SEGEUN 2013 Lundi 11 février (9h-13h30) ENS Cognitique (diplôme d ingénieur CTI, Management des connaissances, Bordeaux) ISTHIA (Université Toulouse

Plus en détail

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique Valorisation des patrimoines Conseil et accompagnement stratégique Dans un contexte d évolutions continues des règlementations et de recherche d optimisation, loin des grands programmes de constructions

Plus en détail

L immobilier de bureaux : L attractivité des métropoles françaises. Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014

L immobilier de bureaux : L attractivité des métropoles françaises. Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014 L immobilier bureaux : L attractivité s métropoles françaises Regard croisé salariés et dirigeants d entreprise SIMI DÉCEMBRE 2014 Méthodologie SIMI DÉCEMBRE 2014 Méthodologie Etu réalisée auprès ux échantillons

Plus en détail

La structure de la base de données et l utilisation de PAST. Musée Royal de l Afrique Centrale (MRAC Tervuren)

La structure de la base de données et l utilisation de PAST. Musée Royal de l Afrique Centrale (MRAC Tervuren) La structure de la base de données et l utilisation de PAST La structure de la base de données données originales SPÉCIMENS Code des spécimens: Identification des spécimens individuels. Dépend du but de

Plus en détail

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre

Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires des EPCI à fiscalité propre Département Intercommunalité et territoires 18 mars 2014 Département Administration et gestion communale Modalités de calcul des indemnités des présidents, des vice-présidents et des conseillers communautaires

Plus en détail

Vendredi 22 mars 2013. Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège

Vendredi 22 mars 2013. Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège Vendredi 22 mars 2013 Prolongement de la ligne B du métro Toulouse > Ramonville > Labège 2 ème phase de concertation publique 25 mars au 12 avril 2013 2 ème phase de concertation publique sur le projet

Plus en détail

Fiscalité du Grand Paris

Fiscalité du Grand Paris Fiscalité du Grand Paris Afin de financer le projet du métro automatique du Grand Paris Express et le plan de mobilisation pour les transports d IdF, l Etat a décidé de prélever de nouvelles recettes fiscales

Plus en détail

AMMONITIA Département Investissement Etude locative

AMMONITIA Département Investissement Etude locative AMMONITIA Département Investissement Etude locative PRESENTATION DE L ARRONDISSEMENT Démographie Paris 17 Paris Population en 2011 168 454 2 234 105 Variation population : taux annuel moyen entre 1999

Plus en détail

les évolutions récentes

les évolutions récentes DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,

Plus en détail

La construction métropolitaine en Ile-de-France

La construction métropolitaine en Ile-de-France 1 La construction métropolitaine en Ile-de-France Eléments d actualité: La réforme territoriale Le devenir du Grand Paris 29 Novembre 2012 Intercommunalité et Métropolisation en Ile-de-France 2 Eléments

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Arrêté du 19 mars 2014 autorisant au titre de l année 2014 l ouverture de recrutements sans concours

Plus en détail

Site d étude. Résultats

Site d étude. Résultats Avec la collaboration de l Université de Bretagne Occidentale, (Institut Universitaire Européen de la Mer, Laboratoire d'ecophysiologie et de Biotechnologie des Halophytes et Algues Marines) Site d étude

Plus en détail

ATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe.

ATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe. ATHELIA V L offre foncière et immobilière pour l économie tertiaire et l industrie de pointe. L économie de la connaissance et l industrie : au cœur de la stratégie de développement économique de MPM

Plus en détail

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement Groupe MERLIN Une tradition d innovations au service des hommes GESTION PATRIMONIALE GESTION PATRIMONIALE Définition d un programme de renouvellement Indépendance - Expériences - Expertises - Proximité

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Formation préventive et accompagnement psychologique des agents 51 11 46 / 01 53 33 11 46 victimologie@sncf.fr BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010 Permanence Téléphonique Prise

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Arrêté du 19 mars 2013 autorisant au titre de l année 2013 l ouverture de concours externes et internes

Plus en détail

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013

Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 n 65 juin 2014 Le marché des bureaux dans le pays de Lorient en 2013 Observatoire n 4 Contact : Gilles Poupard 02 97 12 06 31 Sommaire Rappel de la démarche 5 Principaux résultats 2013 7 1. Le marché des

Plus en détail

démographie des masseurs-kinésithérapeutes

démographie des masseurs-kinésithérapeutes démographie des masseurs-kinésithérapeutes Île de France - Réunion 95 78 974 93 92 75 94 91 77 75 77 78 91 92 - Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine conseil national de l ordre des masseurs-kinésithérapeutes

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013

IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 IMMOBILIER D ENTREPRISE CROISSANT OUEST POINT SECOND SEMESTRE 2013 68 avenue des Guilleraies 92000 NANTERRE Téléphone : 01 55 17 00 00 Fax : 09 81 70 68 48 Mail : contact@street-office.fr DECEMBRE 2013

Plus en détail

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en 2010-2011 note d information 12.1 MARS 38 1 nouveaux arrivants non francophones de plus de 6 ans ont été scolarisés au cours de l année scolaire 21-211 : 18 5 dans les écoles élémentaires, 16 2 dans les collèges

Plus en détail

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 -

pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Arrêté multifluide du 4 août t 2006 pour les canalisations de transport 14 avril 2010-1 - Une volonté de l administration L ancien arrêté portant règlement de sécurité des ouvrages de transport de gaz

Plus en détail

ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG

ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN

Plus en détail

Nouveau règlement Accessibilité Handicapés

Nouveau règlement Accessibilité Handicapés Nouveau règlement Accessibilité Handicapés 1 Les principaux points à retenir en synthèse Prise en compte de tous les handicaps notamment physique, cognitif, mental ou psychique Exigences de performance

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2 LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations

Plus en détail

I Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I

I Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I I Mise en place d un SIG pour la gestion des équipements sur les routes départementales de la Loire I I Déroulement de la présentation I Les missions de la cellule programmation Le patrimoine routier Le

Plus en détail

FILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE. Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs. Synthèse

FILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE. Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs. Synthèse FILIÈRE TRANSPORT-LOGISTIQUE Enjeux et questionnements Paroles d'acteurs Synthèse avril 2004 Source : Agence de développement et d'urbanisme de Lille Métropole - 2004 2 L Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015

Marchés immobiliers en régions. Marseille 9 avril 2015 Marchés immobiliers en régions Marseille 9 avril 2015 Le tour de France de l immobilier par le Crédit Foncier Plan de la présentation Le baromètre Crédit Foncier/CSA sur le moral des professionnels de

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

«Vieillir en pavillon : mobilités et immobilités des personnes âgées dans l espace périurbain»

«Vieillir en pavillon : mobilités et immobilités des personnes âgées dans l espace périurbain» LADYSS (UMR 7533) CNRS - Université Paris 1 LISST-Cieu (UMR 5193) CNRS - Université Toulouse-Le Mirail CIRTA Institut d Aménagement Régional - Université Aix-Marseille 3 Programme de recherche Vieillissement

Plus en détail

Tomate. TOMATE ronde Belgique extra 57-67mm colis 6kg 1.62. TOMATE ronde Belgique extra 67-82mm colis 6kg 1.60

Tomate. TOMATE ronde Belgique extra 57-67mm colis 6kg 1.62. TOMATE ronde Belgique extra 67-82mm colis 6kg 1.60 Tomate moyen mini maxi Euro Euro Euro Cavaillon 17/01/13 (Production) unité : le kg* qté:tonne* TOMATE ronde Sud-Est grappe 2.50 2.20 Perpignan 17/01/13 (Production) unité : le kg* TOMATE cocktail Roussillon

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito

Plus en détail

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES

COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES DOSSIER DE PRESSE 17 AOÛT 2015 COUT DE LA VIE ETUDIANTE SELON LES VILLES UNIVERSITAIRES Cout de la vie étudiante selon les villes universitaires CONTACT PRESSE Pauline Collet 06 88 27 92 59 pcollet@unef.fr

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013

La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local. Bruges, le 3 juillet 2013 CEBATRAMA La Banque Postale Présentation de l activité Secteur Public Local Bruges, le 3 juillet 2013 HÉRITIÈRE DES SERVICES FINANCIERS DE LA POSTE 100% Filiale à 100% du groupe La Poste La Banque Postale

Plus en détail

uniqué Commu continuité entre la urbaine quartier. La de Elle distingue Aménagement La élaborée avec HQE Aménagement opérations Riche 37).

uniqué Commu continuité entre la urbaine quartier. La de Elle distingue Aménagement La élaborée avec HQE Aménagement opérations Riche 37). Commu uniqué de presse e La Riche, 16 octobre 2013 «ZAC du Plessis-Botanique» : une opératio on de couture urbaine pour assurer la continuité du développement entre la Ville de La Riche la Ville de Tours

Plus en détail

Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives

Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives Ecole des Ponts Paristech 2012 Méthode d Analyse de Systèmes Territoriaux GARNIER Benoît TARDIEU Guillaume Analyse territoriale d un quartier de la ville de Chelles et perspectives 1 Table des matières

Plus en détail

Fiche Signalétique Générale Décembre 2010 contact : franchise.multifood@gmail.com

Fiche Signalétique Générale Décembre 2010 contact : franchise.multifood@gmail.com 1 PRESENTATION DE NOTRE PROJET DE DEVELOPPEMENT 2 NOTRE STRATEGIE DE DEVELOPPEMENT : Lancement de la Franchise MultiFood 2-1 CARACTERISTIQUES Nous développons à la fois des implantations de restaurants

Plus en détail

Vos interlocuteurs en région

Vos interlocuteurs en région Euler Hermes France Vos interlocuteurs en région Pour un service de proximité Juillet 2015 * Notre savoir au service de votre réussite www.eulerhermes.fr * 23 Délégations Euler Hermes Crédit France DELEGATION

Plus en détail

Point marché de l immobilier d entreprise

Point marché de l immobilier d entreprise Point marché de l immobilier d entreprise 9 octobre 2014 Espace la Cartoucherie Le Moniteur Bilan du 3 ème trimestre 2014 Le marché de bureaux au 3 ème trimestre 2014 3 385 m² loués par Cegedim sur Green

Plus en détail

Poursuites d études après un DUT TC dans l Académie de Lille

Poursuites d études après un DUT TC dans l Académie de Lille Poursuites d études après un DUT TC dans l Académie de Lille A. Schéma des formations post-dut B. Entrer dans la vie active C. Poursuites d études à l Université Les Licences professionnelles Les DUT en

Plus en détail

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14

Identification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7

Plus en détail

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles

CHAPITRE 2. Population, ménages et familles CHAPITRE 2 Population, ménages et familles Les faits saillants Enquête sur les conditions de vie en Haïti Distribution spatiale, structure par âge et par sexe de la population Le taux d urbanisation de

Plus en détail

Les diplômes. Session 2008

Les diplômes. Session 2008 note d informationdécembre 09.28 À la session 2008, 444 0 diplômes de l enseignement professionnel des niveaux IV et V ont été délivrés en France par le ministère de l Éducation nationale. Ce nombre atteint

Plus en détail

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes Démographie des masseurs-kinésithérapeutes AQUITAINE 24 33 47 40 64 24 33 40 47 64 - Conseil national de l Ordre des masseurs-kinésithérapeutes Dordogne Gironde Landes Lot-et-Garonne Pyrénées-Atlantiques

Plus en détail

Propriété intellectuelle : comment valoriser son activité?

Propriété intellectuelle : comment valoriser son activité? Propriété intellectuelle : comment valoriser son activité? Aliénor DAGORY Service Innovation CCI LR 04 67 13 68 00 arist@languedoc-roussillon.cci.fr Michael TOUCHE INPI Délégation régionale Languedoc-Roussillon

Plus en détail

un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation

un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr Présentation un module de simulation des évolutions urbaines http://geopensim.ign.fr 12 mars 2009 Anne Ruas Annabelle Mas Julien Perret Présentation Plateforme open source d analyse et de simulation des évolutions

Plus en détail

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8

Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Prédiction de couverture de champ radioélectrique pour les réseaux radiomobiles : L apport du Système d Information Géographique ArcInfo 8 Christine TURCK 1 * et **, Christiane WEBER**, Dominique THOME*

Plus en détail

Rapport annuel Campagne agricole 2002-2003

Rapport annuel Campagne agricole 2002-2003 Surveillance du système canadien de manutention et de transport du grain Rapport annuel Campagne agricole 2002-2003 2 Tableau de base de données Government of Canada Gouvernement du Canada ANNEXE 3 : TABLEAUX

Plus en détail

J.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE

J.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE LIGNE 16 : NOISY CHAMPS < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 17 : LE BOURGET RER < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 14 : MAIRIE DE SAINT-OUEN < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE BLEUE) DOSSIER

Plus en détail

Évolution du tissu artisanal en Bretagne

Évolution du tissu artisanal en Bretagne du tissu artisanal en Bretagne Alors que le nombre d entreprises artisanales bretonnes a baissé depuis 1990, 28 000 emplois salariés supplémentaires ont été créés dans le secteur en 14 ans. La taille des

Plus en détail

Rapport sur les EPCI La taille des EPCI, un levier d action pour la politique d égalité des territoires SYNTHESE 2

Rapport sur les EPCI La taille des EPCI, un levier d action pour la politique d égalité des territoires SYNTHESE 2 Direction des stratégies territoriales Rapport sur les EPCI La taille des EPCI, un levier d action pour la politique d égalité des territoires SYNTHESE 2 1 Les EPCI doivent s organiser autour des territoires

Plus en détail

ECOLES DE COMMERCE. En ce qui concerne le concours, elles se répartissent en trois catégories

ECOLES DE COMMERCE. En ce qui concerne le concours, elles se répartissent en trois catégories Lycée Alfred Kastler ECOLES DE COMMERCE Les écoles de commerce sont nombreuses et de niveaux variés. Elles sont le plus souvent gérées par les chambres de commerce, de ce fait ce ne sont pas des écoles

Plus en détail

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES

ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES ENQUETE SUR LA SITUATION DES GRANDES VILLES ET AGGLOMERATIONS EN MATIERE D ASSURANCES DOMMAGES N 202 AOUT 2003 SOMMAIRE 1. PRESENTATION p.3 2. SYNTHESE DE L ENQUETE p.4 3. LES REPONSES DES VILLES ET AGGLOMERATIONS

Plus en détail

FORUM STAGES JOBS EMPLOIS

FORUM STAGES JOBS EMPLOIS FORUM STAGES JOBS EMPLOIS 7 ème édition Mercredi 16 Octobre 2013 Objectifs Faciliter les contacts entre entreprises et étudiants Communiquer auprès de l ensemble des participants Faciliter vos recherches

Plus en détail

Diplômes du second degré technologique et professionnel : la demande de VAE reste très concentrée

Diplômes du second degré technologique et professionnel : la demande de VAE reste très concentrée note d informationjanvier 11.04 Si le déploiement du dispositif de validation des acquis de l expérience (VAE) semble s être stabilisé, le nombre des validations totales continue toutefois de progresser

Plus en détail

DANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour

DANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour LE SEJOUR Référence > SPECTCR2014 Agrément > JEUNESSE ET SPORTS Dates > Du 19/10/2013 au 02/11/2013 Ages > de 12 à 17 ans A partir de > 420,00 Frais de dossier > 19,00 /personne Chanteurs, musiciens ou

Plus en détail

DOSSIER 4. L attractivité des académies pour

DOSSIER 4. L attractivité des académies pour L attractivité des académies pour les enseignants du second degré public en 2013 Solène Hilary, Alexandra Louvet [DEPP] _ Chaque année, plus de 20 000 enseignants du second degré public, conseillers d

Plus en détail

L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires

L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires L accès aux données spatiales au profit des applications satellitaires Le projet Geosud Pierre Maurel, coordinateur du projet GEOSUD Journée du CINES Montpellier, 9 juin 2015 1 Projet GEOSUD Des financements

Plus en détail

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010

Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement. 28 janvier 2010 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement 28 janvier 2010 1 Conférence de Presse Les Chiffres Clés de l immobilier d entreprise et du logement UNE ANNEE CONTRASTEE

Plus en détail

L ombre commun dans le canton de Vaud

L ombre commun dans le canton de Vaud Centre de conservation de la faune et de la nature Inspection de la pêche Chemin du Marquisat 1 1025 St-Sulpice Service des forêts, de la faune et de la nature www.dse.vd. vd.ch T 021 557 86 30 F 021 557

Plus en détail

Tempo : rentrée 2015

Tempo : rentrée 2015 Tempo : rentrée 2015 Des tarifs bas en comparaison avec d autres villes Un réseau qui s adapte aux évolutions de la demande : rationalisation de l offre Des nouvelles dessertes I. Un réseau urbain réajusté

Plus en détail

Bilan 2006 d utilisation de la carte d achat public. Charles SIMMONET, chef de projet «moyens de paiement» à la DGC du MINEFI

Bilan 2006 d utilisation de la carte d achat public. Charles SIMMONET, chef de projet «moyens de paiement» à la DGC du MINEFI Bilan 2006 d utilisation de la carte d achat public Charles SIMMONET, chef de projet «moyens de paiement» à la DGC du MINEFI 1 Le rythme de progression de la carte d achat s accélère Nombre de sites de

Plus en détail

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,

Plus en détail

ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits

ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits ACN Energie en partenariat avec Direct Energie Présentation marché et produits 1 Sommaire 1. Direct Energie en quelques mots 2. Aperçu du marché 3. L'essentiel sur l'électricité et le gaz 4. Electricité

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail